19 juin 2025 |

Ecrit par le 19 juin 2025

La Ville de Cavaillon organise une soirée mousse

Jusqu’à la fin de l’été, la Ville de Cavaillon prévoit une ambiance festive avec trois soirées DJ à l’hippodrome. La première d’entre elles sera une soirée mousse et elle aura lieu ce vendredi 26 juillet.

Des food trucks seront sur place pour régaler vos papilles. Cet événement, gratuit et ouvert à tous, proposera également des goodies gratuits pour vous plonger davantage dans une ambiance déjantée.

Vendredi 26 juillet. De 20h à 01h. Hippodrome de Cavaillon. 92 Avenue Pierre Grand. Cavaillon.


La Ville de Cavaillon organise une soirée mousse

Ils ont carrément investi Châteauneuf-du-Pape, Isabelle et Arnaud Strasser, les propriétaires depuis 2019 de la mythique Mère Germaine. Cette maison fondée en 1922 par Germaine Vion, ex-chef des cuisines de l’Elysée. Une maîtresse-femme comme La Mère Poulard au Mont-Saint-Michel ou La Mère Brazier à Lyon. Ce cordon-bleu décrochera 2 étoiles Michelin en 1932, un exploit unique en France avec comme hôtes Fernandel, Gabin ou Mistinguett.

Et le couple Strasser a donné un coup de jeune à ce lieu défraîchi et empesé. Avec des artisans de qualité, en huit mois de travaux intensifs, ils ont tout rénové, relooké le cadre avec un design frais et flashy, un mobilier contemporain, des tableaux exotiques hauts en couleur en provenance du Brésil. Le jardin est accueillant et ombragé, la terrasse donne à perte de vue sur les vignes, Le Rhône et même le Palais des Papes au loin. Mais surtout, les Strasser ont gardé l’âme de cette institution iconique. « Notre maison est élégante, mais pas guindée », précise Arnaud Strasser. Sa femme Isabelle ajoute : « Manger chez La Mère Germaine est une expérience unique et donne accès à la gastronomie avec une fourchette de prix pour le déjeuner tout à fait accessible. »

Un nouveau chef pour La Mère Germaine

En mars dernier, le Guide Michelin a confirmé l’étoile l’obtenue en 2021 par La Mère Germaine, et depuis le mois de juin, c’est le jeune chef Adrien Soro qui est à la tête de la brigade. Formé par Joël Robuchon, par Alain Ducasse au Louis XV à Monaco, il a aussi accompagné Hélène Darroze au Royal Mansour à Marrakech. « Il va désormais écrire un nouveau chapitre de l’histoire de notre maison », précise Arnaud Strasser. 

Adrien Soro a voyagé au Vietnam, en Afrique du Sud, en Europe, il avait son propre restaurant en Dordogne (qui avait décroché une étoile au Michelin + une étoile verte). « Ici, nous avons un terroir extraordinaire, dit-il. Des fruits, des légumes extra frais, des viandes et des poissons d’exception, la garrigue, les aromates, le thym, la sarriette. J’adore la fermentation et les marinades qui sont des exhausteurs de goûts ». Âgé d’à peine 32 ans, le timide et perfectionniste Adrien Soro sait qu’il pratique un art éphémère. « Deux fois par jour, nous mettons notre étoile en jeu, nous montons sur scène pour le déjeuner et pour le dîner. Nous sommes jugés et à chaque fois, nous devons être au top. »

À la carte, quand nous avons goûté son menu, ont défilé pas moins de huit propositions à se lécher les babines : Panisse moelleuse et croustillante au parfum d’aïoli, Tartelette de truite de l’Isle-sur-la-Sorgue avec voile de fenouil, Croquette de volaille de la Drôme avec ketchup de betterave aux épices douces, Carpaccio de crevettes aux parfums d’agrumes, persil et aneth, Coquillages et crustacés de Méditerranée, Turbot cuit à l’ail rose et romarin, Condiment pêche blanche, verveine, courgette violon, Joue de bœuf au vin du Prieuré des Papes avec aubergine fondante du potager grillée et marjolaine et enfin Voyage entre agrumes et herbes aromatiques. Un dessert subtil concocté par le talentueux chef pâtissier Grégory Duglé.

