20 mai 2025 |

Ecrit par le 20 mai 2025

Une nouvelle sous-préfète pour la Politique de ville en Vaucluse

Marie-Charlotte Euvrard est la nouvelle sous-préfète chargée de mission Politique de ville en Vaucluse. Auparavant directrice de cabinet du général commandant le Service militaire volontaire au ministère des Armées depuis juillet 2019, cette dernière a succédé à Elisa Basso nommée directrice de cabinet du préfet de l’Hérault.

Commandante de l’armée de terre, Marie-Charlotte Euvrard a avant dirigé une compagnie à l’Ecole polytechnique de juillet 2016 à juillet 2019.

Elle est titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr obtenu avec le grade de Master.

 


Une nouvelle sous-préfète pour la Politique de ville en Vaucluse

En 20 ans, la PME vauclusienne est passée de la cacahouète de comptoir à numéro 1 européen du vrac bio dans la grande distribution alimentaire. Le tout en développant son ADN éco-responsable ainsi que son ancrage territorial.

« Nous avons commencé il y a 20 ans avec des produits gras et sucrés vendus dans du plastique et aujourd’hui nous sommes le leader européen du vrac bio avec 0 plastique. » Quel chemin parcouru par Franck Bonfils qui, pour financer ses études à sciences-po il y a plus de 20 ans, faisait griller des cacahuètes dans le garage de ses parents à Gigondas. Il faisait alors le tour des bars pour remplir les distributeurs posés sur les comptoirs avant qu’une polémique nationale sur leur hygiène n’ait raison d’eux.

Une fois son diplôme en poche, celui qui aurait souhaité devenir journaliste commence à travailler dans la banque. Mais sans grande conviction. Cet amoureux du Comtat Venaissin a envie de revenir travailler chez lui. Cette histoire de cacahuètes lui revient à l’esprit. Alors avec la complicité de ses parents, il crée ‘Un Air d’ici’ en 2000, avec comme objectif de proposer à la grande distribution des cacahuètes de bistrots ’à l’ancienne’.

Dans ce marché où il doit faire face à des mastodontes de l’apéro, il se distingue alors en proposant un produit de professionnel au particulier. Les grandes marques mettent en sachet, il conditionne dans un seau réutilisable. Elle cache leur produit dans un emballage aluminisé, il montre ses cacahuètes dans un contenant transparent. Et cela marche.

Le spécialiste des fruits secs bio

Dans le même temps, ce développement s’accompagne d’une adaptation de l’outil de production. ‘Un Air d’ici’ quitte Gigondas en 2006 pour rejoindre Carpentras, en face de Lafarge dans la zone de Carpensud. Le site s’agrandit notamment de 600m2 en 2015 mais il n’est plus suffisant pour faire face à la croissance de l’entreprise vauclusienne.

Il faut dire qu’entretemps ‘Un Air d’ici’ s’est peu à peu positionnée comme spécialiste des fruits secs avant de s’orienter, en 2008, vers une production bio, toujours destinée à la grande distribution. C’est à ce moment-là que la société carpentrassienne mise sur le vrac via des meubles où les produits sont versés dans des trémies afin que les consommateurs puissent se servir de la quantité dont ils ont besoin dans des sachets kraft recyclables. Bien que le vrac représente désormais plus de 90% de l’activité, l’offre comprend également, en complément, une gamme en sachet pour la consommation ‘nomade’.

« Ma grande fierté, c’est d’avoir permis à des millions de personnes de consommer du bio sans être des clients des magasins spécialisés. »

« Quand je suis arrivé dans les magasins pour proposer du bio en vrac, il n’y avait que des problèmes, se souvient Franck Bonfils. J’ai dit laissez-moi juste 1 mètre de linéaire pour faire nos preuves. J’étais sûr que nous étions dans le vrai car nous sommes les seuls au monde à gérer de cette manière avec une maîtrise complète de la chaîne : à savoir une connaissance parfaite des filières sur place (méthode de culture, pas de pesticide, pas de travail des enfants…), un contrôle à 100% des produits que utilisons par notre service qualité ainsi que par un laboratoire indépendant – je fais confiance, mais je contrôle – , des produits transformés à 100% dans notre site de Carpentras ainsi que des conditionnements 100% compostables et biodégradables. A cela, s’ajoute des techniciens dédiés, formés aux règles d’hygiène et de sécurité alimentaire, pour le remplissage des trémies hermétiques, directement dans les magasins, ce qui fait que personne n’entre en contact avec les produits dans nos meubles. »

L’accélérateur ‘Juste bio’

Si tous les ingrédients sont là, il ne manque plus que le détonateur pour emballer la machine au niveau national. Cet accélérateur arrive en 2017 avec le lancement de la marque ‘Juste bio’ dont les meubles se trouvent dans plus de 6 000 points de vente en GMS maintenant. Le succès est tel que la nouvelle marque détrône ‘Un Air d’ici’ qui reste cependant le nom de la société. « Ma grande fierté, c’est d’avoir permis à des millions de personnes de consommer du bio sans être des clients des magasins spécialisés où ils n’ont pas l’habitude d’aller », se félicite Franck Bonfils.

