Lancement d’un club Polar à la librairie La Forme d’un Livre de Villeneuve-lès-Avignon
La librairie villeneuvoise La Forme d’un Livre et le Festival du Polar s’associent pour nous proposer un nouveau rendez-vous littéraire : un club Polar.
Dans la continuité et la logique du Festival du Polar qui a lieu tous en ans en novembre, Camille Court, libraire, accueille Corinne Tonelli, programmatrice du Festival du Polar, qui vous présentera des nouveautés et des coups de cœur : romans noirs ou policier, thrillers…
Un rendez-vous mensuel
Le Club Polar se réunira 5 fois dans l’année, le lundi soir à 18h30. Il durera environ entre 1h et 1h20. Les échanges autour des lectures se poursuivront autour d’un verre.
Lundi 17 février à 18h30. Entrée libre. Places limitées. Librairie La Forme d’un Livre. Rue de la République. Villeneuve-les-Avignon. Réservation conseillée : librairie.laformedunlivre@gmail.com
Lancement d’un club Polar à la librairie La Forme d’un Livre de Villeneuve-lès-Avignon
Nicolas Bottero est le propriétaire et le chef de cuisine du restaurant étoilé Le Mas Bottero, situé à Saint-Cannat, dans les Bouches-du-Rhône. Pour régaler vos papilles et celles de vos proches, il vous dévoile sa recette de crémeux de haricots coco à la poutargue et noix de Grenoble.
Ingrédients (8 pers.) : – 500 g de coco sec – 1 oignon – 1 carotte – 1 bouquet garni (laurier, thym, romarin) – Gros sel – 1 échalote – 100 g de cerneaux de noix de Grenoble – 10 cl de vinaigre de vin rouge – 20 cl d’huile de noix – 50 g de poutargue
La veille, tremper les cocos dans un grand volume d’eau froide. Égoutter les cocos et les mettre à cuire dans une grande casserole avec 3 fois son volume en eau froide. Ajouter le bouquet garni, oignon et carotte épluchés. Faire bouillir une fois, écumer et cuire à frémissement environ 25 à 30 minutes. Saler avec une poignée de gros sel en fin de cuisson. Une fois cuits, garder la moitié des cocos dans un peu de bouillon de cuisson et faire refroidir. Mixer le reste avec le bouillon nécessaire pour avoir une texture onctueuse. Ajouter 5 cl de vinaigre de vin rouge et 10 cl d’huile de noix. Rectifier l’assaisonnement en sel. Refroidir la purée de cocos avec un film au contact. Égoutter les cocos refroidis et assaisonner avec le reste du vinaigre de vin rouge, l’huile de noix, les cerneaux de noix hachés, l’échalote ciselée et une râpée de la moitié de la poutargue. Faire des tranches fines avec le reste de poutargue.
Dans un bol, verser le crémeux de cocos. Disposer la salade de cocos en son milieu, ajouter les tranches de poutargue et verser un filet d’huile de noix.
DR
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Paul Mély, maire des Angles a organisé une réunion publique pour marquer ‘L’entrée pleine et entière du nouveau quartier Céréalis dans la commune des Angles’, auparavant sous la responsabilité de l’aménageur Calima développement, promotion immobilière. C’est la première fois qu’un aménagement d’une telle importance, de 330 logements et locaux commerciaux complétés de 807 places de stationnement, sortait de terre aux Angles.
«L’espace était, auparavant, la propriété étendue sur 3 hectares de Delta Sud Céréales, où vieillissaient silos et bâtiments des années 1970 situés 620, avenue de la 2e Division blindée aux Angles, resituait Paul Mély, maire des Angles, lors de cette réunion publique organisée, cette semaine, au Forum. Il s’y déroulait alors une activé de commerce de gros de céréales et d’aliments pour le bétail, occasionnant, parfois, des nuisances olfactives. Une situation délicate pour les anglois, à cette époque, même si les habitations avaient été bâties alors même que l’activité industrielle était déjà en place.»
Copyright MMH
Démolition et construction La démolition du site puis sa reconstruction sera L’occasion également de répondre à la Loi SRU (Loi de solidarité et de renouvellement urbain) afin de mettre en conformité la commune alors carencée en logements sociaux. Celle-ci n’étant pas propriétaire du terrain, le projet de construction de la Zac Céréalis (Zone d’activités économiques) a été conduit par l’aménageur Calima aux alentours de 2008 et finalisé en 2010 pour passer en concession d’aménagement en 2013. Le chantier de démolition a débuté en 2016 et la construction des premiers logements en 2017. Le quartier fut complètement achevé en 2024.
