20 avril 2024 |

Ecrit par le 20 avril 2024

Santé au travail : votre chaise de bureau vous tue ! 

Le service de prévention et de santé au travail AIST 84 organise un événement autour de la lutte contre la sédentarité le mardi 19 mars à Avignon.

La sédentarité est aujourd’hui le premier ennemi de santé publique. Elle tuerait même plus que le tabac selon certaines études scientifiques. Elle touche notamment les personnes ayant un travail pour lequel il est nécessaire d’être assis à un bureau, devant un ordinateur. Pour lutter contre ce fléau, l’AIST 84 organise une matinée autour de l’activité physique et de la lutte contre la sédentarité.

L’événement débutera avec une conférence animée par François Carré, cardiologue et médecin du sport au CHU de Rennes, avec l’appui d’Yves Charmet et Bruno Rosier, médecins du travail à l’AIST 84. Ensemble, ils évoqueront pourquoi la chaise sur laquelle vous êtes assis est en train de vous tuer alors qu’elle n’est pas électrique. Ensuite, des exercices d’éveil musculaire seront présentés pour démarrer la journée en mouvement, ainsi que du matériel pour travailler tout en bougeant.

L’inscription est gratuite mais obligatoire.
Mardi 19 mars. De 9h à 11h. Aist 84 – Avignon-Garance. 40 rue François Premier. Avignon.

V.A.


Santé au travail : votre chaise de bureau vous tue ! 

Le service de prévention et de santé au travail AIST 84 organise ce jeudi 16 novembre à Orange sur le maintien de l’emploi. Cet événement vise à faire connaître les aides financières et les techniques qui existent pour éviter une perte d’emploi en cas de maladie chronique invalidante, problèmes sociaux, accidents du travail, ou encore vieillissement et allongement de la durée des carrières.

De nombreuses aides financières et techniques et des outils spécifiques existent pour soutenir employeurs et salariés face à ces problématiques. Plusieurs professionnels interviendront lors de cette réunion : Jean-Thomas Ladreyt, médecin du travail, Clémence Nguyen, référente ‘maintien en emploi’, Isabelle Daumann, chargée de mission ‘Axe maintien’ à Cap Emploi, et Christelle Guiraud, infirmière en santé travail. Ensemble, ils évoqueront ce qu’est le maintien en emploi, la réglementation qui l’entoure, son impact sur les entreprises, ainsi que les dispositifs disponibles.

Jeudi 16 novembre. De 10h30 à 12h. Inscription gratuite mais obligatoire en ligne. Mercure Orange. 258 Route de Caderousse. Orange.

V.A.


Santé au travail : votre chaise de bureau vous tue ! 

Le risque chimique concerne nombre d’entreprises, mais il n’est pas toujours simple de s’y retrouver dans l’identification et la compréhension des dangers des produits présents dans les lieux de travail. Pour y voir plus clair, l’Aist84 organise un webinaire ce mardi 12 septembre à 11h.

Les experts de l’Aist84 aborderont les points suivants : savoir identifier les produits et agents chimiques dangereux ; savoir lire une étiquette et une FDS (fiche de données de sécurité) et extraire les informations utilisables en entreprise ; connaître les bases de l’évaluation et de la prévention du risque chimique ; connaître l’accompagnement des services de prévention et de santé au travail.

Différentes intervenantes seront présentes : Séverine CHICHA, médecin du travail à l’AMETRA06 ; Elodie PELLICCIA, IPRP à l’AIST 83 ; Ludwig MANCER, IPRP au GIMS 13 ; Cosmin PATRASCU, ingénieur chimiste au SPSTI 2A ; Agnès DONAT, technicienne en prévention chez Expertis, pour l’animation.

Mardi 12 septembre de 11h à 12h. Inscription en cliquant ici.


Santé au travail : votre chaise de bureau vous tue ! 

Nous sommes invités à la Fédé BTP à l’occasion d’une réunion du Pole prévention OPP BTP 84 (Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics). Autour de la table, les acteurs de la filière BTP et les services de l’Etat. Objectif ? Améliorer la prévention et la sécurité des conditions de travail du BTP au moyen de la communication, de l’information, de l’assistance opérationnelle et des conseils juridiques. Une initiative vauclusienne unique en France.

