12 août 2025 |

Ecrit par le 12 août 2025

(Vidéo) Ventoux et Luberon, participer à un chantier de pierre sèche

Vous aimez le patrimoine, vous avez un projet qui concerne la maçonnerie en pierre sèche, vous voulez rencontrer d’autres acteurs porteurs de projets, vous souhaitez connaitre l’intérêt d’utiliser la pierre sèche dans les projets d’aménagement, alors rejoignez les pour ce projet co-financé par l’Union Européenne. La construction en pierre sèche est réalisée sans liants. Des exemples de constructions en pierre sèche ? Des maisons, ponts, piliers, arcs, abris, chemins, caves voûtées ruches, fortifications…

Cette proposition émane de Volubilis, réseau euro-méditerranéen pour la ville et le paysage et ses partenaires. Il s’agit d’un projet Erasmus+ pour un chantier et des ateliers de terrain et pour une formation à la pierre sèche avec, également, Le Carrefour européen du savoir faire des pays de la pierre sèche, Consell Mallorca, le mediteranean centre of environnement, Udruga Brac et l’Union Européenne.

Les objectifs du chantier et des ateliers
Savoir préserver et transmettre un savoir-faire traditionnel reconnu par l’Unesco –Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture- ; Promouvoir une construction écologique, bas carbone et intégrée aux paysages, créer un réseau d’ambassadeurs de la pierre sèche ; Expérimenter des approches pédagogiques innovantes, contribuer à la création d’un Mooc –Massive open online source, qui désigne des cours en ligne accessible à un large public-. européen sur la pierre sèche.

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Publics visés
Toute personne intéressée par la pierre sèche ; Formateurs d’adultes ; Acteurs et actrices du patrimoine et de l’aménagement, élus, agents publics ; Étudiants et jeunes professionnels en architecture, paysage, environnement…

Les infos utiles
Prérequis : Aucun. Lieux : Territoire Ventoux et Luberon. Durée : 2 journées de tronc commun obligatoires les mardi 23 septembre et vendredi 10 octobre. 3 sessions thématiques au choix de 2 à 3 jours sur la période.

Modalités de participation
Projet cofinancé par l’Union européenne dans le cadre du programme Erasmus+ : prise en charge des frais pédagogiques et des déplacements ; Contribution au frais de repas : 20€/jour ; Hébergement collectif à la charge des participants (environ 40€/j) ; Inscriptions en ligne ici. Ou directement ici. Places limitées, les candidatures seront retenues selon les attentes, la motivation, la diversité des profils, le genre et en tenant compte de l’équilibre territorial. Pour les situations de handicap contacter directement l’organisateur.

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Le contenu pédagogique
Tronc commun obligatoire : 1 journée d’introduction le 23 septembre et 1 journée de conclusion le 10 octobre. Sessions thématiques au choix (minimum 1 obligatoire). Session 1 : Etre porteur d’un projet autour de la pierre sèche – devenir ambassadeur de la pierre Sèche ; Connaître les acteurs de la pierre sèche et la filière ; Créer les conditions de réussite autour d’un projet ; Visite de terrain : géologie, carrière, réalisations. Durée : 2 jours – 24 et 25 septembre 2025.

Session 2
La pierre sèche : une technique écologique et durable, intégrée et respectueuse de l’environnement ; Matinée en salle, après-midi sur le terrain ; Les qualités écologiques de la pierre sèche et sa contribution à la gestion des versants ; Analyse de paysage : création, abandon et reconquêtes des terrasses de cultures. Evolution des paysages de la pierre sèche, visite de réalisations à vocation agricole Durée : 3 jours – 30 septembre, 1er et 2 octobre 2025.

Session 3  
Mise en situation / transmission en présence des partenaires Européens et de leurs Formateurs ; Chantier collectif sur un mur réel, partage de savoir-faire méditerranée ; Organisation d’un chantier participatif ; Techniques de montage, outils, bonnes pratiques Durée : 3 jours du 7 au 9 octobre 2025.

Bon à savoir
Projet cofinancé par l’Union européenne dans le cadre du programme Erasmus+ : prise en charge des frais pédagogiques et des déplacements ; Places limitées, les candidatures seront retenues selon les attentes, la motivation, la diversité des profils, le genre et en tenant compte de l’équilibre territorial. 


