14 mai 2024 |

Ecrit par le 14 mai 2024

Grenier à Sel à Avignon, CBA invite ses clients à découvrir la nouvelle appli Agathe you

CBA invite ses clients, infirmières et infirmiers libéraux, à la soirée de lancement d’une nouvelle application mobile conçue pour améliorer leur quotidien ce mardi 12 octobre à 18h30 au grenier à sel à Avignon. Au programme ? Une démonstration interactive du logiciel Agathe you et la visite de l’expo ‘Lumières Espace Temps’ pour se retrouver et échanger.

Ce mardi 12 octobre à partir de 18h30, CBA présentera sa nouvelle application ‘Agathe you’ de télétransmission et de gestion de cabinet infirmier depuis son smartphone. Pratique, moderne et intuitive, elle s’installe en un clin d’œil, suit le professionnel de santé partout en tournée, lui permettant de souffler une fois rentré. CBA est spécialisée dans les logiciels pour les infirmiers libéraux et leader des éditeurs de logiciels pour les professionnels de santé. Elle compte 30 000 clients, 2 400m d’espace de travail, 170 collaborateurs et 30 ans d’expérience.

Les infos pratiques

La présentation de la nouvelle application de CBA ‘Agathe you’ aura lieu ce mardi 12 octobre à partir de 18h30 au Grenier à sel. 2, rue du rempart Saint-Lazare à Avignon. Places limitées. Renseignements 06 33 71 79 12 & communication@cbainfo.fr

En savoir plus

Fondée en 1986, CBA Informatique Libérale, c’est l’histoire de Marc Birling et sa femme Cécile, qui fondèrent l’entreprise à partir d’une idée novatrice : faciliter le quotidien des professionnels de santé en informatisant les tâches administratives contraignantes. Depuis 2018, c’est désormais Caroline Birling, fille des époux fondateurs, qui est présidente de CBA Informatique Libérale .

Sociétale avancée

Une micro-crèche d’entreprise Pic & Pic a été intégrée au sein de CBA, via le prestataire People&Baby. Les locaux de la société comprennent des darkrooms pour se reposer, des espaces café conviviaux avec des fruits frais à volonté, une cafétéria tout équipée et un espace extérieur pour déjeuner au soleil. 365 jours chez CBA c’est 960 kilos de fruits frais consommés, 590 heures de babyfoot, 18 cours de sport collectif et 30 événements par an. L’entreprise est installée dans le bâtiment moderne et écologique –éco passif qui produit plus d’énergie qu’il n’en consomme- Hamadryade, Bâtiment A, 15 allée Camille Claudel à Avignon, quartier Agroparc.

Innovation technologique et art contemporain

CBA soutient l’art contemporain, invitant l’artiste au cœur de l’entreprise. Cette collaboration rejoint les ambitions du Grenier à Sel dont la volonté est de favoriser les regards croisés sur l’évolution de nos sociétés contemporaines.


Grenier à Sel à Avignon, CBA invite ses clients à découvrir la nouvelle appli Agathe you

Et si internet avait existé en 1900 ? Quel site aurait pu avoir la réglisserie Florent, figure incontournable du commerce en Avignon ? Voici un challenge pour le moins nostalgique confié par Armand Cointin (agence Ambition-Web) a son stagiaire durant 2 mois. Un défi relevé avec brio pour un résultat captivant. Nom de Zeus ! Préparez-vous à un voyage temporel made in Cité des Papes.

« Nous voulions reconstituer le style graphique de l’époque, exploiter tous les codes visuels, mais surtout raconter une belle histoire d’entrepreneur d’antan. Il y a 100 ans, la problématique était la même que de nos jours : comment communiquer efficacement à destination de la cible ? Mais sans l’appui d’internet… » Innovation, stratégie commerciale, charte graphique, la Réglisserie Florent était soumise aux mêmes enjeux que notre ère. La société exploitait d’ailleurs déjà la radio pour diffuser ses réclames.

« Mon stagiaire a fait un énorme travail de recherche pour se nourrir de l’histoire et trouver un maximum de documentation au sujet de cette société qui a prospéré durant des années. C’est une source d’inspiration pour nous. La communication ne date pas d’aujourd’hui. Nous avons voulu montrer comment, même en 2021, d’anciennes marques peuvent être encore des exemples pour la plupart des activités tant elles avaient elles-mêmes su développer des stratégies de communication multicanales et avant-gardistes. » De la Réglisserie ne subsiste aujourd’hui que le nom encore affiché sur un de ses derniers murs de la société à Agroparc.