Des plats sublimés par les vins locaux

Et pour les accords mets-vins, Adrien Soro peut compter sur une palette infinie de vins maison et le sommelier Boris Laurent. Car les Strasser ont racheté plusieurs domaines. À commencer par le Domaine du Prieuré des Papes, 25 hectares à Châteauneuf-du-Pape qui bénéficient d’un sol sablonneux et d’un sous-sol calcaire. Là, sont organisés des ateliers d’assemblage entre les 13 cépages de l’appellation. Ils sont aussi à la tête, au pied des majestueuses Dentelles de Montmirail à Baumes de Venise, du Domaine de Coyeux 120 hectares d’un seul tenant où sont élevés des vins doux naturels en appellation Muscat, des vins AOC, des IGP Méditerranée ainsi qu’un peu de Gigondas. Là aussi, les bâtiments ont été rénovés, un caveau nouveau édifié avec une longue terrasse sur l’esplanade où tous les vendredis c’été, c’est ‘La Nouba des Dentelles’, une soirée gourmande et musicale.

Mais il ne faut pas oublier non plus le Domaine de la Pousterle dans le Luberon, à Ansouis, une vingtaine d’hectares certifiés bio depuis 2020 où des cépages blancs Rolle (ou Vermentino) ont été replantés. Ni le Domaine du Moulin blanc de 9 hectares à Tavel, un rosé complexe du Gard Rhôdanien.

Et pour satisfaire les consommateurs les plus exigeants, les Strasser ont réponse à toute requête. Ils proposent aussi, face à la Mairie de Châteauneuf-du-Pape, ‘Au Bonheur de Germaine’, une boutique et sa sélection de vins, produits du terroir et objets d’artisanat. Également, une cave dont l’adresse est tenue secrète avec pas moins de 8 000 bouteilles de Châteauneuf, dont le Domaine Saint-Préfert d’Isabel et Guillemette Ferrando, le Domaine Beaurenard et Le Vieux Télégraphe, mais aussi des Côtes-Rôties, du Chapoutier, du Condrieu, du Pouilly Fuissé, du Saumur, un vrai trésor caché au cœur du village. Mais la liste ne s’arrête pas là. Les insatiables Strasser ont aussi, en face de La Mère Germaine, un hôtel éponyme classé 4 étoiles avec une douzaine de chambres et suites luxe, mais aussi spa et hammam. Et pour ceux qui préfèreraient une table bistronomique, Le Comptoir de la Mère Germaine, face au vignoble et au Ventoux, offre une large cuisine et une imposante rôtissoire rouge où le chef venu d’Équateur, Emilio Arriaga marie les cuisines du monde. 

La cave secrète, un trésor de 8 000 bouteilles des vignobles les plus réputés de France.

Isabelle et Arnaud Strasser cultivent la convivialité, l’hospitalité, la gastronomie, la viticulture et l’excellence avec leurs 80 salariés, ce qui n’est pas rien dans un département où le chômage frôle les 10%. Ils vous attendent chez eux, pour un repas, une nuitée, une dégustation, voire une ‘Nouba’, bref, un moment de partage et de bonheur.

Contact : www.lameregermaine.com


La Ville de Cavaillon organise une soirée mousse

Le mardi 17 septembre 2024, à partir de 8h30, la Confédération des Petites et Moyennes Entreprises 84 organise une formation intitulée « l’intervention ergonomique pour la prévention des troubles musculosquelettiques (TMS) » qui se déroulera à l’hôtel Mercure Avignon gare TGV. L’animation sera assurée par Nicolas Wodniack, consultant ergonome cabinet EOSE.

