4 juillet 2025 |

Ecrit par le 4 juillet 2025

Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture de la voie rapide d’Avignon et du pont

Le pont de la RD907n, situé au Pontet, qui permet le franchissement de la RD225 (voie rapide Avignon – Carpentras), subit des travaux qui nécessitent sa fermeture complète à la circulation certaines nuits de 21h à 6h. De nouvelles dates ont été annoncées entre le lundi 16 et le vendredi 27 septembre, durant lesquelles la RD225 (dans les deux sens) va également subir des fermetures. La voie rapide et le pont vont également subir une fermeture totale durant deux week-ends.

Le pont de la RD907n (route de Sorgues), situé au Pontet, qui permet le franchissement de la RD225 (voie rapide Avignon – Carpentras) subit des travaux de réparation depuis le 11 mars à cause d’une fissuration longitudinale importante due à la variation de température dans la dalle et au trafic élevé supporté par l’ouvrage. Les travaux entrent donc dans leur dernière phase ce lundi 16 septembre et devraient s’achever fin octobre.

Ainsi, le pont enjambant la voie rapide sera complétement fermé toutes les nuits de 21h à 6h entre le lundi 16 et le vendredi 27 septembre, à part les samedi 21 et dimanche 22 septembre. La voie rapide d’Avignon Nord sera fermée à la circulation dans le sens Avignon-Carpentras entre de 21h à 6h les lundi 16, mercredi 18, vendredi 20 et jeudi 26 septembre, et dans le sens Carpentras-Avignon les mardi 17 et jeudi 19 septembre.

Deux fermetures totales du pont et de la voie rapide

Afin de remplacer les appareils d’appui du tablier du pont, qui permettent la dilatation du tablier et d’amortir les mouvements de l’ouvrage dus au trafic routier, le pont doit être soulevé durant quelques heures. Pour réaliser au mieux et sans risque cette grosse opération, le pont et une partie de la voie rapide qu’il enjambe seront fermés à deux reprises, durant 35 heures la première fois puis 12 heures la seconde.

Ainsi, la circulation sur le pont et sur une partie de la voie rapide d’Avignon Nord, dans les deux sens, va être interdite à tous les véhicules du samedi 28 septembre 19h au lundi 30 septembre à 6h, et du dimanche 6 octobre à 18h au lundi 7 octobre à 6h. Les usagers devront emprunter les itinéraires de déviation qui seront mis en place.

©Département de Vaucluse

Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture de la voie rapide d’Avignon et du pont

Ce « ventre » d’Avignon, le long de la Rocade, après avoir été baptisé « Marché Gare » puis « MIN », a changé de nom, « ECOMIN », de logo, de charte graphique. « Mais ce n’est pas un simple relookage, c’est une vraie re-dynamisation » affirme la présidente, par ailleurs maire d’Avignon, Cécile Helle. « Avec les équipes et les entreprises, nous avons relevé le défi pour les déchets soient recyclés et valorisés, comme les végétaux réutilisés comme compost des espaces verts de la ville, chaque mois, 2 tonnes sont produites ».

Géraud Aguenour est chef du projet « Transition énergétique et environnementale ». ll dresse un 1er bilan de l’année écoulée : « Nous avons désormais 16 points de charge pour les véhicules électriques. L’éclairage public aussi a été modernisé avec 255 luminires LED, 49 candélabres à énergie solaire, du coup notre facture a baissé de 30% ».

©AB

Avec l’Agence Urbanisme Rhône Avignon Vaucluse (AURAV), un plan de désimperméabilisation et de végétalisation a été lancé pour limiter les effets d’ilôt de chaleur avec des végétaux résistants, 25 grands arbres ont été mis en terre, 110 arbustes mais aussi 3 800 plantes vivaces sur 5 500m2 pour que les 25 hectares d’ECOMIN, à quelques encablures des remparts soient moins impactés en pèriode de fortes chaleurs.

Claire, qui représente « Jeannette Traiteur » ajoute : « Nous faisons une cuisine avec des fruits et légumes de saison, nous nous fournissons dans la ceinture verte pour limiter l’empreinte carbone, nous avons un potager, des poules, nous utilisons des couverts en bois, chez nous, pas de verrines, les entrées sont servies dans du papier kraft, nous compostons, nous trions, nous évitons au maximum le gaspillage ».

