Espaces verts : Avignon, Aix et Toulon peu accessibles
Les espaces verts publics, tels que les parcs, jardins et forêts, jouent un rôle essentiel dans le bien-être et la qualité de vie au cœur des villes, offrant aux citadins des lieux de détente et de loisir à proximité. Les Nations unies ont ainsi inclus dans leurs objectifs de développement durable « l’accès universel à des espaces verts publics sûrs, inclusifs et accessibles, en particulier pour les femmes et les enfants, les personnes âgées et les personnes handicapées » d’ici à 2030.
D’après une étude couvrant six pays de l’OCDE réalisée par une équipe de chercheurs en urbanisme et publiée le 16 juin 2025 dans la revue Nature, en moyenne, dans 70 centres urbains analysés en France, un habitant sur quatre (24 %) n’a pas accès à un espace vert à moins de dix minutes de marche de son domicile. Ce taux varie significativement selon les villes : dans 15 centres urbains analysés, plus de 30 % de la population n’a pas accès à un parc à moins de dix minutes, tandis que ce chiffre est inférieur à 15 % dans 14 autres.
Comme le montre notre carte, les citadins sont les plus proches d’un espace vert dans les centres urbains de Reims, Grenoble, Paris et Saint-Étienne, où un peu plus d’un habitant sur neuf (90 à 92 %) habite à moins de dix minutes à pied d’une infrastructure de ce type. À l’inverse, l’accès aux espaces verts est le plus restreint dans les centres urbains de certaines villes côtières comme Ajaccio (seuls 37 % de la population à moins de 10 minutes), Le Havre (57 %), Toulon (62 %), Aix-en-Provence (62,8%) et Avignon (63,9%) ce qui est en partie liée à leur topographie et à leur développement urbain spécifique.
Si cet indicateur permet d’évaluer la proximité avec une infrastructure verte (allant du square à la forêt), il est important de noter qu’il ne permet pas de rendre pas compte de la nature ou de la taille des espaces verts dans les différentes villes. Ainsi, bien que le niveau de proximité avec un parc soit plutôt élevé à Paris, la capitale française est loin d’être l’une des plus vertes d’Europe. En effet, l’Agence européenne pour l’environnement estime que seul un quart de la superficie de la ville de Paris est couverte par des infrastructures vertes, contre plus de 50 % pour des villes comme Oslo, Berne, Madrid ou encore Berlin.
Espaces verts : Avignon, Aix et Toulon peu accessibles
Le photographe Camille Moirenc vient d’éditer ‘Sacrée montagne’. L’ouvrage de 156 pages propose une odyssée en 5 actes et 87 photographies afin de rendre hommage à la Sainte-Victoire. Une montagne que le photographe natif d’Aix-en-Provence connaît presque aussi bien que le peintre Cézanne à qui l’on doit justement, 87 tableaux de son paysage préféré (44 huiles et 43 aquarelles).
« J’ai toujours vu la montagne, écrit Camille Moirenc. Et ce, depuis que j’ai ouvert les yeux. Ici, elle fait partie du décor quotidien, tellement qu’il est facile, pour certains, de l’oublier. Ou alors, pour le plus grand nombre, de la saluer. Quand on la regarde dans le paysage, quel contraste… On se demande comment ce massif à la vieille peau de calcaire, toute ridée et blanche, a bien voulu se poser là, dans la plaine. La sacrée montagne, discrète et à la fois bienveillante, a aussi choisi d’offrir sa face de triangle à la cité aixoise… une divine proportion qui en a intrigué plus d’un et qui a tant inspiré Paul Cézanne. »
« Elle ne change jamais et elle n’est jamais la même. »
Camille Moirenc
Plus de 35 ans a photographié la Provence Celui qui en Vaucluse a notamment photographié Crillon-le-Brave, Blachère illumination à Apt, Matthieu Lustrerie à Gargas, la CNR (de Bollène à Vallabrègues le long du Rhône) ou bien encore le Domaine de Manville aux Baux-de-Provence propose un voyage en 5 temps : horizons, matières, lumières, ombres et envols. « Depuis quelques années maintenant, je lui porte une attention toute nouvelle, confie le photographe sur sa relation avec la Sainte-Victoire. Je la scrute, l’explore, l’étudie, la ressens… Elle ne change jamais et elle n’est jamais la même. Selon ses humeurs, ses lumières, elle se révèle différemment aux regards. Balades de jour, de nuit, par tous temps et toutes saisons… aidé ou bousculé par les éléments… amusé, dans tous les cas, par des rencontres inédites avec des passionnés de la montagne sacrée… j’ai continué d’enrichir mon intime dialogue avec la Sainte-Victoire, en même temps que j’approfondissais mon approche artistique. »
Crédit : Camille Moirenc
Un ouvrage de très grande qualité labellisé ‘Cézanne 2025’ A noter que cet ouvrage est aussi labellisé ‘Cézanne 2025’ dans le cadre des événements proposés autour de la grande exposition au musée Granet, du 28 juin au 12 octobre, marquant le grand retour du peintre impressionniste dans sa cité natale d’Aix. Par ailleurs, ce livre fabriqué par Caractère imprimeur fait l’objet d’une très grande qualité de confection : couverture rembordée (embossage, marquage en creux, papier de création Neve Imitlin) et papier offset blanc 170g/m2 Amber graphic certifié PEFC 100% pour les pages intérieures. « J’ai fait le choix d’éditer un ouvrage d’une grande qualité aussi bien au niveau de sa présentation -format, papier, impression, graphisme- que son contenu, des années de travail, de patience, d’enthousiasme et d’inspiration », insiste l’artiste qui dédicacera son livre ce samedi 28 juin, de 10h à 13h, à la librairie Le Blason située 2 rue Jacques de la Roque 11 à Aix en Provence.
Camille Moirenc en 4 temps Au-delà de ses très nombreux livres et nombreuses expositions, Camille Moirenc met en avant certains projets qu’ils lui tiennent particulièrement à cœur : • 438, Notre Littoral, exposition à Marseille en 2018, 80 000 personnes découvrent durant les 3 mois d’été, les 438 km du littoral des Bouches-du-Rhône sur le parvis du Mucem. • En 2019, Rhône un livre chez Actes Sud et exposition photo dans la cadre des rencontres photo d’Arles. • Visages du Rhône : exposition photo sur les grilles du Jardin du Luxembourg à Paris, en 2021, Lyon en 2022, Vienne en 2023 et Sion en 2024. 80 photographies qui permettent de descendre le fleuve Rhône de sa source à l’embouchure. • Depuis plus de 10 ans, La Gallery, son espace de 140m2 situé 15 rue Van Loo à Aix, lui permet également de partager son travail. C’est là qu’il présente une nouvelle exposition ‘Sacrée Montagne’ depuis ce mois de juin 2025. Crédit : Camille Moirenc
Espaces verts : Avignon, Aix et Toulon peu accessibles
Musique, opéra, littérature, danse, théâtre, humour, peinture, sculpture, Andréa Ferréol offre tous les arts au public.
« L’art est une affaire de passion, de curiosité » explique la célèbre comédienne présidente d’Aix-en-Oeuvres qui veut mettre l’art à la portée de tous et qui organise cette manifestation culturelle renommée bien au-delà de la Région Sud. Alors qu’Aix-en-Provence rend hommage et célèbre en 2025 son peintre Paul Cézanne, l’aixoise Andréa Ferréol invite gratuitement le public à venir flâner le temps d’un week-end, samedi 21 et dimanche 22 juin dans quatre magnifiques jardins privés du quartier Mazarin investis par des artistes d’horizons différents.