(Vidéo) Ventoux et Luberon, participer à un chantier de pierre sèche

Samedi 28 juin au cœur du Domaine de Mousquety à l’Isle-sur-La Sorgue, près de 500 personnes ont assisté à ce gala qui décerne ses prix aux élèves les plus méritants des Centres de Formations, qu’il s’agisse de futurs bûcherons, boulangers, ferronniers, carrossiers, menuisiers, électriciens, préparateurs en pharmacie, mais aussi musiciens, comédiens et pompiers.

Pour rappel, la SMLH (Société des Membres de la Légion d’Honneur), créée en 1921, compte 5 comités en Vaucluse (Apt-Pays de Sault, Avignon, Carpentras, Cavaillon-Sud Vaucluse, Orange-Haut Vaucluse) et soutient l’apprentissage, la formation professionnelle et favorise l’insertion, la cohésion sociale, l’égalité des chances et la promotion des métiers manuels souvent, et à tort, méprisés. Tous s’implique dans un lien transgénérationel qui relie jeunes et seniors.

La SMLH de Vaucluse a été la 1re de France à lancer ce Grand Prix en 2007. Depuis, il a distingué près de 700 apprentis. Ce qui signifie qu’ils ont un parrain membre de la Légion d’Honneur qui le suit, l’aide, l’encourage, le conseille, le fait bénéficier de son réseau de connsaissances. Mais aussi un diplôme, une médaille de la SMLH et un chèque de la fondation du Crédit Agricole de 300€ pour les Prix de l’Encouragement, 500€ pour celui du Mérite et 800€ pour l’Excellence.

27 lauréats

Cette année, 27 apprentis ont été récompensés, ils ont entre 16 ans et 30 ans, ils sont issus du centre Florentin Mouret d’Avignon, du Conservatoire à Rayonnement Régional de la Place Pie, de la CCI et de son pôle de formations des Fenaisons, du Centre Forestier de la Bastide des Jourdans ou de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat.

Les uns ont souffert d’une famille désintégrée, parfois de violences, d’échec scolaire, de problèmes de santé, d’accidents de la vie, mais tous se sont accrochés, ils se sont battus, ils ont retroussé les manches et leur résilience est devenue une force. Et leurs professeurs, qui ont remarqué leur détermination et leur courage, ont transmis leurs noms aux bénévoles de la SMLH qui, après avoir épluché leur trajectoire et leurs efforts, leur ont donc décerné un prix.

Le prix d’excellence

Les uns pourront ouvrir leur centre d’élévage de chevaux, leur entreprise de peinture, de carrosserie, les autres leur salon de thé, devenir élagueur ou créer leur entreprise multi-services. Le 1er prix, celui d’excellence, a promu Clara Nogier-Allemand, 20 ans, qui a perdu sa maman à l’âge de 12 ans, s’occupe de ses petits frère et soeur et poursuit des études au Lycée Agricole Pierre Le Roy de Boiseaumarié d’Orange, le fameux « Baron Le Royé » qui a créé l’INAO qui décerne ses AOC aux vignobles classés. Son rêve : devenir œnologue-sommelière. Nul doute qu’avec tous les domaines viti-vinicoles que compte le Vaucluse et avec son diplôme, elle va pourvoir bénéficier d’un coup de pouce pour arriver à ses fins !

Clara Nogier-Allemand, Prix d’excellence du Grand Prix des Apprentis 2025 de la SMLH 84. ©Andrée Brunetti / L’Echo du Mardi

Des prix inter-générationnels

Une nouveauté cette année à la SMLH, avec l’arrivée à la présidence de Jean-Pierre Messin qui a succédé à Michel Grange à la tête de l’antenne vauclusienne, des Prix Inter-Générationnels décernés à un binôme jeune-ancien. Ont été distingués par le Colonel Paichoux, patron du SDIS 84, un sapeur-pompier qui depuis des décennies forme des jeunes soldats du feu, un éducateur qui vit, grâce à l’Association Logitude, chez une retraitée qui a mis une chambre de sa maison à disposition pour un loyer modéré. « L’important entre elle et moi, c’est la relation, le partage, la solidarité. On se sent moins seul », a déclaré le jeune lauréat, Jeano Jérémie.

