21 juillet 2025 |

Ecrit par le 21 juillet 2025

Hippodrome Roberty : c’est la mort du petit cheval si rien n’est fait rapidement pour sécuriser ce site classé du Pontet

Grandeur et décadence. Chef-d’œuvre en péril. Implanté au cœur d’un écrin vert de 125 hectares, cet hippodrome créé par les frères Thomas, des industriels du XIXᵉ siècle amateurs de pur-sangs, a ouvert en 1868. Il a même accueilli les réunions des Alpes-Maritimes avant que ne soit construit l’hippodrome de Cagnes-sur-Mer.  

Classé en 1972 au titre des Sites naturels en ‘zone verte’ et comme Monument historique en 1993, ce qui le rend inconstructible, cet espace a longtemps appartenu à la famille d’Edmonde Charles-Roux-Defferre. Son descendant, le Prince Rodolfo Del Drago, qui l’a porté à bout de bras pendant des années avec le château éponyme, l’a mis en vente. En 2014, un groupe d’investisseurs l’a acquis pour réhabiliter le château et ses dépendances, mais pas le champ de courses et les 58 hectares de prés et de bois qui l’entourent ainsi que les parkings attenants. Un projet de création d’ »École de Trot du Sud-Est » a même été évoqué, soutenu par la Fédération et Le Cheval Français. Avec à la clé des emplois de selliers, palefreniers, entraîneurs, fournisseurs de fourrage, soigneurs et maréchaux-ferrants.

Ce feuilleton dure depuis des années et pendant ce temps-là les tribunes en bois se délitent, les haras se détériorent, la piste est envahie de hautes herbes et le mistral fait tomber nombre de branches de platanes centenaires malades. Même si les bénévoles de la Société Hippique d’Avignon se décarcassent, ce sont tous des retraités qui ne roulent pas sur l’or et qui n’ont ni la force ni les moyens d’entretenir ce site patrimonial et cette piste enherbée de 1500 mètres.

Quel avenir pour l’hippodrome Roberty ?

Une réunion — à laquelle la presse n’était pas conviée — s’est tenue lundi 18 novembre pour évoquer l’avenir de Roberty. Selon nos informations, plusieurs sujets ont été abordés. À commencer par la convention qui liait la Société Hippique aux propriétaires, mais qui n’a pas été signée depuis des mois. Sans parler des lieux qui sont insécures, voire dangereux et qu’aucun assureur ne veut prendre en charge tant que tout ne se sera pas aux normes pour accueillir du public. Ce qui coûterait une fortune.  

Autres interrogations, pourquoi des investisseurs ont-ils acheté ce site en 2014, n’y ont encore rien entrepris depuis et ne l’entretiennent pas ? Pour défiscaliser ? Pour spéculer en le revendant plus cher ? Pour attendre qu’il devienne constructible et y édifier une résidence immobilière de luxe au cœur de cet écrin naturel ?

Certains proposent que la valeur de Roberty et de ses dépendances soit expertisée par la SAFER pour le vendre au prix de 2€ le m² agricole, et que la Ville du Pontet d’un côté et la Fédération du Sud-Est avec la Société de Trot de l’autre, l’achètent moitié-moitié. La commune en disposant tout au long de l’année pour les enfants des écoles et les clubs sportifs et la Fédération y organisant cinq réunions hippiques par an avec le PMU.

Apparemment, un accord a été trouvé pour qu’une nouvelle convention de trois ans soit rédigée par la Société Hippique d’Avignon et signée par les propriétaires. Mais cela ne préjuge en rien des travaux de sécurisation absolument nécessaires à tout accès du public dans les lieux. Du coup, la mairie qui va célébrer le 17 janvier 2025 les 100 ans de la commune du Pontet (qui jusqu’en 1924 était un quartier d’Avignon et qui a souhaité davantage d’autonomie, devenant ainsi la 151ᵉ et plus jeune commune de Vaucluse) avait l’intention d’organiser un ‘Grand Prix Hippique du Centenaire’ pour Pentecôte à Roberty. Mais rien n’est moins sûr.

Avis aux généreux mécènes et donateurs : si vous voulez sauver ce site remarquable de Vaucluse, ce poumon vert du Grand Avignon avant que la tribune de bois ne tombe en ruines, c’est-à-dire en sciure, foncez !  Mais en ces temps de crise, d’inflation, de déficit abyssal des comptes publics et de drastique coup de rabot sur les finances des collectivités locales, on ne va pas forcément trouver l’argent nécessaire à la remise en état de Roberty sous le sabot d’un cheval.