Peinture, sculpture, photographie, dessin, ainsi que de nombreux événements captivants tels que des lectures, des concerts de musique classique, d’opéra, du théâtre seront au programme de cette édition 2025. Une aubaine pour les visiteurs qui tout en se promenant dans la ville aux 100 fontaines, vont pouvoir découvrir de belles œuvres, singulières, intéressantes, rencontrer et échanger avec des artistes.
Quatorze artistes-plasticiens accompagnés de comédiens, musiciens, danseurs et d’humoristes seront présents. Les visiteurs auront l’occasion de se laisser emporter par la magie de l’art, à travers des performances artistiques variées, et des rencontres enrichissantes avec les artistes.
Les créateurs invités à cette 19e édition sont: Patio des Oblats : David David, sculpture – David Mansot, sculpture – Philippe Azema, peinture. Jardin Hôtel d’Espagnet : Wilfrid Bricourt, sculpture – Foued Mokrani, peinture. Jardin Musée Arbaud : Fabrice Magnée, sculpture – Véronique Lecoq, dessin. Jardin Salons d’Olivary :Francesca Piqueras, photo – Marco Mencacci, sculpture – Alain Signori, assemblage ferraille – Rachel Levy, photo – Evgenia Saré, peinture – Rebecca Campeau, sculpture textile – Yannick Mur, bijoux.
Les comédiens, Jacques Pessis, Émilie Reignier, Bruno Raffaelli, Sophie Barjac accompagnée du pianiste Alexis Tcholakian, Philippe Cariou et Pierre Azéma, feront des lectures de lettres d’auteurs célèbres tels que : Cézanne, Zola, Pierre Dac, etc. Michel Fraisset auteur spécialiste de Cézanne rencontrera le public pour partager son expertise sur l’artiste.
L’humour sera présent avec le duo Alex Vizorek et l’accordéoniste Pascal Contet, dans Fou de sport. Clément Fréze mentaliste reconnu, invitera le public à repousser les frontières du cerveau humain. Le jeune public ne sera pas oublié avec Pipoune et Henri, un spectacle clownesque. La musique classique sera à l’honneur et la jeune prodige pianiste Gayané Gharagyozyan, âgée de 14 ans dévoilera son talent. Léa Desandre (mezzo-soprano) et Thomas Dunfort (luth et théorbe) emmèneront les spectateurs à travers trois siècles de chansons d’amour françaises.
Autres moments musicaux Aurélie Lombard et Diego Lubrano (accordéon et guitare) proposeront un voyage musical mêlant des valses virevoltantes, tangos argentins et standards de jazz les plus entraînants. Ameylia Saad Wu (harpe), Nans Bart (piano), Christian Fromentin (violon), accompagneront les visiteurs dans les différents jardins. Enfin, la danse sera présente avec un duo né autour de l’amour de la danse, Laura Deleaz (comédienne à la Bulle Bleue) et Lorenzo Dallaï (chorégraphe et danseur).
JD Réga
Le programme Samedi 21 juin 2025 Patio des Oblats : : 15h45 Gayané, concert piano -17h00 Jacques Pessis : lecture : texte de Pierre Dac -18h30 Laura Deleaz et Lorenzo Dallaï, danse Nans Bart, piano Jardin Hôtel d’Espagnet:-15h00 Michel Fraisset, auteur -17h45 Philippe Cariou et Pierre. Azéma, Lecture Cézanne et Zola -18h45 Alex Vizorek et Pascal Contet spectacle humour et accordéon, Christian Fromentin violon Jardin Musée Arbaud : 15h30 Clément Freze, mentaliste – 16h30 Emilie Reignier, lecture Cézanne à Aix – Aurélie Lombard et Diego Lubrano, accordéon et guitare Jardin Salon d’Olivary : 16h00 Bruno Raffaelli, lecture, Les souffrances du barbouilleur – 17h30 Emilie Reignier, lecture Cézanne à Aix – 18h30 Clément Freze, mentaliste – Ameylia Saad Wu, harpe
Dimanche 22 juin2025 Patio des Oblats : 12h00 Clément Freze, mentaliste – 14h00 Nans Bart, concert piano – 16h30 Sophie Barjac et Alexis Tcholakian, lecture et piano jazz : Monk, la fureur du jazz… et le silence -18h00 Léa Desandre et Thomas Dunfort, Mezzo-soprano et luth Nans Bart, piano Jardin Hôtel d’Espagnet : 11h30 Pipoune et Henri, spectacle pour enfants -15h30 Bruno Raffaelli, lecture -17h00 Émilie Reignier, lecture Cézanne à Aix Jardin Musée Arbaud : 13h00 Emilie Reignier, lecture Cézanne à Aix -15h00 Clément Freze mentaliste – Aurélie Lombard et Diego Lubrano, accordéon et guitare Jardin Salon d’Olivary : 12h00 Le Trio Keynoad, concert – 14h30 Philippe Cariou et Pierre Azéma, lecture Cézanne et Zola 17h30 Clément Freze, mentaliste Ameylia Saad Wu, harpe.
Fabrice Magnée, sculpteur belge né à Huy en 1968 est basé à Namur (Belgique). Après avoir été enseignant, en autodidacte il se forme aux techniques du travail du métal dès 2002. Chose peu courante, ce sont les clous forgés, vieux d’un ou plusieurs siècles qui sont ses matériaux privilégiés. « Les clous ont une histoire. J’aime partager cette dernière, notamment avec les Compagnons du Devoir mais aussi avec le public » explique l’artiste qui grâce à la soudure les assemble et leur redonne vie. Les clous sont déformés par extraction au pied de biche ou à la tenaille. Ils ne sont pas ou peu retravaillés par la suite. De là jaillit l’expression et surgit l’oeuvre. « Chaque clou symbolise un personnage (cinq clous pour un personnage) » Dans ses sculptures beaucoup de vies parallèles. « Les clous deviennent marcheurs, funambules, échasseurs, dans une architecture nouvelle faisant écho à l’ancienne » explique l’artiste qui a exposé à Paris, Strasbourg, Saint-Paul de Vence, et à la galerie MMB à Avignon. Les flâneurs pourront voir ses œuvres et le rencontrer samedi 21 et dimanche 22 juin 2025 au jardin du Musée Arbaud 20 rue Mazarine à Aix-en-Provence.
Wilfrid Bricourt sculpteur fil de fer de Camaret-sur-Aygues dans le Vaucluse. « Gamin à 12/14 ans j’ai commencé avec des bouchons de champagne. Aujourd’hui je redonne vie à des fils de fer torturés trouvés dans la nature. Le fil de fer par sa légèreté et sa malléabilité incarne le dualité de la force et de la fragilité des liens qui nous unissent. Il y a quelques années j’ai aidé les sinistrés de la vallée de la Roya. Il y avait beaucoup de déchets, notamment des fils de fer que j’ai retravaillés ensuite pour leur redonner vie et une image plus positive. De cette matière naissent des sculptures représentant des personnages, animaux, végétaux, qui reviennent dans notre environnement. A travers ce matériau humble mais puissant, j’invite à réfléchir sur notre place dans le monde et sur la matière dont nous façonnons les liens qui nous relient à l’autre et à la nature. Je tend une main à ces fils de fer torturés, ou peut-être ce sont eux qui viennent vers moi, mais ensemble nous filons vers une nouvelle vie » explique l’artiste que le public pourra rencontrer au jardin de l’hôtel d’Espagnet à Aix-en-Provence où il exposera notamment « Icare » une œuvre de 3,50 m d’envergure.
