Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite
Lucien Stanzione, sénateur de Vaucluse, avec son groupe PS (parti socialiste), a déposé un amendement qui a été accepté visant à prévoir une majoration de la durée d’assurance –bonification- pour la retraite des sapeurs-pompiers volontaires, au titre de la solidarité nationale pour consolider le modèle de sécurité civile français et valoriser le volontariat des sapeurs-pompiers.
L’amendement, présenté par le sénateur Lucien Stanzione est écrit en ces termes : «Les sapeurs-pompiers volontaires ayant accompli 10 ans de service en qualité de sapeur-pompier volontaire ont droit à une bonification de leur durée d’assurance de trois trimestres. La bonification mentionnée est complétée par l’attribution d’un trimestre supplémentaire tous les 5 ans au-delà de 10 ans d’engagement comme sapeur-pompier volontaire.»
«Cette bonification ne peut conduire à porter au-delà de 4, le nombre de trimestres validés par un assuré, par année civile, dans les différents régimes légaux ou rendus légalement obligatoires, de base et complémentaires, français et étrangers.»
Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite
Ce jeudi 30 mars, le cinéma Capitole MyCinewest diffusera en direct l’opéra Hamlet, qui sera joué à l’Opéra Bastille à Paris. Pendant plus de 3 heures (avec entracte), le metteur en scène Krzysztof Warlikowski plonge le spectateur dans ce classique de William Shakespeare, qui a plus tard été revisité en opéra par Ambroise Thomas, et explore la folie qui parcourt cette œuvre, et en fait émerger de fascinantes images spectrales.
Sur scène, huit artistes, Ludovic Tézier, Jean Teitgen, Julien Behr, Clive Bayley, Frédéric Caton, Julien Henric, Ève-Maud Hubeaux, Lisette Oropesa, accompagnés par la musique d’Ambroise Thomas, le tout dirigé par le chef d’orchestre Pierre Dumoussaud.
Il est d’ores et déjà possible de réserver sa place en ligne. Le billet d’entrée est au prix de 21€, et 11€ pour les moins de 12 ans. Un tirage au sort sera effectué avant la diffusion, plusieurs lots seront à gagner. Un cocktail sera offert par la cave Le vin devant soi.
Jeudi 30 mars. 19h. Cinéma Capitole. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.
V.A.
Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite
Le Département de Vaucluse et la Maison départementale des personnes handicapées organisent ce vendredi 31 mars à Montfavet une matinée d’information sur le droit au répit des familles, à l’occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme qui aura lieu ce dimanche 2 avril.
Aujourd’hui, l’autisme touche une personne sur 150 dans le monde. Environ 700 000 personnes atteintes à des degrés variés en France, dont 100 000 enfants. Le droit au répit, qui permet au proche aidant de se libérer du temps pour ses activités, se reposer et éviter l’épuisement, est une difficulté que continuent de rencontrer les parents d’enfants autistes.
Lors de cette matinée d’information sur le droit au répit, le public pourra assister à une conférence ‘Le droit au répit’ animée par Loïc Guilcher, président du Groupe de réflexion et réseau pour l’accueil temporaire des personnes en situation de handicap (Grath). Le public pourra également assister à une conférence ‘Acceptation du répit, de l’aide et faire confiance à d’autres’, animée par Céline Henriot de l’institut médico-éducatif Le petit jardin, situé à Montfavet. Le comédien et écrivain français Laurent Savard, papa d’un enfant autiste, qui a écrit le livre ‘Gabin sans limites’ et le spectacle ‘Le bal des pompiers’, fera également une intervention. Plusieurs parents témoigneront lors de l’événement. Les aides au répit dans le Vaucluse seront présentées par l’association Le Pas, Le petit jardin, l’institut Saint-Ange et Lou Mas Maillon. Il sera également possible de se renseigner sur les moyens de financement des temps de répit des familles.
Vendredi 31 mars. De 8h30 à 13h. Gratuit. Salle Polyvalente – Site Agroparc. 6 rue Félicien-Florent. Montfavet.
V.A.
Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite
En raison des difficultés persistantes d’approvisionnement des stations-service en produits pétroliers et carburants en Vaucluse, la préfète de Vaucluse a décidé de reconduire, sur l’ensemble du département de Vaucluse et jusqu’au jeudi 30 mars 2023 inclus.