Le pari n’était toutefois pas gagné lorsqu’il a fallu convaincre les banquiers de financer ses meubles et leur contenu que Franck Bonfils s’était engagé à reprendre à ses frais auprès des magasins. Finalement, c’est le Crédit agricole qui dit ‘banco’ pour financer la stratégie de la PME comtadine. Bien lui en a pris puisqu’aujourd’hui 25kg de produits ‘Juste bio’ sont vendus chaque minute, dont 5kg d’amandes qui constitue le produit phare de cette marque proposant plus de 140 références en vrac issues de l’agriculture biologique et certifiées bio (fruits secs, ‘snacking’, graines, céréales et petit-déjeuner, riz, pâtes, café…).

« 25kg de produits ‘Juste bio’ sont vendus chaque minute. »

Une stratégie récompensée par Ernst & Young dès 2018

Un positionnement salué en 2018 par le cabinet d’audit EY (Ernst & Young) dans la cadre de la 26e édition de son prix EY. L’entreprise carpentrassienne figurant alors parmi les 9 lauréats de la région Sud-Est en obtenant un prix dans la catégorie ‘Vision stratégique’

Et le succès est au rendez-vous de ce positionnement atypique qui se traduit aussi dans les résultats : 2M€ de chiffre d’affaires en 2005, 4M€ en 2008, 13M€ en 2016, 50M€ en 2017 et 78M€ en 2020 !

Cet essor s’accompagne alors immanquablement de nouveau besoin de production. ‘Juste bio’ décide donc de se doter d’un nouvel outil fidèle à son ADN éco-responsable : un site de 10 000m2, toujours à Carpentras, qui est la première usine agro-alimentaire zéro plastique d’Europe. « Nos services administratifs ont aménagé le 2 novembre dernier alors que le 2e confinement débuté, se remémore Franck Bonfils. Les équipes de production sont arrivées le 15 décembre. »

16M€ d’investissement

Avec cet investissement de 16M€ (9M€ pour le bâtiment et 7M€ pour les outils de production), le leader européen du vrac bio dispose également d’une usine à énergie positive dont la capacité de production est maintenant de 28 000 tonnes contre 7 000 tonnes pour l’ancien site qui sera conservé pour être loué. La PME gardant un attachement pour ce lieu qui l’a vu grandir.

La nouvelle usine comprend notamment un nouveau four permettant de produire en une journée l’équivalent d’une semaine de production sur l’ancien site. De quoi aussi permettre d’aromatiser directement ses produits à partir de produits bruts ou de continuer à les enrober, les griller ou les mélanger.

Dans la partie réfrigérée, des racks mobiles ont été installés pour réduire l’espace dédié au stockage. Résultat : 50% de place gagnée et d’importants gains énergétiques car il y a moins de volume à refroidir.

Mais ce déménagement a été aussi l’occasion de faire la chasse aux plastiques et autres déchets alors qu’avec le vrac c’est plus de 300 tonnes de plastiques qui ont pu déjà être économisé l’an dernier. Ainsi avec ces locaux flambant neufs ‘Juste bio’ permet dorénavant l’économie de 2 millions d’étiquettes grâce à un procédé de marquage laser remplaçant l’utilisation de solvant et des systèmes de jet d’encre.

« Grâce à ces méthodes nous allons aussi économiser 500km de ruban de transfert thermique ainsi que 2 000km de scotch. »

« Notre volonté, poursuit le patron vauclusien, c’est que notre site soit entièrement tourné vers la réduction des emballages polluants. »

« Notre volonté, poursuit le patron vauclusien, c’est que notre site soit entièrement tourné vers la réduction des emballages polluants. Pour cela, depuis 2019 nous avons notamment mis au point, avec une start-up israélienne, un emballage entièrement compostable et biodégradable. » Un conditionnement inédit d’origine végétale permettant de garantir une durée de vie de près de 1 an au produit emballé qui avait eu les honneurs de Brune Poirson, alors secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire lors d’une présentation il y a bientôt 2 ans.

« Ce procédé est en open-source. Il est donc utilisable par l’ensemble du secteur qui, pourtant, ne semble pas se précipiter pour l’utiliser » regrette Franck Bonfils.

Même désappointement concernant la mise en place de filières de production locales : « en matière d’approvisionnement nous essayons de faire toujours au plus proches. D’abord la France, puis nos voisins européens et ainsi de suite… »

S’approvisionnant dans une trentaine de pays, le patron de ‘Juste bio’ qui a appris à maîtriser ses craintes en avion, est un gros utilisateur d’amandes bio (1 200 tonnes par an provenant essentiellement d’Espagne et d’Italie). L’entreprise est donc prête à soutenir la mise en place d’une filière. Encore faut-il que les différents acteurs prennent en compte les exigences du secteur du bio.