Une jeunesse motivée et exemplaire

Le 3e Prix a couronné un chef d’atelier de la Lustrerie Mathieu de Gargas qui forme des apprentis dans cette maison d’excellence qui a rénové la Salle des Glaces du Palais de Versailles, l’Opéra de Paris et les candélabres, lustres monumentaux de la Cathédrale Notre-Dame de Paris. Et enfin a été distinguée, Marie-Amélie Louis-Gassman, une jeune femme pompier de 18 ans qui aide particulièrement les personnes âgées à Pertuis. Tous ont reçu le Prix des mains de l’Amiral Alain Coldefy, président de la SMLH, venu de Paris à l’Isle-sur-la-Sorgue pour remettre ces distinctions. « Je remercie tous les bénévoles de la SMLH de Vaucluse qui ont passé des heures à monter ce prix, étudier les dossiers, noter les apprentis. Mais surtout, je suis ravi de voir à quel point, malgré la crise, le climat international, ces jeunes sont motivés, ils avancent, s’impliquent dans la vie. Grâce à eux, existe un espoir en demain, c’est à eux désormais de prendre les choses en main, d’ouvrir la voie, ils sont des exemples pour nous tous. »

Alain Coldefy, président de la SMLH. ©Andrée Brunetti / L’Echo du Mardi

(Vidéo) Ventoux et Luberon, participer à un chantier de pierre sèche

L’apprentissage continue de séduire les entreprises avec, fin février 2025, 40 800 contrats commencés depuis le début de l’année. Mais attention : une réforme du financement rebat les cartes pour les employeurs. Quels impacts pour les entreprises ? Baisse des aides, nouvelle participation obligatoire, exonérations revues à la baisse… Isabelle Vénuat, juriste aux Éditions Tissot, spécialiste en droit social, fait le point sur les 4 grandes évolutions à intégrer dès aujourd’hui.

1. Des aides à l’embauche revues à la baisse
La donne change pour les contrats signés depuis le 24 février 2025, et les aides existantes compensent le coût de ces contrats dans une moindre proportion.

Depuis le 24 février 2025 :

● L’aide unique à l’embauche est passée de 6 000 à 5 000 € pour les entreprises de moins de 250 salariés (6000 € maintenus pour les apprentis en situation de handicap).

● L’aide exceptionnelle à l’apprentissage a fait son retour jusqu’au 31 décembre 2025 :

– 5 000€ pour les entreprises < 250 salariés

– 2 000€ pour les entreprises ≥ 250 salariés

– 6 000€ si l’apprenti est en situation de handicap

Ces aides concernent les contrats visant un diplôme jusqu’à Bac+5 maximum.

2. Moins d’exonérations sur la rémunération des apprentis
Pour les contrats signés depuis le 1er mars 2025, l’exonération totale des cotisations salariales légales et conventionnelles ne s’applique plus que sur la part de la rémunération des apprentis inférieure ou égale à 50 % du SMIC, contre 79 % avant cette date.

La rémunération des apprentis est, de plus, assujettie à la CSG-CRDS au-delà de 50 % du SMIC, après application de l’abattement de 1,75 % pour frais professionnels. Et s’ils rejoignent une entreprise de plus de 10 salariés, elle est également assujettie à la taxe sur les salaires au-delà de 50 % du SMIC.

● En bref, une rémunération nette plus faible pour l’apprenti et un coût plus élevé pour l’employeur.

3. Une contribution forfaitaire obligatoire
A compter du 1er juillet 2025, les employeurs d’apprentis préparant des diplômes de niveaux 6 et 7, (soit au minimum bac +3) devront s’acquitter d’une participation financière forfaitaire 750€ par contrat d’apprentissage.
Le recouvrement de cette contribution sera assuré par les centres de formation d’apprentis (CFA).

4. Rompre un contrat ? Attention aux délais !
Votre apprenti ne fait pas l’affaire et vous envisagez de vous en séparer ? Ne tardez pas ! Pendant les 45 premiers jours (consécutifs ou non) de présence en entreprise, le contrat peut être rompu sans avoir à donner le moindre motif et sans préavis. Il suffit pour cela de notifier la rupture par écrit (lettre remise en main propre ou recommandé avec accusé de réception) à l’apprenti lui-même (ou son représentant légal s’il est mineur), ainsi qu’au directeur du centre de formation des apprentis et à l’opérateur de compétences qui a enregistré le contrat.

Passé ce délai, il reste toutefois possible de rompre le contrat :

● d’un commun accord avec l’apprenti en signant avec lui une convention de rupture.

● par un licenciement en cas de faute grave de l’apprenti, de force majeure ou d’inaptitude déclarée par le médecin du travail. L’exclusion définitive de l’apprenti par le CFA constitue également une cause réelle et sérieuse de licenciement.