La Réglisserie Florent

Disparue depuis 1975, la société a dominé son marché pendant près de 100 ans. Elle a considérablement évolué depuis sa création par Paul Florent pour s’adapter à son marché et innover pour garder un temps d’avance tant la concurrence était forte. Elle est un vrai modèle d’entrepreunariat avec des échecs, des réussites, des investissements techniques, des lancements de nouveaux produits, des transmissions de compétences… et des stratégies de communication et commerciales misant sur les techniques classiques du marketing (positionnement, ciblage…) et de la notoriété. 

Les portes du temps

Le site internet est, a proprement parler, bluffant. Les visiteurs peuvent plonger dans l’univers de la Réglisserie Florent avec tous ces codes, écouter la réclame diffusée jadis dans les ondes, parcourir les différents produits commercialisés et même trouver des idées de recettes. « J’ai acheté le nom de domaine et tout a commencé ! L’objectif était également de témoigner notre sensibilité à l’histoire, au territoire et à l’ancien. Nous aimons les châteaux, les domaines viticoles à caractère, ce sont des sujets qui nous plaisent bien. Nous souhaitions montrer qu’une démarche de fouille profonde pouvait donner lieu à des reconstitutions intéressantes », explique Armand Cointin.

L’identité visuelle

Deux lions et un caducée, tradition familiale. Devant la concurrence qui se développe, F.Florent fait imprimer sa marque sur des étiquettes pour que l’on reconnaisse son produit partout en France et à l’étranger. Initialement toutes vertes, les boîtes Florent ont du passer au rouge suite à un procès à Rouen dans les années 1890 car le vert contenait de l’arsenic. Aujourd’hui encore, la population se rappelle des réglisses Florent par leurs boîtes rouges et rondes. 

Les médias 

La réglisserie a su asseoir sa notoriété en exploitant au mieux tous les médias qui lui étaient mis à disposition : lettres manuscrites avec timbres, presse, radio. Mention spéciale pour cette succulente réclame qui nous projette dans les couloirs du temps. « Depuis 100 ans, le roi des réglisses, c’est Florent, réglisse Florent ! », la mélodie vous habitera toute la journée…



Les affiches 

Les marques anciennes misaient beaucoup sur les campagnes publicitaires avec des créations graphiques très abouties. La réglisserie Florent s’appuie notamment sur des personnages majeurs (Napoléon) pour renforcer l’impact et l’utilité de ses produits auprès de la population.

« Nous avons même rencontré le président de l’association du Patrimoine industriel du Vaucluse qui est l’auteur d’une thèse de doctorat à ce sujet. Nous nous sommes appuyés sur les archives départementales, la Bibliothèque nationale de France et bien d’autres ressources en ligne. »

Au début du XXème siècle (1920 à 1960 environ quand les enfants écrivaient à la plume et à l’encre), les objets publicitaires et autres affiches étaient d’excellents vecteurs de communication qui assuraient la publicité des marques auprès des plus jeunes. Les réglisses Florent, spécialisés dans la confiserie avaient identifié leur cible étudiante. 

AH LA VACHE !... - Le blog de christianlegac

Le réseau commercial

Félicien Florent se reposait sur des représentants commerciaux disposant d’une renommée dans leur région et chargés d’y vendre les produits, mais souvent aux mêmes clients. Pour devenir plus attractif, il créé le statut de « représentant-voyageur » qui, au contraire, ne reste pas dans les mêmes villes mais se promène dans la France entière et même à l’étranger à la recherche de nouveaux clients, avec des règles de rémunération fixées par un contrat.  Tous les représentants sont rémunérés par des commissions (2 à 5%), la prise en charge des frais de transport et des frais de correspondance. Ils couvrent ainsi toute la France. Une politique commerciale très habile pour être visible partout. 

Hâte de replonger dans une nouvelle entreprise, une nouvelle époque, une autre histoire grâce aux fouilles de l’agence Ambition-Web.


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C’est l’événement incontournable, fédérateur par excellence. Les premières Olympiades organisées sur la zone Agroparc auront lieu le 14 octobre prochain. Un temps fort pour les acteurs économiques de la région en recherche de liens après une année d’hibernation. Les candidatures sont ouvertes pour relever le défi !

« Les challenges seront ludiques, sportifs, culturels, accessibles, mais surtout conviviaux », voilà comment Armand Cointin, président de l’association Agroparc, décrit le mieux les Olympiades. L’objectif ? On en dénombre en réalité 5 : faciliter les échanges inter-entreprises/étudiants, booster les dynamiques d’équipe, donner de la visibilité à tous les participants, instaurer un rendez-vous récurrent et soutenir le centre de vie et de restauration.

Vous avez dit Olympiades ?