« Je suis un fervent défenseur de l’emploi local. »

Autre grande fierté pour Franck Bonfils : créer de l’emploi local. « Je suis un fervent défenseur de l’emploi local car c’est nous les entrepreneurs qui créons des emplois et c’est nous qui créons des consommateurs sur nos territoires », explique celui qui ne comptait que 5 salariés en 2005 puis une trentaine à l’orée 2016/2017. Aujourd’hui, l’entreprise compte 130 salariés ainsi que 15 à 20 intérimaires supplémentaires. L’an dernier, cet acteur de l’emploi local a recruté 40 personnes et cherche à en embaucher 10 de plus actuellement (recrutement ici).

L’emploi, l’emploi et encore l’emploi semble être le leitmotiv de ce patron qui n’avait hésité, il y quelques années à supprimer toutes les cartes Total de ses commerciaux suite à l’annonce d’un plan de licenciement après des bénéfices records du pétrolier. « Nous avons pris nos cartes essence chez nos clients distributeurs », explique-t-il alors qu’il offre alors des vélos à ses salariés pour limiter les déplacements en voiture. Le bio ce n’est pas que dans les amandes c’est aussi dans la tête.

Et le Covid dans tout ça ?

« Lors du 1er confinement, on a fermé le vrac pour des raisons d’hygiène en apposant des messages anxiogènes dans les rayons alors que vrac ne présente pas plus de risque qu’un paquet de gâteaux mis en rayon par un opérateur. Je le répète, nos opérateurs versent les produits dans les trémies sans toucher les aliments. Ensuite, ce sont les consommateurs qui se servent sans jamais être en contact avec les produits stockés dans nos meubles. »

« Avec cette crise sanitaire, il y a un vrai retournement des consommateurs qui veulent plus de transparence et d’informations. Maintenant, ce que l’on raconte sur les entreprises intéresse le grand public. Dans le même temps, je suis convaincu qu’à long terme on ira à la réduction des emballages et que le secteur du vrac devrait exploser. »

En attendant, les projets ne manquent pas puisque ‘Juste bio’ va sortir en 2021 ‘Cocorico’ une gamme de produit français (noix, légumineuse…). Autre lancement, l’arrivée de la marque ‘Louis et P’tit Jules’, qui reprend le concept du vrac dans des meubles, pour être déclinée au sein de la GSS (Grande surface spécialisée). Déjà présent en Suisse, en Belgique, au Luxembourg et au Portugal, la ‘pépite’ vauclusienne envisage également d’étendre son offre à l’export.


Une nouvelle sous-préfète pour la Politique de ville en Vaucluse

Jean-Marc Behm, patron de Jour 8 Média & services, propose la visite de la synagogue de Carpentras depuis chez soi ! Et ça n’est pas tout : armé de sa caméra 3 D il ‘scanne’ patrimoine, maison, bureaux et commerces…

Caméra 3D, en main, Jean-Marc Behm scanne à 360° bâtiments, maisons et bureaux. Vous rêviez de visiter la synagogue de Carpentras ? C’est désormais possible, depuis votre fauteuil ! Grâce à la numérisation des presque 400m2 de la synagogue de Carpentras, la plus ancienne synagogue de France en activité se prête aux visites immersives.

La méthode

La caméra posée sur un trépied et pilotée au moyen d’une tablette tourne sur elle-même à 360° capturant avec une résolution époustouflante tout son environnement du sol au plafond et de haut en bas. En la déplaçant tous les mètres cinquante, dans toutes les pièces, le cameraman ‘capture’ un cheminement multidirectionnel. « Pour la synagogue compter tout de même 151 points de numérisation pour un assemblage de plusieurs milliers de photos haute définition et l’équivalent d’une visite de 3 étages pour 3h de travail », rappelle Jean-Marc Behm. Ainsi, l’on déambule dans la synagogue, visitant les salles, frôlant les deux fours à pain, descendant les escaliers de pierre qui débouchent sur l’eau claire des bains… 

Agrémenter la visite

L’internaute peut ainsi visiter, virtuellement, un lieu, s’arrêter, détailler, reprendre son cheminement dans un univers hyper-réaliste, le tout depuis son fauteuil. «L’important est d’habiller cette captation avec la réalité augmentée qui consiste, par exemple, à proposer des bulles explicatives, à incorporer des liens pour détailler ce que l’on voit avec du texte, des liens hyper-textes, des images, des vidéos… On peut, par exemple, imaginer inclure des personnages, des objets, faire des reconstitutions animées dans ce décor», s’enthousiasme Jean-Marc Behm.