Isabelle Vénuat, juriste aux Éditions Tissot


(Vidéo) Ventoux et Luberon, participer à un chantier de pierre sèche

Pour la première année, le forum de l’alternance était organisé sur la ville de Carpentras par trois structures : le RPE (Réseau pour l’emploi), l’Education nationale et l’association d’entreprises Carpensud. L’objectif était de mettre en relation tous les centres de formation d’alternance sur ce territoire, les entreprises accueillantes, et les alternants postulants.

Pour la première fois depuis plusieurs années, le flux de nouveaux contrats d’alternance a baissé en 2024 dans le Vaucluse alors qu’il s’est à peu près maintenu en région Paca. Pour encourager le recours à l’alternance, Carpensud et les acteurs du Réseau pour l’Emploi du Comtat Venaissin (France Travail, Cap Emploi, Mission Locale) ont proposé d’organiser, avec l’appui de l’Éducation Nationale, le premier Printemps de l’alternance mi-mars au Cabaret à Carpentras.

« Cette manifestation a pour objectif de promouvoir l’alternance comme une stratégie gagnant-gagnant, pour les publics comme pour les employeurs du Comtat Venaissin. Pour les entreprises, l’alternance constitue souvent un tremplin idéal pour le recrutement d’un talent formé au métier, à la culture et au besoin en compétence de leur activité. Pour les jeunes, opter pour l’alternance permet de bénéficier d’une rémunération », explique Ludivine Amrhein, Directrice adjointe à la Mission locale de Carpentras.

« Nous sommes un centre de formation autour du transport et de la logistique avec différentes agences dans la région. Notre mission est de mettre en relation les alternants avec des entreprises du transport et de la logistique sur différents niveaux de qualification. Nous avons ainsi des gros besoins dans les transports de voyageurs ou de marchandises. Nous travaillons ainsi en collaboration étroite avec les cars Arnaud », complète Fabienne Jacq, chargée de développement au sein de l’organisme de formation Aftral.

L’association d’entreprises Carpensud a permis de contacter des entreprises du territoire. Crédit : Olivier Muselet.

Une matinée à la rencontre des sens de formation
La matinée a permis aux jeunes cherchant un contrat professionnel ou d’apprentissage de rencontrer tous les centres de formation du Comtat venaissin et ainsi de comprendre le fonctionnement de l’alternance (contrats, rythmes, diplômes ou qualifications visées). L’objectif de cette matinée était également de  faire découvrir aux jeunes la palette de formations disponibles. Des ateliers pratiques ont également permis une bonne préparation avec des conseils sur la réalisation du CV de la lettre de motivation. Des conseils autour de la ‘e-réputation’, du bon pitch de son profil étaient aussi proposés au jeune public.

Les entreprises présentes après-midi
Les entreprises sont arrivées en début d’après-midi avec des propositions d’alternance. Les entretiens ont eu lieu avec des jeunes ayant été solidement préparés dans la matinée. Les aides pour les entreprises de moins de 250 salariés ont certes baissé de 1000 € mais elle reste de 5000 € par an par alternant. Au total, pas moins de 40 entreprises et centres de formation du Comtat venaissin sont venus pour cette journée qui a permis aux entreprises de répondre à des postes vacants et aux jeunes d’accéder à une alternance souvent synonyme d’accès à l’emploi.

Le centre de formation Aftral propose ses services dans le domaine du transport et de logistique. Crédit : Olivier Muselet

Quelques entreprises présentes :
GEIQ Geste, Au jardin du midi, Atelier bio Provence, SARL Brassage, Peugeot groupe Chopard, Suez, Super U, Cars Arnaud, Toyota Carpentras, EURL JP Service…
Centres de formation participant :
Lycée Jean-Henri Fabre, Infep, Aftral, Centre de formation les Chênes, CAP Formation, Greta CFA,  Airo, les Compagnons du devoir, Chambre des métiers de l’artisanat d’Avignon, Académie Vaucluse Provence, Ecole de la deuxième chance, Campus Provence Ventoux, Lycée agricole la Ricarde.


(Vidéo) Ventoux et Luberon, participer à un chantier de pierre sèche

La journée Portes ouvertes du Lycée de Valabre-Gardanne, Campus nature Provence et le CFPPA (Centre de formation professionnelle et de promotion agricoles) aura lieu samedi 22 mars de 9h à 13h pour évoquer le parcours de la seconde au bac général puis au Bachelor en passant par le BTS, sans oublier le CAP.

