2 août 2025 |

Ecrit par le 2 août 2025

(Vidéo) La 5G connecte désormais les Orangeois

L’opérateur Orange a dernièrement activé son réseau 5G dans la commune d’Orange. Ce qui porte à six le nombre de communes ouvertes en 5G : Le Pontet, Villeneuve-lès-Avignon, Sorgues, Avignon et Orange et les Angles.

En contribuant à la digitalisation des entreprises, la 5G se révèle être un levier de compétitivité grâce, entre autres, aux objets connectés et à l’intelligence artificielle. La 5G, déployée sur des bandes de fréquence 3,5 GHz, permet un confort de navigation, une latence réduite et une vitesse de téléchargement quasi-instantanée, même en mobilité.

« La 5G va répondre à des usages de plus en plus exigeants que nous utilisons au quotidien : travailler, télétravailler, se former, produire, communiquer, se divertir… », déclare Philippe Daumas, délégué régional Rhône Durance chez Orange. A terme, la 5G offrira des débits jusqu’à 10 fois supérieurs à la 4G. Par exemple, il sera possible de télécharger un film de 4 Go en HD en 2 à 3 minutes en 5G. La 5G est une technologie plus performance, qui va permettre à la fois de désaturer le réseau 4G mais également de créer de nouveaux usages.

Orange a choisi de déployer un réseau 5G principalement sur la bande de fréquence 3,5 GHz, « ce qui permet aujourd’hui de consolider le réseau mobile et de maintenir la qualité du réseau 4G déjà fortement sollicité », ponctue Philippe Daumas.

Vidéo : opérateur Orange

L.M.


(Vidéo) La 5G connecte désormais les Orangeois

De jeunes talents mis en selle
Ce concert est proposé dans le cadre de Jazz Migration, dispositif d’accompagnement de musiciens émergents de jazz et musique improvisée. Depuis 2002 ce dispositif a permis de découvrir plus de 200 musiciens, organisé près de 850 concerts à travers la France et l’Europe, tandis que le club d’Avignon a toujours programmé les lauréats.

Le projet ‘Fantôme’, improvisations s’inspirant de la musique répétitive américaine
Le groupe Fantôme est né en 2017 de la rencontre de la saxophoniste Morgane Carnet, de Luca Ventimiglia au vibraphone préparé, du clarinettiste Jean-Brice Godet (clarinette) et Alexandre du Closel au piano préparé. Leurs désirs ? Jouer une musique inscrite dans les pas de Terry Riley, Steve Reich ou Moondog, en y ajoutant des sonorités, des timbres et des formes issus des musiques improvisées et du free jazz.

Jeudi 2 décembre. 20h30. 5 à 16€. Ajmi Club. 4, rue des Escaliers Sainte-Anne. 04 13 39 07 85. www.jazzalajmi.com


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L’opéra du Grand Avignon continue à innover en cette fin d’année avec la tragédie de Salomé, regards croisés sur la figure mythique de la princesse juive.

Est-ce un ballet? Un mimodrame ? Une suite symphonique? Le directeur musical Julien Masmondet a choisi de faire renaître cette œuvre de 1907 dans sa configuration d’origine d’orchestre de chambre, en l’occurrence ici avec l’ensemble ‘Les Apaches’.

Rapprochement des arts et nouvelles formes de concert
Une chorégraphie originale de la danseuse Léonore Zurflüh filmée et montée par Cyril Teste et Patrick Laffont De Lojo sera projetée à l’écran. Nous retrouverons avec plaisir la jeune soprano Marion Tassou.

Vendredi 3 décembre. 20H30. 5 à 30€. Opéra Grand Avignon. 4 Rue Racine. Avignon. 04 90 14 26 40. www.operagrandavignon.fr


