Cambriolages : à l’approche des vacances, les gendarmes de Vaucluse appellent à la vigilance
Face à la recrudescence de cambriolages sur certains secteurs et à l’approche des vacances, la gendarmedie de Vaucluse rappelle quelques conseils de prévention :
Verrouillez vos portes et ce même quand vous êtes chez vous.
Ne laissez pas d’outils à disposition des délinquants, qui leur serviraient à entrer par effraction (pied de biche, tournevis, échelle).
Ne postez pas en ‘public’ sur les réseaux sociaux que vous vous trouvez en vacances loin de chez vous.
Demandez à votre voisin de confiance de récupérer régulièrement le courrier.
Signalez tout comportement suspect dans votre quartier à la gendarmerie (au 17), en relevant si possible et sans prendre de risque le maximum d’informations.
Si vous le pouvez, installez quelques équipements peu couteux que les voleurs détestent : éclairages à détection de mouvements, caméras connectées (ne filmant pas la voie publique), renforts aux volets, ampoules connectées pour simuler une présence.
Utilisez le dispositif tranquillité vacances en vous signalant à la gendarmerie votre absence, par internet ou sur place. « Nous garderons un œil attentif sur votre domicile et saurons en cas d’intervention à votre adresse que vous ne vous y trouvez pas », explique la gendarmerie de Vaucluse.
Cambriolages : à l’approche des vacances, les gendarmes de Vaucluse appellent à la vigilance
La portion de véloroute entre Velleron et Pernes-les-Fontaines vient d’être inaugurée. Le nouveau tronçon de quatre kilomètres vient compléter la Via Venaissia, que les Vauclusiens empruntent depuis 2010 et qui permet désormais d’aller d’Orange à Velleron en passant par Jonquières, Sarrians, Aubignan, Loriol-du-Comtat, Carpentras, Monteux, ainsi que Pernes-les-Fontaines.
Les travaux du tronçon entre Velleron et Pernes-les-Fontaines, qui ont duré dix mois, ne comprennent pas seulement la réalisation de 4 km de voie verte, mais aussi celle de 6 accès et sécurisation de la traversée de la RD28 à Pernes-les-Fontaines, et la réhabilitation de 12 ouvrages hydrauliques. Le montant des travaux s’est élevé à 1 650 000 €, financés par l’Union Européenne, la Région Sud et le Département de Vaucluse.
Permettant aujourd’hui de parcourir 45km, à terme, la Via Venaissia rejoindra la ViaRhôna au niveau de Caderousse et de Piolenc, ainsi que la véloroute du Calavon à la hauteur de Robion. Telle est l’ambition du Département qui se positionne en faveur des mobilités douces, et qui célébrera d’ailleurs ses véloroutes ce dimanche 14 avril.
Cambriolages : à l’approche des vacances, les gendarmes de Vaucluse appellent à la vigilance
Le Groupement des Artisans Boulangers Pâtissiers du Vaucluse a organisé une journée de l’excellence ce mercredi 10 avril au cours de laquelle ont eu lieu le Concours départemental des Meilleurs Jeunes Boulangers et le Trophée départemental du Conseil et de la Vente en Boulangerie-Pâtisserie. Les jeunes apprenants volontaires ont participé à cette journée, organisée au CFA d’Avignon.
Au-delà de l’aspect compétitif, cette journée de l’excellence avait plusieurs objectifs : • Mettre en valeur la boulangerie artisanale. • Susciter des vocations chez les jeunes et leur permettre d’accéder ensuite au Brevet Professionnel, voire de concourir aux Meilleurs Ouvriers de France. • Sensibiliser l’opinion publique sur la formation dispensée par la profession et susciter l’intérêt des fabrications artisanales, saines et de qualité, fabriquées en boulangerie et boulangerie-pâtisserie. • Valoriser le métier du personnel de vente de la boulangerie française. • Accroître les compétences et les responsabilités du personnel de vente et développer son implication dans le conseil en boulangerie-pâtisserie. • Faire naitre une réflexion sur comment adapter la profession de la boulangerie aux attentes des consommateurs.
