25 mai 2025 |

Ecrit par le 25 mai 2025

Les Rencontres du Sud 24 : une matinée dédiée aux enfants au Capitole

Le festival cinématographique Les Rencontres du Sud, qui a lieu du lundi 18 au samedi 23 mars à Avignon, rend hommage à Disney qui a fêté ses 100 ans en 2023, en lui dédiant une matinée ‘Ciné Pitchoun’ ce samedi 23 mars au cinéma Capitole MyCinewest au Pontet.

Les enfants pourront choisir leur séance de cinéma parmi huit films cultes proposés. La Reine des neiges, Winnie l’Ourson, Ratatouille, Cars, ou encore La Petite Sirène, il y en aura pour tous les goûts. Les enfants sont invités à venir déguisés en leur personnage Disney préféré. Des animations seront organisées et de nombreux cadeaux seront à gagner.

Pour l’occasion, la place sont au prix de 6€. Pour réserver, cliquez ici.

Samedi 23 mars. 9h30. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.


Les Rencontres du Sud 24 : une matinée dédiée aux enfants au Capitole

Le mercredi 13 mars, la Chambre des représentants du Congrès des États-Unis a voté à une très large majorité (352 voix contre 65) pour l’adoption d’un texte censé forcer le réseau social TikTok à couper tout lien avec sa maison mère, l’entreprise chinoise ByteDance. Le projet de loi, intitulé « Protecting Americans from Foreign Adversary Controlled Applications Act » (« loi sur la protection des Américains contre les applications contrôlées par des adversaires étrangers »), entend donner six mois à ByteDance pour vendre TikTok, sous peine de voir le réseau social interdit dans le pays. Les États-Unis accusent en effet TikTok d’être au moins indirectement contrôlé par le Parti communiste chinois, qui s’en servirait pour surveiller et influencer le public américain. Malgré l’adoption du texte par la Chambre des représentants, l’interdiction de TikTok est encore loin d’être une réalité : s’il est tout d’abord peu probable que le projet de loi passe l’étape du Sénat, il pourrait de plus, s’il venait à être promulgué, donner lieu à une longue bataille juridique qui pourrait aller jusqu’à la Cour suprême.

De ce côté de l’Atlantique, la Commission européenne a annoncé en février avoir ouvert une enquête sur TikTok, pour des manquements présumés en matière de protection des mineurs, mais l’entreprise risque principalement des amendes. Comme le montre notre infographie, basée sur des données recueillies par Statista dans le cadre des Consumer Insights, TikTok a beaucoup gagné en popularité ces dernières années, principalement chez les 18-29 ans, qui étaient 55 % à dire utiliser régulièrement l’application en 2023. La part d’utilisateurs de TikTok âgés de 30 à 39 ans a également doublé entre 2020 et 2023, tandis que celle de ses utilisateurs âgés de 40 à 49 ans a augmenté de 16 points de pourcentage sur la même période. Il est cependant important de noter que notre enquête ne prend en compte que la population majeure, mais TikTok est également extrêmement populaire chez les adolescents.

Quelle est la popularité de TikTok à travers le monde ?

La Chambre des représentants américaine a adopté, mercredi 13 mars, une proposition de loi qui pourrait déboucher sur l’interdiction de TikTok aux États-Unis si le réseau social ne rompt pas ses liens avec ByteDance, sa maison mère, et plus généralement avec l’État chinois. Cette loi doit encore être votée au Sénat puis signée par le président Joe Biden et reste donc encore loin d’aboutir à ce jour.

Avec plus d’un milliard d’utilisateurs dans le monde, Tiktok est particulièrement populaire auprès des jeunes générations. Comme le révèlent les derniers chiffres issus des enquêtes des Consumer Insights de Statista, 40 % des Américains interrogés dans le pays en 2023 (60 000 adultes âgés de 18 à 64 ans) disaient utiliser régulièrement cette plateforme. Chez les 18-29 ans, cette part grimpe à près de 60 %.

