4 mai 2024 |

Ecrit par le 4 mai 2024

Le cinéma d’animation mis à l’honneur par SCAD Lacoste pendant deux jours

La 3ᵉ édition du SCAD Animation Fest, organisée par SCADFILM, aura lieu ces vendredi 5 et samedi 6 avril dans l’enceinte de l’école SCAD (Savannah College of Art and Design) à Lacoste. Au programme : des projections tous publics, des rencontres avec des professionnels, la découverte de l’école, et une séance dédiée aux scolaires.

« L’industrie de l’animation est florissante en Provence, et plus particulièrement dans le Vaucluse, déclare Cédric Maros, directeur général de SCAD Lacoste. L’animation est le programme d’études le plus populaire de SCAD. » Le festival SCAD Lacoste Animation Fest a donc du sens. Sa troisième édition aura lieu ces 5 et 6 avril.

Plusieurs invités prestigieux interviendront et présenteront leurs créations au public tels que Julien Chheng, qui a remporté le César du Meilleur film d’animation en 2023, mais aussi Richard Adenot, à l’origine des franchises Moi, Moche et Méchant, Les MinionsComme des Bêtes et Tous en Scène ou encore le film Le Grinch. Cette année pour la première fois, les enfants de l’école élémentaire de Lacoste pourront assister à une séance qui leur est dédié le vendredi 5 avril.

Le programme du vendredi 5 avril

13h30 : le Storyboarding avec Julien Chheng (co-fondateur, réalisateur et producteur, Studio La Cachette)
Cette présentation explorera la stratégie de storyboard pour créer des plans visuels dynamiques qui guident les projets animés du script à l’écran.

15h30 : le Concept Illustration avec James Rinere (ancien élève du SCAD, artiste concept, Ubisoft Studio).
Ce temps d’échange permettra d’en apprendre plus sur le métier d’artiste conceptuel dans l’industrie du jeu vidéo, dans lequel le processus créatif commence souvent par la concept illustration, qui influence tout ce qui suit. Chaque personnage, paysage, accessoire et bien plus encore est soumis à plusieurs cycles de conception avant le début du travail d’animation et d’effets.

18h : projection de Migration (en anglais avec sous-titres français) et session de questions-réponses avec Richard Adenot (directeur créatif d’Illumination).
Une famille de canards décide de quitter la sécurité d’un étang de la Nouvelle-Angleterre pour un voyage aventureux en Jamaïque. Cependant, leurs plans bien conçus tournent mal quand ils se perdent et se retrouvent à New York. Cette expérience les incite bientôt à élargir leurs horizons, à s’ouvrir à de nouveaux amis et à accomplir plus qu’ils n’auraient jamais cru possible.

20h30 : projection de Migration (en anglais avec sous-titres français) et une masterclass de Richard Adenot en anglais.

Programme du samedi 6 avril

16h : SCAD Animation Showcase et questions-réponses sur le programme d’animation.
Une sélection de courts métrages produits par les étudiants sera présentée au public.

17h : le Best of Annecy Enfants 2023.
Découverte d’une collection de courts métrages du célèbre Festival international du film d’animation d’Annecy.

18h : projection d’Ernest et Célestine : Un voyage à Charabie (en français avec sous-titres anglais) et un temps d’échange avec Julien Chheng en français.
Lorsqu’elle brise accidentellement son violon bien-aimé, le duo doit entreprendre un long voyage vers le pays d’Ernest, Gibberitia, qui abrite le seul artiste capable de le réparer. Mais quand ils arrivent, ils sont choqués de découvrir que toutes les formes de musique sont interdites à Gibberitia depuis de nombreuses années et qu’un pays autrefois connu dans le monde entier pour ses incroyables musiciens est devenu silencieux. C’est à Ernest et Célestine et à leurs nouveaux amis, dont un mystérieux hors-la-loi masqué, de ramener la musique et le bonheur au pays des ours.

20h30 : projection d’Ernest et Célestine : Un voyage à Charabie (en français avec sous-titres anglais) et une masterclass de Julien Chheng.

Les projections sont au prix de 5€.
Inscription obligatoire (pour chaque atelier ou projection) sur internet.