De 17h à 20h, un parcours sur la zone sera mis en place avec une trentaine de challenges opposant des équipes de 5 personnes (idéalement de la même structure). Chaque équipe doit réaliser tous les challenges pour espérer participer à la grande finale, dans le centre de vie. Les participants pourront ensuite prendre un verre de l’amitié puis dîner, sur place, dans une ambiance musicale. Forte de son réseau et de son attractivité, la zone ambitionne d’enregistrer au bas mot 50 équipes qui bénéficieront d’une opération de communication digne de ce nom.

Les récompenses

Prix du challenge, de la mobilisation, de l’innovation, de la rapidité, de l’esprit d’équipe, de la communication, les équipes auront de quoi se distinguer ! « C’est à la fois du ‘team bulding » en interne, mais en même temps un événement qui favorise les échanges inter-entreprises. La convivialité sera également de la partie avec le volet restauration ! »

Devenir partenaire

Les entreprises partenaires ont tout à y gagner. Ces dernières peuvent même être à l’origine de la création d’un challenge à leurs couleurs, propre à leur secteur d’activité et leurs valeurs. « McCormick peut très bien organiser par exemple un challenge dégustation devant ses locaux », précise Armand. Avantage ? Un arrêt de toutes les équipes devant la société (si elle est accessible sur la zone) avec un concept “challenge” qui vous ressemble.

Les partenaires pourront également profiter d’une belle visibilité : publicité sur l’emplacement du challenge, témoignage dans la vidéo de l’événement filmée le jour J, stand sur le centre de vie où auront lieu la finale et la soirée des équipes, article et photos sponsorisés sur les réseaux sociaux… Les collaborateurs les plus fidèles pourront arborer fièrement le t-shirt estampillé de leur logo. « Nous ne sommes pas limitatifs, les entreprises extérieures peuvent très bien prendre part à l’événement, je pense à Courtine par exemple. La volonté est de rassembler, créer du lien, animer la zone. » Rappelons que la « zone » n’est rien de moins qu’une vile dans la ville : 500 entreprises, 10 000 salariés, 6 000 étudiants et 3 000 habitants…

Intéressé ? Contactez Béatrice Dioux avant le 25 juillet : services@agroparc.com. Plus d’informations, cliquez ici.


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A l’aide du dispositif ‘le Victoria‘ mis en place par le Grand Avignon, Elipce, spécialisée dans l’édition logicielle et le traitement de la donnée et la maintenance logicielle, devient propriétaire de 100m² au cœur du technopole Agroparc. De quoi envisager de nombreux projets informatiques et l’accueil de nouveaux collaborateurs.

L’opération le Victoria portée par Citadis comprend 4 bâtiments et prévoit la création de 21 bureaux et 3 ateliers de 108 m² (dont 54 m2 en mezzanine). Un programme immobilier d’entreprises à 5M€ né d’un constat : offrir un lieu de qualité afin de garder sur le Technopôle d’Avignon les jeunes entreprises qui sortent de la pépinière Créativa. Le nouveau venu, l’établissement Elipce Avignon, est composé de 7 collaborateurs et envisage une montée à 10 collaborateurs d’ici 2022. Fondée en 2005, Elipce compte une de salariés sur les deux agences situées à Valence et Avignon.

Pourquoi Avignon ?

« Avignon fait partie des villes idéales pour entreprendre. L’attractivité du Grand Avignon est une réalité : sa situation géographique est stratégique, elle possède une notoriété internationale et une dynamique économique grâce aux dispositifs d’innovations et aux filières d’excellence. » L’entreprise Elipce a saisi cette opportunité et s’est tournée vers les mécanismes proposés par le territoire pour le développement des entreprises. Depuis son siège à Valence, Elipce fait appel à l’agence Vaucluse Provence Attractivité, chargée du développement du territoire Vauclusien. Loïc Etienne, chef de projet digital se déplace en Drôme et présente les différentes possibilités d’implantation en Avignon. Parmi tous les choix possibles, Elipce sélectionne la pépinière d’entreprises Créativa, située au sein du technopole Agroparc, offrant un accueil dynamique et solidaire.

Les réseaux professionnels au cœur du maillage

Pour accroître sa notoriété et montrer son attachement au territoire, Elipce devient ambassadeur Avignon Terre de Création, marque territoriale déployée par le Grand Avignon. Puis pour se développer et créer des synergies, Elipce adhère à différents réseaux d’entreprises et fédérations tels que la CPME 84, Quartier d’Affaire, Vaucluse pro numérique, le Cercle des 50, Dynabuy ou encore le Pôle SCS. Une intégration sur le territoire qui permet à Elipce de grandir et d’envisager sa croissance. « La société Elipce est également fière d’avoir pu convaincre le service habitat du Grand Avignon de l’intérêt de sa solution e-ASY PLH. Une collaboration démarrée qui ne cesse d’évoluer favorablement grâce à Mme Clozel Aline, médiatrice numérique du dossier. »

L.M.