©AB

Pour la Région Sud, la vice-présidente Bénédicte Martin a rappelé que l’antenne de Provence-Alpes Côte d’Azur est installée dans l’enceinte d’ECOMIN avec une quarantaine d’agents. « Ce marché a évolué au fil des décennies depuis 1961, date de son ouverture. il s’est adapté. La restauration dans les écoles et les EHPAD est faite avec les produits des maraichers alentour, c’est un éco-système vertueux. »

Cécile Helle a insisté sur les axes « éco-logie et « éco-nomie ». D’ailleurs 140 entreprises sont implantées sur le site, 1 400 salariés y travaillent, avec 100 000m2 d’entrepôts et 10 000m2 de bureaux. Un poumon vert au coeur de la Cité des Papes.

Contact : smina@minavignon.fr

AB


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture de la voie rapide d’Avignon et du pont

Le Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire a ouvert un appel à projets qui a pour objectif de soutenir les collectivités territoriales et les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) volontaires dans la gestion des chats errants. En application de la loi de finances pour l’année 2024, le ministère mobilise à cette fin une enveloppe de 3M€. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au mardi 10 octobre.

Les demandes de financement concernant les chats errants visent principalement les actes vétérinaires d’identification et de stérilisation, et les éventuels frais connexes. Le taux de financement est fixé à 100% pour les dépenses éligibles, sous réserve d’un plafond de 100 000€ pour les projets les plus importants.

Ce financement est attribué dans le cadre de l’expérimentation prévue par la loi du 30 novembre 2021 visant à lutter contre la maltraitance animale et conforter le lien entre les animaux et les hommes. Cette loi prévoit la mise en place de conventions entre l’État et les maires ou les présidents des collectivités territoriales et EPCI volontaires afin d’améliorer la gestion et la prise en charge des populations de chats errants ou en divagation et d’articuler les compétences et les moyens de chaque signataire dans cet objectif.

Pour solliciter une subvention, les communes et EPCI doivent répondre à l’appel à projets figurant sur la page ‘Soutien aux  projets de gestion des chats errants‘. Les candidatures à l’appel à projets sont ouvertes jusqu’au 10 octobre 2024.

Ce soutien s’inscrit dans le cadre du Plan national pour améliorer le bien-être des animaux de compagnie du Gouvernement, dont l’un des objectifs est l’amélioration de la gestion de l’errance canine et féline en France.


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture de la voie rapide d’Avignon et du pont

À quelques jours de la fin de l’été, les Musicales du Luberon lancent leur festival d’automne. Au programme : trois concerts et une conférence qui auront lieu dans différents lieux de la ville d’Apt entre le vendredi 13 septembre et le samedi 5 octobre.

Née en 1989, l’association Les Musicales du Luberon fait rayonner la musique classique et lyrique au travers de concerts et activités organisés dans divers lieux en Vaucluse tout au long de l’année. Depuis 35 ans, l’association a accueilli plus d’une centaine d’artistes et 160 000 spectateurs, et a organisé plus de 700 concerts.

Dès ce vendredi 13 septembre, le festival d’été, qui a rencontré beaucoup de succès, laisse place à celui d’automne. Un trio multirécompensé, une conférence sur Mozart, l’Orchestre national Avignon-Provence, ou encore la ‘Marianne’ de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 vont apprivoiser les scènes aptésiennes.

Le programme

• Le vendredi 13 septembre, le Trio Sõra, composé de la pianiste Pauline Chenais, de la violoniste Fanny Fheodoroff et de la violoncelliste Angèle Legasa, qui a remporté 14 prix, ouvrira ce festival d’automne avec ‘Nous aimons Brahms’. Le concert, qui devait avoir lieu à la Micro-Folie, se tiendra finalement dans la salle des fêtes d’Apt, pour des raisons météorologiques.
13 septembre. 19h30. 30€ (billetterie en ligne). Salle des fêtes. Place Gabriel Péri. Apt.

