23 septembre 2025 |

Ecrit par le 23 septembre 2025

Avignon : travaux sur la rocade Charles de Gaulle jusqu’à fin mai au niveau de Courtine

Le Grand Avignon vient de débuter des travaux de voirie qui se dérouleront sur la rocade Charles de Gaulle à Avignon. Ce chantier se situe au niveau du chemin de Rochegude ainsi qu’au carrefour de la route du Confluent. Il se déroulera jusqu’à fin mai 2023.

L’opération, incluant des travaux de nuit, consistera en :

– la réalisation d’une continuité de la piste cyclable reliant le centre-ville d’Avignon à la zone de Courtine, au niveau du chemin Rochegude et de la route du Confluent.

– la création de murets de sécurité pour les piétons et les vélos.

– la requalification de la voirie du carrefour avec la route du Confluent (reprise des enrobés et des îlots).

Le chantier a nécessité la fermeture de la route du Confluent dans la zone d’Agroparc.

La route du Confluent sera fermée à la circulation le temps des travaux, des déviations seront mises en place par la zone de Courtine.

Un cheminement pour les piétons sera mis en place tout au long du chantier, de part et d’autre des travaux, pour garantir leur sécurité. Néanmoins, le Grand Avignon recommande de faire attention aux engins en activité aux abords du chantier.
Ces travaux devraient avoir des conséquences sur le trafic routier.

Plus d’infos sur grandavignon.fr


Avignon : travaux sur la rocade Charles de Gaulle jusqu’à fin mai au niveau de Courtine

La 9ᵉ édition du concours d’entrepreneuriat Les Entrep’Vaucluse, qui a débuté en novembre dernier, vient de se clôturer avec la remise des trophées qui a eu lieu le 29 mars. 18 équipes ont présenté leur projet, une seule ira à la finale nationale le 12 mai prochain.

Jeunes, coachs, parrain de la promo, enseignants, représentants des établissements du supérieur et partenaires institutionnels et privés, se sont réunis lors de la soirée de clôture de la promotion 2023 des Entrep’Vaucluse le 29 mars dernier. Lors de cette soirée, chaque équipe participante a pu présenter son projet. S’en est suivie la remise des trophées.

Durant cinq mois, les participants ont pu expérimenter la création d’entreprise, de la création du projet à sa communication et ont ainsi développer leurs compétences entrepreneuriales. Cette année, ce sont 18 équipes qui ont présenté leur projet, contre 17 l’année dernière.

Les lauréats

Sans compter l’équipe qui se rendra à Paris le 12 mai prochain pour la finale nationale, sept équipes se sont distinguées et ont obtenu un trophée lors de cette soirée de clôture.

-L’équipe ‘L’Ourson provençal’ a réalisé un doublon et a reçu deux trophées : celui de la Communication et celui du Coup de cœur. Foued Saouchi, Mathis Dischert, et Lilian Rouvel ont présenté un projet de revisite et de valorisation de la cuisine provençale, dans le but d’améliorer l’alimentation des enfants. Ils ont été coachés par Didier Goguillon (Wurth) et Éric De Wiet (Conseil & Partage).

-L’équipe ‘Oùlivo’ a reçu le trophée du public pour son concept écoresponsable et durable de boîte (pour les repas) en noyaux d’olives broyés. Léa Chiron, Marie Carrière, Tatiana Denis, Suzanne Garavel et Eva Zunino ont été coachées par Sylvie Fayard (Avignon Université) et Bruno Segol (Etex).

-L’équipe ‘Brûle Pain’ a reçu le trophée de l’innovation pour ses bûchettes pour poêle à bois, fabriquées à base de pain non consommé préalablement récupéré auprès des boulangeries. Yoan Juillot, Victoria Gozlan, Jonathan Weglarz et Juliane Gozlan ont été coachés par Nicolas Leblanc (Houston 31) et Philippe Delattre (L’Isle Verte).

-L’équipe ‘Bocal pour tous’ a reçu le prix Dream Team pour sa nouvelle manière de consommer local les produits déclassés à travers une plateforme entre les agriculteurs et les consommateurs. La vente de kits clés en mains leur permettra de faire eux-mêmes leurs bocaux. Arthur Guihard, Odélia Collin, Léna Molinier et Samuel Lantin ont été coachés par Lionel Dosne (Chocolaterie Castelain), Brice De Forsanz et Anthony Gauthier (La Bulle).