Vendredi 5 et samedi 6 avril. SCAD. Maison Basse. Lacoste.



Le cinéma d’animation mis à l’honneur par SCAD Lacoste pendant deux jours

Avec la sortie du long métrage ‘Chien et Chat à l’affiche des cinémas depuis une semaine, focus sur le studio La Station Animation, spécialisé dans la fabrication et la création de films d’animation pour la télévision et le cinéma est installé à Avignon depuis plus de trois ans. À l’origine de ce projet, Michel Cortey, fondateur et directeur de production a réussi le pari d’implanter un véritable écosystème dans le domaine de l’animation au sein du Vaucluse.

Mercredi 14 février est sorti le dernier film de Reem Kherici ‘Chien et Chat’ avec Franck Dubosc et Philippe Lacheau. Une comédie qui mêle images réalistes et animation 3D. Ce projet colossal qui est distribué à plus de 500 copies dans tous les cinémas de France n’aurait pu voir le jour sans le travail du studio La Station Animation à Avignon. La société de production a eu la lourde tâche de créer et de rendre vivants les animaux du film, qui tiennent une place prépondérante dans l’intrigue de ce long métrage.

Un studio qui crée et qui produit
Si La station animation s’est si bien imposée dans le paysage du cinéma français, c’est aussi grâce à sa double voir triple casquette : producteur délégué, fabriquant et parfois seulement prestataire. Contrairement à certains de leurs concurrents qui se contentent d’assurer le simple travail d’animation sur un projet externe, le studio vauclusien produit des séries et des longs métrages en démarchant les réalisateurs, scénaristes, écrivains qui sont les fers de lance des projets télévisuels.

Mêlant véritables images et animation 3D, la comédie ‘Chien et chat’ a été distribuée à plus de 500 copies dans les cinémas de France. ©DR

La société a été conçue pour pouvoir assurer toute la chaine de conception d’un film ou d’une série d’animation comme le souligne Michel Cortey, le directeur de production du studio à Avignon « nos capacités de production nous permettent de nous engager et de développer aussi bien la partie créative que sur la chaine de production en 3D et de plus en plus en 2D (…) nous avons un droit de regard sur tout en tant que producteur délégué et parfois exécutif ».

Un modèle économique basé sur la production
Selon Bpifrance, aujourd’hui en France, le secteur de l’industrie culturelle et créative (ICC) génère 110 milliards d’euros. La Station animation y participe à travers son modèle économique fondé en globalité sur la production des projets montés. Depuis son commencement, le studio cherche à être au cœur du système, à monter des plans de financements pour dégager la somme correspondant au coût d’un film ou d’une série « une série en moyenne c’est entre 5 et 8M€ pour un format de 52 épisodes de 11 ou 13 minutes, un film en France c’est entre 15 et 20M€ » précise Michel Cortey.

Un modèle qui permet au studio de production d’assurer un chiffre d’affaires de 5M€ par an. Pour mener à bien ces projets de production, il n’est pas rare que le studio demande la participation des Régions, des chaines télé ou le Centre national du cinéma et de l’image animé.
Comme pour Sahara, un film animé produit et travaillé par la Station animation qui a rencontré un succès important avec plus d’un million d’entrées en 2017, le studio est aussi producteur sur le film de Reem Kherici. Michel Cortey et l’ensemble de la direction du studio seront donc particulièrement attentifs au succès de cette nouvelle sortie.  

Le long métrage d’animation Sahara est sorti en 2017. ©DR

« C’est un film produit par Gaumont et Mandarin Production avec comme partenaires TF1 et Netflix. Le travail d’animation nous a pris deux ans, on produit ce projet donc on a intéressement financier, si on fait 1,5 millions d’entrées voir 2 millions, ça serait fantastique » explique Michel Cortey. « C’est ambitieux mais on croit énormément en ce film, il sort pendant les vacances scolaires donc on croise les doigts. L’objectif c’est d’avoir « Un chien et Chat 2 » qui nous assurerait du travail pour les prochaines années. » conclut-il.