Le Concours des Meilleurs Jeunes Boulangers
Les épreuves du Concours des Meilleurs Jeunes Boulangers de Vaucluse ont débuté à 8h30 et se sont terminées à 16h30. Les jeunes avaient ensuite 15 minutes pour nettoyer leur poste de travail, une tâche qui était comprise dans la note finale. Durant la journée, les participants ont dû réaliser plusieurs pains de tradition française sur pâte fermentée (baguette, couronne bordelaise, pain polka, etc), six pains de campagne, des pains avec des avantages nutritionnels, plusieurs pâtisseries avec une pâte levée feuilletée au beurre (croissants, brioches, etc), un pain décoré sur le thème des animaux, ainsi que cinq tartines salées de leur création. Le jeune ayant reçu le 1ᵉʳ prix a gagné un chèque de 100€.
Le Trophée du Conseil et de la Vente en Boulangerie-Pâtisserie
Les épreuves du Trophée du Conseil et de la Vente en Boulangerie-Pâtisserie de Vaucluse ont eu lieu, quant à elles, de 14h à 16h30. Les participants ont d’abord dû remplir un QCM (questions à choix multiples) autour de la réglementation, (étiquetage, affichage), l’hygiène et les produits, les bases de la sécurité physique et sanitaire. Ils sont ensuite passés à la phase pratique avec une mise en place des produits pour laquelle ils ont disposé de 15 minutes, puis une mise en situation de vente. Le jeune ayant reçu le 1ᵉʳ prix a gagné un chèque de 100€.
Cambriolages : à l’approche des vacances, les gendarmes de Vaucluse appellent à la vigilance
Créée il y a déjà plus de 40 ans, l’association Passerelle poursuit son objectif de venir en aide et proposer des solutions aux différents publics qu’elle reçoit : hébergement d’urgence pour les sans-abris, accueil pour les demandeurs d’asile, insertion professionnelle à travers des chantiers d’intérêt général mais aussi aide à la mobilité à travers la gestion de la plateforme « jebougeenvaucluse.fr » et la création d’un garage social et solidaire. Ce lieu qui se trouve au 59 avenue de la Synagogue, à Avignon, a une double fonction mais un seul objectif : louer des véhicules ou proposer des réparations des véhicules à des personnes en difficulté financière afin de leur offrir un meilleur accès à l’insertion professionnelle.
Si vous êtes d’Avignon, vous êtes forcément passé devant ou à côté. Le garage solidaire de « Passerelle » est situé au fond du parking des italiens, le lieu de stationnement le plus fréquenté de la cité papale, à quelques mètres des nombreuses voitures qui viennent chaque jour se garer à cet emplacement gratuit. Une caractéristique qui correspond parfaitement aux valeurs de l’association Passerelle qui a installé cet espace pour répondre à toutes les demandes de mobilités liées à l’insertion professionnelle et offrir une aide aux personnes en difficultés, envoyés par les référents socio-professionnels.
L’association Passerelle, une histoire de valeurs avant tout Fraternité, solidarité et entraide. Ce sont ces maitres mots qui ont accompagné la démarche des prêtres Christian Bezol, André Allemant et Paul Dejardin lorsqu’ils décident d’accueillir des personnes démunis dans leur presbytère de l’île de la Barthelasse en 1980. De cet engagement qu’ils poursuivront tout au long de leurs vies, naitra quatre ans plus tard, en 1984, l’association Passerelle qui compte aujourd’hui plus de 40 salariés permanents, 40 emplois en insertion et plus de 900 personnes accueillies et accompagnées chaque année.
Si la structure a considérablement grandi, l’ADN et les valeurs de « Passerelle » restent exactement les mêmes qu’à sa création. Née pour apporter un accompagnement aux personnes en difficulté l’association n’a cessé au cours de ses quarante dernières années de s’accroitre et de diversifier ses activités. Actuellement, Passerelle ce sont 70 places d’hébergement et 116 places au centre d’accueil des demandeurs d’asile. Un accueil puis un accompagnement vers l’autonomie, c’est là tout le leitmotiv de la structure vauclusienne.
Fondée en 1984, l’association Passerelle compte aujourd’hui plus de 40 salariés permanents, 40 emplois en insertion et plus de 900 personnes accueillies et accompagnées chaque année.