-L’équipe ‘Friend’IZ’ a reçu le prix Parcours Entreprendre pour ses friandises composées de CBD pour la santé de nos amis les animaux. Lucas Le Floch, Elliot Estrade et Amélia Serra ont été coachés par Elodie Safarti (PeopleIn) et Jean-Michel Vincent (Résonance).

-L’équipe ‘Eat’Up’, a ex-æquo avec l’équipe ‘Friend’IZ’, a reçu le prix Parcours Entreprendre pour ses gaufres salées faites à partir des invendus des boulangeries et des exploitations agricoles locales. Lilou Panades, Jeanne Candalh, Manon Michotte de Welle, Fatih Senturk et Camille Jaouen ont été coachés par Serge Sabrier (Hubcycle) et Christophe Vanneste (Acqua Innovation).

L’équipe ‘Zoarium’ a reçu, quant à elle, le trophée Économie créative environnementale et inclusive pour son exploitation agricole multi-disciplinaire, hébergeant une activité pédagogique et culturelle, basée sur un modèle d’échange de services et de compétences. Anaïs Bouillon, Joanne Cauvé et Gabrielle Yanni ont été coachées par Céline Darras (Etex) et Etienne De Chezelles (Verre et Transparence).

L’équipe finaliste du concours national

C’est donc une équipe féminine qui remporte la finale départementale des Entrep’ Vaucluse. ‘Atipik’ ira à la capitale en mai prochain pour tenter de décrocher le Trophée France. L’équipe, composée de Jennifer Bourrely, Victoria Bergese, Capucine Faure, Manon Issartel, Elisa Paillart, et coachée par Serge Edmond et François Llado (Réseau Entreprendre Rhône Durance), a présenté un projet de création d’un espace pluridisciplinaire ouvert à tous qui propose divers services et activités dans un environnement adapté et confortable, pour les personnes neuro-atypiques.


Avignon : travaux sur la rocade Charles de Gaulle jusqu’à fin mai au niveau de Courtine

L’union de caves coopératives Rhonéa, qui rassemble 400 vignerons répartis sur 2 900 hectares de vignes en Vallée du Rhône méridionale, recherche un nouveau directeur commercial. Le poste est un CDI en temps plein basé à Beaumes-de-Venise.

Rattaché au directeur général et membre du comité de direction, le futur directeur commercial définit et met en œuvre la stratégie commerciale du groupe. La personne employée devra également gérer l’équipe commerciale composée de 18 personnes (responsables de zone France et Export, commerciaux sédentaires, administration des ventes), être le moteur du développement commercial de la structure en France, garantir l’évolution du chiffre d’affaires, des marges et des parts de marché sur les différentes enseignes, en menant à bien des négociations Grands Comptes, suivre la réalisation des objectifs fixés par la direction, proposer et mettre en œuvre les actions nécessaires, mais aussi rendre régulièrement compte de l’activité auprès de la direction.

Le futur directeur commercial doit être organisé, dynamique, doté d’un bon sens relationnel et orienté expérience client. Il doit aussi être issu d’une formation supérieure type École de Commerce ou équivalent, idéalement avec une spécialisation dans le domaine du vin. Le candidat doit justifier d’une expérience significative de 10 ans minimum dans une fonction similaire avec du management d’équipe de ventes. La maîtrise de l’anglais à l’écrit comme à l’oral est indispensable.

Pour postuler, cliquez ici.

V.A.


Avignon : travaux sur la rocade Charles de Gaulle jusqu’à fin mai au niveau de Courtine

Le 30 mars dernier, la communauté d’agglomération Les Sorgues du Comtat a organisé un atelier ‘Fresque du climat’ à Monteux. Animé par Eco-Lab’, cet atelier a permis à 30 élus communautaires, municipaux et membres du Conseil de développement (Codev) de réaliser une fresque des causes, conséquences et impacts des activités humaines sur le changement climatique.