Un nouveau quartier «Ce quartier, à l’aspect urbain, se détache un peu de l’ensemble de la commune, reprend le 1er magistrat de la commune. Le projet était de privilégier, avec une densité de logement importante, une qualité d’habitat et de circulation avec de grandes artères, entre les immeubles. J’insiste sur le fait que cette densité n’est pas le fait de la commune mais notre PLU (Plan local d’urbanisme) ayant été refusé par les services de l’Etat, ce sont les règles nationales d’urbanisme –plus tolérantes sur un certain nombre de sujets que le PLU local,- qui ont été à l’œuvre durant deux ans.»
La Zac Céréalis Copyright MMH
Une intégration aérée Désormais, la Zac Sud Céréalis constitue un développement urbain aéré complétant, en cœur de ville, les quartiers de Bellevue, des Priades, du village ancien et du plateau autour de Leclerc. Le nouveau quartier-centre propose 330 logements, une résidence seniors de 120 logements et abrite environ 32% de logements sociaux répartis dans tous les bâtiments afin d’assurer une véritable mixité sociale.» Différents bailleurs et syndics œuvrent dans le nouveau quartier tels que la résidence Onyx 38 logements gérés par Foncia ; Le Prélude 56 logements, commerces et bureaux Agestim ; Le grain d’orge 24 logements sociaux Grand Delta Habitat ; Nouvelle vague 48 logements gérés par Foncia ; le Cérès 11 logements, commerces et bureaux gérés par Foncia ; Ovelia 48 logements sociaux gérés par Unicil, 3 locaux commerciaux et 120 unités seniors ; Gaïa 36 logement gérés par Foncia et bureaux ; Le Demeter, 36 logements gérés par Foncia dont 18 logements sociaux SFHE, des commerces ainsi que les locaux de la Police Municipale ; La résidence Horae de 35 logements gérés par Foncia dont 18 logements sociaux -CDC Habitat- et 3 locaux commerciaux.
L’éclairage public «La Ville gère depuis peu l’éclairage public du nouveau quartier via Inéo qui détient actuellement le marché, précisait Paul Mély. La commune a ainsi décidé d’une extinction nocturne des lumières, du 1er septembre au 31 mai, de 23h à 5h30 du matin. Du 1er juin au 30 août l’extinction des lumières se fait à minuit. Les économies réalisées grâce aux extinctions de lumière est d’environ 60 000€. Ces gestes ont été réalisés en faveur de la biodiversité, de la flore et la faune, de la transition écologique, du développement durable et renforcé par l’approbation du chef de la Police municipale, Christian Sanciaume, qui n’a constaté aucune dégradation ou faits de délinquance durant ces périodes. Egalement les ampoules incandescentes –très consommatrices d’énergie électrique- sont peu à peu remplacées par des leds –très sobres en consommation.-»
Delphine Bernat, Technicienne du Smictom Copyright MMH
Smictom, pour une meilleure gestion des déchets Le Smictom va se lancer dans une campagne de communication, afin que les règles de propreté, notamment aux abords des colonnes d’apports volontaires, soient mieux respectées. Or, les colonnes ne sont emplies qu’à environ 30% alors que des sacs poubelles jonchent leurs abords ce qui signale que les personnes n’insèrent pas leurs déchets ménagers dans la colonne. Egalement des objets de toute sorte : cartons et encombrants sont déposés autour de ces mêmes colonnes alors qu’ils devraient être acheminés en déchèterie. Une communication importante sur la propreté aux abords des colonnes d’apport volontaire va être orchestrée suivie, s’il y a lieu, d’amende en cas de dépôt sauvages urbains.
Christian Sanciaume le chef de la Police municipale Copyright MMH
Le stationnement «L’ensemble du secteur de la Zac Céréalis accueille 807 places de stationnements, dont 30% des places en sous-sol ne sont pas du tout utilisées –alors que c’est le lieu le plus sécure pour une voiture-, précise le chef de la Police municipale. Le stationnement sauvage, en bord de voies et des coursives privées ou devant des entrées d’immeuble, ou encore sur des parkings de commerces se développent, alors que des places de stationnements règlementaires restent disponibles. Là encore, il sera question du déploiement d’une communication pédagogique suivie, s’il y a lieu de délivrance d’amendes.