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Le groupe Orano vient d’accueillir plus de 100 étudiants des établissements d’enseignement supérieur du Sud-est de la France sur son site de Tricastin. Ces derniers ont été accueillis à l’occasion de la semaine de l’industrie qui vient de se tenir du 22 au 28 novembre. Placée sous le thème de la transition écologique, l’économie circulaire et la mixité des métiers dans l’industrie, cette 10e édition baptisée ‘Inventer un avenir durable’ a permis à Orano de sensibiliser les jeunes aux enjeux de production et d’indépendance énergétique.
« A travers différentes actions sur notre site industriel, dans le territoire et en digital, cette mobilisation permet notamment de promouvoir les technologies développées dans nos usines, de favoriser les échanges avec nos équipes et de renforcer l’attractivité de nos métiers, explique le groupe regroupant près de 2 500 salariés sur les 650 hectares de la plate-forme industrielle de Tricastin qui a vu le jour en 1958. C’est l’occasion, aussi, d’incarner notre engagement dans un avenir durable et dans la production d’une énergie bas carbone. »
Dans ce cadre, des étudiants de l’École nationale supérieure d’arts et métiers d’Aix-en-Provence, de l’INSA de Lyon, de l’Université de Valence, de l’école d’ingénieurs Polytech Marseille et de l’école d’ingénieurs PHELMA de Grenoble ont ainsi pu découvrir les installations de hautes technologies ainsi que les différents métiers.

Sensibilisation dans les collèges et découverte à 360°
Par ailleurs, les collaborateurs d’Orano sont intervenus auprès de 160 élèves de la cité scolaire Gustave-Jaume de Pierrelatte. Les intervenants ont pu échanger avec des élèves de 3e qui effectueront dans les prochaines semaines leur premier stage ‘découverte en entreprise’ dans les sociétés du territoire. L’objectif était de partager avec les collégiens les codes de l’entreprise et les qualités recherchées par les employeurs, de les sensibiliser aux activités industrielles et aux métiers du site Orano Tricastin.
Pour faire également mieux découvrir ses activités, Orano a aussi développé un nouvel outil digital pour visiter virtuellement ses usines Tricastin. Le public a ainsi la possibilité de se déplacer de manière autonome au cœur de notre plateforme industrielle unique en Europe, de consulter des témoignages, de vivre de l’intérieur les principales activités du site. Ce nouvel outil immersif est accessible via le site internet Orano : www.orano.group/tricastin360

Orano a développé un nouvel outil digital immersif pour visiter virtuellement ses usines Tricastin via le site www.orano.group/tricastin360.

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Depuis une dizaine d’années, la Charities Aid Foundation et l’institut Gallup proposent un tour d’horizon de la générosité à travers le monde dans leur rapport annuel World Giving Index. Cette étude internationale passe au crible les populations de plus de cents pays selon trois principaux aspects de la générosité : les dons caritatifs, la pratique du bénévolat et la propension à aider des inconnus.

Et comme les années précédentes, le pays le plus généreux ne fait pas partie des plus riches de la planète. En 2020, c’est l’Indonésie qui figure en tête du classement. Le taux de bénévolat dans le pays (65 %) est plus de trois fois supérieur à la moyenne mondiale et plus de huit Indonésiens sur dix ont fait des dons caritatifs l’année dernière. En deuxième position des pays qui donnent le plus d’argent à des fondations ou associations, on retrouve la Birmanie (71 % de la population), suivie par l’Australie et la Thaïlande (environ 60 %).

Ce classement, dont le top 10 reste assez similaire d’une année sur l’autre, reflète certaines particularités religieuses et culturelles. On peut notamment citer l’influence de la charité islamique dans certains pays musulmans comme l’Indonésie (avec la zakât, « aumône légale »), ou encore celle du bouddhisme theravâda en Birmanie et Thaïlande, une branche ancienne du bouddhisme qui valorise les offrandes et dons de charité. Porteurs d’une longue tradition philanthropique, les pays anglo-saxons et protestants sont également bien représentés.

Et la France ? Avec 22 % de la population ayant fait un don l’année dernière, les Français se situent plutôt en bas de l’échelle. Au classement général, qui inclut aussi la pratique du bénévolat et la propension à aider un inconnu, l’Hexagone se classe 106ème sur 114. Parmi les pays qui obtiennent les scores les moins élevés de l’étude, on retrouve d’autres nations européennes, comme l’Italie, la Belgique et le Portugal, alors que le Japon arrive en dernière position.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


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En ces temps de pandémie, nombre de produits et de méthodes nouvelles foisonnent pour proposer des solutions aux problèmes que nous rencontrons. Je vous propose de faire le point sur le ‘Retex’. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le Retex n’est pas une nouvelle classe d’antivirus ou un médicament miracle contre le rhume saisonnier, non, il s’agit plus simplement d’un outil de gestion des plus efficaces.