• Le vendredi 20 septembre, le musicologue-conférencier vauclusien Renato Sorgato animera la conférence ‘Wolfgang Amadeus Mozart, l’homme et l’artiste au-delà du mythe et de la légende’. À l’issue de ce rendez-vous, l’auteur présentera et dédicacera son ouvrage, qui porte le même titre.
20 septembre. 18h30. Entrée libre. Micro-Folie. Rue Cély. Apt.

• Le vendredi 27 septembre, l’Orchestre national Avignon-Provence, sous la direction de Débora Waldman, viendra se produire à Apt. L’ensemble fera redécouvrir au public les compositions de Mozart et de Grieg.
27 septembre. 19h30. 30€ (billetterie en ligne). Salles des fêtes. Place Gabriel Péri. Apt.

• Le samedi 5 octobre, la chanteuse lyrique Axelle Saint-Cirel, qui a brillé aux yeux des Français comme à l’international pour son interprétation de La Marseillaise lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, incarnera, dans un récital imaginé par elle, les « rebelles à l’opéra » selon Mozart, Gounod ou Bizet.
5 octobre. 17h. 25€ (billetterie en ligne). Chapelle du Conservatoire de musique. 208-240 Avenue Philippe de Girard. Apt.


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture de la voie rapide d’Avignon et du pont

Le vendredi 13 est signe de superstition pour beaucoup. Si nombreux sont ceux qui voient cette journée d’un mauvais œil, d’autres la prennent comme une opportunité pour attirer la chance. À cette occasion, l’organisme spécialisé dans les statistiques FLASHS et le site JeuResponsable.fr se sont associés pour mener une enquête sur l’appétence des Françaises pour les jeux d’argent en cette date symbolique.

FLASHS et JeuResponsable.fr ont réalisé l’enquête auprès de 1 000 personnes âgées de 18 ans et plus. L’étude révèle une sensibilité plus forte des femmes à la superstition qui entoure le vendredi 13 et les motive, plus que les hommes, à miser en cette fin de semaine. Les résultats mettent également en exergue une utilisation plus répandue parmi la gent féminine de rituels préparatoires à l’acte de jouer.

©FLASHS / JeuResponsable.fr

Moins joueuses, mais plus sûres

Les femmes sont moins nombreuses que les hommes à envisager de jouer à des jeux d’argent le vendredi 13 septembre. 66% d’entre elles sont dans ce cas contre 73% parmi la gent masculine. En revanche, celles qui sont sûres de jouer sont plus nombreuses que les hommes (18% contre 15%).

Motivation superstition

Lorsqu’on les interroge sur leur motivation à jouer à des jeux d’argent en ce jour symbolique qu’est le vendredi 13, les femmes placent nettement en tête la superstition qui y est liée. 44% indiquent que c’est un moteur important pour elles, soit près de 10 points de plus que les hommes (35%). Par ailleurs, femmes et hommes se rejoignent pour dire qu’ils sont excités par la perspective de gros gains grâce aux cagnottes plus conséquentes proposées le vendredi 13 (36% pour elles, 37% pour eux).

©FLASHS / JeuResponsable.fr

Rituels au féminin

Ce rapport plus fort des femmes à la superstition se confirme dans la mise en place de rituels ou le respect d’habitudes avant de jouer à des jeux d’argent. Ainsi, elles sont clairement plus nombreuses que les hommes à adopter des rituels préparatoires : 62% sont dans ce cas contre un peu plus de la moitié des hommes (54%). Elles sont également plus nombreuses à choisir des numéros spécifiques et des dates importantes puisque la moitié d’entre elles (50%) indiquent le faire contre un peu plus du tiers des hommes (37%).

©FLASHS / JeuResponsable.fr

1/3 croit à l’efficacité des rituels

Les femmes pensent-elles que les rituels peuvent être efficaces ? À cette question, 33% répondent par l’affirmative, estimant que leur utilisation augmente les chances de gagner aux jeux d’argent. Une croyance partagée par les hommes dans des proportions similaires puisqu’ils sont 32% à y souscrire.  Enfin, quand un rituel ne semble pas fonctionner, les femmes l’abandonnent moins facilement que les hommes : 30% y ont déjà renoncé, une proportion qui monte à 37% chez leurs homologues masculins.