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René Modica a 77 ans, Quentin Nivet en a 32. 45 ans les séparent mais la même envie d’entreprendre les réunit comme associés.
Au départ Quentin Nivet avait une société, il administrait des entreprises, donnait des conseils de gestion, de développement à celles qui traversaient des difficultés. À ce titre, il s’est occupé de l’Hôtel triplement étoilé du Moulin de la Roque, un site arboré du XVIème siècle au cœur d’un parc de 5 hectares qui était au creux de la vague en 2017. Il a convaincu les propriétaires d’investir pour le rénover, pour qu’il soit plus attractif, pour qu’on puisse y organiser des événements festifs en pleine nature, et ça a marché.
De son côté, René Modica, dirigeant de société, a sympathisé avec ce jeune patron et ils ont décidé de mettre 500 000€ chacun dans le Domaine La Roque qui jouxte le Moulin. Depuis 3 ans, ils travaillent main dans la main, expérience d’un côté et jeunesse de l’autre, avec une envie d’avancer dans un projet commun : proposer cet espace de 800m² sur deux niveaux pour des bureaux, espaces co-working, séminaires, salles de réunions. « Tout a été repensé, refait, rénové pour accueillir des soirées d’entreprises, des conférences avec du matériel technique pour power-point, sonorisation, estrade », explique René Modica qui salue l’énergie, le savoir-faire de son associé venu du commercial.
Pour Quentin Nivet, « l’avantage de cette association, c’est de travailler avec quelqu’un qui a un vrai savoir-faire, un solide carnet d’adresses, un réseau puisqu’il évolue depuis un-demi siècle dans l’immobilier et le commerce de gros. Ainsi nous pouvons additionner nos différences, donc nos compétences. Dans ce Domaine La Roque, nous avons un bar à cocktails, avec snack, des salons avec wi-fi, haut-débit et service d’impression. Pour ceux qui veulent passer plus de temps sur place, une entente cordiale nous relie au Moulin*** tout proche, de l’autre côté du parc de 5 hectares en tout, avec piscine et tennis, des chambres confortables et calmes et un magnifique restaurant avec terrasses et son imposante cheminée d’où sortent des grillades incomparables. »
L’objectif des deux hommes est de structurer leur société, d’atteindre une vitesse de croisière en ajoutant par exemple des soirées tapas, un restaurant bistromique, peut-être du padel. René Modica conclut : « Je souhaite juste lancer Quentin, pour qu’à terme il gère tout, sans moi et que je récupère mes 500 000€ d’investissements. Avec lui, son pouvoir de conviction et sa détermination, je ne m’inquiète pas. C’est un vrai entrepreneur, il ira loin. »
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Avignon Université a organisé la 5ᵉ édition de l’événement ’24h pour entreprendre’ les mercredi 5 et jeudi 6 février. Une opération à laquelle ont participé 115 étudiants.
C’est un record. 115 étudiants de diverses filières d’Avignon Université ont participé à la 5e édition de ’24h pour entreprendre’. Répartis dans des équipes de 3 ou 4 personnes, ils ont disposé de 24h du 5 au 6 février, à la bibliothèque universitaire du campus Hannah Arendt, pour élaborer un projet de création d’entreprise fictif ou réel. Ces projets devaient être en lien avec les deux thématiques prioritaires de l’université, à savoir Agrosciences, Environnement & Santé, et Culture, Patrimoine, Sociétés Numériques.
Encadrés par une quarantaine de coachs et parrainés par Thomas Fattore, co-fondateur de la startup vauclusienne Lium, les participants ont bénéficié d’ateliers couvrant divers sujets allant de l’étude de marché à la stratégie commerciale, avec le soutien d’enseignants et de professionnels du secteur. À l’issue des 24h, les groupes ont présenté leur projet devant un jury.
Les lauréats
Catégorie Agrosciences, Environnement & Santé :
1er prix : le projet ‘Dermacica‘, un pansement en coton éco-responsable, par Margaux Lopes, Dora Saidi, Lucie Serret et Sarah Mokeddem. Ils ont remporté 1000€ (500€ du Rotary + 500 € en bons cadeaux Avignon Université), des enceintes Bluetooth offertes par la Banque Populaire Méditerranée ainsi qu’accompagnement et une mise en réseau conviviale autour d’un repas.
