5 octobre 2025 |

Ecrit par le 5 octobre 2025

(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

Alors que Noël n’est que dans trois mois, dans l’ombre, les entreprises et collectivités préparent déjà les fêtes de fin d’année. C’est le cas notamment de Blachère Illumination, un des leaders mondiaux de l’éclairage événementiel. L’entreprise aptésienne vient de dévoiler sa nouveauté, sa première guirlande fabriquée et conditionnée en France, en Vaucluse.

Les fêtes de fin d’année approchent, beaucoup vont commencer à faire leurs achats de Noël et peut-être renouveler leurs décorations pour cette période. Les communes aussi, vont donner le coup d’envoi de leurs illuminations dans seulement deux mois, notamment à Apt où se situe l’entreprise Blachère Illumination, qui éclaire de nombreuses villes dans 80 pays différents, et qui illumine, entre autres, les Champs-Élysées.

La société aptésienne a dévoilé ce lundi 1ᵉʳ octobre sa grande nouveauté : sa première guirlande française, fabriquée et conditionnée dans ses ateliers à Apt. Pour cette Entreprise sur patrimoine vivant, fabriquer une guirlande de haute qualité et compétitive, de sa conception à son conditionnement, représentait un véritable défi.

« En choisissant notre guirlande française, nos clients font le choix du savoir-faire français, de la qualité et de la responsabilité environnementale. »

Défi relevé pour l’entreprise vauclusienne qui, dix ans après avoir révolutionné avec l’impression 3D grand format, innove encore et propose aux collectivités une alternative locale et de haute technologie, avec une technologie LED pour une consommation économique et respectueuse de l’environnement. L’occasion pour l’entreprise de réduire ses transports internationaux, et donc son empreinte carbone. Une fois de plus, Blachère Illumination prouve que le savoir-faire français a de beaux jours avant lui.


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

« Ils sont 125 à en faire partie aujourd’hui, alors que quand j’ai été élu président en 2019, il n’y en avait que 25 d’inscrits », explique le président, Serge Hurard, restaurateur, pas peu fier d’avoir entraîné dans son sillage traiteurs, confiseurs, charcutiers, boulanger, épiciers, mais aussi coiffeurs, ferronniers d’art, agents immobiliers, opticiens, parfumeurs, ostéopathes, diététiciens, assureurs ou naturopathes…

Composé à 55% de commerçants, à 28% d’artisans et à 17% de professionnels, CAP Sorgues a organisé vendredi 26 septembre une soirée festive au Château Gigognan, pépite du pays sorguais. Un domaine viticole de 110 hectares, ancien lieu de passage des pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle. « Ici, nous produisons des vins d’appellations Châteauneuf-du-Pape, des Côtes du Rhône, des Côtes du Rhône Villages et de Signargues », explique Léonie Walle, en charge de l’œnotourisme du domaine, entre lavandes, oliviers, pins, ruches et piscine. » La propriété a été totalement rénovée, elle accueille dans de confortables chambres d’hôtes au nom de cépages (syrah, clairette, carignan, cinsault et roussanne) des invités qui peuvent participer à des ateliers de dégustation de vins, à des balades en vélo électrique, des séminaires, des anniversaires ou des salons professionnels.

À cause de la météo, la soirée prévue sous les glycines et pins parasols a été rapatriée dans les salons du domaine, entre cheminée et piano à queue. Près de 150 personnes y ont assisté, venues de Sorgues bien sûr, mais aussi de Bédarrides, Monteux, Pernes-les-Fontaines, Althen-des-Paluds, de la communauté de communes des Sorgues du Comtat. « Avec toute l’équipe (notamment Sandrine Fournier, Chrystelle Gautier, Patrick Berluti et Thierry Tsebo), on est allé voir chaque nouvel arrivant l’un après l’autre, qu’il soit commerçant, artisan, professionnel de santé, chef d’entreprise, bijoutier, vendeur de sushis et de pizzas ou patron de camping. On leur a expliqué notre finalité : les aider, les faire connaître au plus grand nombre. Aujourd’hui, c’est comme s’ils faisaient partie d’une famille, avec des jeunes et des aînés qui les font profiter de leur expérience, de leur carnet d’adresses. On organise une demi-douzaine d’évènements par an, comme ce soir, pour que les nouveaux adhérents se présentent, qu’ils échangent avec les anciens, se connaissent, qu’ils ne restent pas seuls à se débattre avec leurs problèmes. Ce sont des liens humains qui sont tissés pour aller de l’avant ensemble, malgré la crise », explique Serge Hurard.