La CPME 84 poursuit son objectif d’aider les structures professionnelles à résoudre toutes les problématiques qu’elles peuvent rencontrer et celles de leurs employés afin d’améliorer leur cadre de travail. Avec cette formation, la CPME 84 met la lumière sur un enjeu majeur : les troubles musculosquelettiques qui constituent un enjeu majeur de santé en France et surtout dans les entreprises du territoire national. La prévention de cette question de santé est essentielle pour le bien être des employés et la performance pour les entreprises surtout lorsqu’on sait que cette maladie était la maladie professionnelle la plus répandue dans les pays développés en 2012.

L’ergonomie propose une démarche participative de prévention des TMS permettant la co-construction des solutions issues du travail réel. Cette formation abordera les fondamentaux des TMS, l’apport de la démarche ergonomique et la nouvelle subvention prévention des risques dits « ergonomiques » proposée par la CARSAT. 

Infos pratiques : Formation « l’intervention ergonomique pour la prévention des troubles musculosquelettiques (TMS) » . Hotel Mercure Avignon Gare TGV , 2 rue Mère Térésa, 84000 Avignon. Mardi 17 septembre 2024 dès 8h30 Inscription gratuite par retour de mail sur contact@cpme84.org.


La Ville de Cavaillon organise une soirée mousse

Alors que le Festival d’Avignon s’est tenu du 29 juin au 21 juillet et que le Off s’est déroulé du mercredi 3 au dimanche 21 juillet, la Chambre de Commerce et d’industrie de Vaucluse relaie la demande de mise en place par le Syndicat national des entrepreneurs de spectacles d’une indemnisation afin de compenser les pertes de billetterie des Festivals d’Avignon du samedi 29 juin au lundi 8 juillet, des compagnies et des structures de production présentes en Avignon.

Durée réduite des festivals, fin de l’année scolaire tardive et organisation puis résultats des élections, les festivals d’Avignon –In et Off- ont été impactés par des événements extérieurs qui auront amoindri les billetteries jusqu’à 50% du dernier week-end de juin à la fin de la première semaine de juillet.

C’est en tout cas le son de cloche porté par les professionnels du spectacle 
qu’ils soient les représentants de structures de production, compagnies ou lieux de spectacles auprès du Syndicat national des entrepreneurs de spectacles.

L’indemnisation
Cette indemnisation, à hauteur de 50 %, pourrait être calculée soit comparativement à 2023, soit en fonction de la jauge, précise le syndicat.

60M€ de retombées
La CCI de Vaucluse rappelle que le spectacle vivant et notamment le festival d’Avignon rayonne sur l’ensemble du territoire et constitue un gisement de 60M€ de retombées –l’impact économique du Off est estimé à 40,2M€. Ainsi, les deux festivals sont les plus grandes manifestations économiques du Vaucluse et également de la région Sud-Paca.
MMH


La Ville de Cavaillon organise une soirée mousse

Le syndicat mixte du bassin des sorgues subit comme chaque été l’arrivée d’une espèce envahissante qui prolifère dans les rivières du territoire : la Jussie. Aujourd’hui, elle représente une plante « compliquée » qui pose de gros problèmes pour les cours d’eau du syndicat mixte du bassin sorguais car elle prolifère de façon impressionnante en formant des herbiers denses qui éliminent toutes les autres plantes. 

Cette prolifération entraîne de nombreux problèmes pour les rivières et autres cours d’eau : écoulement de l’eau ralenti, comblement des fonds par les sédiments et envasement, déficit d’oxygène et modification des caractères physico-chimiques de l’eau, baisse de la diversité des milieux aquatiques, et donc un déséquilibre important de l’écosystème.

Ne pas l’arracher soi-même 

Cette plante aquatique qui provient d’Amérique du Sud ou du sud des États-Unis s’est installée en France entre 1820 et 1830 et servait à son commencement à la décoration de bassins d’agréments et d’aquariums. Depuis 2007 sa commercialisation et son introduction dans de nouveaux milieux naturels est interdite. 

