4 juillet 2025 |

Ecrit par le 4 juillet 2025

La dette des entreprises françaises au plus haut

La dette des entreprises françaises, déjà parmi les plus élevées au monde, continue de s’aggraver et devrait atteindre un nouveau record cette année avec le contexte de récession causé par la crise du Covid-19. D’après les dernières données de la Banque des règlements internationaux (BRI), au premier trimestre 2020, l’endettement brut des entreprises françaises (hors secteur financier) atteignait déjà plus de 155 % du PIB, en progression de 18 points de pourcentage sur les cinq dernières années. En comparaison, l’endettement des entreprises espagnoles, britanniques et allemandes se situait respectivement à hauteur de 94 %, 78 % et 60 % du PIB.

Ce niveau élevé de dette en France résulte en grande partie des taux d’intérêt très bas des prêts accordés aux sociétés non financières ces dernières années. Avec la situation économique actuelle et l’octroi massif des prêts garantis par l’Etat, le gonflement de la dette des entreprises est inéluctable et fait craindre des risques pour les banques commerciales et l’ensemble du système financier français.

Comme le montre le graphique de Statista, l’endettement des entreprises est également particulièrement élevé en Chine (159 % du PIB), au Canada (119 %) et au Japon (105 %). Le niveau de dettes dans le secteur privé est en revanche beaucoup plus faible dans les économies émergentes telles que l’Inde ou le Brésil, où il se situe sous le seuil des 50 % du PIB.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


La dette des entreprises françaises au plus haut

Le sujet du mois vu par les éditions Tissot : avec la 2e vague de Covid-19 et le nouveau confinement national, la question du télétravail est plus que jamais présente. A l’heure actuelle, le recours au télétravail est-il devenu obligatoire pour l’employeur ? Et côté salariés, un refus est-il envisageable ? Le protocole national a été remis à jour au 29 octobre 2020 et nous éclaire sur le sujet.

Refus du télétravail : côté employeur

On savait déjà que sa mise en œuvre peut s’imposer en cas de circonstances exceptionnelles pour garantir la protection des salariés, ou sur recommandation expresse des autorités en raison du contexte sanitaire ou encore du fait d’une situation de vulnérabilité attestée médicalement.

Mercredi soir 28 octobre, le Président de la République avait annoncé que le télétravail allait être généralisé partout où cela est possible. Jean Castex a, lui, précisé à l’Assemblée nationale le lendemain matin que toutes les fonctions qui peuvent être télétravaillées doivent l’être 5 jours sur 5.

Aujourd’hui, le protocole national indique que, dans les circonstances actuelles, il doit être la règle pour l’ensemble des activités qui le permettent. Le temps de travail en télétravail est de 100 % pour les salariés qui peuvent effectuer l’ensemble de leurs tâches à distance. Dans les autres cas, il faut réduire les interactions sociales notamment en aménageant le temps de présence. L’employeur doit ainsi organiser systématiquement un lissage des horaires de départ et d’arrivée des salariés afin de limiter l’affluence aux heures de pointe.

Avec la seconde vague de Covid-19, le télétravail apparait aujourd’hui comme un sujet incontournable.

Le ministère du Travail précise que le télétravail peut faire l’objet d’un accord d’entreprise, d’une charte ou d’un simple accord entre salarié-employeur. Le protocole indique également que l’employeur doit, dans le cadre du dialogue social de proximité, veiller au maintien des liens collectifs et à prévenir les risques liés à l’isolement des salariés en télétravail.

Rappelons toutefois que le protocole national, qui contient un ensemble de recommandations, n’a pas de force contraignante même s’il parait difficile, dans le contexte actuel, de ne pas le suivre.

En effet, un syndicat avait récemment demandé la suspension de l’exécution de ce protocole national, notamment sur le fait qu’il pose le principe du port du masque systématique en entreprise dans les lieux collectifs clos. Mais, le 19 octobre, le Conseil d’Etat a considéré qu’en l’état actuel des connaissances scientifiques, le port du masque systématisé dans les espaces clos, combiné notamment au respect des gestes barrières, était justifié. Pour le Conseil d’Etat, le protocole sanitaire est un ensemble de recommandations pour la déclinaison matérielle de l’obligation de sécurité de l’employeur. Il n’a pas de force contraignante. Et sa suspension éventuelle n’aurait donc aucune incidence sur les obligations en matière de santé et sécurité.