Étaient présents le RILE de Carpentras, conseil en fiscalité, droit des affaires, développement, Claire Denis pour la Chambre d’Agriculture, le Lion’s Club, Pascal Lenne, patron de la caisse locale du Crédit Agricole qui a remis un chèque de 400€ à l’association. Elle reçoit également une subvention de 12 000€ par an de la mairie de Sorgues pour rendre toujours plus dynamique le réseau des commerçants et artisans locaux. Ce sont eux qui animent les rues, font vivre la commune et créent sur place des emplois non délocalisables.


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

Depuis le début des années 2000, le nombre d’étudiants en écoles de commerce et de gestion a connu une croissance spectaculaire : elles sont devenues un parcours prisé par les jeunes en raison de l’employabilité, des salaires attractifs et de l’ouverture à l’international qu’elles offrent.

Selon les données ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, on dénombrait ainsi seulement 16 millions d’étudiants dans les écoles de commerce, gestion et vente françaises en 1980. Ce chiffre était passé à 63 millions pour la rentrée 2000-2001, puis à 121 millions dix ans plus tard, avant d’atteindre plus de 250 millions en 2023-2024, soit une multiplication par quatre des effectifs environ depuis le début du 21e siècle.

Le niveau d’employabilité des diplômés est un argument majeur pour les étudiants choisissant ce parcours. En effet, les écoles de commerces affichent un taux d’insertion professionnelle supérieur à 90 % dans les six mois après l’obtention du diplôme (Enquête Insertion 2024, CGE), et peuvent offrir des salaires 30 à 50 % plus élevés que la moyenne des autres filières. Ces écoles restent malgré tout un choix minoritaire pour les étudiants français : ils étaient environ six fois plus nombreux à être inscrits à l’université en 2023-2024 (1,6 millions environ), ce qui est en partie due aux coûts prohibitifs des écoles de commerce.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

Pour la 9ᵉ année consécutive, la Bella Italia s’invite à Avignon du 4 au 19 octobre. À cette occasion, le Théâtre du Balcon programme ‘Io provo a volare’ de la Compagnie Gianfranco Berardi, un spectacle en italien surtitré français.

‘J’essaie de voler’ est une dramaturgie originale qui, à partir des notices biographiques de Domenico Modugno, raconte la vie de l’un des nombreux jeunes qui ont grandi dans la province qui cherche à réaliser le rêve de devenir des artistes. C’est autour de la description des attentes, des déceptions et des efforts que l’histoire est articulée.  Sous couvert de la vie cet artiste, le spectacle devient un hommage à la persévérance, au courage des travailleurs en général et au spectacle en particulier, qui, mu par la passion, se lancent constamment dans des aventures dans des expériences jugées indignes, uniquement parce qu’elles sont moins visibles.

Un univers poétique original entre narration, musique et danse

Seul en scène, l’extraordinaire acteur Gianfranco Berardi mêle poésie, musique, chansons de Modugno et danse. Il est accompagné par Davide Berardi à la voix seule et guitare et Bruno Galeone à l’accordéon. 

Dimanche 5 octobre. 17h. 5 à 23€. Théâtre du Balcon. 38 rue Guillaume Puy. Avignon.
04 90 85 00 80 – contact@theatredubalcon.org 


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

Arnaud Pignol, directeur général de la SPL (Société publique locale) Avignon Tourisme, vient de faire part de sa décision de faire valoir ses droits à la retraite à compter de ce mercredi 1er octobre 2025. Après 8 ans à la tête de cette structure qui chapeaute l’office de tourisme d’Avignon, les monuments du palais des papes et du pont Saint-Bénézet inscrits à l’Unesco, le centre des congrès du palais des papes et l’espace Jeanne-Laurent, mais aussi le parc des expositions à Agroparc ainsi que les parkings payant du palais des papes, des Halles et de la gare centre quitte ses fonctions pour des raisons médicales.

Cette décision a été actée par le conseil d’administration d’hier qui s’est tenu sous la présidence de Marc Simelière, président d’Avignon tourisme et conseiller municipal délégué au tourisme de la ville d’Avignon. C’est Romain Decelle, actuellement responsable administratif et juridique de cette SPL employant près de 130 collaborateurs, qui a été désigné pour assurer l’intérim jusqu’à l’élection d’un nouveau conseil d’administration nommé à l’issue des prochaines élections municipales qui se dérouleront en mars 2026.