Un éventail de savoirs
Ces études s’exercent dans l’agriculture, le paysage, les soins aux animaux, les services à la personne. Les formations se déroulent en lycée, en formations pour adultes et par l’apprentissage. Les élèves et apprenants partageront leur expérience en faisant découvrir les filières de formation qu’ils suivent et les outils pédagogiques mis à leur disposition par l’établissement et les équipes enseignantes.

Des animations
À travers des animations informatives et ludiques, les visiteurs pourront découvrir l’exploitation agricole, assister à des démonstrations du métier traditionnel de maréchal-ferrant (ferrage) organisées par le Centre de formation continue (CFPPA), unique centre à proposer cette formation dans le sud-est de la France.

Des opportunités de carrière
L’accent sera mis sur les opportunités de carrière dans les métiers liés à l’environnement. Les sorties et les stages collectifs seront aussi à l’honneur avant de clôturer la journée avec la remise des diplômes. La matinée sera rythmée par un grand marché paysan.

Portes ouvertes du lycée de Valabre à Gardanne. Samedi 22 mars. De 9h à 13h. 1 550 Chemin du moulin du fort. 13120 Gardanne. www.campusnatureprovence.fr

Portes ouvertes au lycée des Calanques
Formations initiales scolaires, formations continues et apprentissage, le Lycée des Calanques ouvre ses portes pour une journée découverte de son offre pédagogique Samedi 29 mars de 9h à 17h, au Lycée des Calanques, 89 Traverse Paragon, à Marseille.

Guides et témoins
Guides et témoins d’une offre pédagogique riche et dynamique, ce sont les élèves qui accueillent le public avec des animations aussi informatives que ludiques. Les sorties et les stages collectifs seront également mis à l’honneur avant de clôturer ce rendez-vous par la remise des diplômes.

Un marché de producteurs et artisans
La journée sera rythmée par un grand marché aux plantes et aux producteurs-artisans avec une présentation des filières, des options et sections sportives ; La visite des installations ; les animations et ateliers pédagogiques ; La visite de l’Astragale, le bateau campus et aussi de la serre ; Les expositions autour de la nature et de l’environnement ; Il y aura une Pasta party assortie d’un Garden bar ; Enfin la remise des diplômes sans oublier la rencontre des partenaires pédagogiques.

140 ans d’enseignement au cœur du vivant
Le Campus Nature Provence est un groupement d’établissements sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire. Il est composé du lycée de Valabre, du lycée des Calanques, du CFPPA (Gardanne, Marseille et Auriol) et de l’exploitation agricole. Le Campus forme aux métiers de la nature, du végétal, de l’alimentation, de l’agriculture, de l’animal, du paysage, de la mer, du service à la personne… Les formations dépassent le domaine purement agricole et préparent à des métiers d’avenir qui recrutent.

Un lieu d’expérimentation
Le Campus bénéficie d’une exploitation agricole et d’espaces naturels et paysagers véritables supports pédagogiques et d’expérimentation permettant des apprentissages concrets. Il met en œuvre des actions de coopération internationale, favorisant les mobilités et l’accueil d’élèves, apprentis, étudiants, stagiaires et enseignants. Le Campus Nature Provence affiche des taux élevés de réussite aux examens et des taux d’insertion professionnelle supérieurs à 85%.

Portes ouvertes samedi 29 mars de 9h à 17h. Lycée des Calanques. 89, Traverse Paragon à Marseille.

Lycée des Calanques à Marseille Copyright Lycée des Calanques

(Vidéo) Ventoux et Luberon, participer à un chantier de pierre sèche

Ce mardi 21 janvier, le Groupe Belmont, acteur vauclusien de la formation en alternance, organise sa ‘Matinale des Pros’ au cinéma Pathé Cap Sud à Avignon pour mieux accompagner ses tuteurs et maîtres d’apprentissage dans leurs missions.

Alors que le Groupe Belmont (anciennement Erudis formation) a terminé l’année 2024 en dévoilant sa nouvelle identité et ses nouvelles ambitions, l’acteur vauclusien de la formation en alternance commence l’année 2025 en réunissant ses tuteurs et maîtres d’apprentissage lors de la Matinale des Pros à Avignon ce mardi 21 janvier.

Ce rendez-vous permettra aux tuteurs et maîtres d’apprentissage, et autres acteurs du Groupe, d’échanger afin de mieux accompagner ces premiers dans leurs missions : l’accueil, la formation et l’intégration des apprentis en entreprise.