David Mansot, artiste cabaniste depuis 15 ans. Originaire du Beaujolais, il a été architecte d’intérieur à Lyon et ébéniste. « J’ai commencé à faire des forteresses pour mes garçons quand ils avaient 10 et 12 ans. Cela les rendait vraiment heureux » révèle l’artiste qui suspend aux murs des maisons des cabanes à rêver qu’il fabrique avec des matériaux de récupération. « Ma première cabane je l’ai faite en pensant à mon grand-père qui était menuisier et forgeron. Je dessine d’abord puis je fabrique en imaginant la vie des gens à l’intérieur. C’est l’histoire des habitants qui me guide vers l’architecture de la cabane. Les gens les commandent en me racontant la vie de la personne à qui elle est destinée » indique David Mansot qui réalise une architecture merveilleuse de lieux réels ou fantastiques. Les objets qui composent les œuvres sont eux-mêmes des débuts de témoignage d’existence passée, d’usage et de gaspillage souvent. Ils serviront à dire plus encore qu’il faut prendre soin de notre monde. Les cabanes de David Mansot sont comme de projets magiques ou des madeleines de Proust. Et elles touchent. A noter qu’à l’occasion de ces 19èmes Flânerie David Mansot exposera ses œuvres au Patio des Oblats 54 Cours Mirabeau.
Yannick Mur, artiste designer (bijoux contemporains) depuis 25 ans. Ancienne danseuse (classique et contemporain). « J’ai fondé ma marque YM Parures d’ailleurs en 1998. Depuis j’ai créé de nombreuses collections de bijoux contemporains, de la pièce unique à la grande série, diffusées en France et à l’international notamment au Musée des arts décoratifs à Paris, au Musée d’art contemporain de Chicago, chez Takashimaya, à Osaka… Cette expérience me permet de maîtriser l’ensemble des étapes nécessaires au développement d’une collection et d’en avoir une vision globale. J’élargis aussi mon activité en proposant diverses missions de collaboration dans le cadre de la création, du conseil et de la formation » déclare l’ancienne danseuse basée aujourd’hui à Aix-en-Provence » indique Yannick qui a mis au point une technique de broderie compressée de fil d’or 18 carats ou d’argent tissant des volumes laissant filtrer la lumière. Avant les Flâneries 2025 à Aix-en-Provence Yannick Mur aura présenté du 21 au 25 mai 2025 au Grand Palais à Paris dans le cadre de la Biennale internationale des métiers d’art et de la création sa dernière collection : « Phénix » ainsi qu’une sélection de pièces uniques que le public des Flâneries pourra découvrir. « Il y aura aussi une collection qui associe ivoire végétal, or et argent et particulièrement un concept de bagues modulables, ce qui permet de réaliser sa bague de façons personnelle pour un budget raisonnable. Dans la collection origine le bijou est pensé comme une sculpture. Quand on ne le porte pas il devient sculpture » précise l’artiste qui sera au Jardin Salon d’Olivary, 10 rue du 4 septembre à Aix-en-Provence.
Francesca Piqueras photographe italo-péruvienne travaille la photographie comme un peintre analyse avec justesse le galeriste Cyril Guernieri de la rue Visconti à Paris. Francesca fait partie d’une famille d’artistes. Au coeur de cet univers elle a grandi en observatrice attentive, s’intéressant au monde fascinant des minéraux et des éléments fondamentaux. Sa série de pierre et de sable réalisée en 2022 au Pérou, nous transporte dans un univers minéral aux mille couleurs, qui ferait presque oublier l’existence de la vie humaine. Témoin de son époque Francesca expose depuis 2007 à Paris, en noir et blanc, avec des séries centrées sur l’univers urbain. Elle passe à la couleur en 2009 et affirme une vision métaphysique de l’archéologie industrielle contemporaine. Elle développe ainsi huit séries sur les architectures marines à l’abandon qui confrontent la fragilité des œuvres humaines à la force des éléments : épaves de cargos rongés par la rouille, fortifications militaires rongées par l’océan, plateformes pétrolières en déshérence. Glacier au Pérou, montagne, dunes, désert : ses photographies explorent ces existences parallèles à l’activité humaine. « Je sous expose mes photos pour aller dans le clair obscur pour créer quelque chose de très rythmique » révèle l’artiste qui a représenté la France à la première Photomenta au musée Eretz Israël de Tel Aviv qui expose à ce titre plus de vingt tirages en grand format de Francesca Piqueras. Lors des Flâneries 2025 elle exposera au Jardin Salon d’Olivary, 10 rue du 4 septembre.
Véronique Lecoq est diplômée de l’école d’architecture intérieure CREAD à Lyon. Aujourd’hui artiste auteure (dessin depuis 1999) elle est installée à Aix-en-Provence. Elle vit comme elle travaille en fonction de sa sensibilité. Son œuvre reflète un sens profond de l’harmonie, alliant des éléments abstraits avec une approche équilibrée. « C’est le trait qui fait ma signature. Il doit à lui seul créer l’émotion » explique Véronique qui est en recherche d’équilibre et d’harmonie pour apporter plus de douceur à ses tableaux. « Le trait c’est ma poésie et ma muse c’est l’amour sous toutes ses formes. L’amour pour la vie, pour soi, pour les autres et l’énergie qu’on peut créer entre chacun. Je prends un réel plaisir à travailler pour partager mes valeurs d’un trait simple, avec des petites histoires en noir et blanc. Dans un équilibre entre le plein et le vide. La douceur m’accompagne, réceptive à la mélodie de la vie ainsi qu’à ses mystères. Je partage le symbole de la légèreté et de la fantaisie par un style minimaliste où seul le trait éveille l’émotion » précise l’artiste dont la vison artistique est largement reconnue. Les flâneurs pourront voir ses œuvres au Jardin du Musée Arbaud 20 rue Mazarine à Aix-en-Provence.
Espaces verts : Avignon, Aix et Toulon peu accessibles
C’est le rendez-vous attendu à Aix en Provence. La manifestation qui déplace la foule, les artistes et les œuvres. Présidente de l’association Aix-en-oeuvre qu’elle a créé en 2002, la comédienne Andréa Ferréol organise et propose depuis plus de vingt ans avec son équipe de bénévoles cet évènement gratuit placé sous le parrainage du Ministère de la Culture et de la Communication.
Le samedi 15 et le dimanche 16 juin, le public tout en se promenant dans la magnifique Cité du Roi René va pouvoir rencontrer des artistes de talent et découvrir leur travail dans de beaux écrins au coeur de la ville dans trois jardins privés du quartier Sextius (jardins Mérindol, des Étuves, des Guerriers) spécialement et gracieusement ouverts au public pour cette 18ème édition. Une aubaine pour les visiteurs. Le temps d’un week-end ils pourront rencontrer et échanger avec douze créateurs qui exposeront quelques unes de leurs œuvres. Comme de coutume ils seront accompagnés d’auteurs, de comédiens et de musiciens, dont certains artistes de renommée internationale. Arts plastiques, peinture, sculpture, design, dessins, mais aussi concerts de musiques classique, opéra, danse avec Jack Rexhausen et Ayla Pidoux (Preljocaj Junior), et lectures captivantes sont à l’affiche de cette édition 2024.