Ainsi, en cas de refus du télétravail, le risque principal pour l’employeur est de voir sa responsabilité engagée au titre de l’obligation de sécurité s’il n’a pas pris suffisamment de mesures pour protéger la santé de ses salariés.

Refus du télétravail : côté salarié

Face à la pandémie, la mise en œuvre du télétravail peut être considérée comme un aménagement du poste de travail rendu nécessaire pour permettre la continuité de l’activité de l’entreprise et garantir la protection des salariés (Code du travail, art. L.1222-11).

Dans ce cadre, le salarié ne peut pas refuser le télétravail et n’a pas d’avenant à son contrat de travail à signer.

A noter : les salariés en télétravail conservent leurs droits notamment concernant les titres restaurant, sous certaines conditions, ou les temps de pause.

Conseil d’État, 19 octobre 2020, n° 444809 (le protocole national est un ensemble de recommandations sur la mise en œuvre pratique de l’obligation de sécurité de l’employeur) Questions-réponses du ministère du Travail sur le télétravail, mis à jour le 22 octobre 2020. Protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de Covid-19 (29 octobre 2020)

Anne-Lise Castell

Juriste en droit social et rédactrice au sein des Editions Tissot

Pour RésoHebdoEco / www.reso-hebdo-eco.com

Anne-Lise Castell

La dette des entreprises françaises au plus haut

 

Courant octobre, l’aéroport d’Avignon a inauguré un hangar d’un nouveau genre. Permettant d’accueillir jusqu’à 12 avions de tourisme, le bâtiment de 1 200 m², baptisé H20 et conçu par la société de maîtrise d’œuvre ‘Eco&Design’, comprend deux plateaux tournants permettant de positionner facilement chaque avion face au tarmac sans aucune manœuvre. Disposant également d’une grande porte motorisée, de sanitaires, d’un parking extérieur et d’un accès Wifi nécessaires pour la préparation des plans de vols et le suivi de la météo en temps réel, le hangar H20, qui accueille aujourd’hui ses premiers locataires, se dévoile en vidéo ci-dessous à l’occasion de son inauguration.

 


La dette des entreprises françaises au plus haut

Auxiliaires de vie, assistants ménagers, gardes d’enfants, personnel administratif… L’Apef, société spécialisée dans les services à la personne, ouvre 40 postes en CDI temps plein à pourvoir en Paca et dans le Vaucluse notamment.

Née en 1992 du côté de Montpellier, l’Apef est une entreprise de services à la personne qui recrute toute l’année dans ses 90 agences de France. En raison d’un accroissement de la demande, notamment dû au confinement, la société propose en région Paca 40 postes tous métiers confondus : assistants ménagers, auxiliaires de vie, jardiniers ou encore personnel administratif. Affiliée au réseau national certifié NF Service (Afnor, Association française de normalisation), l’Apef a pour objectif de simplifier les démarches administratives et humaines de ses bénéficiaires.

Pour postuler : www.apefrecrute.fr


La dette des entreprises françaises au plus haut

Dans le cadre de sa newsletter hebdomadaire visant à informer les Avignonnais sur l’évolution des conditions sanitaires, la maire d’Avignon Cécile Helle fait le point dans une vidéo où elle revient notamment sur l’état de la situation à l’hôpital d’Avignon et l’ouverture des commerces de proximité.


La dette des entreprises françaises au plus haut

Le Domaine de Manville a inauguré son centre de formation aux métiers de l’hôtellerie afin de pallier le manque de personnel qualifié. Objectif ? Former des personnes éloignées de l’emploi pour, ensuite, les recruter dans l’hôtellerie-restauration qui peine à embaucher du personnel qualifié et à le fidéliser. Son originalité ? Recruter localement et pérenniser les emplois tout en assurant une formation rapide liée à un poste à pourvoir.

Manville formation
Manville formation est un centre de formation aux métiers de l’hôtellerie financé conjointement par le Domaine de Manville et Pôle emploi proposant un cursus théorique de plusieurs semaines délivré par des professeurs d’école hôtelière et des professionnels du Domaine. Ce temps d’apprentissage est suivi d’un contrat à durée déterminée de plusieurs mois dans l’établissement de luxe. La formation s’adresse volontairement à des publics en difficulté : primo-arrivants sur le sol français, mères isolées et jeunes adultes en situation de décrochage scolaire. Objectif ? Créer, en local, un vivier de compétences répondant aux besoins en personnel des établissements hôteliers des Alpilles et d’Arles, les structures communiquant régulièrement entre elles et faisant face aux mêmes problématiques.

