8 mai 2025 |

Ecrit par le 8 mai 2025

Richerenches : le Marché complice revient pour une 2e édition au cœur de la capitale historique de la truffe

Les Artisans Militants de la Qualité donnent rendez-vous aux Vauclusiens ce dimanche 16 février, à Richerenches, au cœur de l’Enclave des Papes, pour une expérience culinaire exceptionnelle à l’occasion du 2e Marché culinaire où la truffe sera à l’honneur.

Après le succès de la première édition à l’occasion des 100 ans du marché aux truffes de Richerenches, le Marché complice, organisé sous l’initiative de Sandrine et Nicolas Pailhes du restaurant l’Escapade, revient en 2025 pour une deuxième édition. Cet événement tant attendu des fins gourmets se déroulera le dimanche 16 février de 10h à 19h, au sein de la capitale historique de la truffe.

Le Marché Complice vous invite à plonger dans l’univers fascinant de la truffe et des produits du terroir. Au programme : une rencontre authentique avec des artisans passionnés qui partageront leur savoir-faire unique. Des dégustations savoureuses seront proposées tout au long de la journée, permettant aux visiteurs de découvrir et d’apprécier la richesse des saveurs locales.

Le Marché Complice du Collège Culinaire de France a pour vocation de mettre en avant le patrimoine culinaire local, en mettant sur le devant de la scène les producteurs, artisans et chefs qui contribuent à préserver et à enrichir cet héritage. Cet événement offre aux visiteurs l’opportunité de rencontrer les acteurs de la gastronomie locale, de découvrir leurs talents artisanaux, et de déguster des produits authentiques issus du terroir.

Ce marché est également une illustration de la coopération entre producteurs locaux et chefs cuisiniers. Ensemble, ils mettront en avant la superbe qualité des produits régionaux, tout en proposant des ateliers et des démonstrations culinaires pour être au plus proche des visiteurs et faire participer autant les petits que les grands. 

Dimanche 16 février 2025, de 10h a 19h. Entrée libre. Marché aux truffes. Avenue de la Rabasse, Richerenches.

Pauline Conill (stagiaire)


Richerenches : le Marché complice revient pour une 2e édition au cœur de la capitale historique de la truffe

Selon le baromètre annuel de la confiance politique du Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF), publié le 11 février, les Français se sentent aujourd’hui particulièrement pessimistes. Le climat général dans le pays est largement dominé par des sentiments négatifs : 45 % des personnes interrogées en janvier dans le cadre de l’enquête évoquaient la méfiance (+7 points de pourcentage par rapport à 2024), 40 % la lassitude (+4 points de pourcentage), et 30 % la morosité (+4 points de pourcentage) pour caractériser leur état d’esprit. À l’inverse, seulement 15 % disaient ressentir du bien-être, 14 % de la sérénité et 13 % de la confiance.

La France se distingue également de ses voisins allemands, italiens et néerlandais par son niveau de confiance extrêmement faible envers la politique et les institutions gouvernementales. Seuls 26 % des Français déclaraient ainsi avoir confiance dans la politique, contre 47 % en Allemagne et 39 % en Italie. D’après Bruno Cautrès, chercheur au CEVIPOF, ce malaise s’explique en partie par les crises politiques successives traversées par le pays en 2024 : « Le Rassemblement national gagne les européennes en sièges et les législatives anticipées en nombre de voix mais ne gouverne pas. Le Nouveau Front populaire gagne en sièges le second tour des législatives mais ne gouverne pas. Le troisième vainqueur, le front républicain, ne gouverne pas non plus. Des ministres qui siègent dans le gouvernement ont été battus à des élections. Le premier ministre n’a pas de mandat populaire. Les doutes exprimés sur notre fonctionnement démocratique sont très forts », souligne t-il. Seulement 28 % des personnes interrogées en France en janvier disaient ainsi estimer que la démocratie fonctionne bien, tandis que 78 % répondants disaient penser que la situation politique ayant résulté de la dissolution de l’Assemblée nationale peut être considérée comme « assez ou très grave ».