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Que vous soyez dirigeants, salariés, habitants ou étudiants, venez partager vos avis sur la mobilité sur la zone d’activité Agroparc et apporter vos idées pour l’améliorer lors du 1er atelier mobilité, le 4 juin de 17h à 19h. Ce premier atelier aura lieu en visio-conférence.

L’occasion de réunir en même temps tous les acteurs du technopôle, et travailler ensemble à la mobilité d’aujourd’hui et de demain. Cette rencontre est organisée par Citadis, avec la participation du Grand Avignon, Association Agroparc et Avignon Technopôle. Inscriptions, cliquez ici.

L.M


Grenier à Sel à Avignon, CBA invite ses clients à découvrir la nouvelle appli Agathe you

Sabrina Feddal, ingénieure systèmes et réseaux a créé, en 2016, la société Probe it, spécialisée dans la cyber sécurité. Son équipe et elle interviennent auprès des petites et grandes entreprises pour la mise en sécurité de leur système d’information. Une expertise qui s’inscrit dans l’évaluation du risque jusqu’à la mise en place de remparts adéquats et opérants, en passant par la formation du personnel.

Travail & persévérance
«Je suis issue d’un milieu modeste et l’obtention d’un diplôme d’ingénieur Systèmes et réseaux consacrait tout le travail et la persévérance que j’avais investis, notamment lors des classes préparatoires, sourit Sabrina Feddal, la dirigeante de Probe iT. Ma carrière s’est poursuivie, en tant que salariée, durant une quinzaine d’années en tant qu’ingénieur réseaux pour venir progressivement à la sécurité et à la protection des données. Les attaques informatiques, vers les années 2 000-2010 n’étaient alors pas aussi répandues qu’aujourd’hui. Ce domaine se voulait, à l’époque, nécessaire même si aujourd’hui, il a pris beaucoup d’ampleur.»

Sécurité rime avec organisation
«J’ai abordé ce nouveau volet de la profession par le biais de la technique appelée Sécurité opérationnelle. Je réalisais l’ingénierie, c’est-à-dire l’architecture de protection. Petit à petit j’ai évolué sur l’aspect plus organisationnel car la sécurité n’est pas que l’affaire des techniciens et ingénieurs, elle touche également l’humain. Beaucoup d’attaques peuvent aboutir lorsque l’on clique sur un mail ou que l’on s’est fait piéger au téléphone. On en vient à toucher la composante des Ressources humaines puisqu’il faut former l’ensemble des collaborateurs aux bonnes pratiques et même, d’un point de vue technique, via des volets de sécurité d’accès physique. La sécurité est très transverse et nécessite de l’organisation. Peu à peu j’ai occupé des postes de conseil auprès du directeur informatique, puis de la direction générale pour les accompagner dans une démarche qualité, d’amélioration continue, notamment, sur le plan d’actions dévolues à la protection et à la prévention des attaques, faire en sorte qu’elles ne se produisent pas et si cela advenait, pouvoir y réagir dans les meilleurs délais pour rétablir une situation normale.»

La cyberattaque
«Et puis la cyberattaque s’est généralisée. A l’origine ça pouvait être l’adolescent qui essayait, par défi, d’aller hacker telle ou telle société. Ça pouvait être la concurrence, les Etats… La cyberattaque pouvait cibler les établissements de santé. Là, nous sommes plus sur des attaquants crapuleux, de la délinquance en ligne… Au fil des années, celle-ci a d’ailleurs bien compris l’intérêt d’Internet en démultipliant sa portée sur des millions de cibles, comme, par exemple, en menant une campagne de phishing (hameçonnage, récupération de données), ce qui est, proportionnellement, beaucoup plus rentable. Aujourd’hui, Internet se structure, se réglemente mais, préalablement, la délinquance s’est mondialisée au-delà des frontières françaises, ce qui induit plus de difficultés et donc le ralentissement des investigations.»

Concrètement
«Le réseau de cyber criminels appelé Emotet (Cheval de Troie bancaire) qui orchestrait, depuis plusieurs années, des attaques pour récupérer des données bancaires a été mis au jour et démantelé par Interpol, aux termes de plus de deux ans de travail acharné, en ayant noué des coopérations internationales et mobilisé plus de huit pays. Si les serveurs ont été saisis, on n’a pas entendu parler de criminels véritablement identifiés car, techniquement, Internet pose des difficultés à la traçabilité et s’appuie sur le relatif anonymat que permettent les outils informatiques. En clair ? On n’arrive pas à tracer les personnes et les groupes. Vous avez l’impression que le flux malveillant vient de tel pays, alors qu’en réalité, il provient d’un autre.»