La 1re promotion
C’est ainsi que la 1re promotion a reçu son attestation de formation début septembre. Ainsi, sur 12 élèves 9 sont allés au terme de la formation et effectuent à l’heure actuelle leur contrat à durée déterminée au poste proposé. Des exemples ? Hadayatullah, Afghan de 33 ans a été pris en charge à son arrivée en France par l’association Entraide Pierre Valdo. Il est devenu ‘Butler’ –majordome- attaché au service des maisons du Domaine. Son rôle ? Interagir avec tous les services proposés par l’établissement comme la blanchisserie, la gestion des animaux, le voiturier ou encore le chef de cuisine. Il est en mesure de répondre ou même d’anticiper toutes les demandes de la clientèle et d’y répondre efficacement. Son profil ? Rigueur, courtoisie, empathie, discrétion, et capable de gérer les situations complexes. Alexy cherchait sa voie. Il est devenu commis de salle au restaurant étoilé Michelin l’Aupiho du Domaine. Il participe, sous la direction d’un chef de rang, à la mise en place du service, au dressage des tables, au nettoyage des sols et à divers travaux de préparation. Isil est une maman isolée de 36 ans. Elle a été dirigée vers Manville formation par l’association de réinsertion Amidon 84 qui vient en aide aux femmes en situation de précarité en les formant au repassage du linge apporté par les particuliers. Elle a intégré l’équipe des femmes de chambre de l’établissement.

Ils ont dit

Massimiliano Bigoni, Formateur des métiers de la salle, sommellerie et savoir-être
«Nous venons d’achever notre 1re formation conjuguant 10 semaines théoriques et 6 mois de pratique en contrat à durée déterminée selon un dispositif Pôle emploi financé par l’Etat du nom d’AFPR : action de formation préalable au recrutement. Ensemble, avec Yann (Ndlr : Yann Pavie, coordinateur de la formation), nous avons développé des fiches pédagogiques de travail en salle. Pour l’occasion, nous avons conçu un enseignement en tronc commun avec le personnel d’étage (Ndlr : qui a en charge le nettoyage et la mise en ordre des chambres, des parties communes de l’établissement hôtelier, éventuellement le service du petit-déjeuner, l’entretien du linge et qui contribue à la qualité de l’accueil et du séjour de la clientèle). Moi-même, issu du métier, je me suis lancé dans la formation il y a 4 ans, me penchant particulièrement sur le volet des ressources humaines. Cette 1re cession a réclamé une formation de formateurs concoctée pour chaque responsable de service, ainsi la gouvernante d’étage a elle-même formé de façon théorique puis pratique les candidates au métier de femmes de chambre.»

Yann Pavie, Coordinateur de la formation
«Nous sommes un organisme externe qui a monté, au sein du Domaine de Manville, cette formation qualifiante de façon à permettre un accès immédiat au métier. Ma mission ? Concevoir et organiser sur les volets administratif, technique et pédagogique. Pour cela, j’ai recruté des professionnels experts dans leur métier. Le concept ? Des gens du métier qui forment au métier. Les formateurs sont, pour la plupart, des collaborateurs du Domaine. Les candidats ? Nous sommes allés les chercher en privilégiant des partenariats avec des associations, Pôle emploi, recrutant les profils qui nous paraissaient les plus motivés et intéressés par nos propositions de postes, avec une majorité de femmes dans le housekeeping, l’entretien des chambres et des étages.»

«L’idée ? Transmettre aux candidats des compétences haut de gamme qui pourront leur servir durant tout leur parcours professionnel. Je suis moi-même enseignant en collège et lycée professionnels en hôtellerie et restauration. Cette 1re formation a été un succès puisque toutes les personnes l’ayant suivie, en dehors de 3 abandons, ont été embauchées. 5 femmes de chambre ont signé un CDI, un majordome pour les maisons hôtelières et un commis chef de salle qui passera demi-chef de rang en restaurant gastronomique.»