C’est dans son pays d’origine, la Chine, que TikTok reste le plus populaire : 63 % des adultes chinois interrogés l’an dernier disaient utiliser régulièrement Douyin, la version chinoise de l’application. Ailleurs dans le monde, la popularité de TikTok est également assez marquée en Amérique latine (59 % d’utilisateurs réguliers chez les adultes au Mexique, 48 % au Brésil) ainsi qu’en Afrique du Sud (59 %). En France, la part des utilisateurs réguliers de TikTok s’élève à 32 % des adultes, soit plus du double qu’il y a trois ans (13 % en 2020).

Le succès de TikTok semble en revanche plus limité sur d’autres marchés asiatiques, comme en Corée du Sud par exemple. Dans ce pays, ce sont des plateformes locales qui dominent le paysage des réseaux sociaux, à l’image de KakaoTalk et KakaoStory.

De Valentine Fourreau et Tristan Gaudiaut pour Statista


Les Rencontres du Sud 24 : une matinée dédiée aux enfants au Capitole

Les effets emportés par les arrêts du 13 septembre 2023 commencent, 6 mois plus tard, à se faire ressentir. Récemment, des décisions d’appel discordantes ont soulevé une interrogation décisive : un salarié peut-il, devant les juges d’appel, s’appuyer sur cette jurisprudence pour solliciter, pour la première fois, le versement d’une indemnité de congés payés ? Axel Wantz, juriste en droit social et rédacteur au sein des Editions Tissot, nous éclaire.

Le 13 septembre 2023, la Cour de cassation a franchi la première étape d’une mise en conformité du droit français avec le droit de l’Union européenne en jugeant, de manière inédite, que la maladie d’un salarié n’était plus un obstacle à la constitution de droits à congés payés.

Pour comprendre l’ampleur des changements découlant de cette série d’arrêts, pensez à consulter notre dossier dédié.

En pratique, ce revirement jurisprudentiel a créé, comme très souvent, une brèche juridique dans laquelle ont tenté de s’engouffrer les salariés d’ores et déjà engagés dans une bataille judiciaire.

Et cela s’est traduit, dans les faits, par la présentation d’une nouvelle demande à hauteur d’appel, celle du versement d’une indemnité compensatrice de congés payés.

Pour autant, nous constatons, au vu des premières décisions rendues par les juridictions d’appel, que deux tendances se dessinent s’agissant de la recevabilité d’une telle demande.

Formuler une première demande auprès des juges d’appel : rappel des affaires

Les litiges soumis aux cours d’appel reposaient sur des faits relativement similaires.

Des salariées, placées dans un premier temps en arrêt de travail pour maladie, ont été licenciées pour inaptitude et impossibilité de reclassement.

Suite à la rupture de leur contrat de travail, elles saisissent le juge prud’homal entre 2017 et 2020.

Qu’importe la teneur des décisions rendues par ces premiers juges, un appel est interjeté.

Dès lors, les avocats des salariées sont amenés à transmettre leurs dernières conclusions après la date fatidique du 13 septembre 2023. Naturellement, ils saisissent l’opportunité et introduisent une nouvelle demande relative au versement d’une indemnité compensatrice de congés payés.

Formuler une première demande auprès des juges d’appel : solutions

La cour d’appel de Versailles a, dans une décision rendue le 7 février 2024, constaté l’irrecevabilité d’une telle demande.

Dans son argumentaire, la salariée avait mis en avant que cette demande nouvelle :
– était l’accessoire, la conséquence ou le complément nécessaire de sa demande de rappels de salaires formulée en première instance ;
– ne pouvait être formulée devant les premiers juges en raison de la jurisprudence alors applicable.

Mais les juges ont rétorqué en indiquant que :
– la demande de rappels de salaires portait sur une période antérieure à celle de l’arrêt maladie ;
– la décision de la Cour de cassation ne constituait pas un fait nouveau susceptible de rendre cette demande recevable.

Même son de cloche, une semaine plus tard, du côté de la cour d’appel de Chambéry. A son sens, cette nouvelle demande ne pouvait être admise, faute d’entrer dans l’un des cas de figure prévu par le Code de procédure civile.