Les places de marché
«Un autre exemple ? Vous croyez saisir vos codes carte bleue sur un site identifié alors que vous renseignez le serveur de l’attaquant, lui permettant de se servir de votre carte bleue. Ces données sont ensuite mises en vente sur les places de marché organisées du Darknet sur Alphabet et autres… Ces places vont, en quelque sorte, professionnaliser les délinquants et leur permettre la revente de données, de bloquer l’activité d’entreprises pour les rançonner comme ça a été le cas avec les hôpitaux, ou l’Afnor (Association française de normalisation) ou encore Bouygues construction. , non seulement l’outil est bloqué mais en plus un chantage s’exerce à la publication de données confidentielles.»

De nouvelles initiatives
«Pourtant, des cadres réglementaires visent à plus de protection, plus de respect de la vie privée notamment avec le RGPD (Règlement général sur la protection des données) qui va consacrer la protection de la vie privée des citoyens européens. La France s’inscrit, depuis quelques années, dans la loi de programmation militaire, un enjeu national, qui identifie un certain nombre d’opérateurs vital ayant l’obligation de sécuriser leur système d’information pour éviter la catastrophe en cas de panne majeure qui pourrait impacter la vie des citoyens. Ces cadres s’organisent, imposent  la sécurité aux différentes parties prenantes de la société, en tout cas pour les grands acteurs, les grands groupes. Par ruissellement, cela impactera les sous-traitants, tout comme le tissu des TPME (Très petites et moyennes entreprises) qui, indirectement, vont devoir également se conformer à ces nouvelles règles. Evidemment, le risque zéro n’existe pas, cependant le socle minimal de sécurité permet d’éviter d’être la proie facile d’attaquants comme on a pu voir les attaques se multiplier auprès des établissements de santé qui ne bénéficient peut-être pas d’assez de sécurité sur place, ce qui est peut-être aussi le cas des TPME.»

Les clients
«Nos clients ? Le milieu de l’enseignement, de la banque, de l’assurance, des mutuelles… Si nous étions, à l’origine, axés sur les grands comptes, depuis plus de cinq ans nous travaillons aux côtés des petites et moyennes entreprises dont nous comprenons les problématiques dans le sens où elles sont débordées par d’autres sujets, et particulièrement pendant cette crise sanitaire. D’ailleurs, à ce sujet, le télétravail a été le point d’entrée de pas mal d’attaques du fait qu’il n’était pas suffisamment sécurisé. Il faudra travailler à ce qu’il ne soit pas le maillon faible, le trou de sécurité et donc la porte d’entrée dans le système d’information de l’entreprise.»

Un marché ultra concurrentiel
«Nous cultivons l’expertise au quotidien, s’il y a beaucoup de concurrents il y a aussi une pénurie des ressources, alors nous misons sur la qualité de nos prestations, en termes d’expertises nous sommes certifiés en sécurité CISSP (Certified information systems security professional) ; des certifications sectorielles dans le domaine de la protection des données monétiques : cartes bancaires PCIDSS (Normes de sécurité de l’industrie des cartes de paiement), des certifications sur les bonnes pratiques, les normes, l’organisationnel Iso 27 001 (Mise en œuvre et gestion d’un système de management de la sécurité de l’information), sur l’analyse de risque qui est très demandé, Iso 27 005 (Gestion des risques en sécurité de l’information), techniquement nous travaillons avec des personnes certifiées qui permettent de faire des tests d’intrusion, ce qu’on appelle des certifications OSCP (Offensive security certified professional) avec des professionnels surentraînés en laboratoires virtuels qui passent un examen réel sur 24 à 48h pour faire ‘tomber’ une centaine de machines. Nous nous démarquons également par l’expertise d’expérience car, comme je vous le disais, nous faisons face à une pénurie de talents et lorsque ceux-ci arrivent sur le marché, ils ne possèdent pas notre expérience.»

Le coût de la sécurité
«C’est aussi toute la problématique du coût d’un service plus que nécessaire. Nous avons identifié, chez Probe iT le fait que les PME n’ont pas de budget exponentiel au regard de leur chiffre d’affaires et aux solutions mesurées et adéquates pour assurer leur sécurité. C’est la raison pour laquelle nous proposons aussi de l’accompagnement, du conseil, pour que les réalisations techniques ne soient pas que l’apanage de cabinets parisiens ou nationaux. C’est justement sur ce créneau que nous portons notre valeur. Nous sommes un cabinet à taille humaine avec une offre de services et des solutions abordables. Nous avons développé des plateformes de sensibilisation, des offres de mise en conformité au RGPD, pareil pour l’évaluation du niveau de sécurité qui est la 1re chose à faire pour savoir si l’on est suffisamment sécurisé et ce que l’on peut faire de plus. Autant de packages à proposer à des prix raisonnables.»