Jérémie Picot, Directeur du Domaine de Manville
«Ce qui est intéressant ? Les candidats à la formation sont âgés de 19 ans à 45 ans. Leur parcours de vie est étonnant. Ils viennent d’Afghanistan, de République Dominicaine, du Maroc, de Turquie posant leur valise dans le Grand Avignon et faisant face, parfois, à des situations complexes voire difficiles. Aujourd’hui, ils sont la fierté du Domaine car nous avons su créer des vocations. Ils accèdent à un métier où d’habitude il faut des années de pratique, particulièrement dans un établissement comme celui-ci, avant de pourvoir y accéder.»

«Nous avons créé une formation ‘Femme de chambre’ inexistante en France. L’originalité de notre démarche ? Alors que les métiers de l’hôtellerie restauration s’apprennent dans de grandes écoles en France et à l’étranger et se font, souvent, hors territoire, nous avons choisi, à l’inverse, de concocter une formation rapide liée à un emploi dans le secteur du luxe, avec des personnes du territoire. En les mettant à l’honneur nous reconnaissons leur combat pour en arriver là.»

Actualité
«En janvier 2020 nous avions un début d’année prometteur avec des séminaires et des mariages. Nous voulions atteindre, sur l’ensemble de l’activité qui comprend le golf, le Spa, l’hébergement et la restauration, les 10M€ de chiffre d’affaires, contre 9 l’année dernière, mais nous ne les atteindrons pas et essuierons d’importantes pertes. La Covid 19 a fortement impacté le secteur. Nous avons utilisé le temps du confinement pour faire des travaux, comme la réalisation d’un practice de golf avec la plantation de 80 oliviers ouvert à la mi-septembre ; la conception et l’exploitation sur 1,5 hectare d’une ferme agro-écologique en permaculture (Ndlr : diversité des cultures). Nous possédons une trentaine de ruches et accueilleront bientôt une quinzaine de poules.» Le Domaine est actuellement fermé en raison du confinement du mois de novembre.

Bientôt
«Bref, la période de confinement nous a permis de nous remettre à jour et de rouvrir sereinement le 12 juin avec les gestes barrière conciliant vigilance de la clientèle, qualité de service et respect des règles en vigueur. La saison estivale a tenu ses promesses, bien au-delà de nos espérances avec un taux d’occupation des maisons de 92%. Nous sommes inquiets car notre clientèle est en majorité constituée d’Américains, de Belges, de Suisses et d’Anglais. Notre activité séminaire se révèle également compliquée car les agences étrangères avec lesquelles nous travaillions sont en stand-by. La clientèle locale et régionale jusqu’à Montpellier, Nîmes, Marseille, Avignon reste présente, en hébergement, le week-end. Une piste à explorer ? Les Tours operators de golf qui, ne pouvant pas proposer à leurs clients des destinations étrangères très connues pour leurs parcours : Maroc, Espagne, Portugal, Ile Maurice, peuvent proposer ceux de Provence. Economiquement l’année 2020 aura été très compliquée, heureusement 2019 avait été une excellente année. Nous sommes obligés de travailler différemment, avec un personnel de plus en plus polyvalent et moins de saisonniers. En 2021 nous nous lancerons dans l’agroforesterie en créant une forêt où légumes et fruits pousseront à l’ombre des frondaisons. Nous pensons également à un bassin de rétention d’eau pour irriguer les différentes plantations et cultures.»

La démarche RSE
«Entre le centre de formation, la permaculture, le tri-sélectif engagé dans tous les services et activité du Domaine de Manville, l’acquisition d’un composteur, l’organisation d’un cycle de conférence ‘Les rencontres de Manville’ orienté sur les démarches environnementales avec des orateurs reconnus pour leur vision novatrice dans le domaine écologique, le domaine de Manville est sensible et participe activement à la Responsabilité sociétale, sociale et environnementale de l’entreprise. En ce moment nous travaillons sur le remplacement des 20 000 bouteilles en plastique, que nous consommons chaque année pour nos clients, par des récipients compostables, en partenariat avec la Fondation environnementale Relais vert située à Carpentras et la société ‘Tetra pack’ d’emballage carton alimentaire. Le but de cet accompagnement ? Qu’au lieu de trier nos déchets, demain nous en produisions moins.»