2e prix : le projet ‘Maison Nonni‘, production de pâtisseries sans gluten et sans lactose, par Bastien Girardet, Samuel Journou, Hugo Massabo et Anne-Laure Titone. Ils ont remporté 800€ en bons cadeaux Avignon Université, un accompagnement et une mise en réseau proposés par la CCI Vaucluse, des places de cinéma Pathé Cap Sud ainsi que des coffrets Comtes de Provence.
3e prix : le projet ‘Plastimix‘, valorisation des déchets plastiques, poudre construction pour remplacer des matériaux polluants, par Enola Bouvenot, Lenny de Benedetti, Léo Petrequin et Léo Terrasi. Ils ont remporté 600€ en bons cadeaux Avignon Université, un accompagnement et une mise en réseau proposés par la CCI Vaucluse ainsi que des menus chez Burger King.
1er prix : le projet ‘ART’hémis‘, une application de découverte des lieux touristiques avec podcast et map sous forme de jeux, par Kilian Cantel, Clément Dupuis et Kilian Meyer. Ils ont remporté 1000€ (500€ du Rotary + 500€ en bons cadeaux Avignon Université), des enceintes Bluetooth offertes par la Banque Populaire Méditerranée ainsi qu’un accompagnement de la French Tech Grande Provence (intégration d’une session de pré-incubation d’une valeur de 2 000€).
2e prix : le projet ‘Finly‘, une aide à la création de dossier de financement via une application web (gain de temps aux experts comptables, courtiers et chambres consulaires), par Cyprien Augy, Clara Cozic, Magot Dias et Eliott Hanras. Ils ont remporté 800€ en bons cadeaux Avignon Université, un accompagnement et une mise en réseau proposés par la CCI Vaucluse, des places de cinéma Pathé Cap Sud ainsi que des coffrets Comtes de Provence.
3e prix : le projet ‘Le BARLEMENT‘, café/bar/tapas social/culture (vulgarisation politique), par Nathan Mahaud, Jules Ravoire, Lilian Roux et Mael Reynaud. Ils ont remporté 600€ en bons cadeaux Avignon Université, un accompagnement et une mise en réseau proposés par la CCI Vaucluse, ainsi que des menus Burger King.
Prix coup de coeur : le projet ‘BLUE CARBONE‘, une prestation de service, compensation crédit carbone, par Joseph Guihéneuf, Simon Caloustian et Mohamed Aissani. Ils ont remporté 200€ en bons cadeaux Avignon Université, une dotation de 100€ en chèques cadeaux de la CCI Vaucluse, des places pour l’Open 13 ainsi que des menus Burger King.
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Logicor, propriétaire, gestionnaire et développeur européen d’immobilier logistique, vient d’acquérir en véfa (Vente en futur état d’achèvement), auprès de Concerto (Groupe Kaufman & Broad), un projet de plateforme logistique de 12 850 m2 à Beaucaire. Les travaux de cette réalisation, lancée en blanc, débuteront en février 2025 en vue d’une livraison le premier trimestre de 2026. Près de 50 emplois directs devraient en découler.
La plateforme logistique acquise par Logicor se situe, à Beaucaire au Domitia, un pôle d’activités économiques de 120 hectares, sur la rive droite du Rhône. Situé avenue Joseph Cartier, le bâtiment développera une surface de 12 850 m² sur un terrain de près de 4 hectares, dont 1,2 sera dédié aux espaces verts.
Conçue par l’Atelier M3 Architectes et construite par ING2K, la plateforme se composera de deux cellules équipées de 17 portes à quai. L’installation d’une centrale photovoltaïque est prévue en toiture, permettant de déployer une puissance de près de 500 kWc, portée, dans un second temps, à 1 000 kWc.
La plateforme vise l’obtention de la certification environnementale BREEAM (Building Research Establishment Environmental Assessment Method) niveau Excellent, grâce à son équipement photovoltaïque, son éclairage Led, ses bornes de recharge pour véhicules électriques et l’importance allouée aux espaces verts.
La plateforme contribuera au développement économique et au dynamisme de l’écosystème local avec une création estimée de cinquante emplois.