Cela concerne les mesures suivantes :
• la vente et l’achat de carburant (essence, gazole, éthanol, GPL) sont limités à :
– pour les véhicules de particuliers d’un PTAC inférieur à 3,5 tonnes : 30 litres avec une livraison minimale de 5 litres, – pour les véhicules d’un PTAC entre 3,5 tonnes et 12 tonnes : 120 litres, – pour les véhicules d’un PTAC supérieur à 12 tonnes : 200 litres.
Cette limitation ne concerne pas les véhicules des services listés en annexe de l’arrêté (voir tableau en fin d’article).
• la vente et l’achat de carburants (essence, gazole, éthanol, GPL) dans des récipients transportables manuellement restent interdits (notamment jerricans et bidons), à l’exception des professionnels du monde agricole qui bénéficient d’une dérogation pour les dispositifs de lutte contre le gel.
• les détaillants, gérants et exploitants des stations-service prennent les dispositions nécessaires pour faire respecter ces dispositions et affichent sur leurs pompes l’arrêté afin d’en informer les usagers.
Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite
Les DRH ont tourné la page de la crise sanitaire et le télétravail est désormais devenu la norme au sein des entreprises avec des règles bien établies pour assurer le bon fonctionnement de l’organisation et répondre aux attentes des salariés et candidats. Optimistes en 2022, les DRH se montrent prudents en 2023 tout en faisant preuve de détermination. C’est ce que révèle la nouvelle édition du Baromètre des DRH* réalisée par WTW, ABV Group et RH&M.
« En 2023, les DRH doivent s’adapter à la volatilité croissante de l’environnement des entreprises et se focaliser sur la gestion de l’humain tout en ayant à cœur d’accompagner la transformation de leur organisation, souligne Laurent Termignon, directeur de l’activité Work & Rewards chez WTW. Ils pilotent la contribution de leur fonction dans une double échelle de temps : le court terme avec le climat social, l’impact de l’inflation, les enjeux d’attractivité tout en l’inscrivant dans la durée sur les thématiques de la RSE, du climat voire de la question du partage de la création de valeur. Plus que jamais, les DRH confirment ainsi leur rôle à la fois stratégique et opérationnel dans la conduite des entreprises. »
Changement du rapport au temps « Le rapport au temps a changé. Les temps stratégiques et opérationnels se sont réduits ; le temps des organisations se réduit aujourd’hui, ajoute Damien Riso, directeur associé d’AVB Group. Les salariés s’adaptent et attendent des entreprises qu’elles s’adaptent en retour. Si 80% des DRH font de la maîtrise des coûts un enjeu extrêmement important, ils mettent aussi en valeur que la transformation des entreprises passe par cette gestion de l’humain. Et cette édition 2023 du Baromètre des DRH témoigne de ces changements ! »
Parmi les principaux enseignements de cette édition :
Pour 83% des DRH (vs 93% en 2022), soutenir et accompagner la transformation de l’entreprise reste la première priorité de leur fonction et même une priorité absolue pour 62% d’entre eux. Dans un marché du travail dynamique, rendre plus attractive leur entreprise arrive en deuxième position (52%), suivi par l’amélioration de l’expérience salarié qui reste capitale pour 39% (vs 53%) des DRH.
La transformation de l’entreprise passe pour 64% des répondants (vs 78%) par la mise en place d’une organisation favorisant l’innovation et l’agilité. La dématérialisation des tâches et la robotisation (44% vs 46%), ainsi que la mise en place d’une démarche de Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels (GEPP) ou de Strategic Workforce Planning (44% vs 52%) arrivent ensuite. A 40%, la redéfinition de la culture d’entreprise connaît une augmentation de 7 points par rapport à 2022.
En matière de RSE, Diversité et Inclusion, les DRH se mobilisent toujours en tout premier lieu sur la qualité de vie au travail et le bien-être des collaborateurs (85% vs 87%). La promotion de l’inclusion, l’équité et la diversité (77% vs 83%) reste également une priorité absolue. L’amélioration de la transparence et de la gouvernance (46% vs 38%) occupe la 3ème position.
Trois thématiques occupent une place privilégiée dans la politique de gestion des talents, considérées chacune comme très importantes par 88% des DRH : l’engagement et la fidélisation des collaborateurs, l’attractivité et la marque employeur, ainsi que le développement des compétences. Dans un contexte de marché de l’emploi dynamique et concurrentiel, les DRH ont à cœur de faire progresser l’expérience de leurs salariés et de l’inscrire dans la durée.