DE Valentine Fourreau pour Statista


Richerenches : le Marché complice revient pour une 2e édition au cœur de la capitale historique de la truffe

L’association carpentrassienne ‘Un par Un’ propose l’insertion de jeunes de 26 à 30 ans en entreprise par la voie de l’alternance. Leur public ? Les laissés pour compte qui, grâce à leurs mentors, s’épanouissent en entreprise comme en société. Un enjeu colossal selon Henri Lachmann, ancien PDG de Schneider Electric Monde qui a initié une chaîne de mentorat pour une insertion des jeunes efficace et pérenne. Aujourd’hui ‘Un par Un’ recherche des entreprises partenaires pour continuer à jouer collectif.

Ils sont trois à être venus à l’Echo du mardi pour expliquer ce qu’ils font et les résultats déjà obtenus. Pierrot Lauret, directeur de l’association Un par Un –jeu de mot pour signifier parrain- ; Alix Crichton, en charge des relations avec les tiers de confiance –les parrains- ; et Patrick Mentrel ancien DRH de Sonelog devenu ambassadeur de l’association  auprès des entreprises. Mission ? Répondre aux besoins spécifiques des entreprises en talents d’hommes qualifiés. Du recrutement sur mesure et de l’emploi pérenne capable de faire progresser trois entités : l’entreprise, les hommes et la société. Bref, des colibris de l’insertion pour l’emploi et la société inspirés et inspirants.

Pierrot Lauret, directeur de l’association Un par un
«L’association pour l’insertion des jeunes en entreprise ‘Un par un’ a été créée à l’initiative d’Henri Lachmann, ancien PDG de Schneider Electric monde, en octobre 2019, présente Pierre Lauret, directeur de l’association ‘Un par un’. En s’installant en Vaucluse lors de sa retraite, l’homme qui, tout au long de sa carrière a reçu de nombreux jeunes en alternance, s’est très vite inquiété des chiffres exorbitants de tous ces jeunes ‘un peu en perdition’ dans le département. Son crédo : ‘Tout jeune peut trouver sa place pour peu qu’il soit accompagné’. En février 2020, j’attaque ce projet en m’interrogeant : que peut-on faire pour ces jeunes des quartiers, sans diplômes et laissés pour compte ? Ma mission ? Aller à leur rencontre et vers les entreprises pour tisser du lien et trouver une solution qui favorise leur accueil, et, ensemble, entamer un travail de préparation pour leur donner une nouvelle chance de pouvoir s’insérer professionnellement.»

‘Tout jeune peut trouver sa place pour peu qu’il soit accompagné’

Henri Lachmann, président de Un par Un et ancien PDG de Schneider Electric Monde

L’objet de l’association ?
«Créer un écosystème favorable, où le jeune peut s’insérer pour créer toutes les conditions à une insertion professionnelle. Nous avons volontairement ciblé des jeunes entre 16 et 26 ans, voire 30 ans, car nous accordons beaucoup d’importance à la découverte de qui ils sont, à la compréhension de leur construction personnelle, et à leur donner une nouvelle dimension. Le projet est de rencontrer le jeune, de créer un lien de confiance, de repérer l’écosystème le plus adapté à sa personnalité dans une entreprise où l’environnement lui sera favorable avec des personnes, au départ appelées parrains, d’où l’allusion au nom de l’association ‘Un par un’»

Mentorat
«
Le process ? Inclure dans le dispositif une personne de l’entreprise, avec une vraie sensibilité, –le parrain- qui accordera du temps et une appétence à comprendre le jeune. L’objectif est de donner au futur professionnel toutes les chances de se découvrir, et de se laisser découvrir par les autres, pour ainsi réaliser son projet professionnel. Par contre, le parrain ne sera pas le supérieur hiérarchique du jeune.»

