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Un nouveau directeur pour Orano Tricastin

©CRESPEAU

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François Lurin, 52 ans, est le nouveau directeur du site Orano à Tricastin. Il succède à Jean-Jacques Dreher, en poste depuis 2016, qui fait valoir ses droits à la retraite.
« Soyez assurés de mon engagement et de la priorité donnée à la sûreté et la sécurité des activités du site, a expliqué François Lurin lors de sa prise de fonction le 1er décembre. Ma volonté est de m’inscrire dans la continuité de mes prédécesseurs pour que le site du Tricastin maintienne sa dynamique de transformation en matière de performance et d’innovation, en s’adaptant aux exigences du marché mondial. Je sais pouvoir compter sur l’engagement des équipes que j’ai pu rencontrer ces dernières semaines. »
Auparavant directeur des ‘Opérations parc nucléaire’ de la ‘Business unit’ ‘Démantèlement et services’ sur des activités dédiées au client EDF depuis janvier 2018, François Lurin a rejoint Orano en novembre 2008. Il intègre le groupe en tant que directeur du ‘Conseil interne’, puis prend les fonctions de directeur ‘Performance, organisation et processus’ au sein de la direction ‘Industrielle & performance’ avant de rejoindre la ‘Business unit’ ‘Démantèlement & services’ en tant que directeur de la Division maintenance & services nucléaires en septembre 2013.

François Lurin, nouveau directeur du site Orano à Tricastin.


Le nouveau directeur, diplômé de l’Institut national agronomique Paris-Grignon, ainsi que d’un MBA de l’INSEAD, a débuté sa carrière professionnelle en 1993 par des activités d’audit financier, puis de conseil en management au sein du cabinet Arthur Andersen, avant de rejoindre le cabinet Bearing-Point, dont il deviendra un des directeurs associés. Un secteur du conseil dans lequel il restera 15 ans.
A cheval entre la Drôme et le Vaucluse, la plate-forme industrielle de Tricastin a vu le jour en 1958. Le site de 650 hectares propose des services en matière de transformation d’uranium : conversion et enrichissement. Ces activités précèdent l’étape finale de fabrication du combustible nécessaire aux réacteurs des centrales nucléaires. Orano y compte 2 500 salariés et presque tout autant de sous-traitants.

L.G.

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