En termes de politique de rémunération, en lien avec le contexte inflationniste et l’impact sur le pouvoir d’achat, 74% des DRH considèrent la gestion du salaire de base comme la priorité de l’année 2023, un score en forte progression (62% en 2022) ; la part variable et la rémunération de la performance (64% vs 63%) passe en deuxième position, suivi de près par l’équité de traitement entre les salariés (64%). L’égalité Femmes / Hommes (57% vs 64%) et la rémunération des compétences ou des métiers en tension (53% vs 74%), demeurent présentes dans les préoccupations de plus de la moitié des DRH mais avec des scores inférieurs. Pour faire face aux conséquences de l’inflation sur la rémunération, 74% des DRH envisagent le ciblage sur les populations critiques.
Concernant l’efficacité de la fonction RH, la qualité du dialogue social reste l’enjeu majeur pour les DRH, en baisse néanmoins de 7 points (70% vs 77%). Les priorités se portent ensuite sur l’évolution de la fonction RH, notamment sur le volet digital pour les deux tiers des répondants, avec l’évolution du SIRH (stable à 67%), l’analyse des données RH (65% vs 61%), et la digitalisation des processus RH (60% vs 63%). Le recrutement (76% vs 75%) est pour les DRH le processus RH à digitaliser en priorité.
L’absentéisme impacte l’engagement des collaborateurs selon 75% des DRH mais aussi l’organisation et la gestion des ressources (62%), et génère des risques psychosociaux (62%). Pour le réduire, les DRH privilégient l’amélioration de l’environnement de travail (71%), l’écoute des salariés (69%), la prévention (64%), ainsi que la formation et la sensibilisation des managers (56%).
Pour 2023, les DRH anticipent clairement une croissance moins forte du recrutement même si elle reste en tête des réponses (47% vs 61% en 2022). Les anticipations économiques pourraient être la première cause de ce ralentissement attendu du recrutement.
94% des PME, ETI et Grandes Entreprises disposent d’une politique ou d’un ensemble de principes pour organiser le télétravail ; 54% des entreprises l’ont définie en 2020 ou avant, 40% en 2021 et 2022. Seules 6% des organisations n’ont déployé aucune mesure.
Selon les DRH, le télétravail permet d’améliorer l’attractivité de l’entreprise (87% vs 82%), et de favoriser un meilleur équilibre de vie pour les salariés (79% vs 81%). Ces résultats montrent que ce mode de travail s’installe durablement comme facteur d’attraction et de rétention.
Cependant pour 87% des DRH, le télétravail n’apporte rien à la collaboration (lien social, esprit d’équipe, innovation collective…), voire la dégrade. En outre, s’ils sont 32% à affirmer que cette pratique a permis d’améliorer la productivité, 62% estiment que son impact est très faible.
Pour 59% des participants, la politique est de deux jours de travail à distance par semaine alors que 17% proposent 3 jours. Seuls 12% n’envisagent qu’une journée alors que 8% ont opté pour 5 jours. La semaine condensée en quatre jours, plus contraignante à mettre en place, fait peu partie des mesures prises (3%).
96% des entreprises ont pris position concernant l’indemnisation ou non des salariés en télétravail. Ainsi, si 50% (vs 51%) d’entre elles n’ont pas prévu d’indemniser leurs télétravailleurs, 46% (vs 35 %) ont l’intention d’instaurer une compensation.
Selon les DRH, la situation géopolitique (34%) et les phénomènes de grande démission et de quiet quitting ou démission silencieuse (30%) sont les thématiques qui influencent le plus le climat de l’entreprise en 2023.
« Comme nous pouvons le constater à la lecture des résultats 2023 du Baromètre des DRH, les injonctions sont grandissantes pour les DRH, tenus plus que jamais de résoudre l’équation développement économique et développement des femmes et hommes de l’entreprise, dans un monde subissant de grandes ruptures. Nous commencions seulement à comprendre que nous vivions dans un monde ‘VUCA’ (Volatile et incertain, complexe et ambigu), et le monde glisse tout schuss vers un univers ‘BANI’ (Brittle –fragile-, anxieux, non linéaire et incompréhensible). Les enjeux en sont d’autant plus lourds de conséquences, le champ d’actions du DRH plus étendu et ses responsabilités plus grandes » conclut Delphine Lancel, directrice associée du groupe RH&M.
* Méthodologie : L’édition 2023 du Baromètre des DRH a été menée du 1 décembre 2022 au 31 janvier 2023 à l’aide d’un questionnaire en ligne auquel 108 DRH d’entreprises de toutes tailles et industries confondues ont répondu.
Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite
L’Agence d’urbanisme Rhône-Avignon Vaucluse propose, dans le cadre de son webinaire ‘Le réveil de l’Aurav’ une visio-conférence consacrée aux déserts médicaux, l’état des lieux de la situation vauclusienne et les solutions pouvant être apportées.
Les infos pratiques Déserts médicaux, états des lieux en Vaucluse et solutions. Jeudi 30 mars de 9h à 9h45. La demande de participation se fait par courrier auprès de aurav@aurav.org .
Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite
Avec son Ventoux, son Luberon, ses Dentelles de Montmirail, ses vignobles, ses oliveraies, ses ocres, ses pierres sèches, ses bastides, ses villages perchés, ses gorges, le Vaucluse est une carte postale qui attire les réalisateurs du monde entier. Les cinéphiles se souviennent que Jean Grémillon avait tourné ‘Gueule d’amour’ avec Michèle Morgan et Jean Gabin en 1937 à Sarrians, que Louis Malle avait installé ses caméras à Velleron pour ‘Les amants’ avec Jeanne Moreau et Jean-Marc Bory en 1958 et que le pape de la ‘Nouvelle vague’, Jean-Luc Godard avait choisi Bonpas pour certaines séquences de ‘Pierrot le fou’ avec Belmondo.
Au cœur de l’éco-système cinématographique de la Région Sud Le Vaucluse s’inscrit au cœur d’un éco-système cinématographique, la Région Sud où le président Renaud Muselier a signé en 2020 un ‘Plan stratégique du cinéma et de l’audiovisuel’ pour valoriser le territoire et ses ressources en auteurs, réalisateurs, techniciens, comédiens, cadreurs, producteurs, décorateurs, scénaristes, monteurs. C’est dans cette région que les Frères Lumière avaient tourné en 1895 ‘L’arrivée d’un train en gare de La Ciotat’, là où existe encore la plus ancienne salle de cinéma de France, L’Eden. C’est aussi ici, à Marseille, que Cédric Gimenez, le réalisateur du film coup de poing ‘Bac Nord’ est l’un des experts du projet ‘Marseille en grand’, 22M€ injectés en 3 ans par l’Etat pour conforter cette filière cinéma qui rejaillit sur l’ensemble de la région.
Tournage de Life à Caromb.
Revenons au Vaucluse, c’est la Commission du Film Luberon Vaucluse, basée à Carpentras qui gère les souhaits des réalisateurs, leur propose des décors, facilite les tournages, aide au recrutement de techniciens locaux, au casting de comédiens, de figurants et s’occupe de la logistique, réservation d’hôtels, de restaurateurs et de traiteurs pour les équipes qui passent plusieurs jours voire semaines sur place.
Anne-Cécile Célimon-Paul est la chargée de mission de cette Commission du film. « Avant la crise sanitaire et le confinement, en 2019, nous avons eu 141 jours de tournage et 35 réalisations sur l’ensemble du Vaucluse. En 2020, lock out total. En revanche, 2021 a rattrapé le retard et battu des records en mettant les bouchées doubles : 2 fois plus de jours de tournage (293) et de films réalisés (73). L’an dernier, nous sommes restés sur un plateau plutôt haut avec 237 jours pour 56 tournages. »
‘Emily in Vaucluse’ En haut de l’affiche ‘Emily in Paris’, cette série diffusée sur Netflix qui totalise 56 millions de spectateurs sur l’ensemble de la planète. L’équipe a passé une semaine à tourner entre Bonnieux et Gordes avec les retombées sur le tourisme en Luberon qu’on imagine. TF1 aussi a envoyé des équipes dans le Vaucluse, pour ‘Le sentier des loups’ dans les mines de Buoux avec Sara Mortensen et Philippe Bas, la série ‘Addict’ avec Cécile Bois dans le secteur d’Apt – Cucuron – Lourmarin. France Télévision n’est pas en reste avec ‘La joie de vivre’, une fiction réalisée par Sandrine Veysset avec Isabelle Gélinas à Sarrians. Le Vaucluse a servi de décor à deux longs-métrages : ‘Life’ à Caromb avec Marie-Christine Barrault et Natacha Régnier, quant à l’ancien directeur du Festival d’Avignon, Olivier Py, il a tourné ‘Le Molière imaginaire’ avec Laurent Lafitte à la Fabrica et sur la Barthelasse.