Seront présents des personnalités comme la soprano Nathalie Dessay, le Frère Pablo, l’auteur Boris Cyruinik ou encore la comédienne Julie Depardieu qui viendra faire une lecture de lettres de Magda Goebbels avec le comédien Stéphan Druet (Bunker : le terrible destin de Magda Goebbels). A noter aussi, c’est une première aux Flâneries la présence d’un humoriste de talent, Pierre Aucaigne. Il sera présent dimanche 16 juin.
L’ouverture de cette manifestation culturelle est fixée au vendredi 14 juin au jardin des Étuves en entrée libre. A 18h15 l’actrice Emilie Reignier dira des poèmes de Prévert accompagnée à la clarinette de Michel Lethiec. A 19h00 place au théâtre mis en scène par Vincent Messager avec une lecture spectacle. Sur les planches Andréa Ferréol, Frédérique Tirmont et Erwin Zirmi dans une pièce qui met en présence la marquise de Maintenon et la marquise de Montespan, deux maîtresses de Louis XIV qui règlent leurs comptes.
Une pièce que chacun souhaite voir jouer au Festival d’Avignon 2025, avec le même succès qu’Andréa Ferréol et Vincent Messager avaient obtenu dans le Off 2022 avec « La priapée des écrevisses »
« Cette 18ème édition laisse une grande place à la jeunesse avec de nombreux jeunes talents plasticiens, et musiciens » annonce Andréa Ferréol qui cite Balzac « Flâner est une science, c’est la gastronomie de l’oeil ». « Alors bon appétit » conclut-elle !
Jean-Dominique Réga
Le programme samedi 15 juin 1 Jardin Mérindol, 12 rue Mérindol -15h30 Yoyo Maeght, auteur -17h30 Émilie Reignier, Les liaisons dangereuses -19h00 Philippe Carriou, correspondance de Groucho Marx 2 Jardin des Étuves, rue des Étuves 15h00 Duo Arborescence, violon-piano 17h10 Mathis Cathignol, piano 18h45 Boris Cyrulnik, auteur. 3 Jardin des Guerriers, rue des Guerriers 14h00 Philippe Cariou, correspondance de Groucho Marx 16h00 Julie Depardieu avec Stéphane Druet, lettres de Magda Goebbels 18h00 Prejlocaj juniot, danse 19h30 Émilie Reignier, Les liaisons dangereuses. Le programme dimanche 16 juin 1 Jardin Mérindol 12h00 Trio Keynoad, concert Reflets du Cédre 14h00 Émilie Reignier avec Jacque Patron, lettres Edith Piaf et Marcel Cerdan 16h00 Frère Pablo, guitare-chant 17h45 Philippe Cario, correspondance de Groucho Marx 2 Jardin des Étuves 15h00 Michel Lethiec, clarinette avec le Quatuor Girard, violons 17h10 Pierre Aucaigne, humour 18h15 Nathalie Dessay, chant avec Philippe Cassard, piano 3 Jardin des Guerriers 12h00 Frère Pablo, guitare-chant 13h00 Philippe Cariou, correspondance de Groucho Marx 17h30 Émilie Reignier avec Jacques Patron, lettres Edith Piaf et Marcel Cerdan.
Marie-Laure Manceaux, croquis-minute Marie-Laure Manceaux dessinatrice et peintre qui travaille principalement à Paris, sera aux Flâneries d’art pour faire ses magnifiques croquis-minutes, genre croquis mode. Incroyable artiste, elle sait capter l’essentiel dans l’urgence en moins de cinq minutes. Elle dessine depuis sa tendre enfance. Après l’école supérieure des arts appliqués Duperré à Paris, elle a travaillé dans la mode et le luxe et a été illustratrice dans les métiers de la communication et de l’évènementiel. Dans le jardin des Étuves à Aix-en-Provence elle croquera en live et en toute décontraction les flâneurs volontaires. Sans tomber dans la caricature elle porte toujours un œil bienveillant sur son modèle qui repart avec son portrait.
Milox, peinture Milo Berthet, Milox de son nom d’artiste lorsqu’il peint est le plus jeune créateur (17 ans) invité par Andréa Ferréol aux Flâneries d’Art. Il sera au jardin des Étuves. « J’ai la chance d’être entouré d’artistes depuis mon plus jeune âge, ce qui m’a formé à une vision. Mes parents me soutiennent dans mes choix. Ils ne m’ont jamais freiné. Peindre me rend heureux » explique Milox qui vit avec ses parents à Lourmarin. Il est lycéen (option arts plastiques) à Pertuis. A la recherche de couleurs, matières techniques et formes singulières, il travaille assidûment à la création de son identité artistique. « A travers mes peintures je veux transmettre un sentiment de chaleur, de tendresse par un dégradé de couleurs et des formes arrondies. Dans mes créations, il n’y a pas d’angle, pas de ligne droite qui selon moi représentent des barrières, des restrictions. A travers mes multitudes de formes je veux donner un sentiment d’infini. Je travaille aussi la lumière avec des effets de transparence. J’aime m’exprimer la nuit, là c’est la lumière qui me guide » explique Milox le jeune homme qui prépare son bac. « Mon rêve c’est de pouvoir rentrer aux Beaux Arts à Paris. Puis voyager, découvrir le monde, faire mes humanités ».
Nurcan Giz, peinture Nurcan Giz née en 1952 à Istanbul est une artiste turque qui a d’abord étudié la psychologie en Turquie avant d’aller en Suisse étudier l’art à l’école des Arts Décoratifs de Genève. Elle explore la profondeur de la mémoire , comme pour faire remonter à la surface des souvenirs et sentiments. Dans une démarche qui relève de l’introspection elle révèle un monde intérieur profondément enfui. « Quand je peins je m’enfuie d’un monde extérieur pour aller dans mon intérieur. Comme tous les artistes je trouve la créativité dans mon monde intérieur. Je cherche la dynamique entre noir, blanc et gris, c’est la base et je rajoute une couleur bleue ou ocre » indique l’artiste qui fait une peinture abstraite à l’acrylique.
Sascha Nordmeyer, plasticien, peintre, artiste visuel Sascha Nordmeyer, 46 ans est un artiste franco-allemand basé à Reims qui a vécu en Allemagne vingt ans avant de s’installer en France. D’abord designer, il se fait connaître grâce au projet Communication Prosthesis qui a été exposé au MOMA de New York en 2011. Associant la technologie issue du design et le geste de la main, il crée des installations aériennes et transparentes en papier et métal qui invitent le spectateur à s’immerger et développer un rapport intime à l’oeuvre. « C’est la rencontre entre la maîtrise et le hasard. J’utilise les outils de designer pour développer un travail de plasticien » précise Sascha. « Et bientôt je vais réaliser ma première œuvre monumentale en acier devant le CHU de Reims pour rendre hommage aux donneurs d’organes ou de tissus. Une œuvre pérenne de cinq mètres sur six, composée de trois voiles totem en acier ».