Patrimoine, industrie, business

«Pour peu que l’on ait un peu d’imagination, cette technologie s’adresse à tous les secteurs d’activités: patrimoine, industrie, formation, e-commerce… On pourra numériser un magasin emplit de produits, cliquer sur ces derniers pour obtenir plus d’informations et indiquer un lien ‘ajouter au panier’ qui basculera sur le site de e-commerce. Le petit plus ? Fureter dans le magasin comme on le ferait physiquement !», sourit le chef d’entreprise.

Une ressource pour l’immobilier

« Si la technique parait révolutionnaire elle n’est pas très onéreuse, rassure le président d’Esa Games, d’ailleurs nous l’employons dans l’immobilier au profit de visites virtuelles de maisons et logements ce qui permet aux possibles acquéreurs d’évoluer virtuellement dans les biens proposés à la vente.»

La visite de la synagogue de Carpentras en 3D enrichie d’informations.

Une technologie inventive

« Cette technologie permet grâce à la numérisation de fournir en une captation des plans, des séries de photos, un film et des fichiers natifs sources pour des traitements informatiques spécifiques dédiés aux modélisations 3D. »

Dans le détail

La numérisation des espaces propose de créer des ‘jumeaux digitaux 3D’, immersifs ouvrant sur de larges possibilités comme planifier des travaux, estimer des biens, documenter des projets de rénovation et même de décoration, de planter des décors réalistes qui seront des sources inépuisables dans les scénarii de jeux vidéo ou films d’animation… L’important ? Imaginer tout ce que l’on peut faire et le faire !

La synagogue de Carpentras

La synagogue de Carpentras, plus ancienne synagogue française en activité, a été édifiée par les Juifs comtadins de Carpentras en 1367, en lieu et place d’une ancienne synagogue (sans doute construite avant 1322), lorsque l’évêque de Carpentras autorise sa reconstruction et dont il a fixé les dimensions car elle ne doit pas dépasser 10 m en longueur, 8 m en largeur et 8 m en hauteur.

Prise de vue de l’Intérieur de la synagogue de Carpentras réalisée par le procédé.

Organisation

En 1396 elle comprend déjà deux salles superposées, car la synagogue devait rester invisible dans le paysage urbain. L’accroissement du nombre de juifs a nécessité d’agrandir la synagogue en empiétant sur les rares espaces libres dans les maisons voisines. Les textes montrent qu’il y a eu plusieurs campagnes de restauration au XVIIe siècle. Des témoins de 1740 indiquent que deux tribunes avaient été faites « depuis un temps immémorial » au-dessus des maisons contiguës à la salle de prière et s’ouvraient par des arcades. L’aménagement de salles superposées correspond à la séparation entre hommes et femmes qui a perduré du XIIIe siècle jusqu’à la reconstruction du XVIIIe siècle. En 1730-1731, l’architecte Antoine d’Allemand est intervenu pour rénover la plus grande de ces tribunes. Mais dès 1741, la communauté engage de nouveaux travaux.

Agrandissement

Cet agrandissement est mené en deux étapes ; un premier chantier est mené par l’architecte Antoine d’Allemand entre 1741-1746. On connaît l’état de la synagogue en 1743 car à la demande de l’évêque de Carpentras, Joseph-Dominique d’Inguimbert, qui contestait les travaux, un plan a été dressé. Une seconde tranche de travaux, de 1774 à 1776, donne l’aspect actuel de la salle de prière du premier étage. Faute d’espace au sol, on a multiplié les tribunes. Le développement en hauteur est une solution fréquemment adoptée par les synagogues de la région comtadine qui comportent souvent deux salles de prière superposées, celle du bas réservée aux femmes, celle du haut aux hommes.

Art religieux

La décoration intérieure est un chef-d’œuvre de l’art religieux rococo du XVIIIe siècle avec ses ferronneries italianisantes. En 1793, la synagogue devient salle d’assemblée du club révolutionnaire local. Dès l’automne 1794, l’ensemble de son mobilier est déposé et vendu. Lorsque les juifs réintègrent leur temple en 1800, ils trouvent une salle de prières complètement nue. Il paraît très probable qu’une partie du décor ait pu être récupérée puis remontée dans le courant du XIXe siècle. Les boiseries destinées à recevoir les rouleaux de la Torah sont un don d’Abraham Alphandéry, daté de (5)567 (1807-1808) quand le culte a repris. Le système consistorial a rattaché les 343 fidèles de Carpentras à Marseille. En 1838, le Ministère accorde des crédits pour faire des travaux. En 1855, la communauté achète une partie d’une maison voisine pour établir une tribune à gauche, en face de celle de droite. En 1890, la mairie envisage de raser le quartier grâce à un don d’un industriel marseillais mais la communauté refuse.