En bordure du Rhône, le site bénéficie d’un emplacement stratégique mulltimodal à moins de 30 km d’Avignon et de Saint-Martin-de-Crau et à 25 km de l’aéroport de Nîmes-Garons. Cet actif est desservi par une voie ferrée industrielle de fret et se trouve à proximité de trois autoroutes, A7, A9 et A54. Également connecté au trafic fluvial, l’espace géographique offre des solutions durables pour le transport des marchandises.
«Ce premier investissement dans le Gard, porte d’entrée vers les marchés logistiques de Marseille et de la côte méditerranéenne, renforce les implantations régionales de Logicor et sa présence sur la dorsale de référence de l’immobilier logistique français apprécie Laurent Dubos, Directeur Général de Logicor France. Nous sommes convaincus que cette plateforme offrira à ses futurs locataires les meilleures conditions pour le développement de leur activité.» Pour cette acquisition, Logicor s’est appuyée sur les conseils du cabinet de notaires Monassier & Associés et des solutions de construction de Top Management.
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Le monde entier célèbre aujourd’hui la Saint-Valentin. En France, elle suscite des réactions contrastées. Certains la célèbrent avec ferveur et d’autres la boudent. Une étude menée pour Florajet.com par Ifop lève le voile sur les attentes des Français. « Qu’on l’adore ou qu’on la critique, la Saint-Valentin ne laisse personne indifférent, résume Virginie Lefrancq, directrice générale de Florajet.com. Cette fête est le miroir des 1001 façons de concevoir l’amour, entre tradition, émotion et modernité. »
Alors que 41% des Français voient la Saint-Valentin comme une fête commerciale, elle reste une occasion romantique pour 36% des sondés, en particulier les moins de 35 ans (54%).
Mais le pragmatisme l’emporte : 78% souhaitent un cadeau, mais priorisent les plaisirs partagés, comme un dîner (37%) ou une expérience marquante (26%). Les fleurs, malgré leur aura parfois jugée « cliché » (20%), continuent de faire plaisir à 27% des Français, surtout si elles sont personnalisées avec un cadeau additionnel (23%). Côté budget, le prix moyen d’un bouquet de fleurs commandé en ligne pour la Saint-Valentin varie selon les villes, entre 48€ et 50€, quand tout le reste de l’année, il ne dépasse pas 43€.
« Offrir des fleurs n’est pas qu’un geste classique, souligne Virginie Lefrancq. C’est un symbole universel d’affection qui dépasse les générations, mais avec une touche personnelle, elles prennent une toute autre dimension. La Saint Valentin demeure une occasion unique de partager des émotions sincères, même si certains tendent à en minimiser l’importance. Sur le site Florajet.com, la commande de bouquet à cette occasion se réalise jusqu’à la dernière minute, un mode de consommation qui traduit bien le fait que cette fête à fleurs, même commerciale, reste un achat plaisir, dont le budget moyen dépasse les 43€, le prix d’un bouquet ordinaire. »
Les préférences florales évoluent, mêlant tradition et modernité. Les roses rouges, stars incontestées, restent le choix préféré de 22% des Français, surtout chez les 25-49 ans (29%). Mais elles voient émerger une concurrence :
Les bouquets colorés, modernes et tendance séduisent 20% des sondés.
Les plantes d’intérieur, appréciées pour leur côté durable et décoratif, gagnent du terrain avec 13%.
Les tulipes rouges (9%), les renoncules (6%) et les jacinthes parfumées (6%) complètent ce podium floral.
« Les fleurs s’adaptent à l’air du temps, commente Virginie Lefrancq. Aujourd’hui, un bouquet bien pensé ou une plante qui dure reflètent autant d’amour qu’un traditionnel bouquet de roses. »
Couples VS Célibataires : deux visions, deux Saint-Valentin
La Saint-Valentin n’a pas la même saveur selon que l’on est en couple ou célibataire. Les couples privilégient le partage, avec des moments intimes comme un dîner romantique (18%) ou des attentions symboliques. Les célibataires, eux, préfèrent se faire plaisir : 33% envisagent de s’offrir un cadeau, qu’il s’agisse de fleurs (11%) ou d’une expérience douce pour soi (13%).
Ces différences se retrouvent dans leur perception de la fête : les couples sont plus enclins à la voir comme un moment romantique (39%), tandis que les célibataires sont plus nombreux à l’ignorer (13%).