Les juges ajoutaient, par ailleurs, que la salariée « aurait pu formuler cette demande dès la première instance » et indiquer que si la Cour de cassation la rejetait [avant le 13 septembre 2023], sa décision était contraire au droit de l’Union européenne.

Cependant, le consensus qui semblait émerger ces deux décisions a été très rapidement rompu. Et pour cause, une voix dissonante s’était exprimée, entre-temps, du côté de la cour d’appel de Toulouse.

Dans une décision du 9 février 2024, ses juges ont, en effet, admis cette nouvelle demande et condamné l’entreprise au paiement d’une indemnité compensatrice. Pour ces derniers, la demande était recevable dans la mesure où :

  • elle présentait un lien suffisant avec les demandes initiales puisque les débats s’étaient toujours portés sur les modalités d’exécution du contrat et la dégradation corrélative de l’état de santé de la salariée ;
  • elle découlait de la survenance ou de la révélation d’un fait, en l’occurrence l’arrêt de la Cour de cassation du 13 septembre 2023.

Cette divergence d’analyses intensifie donc, plus que jamais, le besoin d’un arbitrage.

Dernière minute : Plus qu’attendue, la réponse du Gouvernement aux arrêts du 13 septembre 2023 est désormais connue. Les évènements se sont en effet accélérés, vendredi 15 mars, avec le dépôt d’un amendement voté, sans concession, trois jours plus tard par l’Assemblée nationale. Pour connaître le détail des mesures adoptées, pensez à consulter notre article dédié : Maladie et congés payés : l’amendement du Gouvernement est adopté.

Axel Wantz pour les Editions Tissot


Les Rencontres du Sud 24 : une matinée dédiée aux enfants au Capitole

L’entreprise familiale Varinard a été créée par Patrick Varinard en 1986, qui l’a propulsée au premier plan pendant des décennies avant d’être rejoint par son fils Maxime. Puis, le papa est parti à la retraite mais resté PDG, le fiston a quitté la maison. Et c’est une femme, Mélanie Saisse, qui depuis une dizaine d’années en est la directrice générale.

Quand on parle de drapeaux, on peut le décliner à l’infini : banderoles, oriflammes, écharpes tricolores, bannières, manches à air dans les aérodromes pour savoir d’où vient le vent, guirlandes, tenues de Miss France, fanions, cocardes, écussons, étendards, mâts de bateaux, d’ambassades, de ministères, de ports, ou de préfectures.

« Nous travaillons surtout avec les administrations, dit Mélanie Saisse. Les mairies, départements, régions, mais aussi les clubs de sports, les stades et leurs supporters que ce soit le foot, le rugby le hand-ball ou le basket. Les associations, les communautés d’agglomérations, les offices de tourisme, les foires et salons, les hôtels étoilés, les festivals. Evidemment, pour chaque élection à l’Assemblée Nationale comme au Sénat, nous sommes mis à contribution, mais aussi pour les écharpes des conseillers municipaux, départementaux, régionaux et territoriaux, ça fait du monde. »

Une chose est sure, insiste Mélanie Saisse : « Nous avons besoin de matériaux qui résistent au soleil, aux rafales de mistral, à la pluie, à la pollution puisqu’ils sont souvent à l’extérieur, sur le fronton des monuments républicains, mais au fil des ans, ils s’usent. Nous avons aussi fait le choix de travailler avec des matières 100% sourcées France. Nous sommes une TPE, avec peu de salariés, quatre dont une brodeuse et une couturière de Bollène et Vaison. »

Et un chiffre d’affaires à deux chiffres qui explose : + 35% l’an dernier. Varinard travaille pour le monde entier de A à Z, de l’Afghanistan au Zimbawe, en passant par les Baléares ou le Vatican. Et n’allez pas croire que les Jeux Olympiques en France cet été boostent le carnet de commandes, non. Pas plus que la Coupe du Monde de Rugby à l’automne dernier. En tout cas, les citoyens avaient fait nombre de commandes après les attentats de CharlieHebdo en 2015 pour planter un ,drapeau dans leur jardin ou en accrocher un sur leur balcon. Pendant le confinement, l’entreprise avait fabriqué masques et visières de protection sanitaire. Il y a deux ans, en février 2022, quand a éclaté la guerre en Ukraine, nombre de bannières ciel et or ont été commandées pour soutenir Kiev face aux chars de Poutine. De quoi donner régulièrement du travail à Varinard.