La Matinale débutera avec une présentation du Groupe Belmont par son directeur général Hervé Belmontet, la présentation des nouvelles formations et de l’organisation interne par la directrice pédagogique Isabelle Brocourt, ainsi que la présentation de la sécurisation des parcours par la responsable qualité Sandrine Murzilli. Les participants pourront ensuite échanger avec les conseillers, les référents de filière et la direction.

Mardi 21 janvier. De 7h30 à 9h30. Inscription en ligne. Pathé Cap Sud. 175 Rue Pierre Seghers. Avignon.


(Vidéo) Ventoux et Luberon, participer à un chantier de pierre sèche

Alexandre Pierre Nicolas, ancien basketteur professionnel (STB Le Havre), a su réinventer sa carrière en devenant coiffeur barbier. En 2018, il a ouvert les portes de ‘H salon’, un espace dédié à la coiffure et à la taille de la barbe ainsi qu’à la formation des futurs coiffeurs barbiers, avant de lancer un second établissement, ‘HADN’ en 2024, orienté vers une clientèle VIP (Very Important Personality) pour des soins sur mesure.

Dans le chaleureux cocon de ‘H salon’, les clients viennent se faire coiffer et tailler la barbe, tandis que de futurs professionnels bénéficient d’un apprentissage rigoureux, guidé par une exigence nouvelle : celle de devenir des initiateurs du style. Chaque visite se transforme en une expérience complète, où des soins et des conseils sont prodigués pour garantir une coupe et une taille impeccables en un temps record.

Mais Alexandre ne s’arrête pas là. Avec HADN, il propose un écrin raffiné, conçu avec l’aide d’un ami décorateur, où l’atmosphère très masculine fait la part belle aux matières nobles et à un minimalisme du meilleur goût. Ce lieu intimiste invite à la détente tout autant qu’à la confidence, offrant des soins cocooning tels que le diagnostic du cuir chevelu, des propositions de soins personnalisés, ainsi que des conseils sur les tendances look actuelles. Ainsi, chaque moment passé chez HADN semble s’inscrire hors du temps, résolument dédiée au bien-être et à l’élégance.

Passionné par son métier, Alexandre Pierre Nicolas aspire à donner ses lettres de noblesse à la profession de coiffeur-barbier. Il plaide pour la création d’une formation reconnue et d’un diplôme qui élèverait cette activité à un nouveau niveau d’ambition.

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En interview, il explique la distinction entre ses deux établissements : ‘H salon’ se concentre sur la formation des apprentis et l’accessibilité des prix, tandis que ‘HADN’ se veut un temple de l’excellence, où chaque détail compte. Bien que ces salons soient principalement destinés aux hommes, il accueille également des clientes en quête de coupes masculines, convaincu que le style mixte enrichit l’expérience.

Le parcours d’Alexandre Pierre Nicolas est marqué par son éducation au sein d’une famille modeste en région parisienne. Enfant, il ne se projetait pas dans une profession définie, mais sa créativité et son goût pour l’échange l’ont toujours guidé. Son bac littéraire en poche, il part en sac à dos pour 3 mois aux États-Unis où il côtoie des équipes et s’affirme au basket pour ensuite intégrer des équipes en France. Suite à une déchirure des ligaments croisés, il réalise que sa carrière sportive ne suffira pas à assurer son avenir. C’est lors d’un rendez-vous chez un barbier coiffeur qu’il entrevoit une possible nouvelle vocation.

Il se forme pendant six à huit mois avant d’ouvrir son premier salon, tout en poursuivant des études en gestion d’entreprise à l’EmLyon. Ce nouveau diplôme, -un master de gestion en entreprise-, lui permet d’acquérir une vision élargie de son activité, mêlant études de marché et prévisions financières. Grâce à de nombreux échanges avec son groupe d’amis entrepreneurs et créatifs, il développe réflexions et outils précieux pour sa carrière, mais pour lui, le véritable succès réside dans la passion de faire ce que l’on aime et d’acquérir de nouvelles compétences.

A seulement 28 ans, cet ancien pro du Basket aura ouvert son premier salon à 22 ans puis repris ses études et lancé un deuxième établissement. Son futur projet ? Créer sa propre marque de soins, comprenant shampooings, cires, brumes et parfums, déclinés selon les saisons. Alexandre Pierre Nicolas est convaincu que la créativité est le moteur de l’art de vivre, et il continue de l’incarner à travers chaque coupe, chaque soin, et chaque moment partagé avec ses clients.
H salon et HADN aux 11 et au 13, rue Petite Fusterie à Avignon intramuros.