Hippodrome Roberty : c’est la mort du petit cheval si rien n’est fait rapidement pour sécuriser ce site classé du Pontet

Indestructible, une saga historique et théâtrale à travers le regard de la Peugeot 504 

Ce spectacle, porté par la mythique Peugeot 504, plonge au cœur de l’histoire ouvrière et militante des années 70, une thématique qui résonne avec les combats pour les droits et la solidarité d’aujourd’hui. Dans la France des années 60, à travers les récits croisés des travailleurs immigrés recrutés dans les usines de voitures — et des intellectuels qui se faisaient embaucher à leurs côtés — c’est toute l’histoire de la politique migratoire française qui est incarnée par l’emblématique Peugeot 504. 

Une mise en scène de Manon Worms et Hakim Bah inspirée du livre de Robert Linhart, L’Établi

En 1978, Robert Linhart, intellectuel d’extrême-gauche maoïste, raconte dans L’Établi comment il est parti comme beaucoup de camarades dans la période de Mai 68 travailler dans une usine Citroën à Paris, pour côtoyer des ouvriers et organiser la révolution. Pour écrire cette fiction documentée, Manon Worms et Hakim Bah se sont inspirés de cet ouvrage de référence. 

Sur le plateau, un travail de mémoire

Les paroles de Bakary, jeune Malien, le parcours de Cathy, l’étudiante parisienne, la 504, la France industrielle ; la solidarité entre étrangers et français, l’ancrage du mouvement ouvrier et ses luttes sociales dans les années 70… Une fiction sacrément documentée ! « Renouveler le récit de l’immigration dans la France contemporaine. Faire le récit choral d’une Histoire qui agit sur notre présent », ajoutent Manon Worms et le Guinéen Hakim Bah. 

Jeudi 28 novembre. 20h. 3 à 20€. Scène Nationale La Garance. Rue du Languedoc. Cavaillon. 04 90 78 64 64.


Hippodrome Roberty : c’est la mort du petit cheval si rien n’est fait rapidement pour sécuriser ce site classé du Pontet

Après les trophées départementaux, l’ensemble des lauréats de Provence-Alpes-Côte d’Azur viennent de se retrouver au centre des congrès de Gréoux-les-Bains pour la grande finale de la 5e édition des Trophées régionaux des entrepreneurs positifs 2024 de la CPME Sud.

Ils étaient 6 lauréats départementaux à être en lice pour devenir un des entrepreneurs positifs 2024 de la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises) Sud. Sur la ligne de départ face aux candidats des 5 autres départements de la région : Aurélie Panattoni, PDG de l’Ibis Styles Avignon sud (prix du courage), Vincent Chabbert, créateur de Tut Tut France à Avignon (prix de la créativité), Juliette Durand PDG du Moulin Vallis Clausa à Fontaine de Vaucluse (prix de la persévérance), Adrien Brusetti, président du U Express d’Althen-des-Paluds (prix de la solidarité), Hervé Djaouane, patron de Simon à Avignon (prix de la bienveillance) et L’Echo du Mardi (prix de l’éco-responsabilité).

« Vous êtes la richesse des territoires. »

Alain Gargani, président de la CPME Sud

« Avec toute cette énergie, ce talent qui va résonner tout au long de cette soirée, vous êtes, vous les chefs d’entreprise, la richesse des territoires », a tenu à rappeler Alain Gargani, président de la CPME Sud, en préambule de cette 5e édition des trophées des entrepreneurs positifs. Et devant plus de 350 personnes venues assister à cet soirée-événement, le président, qui est également en campagne pour briguer l’investiture nationale (voir en fin d’article), de se féliciter que ce modèle des trophées régionaux des entrepreneurs positifs essaime prochainement dans d’autres régions de France.

En tout, 8 entrepreneurs régionaux ont donc été distingués lors de cette 5e édition (voir encadré ci-dessous). Parmi eux, deux Vauclusiens sont à l’honneur : Juliette Durand, du Moulin Vallis Clausa à Fontaine de Vaucluse qui remporte de prix régional de la Persévérance et Hervé Djaouane, patron de Simon à Avignon vainqueur du prix du public.

Les lauréats des Trophées régionaux des entrepreneurs positifs 2024 de la CPME Sud
Prix Éco-responsabilité : Eden Ecosystem pour les Alpes-de-Haute-Provence
Prix Solidarité : Espoir au sommet pour les Hautes-Alpes
Prix Courage : Digilangues pour les Alpes-Maritimes
Prix Bienveillance : T’Cap21 pour les Bouches-du-Rhône
Prix Créativité : La Boite Immo pour le Var
Prix Persévérance : Vallis Clausa pour le Vaucluse
Prix du Jury : Green score capital pour le Var
Prix du Public : Simon pour le Vaucluse

« Un dirigeant d’entreprise, il faut qu’il ne recule devant rien. »