Patrick Saut, Propriétaire du Domaine de Manville
«L’homme est au centre du jeu et de sa motivation dépend la réussite et le bon fonctionnement de toute structure. Le résultat d’une entreprise ne se décrète pas par mail ni note de service mais est la conséquence d’un état d’esprit, de la motivation des équipes, d’un respect mutuel, d’un label qualité et d’une bienveillance commerciale. Nous revendiquons ces valeurs fortes d’engagement sur le plan social et environnemental et c’est sur ces bases qu’a été créé Manville formation car la période complexe et anxiogène que nous vivons avec ce virus ne doit pas nous éloigner de nos fondamentaux. L’hôtellerie de luxe peine à recruter des profils adaptés et son personnel est souvent déraciné et itinérant. Manville formation intervient ici pour une formation courte afin que les personnes formées acquièrent rapidement des standards, codes et techniques de l’hôtellerie de luxe afin de répondre aux besoins des structures hôtelières. Nous souhaitons multiplier ces formations en nous rapprochant des agences d’intérim afin de répondre aux besoins ponctuels ou saisonniers de la région imaginant, ainsi, occuper à 80% voire à plein temps les personnes formées et ancrées sur le territoire. Nous croyons en l’avenir de la profession, de la région et de nos métiers. L’entreprise vivra l’avenir qu’elle se construira sinon elle subira l’avenir qu’elle méritera.»

Domaine de Manville
Situé aux Baux de Provence,  à proximité du Luberon, le Domaine de Manville fut, depuis 1908, consacré à l’agriculture. Bergerie et dépendances dessinent encore l’usage premier de la propriété. La reconversion architecturale du domaine a été commandée par ses nouveaux propriétaires : Edith et Patrick Saut. La transformation du lieu et de son environnement a été réalisée, dès 2014, par Mireille Pellen, architecte du Patrimoine en collaboration avec les paysagistes de PEP’S (pour les aménagements extérieurs) et Annie Zéau (pour la décoration intérieure) permettant de restaurer et d’étendre l’ensemble bâti en un hôtel 5 étoiles. Le domaine s’épanouit dans un écrin de 100 hectares d’une nature très présente avec un potager, un verger, une oliveraie, des ruches, des vignes et, plus récemment, une ferme !

Dans le détail
Le Domaine de Manville s’articule autour d’un hôtel 5 étoiles de 30 chambres et suites. Le Restaurant a obtenu 1 étoile au Michelin. Sont également proposés : un bistrot, un salon de thé, une verrière, 9 Maisons hôtelières de luxe, 2 piscines extérieures, 2 salles de séminaires, 1 salle de réunion de 90m2,  un Spa avec piscine intérieure, jacuzzi, hammam, sauna, une tisanerie, une salle de fitness, une autre de repos, et enfin, un parcours de golf 18 trous éco-responsable.

04 90 54 40 20 www.domainedemanville.fr


La dette des entreprises françaises au plus haut

En raison des contraintes sanitaires et sécuritaires actuelles, la Ville de Carpentras a décidé de reporter l’ouverture du marché aux truffes d’hiver, initialement programmée le 20 novembre prochain, au vendredi 4 décembre.


La dette des entreprises françaises au plus haut

Enedis souhaite valoriser la créativité des start-up et PME en organisant un concours dont l’objectif est d’accompagner le développement de solutions innovantes et d’anticiper les grands enjeux de la transition écologique.

Le concours start-up 2020 porte sur 5 catégories s’inscrivant dans les lignes directrices du ‘Projet Industriel et Humain Enedis 2020-2025’ : ‘Performance industrielle’, ‘Objectif 0 accident grave ou Mortel’, ‘Techniciens 3.0’, ‘Révolution de la confiance’ et ‘Partenaire clé des territoires’. Les projets soutenus sont co-construits entre les start-ups ou PME et les experts régionaux d’Enedis.

Après quelques mois d’interruption dus à la crise sanitaire, il est de nouveau possible de candidater jusqu’au 30 novembre 2020 sur www.enedis.fr/concours-start-2020. Une fois les candidatures déposées, les start-ups et PME feront l’objet d’une pré-sélection par les équipes d’Enedis au regard des priorités locales de chaque région. Les entreprises seront ensuite conviées à construire leur projet en milieu industriel en bénéficiant de l’appui des experts métiers d’Enedis.