Avec 700 000€ de chiffre d’affaires en 2023, cette petite société vauclusienne a de quoi pavoiser et porter haut les couleurs de la France, à l’intérieur de nos frontières comme à l’extérieur de l’Hexagone. Cocorico !


Les Rencontres du Sud 24 : une matinée dédiée aux enfants au Capitole

Ce samedi 23 mars, nous retrouverons sur la grande scène de l’auditorium du Thor Luis de La Carrasca avec son nouveau spectacle Baró Drom.

Andalou de Grenade, Luis de la Carrasca s’impose comme l’une des plus emblématiques signatures du monde flamenco. Sous son impulsion a été créé L’Association Andalouse Alhambra (AAA) , une manière pour cet auteur-compositeur, musicien et chanteur andalou de se rapprocher de sa culture. L’AAA produit ses albums et diffuse ses spectacles depuis 2014.

Un état d’esprit, un message rempli d’amour et de générosité

Pour Luis de La Carrasca, « le Festival Andalou représente toute l’âme qu’un bon andalou doit avoir en lui. Il vit cette âme de l’intérieur. Cela est sa culture, sa personnalité, sa vie, sa manière de ressentir en fait sa propre existence qu’il prend plaisir à partager avec le public, les aficionados de ce trésor culturel. »

Baró Drom ou « Le grand chemin pour les gitans de l’Inde »

Dans ce nouveau spectacle, il poursuit son exploration sonore entre tradition et modernité. Tiré de son cinquième disque éponyme, Baró Drom (Le grand chemin pour les gitans de l’Inde) invite le public à embrasser le flamenco dans toute sa diversité : Jazz, cancion, rumba gitana, fusions de guitares flamencas et d’instruments traditionnels indiens, mélopées arabo-andalouses, piano-voix intimiste. Tout concourt à nous offrir une musique sans limite.

Luis de la Carrasca : auteur-compositeur, création artistique, chant
José Luis Dominguez et Manuel Gomez : guitares
Domingo Moreno : cajón/percussions
Olivier Lalauze : contrebasse
Antonio Paz : piano
Céline Daussan « la Rosa Negra » : chœurs, palmas et danse

Samedi 23 mars. 20h30. 10 à 23€. Salle Jean Moulin. Auditorium. 971 Chemin des Estourans. Le Thor. 04 90 33 96 80. www.vaucluse.fr


Les Rencontres du Sud 24 : une matinée dédiée aux enfants au Capitole

Un spectacle qui trouve toute sa place dans le cadre du Printemps des Poètes dont le thème est « La Grâce », que Jacques Higelin incarnait totalement.

Et si je n’avais jamais rencontré Higelin ?

Ceci n’est pas un titre de spectacle à la légère. Pour Zoon Besse, musicien, chanteur et acteur, c’est une vraie question dont il propose une réponse lors de ce spectacle musical qui est bien plus qu’un concert : par son histoire intime, il nous livre le portrait de la génération Higelin et nous renvoie une autre question « Est-ce possible d’être Higelin aujourd’hui ? »

Il y a des rencontres qui changent une vie. Pour Zoon Besse, ce fut Higelin.

Il a quinze ans, il vit dans un petit bled paumé, nous sommes en 1976, Giscard joue de l’accordéon dans les campagnes françaises et lui fait la rencontre du chanteur dans la chambre d’une fille… Dès le premier morceau sur le tourne-disque, c’est une déflagration, il veut faire Jacques Higelin comme métier.