Copyright Un par Un

Rencontre avec les partenaires sociaux
«Dans un premier temps j’ai rencontré les partenaires sociaux, les jeunes, puis Alix Crichton nous a rejoints, ainsi que Patrick Mentrel, ancien directeur des ressources humaines, qui vient nous épauler sur le volet découverte des entreprises. Patrick a découvert notre entreprise lorsqu’il était en place avant de passer de l’autre côté de la barrière, détaille Pierrot Lauret.»

100 jeunes rencontrés par an, 60 accompagnés et plus d’une quarantaine en parcours d’insertion
«Globalement, par an, nous entrons en contact avec entre  80 et 100 jeunes dont 60 seront accompagnés et entre 40 et 45 auront intégré un parcours d’intégration via l’alternance en CAP (Certificat d’aptitude professionnelle), en CDD, CDI (Contrat à durée indéterminée). L’objectif est d’intégrer ses jeunes en formation professionnelle. C’est la raison pour laquelle nous sommes partenaires de centres de formation, de la Chambre des métiers, de la Fédération du bâtiment et des travaux publics, du Geiq (Groupement d’employeurs d’insertion et de qualification)…

‘100 jeunes rencontrés par an avec plus de 40 en parcours d’insertion’

Pierrot Lauret, directeur de l’association d’insertion Un par Un

Une association d’intermédiation
«Nous sommes repérés comme association d’intermédiation, par les structures d’accueil de jeunes, les centres sociaux –comme celui de Villemarie à Carpentras-, les associations départementales : le CDef 84 (Centre départemental enfance et famille), l’Arpe, l’Entraide Pierre Valdo, avec lesquelles nous avons tissé des liens pour favoriser les stages d’immersion, et surtout permette aux jeunes de rentrer dans une dynamique de parcours. Pour cela, nous avons créé une ‘Commission Insertion Jeunes’ mensuelle qui permet de placer, autour de la table, les personnes ressources de ces structures, ce qui nous permet de faire du suivi de parcours des jeunes, dans leur projet professionnel et dans leur rencontre avec les entreprises.»

Tisser des liens de confiance pour aller plus loin, ensemble

Alix Crichton et les ateliers d’intelligence émotionnelle
Alix Crichton travaille sur le volet entreprises. Pour cela, Alix a mis en place des ateliers d’intelligence émotionnelle autour du lien entre un parrain et un jeune filleul, afin de structurer la préparation et l’accompagnement.
«J’accompagne l’association sur le développement et la consolidation du réseau entreprise, relate Alix Crichton. Nous avons mis en place des ateliers mensuels pour engager les marraines et parrains des entreprises autour de l’accompagnement des jeunes. La mission ? Consolider le réseau, engager les marraines et parrains et échanger autour des problématiques des jeunes pour pouvoir y répondre et tisser un accompagnement pertinent et surtout durable pour le jeune.»

‘Les bienfaits de l’intelligence émotionnelle s’exercent au travail comme en dehors, à l’extérieur.’

Patrick Mentrel, ancien DRH en charge des relations avec les entreprises
Ancien Directeur des ressources humaines d’une plateforme de logistique Sonelog (commerce de gros de matériel électrique au Pontet), Patrick Mentrel est en charge des relations avec les entreprises. «J’étais aux côtés des membres de direction, lorsque j’ai rencontré ‘Un par Un’ et nous avons tous été convaincus par la démarche, autant pour les jeunes que pour l’entreprise. Ensemble, nous avons signé une convention et accueilli un jeune pour un premier stage d’immersion de 15 jours en entreprise. Nous avons sélectionné un chef d’équipe qui possédait déjà cette fibre sociale et qui a accompagné le jeune dans plusieurs services, afin que celui-ci puisse repérer, durant ces deux semaines, le service qui pourrait l’intéresser.»