Bernard Vergier, président de la CPME 84

« C’est à Fontaine de Vaucluse, dans une ancienne papeterie qui a fermé dans les années 70, que s’est installé le Moulin à papier Vallis Clausa qui un groupement culturel et artisanal, explique Juliette Durand. Mon grand-père faisait partie des premiers actionnaires. Ensuite, c’est mon père qui a pris la présidence de la société pendant de nombreuses années et j’ai pris la suite il y a maintenant 4 ans. C’était un très, très gros challenge parce que l’entreprise était en grande difficulté depuis de nombreuses années. Sur un site avec de vieux bâtiments et des machines très anciennes. Cela a été un gros dépoussiérage, il a fallu essayer de faire des nouveaux produits, de développer des nouveaux papiers. »
« Un dirigeant d’entreprise, il faut qu’il ne recule devant rien, insiste Bernard Vergier, président de la CPME 84 lors de cette remise du prix de la persévérance à Vallis Clausa. Qu’il surmonte tous les obstacles, qu’il trouve toutes les solutions, qu’il se distingue, qu’il s’investisse, qu’il s’adapte, qu’il dialogue, qu’il partage… Le tout avec un esprit d’équipe. Et si cette personne tombe, il faut qu’elle se relève. C’est ça la persévérance ! Ce soir, nous célébrons celles et ceux qui, malgré les épreuves, n’ont jamais perdu cet enthousiasme, cette volonté de faire, de faire mieux, de faire plus et de faire autrement. »

Juliette Durand (2e en partant de la gauche) et sa collaboratrice (2e depuis la droite) reçoivent le prix de la Persévérance pour le Moulin Vallis Clausa. Dr

« Mon quotidien, c’est trouver des solutions en permanence. »

Juliette Durand, du Moulin Vallis Clausa

« Travailler avec des machines si anciennes, c’est un défi quotidien parce qu’il y a toujours des problèmes, confirme la lauréate vauclusienne qui fabrique du papier comme on le faisait au XVe siècle. Mon quotidien, c’est trouver des solutions en permanence. Et parmi les aspects qui sont très importants, il y a le fait de faire perdurer ce savoir-faire et de former en interne des salariés à de nouvelles compétences. »
Prochaine étape pour Vallis Clausa : l’ouverture au printemps de 2025 d’un village de santon Provençaux.

Venu remettre ce prix de la persévérance, notre confrère Frédéric Delmonte pour Les Nouvelles publications complète : « Persévérer, c’est une valeur qui me parle. Parce que quand on persévère, on lève des obstacles, on trouve des solutions pour avancer. Et généralement, les personnes qui persévèrent ont toujours des choses intéressantes à raconter aux journalistes ! »

Hervé Djaouane et une partie de l’équipe de Simon lors de la remise de pris du public 2024.

« Notre leitmotiv c’est de rendre service à nos clients. »

Hervé Djaouane, patron de la société Simon

Entreprise Simon : à l’insu de son plein grain
Déjà lauréate du prix de la Bienveillance, l’entreprise Simon a donc obtenu le prix du public.
« Nous sommes dans le secteur du bâtiment depuis 70 ans cette année, explique Hervé Djaouane, patron de la société avignonnaise Simon pour présenter son activité. Nous faisons de la plomberie, du chauffage, de la climatisation, de l’électricité… Nous intervenons dans les secteurs de l’énergie, de l’eau, de l’air et on dépanne tout ce que l’’on peut dépanner. Notre leitmotiv c’est de rendre service à nos clients. »
« Le prix du public, cela fait vraiment plaisir », reconnaît Hervé Djaouane dont la société est implantée dans la zone d’activité de Courtine. Un entrepreneur inscrit à son insu par ses salariés à cette 5e édition des Trophées CPME-Sud.
« Merci à tous d’avoir voté pour nous, poursuit-il. Comme la première fois, ce nouveau prix c’est une véritable surprise. Ce sont mes collaborateurs et mon équipe, dont 7 compagnons, qui ont porté la candidature. »

« L’économie est en danger. »

Alain Gargani, président de la CPME Sud

Au-delà de cette soirée honorifique destinée à mettre en avant le dynamisme des entreprises de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Alain Gargani, actuellement en campagne afin de briguer la présidence nationale de la CPME, a tenu également à faire part de ses inquiétudes par rapport à la conjoncture actuelle.
« Je parcours depuis quelques mois la France afin de rencontrer les entrepreneurs de nos territoire, explique-t-il. L’économie est en danger. Quelle que soit la fédération, quelle que soit l’entreprise de France, TPE, PME, elle est en danger. Un danger chronique avec la Covid, le coût de l’électricité et de l’énergie, l’augmentation des matières premières, une fiscalité étouffante, une sur-transposition des normes… Partout, les entreprises souffrent. Et là, est-ce qu’on est en train de nous prévoir ? Cela va être encore pire. Une instabilité politique nationale, qui vient freiner le développement et l’engagement des entrepreneurs sur les territoires. Le tout avec une concurrence déloyale européenne, voire internationale. La compétitivité de nos industries s’effrite et nous sommes donc encore loin de la réindustrialisation. ».