L’organisation de cet événement ‘Fresque du climat’ par la communauté d’agglomération s’inscrit dans la même logique que le Contrat de relance et de transition écologique (CRTE) qu’elle a signé en 2021 pour viser la performance environnementale, la sobriété foncière et s’engager dans la transition alimentaire. De plus, le Plan climat air énergie (PCAET) des Sorgues du Comtat sera finalisé cette année. Il devrait permettre d’établir une stratégie et un plan d’actions à l’horizon 2030 afin de lutter contre le dérèglement climatique, préserver la qualité de l’air et assurer la transition énergétique du territoire. « Compte tenu des enjeux, la mobilisation de tous les acteurs est un facteur clé pour construire un programme d’action adapté à notre histoire, à notre territoire et à ses acteurs », a affirmé Marc Mossé, vice-président de la communauté d’agglomération délégué à la transition écologique.

L’atelier a ainsi permis à chacun de se rendre compte de l’impact des humains en tant que groupe sur l’environnement, mais aussi de l’impact de leurs actions à titre personnel. « En faisant mon bilan carbone, j’ai eu une très grande prise de conscience, a expliqué Gaëlle Richard, élue municipale à Bédarrides. On connait tous l’objectif 2T de CO2 par habitant mais de voir écrit noir sur blanc notre propre bilan carbone, on se rend compte qu’on est loin du compte. Mes premières actions ? Diminuer ma consommation de viande et me déplacer le plus possible à pied. » Globalement, les élus ont apprécié le côté ludique et interactif de l’atelier, mais aussi les échanges entre chacun qui ont permis d’apporter différent éclairage sur la situation climatique actuelle.

V.A.


Avignon : travaux sur la rocade Charles de Gaulle jusqu’à fin mai au niveau de Courtine

Le lundi 10 avril, le cinéma Capitole MyCinewest diffusera en avant-première le film d’aventure fantastique Donjons & Dragons : l’honneur des voleurs, qui sortira officiellement le 12 avril dans toutes les salles de cinéma.

À l’affiche du film : Chris Pine, Michelle Rodriguez, Rege-Jean Page, Justice Smith, ou encore Sophia Lillis. Le synopsis tourne autour d’un voleur et d’une bande d’aventuriers improbables qui entreprennent un casse épique pour récupérer une relique perdue. Mais les choses vont mal tourner pour eux lorsqu’ils vont s’attirer les foudres des mauvaises personnes.

À l’occasion de cette avant-première, diverses animations seront organisées comme du tir à l’arc animé par Bifrost, un photocall sur le thème du film, une démonstration de combat proposé par CréArtif, ou encore des jeux en réalité virtuelle avec Ready. De nombreux cadeaux seront également à gagner lors de cette soirée. Il est d’ores et déjà possible de réserver sa place en ligne.

Lundi 10 avril. 20h. Cinéma Capitole. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


Avignon : travaux sur la rocade Charles de Gaulle jusqu’à fin mai au niveau de Courtine

Aucun sujet technologique ne soulève actuellement autant de débats que l’intelligence artificielle : est-elle un danger pour l’humanité ou la solution à tous nos problèmes ? Fait-elle disparaître plus d’emplois qu’elle n’en crée ? Autant de questions qui préoccupent actuellement les experts et les citoyens.

Bien que l’intelligence artificielle évolue rapidement et qu’elle n’a pas fini de soulever des questions sur son avenir, les technologies de l’IA sont déjà utilisées par de nombreuses entreprises et organisations à travers le monde, comme le montre un autre graphique sur ce sujet.

Dans quels pays mise-t-on le plus sur l’intelligence artificielle ? Le graphique ci-dessous, basé sur les données du rapport « 2023 AI Index Report » de l’université de Stanford, montre les pays où les sommes les plus importantes ont été investies dans des entreprises d’IA entre 2013 et 2022. Les États-Unis arrivent largement en tête avec un montant de 248,9 milliards de dollars, suivis par la Chine (95,1 milliards de dollars) et le Royaume-Uni (18,2 milliards de dollars). Au huitième rang, la France suit de près l’Allemagne avec des investissements de 6,6 milliards de dollars sur cette période.

En 2022, les investissements les plus importants dans l’IA ont été réalisés dans le domaine de la médecine et de la santé (6,1 milliards de dollars), selon le rapport.

De Claire Villiers pour Statista


Avignon : travaux sur la rocade Charles de Gaulle jusqu’à fin mai au niveau de Courtine

Le couturier Julien Fournié est à l’honneur dans la nouvelle exposition proposée à SCAD Fash Lacoste. Depuis le lundi 3 avril, les visiteurs peuvent admirer vingt de ses créations.