Sylvie Dubois, céramique Céramiste basée à Puyloubier village des Bouches-du-Rhône le plus près de la Sainte-Victoire, l’artiste qui a été médecin révèle que la poterie est une des joies de sa vie. « J’ai commencé il y a trente ans chez Caroline Chevalier qui m’a tout appris tout en me laissant une grande liberté dans ma pratique. Je n’aime pas vraiment utiliser le tour. Aux objets lisses je préfère ceux qui sont un peu biscornus. En fait je recherche l’accident qu’il sera impossible à reproduire. Je suis en quête de l’inattendu. C’est vrai avec la poterie et l’émail. Mes créations pour moi sont souvent utilitaires. J’aime les voir et les utiliser » confesse l’artiste qui aime la relation de la main, l’outil, le terre et l’esprit.
Personnalités de la musique, de la danse, de l’opéra, du théâtre, de la littérature.
Boris Cyrulnik, neuropsychiatre, auteur de nombreux ouvrages revient dans son nouveau livre sur ses thèmes de prédilection : l’enfance, l’importance cruciale de l’attachement à des figures aimantes et sécurisantes, la nécessité aussi de s’en émanciper pour construire son autonomie. Samedi 15 juin 18h45 jardin des Étuves.
Stefan DruetBoris CyrulnikJulie Depardieu
Les comédiens Julie Depardieu et Stéphan Druet feront une lecture de la pièce de Christian Siméon Bunker : le terrible destin de Magda Goebbels. Samedi 15 juin à 16h jardin des Guerriers. Nathalie Dessay cantatrice soprano sera accompagnée du pianiste Philippe Cassard, dimanche 16 juin à 18h15 au jardin des Étuves. Le quatuor Girard (quatres frères et soeurs originaires d’Avignon) invité de salles et festivals prestigieux en France, est également demandé à l’étranger. La formation sera présente dimanche 16 juin à 15h au jardin des Étuves. Le Frère Pablo pour qui la musique est une histoire de famille et la voix un don de Dieu donnera un récital chant guitare dimanche 16 juin à 16h au Jardin Mérindol. Jack Rexhausen chrégraphe danseur et Ayla Pidoux danseuse, du Ballet Preljocaj Junior vont seront samedi 15 juin à 18h au jardin des Guerriers.
Le quatuor Girard.
Espaces verts : Avignon, Aix et Toulon peu accessibles
Sa recette est ancestrale, son goût unique et sa renommée internationale, Mesdames et Messieurs, j’ai nommé : le Calisson d’Aix, un des fleurons de la Provence ! Mais au pays du calisson tout n’est pas jaune / blanc. Les producteurs sont inquiets. Des copies pourraient voir le jour et crime de lèse-cuisinier, ces douceurs de contrebande pourraient prendre la même dénomination que les vrais. Et comble du comble, la menace vient de Chine. L’affaire est sérieuse.
En 2016, des usurpateurs alléchés par l’odeur du lucre déposent la marque Calisson d’Aix sur le territoire chinois. Leur projet était de produire sur place le délicieux lingot et de vendre sous cette marque « so frenchy ». Vous gênez pas les gars ! Il n’en fallut pas moins pour mobiliser comme un seul homme tous nos calissoniers provençaux. Moult avocats furent diligentés et après une bataille juridique de presque une décennie, nos provençaux réussirent à protéger leur marque. Ouf. Maintenant un autre combat s’engage celui d’obtenir le fameux IGP (Indication Géographique Protégée). Pour faire en sorte qu’on ne puisse pas en fabriquer ailleurs qu’en Provence et selon un cahier des charges « aux petits oignons ».
Demander aux melonniers de Cavaillon depuis combien de temps attentent-ils leur IGP ?
Mais à la vitesse où les dossiers sont instruits à la fois à Paris et ensuite à Bruxelles, il va falloir être patient. Très patient. Demander aux melonniers de Cavaillon depuis combien de temps attentent-ils leur IGP ? Certains commencent à désespérer surtout qu’on leur promet toujours des dates qui ne sont jamais tenues. A l’heure du numérique et du toujours plus vite, il semble bien que de ce côté-là on en soit encore au fax et à la machine à ronéotyper (pour ceux qui ne connaissaient pas il s’agit de l’ancêtre de l’imprimante).
Ne reste plus qu’à souhaiter bon courage à nos amis calissoniers
Face à ces forteresses administratives imprenables certains se posent fort légitiment la question de la pertinence de ces appellations et labellisations en tous genres. Le jeu en vaut-il la chandelle ? Ainsi, de nombreux viticulteurs délaissent aujourd’hui les appellations d’origine contrôlé pour faire leur vin libre de toutes contraintes, ou presque. Mais ce qui pourrait être vrai pour le vin ne l’est pas forcément pour le calisson. C’est sûr. Alors ne reste plus qu’à souhaiter bon courage à nos amis calissoniers, en attendant d’obtenir leur IGP ils pourront toujours indiquer qu’ils utilisent dans leur recette du melon de Cavaillon, qui dispose lui de son IGP. Enfin bientôt… Mais c’est promis le premier arrivé préviens l’autre !
Espaces verts : Avignon, Aix et Toulon peu accessibles
Alors que le groupe Europe Linge Service (ELIS) a fait appel à GSE pour construire sa nouvelle blanchisserie industrielle à Rousset, près d’Aix-en-Provence, le groupe spécialisé dans l’immobilier d’entreprise continue son développement à l’international.
Installée dans une zone industrielle en plein développement, à proximité de l’A8, et desservant l’ensemble de la métropole marseillaise, la blanchisserie industrielle commandée par ELIS s’étendra sur 11 000 m2, dont 900 m2 de bureaux. Elle sera équipée de panneaux photovoltaïques en ombrières sur parking, pour une surface globale de 2 645 m2 et une production estimée à 610 MWh par an.
« Ce projet de Rousset est la 6ème réalisation de GSE pour ELIS depuis 2017, après les usines de Toulouse, Aix-les-Bains, Clisson et Saint-Geours-de-Maremne en France et de Barcelone en Espagne, explique Lionel Legouhy, directeur développement chez GSE. Il constitue une marque de confiance forte de la part d’ELIS dans la capacité d’accompagnement de GSE pour ce type de projets industriels complexes et avec de forts enjeux en termes de rapidité de construction ».
La livraison du bâtiment est prévue pour janvier 2024.
En Italie, GSE lance la construction d’un nouveau bâtiment logistique
La construction de ce nouvel ensemble industriel, sur un terrain de 140 000 m2, a été confiée à GSE Italie par P3 Logistic Parks. Le projet comprend la construction d’un entrepôt logistique de 38 000 m2, ainsi que divers travaux de réaménagement urbain. Le bâtiment, qui reposera sur des plots isolés, bénéficiera d’une structure en béton armé préfabriquée, avec un revêtement de sol industriel et des façades en panneaux sandwich soutenus par une ossature métallique.
En ce qui concerne la toiture, c’est un système semi-plat de type Bac-Acier, introduit en Italie par GSE dans les années 90 et aujourd’hui devenu la norme du marché en raison de ses caractéristiques d’isolation thermique et d’étanchéité à l’air, qui sera utilisé. La toiture accueillera également des panneaux photovoltaïques, d’une puissance d’environ 2 200 kW. Le bâtiment vise à obtenir la certification de durabilité BREEAM de niveau Excellent.