Demain ?
«Nous continuons sur notre lancée, espérant conforter notre position dans le tissu économique local, plus largement national et international. Nous proposons à nos clients deux plateformes : Sensibilisation et RGPD qui vont continuer à évoluer, complétées d’un mixte services-solutions pour pouvoir répondre à la demande du marché. Nous maintenons une veille d’actualité sur la cyber sécurité et l’intelligence artificielle, plus de 1 200 personnes nous suivent depuis la création du compte parmi lesquels des influenceurs sur Twitter et veillecyber.com

Au tout début ?
«Ce qui m’a fait basculer dans l’entrepreneuriat ? Le besoin d’indépendance et de liberté par rapport au cadre salarié de l’époque, avec la vocation de revaloriser le métier d’ingénieur par rapport à la séniorité, au parcours. Dans nos métiers nous manquons de bras et de cerveaux. Alors j’enseigne dans une école d’ingénieurs pour former les jeunes générations. Cela m’a donné envie de monter une structure qui reflète mes valeurs : de l’âme, de la transmission, plus de place pour les femmes – qui ne représentent que 10 à 11% des ingénieurs-  en cyber sécurité. Chez Probe iT ? Nous existons depuis 2016 et sommes 5 femmes. Ce n’est pas de la discrimination (rires) mais ça s’est fait comme çà. Mon chiffre d’affaires ? Ça reste confidentiel. Notre portefeuille clients ? Nous sommes positionnés sur de grands comptes dans le secteur bancaire, de l’assurance, des mutuelles, de la sphère médicale comme cette fondation qui compte plus de 15 établissements médicaux, cliniques de soins et de psychiatrie avec des données extrêmement sensibles sur la sécurité et au sens du RGPD. C’est la raison pour laquelle, dans mon équipe, nous accueillons des juristes pour une approche globale, cohérente car, de plus en plus, la cyber sécurité est réglementée.»

La proposition
«Nous proposons d’organiser l’amélioration continue de la sécurité, de sensibiliser les collaborateurs des entreprises ; de piloter la mise en conformité normative et réglementaire de celle-ci. L’entreprise a besoin d’établir et de maintenir la confiance numérique ; d’évaluer son niveau de sécurité ; de protéger son activité et ses données sensibles. Nous sommes experts en audit sécurité et RGPD ; nous portons assistance en cas de piratage et nous assurons une assistance technique.»

Créativa
«Nous sommes ravis d’être hébergés chez Créativa, d’être chez les FCE (Femmes cheffes d’entreprise), nous faisons également partie de la French Tech, du Clusir Paca (Club de la sécurité Paca en Avignon), nous allons adhérer à la Cpme 84 (Confédération des petites et moyennes entreprises) de Vaucluse. Nous avons été accueillis à bras ouverts par les réseaux de Vaucluse. Si j’avais un conseil à donner je dirais : ‘Installez-vous à Agroparc car ce sont un lieu et des associations qui dynamisent les entreprises. L’endroit est bienveillant et tout y est facilité’.»
Probe iT, hébergée chez Créativa à Agroparc. 200, rue Michel de Montaigne 84140 Avignon. 04 90 23 67 59. contact@probe-it.fr et probe-it.fr

 
Sabrina Feddal, ingénieure systèmes et réseaux a créé, en 2016, la société Probe it, spécialisée dans la cyber sécurité.

Grenier à Sel à Avignon, CBA invite ses clients à découvrir la nouvelle appli Agathe you

Le centre de vaccination à grande capacité départemental de Vaucluse ouvrira ses portes vendredi prochain à la salle polyvalente de Montfavet. Situé dans la zone d’Agroparc à Avignon, ce ‘vaccinodrome’ aura pour objectif de procéder à 6 000 vaccinations, du lundi au samedi, par semaine.
Fruit d’un partenariat entre la Préfecture de Vaucluse, l’ARS, le CTPS, le Département, le SDIS 84, la Fondation Pierre Valdo, la CPAM et la ville d’Avignon, le centre de Montfavet sera organisé autour de trois zones distinctes : une première zone d’accueil ou les agents vérifieront la conformité des rendez-vous, une deuxième zone d’attente afin de s’assurer que les personnes peuvent bénéficier du vaccin en toute sécurité, et une troisième zone de surveillance au sein de laquelle les personnes vaccinées patienteront 15 minutes pour contrôler toute réaction indésirable liée à la prise du vaccin.