Julien Fournié est l’un des rares couturiers à avoir le label Haute-Couture. Ce statut est une appellation protégée qui ne peut être obtenue qu’à Paris. La liste officielle des maisons de Haute-Couture ne compte aujourd’hui que 16 membres tels que Chanel, Christian Dior, Givenchy, Jean-Paul Gaultier, ou encore Julien Fournié.

Ainsi, SCAD Fash accueille sa première exposition de Haute-Couture : ‘Julien Fournié : Haute Couture, un point c’est tout !’. Le couturier, lui, est ravi d’exposer en Provence dans le Luberon auquel il est profondément attaché et où il a passé une grande partie de ses vacances depuis qu’il est enfant dans une maison familiale située près de la Montagne de Lure.

Vingt créations emblématiques

Depuis que la Maison Julien Fournié a été fondée en 2009, le couturier a travaillé sur bon nombre de créations. Cette exposition met en lumière vingt d’entre elles, toutes aussi emblématiques les unes que les autres. « C’est un véritable honneur d’être dans un musée de son vivant, et je suis ravi de partager mes pièces et constructions de textiles magiques sous un jour plus intime que sur les podiums », a expliqué Julien Fournié.

Le couturier est notamment connu pour sa maîtrise technique et artistique du savoir-faire traditionnel français de la haute couture. Ses créations sont de véritables œuvres d’art qui accentuent la forme féminine. Elles pourront être admirées par le public jusqu’au 15 août prochain.

Jusqu’au 15 août. SCAD Fash. Rue du Four. Lacoste.

V.A.


Avignon : travaux sur la rocade Charles de Gaulle jusqu’à fin mai au niveau de Courtine

Cette semaine, Rémy Canuti, consultant pour la société vauclusienne Care conseil & management spécialisée en conseil aux collectivités locales et accompagnement de dirigeants basée à Uchaux, revient sur les notions de renoncement. Quand faut-il savoir renoncer pour ne pas aller au-devant de la catastrophe ou du simple échec ? Car renoncer, n’est pas forcément un échec, si ce renoncement est utile à la conservation des énergies, des finances et du moral des troupes.

« Tout le monde s’accordera, je pense, sur le fait qu’un manager est avant tout un leader. Il doit être entreprenant, bienveillant, à l’écoute, charismatique, empathique, favoriser l’intelligence collective, faire émerger les nouveaux talents, diriger sans imposer, se remettre en question aussi souvent que nécessaire, être attentif aux objectifs de son équipe tout comme aux siens, ‘cheffer’ mais pas trop, s’adapter à la réalité du terrain, aux exigences du public, aux attentes des élus s’il travaille dans le public, penser la durabilité des politiques publiques, leur interdépendance, réfléchir à la résilience de la structure dans laquelle il travaille, gérer les risques psychosociaux et les exigences de sens dans le travail des employés… la liste est sans fin. »

« Il est indispensable de prévoir la possibilité de renoncement. »

« Dans ces conditions, bien sûr, puisque tout est fait en conformité avec les innombrables exigences juridiques, éthiques, financières et environnementales de notre temps, la question du renoncement est extrêmement difficile à poser. »
« Le projet, quel qu’il soit, doit aboutir car tous les paramètres ont été pris en compte : du bien-être des salariés jusqu’aux répercussions budgétaires en matière de fonctionnement… Or, il est indispensable de prévoir la possibilité de renoncement. Plus le projet est important, plus il importe d’y réfléchir en amont de la décision. »

« Il est vrai qu’en mode projet, on ira jusqu’à cartographier les risques en leur conférant plus ou moins d’importance et en diminuant la probabilité d’occurence à mesure qu’ils s’effacent. Cependant, il n’est pas question ici d’évoquer l’échec, mais l’abandon, le renoncement à un projet et à une idée dans lesquels beaucoup d’énergie a été investie. Or, c’est sans doute l’une des choses les plus difficiles à faire et cela est aussi du ressort du cadre-dirigeant. »