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(Vidéo) Ventoux et Luberon, participer à un chantier de pierre sèche

Comme chaque année, la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises) de Vaucluse fait ‘sa rentrée des classes’. L’occasion pour la première organisation patronale du département de porter la voix des entrepreneurs locaux. Objectif ? Leur permettre de retrouver la confiance en l’avenir.

Après les incertitudes de la rentrée 2023, la CPME de Vaucluse veut pratiquer la méthode Coué en cette rentrée 2024 puisque la première organisation patronale du département aspire à une période de stabilité afin que les entrepreneurs puisse reprendre confiance en l’avenir.

« Depuis la dissolution de l’Assemblée Nationale, notre pays, victime de querelles politiques partisanes, demeure dans un immobilisme et un attentiste qui impactent directement notre économie », regrette Bernard Vergier, président de la CMPE.

Dans la foulée, celui qui a été fait Chevalier de la Légion d’honneur en juin dernier par Christophe Mirmand, préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, espère qu’enfin la nomination d’un premier ministre puisse amener « de la stabilité et de la visibilité pour nos entreprises afin de faire face à leurs inquiétudes grandissantes, à des carnets de commande en baisse, des investissements suspendus, des défaillances d’entreprise en hausse ou bien au dérapage incontrôlé des finances publiques. »

« Nos entreprises ont besoin de simplification et de stabilité réglementaire et fiscale. »

Simplifier et agir
Pour répondre à ces défis, l’organisation patronale appelle à reprendre sans délai la loi sur la simplification administrative, réformer l’action publique ainsi qu’agir pour soutenir la croissance face aux défaillances d’entreprise.
« La thématique de la simplification administrative revient toujours dans les problématiques locales rencontrées par nos dirigeants, précise Bernard Vergier. Que cela soit les délais de délivrance des permis de construire, de la certification qualiopi pour les organismes de formation en constante évolution – 9 versions en 3 ans ! -, les règlementations thermiques très contraignantes pour les petits propriétaires, le guichet unique pour les entreprises, longtemps en dysfonctionnement et causant de nombreuses difficultés pour les experts-comptables, etc, etc… Nos entreprises ont besoin de simplification et de stabilité réglementaire et fiscale. »

« L’apprentissage reste le meilleur dispositif pour insérer nos jeunes dans nos entreprises. »

L’importance de l’apprentissage
Cette conférence de rentrée a été aussi le moment pour le président de la CPME 84 de rappeler le soutien de la Confédération à l’apprentissage comme première étape déterminante pour entrer dans le monde du travail.  
« L’apprentissage doit continuer à être soutenu, cela sera apparemment le cas jusqu’à la fin du quinquennat (à hauteur de 6000 € pour la première année du contrat). Il reste le meilleur dispositif pour insérer nos jeunes dans nos entreprises en leur donnant une formation concrète, en travaillant sur les savoir-être ainsi que sur la valeur ‘travail’. »
De quoi compenser, en partie, un niveau de qualification insuffisant « qui impacte lourdement l’économie locale, particulièrement le bassin du Grand Avignon. » poursuit le président Vergier qui rappelle les grandes difficultés de recrutement (hausse de 2% sur un an des demandeurs d’emploi dans le Vaucluse contre une baisse de 0,3 en région Paca et une hausse de 0,8% au niveau national). « Trop d’entreprises peinent à recruter, trop de postes sont vacants sur l’ensemble des secteurs d’activités mettant en difficulté le développement et l’activité de nos structures », insiste-t-il.

Donner envie aux Français de travailler
« Si nous voulons nous en sortir, il faut donner envie aux Français de travailler plus, il faut que nous augmentions la productivité, il est impératif que nous encouragions ceux qui font tourner notre économie ! Il nous faut également aller de l’avant, en prenant à bras le corps les questions cruciales pour le pays, comme celles de l’emploi des séniors ou du logement qui connait actuellement une crise sans précédent. Ce ralentissement de l’activité n’est évidemment pas sans conséquence sur les rentrées fiscales qu’il s’agisse de la TVA ou de l’impôt sur les sociétés dont les recettes sont en baisse. »

Pourtant, les entreprises ‘font le job’ pour Bernard Vergier : « Malgré tout, les entreprises françaises, et en particulier les TPE/PME, ont montré leur formidable dynamisme en continuant à créer des emplois et en augmentant les salaires aujourd’hui, plus rapidement que l’inflation. »