La Station Animation et le sud, une histoire de 15 ans
La naissance de ce studio d’animation dont la mission première est de faire et concevoir des films et des séries d’animation pour la télévision (France TV, Canal +, M6…) s’est faite à Paris il y a un peu plus de vingt ans « on a commencé par des pubs, des jingles pour la télé, on s’est fait connaitre comme ça » se souvient Michel Cortey. Le siège social se trouve d’ailleurs toujours dans la capitale, Michel et toute son équipe sont en contacts permanents et mènent les projets conjointement avec ce studio consœur. Puis ce passionné du 7e art est venu installer le premier studio animation dans le sud « Je suis venu rapidement m’installer à Saint Rémy de Provence avec la volonté de créer un deuxième studio ici en Région Paca car il y avait énormément d’étudiants qui se formaient dans des écoles du territoire ».

La présence de l’école d’animation Supinfocom devenu aujourd’hui l’école Mopa a finalement poussé la Station animation à s’implanter à Arles pendant 10 ans avant que le producteur-associé de la société ne souhaite changer de cap « j’ai senti que l’énergie et la volonté de se développer serait plutôt à Avignon avec l’idée de redynamiser notre projet dans ce territoire de culture » affirme-t-il.

Inspecteur Croquette © La Station Animation

La Station animation, véritable dynamiseur du tissu local
Si la décision de s’implanter dans la cité papale a été prise par Michel Cortey, elle est surtout née d’une rencontre entre le directeur de production et l’ex-chef de projet digital et économie créative de l’agence de développement Vaucluse Provence Attractivité, Loïc Etienne.
Une rencontre qui comme un clin d’œil du destin se fait au festival d’Annecy « il était dans le même état d’esprit que nous, c’est-à-dire développer le potentiel numérique et culturel du Vaucluse. On voulait créer un véritable écosystème autour du tissu local ». 

Plus qu’un soutien, Loïc Etienne accompagnera le studio Station animation dans toutes les démarches jusqu’au choix des locaux. Installé dans des locaux de 150 mètres carré au cœur du centre-ville, la société dispose de tous les aménagements pour accueillir la quinzaine de modeleurs, ‘textureurs’ et quelques ‘setupeurs’ qui travaillent au quotidien pour le studio.

Partie de Campagne © La Station Animation

Des employés qui sont en majorité issus de l’Ecole des nouvelles images créé par Julien Deparis en 2017, situé avenue des sources à Avignon. Guidé par le désir de s’ancrer toujours plus sur et pour le territoire, le studio a noué un partenariat avec l’établissement vauclusien pour accueillir des élèves que ce soit pour des stages comme pour des contrats en sortie d’école « notre idée est clairement de favoriser le dynamisme et le savoir-faire du territoire vauclusien. L’école des nouvelles images est une des meilleures écoles du monde qui a permis l’émergence de très bons réalisateurs et animateurs d’image, tout le monde est gagnant ». 

Comme d’autres camarades à lui, Pierre Étienne Mazet, récemment diplômé de l’école des nouvelles images en tant que modeleur 3D, a pu signer un contrat de 6 mois avec la station animation pour travailler sur le prochain projet de série commandé par TF1. Une véritable chance pour ce jeune d’apprendre et de poursuivre sa formation dans un studio reconnu et près de chez lui.

« Nous avons l’espoir que l’humain reste prépondérant à nos métiers ».

Le Petit Nicolas © La Station Animation

L’avenir entre agrandissement et virage numérique
Si l’actualité la plus importante dans l’immédiat reste la sortie de « Chien et Chat » pour le studio, « station animation » pense à poursuivre son développement, notamment avec la prolifération de projets qui arrive.
Pour y faire face, Michel Cortey pense à déménager pour accueillir des équipes plus importantes et accélérer le rythme de travail « l’idée ça serait de trouver de nouveaux locaux d’ici deux ans, toujours à Avignon pour passer d’un accueil maximal de 30 employés à 50 ».

Face à l’avènement et la démocratisation de l’intelligence artificielle dans le secteur du numérique, le directeur de la production de la société reste attentif « nous avons eu déjà plusieurs réunions sur ce sujet, on sait que certaines tâches d’automatisation vont disparaitre mais nous avons l’espoir que l’humain reste prépondérant à nos métiers ».