Piscines liturgiques et boulangerie

La synagogue offre, outre des salles annexes témoignant du rituel juif (piscines liturgiques, boulangerie pour les pains azymes, salle de vie communautaire), une traditionnelle salle de prière de plan carré, couverte de boiseries présentant un décor de pilastres doriques supportant une frise de triglyphes et métopes. La façade actuelle date de 1909. Cette synagogue fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1924.

650e anniversaire

Le 650e anniversaire de la synagogue est célébré le 28 mai 2017 en présence du grand-rabbin de France Haïm Korsia et des représentants des cultes chrétiens et musulmans de Carpentras. La synagogue de Carpentras est un véritable lieu de vie communautaire. Outre la salle de prières, elle est dotée d’un mikvé (salle d’ablution rituelle pour les femmes) profond de dix mètres, d’une boulangerie destinée à cuire le pain de shabbat, alors que la cour intérieure servait à l’abattage rituel.

Cliquez sur l’image pour lancer la visite

Une nouvelle sous-préfète pour la Politique de ville en Vaucluse

Dans le cadre de l’édition 2022 du festival, ¡Viva Villa! lance un appel à candidatures pour une résidence curatoriale à destination des commissaires d’exposition francophones, sans limite d’âge ni critère de nationalité. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 25 janvier à 13h (Heure France métropolitaine).

La résidence curatoriale (Conservation et exposition des œuvres d’art) s’inscrit dans le cadre d’un programme d’accueil inédit entre les trois institutions organisatrices, l’Académie de France à Rome – Villa Médicis, la Casa de Velázquez à Madrid, la Villa Kujoyama à Kyoto, en collaboration avec la Collection Lambert en Avignon, partenaire associé de cette édition-pilote de la biennale des résidences d’artistes.

La ou le commissaire en résidence se verra confier le co-commissariat de l’édition 2022 du festival ¡Viva Villa! qui se tiendra à l’automne 2022 à la Collection Lambert à Avignon, conjointement avec le directeur artistique délégué de la Collection Lambert.

Pendant deux saisons culturelles, le ou la co-commissaire effectuera une série de séjours d’un mois à Rome, Madrid, Kyoto et Avignon afin de concevoir le projet curatorial avec les artistes, créateurs et chercheurs accueillis au sein des trois résidences d’artistes à l’étranger.

La ou le co-commissaire assurera la conception et la réalisation d’une exposition, le développement d’actions artistiques auprès des publics et le suivi éditorial du catalogue.

Appel à candidatures

Accéder au portail de candidatures

 


Une nouvelle sous-préfète pour la Politique de ville en Vaucluse

Boris Delécluse, le ‘Zébulon’ du business local, lance un boxer imprimé avec le plan de la ville d’Avignon. Le meilleur moyen de toujours retrouver son chemin dans la cité papes ou de situer, sans coup férir, la rue de la Ré.

« L’idée m’est venue après avoir vu un caleçon avec le plan des pistes de la station de Serre-Chevalier, explique Boris Delécluse. J’ai trouvé cela marrant et j’avais envie de transposer ce concept avec un plan de ville. » Ni une ni deux, le créateur du réseau Cap affaires (Confiance audace et partage) en 2015 (6 clubs aujourd’hui) ainsi que de l’espace de travail partagé Cap cowork situé aux Angles, met à profit le confinement pour faire avancer son projet. « Dans ce type de période on peut se contenter de se morfondre et de pleurer dans son coin, mais on peut aussi continuer à avancer et surtout essayer de prendre du plaisir à faire des choses et à s’amuser, insiste Boris Delécluse. Des gens qui ont des idées j’en connais plein, mais qui essaye de les réaliser il y en a beaucoup moins. »

«le made in chez nous»

L’entrepreneur c’est donc lancé dans l’aventure en imaginant un boxer fabriqué, par principe, en France, car il est important de défendre « le made in chez nous ». « Nous le proposons à 24,90€. C’est encore un peu cher pour un ‘truc’ que l’on porte sous ses vêtements, mais en même temps par rapport aux femmes les hommes consacrent des budgets largement inférieurs pour leurs sous-vêtements. Il y a donc un marché à faire évoluer. » Réalisation du plan, choix des couleurs et du fabricant… Création de la marque JMB pour ‘Just my boxer’, qui peut aussi dire ‘Just my balls’ s’amuse l’entrepreneur du Grand Avignon qui laisse aux anglicistes le soin de traduire.

1€ au profit de Sainte-Catherine

Proposé dans les tailles S, M, L, XL et XXL, ce boxer qui « donne du relief à votre ville » est pour l’instant uniquement disponible sur le site www.justmyboxer.fr. Un ‘bon plan’ que son créateur souhaite décliner ensuite avec d’autres villes ainsi que dans les boutiques souvenirs quand la fréquentation touristique pourra reprendre. « A défaut de gagner de l’argent, l’objectif est de développer un ‘business model’ », espère-t-il. Par ailleurs, pour chaque vente, 1€ sera reversé à l’institut Sainte-Catherine, établissement médical basé à Avignon spécialisé dans le dépistage et le traitement des tumeurs. Ces dons seront destinés à lutter contre les cancers masculins.