« La CPME doit être un rempart pour nos entreprises. »

Porter une nouvelle vision plus offensive
« Aujourd’hui, j’ai envie de porter une nouvelle vision pour la CPME, poursuit le président-candidat. Le premier enjeu que l’on doit porter auprès de nos amis politiques, c’est de libérer l’économie. De nous laisser juste faire notre travail. Pendant 3 ans, plus de fiscalité supplémentaire, plus de normes supplémentaires. »
Et celui qui est aussi élu au Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur et conseiller municipal à Marseille de marteler : « La CPME doit être un rempart pour nos entreprises, un rempart pour nos fédérations.  Et avec beaucoup plus de pugnacité, ce que je souhaite demain, c’est une CPME plus offensive, plus combative et qui ne lâche rien et qui porte les messages au plus près. Moi, je suis un combattant de l’économie car si on ne réagit pas, je l’annonce maintenant : 64 000 entreprises ont fermé mais cela sera le double en à l’horizon 2025.


Hippodrome Roberty : c’est la mort du petit cheval si rien n’est fait rapidement pour sécuriser ce site classé du Pontet

Le Sénateur Jean-Baptiste Blanc vient de déposer une proposition de loi sénatoriale ‘Trace’ (Trajectoire de Réduction de l’Artificialisation Concertée avec les Elus locaux) pour un nouveau pacte de sobriété foncière avec les territoires.

Le texte, inspiré des constats partagés par les sénateurs membres du groupe de suivi, revoit avec plus de réalisme et de sens pratique les modalités de mise en œuvre des objectifs de réduction de l’artificialisation fixés par la loi Climat-résilience, tout en conservant la cible finale d’absence de consommation d’espaces naturels ou agricoles à l’horizon 2050.

Une sobriété foncière comprise mais plus consensuelle
«Cette proposition de loi répond à une vraie attente des territoires, insiste Jean-Baptiste Blanc. Les élus ont déjà intégré depuis longtemps la nécessité de la sobriété foncière, mais la mise en œuvre arithmétique et descendante des objectifs fixés par la loi Climat résilience et les fortes contraintes de délais ont créé des crispations autour d’un sujet qui devrait être consensuel.

Dynamique des territoires
Pour mieux prendre en compte les besoins et les dynamiques des territoires, notamment pour le logement et l’industrie, les auteurs du texte suppriment l’objectif intermédiaire de réduction de moitié du rythme d’artificialisation au cours de la décennie 2021-2031 par rapport à la décennie précédente, afin de laisser plus de latitude aux régions dans la fixation de leurs objectifs régionaux.

La voix des élus
Ce texte associe les collectivités locales à la territorialisation des enveloppes foncières, avec un pouvoir décisionnel tant pour la fixation des enveloppes régionales que pour leur répartition, sur la base des projets et propositions présentés par les collectivités locales. En outre, pour ne pas grever les enveloppes foncières des collectivités, les projets d’envergure nationale ou européenne (Pene) feront l’objet d’un décompte séparé. L’État est ainsi invité à participer à l’effort collectif pour les projets dont il assure la maîtrise d’ouvrage, en s’astreignant à une trajectoire de réduction de l’artificialisation compatible avec une artificialisation nulle à l’horizon 2050.

Repousser le calendrier
Afin de laisser aux collectivités le temps d’intégrer ces nouvelles données, les deux sénateurs –Jean-Baptiste Blanc et Guislain Cambier (sénateur du Nord, des hauts de France) proposent de repousser le calendrier de mise en conformité des documents régionaux de planification et des documents d’urbanisme à 2026 pour les régions et jusqu’à 2036 pour les plans locaux d’urbanisme.

Oui à l’artificialisation avec le décompte de la consommation d’espaces
Enfin, le texte pérennise la mesure de l’artificialisation par le décompte de la consommation d’espaces agricoles, naturels et forestiers (Enaf), comme c’est actuellement le cas jusqu’en 2031. D’apparence technique, le choix de cette unité de mesure permettrait aux élus locaux, familiers de cet outil, de mieux piloter leur trajectoire de sobriété à travers les documents d’urbanisme et d’assurer un suivi en temps quasi réel des consommations foncières.

‘Trace’ plutôt que ‘Zan’
L’acronyme ‘Zan’ est devenu un repoussoir, synonyme de centralisme aveugle aux spécificités territoriales. ‘Trace’ permettrait un chemin plus apaisé vers la sobriété foncière et de surmonter l’absence d’étude d’impact de la ‘Loi Climat et résilience’, qui n’a pas permis aux parlementaires de mesurer pleinement les effets d’une réforme pensée sans les territoires.
MMH


Hippodrome Roberty : c’est la mort du petit cheval si rien n’est fait rapidement pour sécuriser ce site classé du Pontet

Stéphanie Ougier, directrice départementale employeurs de l’Urssaf Paca, Thierry Suquet, préfet de Vaucluse et Patrice Mounier, président de l’Umih 84 (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie) ont signé une convention départementale de partenariat de lutte contre les tensions de recrutement et le travail illégal dans le secteur des hôtels, cafés et restaurants (HCR) en Vaucluse.