« Les raisons peuvent en être multiples : les besoins ont changé, les finances se sont taries, le projet s’avère plus onéreux que prévu en raison de difficultés internationales, une pandémie surprend tout le monde, une majorité change son fusil d’épaule en matière de préférence, bref…
La question se pose donc de savoir comment faire. Et plus encore de déterminer quand il faudra s’arrêter, ne plus lutter contre l’inévitable, mais sauver ce qui peut être encore sauvé ou stopper l’hémorragie financière et d’énergie que constitue le projet. »

« Apprendre à revenir sur sa décision, quelle que soit la valeur de la décision prise précédemment. »

« Un exemple me revient toujours à ce sujet et qui constitue l’un des apprentissages de réponse aux situations d’urgence des pilotes de ligne. On leur apprend à revenir sur leur décision, quelle que soit la valeur de la décision prise précédemment, car il est de leur devoir de renoncer au parti pris quelques minutes plus tôt, si c’est la seule et unique solution. La vie des passagers, l’intégrité de l’avion sont en jeu et les répercussions d’une mauvaise appréciation sont extrêmement lourdes.
Plusieurs biais cognitifs peuvent nous empêcher de prendre la bonne décision, c’est-à-dire de stopper un projet. Parmi les plus risqués, notons le biais de l’excès de confiance dont le nom est à lui seul évocateur ; le biais du cadrage serré, qui limite notre vision quant au nombre de possibilités autres que celles choisies ; voire le biais de l’intuition, qui nous conforte dans la solution que nous avons choisie. »

« Et puis il y a simplement le fait de se sentir un peu coupable d’avoir dépensé et fait dépenser tant d’énergie pour rien… La gêne de s’être trompé. À l’heure du super-manager qui doit gérer des situations de plus en plus complexes avec toujours plus de qualités, il est presque indécent de se fourvoyer et d’abandonner… Or, un abandon, ce n’est jamais rien. En ce sens, c’est aussi utile en matière de retour d’expérience qu’un échec. Et il appartient au manager d’effectuer le geste indispensable qui lui ouvrira les voies de la compréhension et de la responsabilité.
Renoncer c’est donc avant tout choisir, c’est-à-dire faire le choix de privilégier ce qui ne l’était pas auparavant, en sacrifiant ce qui était de l’ordre de l’important mais qui ne l’est plus. En ce sens, i n’y a rien de plus stratégique comme décision. »


Avignon : travaux sur la rocade Charles de Gaulle jusqu’à fin mai au niveau de Courtine

Le Focus Pro Jeune Public, qui a débuté hier, le mercredi 5 avril, aura lieu jusqu’à demain, le vendredi 7 avril. Créé en 2022, cet événement réunit tous les professionnels internationaux du théâtre jeune public. Si le rendez-vous s’adresse globalement aux professionnels, certaines séances sont ouvertes au public.

Organisé pendant le festival Festo Pitchou, qui se tiendra jusqu’au 22 avril, le Focus Pro Jeune Public est un événement de prospection inscrit sur trois jours. Son objectif est de créer un rendez-vous international suscitant l’intérêt et la curiosité pour le regard que porte Avignon sur les arts de la scène jeune public.

Cette année, l’événement est en partenariat avec le Québec qui est venu avec une délégation et a présenté un spectacle. Les trois jours sont rythmés par onze spectacles de compagnies belges, suisses, françaises et québecoises, mais aussi de rencontres professionnelles autour du théâtre jeune public.

Deux séances ouvertes au public

Au milieu du programme se glissent deux représentations qui sont accessibles pas seulement aux professionnels, mais aussi au public. Ce soir, le jeudi 6 avril, à 19h, les enfants dès 7 ans pourront découvrir M. Phône et les sardines au Théâtre des Doms. Le spectacle, d’une durée d’une heure, a été élaboré par la compagnie belge La Bête Curieuse. C’est une histoire de liberté à apprivoiser, d’ordre, de désordre et de nos capacités d’adaptation.

Demain soir, le vendredi 7 avril, à 19h, les enfants dès 8 ans pourront profiter du concert théâtral Chanson pour le musée, proposé par la compagnie québecoise Mammifères au Théâtre des Doms. Cette représentation d’une heure s’articule autour des pouvoirs mystérieux et insoupçonnés de l’art.

Les réservations se font par téléphone au ou 04 90 14 07 99 par mail à l’adresse resa@lesdoms.eu

V.A.

https://www.echodumardi.com/page/644/   1/1