1€ dépensé pour 5€ à 12€ de retombées Anne-Cécile Célimon-Paul ajoute « Le public a aussi une vraie appétence pour les courts-métrages. Un avignonnais, qui a fait ses études au Collège Vernet, Florian Kuhn, y est retourné avec sa caméra, Nathalie Beder est venue à Caromb pour ‘Frères des bois’. Il y a eu aussi à Monteux, le tournage de ‘Comparution’ un docu-fiction sur ‘Les Disparues de l’Yonne’ pour France TV. Quant à la BBC, elle a passé 25 jours à Carpentras et l’Isle-sur-la Sorgue pour ‘Affaire conclue’ version british. Il faut savoir que quand 1€ est dépensé, il se démultiplie et rapporte 5€ pour un documentaire, 7€ pour un film et 12€ pour une série, c’est dire si tous les atouts du Vaucluse ont des retombées sur son économie, sans parler des touristes attirés par ses décors de rêve.
Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite
Association pour l’emploi des cadres propose de découvrir le potentiel économique du Vaucluse. Une rencontre pour appréhender les tendances du développement territorial.
Au programme Présentation du territoire éco-vauclusien et ses projets pour dénicher en avant-première des opportunités d’emploi avec Laurent Garcia rédacteur-en-chef de l’Echo du mardi ; Le marché de l’emploi cadres en Vaucluse, les coulisses des recruteurs avec Nataly Chevrier, consultante auprès de l’Apec Avignon ; Ressources pour constituer sa veille territoriale et réseauter avec Valérie Saguet, consultante en développement professionnel auprès de la Direction régionale Apec Paca-Corse.
L’association pour l’emploi des cadres L’Association pour l’emploi des cadres accompagne les cadres et jeunes diplômés dans leur évolution professionnelle, en particulier les plus fragiles face à l’emploi. Face aux difficultés de recrutements, elle aide les entreprises, notamment les TPE-PME (Très petites et moyennes entreprises), à trouver les compétences cadres dont elles ont besoin. Son observatoire de l’emploi des cadres analyse et anticipe les évolutions et grandes tendances du marché de l’emploi cadre. L’Apec est un acteur du Conseil en Évolution Professionnelle (CEP). Elle est présente, avec une cinquantaine de centres, en France métropolitaine et Outre-mer ».
Les infos pratiques Découvrez le potentiel économique du Vaucluse. Une rencontre sans tabou pour appréhender les tendances du développement territorial. Jeudi 6 avril à 18h. Inscription ici. Apec, ZAC Agroparc. Eden village. Bâtiment Aulne, 60, chemin de Fontanille à Avignon. 0 809 36 12 12. MH
Réforme des retraites, les sapeurs-pompiers volontaires bénéficient d’une bonification pour leur retraite
Suite à notre article du vendredi 24 mars sur l’annonce par le Grand Avignon de la confirmation du permis de construire de la déchèterie et recyclerie situé dans le zone d’activité d’Agroparc, l’Association Zap Agroparc a tenu à apporter quelques précisions. « Nous souhaitons apporter quelques nuances à ces affirmations, explique Patricia Tracadas de cette association ayant notamment pour but d’empêcher l’artificialisation de terres irrigables dans la zone d’Agroparc. D’une part il s’agit bel et bien d’une déchèterie, qui sera complétée par une zone recyclerie. D’autre part le Tribunal administratif de Nîmes, saisi par les riverains et l’association ZAP Agroparc, n’a pas retenu d’argument pour arrêter en urgence les travaux de construction de la déchèterie d’Agroparc lors de l’audience en référé-suspension du 17 mars dernier. Les magistrats ont statué sur les aspects réglementaires au plan juridique. Le dossier n’est en revanche toujours pas traité sur le fond, notamment sur la problématique environnementale. »
Annonce prématurée ? « Les riverains et l’association ZAP Agroparc continuent de pointer les paradoxes d’une construction ‘écologique’ qui va entraîner l’imperméabilisation totale de près de 10 000m2 d’espaces agricoles irrigables, détruire des espèces vivantes protégées, dans le contexte de réchauffement du climat, de la destruction alarmante de la biodiversité, de la fragilité des nappes phréatiques sur le secteur », poursuivent les représentants de l’association qui se réservent le droit de saisir le Conseil d’Etat afin d’être entendus. « Nous restons d’ailleurs dans l’attente des dates d’audience concernant nos deux recours en annulation : annulation du permis de construire et annulation de la déclaration ICPE (Installation classée pour la protection de l’environnement). Il est donc prématuré de conclure à la légalité et la légitimité définitives de cette construction », insiste Zap Agroparc.
Dans une vidéo de février dernier, des membres de l’association Zap Agroparc s’étaient ému de la destruction d’une haie d’arbres dans cette zone d’activités.