Autour de la table ?
Thomas Jurczyk de l’OPPBTP (Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics) ; Olivier Audoly ingénieur conseil de la Carsat Sud-Est (Caisse d’assurance Retraite, santé, travail) ; Olivier Cousi, directeur du CFA Florentin Mouret (Centre de formation des apprentis) ; Cédric Bosse, en charge du service économique de la Capeb Vaucluse (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment) et représentant des artisans du bâtiment ; Yann Le Cam, directeur de l’AIST 84 (Association interentreprises pour la santé au travail du Vaucluse et émanation du Conseil départemental) ; Françoise Lesauvage, responsable de l’Unité contrôle DDETS (Direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités), inspection du travail et Emilie Pascal, responsable de l’Unité de contrôle DDETS, tous conviés à se retrouver tous les trimestres, à l’invitation d’Emmanuel Méli, secrétaire général de la Fédération du Bâtiment et des Travaux Publics de Vaucluse.

Ce qu’ils ont dit

Françoise Lesauvage

Françoise Lesauvage,
Responsable de l’Unité contrôle DDETS (Direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités), inspection du travail
.
«Ce qui est important dans ces réunions débutées en 2018, c’est que nous sommes différents acteurs qui œuvrons au quotidien sur le terrain pour la prévention et la sécurité des travailleurs du bâtiment, entame Françoise Lesauvage. Nos compétences, qui se complètent et se croisent, nous permettent de toucher les mêmes publics, qui sont cependant différents, selon les organismes que nous représentons. Notre problématique ? Pour le Ministère du travail, le BTP est une branche qui attire particulièrement l’attention du fait de la dangerosité des métiers et des possibles accidents du travail.»

Le travail sécurisé
«Ce qui nous interpelle ? Le travail dissimulé qui est en lien étroit avec la santé et la sécurité. Il est difficilement quantifiable car il intervient sous diverses formes. Il peut s’immiscer dans la sous-traitance, même si celle-ci n’est pas du travail dissimulé, mais lorsqu’elle est organisée en cascade, elle fait appel à des entreprises qui sont peut-être moins vertueuses, moins équipées et plus modestes, cette ‘organisation’ finissant par nuire aux salariés en matière de statut social, de santé et sécurité.»

Ce que j’aimerais aborder
«La règlementation du Code du travail évolue, notamment au niveau des solidarités des maîtres d’ouvrage. C’est là que le Pôle de travail suscite autre chose qu’un travail règlementaire parce qu’on est persuadés, en tant que professionnels, que ce qui est décidé en amont de la définition du cahier des charges a un impact sur la manière dont le chantier sera réalisé et dans l’organisation des entreprises et de leurs salariés. Lorsque le maître d’ouvrage décide, sur un chantier, de créer un lot zéro pour y inclure la sécurité, les moyens de protection collectifs, les voies et réseaux, cela évite que la responsabilité individuelle de chaque entreprise soit la seule mise en cause. Notre communication auprès des donneurs d’ordre est donc, là, essentielle.»

Olivier Audoly

Olivier Audoly, ingénieur conseil de la Carsat Sud-Est (Caisse d’assurance Retraite, santé, travail)
«Le BTP une des activités qui connaît la plus forte sinistralité, notamment en ce qui concerne les maladies professionnelles qui impactent beaucoup l’humain et aussi en termes financiers pour les entreprises, induisant des enjeux sociaux en cas de blessure, de handicap et de décès. Comment la personne blessée ou handicapée va-t-elle pouvoir vivre après l’accident ? Que va devenir sa famille avec cette perte de ressource et de travail… Effectivement, l’objectif de nos réunions est aussi d’essayer de réduire les accidents du travail de façon directe ou indirecte.»