Le projet comprend également la réalisation de plusieurs aménagements urbains : environ 200 mètres de route seront refaits, avec une révision de la circulation, ainsi que la construction de deux nouveaux ponts routiers. GSE Italie a prévu que le complexe soutienne le développement des mobilités douces en créant un nouvel arrêt de bus et une nouvelle tranche de piste cyclable de 1,1 km, équipée de deux passerelles piétonnes.
« L’attribution de ce premier contrat par P3 en Italie est une immense fierté pour l’ensemble des équipes de GSE Italie, déclare Charlène Castellano, directrice du développement des affaires de GSE Italia. Elle souligne nos valeurs fondamentales telles que la capacité d’écoute, l’anticipation des enjeux et la recherche de la meilleure performance pour atteindre la satisfaction de notre client et des futurs occupants des bâtiments ». L’achèvement des travaux est prévu pour décembre 2023.
GSE poursuit son développement en Espagne
Présent en Espagne depuis 1998, GSE vient de livrer à Merlin Properties, société espagnole d’investissement immobilier, sa nouvelle plateforme logistique dans le parc industriel « Cabanillas Park ! ». D’une superficie globale de 44 637 m2 et d’une hauteur libre de stockage de 11 mètres, ce nouvel entrepôt, situé entre Madrid et Guadalajara, dispose de 67 quais de chargement, ainsi que d’espaces de bureaux sur trois étages de 332 m2 chacun.
Selon Ramón Lázaro, directeur commercial de GSE Espagne : « Toutes les équipes de GSE Espagne sont fières, grâce à leur travail en étroite collaboration avec le client, de livrer à Merlin Properties un actif logistique bénéficiant de conditions idéales pour permettre aux clients finaux d’exercer leur activité dans un environnement optimal ».
L’entreprise vient également de lancer à Masquefa, dans la province de Barcelone en Catalogne, le chantier de G-Park Masquefa, 4ème investissement de GLP, fournisseur mondial de logistique immobilière, dans la région. Ce nouvel ensemble, bâti sur un terrain de 55 452 m2, abritera une plateforme logistique d’une superficie locative brute de 28 828 m2. Le projet disposera de 37 quais de chargement et d’une hauteur de stockage de 12,2 mètres.
Située à un peu plus d’une demi-heure de l’aéroport international Barcelone-El Prat et à 40 kilomètres de la capitale catalane, la plateforme logistique bénéficie d’un emplacement idéal pour la distribution locale et nationale à partir de Barcelone. Visant la certification BREEAM Excellent, le parc disposera d’une installation de panneaux photovoltaïques ainsi que des chargeurs de vélos et de véhicules électriques.
« Ces deux nouveaux projets témoignent du dynamisme de notre activité en Espagne et de la forte implantation de GSE sur le marché ibérique », souligne Ramón Lazaro. « Le marché de l’immobilier logistique est particulièrement dynamique en Espagne avec une forte croissance ces dernières années, poussée par une demande importante en partie portée par le développement e-commerce ».
GSE mise sur le béton décarboné
Alors que la construction compte parmi les secteurs les plus polluants, le secteur réalisant 23% des émissions de gaz à effet de serre chaque année en France et 38% à l’échelle mondiale, le Groupe GSE a décidé de recourir au béton bas carbone sur l’ensemble des dallages de ses nouveaux projets dès la fin de l’été 2023.
« L’idéal, et nous en sommes conscients, serait de pouvoir se passer totalement du béton, qui reste l’un des matériaux les plus carbonés, dans nos constructions, et le remplacer par d’autres matériaux, comme le bois, analyse Marc Esposito, directeur du Lab GSE. Le fait est que nous ne pouvons pas éliminer complétement l’utilisation du béton dans les chantiers de bâtiments industriels, car cela compromettrait la solidité et la fonctionnalité des structures. Cependant, nous avons la responsabilité de travailler activement à décarboner autant que possible le béton utilisé, afin de minimiser son impact environnemental ».
Le béton représente entre 20 et 25% des matériaux d’un bâtiment, alors qu’il reste très polluant à cause des émissions de CO2 issues du ciment et de ses dérivés. Le béton bas carbone, quant à lui, permet de remplacer le produit le plus carboné du ciment, le clinker, par un matériau tiré de l’économie circulaire à partir du recyclage d’anciens déchets.
Ses caractéristiques techniques s’adaptent aux contraintes des dallages des bâtiments logistiques (dallages industriels et les dallages sans joints) et il ne se dégrade pas dans le temps, bénéficiant de la même qualité que le béton classique. Il affiche moins de 180 kg de CO2 émis par mètre cube, alors que le béton classique peut en créer jusqu’à 280 kg au mètre cube.
Ses multiples avantages permettent de réduire jusqu’à 10% l’empreinte carbone globale du bâtiment. Des résultats encourageants, même si GSE ne compte pas s’arrêter là et espère aller plus loin en développant de nouveaux outils et en utilisant de nouveaux matériaux permettant une décarbonation encore plus importante. Le Groupe a notamment lancé de nouvelles expérimentations sur la construction sans béton, avec de nouveaux matériaux biosourcés.
Espaces verts : Avignon, Aix et Toulon peu accessibles
« Dix-sept ans de plaisir, de joie, de partage et de découvertes » analyse la comédienne Andréa Ferréol présidente de l’association Aix-en-oeuvres qui a lancé cette manifestation culturelle gratuite devenue un rendez-vous incontournable.
Une aubaine pour le public qui tout en se promenant va pouvoir rencontrer et échanger avec des artistes dont certains de renommée internationale, et découvrir leur travail dans quelques uns des plus beaux endroits de la cité du Roi René. Une des spécificités de l’évènement est aussi de permettre au public de pouvoir découvrir des lieux privés habituellement fermés. Deux seront ouverts pour la première fois. Cette année c’est un retour dans le célèbre quartier Mazarin à proximité du Cours Mirabeau, un lieu caractérisé par ses nombreux hôtels particuliers du XVII ème siècle et ses fontaines ornées.
Marie Piselli artiste plasticienne française confirmée vit et travaille à Paris où elle a exposé au centre Pompidou, au Grand Palais, à l’Espace Vendôme. Elle expose aussi à l’international comme dernièrement à la Fondation Palmieri à Lecce en Italie, à Mexico-City ou au centre culturel la Cupala de Mérida au Mexique, à Rome, Berlin où armée d’une énergie débordante et d’une émotion créative et artistique, elle a préparé en résidence quelques unes de ses performances et installations. Elle travaille à imaginer demain. Qualifié d’expressionnisme transcendantal son travaille utilise les humains comme des pinceaux. Son œuvre s’inscrit dans la contemporanéité. Son art fait appel à tous nos sens et nous entraîne vers le futur. « Ma base c’est la peinture, sinon je fais de la photo, vidéo, sculpture… On est là pour laisser une photo de notre époque. Je suis très positive, dans une idée de renouveau, d’espoir. Il faut regarder autour de soi pour se dire qu’on a de la chance, et dire oui à la vie » explique l’artiste qui sera présente avec son installation au Jardin Salons d’Olivary, 10 rue du 4 Septembre.