« La Saint-Valentin n’est plus l’apanage des couples, conclut la directrice générale de Florajet.com. Elle devient aussi un moment d’amour-propre, où chacun peut s’offrir une dose de bonheur. »
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La Région-Sud Paca, l’association Réseau des Parcs naturels régionaux de Provence Alpes Côte d’Azur et Enedis ont signé une convention de partenariat à l’issue de l’Assemblée Générale du réseau des Parcs, à Carpentras au siège du Parc du Mont-Ventoux. Ce partenariat s’inscrit, à l’initiative la Région Sud-Paca (Provence-Alpes-Côte d’Azur), dans le Plan Climat ‘Une COP d’avance’, et les projets de territoire à 15 ans inscrits dans les Chartes des Parcs naturels régionaux (PNR), visant à un développement durable et équilibré de ces espaces ruraux habités.
Il fait suite à une série d’engagements pris par le gestionnaire du réseau électrique avec la Région Sud et La Fédération des Parcs naturels régionaux de France depuis 2019, avec, notamment, la signature fin 2019 de la charte d’engagement du Plan Climat régional ‘Une COP d’avance’ ; Puis le vote en octobre 2024 par les conseillers régionaux d’une convention cadre de partenariat entre la Région Sud et Enedis : pour la planification écologique, pour concilier les enjeux de décarbonation et préservation de la biodiversité.
Un partenariat national Sur le plan national, Enedis a noué un partenariat avec la Fédération des Parcs naturels régionaux de France, signé en mars 2022 et reconduit en avril 2024 pour préserver la biodiversité et accompagner la transition écologique dans les territoires de Parc.
Les partenaires de la nouvelle convention La nouvelle convention définissant les modalités de collaboration entre Enedis et les Parcs naturels régionaux de la Région Sud a été signée par Jacqueline Bouyac, Vice-présidente de la Région Sud, Présidente du Parc du Mont-Ventoux, représentant le Président Renaud Muselier ; Jean Mangion, Président du Réseau des Parcs naturels régionaux de Provence-Alpes-Côte d’Azur, Président du Parc des Alpilles, et Jacques Nicoli, Directeur régional d’Enedis Provence Alpes du Sud.
Revue de travaux L’un des axes principaux consiste à mettre en place un système de revue des travaux, comme la maintenance, l’enfouissement de lignes ou de nouveaux projets, visant à protéger la faune et à minimiser les impacts sur les paysages. Ce dispositif permettra d’assurer une concertation en amont entre Enedis, la Région Sud et les Parcs, afin de coordonner les interventions pour protéger les habitats sensibles avec une attention particulière portée aux zones Natura 2000.
Copyright Communication Région Sud-Paca
Des interventions à enjeux paysager et écologique Un second axe repose sur l’accompagnement et la sensibilisation des équipes et des prestataires d’Enedis par les Parcs naturels régionaux, en collaboration avec le LPO Provence-Alpes-Côte d’Azur, afin de mieux intégrer les enjeux paysagers et écologiques dans les interventions de terrain.
Accès aux outils numériques d’Enedis Enfin, l’exploitation des données numériques représente un important levier pour les Parcs, tant dans leur stratégie de sobriété énergétique que dans la lutte contre la précarité énergétique et la préservation de la qualité du ciel nocturne. Pour cela, la convention prévoit l’accès des Parcs aux outils numériques d’Enedis tel que le Portail Collectivités permettant d’atteindre, en temps réel, l’ensemble des services du distributeur : projets, travaux, coupures ou données cartographiques. Ce type d’informations permettra aux Parcs naturels régionaux de soutenir les projets locaux d’énergies renouvelables, de faciliter les économies d’énergie ou encore de favoriser la réduction de la pollution lumineuse sur leurs territoires.
Prendre en compte les particularités locales Signée pour une durée de quatre ans, les modalités de mise en œuvre et les actions de cette convention s’adaptent à chaque Parc naturel régional pour prendre en compte ses particularités locales. Certains Parcs ont déjà mis en œuvre des actions concrètes sur le terrain avec les équipes d’Enedis, témoignant de l’engagement des signataires et du caractère opérationnel de ce partenariat.
En savoir plus L’association Réseau des Parcs naturels régionaux de Provence-Alpes-Côte d’Azur, fondée en 2015, rassemble les 9 Parcs de la Région – Alpilles, Baronnies provençales, Camargue, Luberon, Mont-Ventoux, Préalpes d’Azur, Queyras, Sainte-Baume, Verdon – soit un tiers de la superficie régionale, plus de 350 communes et près de 800 000 habitants. Chaque Parc est représenté par son Président et 2 autres élus désignés au sein de chaque Comité syndical. Cette structure permet aux Parcs régionaux de parler d’une seule et même voix, de valoriser leurs actions au niveau régional et de faciliter le développement des projets mutualisés menés en ‘Interparc’.