Avez-vous observé une différence notable sur le terrain depuis 2018, date de la création de votre cellule de partage d’informations ?
«Les facteurs économiques influent aussi beaucoup sur la vie des entreprises. La période Covid a infléchi les chiffres qui étaient tout de même régulièrement à la baisse, même si l’activité a subi une forte sinistralité. Aujourd’hui ? Les entreprises sont en difficulté et la prévention des risques reste un des premiers volets à passer à la trappe lorsqu’il s’agit de répondre à un appel d’offre et de faire des économies. La prévention est la partie invisible de la filière BTP, rejoignant aussi la problématique du moins disant. Quelle que soit l’activité de l’entreprise, il n’y a rien de plus terrible que de faire une enquête sur un accident grave ou mortel. Face au drame, il y a cette détresse des gens sur le chantier…» 

Pour conclure ?
«La philosophie et les décisions du maître d’ouvrage jouent un rôle déterminant en termes de prévention. C’est aussi à lui de mettre en place la structure, l’organisation et les moyens nécessaires pour que les entreprises puissent intervenir dans les meilleures conditions. La responsabilité des accidents n’est pas uniquement due aux entreprises, elle l’est aussi, parfois, à la mauvaise organisation d’un chantier ou à des prises de chantiers à des prix anormalement bas.» 

Cédric Bosse

Cédric Bosse, en charge du service économique de la Capeb Vaucluse (Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment) et représentant des artisans du bâtiment
«Les drames qui voient le jour nuisent à notre image, au secteur d’activité et concourent à délaisser les métiers du BTP. Le Pôle prévention nous permet de travailler ensemble, de faire passer les messages, notamment lorsque de nouvelles entreprises sont créées. Nous avons également participé à un forum sur l’amiante tous ensemble, à Monteux, en 2018, ce qui nous avait permis d’être à la fois nombreux et représentatifs.»

Emmanuel Méli

Emmanuel Méli, secrétaire-général de la Fédé BTP 84
«Nous sommes les premiers et les seuls –à notre connaissance-, en France, à nous être réunis –acteurs de l’action de bâtir et institutionnels- autour de la sécurité et de la santé. Mais pour répondre à votre question sur le travail dissimulé, je dirais qu’il n’y a pas vraiment de tailles d’entreprises privilégiées pour la sous-traitance dissimulée et que ce phénomène peut toucher tous types d’entreprises. Je pense notamment aux entreprises qui se sont engouffré dans la pose de panneaux photovoltaïques pour profiter de la manne fiscale. Elles se créaient du jour au lendemain sans aucune forme de professionnalisme, de formation et de notions de sécurité.»

Concernant nos actions ?
«Nous les mettons chacun en œuvre face à nos publics spécifiques et commun. L’idée de ces réunions ? Partager les remontées d’information et mutualiser les actions de communication, également développer notre présence au sein de réunions, de forums, sur les réseaux sociaux, afin d’intervenir le plus largement possible.»

Une initiative de l’OPPBTP
«La création du Pôle prévention santé est une initiative de l’OPPBTP –organisme de prévention- qui souhaitait participer à une communication plus transverse puisque nous sommes l’une des rares filières à posséder sa propre mutuelle et assureurs. Si la Fédération et la Capeb sont un peu les ambassadrices des fédérations, il reste un public qui n’est adhérent nulle part et n’a pas toujours accès aux informations professionnelles. La Carsat est aussi là parce qu’il n’y a pas que le côté gendarme et sanctions car la majorité de nos actions sont la prévention, l’audit, et l’anticipation.»

A quels risques sont exposés les salariés du BTP ?
Pour le bâtiment, il s’agira des troubles musculo-squelettiques (TMS) suivis de chutes de hauteur ou de plain-pied. Pour les travaux publics, il s’agira du risque d’enfouissement, notamment lors de la création de tranchées. Les autres risques ? Les diverses addictions dont peuvent être porteurs les salariés tels que la drogue et l’alcool.

Innovation et organisation du travail
«Nous constatons trop de précipitations dans la préparation du chantier et des offres anormalement basses. Lorsque l’on est à moins de 40 à 50% du coût de revient, il y a forcément des économies faites sur le personnel et la sécurité. A propos de l’innovation et de la lutte contre la pénibilité, les exosquelettes –pour lutter contre les TMS, troubles musculosquelettiques- commencent à faire leur apparition avec la mise en place du Lean management qui intègre l’organisation des chantiers. Concernant le travail en hauteur, nous avons l’exemple d’une entreprise spécialisée dans la couverture qui a investi dans un drone pour effectuer la prise de photos et vidéos. Cela permet au technicien de moins monter sur le toit, d’aller beaucoup plus vite dans la prise des côtes et de sécuriser son travail avant d’intervenir. En digitalisant son métier, il minimise le risque d’accident, tout en gagnant du temps et donc de la productivité.»