Après nous avoir fait rencontrer Trenet ou Gainsbourg lors de précédents spectacles, Zoon Besse décide de faire ce qu’il ne pensait pas faire tellement c’était énorme : s’attaquer au grand Jacquot. Il en a cependant la légitimité, car sa vie a été étroitement mêlée aux années Higelin et la rencontre – réelle — avec ce « monument », nous la découvrirons à l’occasion du spectacle.

Zoon nous replonge dans 30 ans de nuits folles d’amitié avec sa famille d’adoption, sa « bande à Higelin » et une génération révoltée et insouciante. Un récit pudique et insolent. 

Et si vous ne veniez pas voir ce spectacle ?

Il vous manquera assurément le plaisir d’entendre un témoignage intime qui touche à l’universel, de fredonner les ritournelles que nous connaissons par cœur et pour les plus jeunes – qui ne connaissaient pas Higelin — de découvrir ce qu’est un teppaz, un punk ou tout simplement un répertoire poétique.  

Jeudi 21 mars. 20h. 15 et 20€. La Factory/Théâtre de l’Oulle. Rue de la Plaisance. Avignon. 09 74 74 64 90.


Les Rencontres du Sud 24 : une matinée dédiée aux enfants au Capitole

Les sections locales gardoise et vauclusienne du parti politique Nouvelle Énergie, fondé par David Lisnard, maire de Cannes et président de l’Association des Maires de France, se rejoignent pour organiser une soirée-débat « David Lisnard, et si c’était lui ? » ce vendredi 22 mars aux Angles.

Cette soirée se fera notamment en présence de Quentin Hoster, journaliste et auteur de David Lisnard, le Réveil de la Droite : Et si c’était lui ?, Alexandra Martin, députée des Alpes-Maritimes et secrétaire générale de Nouvelle Énergie, Pascale Bories, maire de Villeneuve Lez Avignon et conseillère départementale du Gard, ainsi que Jean-François Périlhou, maire de Vaison-La-Romaine et président de la fédération Les Républicains 84.

Une séance de vente et de dédicace du livre de Quentin Hoster aura également lieu sur place. Inscriptions par mail à l’adresse gard@unenouvelleenergie.fr

Vendredi 22 mars. 19h. Forum des Angles. 10 Boulevard des carrières. Les Angles.

V.A.


Les Rencontres du Sud 24 : une matinée dédiée aux enfants au Capitole

Le Syndicat mixte du bassin des Sorgues va mener une étude inédite visant à comprendre le fonctionnement des eaux souterraines de la plaine des Sorgues. Un projet qui se déroulera sur 18 communes d’avril à juillet 2024. 

Le Syndicat mixte du bassin sorguais (SMBS) poursuit sa mission de préserver les milieux naturels du bassin des Sorgues. D’avril à juillet 2024, un agent du SMBS effectuera de nombreux prélèvements et relevés de profondeur de la nappe au sein de forages et de puits des habitants. 

Ces travaux auront lieu sur l’ensemble des 18 communes de la plaine des Sorgues (L’Isle-sur-la-Sorgue, Lagnes, Le Pontet, Le Thor, Monteux, Pernes-les-Fontaines, Saumane, Sorgues, Saint-Saturnin-lès-Avignon, Vedène, Velleron, Jonquerettes, Fontaine-de-Vaucluse, Entraigues-sur-la-Sorgue, Châteauneuf-de-Gadagne, Caumont-sur-Durance, Bédarrides, Althen-des-Paluds).

Une meilleure gestion des ressources en eaux à venir

Les mesures récoltées serviront à mieux comprendre le fonctionnement de la nappe et ses interactions avec la Sorgue, mais surtout à établir une cartographie de profondeur des eaux souterraines. Les résultats de l’étude seront essentiels pour établir une meilleure gestion des ressources en eaux et mieux appréhender et anticiper les impacts du changement climatique sur le territoire. 


Les Rencontres du Sud 24 : une matinée dédiée aux enfants au Capitole

Ce vendredi 15 mars, la première pierre du futur bâtiment Signal a été posée par Joël Guin, président du Grand Avignon et l’adjoint au maire d’Avignon, Paul-Roger Gontard. Cet immeuble, dont la réalisation a été confiée à Citadis et la livraison est prévue pour mars 2025, viendra renforcer la volonté de faire d’Agroparc une zone de plus en plus dynamique, mais respectueuse de son environnement. Le coût de l’opération s’élève à 5,2 millions d’euros. 