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture de la voie rapide d’Avignon et du pont

Maître Rémi Benoit, intervenant en droit de la construction, nous explique que par une décision rendue à la fin du printemps, le Conseil d’Etat a apporté de nouvelles précisions sur les règles de prescription du délai décennal applicables aux constructeurs.

Il est malheureusement fréquent que des désordres apparaissent sur des ouvrages publics lorsque ceux-ci ont déjà été réceptionnés et qu’ils sont exploités. Ces désordres peuvent revêtir une nature décennale en ce qu’ils rendent l’ouvrage impropre à son utilisation ou dangereux pour ses usagers.

En pareille hypothèse le maitre d’ouvrage, c’est-à-dire la personne publique, sollicite régulièrement le juge administratif en référé dit « mesures utiles » aux fins de faire désigner un expert judiciaire pour identifier les désordres, chiffrer le coût de la remise en état et décrire les éventuelles responsabilités des intervenants à l’acte de construire.

Pour être valablement satisfaite de ses demandes, la personne publique doit cependant faire preuve d’une attention particulière lors de la saisine du juge.

Le Conseil d’Etat avait déjà jugé récemment que « lorsqu’une demande est dirigée contre un constructeur, la prescription n’est pas interrompue à l’égard de son assureur s’il n’a pas été également cité en justice », obligeant ainsi le demandeur à l’action d’attraire le ou les intervenants susceptibles d’être responsables des désordres mais également leurs assureurs respectifs.

Dans la décision du 7 juin 2024, le Conseil d’Etat rappelle tout d’abord que le délai de prescription décennal ne peut être interrompu que par une citation en justice, au fond ou en référé, pour les désordres qui y sont expressément visés, et à la double condition d’émaner de celui qui bénéficie de la garantie décennale et d’être dirigée contre son débiteur ayant intérêt à la prescription.

Il a ainsi jugé, au visa de l’article 2244 du Code civil, qu’il « résulte de ces dispositions, applicables à la responsabilité décennale des architectes et des entrepreneurs à l’égard des maîtres d’ouvrage public, qu’une citation en justice, au fond ou en référé, n’interrompt le délai de prescription que pour les désordres qui y sont expressément visés et à la double condition d’émaner de celui qui a qualité pour exercer le droit menacé par la prescription et de viser celui-là même qui en bénéficierait ».

En d’autres termes, le délai décennal n’est interrompu que si le maitre d’ouvrage introduit lui-même une action en justice contre le constructeur ayant concouru à l’apparition des désordres qui y sont décrits.

Ici est l’apport de la décision rendue, car le délai n’est pas interrompu si le constructeur est appelé dans la cause en garantie d’un autre intervenant à l’acte de construire. Il peut donc être partie aux opérations d’expertise ordonnées mais ne pas être concerné par l’interruption du délai de prescription décennal dont il est susceptible de bénéficier.

Là encore, les juges du Palais Royal précisent que « les demandes d’extension des opérations d’expertise aux sociétés (…) n’avaient pu avoir pour effet d’interrompre le délai de prescription de l’action en garantie décennale pour la communauté de communes dès lors qu’elles n’avaient pas été présentées par celle-ci ».

Enfin, le Conseil d’Etat précise que le « requérant ne peut plus se prévaloir de l’effet interruptif attaché à sa demande lorsque celle-ci est définitivement rejetée, quel que soit le motif de ce rejet, sauf si celui-ci résulte de l’incompétence de la juridiction saisie ». Autrement dit, lorsque sa demande est rejetée pour un autre motif que celui de la compétence de la juridiction, plus aucun effet interruptif ne peut être évoqué.

En pratique, les maitres d’ouvrages publics confrontés à la survenance de désordres sur leurs ouvrages doivent donc être très attentifs lorsqu’ils saisissent le juge pour obtenir la réparation du préjudice subi.