Guider et motiver
«Cela a très bien fonctionné car il était hyper motivé et, de ce fait, est passé en apprentissage puis en formation interne pour, ensuite, signer, cinq mois plus tard, son contrat à durée indéterminée, devenant un salarié très efficace, opérationnel et très intégré de Sonelog où il pourra évoluer au sein de l’entreprise. ‘Un par un’ apporte un recrutement sur-mesure à l’entreprise et met en valeur le tiers de confiance : le parrain, qui se fait le porte-parole du jeune, par rapport aux autres services de l’entreprise.»

Copyright Un par Un

Intelligence émotionnelle en situation
Alix Crichton met en avant l’utilisation de l’intelligence émotionnelle. Mais que signifie ce terme ? « C’est comment être intelligent avec ses émotions, explique la jeune-femme. L’intelligence est la capacité à s’adapter à des situations. C’est gérer ses émotions pour s’adapter aux situations qui se présentent. L’émotion est commune à tous les mammifères. C’est même le premier langage de l’homme, ce qui lui a permis de vivre en société, de créer du lien, pour travailler ensemble, répondre à des menaces et survivre. Ce qui interpelle ? La raison pour laquelle dès tout petit, l’on détache l’homme de ses émotions, alors que c’est ce qui fait de nous des êtres humains et non pas des machines. Se reconnecter à soi, à ses émotions permet de savoir pourquoi l’on fonctionne ou non ensemble. Cloisonner et diviser ne permet plus à une société de fonctionner. Dans ce cadre, ‘Un par un’ ajoute de l’humain et de l’intelligence dans les relations et dans l’entreprise.»

Intelligence émotionnelle, pleine conscience, lien intergénérationnel, implication…
«J’abonde dans le sens d’Alix, apprécie Patrick Mentrel, à l’heure où l’on parle de risque psycho-sociaux et surtout de conflits, l’intelligence émotionnelle intervient, elle est également au centre, désormais, du recrutement. En intervenant au cœur du programme ‘Un par Un’, ce dispositif créé aussi un lien intergénérationnel, le parrain ayant souvent dans les 50 ans. Cela permet de se parler, de s’entendre, de se comprendre. Je pense que l’intelligence émotionnelle fera évoluer les politiques des ressources humaines des entreprises. Cela a aussi un impact dans les relations entre les salariés, c’est un élément clef du management. Les ateliers d’intelligence émotionnelle peuvent renforcer le partenariat entre notre association et les entreprises.»

Le désengagement salarial
«Le problème qui se pose, au sein de l’entreprise, est également un très prégnant désengagement salarial, relève Alix Crichton. Le lien que le parrain va réussir à créer permet au jeune de rester actif longtemps. J’ai en tête le retour d’expérience d’un manager de l’opérateur Orange qui m’a confié ‘avoir trouvé un autre sens à sa profession depuis qu’il fait de l’accompagnement, parce qu’il est sorti de cette dimension du chiffre de l’entreprise, actuellement, très imposée.»

‘Les entreprises ont un devoir d’inclusion dans la société’

Henri Lachmann, président de Un par Un

Interview de Henri Lachmann, fondateur de ‘Un par Un’
«Je constate que la famille, l’école, l’église foutent le camp et que les entreprises ont un rôle d’inclusion des jeunes à jouer, d’autant plus qu’elles ont les moyens pédagogiques d’accueillir et de former. Les entreprises ont un devoir d’inclusion dans la société.»

L’association ‘Un par Un’
«L’association Un par Un, privilégie l’apprentissage qui doit devenir un mode de formation à part entière, alors que nous nous plaçons en parents pauvres par rapport aux pays nordiques comme l’Allemagne et la Suisse. Et puis, l’entreprise possède la capacité d’enseigner le savoir être et le savoir vivre, notamment en collectivité, ce que le reste des acteurs sociaux peinent à remplir aussi bien. Le savoir être fait partie du savoir. Chez Schneider, en France, nous avons plus de 1 000 apprentis, dont la plupart restera dans l’entreprise en tant que salarié ou placé dans notre écosystème, devenant de véritable ambassadeurs de la marque et de l’entreprise en général.»