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Paul-Roger Gontard, adjoint au maire d’Avignon, en charge du développement territorial urbain et aux grands projets, entouré de conseillers municipaux, a déclaré la guerre à la propagation des locations saisonnières de courte durée. A partir du 1er janvier 2026, chaque propriétaire devra faire une déclaration de propriété et sera assujetti à un seuil maximum de 90 nuitées par an –contre 120 jours au niveau national- et ne pourra détenir plus de deux propriétés de location de courte durée. Cette disposition devrait être votée lors du prochain conseil municipal. Avignon compte plus de 2 200 locations saisonnières de courte durée, dont le plus grand nombre se situe dans l’hyper centre historique de la Cité papale. Il y en aurait plus de 15 000 en Vaucluse.
Rendez-vous était donné, en milieu de cette semaine, devant le 7 rue d’Annanelle dans l’intramuros d’Avignon, au pied du trottoir du mobilier urbain, une barrière et sur celle-ci deux boîtes à code contenant des clefs de location de courte durée. Voilà, le loup est entré dans la bergerie, ou pire, la lèpre qui désertifie la ville. Autour de Paul-Roger Gontard, Jean-Marc Bluy, ajoint au centre-ville, Joanne Textoris conseillère municipale à la ville-jardin, jardins partagés et parcs naturels urbains ; Fabrice Tocabens délégué à la ville apaisée et respirable ; Laurence Lefevre ajointe à la propreté et à la qualité de vie.
Boite à clefs,Copyright MMH
Un inquiétant constat «Depuis 2004, une nouvelle loi, désormais, gouverne ce sujet dans notre pays, a commencé Paul-Roger Gontard, adjoint au maire d’Avignon, en charge du développement territorial urbain et aux grands projets. Elle donne la possibilité aux communes de se saisir du sujet et de créer une réglementation spécifique pour chaque ville afin d’encadrer les logements locatifs de courte durée. Si nous sommes une ville touristique, nous sommes aussi une ville avec des habitants qui ont des besoins de logements. Aujourd’hui, ces deux besoins entrent en concurrence or, un chiffre tout simple nous a interpelés : les Airbnb ont doublé en 8 ans dans notre ville.»
A l’origine, un coup de pouce «Finalement à l’origine et l’essentiel d’Airbnb, était la mise à disposition de son logement, pour pouvoir faire un peu de beurre dans les épinards, resitue Paul-Roger Gontard, mais certainement pas d’en faire une activité économique à part entière, et encore moins d’en faire un dispositif qui fait basculer l’immobilier.»
La location de courte durée, une nouvelle lèpre pour la ville ? «La principale concentration de ces locations de courte durée figure dans le centre ancien d’Avignon. Ainsi, Avignon a subi, l’an dernier, une baisse de 4% de résidences principales en son centre-ville et une augmentation de 3% de résidences secondaires. Il y a donc bien un glissement de l’un vers l’autre. La location de courte durée devient une activité économique déguisée. Ce glissement conduit à multiplier les logements vacants puisque ces locations de courte durée, empêchent l’installation de résidents occupants qui nourriraient un échange avec la ville tout au long de l’année.»
De gauche à droite Jean-Marc Bluy, Patrice Tocabens, Joanne Textoris et Paul-Roger Gontard
Quand la location saisonnière déconstruit le logement «Lors de l’achat d’immeuble, l’investisseur va chercher à optimiser l’espace pour le rentabiliser et, donc, ‘fabriquer’ le plus possible de petits logements. Les personnes de passage demandent peu de confort au regard des quelques jours qu’elles y passent, contrairement à celles qui s’y installent à l’année. Donc ce curseur-là est aussi déterminant pour la préservation et la conservation du patrimoine immobilier de la ville. Ces divisions intérieures de logements empêcheront, demain, de faire venir des familles dans le centre ancien.»