Si vous tombez sur une cette plante lors d’une baignade ou d’une balade, n’intervenez pas par vous-même et n’arrachez pas sans l’aide d’un professionnel car l’arrachage de la Jussie demande une méthodologie et une technique bien spécifique pour ne pas propager l’espèce. Prévenez le SMBS car la plante possède des tiges très cassantes et leur fragmentation pourrait entrainer des boutures transportées à la surface de l’eau capables de coloniser de nouvelles zones. 


La Ville de Cavaillon organise une soirée mousse

L’association avignonnaise « Les jeunes pousses » lance le programme « Fauvess » (formations d’agriculture urbaine vers une économie sociale et solidaire) pour accompagner la transition agricole et le développement de nouveaux projets dans ce secteur. L’objectif de cette initiative est de multiplier le nombre projets liées à l’agriculture urbaine et l’alimentation responsable sur le territoire et ainsi favoriser une économie sociale et solidaire. 

L’association « les jeunes pousses » poursuit sa mission de sensibilisation aux bonnes pratiques agricoles et à l’émergence d’initiatives écologiques et responsables sur le territoire avignonnais. Après l’ouverture de la ferme urbaine « le tipi » en plein cœur du quartier de Monclar, l’association lance son nouveau programme « Fauves » (formations d’agriculture urbaine vers une économie sociale et solidaire)  qui a pour but d’initier aux métiers de la transition via l’agriculture et l’alimentation, de se perfectionner à la mise en place de tiers-lieux nourriciers en milieu urbain et enfin de se spécialiser pour devenir un(e) expert(e) dans différentes pratiques de l’agriculture urbaine. 

Une alimentation responsable et une agriculture agricole saine 

Avec « Fauvess », les jeunes pousses souhaite favoriser le développement de projets liés à la transition agricole et ainsi favoriser une alimentation responsable et une agriculture agricole saine. Ces objectifs pourraient conduire à la réalisation d’un but plus important : privilégier et emmener vers une économie sociale et solidaire.

Concrètement les formations proposées dans le programme « Fauvess » permettent un apprentissage complet des bonnes pratiques agricoles pour un projet futur et permettent en dernière phase de se spécialiser dans cinq domaines spécifiques selon les envies : l’éducation à l’environnement dans une ferme urbaine, la gestion et le financement d’un projet associatif de tiers-lieu nourricier, l’animation d’une ferme urbaine participative, la programmation d’un évènement responsable et enfin la spécialisation des cultures en milieu urbain. 

Un programme d’avenir et des soutiens d’autres associations 

Pour constituer ce programme « Fauvess » qui répond à plusieurs besoins et enjeux pour le futur agricole du territoire, « les jeunes pousses » se sont appuyés sur plusieurs constats observés : en premier lieu un désamour de la jeune génération pour le modèle d’exploitation « conventionnel ». Un taux de reconversion professionnelle qui est passé de 33 à 47% au cours des 8 dernières années (2 millions de français ont changé de métier lors des 5 dernières années), la forte demande d’apprendre des modèles alternatifs qui correspondent plus aux contraintes agricoles d’aujourd’hui et adaptés aux zones géographiques et enfin le constat que la moitié des agriculteurs (rices) vont partir à la retraite d’ici 10 ans donc la nécessité de mettre en place des programmes et actions pour former les jeunes sur les pratiques qui seront celles de demain.

Dans ce projet ambitieux, les « jeunes pousses » ont pu compter sur l’aide et le soutien de trois autres structures qui développent et portent les grandes lignes du programme. La première est l’association française d’agriculture urbaine et professionnelle (AFAUP) qui est Le réseau national des professionnels de l’agriculture urbaine dont la vocation est de faire de l’agriculture urbaine un levier incontournable pour rendre les villes durables, fertiles et solidaires. La seconde est la cité de l’agriculture qui est une association marseillaise née en 2015, elle œuvre pour une transition écologique, socialement juste, des villes et territoires à travers la transformation de leurs systèmes agricoles et alimentaires. La troisième et dernière est l’éveilleur qui organise des actions de formation et d’accompagnement pour tous types d’organisations souhaitant agir pour les transitions qui se trouve à Avignon. 

