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Face à l’horreur, le cœur n’y est plus

©SewcreamStudio –Adobe stock

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Face au drame et l’ignominie que vivent les israéliens depuis samedi dernier, nos petites histoires provençales, nos coups de gueule et aussi notre mauvaise fois ne pèsent plus grand chose. Elles apparaissent comme incongrues et terriblement mal à propos. Le cœur n’y est plus.

C’est la raison pour laquelle, en accord avec la rédaction en chef de l’Echo du Mardi, cette semaine votre chronique marquera une pause. Nous le faisons en mémoire de tous ceux qui sont mort sous les balles de ces criminels. Et l’escalade nous fait craindre que le pire est à venir. Nous n’oublierons pas non plus les autres drames que notre monde vie aujourd’hui, que ce soit en Ukraine où la guerre s’installe dans son 18ème mois ou plus récemment la situation des arméniens dans le Haut-Karabakh.

Non le cœur n’y est vraiment plus.

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