Il convient à ce titre de veiller à satisfaire les exigences fixées par le juge administratif, à savoir :
– Appeler dans la cause tous les participants à l’acte de construire susceptibles d’être à l’origine de la survenance des désordres, sans oublier si besoin le contrôleur technique, le maitre d’œuvre, etc. (Au besoin l’exploitant éventuel de l’ouvrage peut aussi être appelé dans la cause, une mauvaise utilisation ou un entretien défaillant pouvant accentuer les désordres. Il n’est en revanche pas débiteur de la garantie décennale.)
– Appeler simultanément dans la cause les assureurs des intervenants concernés ;
– Décrire expressément les désordres survenus et leurs conséquences, notamment en termes d’exploitation ou de risques encourus.

Ce n’est qu’à cette condition que l’écoulement du délai décennal sera régulièrement interrompu et que le maitre d’ouvrage pourra valablement obtenir la réparation du préjudice subi.


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture de la voie rapide d’Avignon et du pont

Depuis 2012, elles sont 5 communes à porter l’AOC Gadagne : Caumont, Châteauneuf-de-Gadagne, Morières, Saint-Saturnin-les-Avignon et Vedène pour environ 125 hectares de vignobles sur un terroir de galets roulés. Et c’est ce village où est né le ‘Félibrige‘ qui a accueilli samedi 7 septembre le Ban inauguré par une énorme grappe portée à bout de bras par la Confrérie des Taste Grappes qui fait le tour du parc, au milieu de centaine de participants.

Sébastien Clément est président de l’AOC et propriétaire avec sa sœur Lorette, la plus jeune vigneronne du coin, du Domaine des Garriguettes. « Nous sommes une petite appellation avec 250 000 bouteilles par an. Heureusement, nous avons été épargnés par le mildiou sur ce plateau d’un peu plus de 100 mètres d’altitude. Nous n’avons pas non plus souffert de la sècheresse cet été. D’ailleurs, la vigne continue de pousser. Certes, nous n’allons pas battre des records de volume, mais la qualité, elle, sera là. »

Sébastien et Lorette.

D’habitude, la fête se déroule un peu à l’étroit, au cœur du village. Cette fois, à l’Arbousière, on a pu faire entrer sept food-trucks en plus de mange-debouts, de tables et de bancs, avec un orchestre entraînant. Du coup, il y avait davantage de fréquentation, surtout des familles avec landaux et poussettes. Xavier Anglès est à la tête de la Confrérie des Taste Grappes et du Domaine du Bois de Saint Jean avec son frère Vincent, une famille de vignerons depuis 1585. « Qu’on évoque Dionysos, Bacchus ou Saint-Vincent, le but, c’est de proclamer le début des vendanges. On les entame ces jours-ci et la maturité est là, espérons qu’il pleuve un peu. » Autre vignoble qui avait son stand, samedi soir, me Domaine de la Chapelle de la famille Boussier, installée ici depuis 70 ans, depuis 1954, dont la cuvée de Côtes-du-Rhône rouge avec un zeste de mourvèdre fait toute la différence.


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture de la voie rapide d’Avignon et du pont

C’est une première, les universités d’été du mouvement politique de Julien Aubert, “Oser la France“ auront lieu le samedi 28 septembre à Avignon. Y participeront notamment le régional de l’étape l’avignonnais Karim Zeribi, ancien député européen et récemment cofondateur du Conseil mondial de la diaspora algérienne (CMDA) mais également le voisin occitan Robert Ménard, maire de Béziers.

“Oser la France“ abandonne donc la Fruitière numérique de Lourmarin pour le Rouge Gorge, le cabaret-théâtre voisin du Palais des Pape repris au printemps 2022 par Harold David co-président du Festival Off d’Avignon et Mickaël Perras, avec comme thématique pour cette nouvelle édition : “les territoires oubliés de la République“.

Le mouvement souverainiste de l’ancien député de la cinquième circonscription de Vaucluse, consacrera cette journée à débattre autour de nombreuses personnalités sur les territoires perdus de la République et sur les phénomènes de division et d’archipellisation chère à l’essayiste et analyste politique Jérome Fourquet.

Une partie des différents intervenants aux tables rondes des universités d’été © Oser la France

Quatre tables rondes avec de nombreux chroniqueurs habitués des plateaux de Cnews, BFM, LCI ou RMC développeront les sujets :

– Les territoires victimes des forces séparatistes :
la France des quartiers animée par Sebastien Meurant avec le General Emmanuel De Richoufftz, Zohra Bitan, Etienne Blanc, Stephane Finance.