En cause ?
Les difficultés à recruter et le travail illégal pour un secteur comptant 12 000 salariés en Vaucluse. Une convention plutôt pédagogique pour prévenir le travail sans fiche de paie ou ont une partie serait payée en cash.

Un son de cloche
Patrice Mounier, patron de l’interprofessionnelle, explique que les employés, parfois, préfèrent ne pas être déclarés et être payés en cash afin de continuer à toucher le chômage.

Et du côté des salariés ?
Sous couvert d’anonymat, des employés de ce secteur évoquent qu’à l’entretien d’embauche le salaire promis n’est pas celui finalement inscrit sur la fiche de paie, que les heures supplémentaires ne sont jamais payées, les pourboires peu distribués, voire confisqués et le salaire finalement payé le 10 du mois au lieu d’en fin de mois.

Pour sûr
La convention compte mettre bon ordre dans les deux parties afin que chacun trouve sa place, dans la légalité, sur le principe de la prévention et de la pédagogie.
MMH

Copyright Préfecture de Vaucluse

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Près de 200 invités, ce samedi 23 novembre au cœur du Palais des Papes, pour l’intronisation de 17 personnalités au sein de l’Échansonnerie (voir ici) à l’occasion du ‘Grand Conseil d’Hiver’. Une soirée en deux temps, la remise de la fameuse Clé pectorale aux récipiendaires et le fastueux dîner dans la Salle du Grand Tinel.

La soirée a débuté par l’arrivée, en grande pompe, des membres de la Confrérie de l’Échansonnerie en robe de velours violet ‘tannique’ dans la Salle du Conclave. Là où les cardinaux élisaient le futur Pape quand Avignon était la capitale de la Chrétienté, entre 1305 et 1377. La cérémonie était présidée par le ‘Grand Auditeur’, Frédéric Coulon, vigneron, descendant d’une lignée de 7 générations du domaine familial de Beaurenard, qui a pris racine à Châteauneuf-du-Pape en 1695.

©Andrée Brunetti / L’Echo du Mardi

La 1ʳᵉ à être intronisée était Marie-Pierre Ghirardini, directrice de l’Hôtel d’Europe 5 étoiles et du restaurant distingué par Michelin, La vieille Fontaine, sur la Place Crillon à Avignon. Un établissement du patrimoine de XVIᵉ siècle qui a eu Victor Hugo, Stendhal, Napoléon Bonaparte comme clients, mais aussi, plus près de nous, l’ancien patron de Renault, Louis Schweitzer, l’ex-directeur du Festival d’Avignon Bernard Faivre d’Arcier, sans oublier l’actrice Jeanne Moreau.

Ensuite, Ludovic Cellier, vigneron du caveau éponyme avec ses deux frères, le Domaine des 3 Cellier, a été intronisé. Lui a succédé à la tribune, Pierre Gattaz, ancien ‘patron des patrons’ au MEDEF et actuel propriétaire du domaine vitivinicole du Château de Sannes dans le Luberon.

Arnaud Strasser, membre de l’Échansonnerie et propriétaire de La Mère Germaine a accueilli Olivier Klein, directeur général de la Banque Lazard, professeur à HEC et collaborateur du quotidien Les Echos. Place ensuite à un autre économiste, Christian Mantéi, président d’Atout France, « activateur de tourisme et d’œnotourisme », a souligné son parrain, Michel Bernard, président de l’Université du Vin de Suze-la-Rousse. 

Un ingénieur, Richard Francioli, précédemment PDG de Vinci Construction, qui a notamment participé aux magnifiques chantiers du Stade de France à Saint-Denis, de la Fondation Louis-Vuitton dessinée par l’architecte Frank Gehry et du Musée des Confluences à Lyon, a ensuite été intronisé. Puis deux Avignonnais, les frères Lacaille qui travaillent dans le milieu de la vigne et du vin, l’un pour Axa Millésimes à Bordeaux, l’autre pour Wine Setting à Versailles.

C’est au tour de Dominique Santoni d’être appelée sur le podium de ce Chapitre et c’est le maire de L’Isle-sur-la-Sorgue qui fait son portrait. « C’est un honneur et un privilège de vous la présenter, a dit Pierre Gonzalvez. Elle qui a déjà été intronisée par nombre de confréries de Vaucluse. Ail de Piolenc, fraise de Carpentras, figue noire de Caromb, truffe de Richerenches. Elle est très recherchée comme ambassadrice des meilleurs produits de notre terroir. À cheval comme à moto, Dominique Santoni, qui a reçu la Légion d’honneur des mains du Président du Sénat, Gérard Larcher, a également travaillé dans la communication — à Paris, New-York, Milan, Londres — avant de revenir sur les terres de sa famille, Apt, dont elle a été maire, après son père, Georges et son grand-père maternel, Eugène Baudoin. Et elle est la 1ʳᵉ femme à occuper le siège de Présidente du Conseil Départemental de Vaucluse.