Recensement, diagnostic et enjeu «Nous disposons d’un zonage aujourd’hui, il nous faut avoir une photographie encore plus précise à la rue, à l’immeuble, parce que nous sentons bien qu’il y a une pression, sur une partie de la ville –l’hyper-centre ancien-, à ce sujet, et que cela porte atteinte à l’équilibre de celle-ci, sans parler des dommages causés à l’activité hôtelière ou à la location de résidences de longue durée. Nous avons également calculé que le seuil de rentabilité, pour une location saisonnière, se faisaitt à un peu plus de 90 jours. En abaissant le chiffre de 120 jours –au terme de la Loi nationale- à 90 jours à Avignon, l’objectif serait d’inciter les propriétaires à prendre un locataire à l’année.»
Joanne Textoris Copyright MMH
Témoignages «Je réside au centre-ville depuis 30 ans, abonde Joanne Textoris, conseillère municipale. Face à ma maison, il y a un petit immeuble qui a été divisé en petits appartements où résident des personnes venues pour 15 jours, un ou deux mois, mais pas davantage. Ce qui veut dire que l’on se prive de bonnes relations de voisinage. On ne se connaît plus. Tisser du lien social avec les voisins devient de plus en plus éphémère. D’abord, parce que les gens du centre-ville vieillissent et disparaissent, et qu’ensuite, il n’y a plus que des gens de passage qui, non plus, ne prennent pas soin de la rue, des lois, qui laissent les poubelles n’importe où se garent n’importe où. Donc c’est un problème qui affecte la vie sociale de tous les jours en centre-ville.»
Laurence Lefevre Copyright MMH
Une question de propreté «Je suis adjointe à la propriété urbaine, glisse Laurence Lefevre. Donc, je suis souvent interpellée et fais intervenir la brigade de l’environnement pour contrôler les sacs qui sont laissés, gisants, sur le bord du trottoir, de la route… Très souvent, ils gisent à côté d’une boîte à clés. C’est-à-dire qu’il s’agit souvent d’usagers de locations saisonnières de courte durée peu ou pas renseignés sur les horaires de collecte et les points d’apport volontaires. Alors, c’est vrai que ça peut paraître accessoire, mais c’est très important pour le cadre de vie des Avignonnais. Cela participe à l’accueil qu’ils ont également d’Airbnb, qui s’est considérablement développé. Je milite pour que ces dispositifs dispensent les informations pratiques, afin que les visiteurs s’adaptent à notre ville, et non pas la ville à Airbnb. C’est très important, parce que les riverains, eux, demeurent ici toute l’année et sont acteurs qui participent au dynamisme de la ville. C’est la raison pour laquelle les loueurs seront sensibilisés à dispenser les informations nécessaires à leurs locataires.»
L’arme du crime «Nous avons d’importants signalements de citoyens et d’élus qui marchent dans la ville et voient de trop nombreuses boîtes à clefs, reprend Paul-Roger Gontard. Ici, ces deux boîtes sont accrochées, sans autorisation, sur le domaine public. D’autres sont apposées sur des façades alors qu’il faut une autorisation de la copropriété. Il faut que cela cesse, conclut Pierre-Roger Gontard, qui appose sur chaque boite une étiquette datée. Si dans 15 jours les boites ne sont pas retirées du mobilier urbain, elles seront coupées et remises aux objets perdus.
Les chiffres de la location saisonnière En 2022, près de 23 millions de nuitées ont été passées en Provence-Alpes-Côte d’Azur via des plateformes en ligne. C’est le chiffre le plus élevé de France. La France est d’ailleurs le pays de l’Union Européenne qui totalise le plus grand nombre de nuitées de ce type d’hébergement : Airbnb, Booking, Expedia Group et Tripadvisor. La moitié de ces réservations se fait en période estivale. Ce volume de fréquentation est du même ordre de grandeur que la totalité des nuitées passées dans les hôtels classiques, Paca ne se classant que 3e derrière l’Ile-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes. Airbnb totalisait plus de 660 000 annonces de locations de courte durée en France en 2023 (source : INSEE).
Taxe de séjour, ce que touche le Vaucluse En 2021, Airbnb avait reversé 400 000€ de taxes de séjour à Avignon et 570 000€ en 2022 ;150 000€ pour l’Isle-sur-la-Sorgue, 100 000€ pour Gordes ; 50 000€ pour Apt et 50 000€ pour Cavaillon. Au total, Airbnb a versé plus de 148M€ de taxes de séjours aux communes françaises. Un volume en croissance de 60% en 2022 par rapport à 2021.