« On s’est développé sur plusieurs axes, on répond aux besoins évolutifs des différents publics. Aujourd’hui Passerelle c’est de l’hébergement avec un service hébergement et logement qui se trouve à Saint-Jean, de la protection internationale avec un centre d’accueil des demandeurs d’asile à Saint-Chamand, de l’aide à l’emploi avec les chantiers d’insertion dans le domaine du bâtiment, des espaces verts etc. et bien sûr de la mobilité avec ce garage solidaire ainsi que notre engagement sur la plateforme jebougenvaucluse.fr » détaille Vincent Dumay, le nouveau directeur de l’association Passerelle.
Comment bénéficier du garage solidaire ? Pour pouvoir profiter de tous les avantages que propose un garage solidaire comme celui de Passerelle, il faut pouvoir remplir certains critères. Avant tout, il faut être un résident du Vaucluse disposant de faibles ressources financières (déterminé par un référent social) et surtout il faut être en parcours d’insertion socio-professionnelle afin de justifier cette aide à la mobilité. Une démarche qui a donc une portée territoriale et qui est soutenu financièrement par plusieurs aides extérieures comme l’explique le directeur Vincent Dumay « au niveau des aides financières, on a des financements d’Etat, des financements de la Région Sud et puis une implication assez importante du Département du Vaucluse qui nous soutient dans plusieurs de nos démarches ».
« Une implication assez importante du Département du Vaucluse qui nous soutient dans plusieurs de nos démarches ».
Vincent Dumay, directeur de Passerelle
Pour pouvoir guider au mieux le flux et l’accompagnement du public accueilli, le travail des salariés de Passerelle est guidé par un mot clé : l’orientation. Les personnes qui bénéficient de l’aide à la mobilité et du garage solidaire sont ainsi guidés via un référent social et doivent adhérer à l’association pour pouvoir accéder aux avantages du garage. Ces référents sociaux sont en majorité des acteurs institutionnels du territoire mais aussi des conseillers France Travail, des conseillers de la Mission Locale ou les instances sociales du département. Ils sont informés régulièrement des services et des offres que propose Passerelle ainsi que les nouveautés mises en place via un abonnement à une newsletter de la Plateforme Mobilité « Je Bouge En Vaucluse ». Une fourniture d’informations indispensables dont est responsable Dimitri Schaller, coordinateur de la plateforme « jebougeenvaucluse.fr » qui détaille sa mission : « Notre première mission est d’informer toutes les personnes en parcours emploi, en parcours formation départementale afin de les orienter vers une mobilité autonome en leur proposant des solutions concrètes via notre garage solidaire et Mobil’ins, notre service mobilité ».
« On est une sorte de guichet unique. »
Dimitri Schaller, coordinateur de la plateforme « jebougeenvaucluse.fr »
A chaque problème, une solution Chez Passerelle, chaque problème a sa solution. C’est bien d’ailleurs parce que chaque personne a un profil différent que l’orientation est primordiale comme le précise Dimitri : « On reçoit les orientations des référents socio professionnels et en fonction des soucis de mobilité, on propose des solutions : la personne qui n’a pas de moyen de locomotion pour l’emploi, on l’oriente vers la mise à disposition de véhicules, celle qui a un véhicule en panne, on la dirige vers le garage solidaire, celle qui a un souci de permis, on la guide vers le conseiller en mobilité, c’est comme ça qu’on fonctionne, on est une sorte de guichet unique. »
De gauche à droite : Karim Haouache, responsable du service Mobil’ins et du garage Passerelle, Vincent Dumay, directeur de l’association Passerelle, et Dimitri Schaller, coordinateur de la plateforme « jebougeenvaucluse.fr ».