« Plus de 13% des Vauclusiens déjà vaccinés. »

En début de semaine, près de 74 000 personnes avaient reçu au moins une dose de vaccin dans le département, soit près de 13,2% de la population du département. Dans le détail, en date de lundi dernier, 52 698 personnes ont déjà reçu au moins une dose de vaccin et 26 310 personnes ont reçu deux doses de vaccin. Parmi eux, les résidents en Ehpad (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) ainsi que les USLD (Unités de soins de longue durée) et Résidences séniors représentent 7,9% de cette population vaccinée. Nous assistons à une réelle accélération de la campagne puisque le nombre de personnes vaccinées s’élevait à un peu plus de 60 000 la semaine précédente.
Un bilan qui a notamment pu bénéficier du déploiement des brigades mobiles Brigade mobile vaccinale (SDIS et Ordre des Médecins 84) et du ‘Vaccinobus’ du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur qui ont permis de traiter 42 personnes à Sault (2e dose), 200 personnes à Cairanne et 100 personnes à Séguret et Lagarde-Paréol.

« 17 550 doses reçues cette semaine. »

Pour cette semaine, le département a réceptionné 17 550 doses qui pourront être désormais injectées, suite à l’élargissement des personnels soignants habilités à vacciner par le Décret n°2021-325 du 26 mars 2021, injectées par les infirmiers, les chirurgiens-dentistes, les professionnels et les étudiants en santé, les vétérinaires, les techniciens de laboratoire, les manipulateurs d’électroradiologie médicale, les sapeurs-pompiers professionnels et volontaires, les pharmaciens des PUI (Pharmacie à usage intérieur), des laboratoires d’analyse et des Sdis (Service départemental d’incendie et de secours) ainsi que les sapeurs-sauveteurs des formations militaires de la sécurité civile de la DGSCGC (Direction générale de la Sécurité civile et de la gestion des crises).
Pour rappel, la vaccination contre le Covid-19 sera élargie à toutes les personnes âgées de plus de 60 ans à partir du 16 avril puis à toutes celles de plus de 50 ans à partir du 15 mai.


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Claranor, le spécialiste avignonnais de la stérilisation d’emballage grâce à un procédé innovant de lumière pulsée, va se doter d’un nouveau siège répondant aux nouvelles problématiques environnementales réalisé par le groupe GSE.

Le groupe avignonnais GSE vient de lancer la construction du nouveau siège de Claranor. Imaginé par l’agence Apside Architecture basée à Valence, ce projet d’une surface totale de 1 800m² conçu comme un bâtiment respectueux de l’environnement propose un espace de 873m² en rez-de-chaussée destiné à la production et un étage de bureaux de 927m². Ce bâtiment possèdera également un parking en sous-sol, une terrasse et un parc de panneaux photovoltaïques de 300m².
Toujours implanté dans la zone d’Agroparc à Avignon, où Claranor est déjà installée chemin de la Rollande, ce nouveau bâtiment de type ‘Cecodia’ (un concept d’édifices tertiaires écologiques, économiques et confortables lancé par GSE en 2009) intègre des matériaux biosourcés répondant aux problématiques environnementales tout en étant adapté à la croissance de l’entreprise.

A peine commencé, déjà récompensé
A peine débuté, le nouveau siège a déjà obtenu le certificat ‘BDM (Bâtiment durable méditerranéen) niveau Argent phase conception’. Une confirmation de la labellisation définitive est ensuite prévue en fin de chantier. « Une belle distinction qui récompense les choix réalisés notamment en termes de matériaux plus écologiques et la gestion du confort thermique, explique GSE. Le projet vise en plus un niveau E3C1 (réduction et compensation des consommations énergétiques par la production d’énergies renouvelables et réduction de l’impact carbone). »

Spécialiste de la stérilisation écologique
Créée en 2004, la société Claranor va consacrer 3M€ à la réalisation de ce nouveau siège qui devrait être opérationnel avant la fin de l’année. L’entreprise dirigée par Christophe Riedel développe pour les industriels un procédé de stérilisation par lumière pulsée via un flash de lumière intense de 0,3 milliseconde détruisant instantanément les micro-organismes de surface.
L’entreprise conçoit et produit ainsi des équipements de stérilisation d’emballages pour les grands groupes de l’industrie agroalimentaire. En 2020, 450 machines de stérilisation d’emballage Claranor sont en fonctionnement dans le monde, principalement dans les industries des boissons et produits laitiers. Depuis 2018, Claranor est également présent auprès des industries pharmaceutiques et cosmétiques. La société avignonnaises compte plus d’une trentaine de salariés et a réalisé un chiffre d’affaires de 4,33M€ en 2019.