« Notre parti c’est l’entreprise. »

En attendant, le dérapage des finances publiques préoccupe grandement le président de la CPME de Vaucluse : « Ne l’oublions pas, sans entreprises privées, pas de recettes fiscales, pas de création de richesses, pas d’investissement, pas de redistribution ni d’aides sociales et enfin pas de financement des infrastructures publiques. Sans économie, on n’a rien. »
« Il est plus que jamais nécessaire que les chefs d’entreprise soient écoutés, entendus et soutenus par les pouvoirs publics et les élus locaux : maires, présidents d’EPCI, députés, sénateurs, etc… Ces derniers doivent impérativement tenir compte des problématiques en tout genre de nos entrepreneurs sur le terrain. »
« On leur demande d’ouvrir les yeux et de se retrousser les manches » même si, rappelle celui qui préside une organisation patronale regroupant près d’un millier d’adhérents directs vauclusiens, « nous sommes apolitiques. Notre parti c’est l’entreprise. »


(Vidéo) Ventoux et Luberon, participer à un chantier de pierre sèche

La Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) du Pays d’Arles organise une soirée portes ouvertes ainsi qu’une conférence de presse pour présenter sa nouvelle formation en apprentissage le lundi 16 septembre 2024 de 18h à 20h. 

Ce lundi 16 septembre 2024, la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) du Pays d’Arles ouvre ses portes pour une soirée portes ouvertes qui sera suivie par une conférence de presse pour présenter sa nouvelle formation intitulée « Gestionnaire d’Unité Commerciale ». C’est dès 18h que les visiteurs seront accueillis pour découvrir tous les éléments de présentation de cette formation offrant un bac+2 et qui débutera le 12 novembre 2024. 

Un engagement pour le territoire 

La mise en place de cette formation est due au constat fait par la CCI du Pays d’Arles du manque de formations en commerce, vente et marketing. Une défaillance qui pousse les jeunes du bassin arlésien à quitter le territoire pour intégrer des formations dans des villes voisines telles qu’Avignon, Aix-en-Provence, Nîmes, Marseille ou Montpellier. 

Pour permettre à ces étudiants de rester près de leur lieu de vie, la CCI a décidé de proposer des formations certifiées et qualifiantes qui sont destinées à former les talents de demain et une main d’œuvre qui répond aux besoins des entreprises locales. Cette nouvelle formation répond donc à un besoin et contribue à faire marcher l’économie régionale. 

Un évènement pour les jeunes qui veulent se former 

Pour cette soirée portes ouvertes, la CCI Pays d’Arles ouvrira ses portes de 18h à 20h dans la salle d’honneur de leur structure. Cet évènement s’adresse à tous les jeunes bacheliers ou titulaires d’un bac+1 (ou un titre de niveau 4) qui sont toujours en recherche d’une formation pour l’année 2024/2025. Les inscriptions pour la formation « Gestionnaire d’Unité Commerciale » sont d’ores et déjà ouvertes et se clôtureront à la fin du mois de novembre. 

Le programme complet de la soirée 

18h : Accueil des visiteurs et des journalistes 

18h15 : Présentation de la formation « Gestionnaire d’Unité Commerciale »                                                     

-contenu du programme de formation                                                                                                                  

-règles d’admissions – inscriptions tardives                                                                                                      

 -rythme de l’alternance avec environ 70% du temps passé en entreprise 

18h45 : Rencontre et échanges avec les entreprises partenaires                                                                         

-les jeunes auront l’opportunité d’échanger directement avec les entreprises partenaires présentes lors de l’évènement.                                                                                                                              

-ils pourront présenter leurs motivations et leurs CVs, ouvrant ainsi la voie à de futures collaborations en alternance 

18h45 : Temps d’échanges entre l’équipe de la CCI et les journalistes 

La soirée se clôturera par un apéritif convivial sur le rooftop de la CCI, pensée pour favoriser les échanges entre l’ensemble des acteurs. 

Infos pratiques : Soirée portes ouvertes et conférence de presse de la CCI Pays d’Arles. Lundi 16 septembre 2024, de 18h à 20h. Palais des Congrès d’Arles, 22 avenue de la première division France libre, 13200, Arles. Pour plus d’informations, contactez la CCI du Pays d’Arles à l’adresse suivante : cfa@arles.cci.fr ou au numéro suivant : 04.90.99.08.08. 

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