« Jebougeenvaucluse » la plateforme clé de l’orientation en mobilité Pour mener à bien la mission d’offrir une chance de mobilité à chaque vauclusien et lever les freins de l’accès à l’emploi et à la formation, le Conseil Départemental de Vaucluse s’est associé aux 2 acteurs de la mobilité sur le territoire : Passerelle et Roulez Mob’ilité. De cette collaboration est né la création de la plateforme « jebougeenvaucluse.fr ». Un site d’accueil, de conseil et d’accompagnement sur les solutions de mobilités sur le département qui est régulièrement alimenté par de nouvelles informations, dispositifs et mises à jour sur ce qui est possible, notamment chez Passerelle. Cet outil est la véritable clé de voute du travail d’orientation qu’effectue l’association et le canal de communication principal entre elle et les référents socio-professionnels. « Sur le site internet de la plateforme, on a créé un espace dédié pour les prescripteurs (les professionnels, les conseillers pour l’emploi et les assistants sociaux) » argumente Dimitri Schaller avant de préciser « en 2023, via jebougeenvaucluse.fr on a eu plus de 3800 visites avec au final 1259 orientations vers un outil de mobilité solidaire et 1537 personnes qui ont bénéficié d’une solution de mobilité sur le département. Le travail de cette plateforme est donc essentiel pour beaucoup ».
« Ce que l’on fait ici, c’est de permettre aux personnes en situation précaire d’avoir à disposition un moyen de mobilité pour aller au travail. »
Karim Haouache, responsable du service Mobil’ins de Passerelle
Un garage presque comme les autres Engagée sur la partie service d’aide à la mobilité des personnes vulnérables depuis 1997, l’association Passerelle a installé ce garage solidaire afin d’offrir des moyens et des solutions de mobilités aux publics précaires notamment en vue de faciliter leur insertion professionnelle. D’apparence, ce lieu a tout d’un garage conventionnel. Equipements complets et mécaniciens professionnels qui travaillent toute la journée sur l’entretien et la réparation de véhicules, rien ne peut laisser présager le caractère singulier de cet espace.
Ce qui diverge d’un garage habituel, ce sont les profils des bénéficiaires et les tarifs proposés : « Ce que l’on fait ici, c’est de permettre aux personnes en situation précaire recensées notamment à travers notre plateforme d’avoir à disposition un moyen de mobilité pour aller au travail. Cette offre passe par la réparation ou l’entretien de leurs véhicules s’ils en possèdent un ou bien à travers la location d’un véhicule ou d’un deux roues, le tout à des tarifs adaptés » explique Karim Haouache, responsable du service Mobil’ins de Passerelle, qui comprend le garage solidaire, la mise à disposition de véhicules mais aussi le dispositif ‘Seniors Mobiles’ qui est le transport de personnes de plus de 60 ans à faibles revenus.
Des offres de réparations et de locations adaptés au public Pour cet ancien responsable d’un service après-vente en concession automobile, il est toujours apparu comme primordial de garantir un service de qualité en ce qui concerne les réparations des véhicules tout en respectant les budgets limités des bénéficiaires. « Ici au garage solidaire, on fait un devis de réparation et on estime dans un premier temps si le véhicule est réparable ou pas car souvent ce sont des vieilles voitures qui sont à la limite. Suite au devis, on demande 30% d’acompte si la réparation est possible. Nous proposons aussi des facilités de paiement jusqu’à 10 fois 100€, la main d’œuvre est à 35€/heure et les pièces sont à prix coûtant » ajoute Karim Haouache.
Ces tarifs adaptés au public que Passerelle accueille sont l’essence même des valeurs défendues par l’association et permettent surtout aux bénéficiaires de retrouver un accès au monde professionnel sans se mettre en difficultés financières. Une aide qui offre un renouveau à des véhicules anciens et un nouveau départ à leurs propriétaires « en passant par le garage solidaire, les véhicules qui ont jusqu’à 10, 15 ou même 20 ans vont être remis en état petit à petit et cela permet aux personnes d’éviter de racheter une voiture. L’année dernière on a pu effectuer plus de 216 réparations bénéficiaires » conclut le responsable du garage.
« Retrouver un accès au monde professionnel sans se mettre en difficultés financières. »
La partie réparations n’est cependant pas la seule offre que propose le garage solidaire de Passerelle. La structure a également mis en place un service de location de véhicules qui permet à toutes les personnes accueillies de pouvoir se rendre sur leurs lieux de travail. Une mise à disposition qui s’accompagne de tarifs particulièrement attractifs qui séduit de plus en plus de bénéficiaires de Passerelle : « en 2023 on a eu 85 bénéficiaires de la mise à disposition de véhicules » annonce fièrement Karim Haouache « C’est un système locatif donc on calcule les kilomètres que la personne doit faire dans la journée, une information que l’on a grâce à la plateforme d’orientation et ensuite on détermine les modalités d’utilisation et de paiement selon le profil de la personne ».