Nouveauté de cette 4 e édition, la Cérémonie de remise des prix se tiendra durant le Forum d’Enedis, entièrement dédié à l’innovation. Les entreprises finalistes seront invitées à pitcher leur projet lors de la journée du 7 avril 2021, à l’issue de laquelle les lauréats seront récompensés. En 2019, 12 entreprises ont été récompensées parmi 350 candidates et ce sont 500 000 € qui ont été investis dans les projets lauréats.


La dette des entreprises françaises au plus haut

Frédéric Corset, architecte DPLG et urbaniste vient d’être nommé à la direction générale d’EnvirobatBDM après en avoir été le directeur adjoint pendant 1 an. De 2010 à 2014, il a dirigé la ‘Fabrique du Territoire’ à Charleville-Mézières exprimant sa sensibilité à la construction durable et menant à leur réalisation des projets d’écoquartiers, des réflexions sur des pôles d’échanges multimodaux et des études, notamment sur la reconversion de friches industrielles.

Convention avec la Dréal
EnvirobatBDM vient de signer une convention avec la Dréal Paca (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement) pour accélérer la fabrication de la ville durable, sobre, agréable, désirable et résiliente ; de booster la démarche écoquartier en permettant aux acteurs locaux de l’aménagement et du réseau Quartiers durables méditerranéens (QDM) de travailler ensemble, en cohérence avec les politiques publiques, au service des projets, pour répondre, notamment, aux enjeux du confort d’été et de la transition écologique. La Dreal et EnvirobatBDM entérinent ainsi leur participation mutuelle aux commissions régionales Écoquartier et démarche QDM, communiquant, ensemble, auprès des collectivités et des professionnels de l’aménagement.

Un outil à l’échelle du quartier
«Les maîtres d’ouvrage, les architectes et les bureaux d’études peuvent se rapprocher d’EnvirobatBDM pour accéder des outils faisant progresser les projets vers une ambition environnementale plus forte, souligne Frédéric Corset. QDM est l’exemple d’un outil collaboratif efficace faisant avancer la qualité environnementale des lieux de vie à l’échelle d’un quartier. Cette démarche est complémentaire des objectifs définis par le label ÉcoQuartier au niveau national.»

EnvirobatBDM
Envirobatbdm est une association Loi de 1901, créée en 2003, rassemblant des professionnels de la construction, de la réhabilitation  et de l’aménagement durables. Elle est particulièrement développée en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ses valeurs ? Une approche constructive et pragmatique, faire montre d’exigence avec les projets, bienveillance avec l’homme et partage. Le groupement a créé le label BDM Bâtiments durables méditerranéens qu’ont obtenu 500 bâtiments et compte 300 structures membres.

Des services à destination de …
Le collectif  propose ses services aux collectivités, bailleurs, promoteurs, architectes, bureaux d’études et entreprises de réalisation pour optimiser leurs projets durables dans un contexte méditerranéen. Chaque interlocuteur bénéficie d’une expertise technique et humaine pour réaliser des bâtiments d’une grande qualité durable.

Le bureau
Le bureau est composé de : Stéphane Bouquet,  Nexity, promoteur immobilier, co-président en charge de la Communication, marketing et des partenariats ; d’Hervé Carloz, Ecogia, entreprise de réalisation, co-président en charge des adhérents et des fournisseurs de solution ; de Sébastien Giorgis, architecte DPLG, urbaniste SFU paysagiste FFP, co-Président en charge des Relations Institutionnelles ; de Viviane Hamon, Conseil en stratégie marketing des projets développement durable, co-présidente en charge des Ressources humaines ; de Gabrielle Raynal, Domène Scop, bureau d’études, co-présidente en charge de la gouvernance, des affaires juridiques et des finances ; et de Sébastien Rismann biodynamique, bureau d’études, trésorier.

Un nouveau Conseil d’administration
Le Conseil d’administration est composé de Françoise Berthelot, de Stéphane Bouquet, d’Hervé Carloz, de Jérôme Dentz, de Sylvie Détot, de Maxime Duluc, de Guillaume Farcot, de Sébastien Giorgis, de Céline Granoux, de Viviane Hamon, d’Alain Mars, de Thomas Philippon, de Philippe Pianton, de Gabrielle Raynal et de Sébastien Rismann.

www.envirobatbdm.eu 

https://www.echodumardi.com/page/1273/   1/1