Dominique Santoni et Pierre Gonzalvez. ©Andrée Brunetti / L’Echo du Mardi

Autre nouveau membre de l’Échansonnerie des Papes, Tomas Redondo, né à Sarrians, aujourd’hui directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie de Vaucluse, « Un homme pragmatique, qui fait ce qu’il dit, contrairement à d’autres, souligne à la tribune, son parrain Arnaud Strasser. Un entrepreneur au sens propre. D’ailleurs, début décembre ouvrira sur le parvis de la Gare Centre d’Avignon, Le Quai des Saveurs, un restaurant géré par des chefs issus de l’École Hôtelière des Fenaisons à Avignon. Une véritable vitrine de l’apprentissage avec la création de 22 emplois à la clé. » Derniers invités, Olivier Girault, un des « Barjots » comme Jackson Richardson, entre 1993 et 1996, ancien champion du monde et médaille d’or olympique de handball et enfin, pour clore cette cérémonie, le Préfet de Vaucluse, Thierry Suquet, arrivé de Mayotte en février dernier.

Dans un second temps, dans la majestueuse Salle du Grand Tinel, place au dîner concocté par Helen Traiteur pour les 200 convives. Au menu, ravioli de cèpes, consommé de champignons torréfiés avec crème de saké, effilochée de joue de bœuf confite au vin rouge de Châteauneuf-du-Pape avec millefeuille de pommes de terre, assiettes de fromages de la maison Barthélémy-Vigier et enfin un Bounty chocolat-coco en dessert. Le tout arrosé d’une « Farandole de magnums de Millésimes de Châteauneuf », servis par la sommelière Elisabeth Doan. Cette Disciple d’Escoffier recevra la semaine prochaine, chez Paul Bocuse près de Lyon, la ‘Grappe d’Or’ qu’elle pourra bientôt épingler à sa boutonnière. Une reconnaissance de sa compétence.

Elisabeth Doan. ©Andrée Brunetti / L’Echo du Mardi

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Les Restos du Cœur viennent de lancer leur 40e campagne de distribution alimentaire. L’association, créée par Coluche en 1985, a failli mettre la clé sous la porte l’année dernière suite déjà des difficultés financières liées à l’inflation ainsi qu’à un afflux historique de bénéficiaires. En septembre 2023, le patron des Restos du Cœur avait annoncé que l’association avait besoin de 35 millions d’euros pour boucler l’année à l’équilibre, et cet appel à la solidarité avait déclenché une avalanche de dons (les joueurs de l’équipe de France de football avaient par exemple reversé leur cachet pour un match).

Comme le montre notre infographie, basée sur les données de l’association, le nombre de repas distribués gratuitement par les équipes des Restos n’a cessé d’augmenter depuis leur création en 1985. Cette première année, 8,5 millions de repas avaient en effet été distribués. Mais en 2022-2023, ce chiffre avait grimpé à 171 millions, soit une multiplication par 20, avant de redescendre légèrement l’an dernier – en raison de l’incapacité de l’association à répondre à la demande. En raison de leurs sévères difficultés, les Restos du Cœur avaient dû revoir à la baisse leurs critères d’éligibilité à l’aide alimentaire et refuser plus de 110 000 inscriptions ; ils avaient malgré tout accueilli plus de 1,3 millions de personnes. Interviewé par France24 mardi, le porte-parole de l’association, Yves Mérillon, a évoqué une statistique inquiétante : l’année dernière, 10 % des personnes aidées par les Restos du Cœur étaient des enfants de moins de trois ans. Ils étaient ainsi 128 000 à dépendre de l’aide alimentaire de l’association.

De Valentine Fourreau pour Statista


Hippodrome Roberty : c’est la mort du petit cheval si rien n’est fait rapidement pour sécuriser ce site classé du Pontet

Avignon vient de publier un livret intitulé ‘Avignon, habiter la ville de demain’ comme une introduction facilitée au PLU, Plan local d’urbanisme. Un digest, présenté par Paul-Roger Gontard, adjoint au développement territorial et urbain, pour dire ce que la Ville veut : 6 500 nouveaux logements dans les 10 prochaines années et comme ça gagner du temps. La condition d’acceptation des permis de construire ? Des habitats de belle qualité, confortables et spacieux financièrement accessibles, dans un environnement agréable à vivre.