Avez-vous des problèmes de recrutement dans les entreprises ?
«Oui, car elles n’ont pas encore compris qu’elles avaient la responsabilité de l’inclusion dans la société et que ce rôle doit être pris à bras le corps. Attendre tout de cellules qui dysfonctionnent, comme la famille et l’école, n’est pas la solution. Si les entreprises ont des difficultés à recruter, c’est que les jeunes sont mal formés. Ils ne peuvent posséder le savoir être que l’école ne leur donne pas.»

A quoi ressemblera l’entreprise de demain ?
«Elle sera l’image de la vie en société, du travail en collectif et dans ce collectif de la diversité. C’est là toute notre richesse. Quand deux hommes sont ensemble et sont d’accord, alors il y en a un de trop. Il y a plusieurs savoirs : le savoir, le savoir être, le savoir-vivre, le savoir-faire. L’entreprise est tout à fait à même d’enseigner cela.»

Les partenaires de Un par Un
Missions Locales (Avignon & Carpentras) – L’entraide Pierre Valdo –  GEIQ BTP 84 –MFR – BTP84 – Lou Tricadou – CFA du Bâtiment Avignon Florentin Mouret – Association du Pôle d’activités de Fontcouverte – MNA Vaucluse – CDEF 84 – Eureka Insertion – CMAR- La Varappe – Fondation Henri Lachmann – Fondation Institut de France – Ressources – Fondation Schneider Electric – Direction départementale de l’Emploi, du Travail et des Solidarités – Fiducial – CCI Vaucluse – Le Département du Vaucluse – Face Vaucluse – Vaucluse entreprise – Politiques de la ville (Quartiers d’Eté) – Evolio PAE – Made In Marseille- Sonepar – Leroy Marlin – McCormick – Fuchs – Carrelage au Carré – Cooprovence – Carrefour – Norauto – Groupe Orange – WATTS Industries – Ibis Groupe – Dalkia – Auto-Pièces Service – Brasserie Foncouverte – Boulanger – Bien Perché – Altera Rocca…

Alix Crichton, Pierrot Lauret et Patrick Mentrel Copyright MMH

Un par Un, Association Loi de 1901 pour l’insertion des jeunes. Domiciliée au Campus Louis Giraud, 310 Chemin de l’Hermitage à Carpentras. Pierrot Lauret, directeur de l’association Un par un 06 58 78 38 70. structureunparun@gmail.com


Richerenches : le Marché complice revient pour une 2e édition au cœur de la capitale historique de la truffe

Patrick Armengau, commissaire-priseur de l’Hôtel des ventes d’Avignon propose à la vente des bijoux, tableaux, mobilier et objets d’art ce samedi 15 février à 10h et 14h15. Parmi les beaux bijoux, un bracelet ruban en or jaune ‘nid d’abeille’ à partir de 3 800€, une petite broche Mauboussin en plume or sertie d’un diamant de taille ancienne à partir de 600€, une bague en platine sertie d’un diamant de taille ancienne et coussin d’environ 1,4 carat à partir de 4 000€une broche plaque d’époque Art déco en platine sertie de diamants taille rose et ancienne dont le principal pesant environ 1,4 carat à partir de 4 000€.

Nous avons un petit coup de cœur pour cette très jolie console provençale en noyer sculpté dotée de deux tiroirs latéraux et en ceinture d’une coquille feuillagée d’époque du 18e siècle, à partir de 300€. On adore cette magnifique commode tombeau galbée et ses trois tiroirs sur trois rangs surmontée d’un plateau en marbre d’époque Louis XV à partir de 2 500€.

Portrait de Monsieur Noguier Antoine d’Antoine Raspal
Copyright Hôtel des Ventes d’Avignon

On adorerait faire rentrer le printemps à la maison avec ce bouquet de fleurs, une aquarelle de Blanche Odin (1865-1957) à partir de 200€. Et pour faire entrer quelques notes de musique, que diriez-vous d’un violoncelle français ‘Plumerel à Paris, fait à Mirecourt dans la 1re partie du 19e siècle proposé à partir de 2 000€.