18 millions de m² de locaux pour les entreprises pour GSE
Pour sa part, le groupe GSE fondée en 1976 par deux frères architectes Jean-Pierre et Michel Hugues, est spécialisé dans la conception de projets clés en main. L’entreprise passée début 2019 sous le pavillon du groupe de construction allemand Goldbeck est aujourd’hui dirigé par Roland Paul. Depuis sa création, GSE a réalisé 18 millions de m² d’immobilier pour les entreprises.
La société vauclusienne compte plus de 450 collaborateurs répartis dans 12 implantations en France dont environ 140 travaillent au sein de son siège vauclusien. Le groupe, aussi présent dans 7 autres pays européens ainsi qu’en Chine depuis 23 ans, a réalisé un chiffre d’affaires de 554M€ en 2019.
Tout récemment, GSE a remporté le grand prix du Simi 2020 (Salon de l’immobilier d’entreprise) dans la catégorie ‘immobilier logistique’ pour la réalisation du centre de conservation ‘Arts’ situé dans la zone aéroportuaire du Bourget en Seine-Saint-Denis.


Grenier à Sel à Avignon, CBA invite ses clients à découvrir la nouvelle appli Agathe you

Pandémie de Covid-19 oblige, l’association Agroparc a formulé des vœux numériques auprès de ses adhérents. L’occasion pour le bureau de l’association de dévoiler ses projets pour l’année 2021.

Se faire l’écho de la diversité et de la vitalité des entreprises du technopôle, telle est la vocation de l’association Agroparc. Et si l’année 2020 a été invariablement marquée par la crise sanitaire, l’association entend fédérer cette année tous les publics de la zone d’activité (TPE-PME, commerces, étudiants, habitants…) autour d’un certain nombre de projets, à commencer par la mise en place de rencontres par domaine d’activité. « Il y a plus de 500 raisons sociales sur la zone qui regroupe une multitude de secteurs d’activité : BTP, formation, agro-alimentaire, numérique, etc. explique Armand Cointin, président de l’association. L’objectif est de créer des échanges entre les entreprises qui ne se connaissent pas forcément tout en proposant des formats qui permettraient de faire de la remontée d’information et de projets auprès des acteurs locaux et notamment auprès des collectivités locales telles que la Ville d’Avignon et le Grand Avignon. » Des rencontres en petits groupes qui pourraient également se dérouler en visioconférence afin d’échapper aux contraintes sanitaires.

Souhaitant profiter du vivier d’entreprises actives sur le technopôle, l’association entend favoriser la rencontre avec les quelques 6 000 étudiants présents sur la zone. « L’idée serait de mettre en relation ces deux publics en proposant à nos chefs d’entreprise un temps de bénévolat dans le mois à mettre à disposition d’un étudiant afin de répondre à ses attentes et l’aider dans son projet de stage, d’alternance ou de découverte d’un métier », précise Armand Cointin.

Sur le plan environnemental, le technopôle, en partenariat avec Citadis et le Grand Avignon, a obtenu en fin d’année le niveau 2 du label Parc + décerné par l’ARBE (Agence régionale pour la biodiversité et l’environnement) qui vient récompenser les meilleures démarches d’aménagement de zones d’activités pour leurs qualités et leurs performances. Une distinction qui pousse l’association à œuvrer cette année pour atteindre le niveau 3 (le plus haut niveau de reconnaissance). Par ailleurs, l’association œuvre actuellement avec la Chambre d’Agriculture de Vaucluse afin de lancer un marché hebdomadaire de producteurs locaux sur le technopôle.

Afin de briser la morosité engendrée par les contraintes liées au Covid-19, l’association compte poursuivre ses petits-déjeuners, ses ateliers (ouverts à tous) et mettre en place des activités ludiques mensuelles afin de favoriser les échanges entre ses adhérents. Des adhérents qui vont gagner davantage en visibilité via les réseaux sociaux et au sein de la nouvelle gazette lancée en décembre dernier. Enfin, une ‘cellule conseil’ devrait voir le jour en 2021 afin de répondre aux besoins spécifiques des entreprises du technopôle.

Association Agroparc, 120, rue Jean Dausset, Avignon. 04 90 23 80 52 services@agroparc.com 

Président : Armand Cointin
Secrétaire : Laure Castang
Trésorière : Anne Morin
Directrice : Béatrice Dioux
Communication : Julien Lecroq

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