Une nouvelle sous-préfète pour la Politique de ville en Vaucluse

McCormick lance un rappel de 5 produits de la marque Ducros contenant des graines de sésame suite à la détection d’oxyde d’éthylène dépassant la limite réglementaire de l’Union Européenne (UE).

Alerte

Un fournisseur a alerté McCormick début janvier sur le niveau d’oxyde d’éthylène détecté dans un lot de graines de sésame, fourni à l’usine française Ducros fin 2019. En conséquence, l’entreprise en lien avec la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) a rappelé les lots :

Rappel des produits

McCormick a demandé aux détaillants de retirer des rayons des magasins et des centres de distribution les produits portant les numéros de lot concernés, d’informer les consommateurs par affichettes en magasin et de veiller à ce que les produits soient éliminés.

Un remboursement par bon

Pour le remboursement, les consommateurs sont invités à envoyer une photo du produit, présentant clairement le numéro de lot situé au dos de l’étiquette, à serviceconsoducros@fr.mccormick.com, ainsi que leurs coordonnées postales puis à jeter le produit. Un bon leur sera envoyé en retour.

Dans le détail

La présence de niveaux non conformes d’oxyde d’éthylène dans les graines de sésame importées d’Inde est un problème pour l’ensemble du secteur, notamment, au cours des six derniers mois, ce qui a suscité une vague de retrait / rappel sur le marché européen pendant cette période. Cela a conduit l’UE à publier une mise à jour de la réglementation le 22 octobre 2020, stipulant que toutes les graines de sésame entrant dans l’UE en provenance d’Inde devaient être testées pour l’oxyde d’éthylène et avoir une certification montrant l’absence d’ETO (moins de 0,05 mg / kg) avant de pouvoir être utilisées.


Une nouvelle sous-préfète pour la Politique de ville en Vaucluse

Alors qu’elles tendaient à baisser dans les pays de l’ Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) ces dix dernières années, les dépenses sociales vont inévitablement faire un bond en avant du fait de la pandémie de Covid-19. Comme le révèlent les dernières données publiées par l’Organisation de coopération économique, la France reste le pays riche le plus généreux pour ses prestations sociales.

Les dépenses sociales de l’Hexagone représentaient toujours 31 % du PIB national en 2019, un chiffre en légère baisse après le niveau record de 32 % atteint en 2015 et 2016. Ces dépenses couvrent l’ensemble des prestations sociales publiques : retraite, santé, famille, emploi. Et si la France n’est pas la plus dépensière dans chacune de ces catégories, elle reste parmi les pays les plus généreux pour chacune d’entre elle, ce qui explique sa première place au classement général.

Proche du niveau de l’Hexagone, on retrouve des pays nordiques comme la Finlande (29,1 % du PIB), mais aussi des pays voisins avec la Belgique (28,9 %) et l’Italie (28,2 %). La moyenne de l’OCDE se situe à 20 % et ce sont des pays comme l’Irlande (13,4 %), la Corée du Sud (12,2 %), la Turquie (12 %) ou encore le Mexique (7,5 %) qui figurent parmi les moins dépensiers de l’OCDE en rapport à leur PIB.

De Tristan Gaudiaut pour Statista  


Une nouvelle sous-préfète pour la Politique de ville en Vaucluse

Jean-Christophe Daudet, maire de Barbentane depuis le 17 mars 2018 fourmille d’idées et d’ambitions pour ce petit village perché de 4 127 âmes. Il souhaite un village vivant, préservé, sécure où il fait bon vivre à tout âge. A l’occasion des vœux, il donne sa feuille de route.

Organisation

Après avoir rendu hommage aux professionnels et bénévoles de la commune accompagnant les barbentanais en ces temps de crise sanitaire de la Covid-19, Jean-Christophe Daudet propose d’organiser les réunions de quartiers et les commissions extra-municipales par visio-conférences. L’élu a également insisté sur la restructuration des services en s’appuyant sur la formation, la qualification et la réduction de la masse salariale pour la 3e année consécutive.

Mutualisation

Concernant la restauration, le maire promeut les circuits courts pour fournir des repas de qualité à l’école des Moulins –où un nouveau chef a été embauché- en capacité également de fournir la Maison familiale et rurale (MFR), la crèche ‘Les péquélets’, ainsi que la distribution de repas à domicile par l’intermédiaire du CCAS (Centre communal d’action sociale). A ce propos, Jean-Christophe Daudet propose à l’Ehpad (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) de la Raphaëlle, la résidence autonomie de la Montagnette et l’école Notre Dame de le rejoindre dans sa démarche pour profiter de cette nouvelle organisation promesse de nouveaux flux sur l’économie locale.