Dans les belles pièces voici un portrait de Monsieur Noguier, Consul d’Arles exécuté par Antoine Raspal (Arles 1738-1811) à partir de 20 000€ et aussi ce très beau portrait en pied d’une jeune homme à la musette de Miklos Barabas (1810-1898 portraitiste hongrois). Toutes ces merveilles sont à découvrir sur le catalogue complet ici.

Les prochaines ventes
Samedi 29 mars : Art du XXème siècle et Tableaux Modernes. Samedi 26 avril : Tableaux Anciens, Mobilier et Objets d’Art. Samedi 17 mai : Grands Vins et Spiritueux. Samedi 24 mai : Joaillerie et Montres de Collection. Samedi 14 juin : Automobiles de Collection.

Les infos pratiques
Hôtel des ventes d’Avignon. 2, rue mère Teresa à Avignon. Les lundi et vendredi de 10h à 12h et de 14h à 17h. Les mardi et jeudi de 9h à 12h et de 14h à 18h. Le mercredi de 9h à 12h. 04 90 86 35 35. contact@avignon-encheres.com Expertise sans rendez-vous tous les mardi de 9h à 12h et de 14h à 17h. Les frais de vente se montent à 25%.

Copyright Hôtel des Ventes d’Avignon

Richerenches : le Marché complice revient pour une 2e édition au cœur de la capitale historique de la truffe


Richerenches : le Marché complice revient pour une 2e édition au cœur de la capitale historique de la truffe

« Je fais partie des premières victimes du confinement du Covid. J’ai en effet été licenciée de mon entreprise dans l’événementiel. » Claire di-Meglio décide de se réinventer et de partir sur un projet de création de sa propre affaire en 2022, après 20 années d’expérience professionnelle en tant que cadre dans la logistique.

 « Au départ j’avais pour projet de créer un magasin traditionnel de produits locaux. J’ai toujours été attachée à la consommation des produits du terroir. Je connaissais déjà quelques producteurs de la région qui travaillent très bien et font de bons produits. Nous avons un département avec tout ce qu’il faut pour manger. J’ai fait le tour des fermes pour trouver des œufs, des tomates ou d’autres produits. »
Pour être accompagnée, elle se tourne vers le Rile à Carpentras dont la mission est d’aider à la création d’entreprise. Elle obtient également un prêt d’honneur auprès de la plateforme Initiative Ventoux d’une valeur de 8 500€. Elle décroche une autre aide financière d’une structure à la création d’entreprise, France active, en tant qu’entrepreneuse. Elle lance ainsi son affaire en mai 2022, en choisissant un concept ambulant plutôt qu’un magasin fixe. Elle fait alors l’acquisition d’un véhicule utilitaire pour un budget de 30 000 € qu’elle aménage pour lancer alors Nans et Pimprenelle, son épicerie ambulante.

« Mon entreprise participe à recréer une vie de village et du lien social. »

Claire di-Meglio, fondatrice de Nans et Pimprenelle

Choix de la gamme
Elle décide de déterminer la gamme proposée à sa clientèle sur des produits locaux exclusivement au départ. Elle travaille ainsi des fruits et légumes, du vin mais aussi des produits transformés par des entreprises du coin, comme les conserveries Guintrand à Carpentras, sans oublier des produits ménagers écologiques.
« Mon idée de départ était de proposer du produit bon, pas forcément bio, et local. » Elle sélectionne ainsi 250 produits dans son camion et consacre deux demi-journées par semaine à l’achat en direct chez ses producteurs. « L’idée première était de faire du 100 % local. J’ai dû m’adapter à la demande de mes clients qui m’ont demandé quelques produits nationaux. Il y a aussi des articles qui ne sont pas présents dans Vaucluse, je peux ainsi m’approvisionner dans les départements environnants comment l’Ardèche. »