Arnaud Pignol, auparavant délégué général d’Inter Rhône, l’interprofession des vins de la Vallée du Rhône, quitte ses fonctions alors Avignon Tourisme (ainsi qu’Avignon et le Vaucluse en général) affiche une très belle année en termes de fréquentation.
L’office du tourisme situé cours Jean-Jaurès au bas de la rue de la République a vu sa fréquentation progresser de +13% avec 56% de touristes français, 32% internationaux et 12% de locaux. Dans le même temps, aux palais des papes, les chiffres de fréquentation sont en augmentation en juillet et en août par rapport à la même période en 2024 puisque l’exposition-déambulation de l’artiste Othoniel semble avoir dopé la fréquentation du plus grand palais gothique du monde.


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Isabelle Le Bourgeois propose une conférence autour de son livre ‘Vivre avec l’irréparé’ récompensé par le Prix Littéraire de la Liberté Intérieure 2024. Une précieuse occasion de découvrir son parcours et sa réflexion sur la manière de vivre avec l’irréparé qui est la trace laissée par l’irréparable dans nos vies. Jeudi 9 octobre. 19h. Cinéma Le Capitole Mycinewest au Pontet.

Au tout début.Isabelle Le Bourgeois est une ancienne femme d’affaires devenue religieuse, psychanalyste et aumônier de prison. Durant 14 ans, elle a accompagné des détenus dans la maison d’arrêt de Fleury Mérogis et formé des aumôniers de prison avant de rejoindre le Contrôle général des lieux de privation de liberté. Elle a publié Derrière les barreaux, des hommes (Desclée de Brouwer, 2002), Dieu sous les verrous (Presses de la Renaissance, 2006) et Espérer encore (Desclée de Brouwer, 2006).

Vivre avec l’irréparé
Prix de la liberté intérieure 2024 et paru chez Albin Michel. « Nous avons tous expérimenté dans nos vies d’hommes et de femmes le surgissement de l’irréparable : la mort, l’accident, l’humiliation, l’échec… autant de situations qui disent le définitif, le non-réparable. Mais comment, face à ces souffrances pérennes, distinguer l’irréparable de l’irréparé, qui, lui, pourrait n’être pas définitif ? L’irréparé dit ce qui n’est pas encore réparé et, par-là, indique que cela pourrait l’être, laissant ouvert un champ de possibles. Telle est l’exploration d’Isabelle Le Bourgeois, qui va jusqu’à se demander s’il n’y aurait pas une part d’irréparé au sein même de Dieu, tel que nous le présente le récit biblique.

Le Dieu des abîmes
« Où es-tu ? » Telle est la première parole adressée par Dieu à l’Homme dans la Bible. Question singulière (Dieu n’est-il pas omniscient ?)…Mais très vite, en donnant la parole à des patients de son cabinet et à des personnes détenues qu’elle vient écouter en prison, elle retourne la même question vers Dieu : où est-il pour le prêtre Loïc qui se rend compte de l’inanité de sa vie, pour Marie-Josèphe la moniale en rupture de ban, pour Humberto le transsexuel, pour Marie-Thérèse la bourgeoise en détresse, pour Titouan le syndicaliste dont la vie s‘est fracassée un jour d’ivresse sur les morts qu’il a provoqués en voiture, pour Damien qui a assassiné sa femme par jalousie… ? Du fond de ces abîmes de remords, colère, désespoir, culpabilité, des âmes brisées appellent un Dieu qui semble absent, avec des accents de vérité qui touchent à l’universel.

‘Au-delà des barreaux, la vie’
Laurence Monroe lui a consacré un documentaire « Au-delà des barreaux, la vie », diffusé sur France 2 ainsi que Jean-Pierre Bertrand et François Labaté, « L’aumônière, quand l’aumônier est une femme », diffusée sur France 5 le 19 mai 2003.

Espérer, encore
Violence, angoisses, souffrance… Pourquoi se battre, puisque le combat semble perdu d’avance. Au nom de quoi, de qui, persister, durer, avancer ? Serions-nous des déçus de l’espérance, de la confiance et des promesses ? Si le mal est une énigme intarissable, Isabelle le Bourgeois affirme pourtant que l’amour l’est tout autant. Peut-être même davantage. Quel mystère que sa présence ! L’espérance n’est pas autre chose que cet amour qui ne baisse pas les bras, qui ne se laisse pas déborder par ce qui n’est pas lui. L’espérance est l’audace de l’amour, reçu et donné. Aumônier à la prison de Fleury-Mérogis, Isabelle le Bourgeois côtoie au jour le jour la désespérance la plus profonde. Enfances meurtries, familles brisées, vie gâchées… Avec un sens rare du portrait, elle rejoint le cœur d’une humanité blessée. Au fil de l’écoute, des rencontres multiples, à travers une parole inattendue, un geste ou un sourire, jaillissent patiemment tissées, toutes les raisons d’espérer encore.