Aujourd’hui, le garage solidaire de Passerelle met à disposition 17 véhicules, 14 scooters, 2 vélos électriques et 6 vélos traditionnels disponibles. Un panel très varié qui s’adapte à tous les besoins et à tous les publics, toujours dans un souci de garantir un accès économique abordable à ceux qui en bénéficient « le système tarifaire c’est 5€ d’adhésion pour l’association, 5€ par jour pour la location des voitures, 2,50€ par jour pour les scooters et 1,50€ pour les vélos. Le tout est régi par des contrats de 14 jours renouvelables sur une durée de trois mois maximum » précise Vincent Dumay, le président de l’association.
Le garage Passerelle, un lieu de vie, de travail et de formation Si le garage solidaire de Passerelle est là pour venir en aide et apporter une plus-value associative, il n’en reste pas moins un lieu de vie et de formation pour le personnel et les bénévoles de Passerelle. Mustapha Dahmani est le chef d’atelier du garage Passerelle. Dans la mécanique depuis ses 16 ans, il a travaillé et dirigé des garages dans de groupes comme Midas, Mass Auto Pneu ou Best Drive où il a fait ses armes.
C’est après un licenciement économique que ce vauclusien qui souhaitait rester dans le même circuit s’oriente vers Passerelle « ils cherchaient quelqu’un pour diriger l’atelier et il se trouve qu’à ce moment de ma vie, je voulais m’engager dans une cause sociale, me sentir plus utile donc j’ai fait d’une pierre deux coups » sourit-il.
Je voulais m’engager dans une cause sociale, me sentir plus utile. »
Mustapha Dahmani, chef d’atelier du garage Passerelle
Garant de la qualité des réparations du garage Passerelle, Mustapha s’implique sur chaque véhicule avec minutie. Un souci du détail d’autant plus important pour lui qu’il connait l’importance pour les bénéficiaires d’avoir un véhicule sécuritaire pour se rendre au travail « C’est une approche totalement différente pour moi, je travaille pour que les gens subviennent à leurs besoins, ils ont besoin de nous, on n’est pas là pour faire de l’argent c’est vraiment de l’humain » ajoute-t-il fièrement.
Pour œuvrer sur tous ces véhicules qui abondent chaque jour, Mustapha Dahmani n’est pas seul. Il dirige un groupe constitué de plusieurs personnes en formation et de jeunes en voie d’insertion professionnelle, une approche éducative qu’a déjà expérimenté celui qui manage la section depuis novembre 2022 « j’ai eu plusieurs alternants dans mes anciens ateliers je suis habitué. Les garçons qui viennent apprendre ici sont adorables, à l’écoute, il suffit juste de les orienter, de leur donner de la confiance et des responsabilités, ce sont des jeunes volontaires qui sont loin des clichés que l’on peut imaginer. »
Un véritable lieu de formation
Le garage Passerelle n’est donc plus seulement un lieu de travail et de vie mais bien un véritable centre de formation. Un aspect fondamental qui colle parfaitement avec ce que souhaite développer l’association à savoir créer du lien social et offrir une chance à tous les habitants du territoire vauclusien « c’est un double travail pour moi mais chaque matin je me lève heureux et je suis content de venir travailler ici avec toutes les personnes qui œuvrent pour Passerelle, vous aidez quelqu’un à aller au travail, vous aidez un jeune qui demain trouvera un travail qui lui plait, j’ai l’impression de servir à quelque chose, de défendre des valeurs et c’est ce qui résume le mieux la mentalité de des hommes et femmes qui sont engagés ici » conclut Mustapha Dahmani.
Cambriolages : à l’approche des vacances, les gendarmes de Vaucluse appellent à la vigilance
Chaque année, peu après l’arrivée du printemps, la ville de l’Isle-sur-la-Sorgue piétonnise son centre-ville dans l’objectif d’offrir aux usagers un environnement sécurisé, moins impacté par les nuisances sonores et la pollution, et offrant une meilleure visibilité et accessibilité aux commerçants. Cette année, cette mesure entre en vigueur dès ce vendredi 12 avril.