La gamme de produits proposés est large, avec pas moins de 250 produits. Crédit : DR

Nans et Pimprenelle
L’entreprise correspond au nom donné au camion, Nans. Pimprenelle est le surnom donné à Claire di-Meglio par ses collègues quand elle était cadre dans la logistique. La société baptisée ainsi sillonne neuf villages dans un rayon de 30 kms autour de Carpentras, avec des haltes dans chacun de ces lieux, sur autorisation municipale. Elle est également présente dans des lieux privés comme la résidence autonomie pour personnes âgées Domitys à Carpentras. « Mon concept est 100% écologique. Le client ne dépense pas d’essence pour aller au supermarché, avec des produits locaux qui n’ont pas voyagé. »

Une clientèle à fidéliser
L’entreprise doit encore développer son chiffre d’affaires pour asseoir son modèle économique. La clientèle est variée. Il y a certes des personnes âgées mais également tous les âges représentés. Il s’agit d’une clientèle sensible à cette démarche écologique.
« Mon entreprise participe à recréer une vie de village et du lien social mais elle doit encore acquérir de nouveaux clients pour être pérenne. Le travail que je réalise a du sens. Je crois fermement au projet », explique la cheffe d’entreprise.


Richerenches : le Marché complice revient pour une 2e édition au cœur de la capitale historique de la truffe

Le sommet de Paris sur l’IA a au moins le mérite de faire causer à défaut de nous permettre d’y voir plus clair sur ce que nous réserve l’avenir. C’est un vrai sujet comme on dit. Un sujet qui, aujourd’hui, pose plus de questions qu’il n’apporte de réponse. L’inconnu fait peur.

Sur l’IA, les avis sont très partagés. Pour certains c’est un progrès aussi important que l’invention de l’électricité ou de l’informatique. Une nouvelle révolution industrielle et technique. Une avancée pour l’humanité (n’ayons pas peur des mots). C’est vrai que dans le domaine médical, à condition que les praticiens restent aux manettes, c’est une réelle avancée. Mais quand aujourd’hui les collégiens font leurs devoirs à la maison avec ChatGPT ça questionne. Ne serions-nous pas là en train de donner naissance à des générations de décervelés ? A quoi bon apprendre, découvrir, questionner, être curieux si la machine le fait à votre place ? Jusqu’à où peut-on déléguer son savoir et sa capacité de décider ? Vous avez 4 heures (et sans assistance) !

Les risques de l’uniformité et du conformisme sont certains

On pourrait débattre à l’infini sur le sujet. Mais il en est un sur lequel il nous faut être particulièrement vigilant, c’est celui de la création sous toutes ses formes. Les musiciens, les graphistes, les journalistes, les photographes, les peintres, les plasticiens, les écrivains, les scénaristes, les comédiens.. tous ces auteurs, ces créateurs, ces interprètes sont menacés. C’est même la double peine car beaucoup risquent de ne plus pouvoir exister et la création s’en trouverait privée de son renouvellement, de ses nouvelles idées, de ses expérimentations, de ses folies… Les risques de l’uniformité et du conformisme sont certains. C’est ce que l’on peut déjà constater avec une grande partie de la production musicale actuelle…

Une boite de Pandore

N’avait-on pas appris autrefois que le progrès devait servir avant tout à l’émancipation et la liberté des individus ? Aujourd’hui avec l’IA on parle surtout d’investissements considérables, de profits attendus, de guerres économiques entre les nations…

ChatGTP, à qui on demandait de résumer en 1 000 mots un article de présentation de l’IA produit par la rédaction de Franceinfo, concluait en disant qu’il s’agissait d’une « boite de Pandore ». Dans la mythologie grecque ouvrir la boite de Pandore revenait à répandre sur terre tous les maux de l’humanité. Amusant ou prémonitoire ?