La féminisation de la profession
«Nous tenons beaucoup à la féminisation de la profession. Celle-ci se révèle plutôt importante dans la partie ‘back office’ et administrative. Sur les chantiers, les femmes œuvreront majoritairement dans le second œuvre comme la peinture, l’électricité, également le carrelage et montent en encadrement via la formation continue pour devenir conducteur d’engin, cheffe d’équipe, de chantier, conducteur de travaux…»

Olivier Cousi

Olivier Cousi, directeur du CFA Florentin Mouret (Centre de formation des apprentis) à Avignon
«Nous sommes là pour former les salariés du bâtiment de demain. Tout part d’une bonne formation à la prévention d’entrée de jeu, ce qui résout déjà beaucoup de problèmes. Car ces futurs professionnels arrivent sur les chantiers avec de vraies notions de sécurité. Au programme ? Des habilitations pour travailler en hauteur, des habilitations électriques… Nous pensons qu’on n’apprend jamais mieux que sur le tas, mais en étant sensibilisé aux risques. Les remontées des apprentis ? Ils nous disent que sur les chantiers ce que nous leur apprenons ne se fait pas toujours, alors nous leur rétorquons que lorsqu’ils seront patrons, ou chefs d’équipe, ils devront faire ce qu’ils auront appris avec nous, devenant ainsi nos relais pour la prévention. Nous avons observé que sur les grands chantiers, la prévention sécurité reste incontournable.» Le CFA Florentin Mouret d’Avignon accueille 1 000 élèves dont 40 filles, tous métiers confondus.

Mon analyse
«
Plus la prévention est inculquée précocement, dans le parcours professionnel, plus elle se révèle efficace. Ce sera, en tant que CFA, notre contribution à la prévention en souhaitant que dans les 10, 15 ans à venir, tous nos apprenants seront devenus de grands professionnels, voire des patrons, mettant en œuvre ce qu’ils auront appris.»

Emilie Pascal

Emilie Pascal, responsable de l’Unité de contrôle DDETS
«Procédez-vous à de nombreux contrôles sur les chantiers ? En 2022 l’Inspection du travail a effectué 475 interventions sur les chantiers vauclusiens. Il est le principal secteur d’activité pour nos agents. En termes de suites ? La moitié des amendes administratives du département concerne ce même secteur. Nous intervenons particulièrement sur l’hygiène, notamment sur les bases de vie. Ce que nous observons en matière de risques ? Les chutes de hauteur sont le 1er risque d’accident mortel, devant le travail illégal –de la dissimulation de l’emploi salarié à un faux statut, un faux autoentrepreneur, un emploi salarié sans autorisation de travail…»

«Concernant nos réunions trimestrielles, l’information que nous partageons au cœur du Pôle prévention, nos différentes missions permettent d’enrichir nos champs de compétence. Si le cœur de notre métier est le contrôle, assorti de sanctions, le volet sensibilisation et information des employeurs et des salariés reste fondamental.»

Yann Le Cam

Yann Le Cam, directeur de l’AIST 84 (Association interentreprises pour la santé au travail du Vaucluse)
«La sinistralité touche plutôt les petites entreprises. Notre concertation connait un vrai impact notamment lorsque nous nous penchons sur cet important réseau de petites entreprises. Notre travail principal reste la prévention, même si chacun travaille dans un cœur de métier qui est différent de celui des autres.»

Ce que l’on ne discerne pas ?
«Tous les coûts cachés indirects notamment lorsqu’un salarié est en arrêt de travail. C’est aussi un secteur d’activité qui intervient dans l’usure physique de la carrière des salariés, notamment avec les troubles musculo-squelettiques –TMS- ce qui est à prendre en compte lors de l’allongement du nombre d’années de travail, qu’actuellement nous vivons.» 