Un édifice qui devrait être labellisé « Bâtiment durable méditerranéen. » C’est là toute l’ambition du Grand Avignon et de l’aménageur avignonnais Citadis, qui collaborent sur l’aménagement du futur bâtiment Signal qui se trouvera à l’entrée d’Agroparc. Ce vendredi 15 mars, la première pierre de ce futur immeuble a été symboliquement posée par Paul-Roger Gontard, adjoint au maire d’Avignon et Joël Guin, président du Grand Avignon.

L’institution, dirigée par le maire de Vedène, et la société d’aménagement et de construction de la Ville d’Avignon Citadis, ont travaillé main dans la main pour pouvoir mettre ce projet sur pied. Depuis plusieurs années, la zone située à l’Est d’Avignon symbolise l’excellence locale ainsi que le dynamisme économique et entrepreneurial. Devenu un véritable pôle d’innovation et de science, cet espace qui compte plus de 600 entreprises ne cesse de s’accroitre. 

Un bâtiment moderne et lieu de vie 

C’est dans cette volonté d’expansion que le bâtiment Signal, qui verra le jour en mars 2025, a été réfléchi et pensé. Avec trois plateaux d’environ 635 m² disponibles à la vente ou à la location et une surface totale de 1900 m², deux niveaux et un parking semi-enterré, cet édifice permettra l’arrivée de nouvelles entreprises et PME (petites ou moyennes entreprises) qui pourront profiter d’un espace épuré et représentatif d’une identité architecturale ambitieuse et moderne. 

Le bâtiment Signal, qui se trouvera à quelques mètres de l’INRAE et qui a été dessiné par le cabinet d’architectures Archi 3, basé à Sorgues, ne se limitera pas seulement à un simple lieu de travail. Le futur immeuble est candidat au label BDM (Bâtiment durable méditerranéen) niveau bronze, un engagement qui garantit le confort et la santé des occupants tout en tenant compte des enjeux sociaux et économiques du territoire. 

Le bâtiment Signal offrira à ses futurs utilisateurs plusieurs espaces consacrés aux vélos, des jardins servant d’aires de repos et un accès à la voie douce du « chemin des canaux » qui se trouvera au pied de l’immeuble. Le but étant de créer un environnement sain et agréable autour de ce lieu et en faire un véritable lieu de vie, respectueux de son environnement et de la planète.

Les jardins de la Castellete, un nouvel espace vert 

C’est la véritable ambition des institutions politiques de la Ville d’Avignon : faire d’Agroparc un véritable écoquartier respectueux de son environnement et engagé dans les thématiques écologiques du futur. En somme, faire d’Agroparc un modèle de gestion environnementale.

L’aménagement du bâtiment Signal va d’ailleurs dans ce sens avec un édifice qui fera l’objet de nombreux aménagements paysagers et qui perpétuera la volonté de faire d’Agroparc une zone verte et préservée de toute urbanisation. C’est dans cet esprit que le jardin de la Castelette a vu le jour il y a quelques semaines à la sortie du rond-point du même nom.

Cet espace qui se trouve à l’entrée de l’INRAE a été conçue pour répondre aux enjeux climatiques, à la protection de l’environnement et favoriser le confort des salariés d’Agroparc, 

Avec un vaste espace vert, plusieurs centaines d’arbres dont des fruitiers, des végétaux bas ainsi que des espaces de repos et de pique-nique, il rentre parfaitement dans la volonté de la Ville et de l’Agglomération de maintenir plus de 30% d’espaces verts ou agricoles sur la zone. Cet espace de biodiversité sera accessible directement par le Bâtiment Signal et favorise le bien-être de ses utilisateurs et se veut respectueux de l’écosystème environnant. Les travaux pour sa mise en place ont couté 162 000€.

https://www.echodumardi.com/page/308/   1/1