Les infos pratiques
Conférence de Louise Le Bourgeois. Jeudi 9 octobre. 19h. Débat autour de son livre ‘Vivre avec l’irréparé’. Tout Public. 5€. Une initiative de la radio RCF Vaucluse. 118, avenue de Saint-Tronquet. Cinéma Le Capitole Mycinewest. Le Pontet.


(Vidéo) Blachère Illumination présente sa première guirlande 100% made in France

Aux mois d’octobre, novembre et décembre, la Distillerie Manguin et Baryum 56 proposent plusieurs ateliers pour apprendre à manier l’art de la mixologie. L’atelier de ce vendredi 3 octobre affichant déjà complet, l’inscription aux trois autres dates est déjà possible.

Jusqu’à la fin de l’année, la Distillerie Manguin, située sur l’île de la Barthelasse et spécialiste des spiritueux à l’olive, des pastis et des eaux-de-vies, propose quatre ateliers cocktails le vendredi 3 octobre et les lundis 27 octobre, 24 novembre et 22 décembre. L’occasion pour les passionnés de mixologie de se perfectionner et de tester les produits de la distillerie avignonnaise, et pour les curieux d’apprendre cet art.

C’est Hadrien, barman du Baryum 56, situé à Avignon, qui est aux commandes de ces ateliers et qui livrera ses secrets aux participants, qu’il accompagnera dans la réalisation de deux cocktails signature. Chaque atelier sera précédé d’une visite guidée de la distillerie et d’une découverte de ses spiritueux.

L’atelier du vendredi 3 octobre et déjà complet, mais il est d’ores et déjà possible de s’inscrire aux prochains (inscription en ligne).

3 et 27 octobre, 24 novembre et 22 décembre. De 19h à 21h. 55€. Distillerie Manguin. 784 Chemin des Poiriers. Avignon.


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L’impôt sur la fortune (ou ses équivalents) suscite de vifs débats en France comme dans d’autres pays européens. Moins répandu que l’impôt sur le revenu, il vise à taxer les patrimoines les plus élevés, principalement dans le but de réduire les inégalités ou de financer des politiques sociales. Comme le détaille notre carte, basée sur des données compilées par Toute L’Europe, en 2025, seuls quelques pays d’Europe appliquent un impôt sur la fortune. Il s’agit de l’Espagne, la Norvège, la Suisse, et dans une moindre mesure (partiellement), de la France, des Pays-Bas et de la Belgique.

En Espagne, l’impôt sur la fortune est géré par les régions autonomes et varie de 0,2 % à 3,5 % sur les patrimoines de plus de 700 000 d’euros. En outre, depuis 2022, un nouvel impôt de solidarité temporaire sur les grandes fortunes a été instauré à l’échelle nationale : celui-ci touche les patrimoines de 3 millions d’euros ou plus, avec un taux de prélèvement allant de 1,7 à 3,5 %. En Norvège, le taux d’imposition sur la fortune est de 0,7 % en moyenne (en fonction des localités) sur les actifs dépassant environ 145 000 euros. De plus, en 2022, le gouvernement norvégien a porté le taux d’imposition national à 1,1 % (contre 1 % avant) pour les actifs supérieurs à 1,7 million d’euros. Enfin, en Suisse, l’impôt sur la fortune est progressif et dépend du canton : il concerne les patrimoines de plus de 100 000 euros environ et varie globalement de 0,05 % à 0,9 %.

En France, l’impôt de solidarité sur la fortune a été abandonné en 2018 et remplacé par un impôt sur la fortune immobilière. Ce dernier vise les patrimoines immobiliers au-delà de 1,3 million d’euros avec un taux progressif de 0,7 % à 1,25 %. Aux Pays-Bas également, l’impôt sur la fortune a été supprimé en 2001 et existe aujourd’hui sous une autre forme. Il s’agit d’une imposition indirecte, avec une taxe de 36 % sur le « rendement fictif » du patrimoine (épargnes, actions, etc.). La Belgique applique elle aussi un impôt partiel sur la fortune, qui prend la forme d’une contribution de solidarité de 0,15 % sur les actifs financiers de plus d’un million d’euros.

Plusieurs autres pays européens appliquaient un impôt sur la fortune par le passé mais l’ont abandonné au cours des dernières décennies. C’est le cas par exemple de l’Italie en 1992, de l’Autriche en 1994, de l’Irlande, du Danemark et de l’Allemagne en 1997, ou plus récemment de la Finlande (2006) et de la Suède (2007).

De Tristan Gaudiaut pour Statista

https://www.echodumardi.com/page/2/   1/1