Griott & Mungo © La Station Animation

Le cinéma d’animation mis à l’honneur par SCAD Lacoste pendant deux jours

Mardi 30 mai, SudAnim, l’association des professionnels de l’animation et du jeu vidéo en Région Sud a présenté son bilan de l’année 2022 et ses objectifs pour l’avenir, dont celui de faire de la région Sud une terre d’animation.

C’est au cœur du domaine de la Dragonette à Entraigues-sur-la-Sorgue, lieu dédié aux industries culturelles et créatives, que SudAnim, l’association des professionnels de l’animation et du jeu vidéo, a présenté son bilan 2022 et a rappelé le poids des productions Françaises à l’international. Top 3 mondial en matière de production (2022), un niveau record d’exportations audiovisuelles (2020), un chiffre d’affaires du secteur qui approche 600 M€… L’animation française rayonne à travers le monde et le potentiel pour faire de la Région Sud un haut lieu de l’animation est présent.

Ecoles, formations, sociétés de production, studios, prestataires, savoir-faire… Tous les ingrédients sont là pour faire de la Région Sud un acteur majeur de l’animation. Au total, ce sont 77 œuvres animées qui ont été fabriquées dans la région depuis 2010 et la création du fond d’aide régional, avec une augmentation du rythme de production depuis 2021 (passage de 5 projets par an à 15). Le nombre d’animateurs et animatrices a également augmenté, passant de 30 (2019) à 155 (2021).

« Notre président s’engage à ne pas vous laisser tomber »

Michel Bissière, conseiller régional délégué à la création artistique.

« Minuscule 2 », « Même les Souris vont au Paradis » (nommé aux Césars 2022), « Gus le Chevalier Minus », « Grosha et Mr B. », « L’heure de l’Ourse » (César du meilleur film d’animation court métrage 2021) ou encore « Le nuit des sacs plastiques » (César du meilleur film d’animation court métrage 2020), tous ces projets ont été soutenus par la Région Sud. Région dont le Président, Renaud Muselier, compte continuer de s’investir pour faire du sud une terre d’animation : « C’est un engagement de notre président » a déclaré Michel Bissière, conseiller régional délégué à la création artistique.

SudAnim : promouvoir la filière et la développer

Créée en avril 2021, SudAnim, l’association des professionnels de l’animation, des VFX et du jeu vidéo en Région Sud a pour objectif de structurer, représenter et développer la filière de l’animation dans son ensemble (animation 2D, 3D, stop motion, motion design, etc.). Réparti en 6 collèges (écoles, étudiants, prestataires techniques, sociétés de production, studios d’animation, talents), SudAnim est organisé de manière à représenter l’entièreté du secteur de l’animation et permettre l’écoute de tous ses acteurs.

Parmi les nouveaux membres de l’association, qui a vu son nombre d’adhésions augmenter de 88% en 2022 : Duetto Production, Circus ou encore la Station Animation. Pour rappel, ces trois studios se sont installés en Vaucluse au cours des deux dernières années. Pour se fournir en main d’œuvres de qualité, ces studios peuvent compter sur l’Ecole des Nouvelles Images, l’école la plus primée au monde et récemment lauréate de l’appel à projet « France 2030 – la grande fabrique de l’image ».

Le rassemblement de ces poids lourds de l’animation fait du bassin de vie avignonnais le troisième grand pôle d’animation de la région derrière Marseille (le plus grand) et Arles (le plus ancien). Ce pôle devrait continuer de s’accroître avec l’arrivée de nouveaux acteurs du secteur sur le territoire : « Nous avons un projet d’installation avec une société canadienne et un projet franco-américain » a déclaré Cathy Fermanian, directrice générale de Vaucluse Provence Attractivité.

Faire de la région une terre d’animation

Actuellement quatrième pôle d’animation en France, derrière la Charente-Maritime, la région Rhône-Alpes et le Nord, la Région Sud ambitionne de rejoindre le podium. Pour ce faire, elle compte s’appuyer sur SudAnim dont l’un des objectifs est de se renforcer en recrutant le plus de membres pour comprendre au mieux les besoins de la filière et apporter les solutions les plus adaptées.