Anne-Lise Maicherac, Ingrid Hautefeuille, Jean-Baptiste Martin et Paul-Roger Gontard Copyright MMH

L’ambition ? 6 500 logements de bonne qualité alors que sont menées de grandes opérations d’aménagements déjà fléchées comme le Nouveau programme de renouvellement urbain, l’Ecoquartier Joly-Jean, le quartier durable méditerranéen de Bel Air et le quartier métropolitain d’Avignon-Confluence. La feuille de route ? Des logements individuels et collectifs accessibles et durables avec une réelle qualité d’usage.

La mission ?

Retenir les jeunes familles propriétaires occupantes. Pourquoi ? Parce qu’elles fuient Avignon pour en gagner la périphérie. En cause ? L’absence, en ville papale, de propositions intéressantes tant du point de vue de la qualité de se loger, que d’un environnement séduisant, le tout à prix raisonnable. L’autre défi ? Concevoir des habitats confortables toute l’année, particulièrement lorsque l’on habite le Sud et en temps de réchauffement climatique.

Copyright Ville d’Avignon

C’est dire l’importance de l’habitat
mais aussi de sa mixité, des commerces, de la qualité des voieries, de la ponctuation de l’espace par des espaces végétalisés et aussi l’accès à de vastes espaces naturels. Si les espaces extérieures revêtent autant d’importance c’est que le confinement est passé par là mais aussi et surtout par ce que la température grimpe de plus en plus en installant la canicule durablement, peut-être 4 semaines durant à l’horizon 2050.

En face de nous
Pour nous expliquer tout cela, Paul-Roger Gontard, avocat de métier mais surtout adjoint au maire, délégué du développement territorial et urbain et aux grands projets et aussi Conseiller communautaire du Grand Avignon. Pour présenter le fascicule de 48 pages, il est entouré d’ Anne-Lise Maicherak directrice d’études planification et projet urbain de l’Aurav (Agence urbaine Rhône-Avignon-Vaucluse ; d’Ingrid Hautefeuille –une ancienne de l’Aurav-et Jean-Baptiste Martin respectivement directrice de projets et Directeur de l’urbanisme, de l’habitat et de l’écologie urbaine de la Ville d’Avignon, ingénieur en chef.

Le principe ? Gagner du temps
‘Avignon habiter la ville de demain’ vient en complément du PLU (Plan local d’urbanisme) pour en détailler les principaux axes et surtout pour en diffuser l’ambition. Auprès de qui ? Des promoteurs, architectes, acteurs de la construction de la Ville pour de futurs logements qualitatifs.

Ce qui est mis en exergue ?
Les 4 niveaux échelles du projet visant l’intégration du projet dans la commune, puis dans le quartier, surtout la qualité de l’intervention allant jusqu’aux détails de la construction.

Copyright Ville d’Avignon

D’où proviennent les freins ?
De la hausse des prix du foncier depuis plusieurs décennies et d’une Loi Zan, zéro artificialisation nette qui contribue –malgré elle- à cette hausse. Hors l’argent que l’on met dans le foncier manque cruellement à la construction, qui fait elle-même face l’augmentation des matériaux. « Une étude du cabinet Adéquation que nous avons diligenté observe que, dans les décennies précédentes des programmes se sont développés qui n’étaient pas en adéquation avec le besoin des familles avignonnaises ni avec les évolutions environnementales du territoire, relève Paul-Roger Gontard. Il s’agissait de typologie de logements relativement uniformes, de faible dimension, souvent de trop petits logements. Ce qui a conduit les 30-35 ans, une tranche de vie où la famille s’agrandit, où les revenus se font plus confortables, à partir d’Avignon pour gagner la périphérie, parce qu’ils ne trouvaient pas les logements répondant à leur demande, à Avignon.»

En conséquence ?
«Nous perdons des foyers avignonnais alors que nous continuons à gagner des jeunes de moins de 30 ans ainsi que des plus de 55 ans, parce que la ville demeure économiquement attractive. Résultat ? Un tiers des personnes qui travaillent à Avignon y habitent. Nous vivons donc un flux de déplacements pendulaires quotidien. C’est une perte de temps, cela génère des frais de déplacements.»

Très concrètement
«‘Avignon, habiter la Ville de demain’ est un guide pédagogique qui entre dans les détails de typologies de logements, de surfaces, de nombre de m2 limitatifs en surface, non pas à la baisse mais à la hausse couplée à une hauteur de plafond à 2,70m, ainsi que l’adjonction d’espaces extérieurs. Nous prenons en compte le réchauffement climatique pour lequel nous prévoyons plus de 4 degrés en moyenne en été et 4 semaines de canicules à l’horizon 2050. Cela influera les nouvelles constructions à la faveur d’un retour à des logements traversant où l’on pourra faire circuler l’air. Le patrimoine végétal existant sera aussi préservé, les constructions devant tenir compte des arbres déjà existants.»