Rénovation des installations sportives

Des rénovations sont intervenues l’an passé sur les installations sportives du tennis club, du judo club, de l’olympique Barbentanais et de la Boule de la montagnette, ainsi que sur les locaux non occupés des associations comme la salle de l’entraide solidarité 13, le hall d’entrée de la salle des fêtes et le City stade vient d’être livré.

Travaux

Au chapitre des travaux et de la mise en sécurité des habitants, des aménagements destinés à ralentir la vitesse des quartiers de la Ramière et de Réchaussier ont été réalisés. L’année en cours prévoit la réfection de la voirie et l’enfouissement des réseaux aériens du Bosquet, l’éclairage du stade du pigeonnier et la rénovation de l’éclairage public route d’Avignon et route de la gare. Des études sont en cours pour la rénovation de l’Hôtel de ville et de l’église Notre dame des grâces pour la toiture et les facades. La commune va également se porter acquéreur de l’ancien Hôtel Dieu qui retrouvera une utilisation publique comme l’éventuel transfert de la médiathèque, une salle d’exposition, un lieu d’accueil pour les associations et du logement.

Energie & environnement

Un parc photovoltaïque sera installé sur le site de l’ancienne déchetterie. Au chapitre de l’environnement les bâtiments communaux tels que la salle des fêtes, le groupe scolaire, la médiathèque vont être diagnostiqués pour évaluer leur performance énergétique. Enfin 4 à 5 aires de collecte de compost seront mises en place dans le village.

Un espace loisir revu

L’espace de loisirs qui se situe entre la tour Anglica et le cimetière va être revu pour accueillir un espace sportif comprenant un parcours de santé et des jeux pour les enfants qui seront, d’ailleurs, consultés sur cet aménagement.

Villes et villages étoilés & Patrimoine remarquable

L’équipe municipale élabore le dossier d’inscription de Barbentane aux ‘Villes et villages étoilés’ en réduisant la pollution lumineuse de l’éclairage public afin de préserver la bio-diversité et instruit le dossier d’inscription du village au Site patrimonial remarquable auprès du Ministère de la culture et avec l’aide de l’architecte des Bâtiments de France. Cela permettrait, notamment, aux propriétaires des habitations concernées par le périmètre, de bénéficier d’aides pour réaliser leurs travaux et également défiscaliser.

Sécurité

Le Plan communal de sauvegarde est en cours de modernisation prévoyant un système d’alerte téléphonique pour les personnes dont les habitations se situent en zone inondable. Par ailleurs, un nouveau responsable de service de la police municipal est arrivé et le système de vidéo protection va continuer à s’étendre. Deux dispositifs ‘Voisins vigilants’ et le renforcement de la police de l’environnement vont être mis en place. Les radars connectés aux feux de circulation route de la gare et d’Avignon ont permis de réduire la vitesse des véhicule en entrées de ville. Concernant la protection de l’environnement, des campagnes de communication seront lancées sur le tri sélectif et les dépôts sauvages auprès des particuliers. Quant aux entreprises indélicates se prêtant aux dépôts sauvages, sept procès-verbaux de contravention ont été dressés et adressés au procureur de la République. L’amende pour dépôt sauvage est de 1 500€.

Connexion et tourisme

Le site Internet de la Ville sera revu ainsi que son ergonomie et l’inclusion numérique mise en place afin d’accompagner les personnes qui le souhaitent à appréhender les nouvelles technologies. A ce propos, la fibre optique sera déployée, cette année, sur le village.

Le maire a d’ailleurs insisté : «C’est un atout de plus pour notre attractivité économique et également le développement du tourisme, car au terme de 3 ans de communication l’année 2020 a représenté un bon cru pour la fréquentation touristique et ce malgré la Covid-19. Désormais les touristes rechercheront plutôt des sites péri-ruraux et à visage humain comme Barbentane peut leur réserver.»

Paris-Nice

En mars 2019, le village avait accueilli le contre la montre individuel de la 77e édition de la course cycliste Paris-Nice, s’offrant pour l’occasion un joli coup de pub. Son nom, cité plus d’une centaine de fois lors de la retransmission télévisée de l’étape de 25,5 km, lui avait offert une vraie visibilité sur France télévisions ainsi que dans 190 pays via 28 autres chaînes diffusant la compétition. Côté promotion du territoire, Terre de Provence n’a pas fait les choses à moitié puisque le jour même de l’étape, l’agglomération s’affichait sur 500 panneaux du métro parisien afin d’inviter à découvrir les 13 communes membres situées à 2h40 de TGV de la capitale.