Le projet « Fauvess » s’inscrit dans le programme DEFFINOV Tiers-Lieux financé par l’Union Européenne, l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires (ANCT), la Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DREETS PACA) dans le cadre du Plan d’Investissements dans les Compétences (PIC).


La Ville de Cavaillon organise une soirée mousse

Le salaire minimum interprofessionnel de croissance, salaire minimum légal en France, actuellement fixé à 1 766,92 euros brut par mois pourrait augmenter au cours de l’été 2024.

Pour rappel, le Smic évolue en fonction de l’inflation. Ainsi, en mai 2023 puis en janvier 2024 il avait augmenté de 1,13% -1 709,28€ brut et 1 353,07€ net- suivant ainsi partiellement l’indice des prix à la consommation qui avait augmenté lui de 2%.

Or, une nouvelle prévision de la Banque de France
prévoit une augmentation de l’indice des prix hors tabac de 2% au 3e trimestre ce qui pourrait signifier une nouvelle hausse du salaire minimum. Si l’on prend une hypothèse d’une augmentation de 2%, le Smic pourrait alors passer la barre des 1 802,26€ par mois franchissant la barre des 1 800€ pour dépasser les 1 400€ net, alors que le nouveau Front Populaire milite pour un Smic à 1 600€ net et une indexation des salaires sur l’inflation.

Cette hausse du Smic pourrait intervenir dans l’été.

MMH


La Ville de Cavaillon organise une soirée mousse

Sous l’impulsion du groupe Mando Hospitality, et en collaboration avec l’Agence A+Architecture, l’ancienne prison de Béziers a été transformée en un hôtel trois étoiles.

Réinventer le bâtiment sans oublier son passé

Après 18 mois de travaux et 5 ans de réflexion, l’Hôtel La Prison à Béziers a ouvert ses portes le 1er juin 2023. Surnommée par les Biterrois “Le Château”, cette ancienne geôle fonctionnelle de 1867 à 2009 – désaffectée après l’ouverture d’un autre site pénitentiaire, a été réhabilitée. Avant même de devenir un hôtel insolite, son caractère et son authenticité avaient séduit Roschdy Zem, qui avait choisi cet endroit comme décor pour le tournage de son film Omar m’a tué.

La directrice générale de l’hôtel La Prison Samantha De Castro ©Elodie Greffin

Concernant les travaux, l’hôtel a été confronté à des défis majeurs, notamment en raison de l’environnement contraignant. Les rues très étroites ont rendu impossible l’accès de gros camions. La directrice générale de l’hôtel La Prison Samantha De Castro se souvient : “La Ville a eu la gentillesse de nous prêter une grue pour livrer les matelas et les sommiers. Nous avons également bénéficié du dévouement total d’équipes qui se sont investies pleinement dans le projet, avec un maître d’œuvre passionné, Monsieur Gilles Gal, suivant le projet dans son intégralité.” L’investissement de 8 millions d’euros dans la rénovation de cet établissement a été soutenu par le Fonds Tourisme Occitanie et la BPI.

Une expérience inédite, un caractère unique

Avec une situation idéale à deux pas de la Cathédrale Saint-Nazaire et du jardin des Évêques, l’hôtel La Prison a su conserver l’atmosphère singulière de son passé carcéral, tout en ajoutant la touche d’humour nécessaire pour séjourner derrière ses murs l’esprit léger. Ainsi, dans les 50 chambres et en dehors, des toiles, des tableaux, des tapis, des canapés colorés et des meubles chinés dans toute la France créent une ambiance chaleureuse. Même principe dans les parties communes ! Des pièces d’artistes telles qu’un Alien dans la cour ou les six joueurs de babyfoot géants de Monsieur Pierre Baey ont été intégrées.

L’intérieur de l’Hôtel La Prison ©Elodie Greffin

La qualité se poursuit au restaurant dirigé par Félix Andrieu et chapeauté par le chef Mathieu Bessière, dont la collaboration portée sur les produits locaux et les circuits courts permet la naissance d’une cuisine à la fois simple et raffinée. Un plaisir dans l’assiette, mais aussi pour les yeux, car le Bistro bénéficie d’une vue panoramique à 180 degrés sur la vallée de l’Orb !