Analyser ses défaillances pour améliorer son efficacité
Pour une fois, cet outil n’a pas un nom anglo-saxon puisqu’il s’agit d’un acronyme bien français : Retex signifiant ‘Retour d’expérience’. En fait, il s’agit d’un des éléments d’une démarche qualité bien comprise. Cette dernière ne garantit pas, en effet, que tous les clients vont bénéficier d’une qualité extraordinaire immédiate mais, plus modestement, que l’entreprise (ou l’organisation) va systématiquement analyser ses défaillances et ses points forts pour essayer d’améliorer constamment l’efficacité de ses services ou ses produits.
Dans ce cadre, il s’agit non seulement de pouvoir décrire précisément le fonctionnement de l’entreprise et de chacune de ses fonctions, opérationnelle ou non, mais aussi de mettre en place et de faire vivre le système d’amélioration de ces dernières.
Le Retex a précisément pour but d’essayer de tirer des enseignements opérationnels des succès et des échecs rencontrés par l’entreprise dans le but de plus d’efficacité.

Eviter de faire les mêmes erreurs deux fois
La difficulté est que cette démarche intuitive (S’efforcer de ne pas refaire la même erreur deux fois !) est rarement formalisée dans les organisations. Elle suppose en effet de se poser en équipe pour analyser complètement ce qui s’est passé avant même de proposer des améliorations. A défaut, il arrive trop souvent que l’analyse soit bâclée (et trop intuitive…) et que, du coup, les solutions mises en œuvre ne soient que partielles quand elles ne sont pas carrément inefficaces.
Les résistances au changement sont déjà assez lourdes sans, qu’en plus, les modifications dans l’organisation soient contre productives. Si cela arrive plusieurs fois, inutile ensuite d’essayer de modifier les process !
Donc, ce que la méthode Retex propose c’est de rationaliser et de formaliser l’analyse des points en cause et de bien réfléchir les améliorations à mettre en place. Il faut noter que cette démarche peut s’appliquer non seulement aux défaillances de l’entreprise (Un raté technique ou commercial par exemple) mais aussi aux succès remportés. Ici encore, une organisation qui gagne une victoire ne se met que rarement en cause pour savoir si la victoire aurait pu être encore plus facile ou plus belle :

Plus facile de travailler sur ses réussites que sur ses échecs
« On ne change pas une équipe qui gagne ! » et pourtant, cela est quand même plus facile de travailler sur ses réussites que sur ses échecs…
La méthode est assez simple à définir mais, comme souvent, plus complexe à mettre en œuvre; les étapes indispensables sont notamment les suivantes :

  • Vérifier que l’évènement à analyser est susceptible de se reproduire (Sinon c’est un peu perdre son temps…).
  • Désigner un pilote de la démarche et lui accorder le budget temps suffisant (C’est souvent le RAQ -responsable du management/assurance qualité- qui s’y colle).
  • Définir un périmètre d’étude précis (Le départ d’un client ancien, le succès d’un nouveau produit, un retard perturbant, etc…).
  • Recueillir assez largement les informations disponibles sur l’évènement et les formaliser.
  • Réunir les acteurs du process en cause en leur demandant de compléter l’analyse préalable et aussi, bien évidemment, de formuler des solutions opérationnelles d’amélioration.
  • Recueillir les solutions proposées, les valider ou non avec les acteurs et les responsables en charge du process.
  • Diffuser les améliorations retenues en expliquant bien la démarche.
  • Vérifier, après un délai de fonctionnement suffisant, que les solutions mises en place sont bien efficientes et satisfont les acteurs du process.
  • Recommencer périodiquement la démarche et priorisant les échecs ou les succès à ‘Passer au Retex’.

Essayer cette méthode, c’est très souvent l’adopter. Elle en effet l’occasion de communiquer efficacement entre managers et opérationnels sans que ce soit forcément à l’occasion d’une crise ou d’un raté significatif et ses bénéfices peuvent être assez facilement recensés.
Reste à prendre le temps de l’organiser !

                                                                                                       Philippe Lechat*

NB : Pour un exemple de Retex dans le milieu médical en cas de crise : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/retour_experience.pdf

*A la retraite depuis le 1er janvier dernier, Philippe Lechat, fondateur du cabinet d’expertise comptable Axiome Provence, est désormais président de la société de conseil ‘Les Aulnes’. A ce titre, il aborde régulièrement dans nos colonnes l’actualité de la gestion d’entreprise. 