•La Rue Carnot sera donc piétonne du vendredi 12 avril au dimanche 27 octobre de 19h30 à minuit. •Les Rues du Docteur Tallet & République, les quais Jean Jaurès & Rouget de Lisle, et le Pont Gambetta seront piétons tous les vendredis de 18h à minuit, les samedis de 11h à minuit et les dimanches de 15h à minuit, du vendredi 12 avril au dimanche 16 juin. À partir du lundi 17 juin au jusqu’au dimanche 25 août, ils seront piétons tous les jours sans exception de 11h à minuit. Enfin, du lundi 26 août au dimanche 27 octobre, ils seront piétons les vendredis de 18h à minuit, les samedis de 11h à minuit, et les dimanches de 15h à minuit. •Le Pont de Bouigas, quant à lui, sera mis à sens unique depuis le rond-point du Bassin vers la porte de Bouigas, du vendredi 12 avril au dimanche 27 octobre.
Cambriolages : à l’approche des vacances, les gendarmes de Vaucluse appellent à la vigilance
L’exécutif s’attaque à la fonction publique. Dans une interview publiée dans le journal Le Parisien mardi 9 avril, le ministre de la Transformation et de la Fonction publique Stanislas Guerini a annoncé vouloir « lever le tabou du licenciement dans la fonction publique », remettant ainsi en question le principe d’« emploi à vie » qui caractérisait jusqu’ici le statut particulier des fonctionnaires en France. Si le licenciement existe déjà dans la fonction publique (pour trois motifs : l’inaptitude physique, la faute disciplinaire et l’insuffisance professionnelle), il est très peu appliqué : en 2022, seulement 235 fonctionnaires ont été licenciés en France.
L’annonce de Stanislas Guerini est intervenue à la sortie d’une réunion organisée le même jour avec les syndicats en vue d’un projet de réforme, prévu pour l’automne. Parmi les pistes étudiées figurent également la remise en cause des catégories historiques de la fonction publique (A, B et C), ainsi qu’une possible rémunération au mérite des agents. Sans surprise, le ministre s’est attiré les foudres des syndicats pour ses paroles, et pour un projet de loi qu’ils jugent « injuste », qui risque d’« accroître la division entre les agents publics ».
Comme le montre notre infographie, basée sur un rapport de l’OCDE, la France compte légèrement plus de fonctionnaires que la moyenne des pays de l’organisation : 21,1 % de la population active en France travaille en effet dans la fonction publique, alors que la moyenne de l’OCDE s’établit à 18,6 %. C’est dans les pays d’Europe du nord qu’on trouve la plus grande part de fonctionnaires : ils sont 30,9 % en Norvège, 29,3 % en Suède, 28 % au Danemark, et 24,5 % en Finlande. À l’inverse, l’Allemagne et le Japon avaient des secteurs publics relativement peu importants : l’Allemagne ne comptait que 11,1 % de fonctionnaires dans sa population active, et le Japon seulement 4,6 %.
De Valentine Fourreau pour Statista
Cambriolages : à l’approche des vacances, les gendarmes de Vaucluse appellent à la vigilance
Le dynamisme de l’action caritative repose sur la confiance accordée à des organismes qui promettent d’agir conformément à leurs messages et aux souhaits des donateurs. La Cour des comptes contribue à cette confiance en contrôlant la conformité de l’emploi des dons aux missions sociales des organismes. Retour sur les derniers contrôles de la Cour.
Le rapport publié le 19 mars 2024 par la Cour rend compte du contrôle des entités qui font appel à la générosité publique ou qui reçoivent des dons ouvrant droit à un avantage fiscal.
À l’occasion de son contrôle, la Cour formule des recommandations afin d’aider les organismes à améliorer l’information des donateurs et la transparence de l’emploi des fonds. Dans son rapport, la Cour appelle à :
clarifier la multitude de dispositifs juridiques qui favorise certains usages discutables ;
encadrer les nouveaux modes de collecte (cagnottes en ligne, par exemple), la politique des réserves financières, la conservation des données personnelles et le financement des établissements sociaux et médicosociaux par la générosité publique ;
remanier le régime de sanction, inapproprié et peu mobilisé.