Ouvrir la ville au public

Lieu d’hébergement, l’Hôtel La Prison est aussi un moteur d’attractivité pour le patrimoine biterrois. En collaboration avec l’Office du Tourisme, la direction organise des visites guidées axées sur le processus de rénovation du bâtiment ainsi que son histoire. L’hiver dernier, l’hôtel a pris part au festival d’automne, accueillant des musiciens et projetant des tableaux dans l’atrium. Des vernissages fréquents ainsi que des expositions de tableaux ont également eu lieu. Enfin, le site s’inscrit dans l’aménagement d’une nouvelle promenade touristique reliant les écluses de Fonséranes et la Cathédrale de Béziers.

L’art, nouveau gardien des lieux ©Elodie Greffin

Le lieu promet également d’être un acteur dynamique en matière d’événementiel.
Prochainement, une exposition photographique mettant en vedette des artistes tels que Alfons Alt, Elisabeth Daynès et Revilla sera présentée dans le cadre du festival Hors Cadre (10-31 octobre 2024), le premier festival de photographie à Béziers. Une nouvelle collaboration avec le conservatoire de Béziers est prévue pour le festival d’automne, centré sur le thème de la musique gourmande. L’organisation de murder parties et d’escape games, des jeux de rôle en grandeur nature, est également proposée sur demande pour des groupes.

Premier bilan

Après un an d’ouverture, le bilan est extrêmement positif, atteignant l’objectif de la directrice qui était de donner vie à cet endroit. Ce but est maintenant pleinement réalisé, car toutes les pièces du bâtiment sont occupées toute la semaine, attirant des visiteurs locaux et nationaux qui viennent vivre une expérience rare. “L’un des défis que nous avons voulu relever, c’est de faire de cet endroit un lieu accessible à tous. Nous encourageons vivement les Biterrois à s’approprier l’espace, à s’installer et à continuer à le faire vivre“, conclut Samantha De Castro.

par Elodie Greffin / Hérault Juridique et Économique & Hérault Tribune, membre du Réso Hebdo Eco

Vue depuis l’hôtel ©Elodie Greffin

La Ville de Cavaillon organise une soirée mousse

Le LAB RSE innovation organise la 20ᵉ édition de ses Trophées des Transitions et de la RSE Provence-Alpes-Côte d’Azur. Les entreprises ont jusqu’au mercredi 31 juillet pour envoyer leur candidature.

Les entreprises ayant au moins deux ans d’ancienneté et un salarié (cela peut être le créateur de l’entreprise) qui ont la responsabilité sociétale au cœur de leur stratégie peuvent candidater aux Trophées des Transitions et de la RSE PACA et aux Trophées des Transitions et de la RSE départementaux.

Ces Trophées sont l’occasion pour les entreprises de faire le point sur leur démarche RSE en bénéficiant d’un pré-diagnostic mettant en lumière les points forts et les points faibles de leurs actions. Les entreprises pourront également bénéficier d’un label engagé RSE et responsability europe en économisant jusqu’à 50% du coût du label. L’obtention d’un trophée permet la valorisation de la qualité de travail, le gain de reconnaissance et de fierté des salariés, la valorisation des parties prenantes (salariés, fournisseurs, clients, actionnaires, collectivités), le gain de notoriété, une reconnaissance comme étant une structure leader de la Responsabilité Sociétale en région PACA, ou encore l’appartenance à une communauté d’une centaine de lauréats.

Pour envoyer sa candidature, il suffit de créer un compte sur le site d’Acesia et de remplir le questionnaire en ligne, avant le mercredi 31 juillet, qui est axé sur la vision et la gouvernance, les ressources humaines et les aspects sociaux, l’environnement, la réalisation-fabrication des produits/services, ainsi que l’ancrage territorial.

Pour plus d’informations, cliquez ici.

https://www.echodumardi.com/page/229/   1/1