De nouvelles façons d’habiter
«Nous recevons de plus en plus de demandes d’habitats tels que l’habitat participatif (concevoir, créer gérer collectivement un habitat), intergénérationnel (étudiants, familles et personnes âgées), le béguinage (pour personnes âgée autonomes), le co-living (mélange de résidence étudiante, coworking et hôtel) et l’atelier-logement (artisans, micro entreprises, professions libérales locataires bénéficiant d’un logement avec un espace de travail). Il existe également des logements modulables et évolutifs qui disposent d’une pièce supplémentaire qui peut glisser d’un logement à l’autre pour être utilisée temporairement, à l’occasion de la visite d’amis ou de la famille par l’un des logements contigus et selon la réservation au préalable de cet espace. Les rez-de-chaussée de collectifs pourraient passer initialement du stationnement à des commerces en anticipant les normes de construction et les gaines techniques pour de futurs changements d’usages.»

Copyright Ville d’Avignon

L’exigence ?
«Le territoire a besoin de 6 500 logements à 10 ans, réaffirme Paul-Roger Gontard. Près de 1 000 sont actuellement actés. Nous avions besoin de transparence sur les exigences de la Ville, notamment auprès des porteurs de projet pour expliquer aussi qu’on ne joue plus au Monopoli à Avignon. Pourquoi on ne vient plus chercher un prix de foncier qui a explosé ces dernières années. Si celui-ci continue de croître nous ne pourrons plus tenir des exigences de qualité dans les espaces habitables de demain. Ce que nous proposons ? Une relation public-privé et partenariale relativement efficace. Avec ce document, nous invitons les porteurs de projets immobiliers à venir nous voir avant l’achat des terrains et avec leur dossier afin de tout caler en amont. Et en cas de foncier au prix anormalement élevé ? Cela pourrait passer par l’EPF (Etablissement public foncier).»

Notre préoccupation ?
«Rééquilibrer un déséquilibre qui s’est installé dans le temps et que l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) a pointé du doigt pas plus tard que ce début novembre, évoquant de la ségrégation sociale, à l’échelle du Grand Avignon comme nulle part ailleurs en France ou presque. On s’est trouvé pointé du doigt sur l’évolution des populations à l’échelle du neuf urbain, comme étant le territoire, avec Marseille, où l’on a le plus rassemblé, dans des espaces communs, des populations de même identité, ou de similitude sociale. Alors que nous portons exactement le processus contraire.»

Ce qu’on veut ?
«C’est de la mixité. Alors oui, forcément, quand on a une ville qui a aujourd’hui un taux de pauvreté de 33% et qui porte 80% du logement social du Grand Avignon, l’effort portera sur des logements qui accueillent des familles, des foyers qui ont un peu plus de moyens et qui sont justement les familles qui quittent Avignon. Pas parce qu’ils n’ont pas envie d’y vivre, mais parce qu’ils ne trouvent pas les logements.»

Les infos pratiques
‘Avignon, habiter la ville de demain, une coopération public-privé pour faire évoluer nos pratiques’. Le guide de la Ville d’Avignon a été coréalisé avec l’Aurav (Agence d’urbanisme Rhône Avignon Vaucluse) en collaboration avec le CAUE (Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement), le Grand Avignon, Citadis et l’Etablissement Public Foncier. Les Ateliers Saint-Bénezet, rencontres de professionnels de la construction et de l’aménagement face aux bouleversements climatiques.

Les sources
Plan local d’urbanisme d’Avignon, Avignon 2030 Inventer la ville de demain, les chiffres ici. ‘Habiter la Ville de demain’


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Le centre d’affaires avignonnais Economis organise la première édition du ‘Morning Entrepreneurs’ ce mardi 26 novembre à l’ECOMIN d’Avignon. Élaborée par des experts de la création d’entreprise, cette conférence sera sur le thème ‘Comment éviter les pièges de la création d’entreprise ?’.

Ce mardi 26 novembre, des experts de la création d’entreprise répondront aux diverses questions des entrepreneurs en devenir, mais aussi des nouveaux chefs d’entreprise autour de multiples thématiques telles que : le financement, le droit des affaires, le juridique, le business plan, les assurances et les risques professionnels, les obligations règlementaires, l’adresse professionnelle, le site internet et l’e-commerce, la fiscalité, la comptabilité, les conseils spécial demandeurs d’emploi, et bien d’autres.

Cette première édition du ‘Morning Entrepreneurs’, initiée par Economis, se veut une conférence interactive et gratuite dans une ambiance chaleureuse autour d’un café, avec « des conseils de pros pour des pros. » Les experts aborderont les précautions à prendre pour réussir son lancement et sa poursuite d’activité dans les meilleures conditions et avec les outils les plus adaptés.

Inscription gratuite en ligne.
Mardi 26 novembre. De 8h30 à 11h. Brasserie du MIN. 135 Avenue Pierre Semard Min D. Avignon.

https://www.echodumardi.com/page/168/   1/1