Ce que j’aimerais dire ?
«On a tous, dans nos diverses activités, l’occasion d’entrer en contact avec des apprentis, des salariés, des chefs d’entreprise. Il est donc important de véhiculer un message cohérent et complémentaire pour un même objectif. C’est aussi la raison pour laquelle se connaître permet d’orienter les professionnels vers le bon interlocuteur, parce que l’on connaît les missions de chacun.»    

Thomas Jurczyk

Thomas Jurczyk de l’OPPBTP (Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics)
«Nous sommes un organisme paritaire dont l’objet est de faire de l’accompagnement, de la sensibilisation et de la formation à la prévention. Nos partenaires sont de grandes institutions professionnelles, privées, qui militent pour la prévention, chacun avec des outils et des moyens de communication qui sont propres à leur activité. Nous en sommes le canal central sur le Vaucluse. Nous utilisons nos canaux, lors de campagnes et programmes partagés, sur le territoire de Vaucluse afin de toucher le plus grand nombre.»

La prévention ça coûte ou ça rapporte ?
«Nos études prévention et performance mettent en avant que chaque euro investi permet d’améliorer les conditions de travail du personnel, l’organisation du chantier et l’encadrement technique de l’entreprise. Cela induit une meilleure compétitivité de l’entreprise qui s’engage, alors, dans un rendement plus important.»

Pour finir
«Ces rencontres trimestrielles nous enrichissent des problématiques de chacun et permettent d’adapter notre discours aux entreprises afin d’approcher du zéro accident de chantier et du zéro arrêt de travail. Une entreprise qui va bien est une entreprise qui n’a pas d’accidents. C’est toute la légitimité de notre action commune.»

De gauche à droite, Emmanuel Méli, Thomas Jurczyk, Cédric Bosse, Olivier Cousi, Olivier Audoly, Françoise Lesauvage, Emilie Pascal et Yann Lecam

Santé au travail : votre chaise de bureau vous tue ! 

Le Service de prévention et de santé au travail (AIST) de Vaucluse organise un événement centré sur le burnout des chefs d’entreprise le jeudi 27 avril. Chef d’entreprise peut parfois être associé au surmenage. Plusieurs causes peuvent mener au burnout comme penser à son entreprise jour et nuit, ne pas compter ses heures, puiser sa motivation dans le stress, ou encore vouloir être toujours à la hauteur, quelles que soient les difficultés, car on est le seul et l’unique responsable des salariés.

L’AIST 84 souhaite faire comprendre que la santé de l’entreprise passe par la santé de son dirigeant. C’est pour cela que le Service de prévention et de santé au travail organise un événement où les entrepreneurs pourront échanger avec Benjamin Galloux, médecin du travail, Jean-Philippe Matz, psychologue du travail, et d’autres chefs d’entreprise sur leurs habitudes de vie, leur relation au travail et à la réussite, leurs croyances, et bien d’autres sujets. L’événement sera suivi d’un cocktail déjeunatoire.

Les inscriptions se font directement sur le site de l’AIST 84.

Jeudi 27 avril. De 10h30 à 12h. Aist 84. 40 rue François Premier. Avignon.

V.A.


Santé au travail : votre chaise de bureau vous tue ! 

Jeudi 17 novembre, l’Aist84 organise une réunion d’information, d’échanges et de prévention est organisée sur le sujet du maintien en emploi.

Toute personne peut connaître, au cours de sa vie, des évènements, personnels ou professionnels, susceptibles d’impacter sa santé. Face à ces problématiques, il est essentiel, tant pour le salarié que pour l’entreprise, d’éviter une perte d’emploi et de compétences. Le maintien en emploi est précisément là pour ça, et ce tout au long du parcours professionnel du salarié.

Le maintien en emploi ne se limite pas aux salariés en arrêt de travail. C’est une démarche qui peut être mise en œuvre dès lors qu’un salarié éprouve des difficultés à réaliser son travail et que l’activité de l’entreprise en est impactée. De nombreuses aides financières et techniques, ainsi que des outils spécifiques, existent pour soutenir employeurs et salariés.

Marie-Pierre Barrière, médecin du travail, Nathalie Suard, infirmière en santé au travail, et Julie Amoureux, assistante sociale du travail, vous proposent une réunion d’information et d’échanges pour vous donner les clés du maintien en emploi.