« L’agglomération considère que l’industrie culturelle et créative est une industrie clé »

Guy Moureau, vice-président délégué à l’économie.

Pour l’heure, chaque membre de SudAnim se consacre à ses projets, dont certains ont été dévoilés dans la vidéo de démonstration ci-dessous.


Le cinéma d’animation mis à l’honneur par SCAD Lacoste pendant deux jours

Ce samedi 3 décembre, dans le cadre du Téléthon, Gordes propose de nombreuses animations tout au long de la journée : soupe des restaurateurs, parcours jeux, séances de méditation, promenade en voitures anciennes et grande tombola.

Programme
Chapelles des pénitents

  • La soupe des restaurateurs à déguster sur place ou à emporter.
  • vin chaud.
  • gâteau et café proposé par l’association des écoliers.
  • braderie du livre proposé par la bibliothèque de Gordes.

Parking charité Saint Eutrope
Deux parcours jeux en présence d’un professionnel du free style.

Salle des associations
Concours de belote à 14h.

Salle Deyrolle
Séances de méditation et mouvement.

Toute la journée

  • Promenade en voitures anciennes
  • Grande Tombola chez les commerçants. Tirage le 17 décembre à 16h sur la place du château.

Village des Bories
Animation « dessine-moi une borie », jusqu’à fin décembre.

J.R.


Le cinéma d’animation mis à l’honneur par SCAD Lacoste pendant deux jours

La compagnie En Décalage, spécialisée dans le théâtre d’improvisation, organise ce samedi sa célèbre ‘murder party’. Cette année, elle traitera des enjeux climatiques, toujours sous forme ludique et pédagogique.

Familles ou amis devront jouer en équipe et enquêter sur le mystère, découvrir des indices, afin de démasquer le coupable. Cette animation est accessible dès 12 ans.

Samedi 26 novembre. 20h. 5€ (gratuit pour les 12-14 ans). Pôle culturel Camille Claudel. 285 Avenue d’Avignon. Sorgues.

V.A.


Le cinéma d’animation mis à l’honneur par SCAD Lacoste pendant deux jours

L’école des Nouvelles Images, formatrice des métiers de l’animation et des images de synthèse, déjà présente à Avignon depuis 2017, installe officiellement son nouveau campus, dédié au jeu vidéo, à la place de l’ESA Games à Carpentras.

L’école, qui possède désormais un campus au 5 Chemin de Saint-Labre à Carpentras, a vu bon nombre de films de ses étudiants nommés, voire même primés, dans les plus grandes cérémonies cinématographiques telles que les Oscars ou encore la British academy of film and television arts (Bafta). Une réussite importante pour l’école, mais aussi pour le département de Vaucluse qui souhaite devenir une terre de cinéma.

L’essor du domaine du jeu vidéo

C’est tout naturellement que l’école des Nouvelles Images se tourne vers le marché du jeu vidéo qui, aujourd’hui, est en plein essor. Dans ‘L’essentiel du jeu vidéo’, publié en mars dernier, le Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs montre que le secteur a progressé de 1,6 % par rapport à 2020, qui était déjà une année record, pour atteindre 5,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires. En comparaison, ce chiffre s’élevait à 2,7 milliards d’euros en 2013. Le jeu vidéo est aujourd’hui la première industrie culturelle en France, mais aussi dans le monde.

La formation au jeu vidéo

Il est d’ores et déjà possible de s’inscrire pour se former aux métiers du jeu vidéo. Dès la rentrée prochaine, les étudiants pourront bénéficier d’une formation en trois ans. La première année sera consacrée à l’acquisition des bases artistiques et techniques, la seconde permettra aux étudiants de se spécialiser en programmation & game design ou en technical game art, et la troisième sera consacrée à la professionnalisation grâce à de multiples projets que les étudiants devront réaliser.

Les inscriptions à cette formation se font en dehors de Parcoursup, il suffit simplement d’avoir obtenu son baccalauréat. Suite à son inscription, dont les frais s’élèvent à 40€, le candidat passera un entretien de motivation avec un membre de l’équipe pédagogique qui validera l’accès à la première année.

Pour en savoir plus sur ce nouveau campus et la formation au jeu vidéo, rendez-vous sur le site de l’école des Nouvelles Images.