Le contrôle des organismes caritatifs
Le contrôle de la Cour se fonde principalement sur le fait que les donateurs bénéficient d’un avantage fiscal. Celui-ci implique un renoncement de perception de l’impôt par l’État qui ne peut se justifier que par la réalité d’actions au bénéfice de l’intérêt général. La Cour s’assure de la légitimité de cet avantage.
Le cadre législatif de la philanthropie s’est renforcé en 30 ans, élargissant le champ du contrôle de la Cour. Depuis 2010, elle peut déclarer l’emploi des fonds non conforme aux objectifs de l’appel à dons ou de l’entité. Celle-ci peut alors voir son avantage fiscal suspendu par le ministre chargé du budget.
Le contrôle de la Cour, fondé sur le compte d’emploi des ressources (CER), examine la réalité du fonctionnement de l’organisme et des actions menées. Il est axé sur :
le respect de la volonté des donateurs dans l’utilisation des fonds ;
la qualité de l’information du donateur ;
la gouvernance de l’entité, les procédures et le contrôle internes.
4,8 millions de foyers fiscaux (soit 12% de l’ensemble des foyers fiscaux) ont déclaré au moins un don lors de leur déclaration annuelle de revenus, pour un total de 2,8 milliards d’euros de dons ;
le montant des dons déclarés par les entreprises au titre du mécénat s’élève à 2,2 milliards d’euros, dont 54% proviennent d’entreprises de plus de 5 000 salariés.
Les organismes bénéficiaires soutiennent des causes diverses (recherche médicale, solidarité internationale, défense des droits, protection de l’environnement, lutte contre la pauvreté, cause animale…). De nombreux dispositifs juridiques peuvent recevoir des fonds issus de la générosité publique, dont les fonds de dotation et les fondations, qui sont en plein essor.
La loi du 7 août 1991 impose aux organismes faisant appel à la générosité publique d’effectuer une déclaration en préfecture et d’établir un compte d’emploi annuel des ressources collectées auprès du public. Le compte d’emploi des ressources (CER) précise notamment l’affectation des dons par type de dépenses.
Cambriolages : à l’approche des vacances, les gendarmes de Vaucluse appellent à la vigilance
Philippe Le Roy, commissaire-priseur de l’hôtel des ventes d’Avignon situé boulevard Raspail à Avignon, propose 1 200 bouteilles ce samedi, des vins d’exception provenant de caves particulières.
Seront proposés aux enchères en salle et en live, des Bordeaux, Bourgogne, des vins de Loire et d’Alsace, avec, en guest stars, deux bouteilles de Pétrus de 1980 et 1981, deux bouteilles château d’Yquem de 1998 ainsi que des Armagnac de 1893. Tous les vins ici. Tout le catalogue ici.
Les infos pratiques Res Mobilis. Hôtel des ventes Raspail. 32, boulevard Raspail, 84 000 Avignon. Exposition vendredi 12 avril de 9h30 à 12h30 et de 14h à 18h, ainsi que le matin de la vente de 9h à 11h. Renseignements, Philippe Le Roy, commissaire priseur : 06 28 45 68 00 et 04 90 94 52 34 resmobilispdg@gmail.com Mireille Hurlin
Cambriolages : à l’approche des vacances, les gendarmes de Vaucluse appellent à la vigilance
Fermée comme chaque année en raison des mesures de sécurité et des conditions météorologiques qui deviennent difficiles sur le Ventoux en hiver, la route du versant sud, la RD974 qui mène au sommet du Géant de Provence, rouvre ce vendredi 12 avril.
Cet axe qui traverse la ville de Bédoin et qui mène jusqu’au Chalet Reynard, point de repère essentiel pour les touristes avant d’accéder au sommet, sera de nouveau accessible aux véhicules. Une réouverture rendue possible grâce au travail des agents du centre routier départemental de Carpentras qui ont effectué un travail important de sécurité sur le site ainsi qu’un nettoyage de la zone après un hiver particulièrement froid et enneigé.
Côté Nord par Malaucène, après la station du Mont Serein, la RD974 restera fermée jusqu’à la mi-mai. La date de réouverture de la route sera fixée en fonction de l’évolution des conditions météorologiques, plus rudes que sur le versant Sud.