Richerenches : le Marché complice revient pour une 2e édition au cœur de la capitale historique de la truffe

Ce mercredi 12 février, le Melon de Cavaillon a été officiellement reconnu IGP (Indication géographique protégée). Une véritable reconnaissance pour les producteurs locaux.

Après des années de quête pour l’obtention du label Indication géographique protégée, le Melon de Cavaillon est enfin reconnu IGP. Un label de qualité de l’Union Européenne qui vient récompenser le savoir-faire des producteurs locaux de ce fruit qui est à présent protégé par une identité d’origine et de qualité.

« Une véritable fierté pour Cavaillon, pour le Vaucluse et pour la Région Sud ! »

Benoît Mathieu, président du Marché d’intérêt national de Cavaillon

Le 3 février dernier, Gérard Daudet, maire de Cavaillon, a annoncé que le dossier de l’IGP Melon de Cavaillon avait été instruit par la Commission Européenne. « Cette bonne nouvelle, dont je suis particulièrement fier, nous la célébrerons tous ensemble, je l’espère, lors de la Fête du Melon 2025 », avait-t-il alors déclaré. Ce mercredi 12 février, c’est officiel, l’IGP Melon de Cavaillon est née.

Depuis plusieurs années, le Syndicat des Maîtres Melonniers de Cavaillon, qui est à l’origine de la marque ‘Melon de Cavaillon’, œuvrait pour obtenir ce label. « L’IGP garantit que chaque Melon de Cavaillon respecte des critères stricts de culture et de production, tout en préservant son héritage et ses traditions locales », explique le Syndicat.

Ainsi, pour être reconnu par le label, le fruit et sa production doivent suivre un cahier des charges strictes avec un taux de sucre à respecter, ainsi qu’un poids, un visuel, et même un certain mode de présentation lors de la vente. L’aire géographique de production et de conditionnement du Melon de Cavaillon s’étend sur une partie des départements des Alpes-de-Haute-Provence, des Bouches-du-Rhône, du Var et du Vaucluse.


Richerenches : le Marché complice revient pour une 2e édition au cœur de la capitale historique de la truffe

À l’occasion de la Saint-Valentin, la Compagnie des Grands Bateaux de Provence organise trois croisières les vendredi 14, samedi 15 et dimanche 16 février au départ des Allées de l’Oulle à Avignon. Si deux des trois événements sont déjà complets, il reste encore quelques places pour la soirée cabaret en croisière ce samedi 15 février.

Ce week-end, les amoureux de l’amour pourront profiter de soirées thématiques sur le Rhône. La Compagnie des Grands Bateaux de Provence organise l’incontournable croisière avec dîner des amoureux au fil de l’eau ce vendredi 14 février. L’événement, qui affiche déjà complet, permettra une ambiance intime et élégante, les participants pourront redécouvrir le charme des monuments d’Avignon et de Villeneuve-lès-Avignon.

Le samedi 15 février, place au cabaret avec la Revue Scandal qui a tourné dans les plus grands cabarets parisiens et européens. Sophia, en maîtresse de cérémonie, embarquera le public dans d’impromptues scènes théâtrales et musicales, dans un spectacle festif et pétillant. L’embarquement se fera à 19h30 aux Allées de l’Oulle pour un départ à 20h. Pour 85€ (hors boissons), les participants pourront profiter du spectacle ainsi que d’un dîner comprenant l’entrée, le plat et le dessert, ainsi qu’un cocktail spécial Saint-Valentin offert. Il reste encore quelques places à bord du bateau le Mireio (réservations en ligne ou au 04 90 85 62 25).

©Compagnie des Grands Bateaux de Provence

Le dimanche 16 février, ce sera une une croisière pour plonger dans l’histoire de Saint-Valentin qui sera proposer aux participants. Embarquement direction Roquemaure, qui deviendra la « cité aux légendes d’Amour » le temps du déjeuner. Cet événement affiche également complet.

https://www.echodumardi.com/page/64/   1/1