V.A.


Le cinéma d’animation mis à l’honneur par SCAD Lacoste pendant deux jours

La Mirande, hôtel 5 étoiles et restaurant gastronomique 1 étoile au guide Michelin dirigé par le chef cuisinier Florent Piétravalle est ouvert midi et soir du jeudi au dimanche inclus.

Noël
Le menu de Noël se fera le vendredi 24 décembre au soir, le samedi 25 décembre midi et soir à 205€ par personne, hors boissons. Le forfait de Noël, comprenant la nuitée, le repas de Noël et le petit-déjeuner les vendredi 24, samedi 25 et dimanche 26 décembre, propose la chambre Deluxe à 814€, la chambre Grande Deluxe à 958€ et la suite à 1 318€.

La Saint-Sylvestre
Le menu de la Saint-Sylvestre, au restaurant gastronomique, aura lieu vendredi 31 décembre. Il est à 480€ par personne incluant champagne à l’apéritif et aux douze coups de minuit, les vins pendant le repas, l’eau, le café et l’animation avec un groupe musical Massilia Gipsy Band. Le brunch de l’an nouveau aura lieu samedi 1er janvier de 11h à 14h et est à 135€ par personnes hors boissons alcoolisées.

La salle-à-manger
Le restaurant bistronomique est tenu par le chef Florent Pietravalle. Il est ouvert tous les jours au déjeuner et au dîner mais sera fermé exceptionnellement les 24 et 25 midi et soir et le 31 décembre au soir avec une belle vue sur le jardin de l’hôtel.

La table haute
La Table haute est tenue par les chefs Patrice Blain et Alexandre Malinverno du mardi au samedi chaque soir à partir de 20h. Elle sera fermée les 24, 25, 26 et 27 décembre. Le principe ? Une seule table pour un moment de convivialité dans l’ancienne cuisine de l’époque de la famille Pamard.

Menus de fêtes en privatisation
Ils sont proposés pour 10 personnes minimum, 14 personnes maximum. Au menu, entrée, plat, dessert, vins, eau et café. 120-150€ par personne selon le choix des vins et le fromage en plus.

Menu de la Saint-Sylvestre
Vendredi 31 décembre, à la Table haute, 210 €(boissons comprises). After-midnight avec le groupe. Massilia Gipsy Band.

Marché de Noël
Hélas, les contraintes sanitaires en vigueur n’ont pas permis de maintenir le traditionnel marché de Noël. Rendez-vous pour l’édition 2022.

Coffrets cadeau
Retrouvez les coffrets cadeaux en ligne. Séjours – Repas – Cours de cuisine – Goûter – Bons cadeaux. Restez connectés sur la boutique Shop&Go, vous y découvrirez des objets uniques à offrir.

La Mirande
La Mirande, hôtel, Restaurant gastronomique, Ateliers de cuisine, Table haute, Mirage, Salon de thé. 4, place de l’Amirande à Avignon. 04 90 14 20 20 mirande@lamirande.fr
MH


Le cinéma d’animation mis à l’honneur par SCAD Lacoste pendant deux jours

Dimanche 24 octobre à 9h30, le cinéma Capitole studios Le Pontet propose à tous les parents d’amener leur chers et tendres bambins de moins de 3 ans pour une matinées spéciale.

Au programme ? 9h30 : accueil petit-déjeuner et activités en salle, 10h00 : tirage au sort et cadeaux à gagner avec nos partenaires, 10h10 : projection du film « La fontaine fait son cinéma ». Le tarif adulte est de 6€*, offert pour les enfants de moins de 3 ans.

Programme de courts métrages d’animation, « La Fontaine fait son cinéma » est un nouveau programme de « La Chouette du cinéma ». Cette fois, La Chouette du cinéma est partie récolter six courts métrages en forme de fables, de petites histoires, avec des animaux, qui contiennent une leçon de vie.

(Attention les enfants de plus de 3ans ne sont pas acceptés en salle. Ils seront tolérés si un enfant de moins de 3ans de la même famille est présent). Achetez vos billets sur Internet. Rappel : présence d’un enfant de -3 ans obligatoire pour accéder à la vente.

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