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Anciennement situé boulevard Louis Giraud, Edissyum consulting a déménagé ses services dans des locaux plus spatiaux (200m²), 98 avenue Pierre Semard à Carpentras.

La société spécialisée en informatique, qui a vu le jour à Carpentras après une incubation à la pépinière Rile, ne cesse de se développer. 15 salariés, menés par le directeur général Cédric Rouire, ont investi leur nouvelle maison. Un déménagement propice pour accompagner la croissance, disposer d’un outil de travail moderne, spacieux et confortable. Serge Andrieu, maire de Carpentras, a tenu à être présent lors de l’inauguration ce 25 novembre.

Edissyum est une société d’intégration et d’édition de solutions logicielles libres, spécialisée en dématérialisation et en gestion électronique des documents. Elle s’adresse aux collectivités et aux entreprises auxquelles elle propose une gamme de service et des solutions dédiées. Son expertise s’articule autour de l’acquisition de documents, la capture de contenus ainsi que la diffusion et le traitement automatique de flux entrants, sortants et circulants.

Grâce à une structure composée de consultants à expertise complémentaire, la société se demarque par son savoir-faire et son accompagnement qualitatif. « Edissyum apporte de vraies solutions et des services innovants pour répondre à des attentes, valoriser l’image et le potentiel de l’entreprise », nous explique Cédric Rouire. Ecoute, accompagnement, proximité géographique et relationnelle, orientation philosophique vers les logiciels libres (Solution open source) composent l’ADN de cette société de plus de 20 ans d’expérience. Edissyum entend renforcer sa position d’éditeur de solutions innovantes et développer de nouvelles offres à l’international.

Plus d’informations, cliquez ici. Retour en images de l’inauguration :

Les collaborateurs ont déjà pris leurs quartiers. Crédit photo: Edissyum
Cédric Rouire (écharpe bleue) en discussion avec Serge Andrieu, maire de Carpentras (à droite) Crédit photo: Edissyum
Une inauguration sous le signe de la convivialité. Crédit photo: Edissyum
200m2 au 98 avenue Pierre Semard. Crédit photo: Edissyum

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Chaque automne, la traditionnelle foire de Saint-Siffrein accueille ses visiteurs pour une escapade temporelle. De nombreux élus ont foulé le sol des ruelles pavées pour inaugurer cet événement médiéval.

Ce 27 novembre marquait l’ouverture de la 496ème foire Saint Siffrein de Carpentras. Après l’annulation en 2020, les Carpentrassiens se sont chaleureusement réunis dans la fraicheur de novembre, autour de cette foire qui fait le ciment de Carpentras. Parmi les élus, Serge Andrieu (maire de Carpentras), Jacqueline Bouyac (présidente de la Cove) les sénateurs Lucien Stanzione et Jean-Baptiste Blanc, les députés Adrien Morenas et Julien Aubert, ainsi que moults autres représentants locaux.

Toute la journée, les marchands ainsi que les animations initiées par les commerçants de Carpentras ont fait le bonheur des petits comme des grands. Des démonstrations des métiers et pratiques du Moyen Âge offertes par l’association L’ordre de la tour ont également rythmé la journée pour une plongée historique. De nombreuses confréries dont la Confrérie Fraise de Carpentras et la Confrérie des Rabassiers Du Comtat étaient du voyage. Pour mémoire, Siffrein de Carpentras est un religieux d’origine italienne, né à Albano, en Campanie, et décédé à Venasque, un 27 novembre 570. Il était évêque de Carpentras. Retour en images.

Crédit photo : Ville de Carpentras
Crédit photo : Ville de Carpentras
De gauche à droite, Serge Andrieu, Lucien Stanzione et Adrien Morenas. Crédit photo : Serge Andrieu
Crédit photo : Serge Andrieu
Crédit photo : Serge Andrieu
Crédit photo : Jaouad Ziati
Crédit photo: Adrien Morenas
Le député Julien Aubert et le sénateur Jean-Baptiste Blanc. Crédit photo : Julien Aubert

https://www.echodumardi.com/page/999/   1/1