– Les territoires victimes des force séparatistes :
la France des ghettos communautaires animée par Olivier Arsac avec Michel Aubouin, Karim Zeribi, François Pupponi, Céline Pina, Jean-Louis Borloo.

– Les territoires abandonnés :
la France rurale animée par Nicolas Leblanc avec Céline Imart, Laurent Duplomb , Robert Menard, Matthieu Bloch.

– Les territoires autonomisés :
Corse, Nouvelle Calédonie, Polynésie, Mayotte animée par Florence Kuntz avec Mansour Kamardine, Jean-Felix Acquaviva, Benjamin Morel, Jean-François Carenco.

Avignon : “Habemus“ Julien Aubert ?
C’est une semaine avant les universités d’été d’Oser la France, le samedi 21 septembre, que Julien Aubert organisera à 9h30 en face l’hôtel de ville au bar le Forum, une réunion publique et engagera une réflexion sur l’avenir d’Avignon qu’il diagnostique en déclin. Le magistrat de la cour des compte a la volonté de mettre en place une équipe transpartisane pour réfléchir à l’avenir du chef lieu de Vaucluse et surement un peu au sien dans la cité des papes, même si ce dernier se défend de toute ambition municipale et envisage ce moment d’échanges comme étant le temps des idées avant celui des femmes et des hommes.

Informations : www.oserlafrance.fr

DP


Le Pontet : les nouvelles dates de fermeture de la voie rapide d’Avignon et du pont

Ce vendredi 13 septembre, Luminagora va présenter son nouveau spectacle son et lumière ‘Mistral de Provence’, basé sur un manuscrit inédit de Frédéric Mistral, à Gordes. Le spectacle mêlera comédiens, danseurs, lumières et projections de fresques géantes sur le château du village.

Luminagora, qui fêtera ses 10 ans l’année prochaine, développe des itinéraires lumineux autour de quatre labels : Lumières du Gard, Magistrale Provence, Hérault du Patrimoine, et Grand Est illumination. Le collectif artistique va proposer un tout nouveau spectacle, ‘Mistral en Provence’ qui sera présenté ce vendredi 13 septembre à Gordes, où Luminagora avait déjà présenté une œuvre en 2023, ‘La déesse de Gordes’, qui retraçait l’histoire de la commune.

L’idée de ‘Mistral en Provence’ est née de la rencontre entre Richard Kitaeff, maire de Gordes, et Valérie Siaud, historienne de la Provence, descendante de la famille Roumanille, éditeur et libraire local du XIXᵉ siècle. Le spectacle de Luminagora sera basé sur un tout nouveau manuscrit de Frédéric Mistral, qui sera dévoilé au public lors de l’événement. Ce vendredi 13 septembre lancera la tournée ‘Mistral en Provence’ programmée pour 2025, pour laquelle le collectif vient d’installer ses studios à Vedène.

Une quinzaine de comédiens sublimés par des vidéomappings

Le spectacle ‘Mistral en Provence’ allie projections mapping vidéo, spectacle vivant et arts graphiques pour rendre hommage à la Provence et à Frédéric Mistral. Ce dernier sera interprété par un comédien, qui sera entouré d’une quinzaine d’autres. Ensemble, ils parcourront les origines de la Provence, l’eau et les fontaines, les poèmes de Mistral sublimés, la vie des villages provençaux, la crèche provençale, l’univers du vin et des terroirs, la famille Roumanille et le manuscrit, la sieste paresse de Mistral, ou encore la Camargue et les traditions provençales.

©Luminagora

Ce groupe de comédiens et danseurs seront sublimés par des fresques géantes, réalisées par le peintre Christian Jequel, résidant et travaillant à Marseille, qui travaille avec une technique au couteau. Ses œuvres seront animées grâce à la technologie et aux graphistes puis projetées en vidéomappings sur une façade du château de Gordes pendant le spectacle.

Vendredi 13 septembre. 22h. Gratuit. Place du Château. Gordes.

https://www.echodumardi.com/page/207/   1/1