Le temps d’un week-end, les 17 et 18 juin quinze artistes-plasticiens accompagnés d’auteurs, comédiens, chanteurs, musiciens, danseurs, exposeront leurs œuvres, belles, singulières, étonnantes. Seront présents entre-autres Marie Piselli (plasticienne) Karen Farkas (peinture sculpture) Vincent Breton (photographie), Luisa Rampon (sculpture), Magali Fleurquin-Bonnard créatrice de Rose et Marius, le Studio Ely (photographie) véritable témoin du quotidien de la vie d’Aix-en-Provence depuis 1889, ou encore l’avignonnaise Véronique Dominici avec son cabinet de curiosité. Un mélange de tous les arts à la portée de tous. Une occasion d’associer dessin, bande dessinée, peinture, sculpture, céramique, bijoux, parfums, arts plastiques, photographie, lecture, musique, danse dans un programme riche et éclectique.
« Le port de tête raconte » affirme Luisa Rampon sculptrice française basée à Mirmande dans la Drôme. Ses œuvres questionnent la figure humaine. « Fascinée par le merveilleux de l’Homme, effrayée par ses audaces destructrices, je n’ai cessé d’essayer de comprendre cette dualité. Espérant une réponse à mes questionnements, j’ai passé deux ans aux Beaux-Arts de Valence, puis j’ai quitté la France pour Haïti où j’ai découvert un merveilleux pays aux profondes cicatrices, les danses profanes, sacrées et la culture animiste. Le Ballet National de Port-au-Prince, en 1988 m’a accueillie comme danseuse interprète. De cette riche expérience, j’ai rapporté le désir de chercher le contact avec les éléments, la nature et bien sûr le rythme. Mes pièces sont un mélange du monde du vivant, minéral, végétal, animal et humain » explique l’artiste qui se débarrasse des superflus de l’apparence et ne fait pas de sculpture sans dessins. Luisa Rampon sera au Patio des Oblats, 54 Cours Mirabeau.
Les comédien-ne-s Laurence Boccolini, Philippe Cariou, Antoine Coesens, Cerise Guy feront des lectures de lettres de grands écrivains et compositeurs (Erik Satie, Karl Marx, Pauline Carton, Marcel Pagnol). Les auteur-rice-s Christophe Girard (homme politique), Lola Sémonin (Madeleine Proust) Denis Coutagne (historien d’art), Alain Gachet (physicien), Marcel Paul (bédéiste), Marc Levy présenteront leurs ouvrages.
Le jazz sera mis à l’honneur avec Thomas Leleu et Guillaume Vincent, comme la musique classique avec notamment la soprano lyrique Mélody Louledjian, Lina Ferencz et Frédéric Isoletta. Le public pourra apprécier Le Trio Keynoad avec sa musique du monde, le récital du Père Pablo, le concert de la chanteuse Ewunia et Yves Dupuis, Mathieu Pirro pianiste chanteur, Christian Fromentin (violon), Nans Bart (piano). Le G.U.ID (Groupe urbain d’intervention) dansera des extraits du répertoire du chorégraphe Angelon Preljocaj. Et pour la première fois les flâneries accueilleront Clément Freze, mentaliste qui invitera les flâneurs à repousser les frontières du cerveau humain.
Karen Farkas (peinture sculpture) vit et travaille à Paris où elle a été repérée à la galerie Baudoin Lebon par Andréa Ferréol qui a eu un coup de coeur pour ses œuvres. Passionnée par l’art, elle suit d’abord une formation d’architecte avant de se consacrer pleinement à la peinture. Dans ses premières œuvres la référence à la figure ou au paysage est évidente, puis peu à peu elle transcende le motif pour développer une peinture plus instinctive. En 2022 pour célébrer l’année internationale du Verre, elle se met au défi d’explorer la troisième dimension avec ce matériau et réalise une série de sculptures avec les artisans verriers du centre européen de recherches et de formation des arts verriers. « J’ai travaillé avec deux souffleurs. Le verre c’est pour moi une forme innovante et une autre façon de décliner la lumière » explique l’artiste qui pendant les flâneries sera présente dans le Jardin Salons d’Olivary, 10 rue du 4 septembre.
Ouverture vendredi 16 juin à 20h30 en l’église Saint-Jean de Malte avec un concert lyrique réunissant Emy Gazeilles (soprano) Diego Godoy (ténor) et Antoine Palloc (piano). Un émerveillement différent chaque année !
Vincent Breton pratique une photographie très intuitive a été invité dans de nombreuses expositions nationales et internationales et nombre de ses tirages ont rejoint des collections publiques. « Les sujets de mes photographies sont souvent de simples objets auxquels on ne prête que peu d’attention et de valeur. Choses petites, humbles et précaires qui, par leur contemplation, nous permettent d’accéder à une réalité supérieure et plus profonde. Je ne cherche ni à saisir l’essence des choses, ni à les représenter dans leur totalité mais plutôt à entrer au cœur d’elles-mêmes de telle manière qu’elles nous livrent une part de leur mémoire, nous ouvrent les portes d’autres univers. Je pars d’une intuition, d’une sensation, de l’émotion poétique suscitée par un détail précis. Je travaille par thèmes, soldats de plomb, vieux journaux, bouts de ficelles, caractères d’imprimerie, outils, vieux registres notariaux, etc. Les objets choisis portent les traces du passage du temps, de son vertige, mais aussi l’empreinte et les marques laissées par les hommes qui les ont utilisés. Ils sont porteurs de signes qui semblent vouloir faire sens, fragments de mémoire contre l’oubli » dévoile Vincent Breton qui exposera au Jardin Salons d’Olivary à proximité de la place des Quatre Dauphins.
Ici à côté d’Andréa Ferréol, Guillaume Siard chorégraphe du Groupe Urbain d’Intervention Dansée (GUID) travaille avec le Ballet Preljocaj-Pavillon Noir, centre chorégraphique national. Le Guid créé en 1998 mène la danse dans des lieux inattendus en présentant des extraits du répertoire d’Angelin Preljocaj qu’il accompagne parfois sur des tournées en France ou à l’étranger. Les danseurs spécialement choisis pour ce projet portent non seulement les œuvres du grand chorégraphe mais aussi sa volonté de proximité avec le public. Dans le cadre des Flâneries d’Art 2023, les artistes du Ballet offriront la danse aux flâneurs du Jardin, Chambre des Notaires, 8 boulevard du Roi René à 18h15. A l’issue de la représentation ils se prêteront au jeu des questions-réponses.
Espaces verts : Avignon, Aix et Toulon peu accessibles
L’info vient tout droit de SeLoger et de Meilleurs agents, portails d’estimation de l’immobilier en ligne. Ce qui a dernièrement frémit sur les lignes de codes ? L’appétence des Marseillais –qui quittent la cité phocéenne- pour les quartiers très chics D’Allauch et Aubagne ; Aix-en-Provence et même le Var, le Vaucluse et les Alpes-Maritimes. Les recherches s’orientent également très fortement sur le Gard. On vous dit tout.
D’habitude, pour plier bagage, 60% des français privilégiaient une ville de leur département, le saut de puce représentant un changement sans faire la révolution. Alors, quand on était Marseillais, on se faisait un saut de puce direction Allauch, Aubagne, Aix-en-Provence. Mais maintenant, voici que les marseillais s’aventurent plus loin : Aix-en-Provence, le Var, le Vaucluse, les Alpes Maritimes et même le Gard !