Programme

  • Qu’est-ce que le maintien en emploi ?
  • Zoom sur la réglementation.
  • Quels impacts pour l’entreprise ?
  • Les dispositifs : aides pour l’employeur, aides financières, aides techniques, outils spécifiques.
  • Ce qu’il faut retenir.

Réunion le jeudi 17 novembre de 8h30 à 10h, 40 rue François Premier à Avignon. Inscription gratuite en suivant ce lien.

J.R.


Santé au travail : votre chaise de bureau vous tue ! 

Jeudi 13 octobre, l’Aist84, en partenariat avec le cabinet Isotês, propose une réunion de sensibilisation aux évènements graves en entreprise.

Accident, braquage, agression, tentative de suicide, attentat, décès, catastrophe naturelle… Toute entreprise peut être frappée par des évènements graves, potentiellement traumatisants, venant impacter la santé de ses acteurs, salariés et employeurs, par une exposition directe ou indirecte à la mort.

Pour prévenir et limiter les atteintes psychologiques de ces évènements traumatiques et permettre aux victimes de les dépasser, des interventions spécifiques peuvent être mises en place par des professionnels de santé formés. Le psychologue du travail, les médecins et infirmiers du service de santé au travail (Aist84) peuvent vous accompagner.

Ainsi, jeudi 13 octobre, les spécialistes de l’Aist84 s’associent à Muriel Trichet, psychologue clinicienne fondatrice du cabinet Isotês, pour proposer une réunion de sensibilisation aux évènements graves en entreprise et vous permettre d’apprendre à soutenir vos collaborateurs face à des évènements violents pouvant paralyser l’activité de votre entreprise.

L’inscription et la participation à la réunion de prévention sont gratuites © Aist84

Jeudi 13 octobre, de 9h à 11h30, 40 rue François Premier, Avignon – inscription gratuite en cliquant ici.

J.R.


Santé au travail : votre chaise de bureau vous tue ! 

L’AIST 84, le service de santé au travail de Vaucluse, organise la 3e édition de son forum dédié à la santé des dirigeants, managers et indépendants. Le vendredi 8 juillet, cinq ateliers seront proposés pour se ressourcer.

L’AIST 84, le service de santé au travail de Vaucluse, organise la troisième édition de son forum dédié à la santé des dirigeants. Cet évènement, qui se tiendra le vendredi 8 juillet, est ouvert aux chefs d’entreprise, dirigeants, managers et indépendants, adhérents ou non à l’AIST 84, dans la limite de deux personnes par structure.

Au programme de cette troisième édition : des techniques de respiration pour apprendre à se détendre physiquement et mentalement, des pratiques et astuces pour être en pleine forme, de la visualisation mentale pour transformer les pensées négatives en pensées positives, de l’introspection pour s’éloigner du chemin de l’épuisement et une découverte de l’automassage.
Tous les ateliers sont proposés gratuitement.

Le vendredi 8 juillet de 8h30 à 14h au 40 rue François 1er. Avignon.
Inscriptions sur https://my.weezevent.com/forum-bien-etre-des-dirigeants

J.R.


Santé au travail : votre chaise de bureau vous tue ! 

L’Association interentreprises pour la santé au travail du Vaucluse (AIST 84) laisse ses formations classiques de côté et en propose une nouvelle, plus ludique, adressée aux salariés et chefs d’entreprise. Sur le thème du risque routier dans le cadre professionnel, mais aussi personnel, l’AIST 84 organise une matinée autour du jeu ‘Start & Go’ le jeudi 12 mai prochain.

Cette formation a pour objectif de démontrer que les incidents de la route ne proviennent pas tout le temps d’une prise de risque, mais souvent d’autres facteurs comme la fatigue, l’usage du téléphone, les émotions ou encore le manque de concentration. Pour y participer, il suffit de remplir le formulaire d’inscription en ligne.

Jeudi 12 mai. De 9h à 11h30. AIST 84. 40 Rue François Premier. Avignon.

Le jeu ‘Start & Go’

V.A.

https://www.echodumardi.com/tag/aist-84/   1/1