Enseignement

Lors de l’ouverture du lycée de Châteaurenard pour la rentrée scolaire 2019/2020, Jean-Christophe Daudet, avait sollicité le recteur de l’Académie d’Aix-Marseille et obtenu que sa commune puisse bénéficier de la double sectorisation. En effet, l’établissement scolaire bucco-rhodanien se trouve plus éloigné de Barbentane que certains lycées de la Cité des papes. Afin d’éviter un rallongement des temps de trajet, le recteur d’académie a donné son accord. Les familles barbentanaises sont donc désormais libres de choisir l’une des deux affectations (lycée d’Avignon ou lycée de Châteaurenard) dans la formulation de leurs vœux d’affectation.

Economie

Jean-Christophe Daudet et son équipe souhaitent favoriser la venue d’entreprises, de start-ups de professionnels travaillant en co-working autour du Bastidon et ont demandé à Terre de Provence agglomération d’inclure en ‘Zone stratégique de développement économique’ les terrains situés autour de la gare. L’équipe municipale réclame par ailleurs la réouverture de la gare voyageurs : «Enserrés dans le bassin de vie d’Avignon, il n’est pas normal que les collectivités publiques des deux rives du Rhône et de la Durance ne travaillent pas de concert afin d’améliorer les liaisons douces et de transports publics entre le Gard, le Vaucluse et les Bouches du Rhône.

C’est tout le sens de l’appel que j’ai lancé auprès de M. Renaud Muselier, Président de notre région Sud à travers une lettre que j’ai rendue publique.» La mairie travaille sur le projet d’un marché de producteurs locaux.

Remembrement des terres agricoles avec la Safer

La Mairie avec la Safer (Société d’aménagement foncier et d’établissement rural) mène une politique de remembrement foncier et d’aide à l’accueil de nouveaux exploitants. «Cette année, deux jeunes trentenaires vont exploiter et commencer à cultiver des terres mises à disposition par la commune en plaine, aux côtés des 23 exploitants cultivant plus de 580 hectares de terres agricoles sur le village.» L’équipe municipale s’interroge également sur la valorisation agricole de parcelles dont elle est propriétaire sur la Montagnette. « La production (Ndlr : maraichère et arboricole) fournirait le marché des producteurs locaux, les cantines tout en sculptant le paysage du village.»

Deux ombres au tableau

«Le Préfet des Bouches du Rhône a publié un arrêté le 25 décembre 2020 prononçant la carence au motif que nous n’avons pas réalisé suffisamment de logements sociaux, s’émeut Jean-Christophe Daudet. Il a également déposé un recours devant le tribunal administratif de Marseille contre l’approbation de notre PLU (Plan local d’urbanisme) au prétexte que nous ne prévoyons pas d’en construire autant que l’Etat nous le demande. Cela signifie que la pénalité que la commune versait à l’Etat pour déficit de logements sociaux va quasiment doubler cette année -passant de 65 000€ à 120 000€- et que la commune va perdre son droit de préemption.»

La Métropole Aix-Marseille

«L’autre ombre est la fusion entre le département des Bouches-du-Rhône et la Métropole Aix-Marseille-Provence, souligne le maire. La majorité présidentielle et la majorité départementale actuelles ont tout intérêt à ne plus en parler à quelques mois des élections départementales et présidentielles mais le dossier reviendra sur la table.»

Barbentane

Barbentane occupe une superficie de 2 713 hectares, dont la moitié environ pour la Montagnette. Le massif total de la celle-ci couvre 6 000 hectares. Ce sont dans ces collines, largement cultivées aux siècles passés et maintenant intensément boisées, que poussent les champignons dit ‘rosés de Barbentane’. Le village appartient à la Communauté d’agglomération Terre de Provence et occupe la 15e circonscription des Bouches-du-Rhône. Elle a possédé une gare de 1887 jusque dans les années 1960. Les villes limitrophes sont Les Angles (30), Aramon (30), Rognonas (13), Avignon (84), Graveson (13), Boulbon (13) et Tarascon (13).

 


Une nouvelle sous-préfète pour la Politique de ville en Vaucluse

La cellule Seniors de la Ville d’Avignon va informer et orienter les publics dans le cadre de la vaccination mise en place par l’État. Dans un premier temps, elle va contacter par téléphone dès cette semaine les seniors de 75 ans et plus qui sont considérés comme public prioritaire pour la vaccination. La cellule va également répondre aux personnes désireuses d’en savoir plus sur la vaccination, notamment les personnes malades considérées comme à haut risque. Elle suivra dans leurs démarches ces personnes âgées souvent peu habituées à utiliser l’informatique et les inscriptions en ligne. Pour ce faire, la cellule renforce ses équipes avec 4 agents supplémentaires en fonction des besoins (soit 10 agents en charge de passer les appels et de les recevoir et 2 agents en charge du suivi et de la gestion administrative).

Les seniors peuvent contacter la cellule Seniors par mail (seniors@mairie-avignon.com) ou via le numéro vert accessible de 9h à 18h en continu, du lundi au vendredi : 04 13 60 51 46.

https://www.echodumardi.com/page/1198/   1/1