DR Marseille
Dans le détail
Côté prix ? Pour Aix-en-Provence on prévoit 5 886€ du m2 pour une maison et 5 179€ pour un appartement. Des tarifs en progression de 8,3% en deux ans entre 2020 et 2022 dans le collectif. A Aubagne ? Il faut compter entre 4 246€ du m2 pour une maison net 3 331€ pour un appartement tandis qu’à Allauch le m2 pour une maison s’estime à 4 597€ du m2 et 3 783€ le m2 en appartement.
Et puis cap sur le Var, le Vaucluse et les Alpes-Maritimes Ces derniers temps, un tiers des recherches se concentre aussi sur le Var, direction Toulon, Hyères et Saint-Maximin-la-Sainte-Baume. Alors que dans le département, le prix des maisons se fixe à 4 681€ du m² (+ 17,2 % depuis la crise sanitaire) et celui des appartements à 3 876€ du m² (+ 10,5 % mars 2020-mars 2022), à Toulon, ils sont sensiblement en dessous de ces niveaux.
À Toulon, les maisons trouvent preneur pour 3 969€ du m² et les appartements pour 3 003€ du m². À Hyères, le prix des maisons au m² grimpe à 5 104€ et celui des appartements à 4 160€. Enfin, les tarifs sont moins élevés à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume : 3 571€ du m² pour un logement individuel et 2 953€ dans le collectif.
DR Toulon
Le Vaucluse Pertuis et L’Isle-sur-la-Sorgue sont sur le podium des villes les plus prisées des Bucco-Rhodaniens dans le Vaucluse (3 059€ du m² en moyenne pour une maison et 2 148€ du m² pour un appartement).
À Avignon, il faut compter 2 705 € du m² pour une maison et 2 270 € du m² pour un appartement.
DR Avignon
À Pertuis, les candidats à l’accession trouveront leur bonheur pour 3 679 € du m² pour une maison et 2 779 € du m² pour un appartement. Ceux qui privilégient l’Isle-sur-la-Sorgue doivent s’attendre à des tarifs un peu plus élevés (3 558 € du m² pour une maison et 3 005 € du m² pour un appartement).
Les Alpes-Maritimes «Les Bucco-Rhodaniens qui optent pour les Alpes-Maritimes (5 322 € du m² en moyenne pour une maison et 4 827 € du m² pour un appartement) jettent le plus souvent leur dévolu sur Nice, Cannes et Antibes. Notons d’ailleurs que la part des recherches des Bucco-Rhodaniens dans ce département a bondi de 45 % depuis la crise sanitaire » remarque Thomas Lefebvre, Vice-président Data & Science, Groupe SeLoger et Meilleurs Agents.
Nice aussi Le marché immobilier de Nice, qui concentre près du tiers des recherches des Bucco-Rhodaniens dans les Alpes Maritimes, se compose d’appartements qui s’échangent aux environs de 4 838 € du m² et de maisons qui trouvent preneurs pour 5 560 € du m².
DR Nice
A Cannes À Cannes, il faut compter sur 5 407 € du m² pour un appartement et 6 612€ du m² pour une maison.
Enfin, à Antibes, les candidats à l’accession d’un appartement trouveront leur nouveau nid pour 5 241 € du m² et 6 778 € du m² pour une maison.
Forte progression des recherches dans le Gard
Autre département qui suscite de plus en plus l’intérêt des habitants des Bouches-du-Rhône :
Le Gard La part des recherches des habitants des Bouches-du-Rhône dans le Gard y a progressé de 44 % depuis la crise sanitaire ! Et près du tiers de ces recherches se concentrent sur Nîmes, Alès et Uzès. Pour le Gard il faudra compter 2 254 € du m² pour un appartement en moyenne, 2 487 € pour une maison).
À Nîmes, le prix des maisons oscille autour de 2 665 € du m² et celui des appartements de 2 190 € du m².
À Alès, il faut compter : 1 963 € du m² pour une maison et 1 551 € du m² pour un appartement.
Enfin, à Uzès, les prix grimpent à 3 499 € du m² pour une maison et 3 130 € du m² pour un appartement.
DR Uzès
Comment cette étude a été conçue Immobilier : où les habitants des Bouches-du-Rhône veulent-ils vivre ? (1) Ces travaux sont réalisés en collaboration avec Marie Breuillé (chercheuse en économie) et Julie Le Gallo (Professeure d’économie) de l’UMR CESAER. Ils alimentent un projet de recherche financé par le Réseau Rural Français (RRF) et le Plan Urbanisme Construction Architecture (PUCA) qui pilotent une étude intitulée « Exode urbain : impacts de la pandémie de COVID-19 sur les mobilités résidentielles », dont les premières conclusions (exploratoires) sont disponibles. MH
Espaces verts : Avignon, Aix et Toulon peu accessibles
La Fondation Vasarely accueille, le temps d’une soirée, la deuxième édition du festival de musique de chambre ‘Côté Cour’, le jeudi 4 août à 19h30. Le concert sera précédé d’une répétition en public avec un échange avec les artistes.
Au programme Debussy – Petite suite, arr. pour quintette instrumental, flûte, harpe et trio à cordes.
Ravel – Ma Mère l’Oye, arr. pour Sextuor, piano et quintette à vents.
Ligeti – 6 Bagatelles, quintette à vents Ravel – Piano Trio M. 67, violon, violoncelle, piano.
Jolivet – Chant de Linos, quintette instrumental, flûte, harpe, trio à cordes.
C’est à Paris que naissent l’amitié et la complicité musicale de Marie Laforge et Léo Doumène. Rapidement, l’envie commune de créer et d’entreprendre devient évidente, ils créent ‘Côté Cour’, le festival de musique de chambre. Après une première édition à succès au Château d’Arnajon en 2021, les deux directeurs artistiques reviennent pour une seconde édition avec la volonté d’une itinérance sur le territoire du Pays d’Aix. Le festival s’installe désormais dans les lieux historiques de la ville d’Aix-en-Provence et de ses alentours.
Ainsi, après un concert à l’hôpital d’Aix et un autre sur la Place de l’Eglise, à Puyricard, le festival ‘Côté Cour’ se produira jeudi 4 août à la Fondation Vasarely. Le concert sera précédé d’une répétition en public au cœur du centre architectonique à 11h avant la prestation finale de 19h30. La répétition en public sera accompagnée d’un échange avec les artistes pour permettre aux spectateurs de découvrir certains aspects du quotidien de ce métier particulier.
Trois autres concert suivront : vendredi 5 août, à l’église Saint-Denis, Ventabren ; samedi 6 août, aux jardins du Pavillon de Vendôme, Aix-en-Provence ; dimanche 7 août, à l’église Saint-Jean de Malte, Aix-en-Provence.
En savoir plus Erigé entre 1971 et 1976, à Aix-en-Provence, par l’artiste contemporain Victor Vasarely, la Fondation Vasarely est un centre architectonique. Le centre abrite des œuvres de l’artiste franco-hongrois Intégrées aux façades et à des murs internes du bâtiment, qui de son vivant pouvaient servir d’inspiration pour les commandes qu’on lui passait. Classée aux Monuments historiques depuis 2013, la Fondation, qui bénéficie de l’appellation musée de France, accueille chaque année plus de 100 000 visiteurs.