17 juin 2025 |

Ecrit par le 17 juin 2025

13 communes de Vaucluse ont été choisies pour bénéficier du dispositif ‘Petites villes de demain’

Le Gouvernement a lancé, via l’Agence nationale de la cohésion des territoires, un soutien spécifique pour la revitalisation des communes de moins de 20 000 habitants de 3 milliards d’€ dispensés jusqu’en 2026. Concrètement, ce soutien financier intervient dans l’ingénierie des projets (à hauteur de 250M€) et ses possibles financements. Objectif ? La redynamisation économique, sociale, culturelle et écologique des petites communes de moins de 20 000 habitants.

Les communes vauclusiennes choisies

Les communes vauclusiennes éligibles et choisies par le Gouvernement, via le préfet, sont : Apt, Aubignan, Bollène, l’Isle-sur-la-Sorgue, Malaucène, Mazan, Mirabeau, Monteux, Pernes-les-Fontaines, Sault, la Tour d’Aigues, Vaison-la-Romaine et Valréas.

“38% de la population française vit dans les petites communes“

En clair 

Petites villes de demain est donc un dispositif organisationnel et financier visant à améliorer les conditions de vie des habitants des petites communes et des territoires alentours, en accompagnant les collectivités dans des projets respectueux de l’environnement. Près de 1 000 Petites villes sur le territoire et 53 en Provence-Alpes-Côte d’Azur bénéficieront de ce dispositif dont 13 en Vaucluse.

Objectif

Objectif ? Accélérer l’attractivité et le dynamisme territorial et donc la relance en s’appuyant sur la rénovation du centre-ville, l’écologie et les circuits courts. La problématique ? Aider les maires à faire face au départ des commerces, des services de proximité et de santé. Au préalable, le maire doit s’être mis en relation avec le préfet, délégué territorial de l’Agence nationale de la cohésion des territoires qui vérifie si sa ville est éligible au dispositif et peut, ainsi, bénéficier de ce soutien de redynamisation. La réponse acquise, le maire procède, avec des habitants, au diagnostic du territoire, à la stratégie à mettre en œuvre et aux actions à mener, informations recueillies et énoncées dans un document ‘Projet de territoire’ pour redonner vie à son territoire et valoriser son patrimoine. Enfin, désormais membres des Petites villes de France, le maire et son équipe partagent leur expérience et conseils au sein du Club Petites villes de demain qui réunit d’autres élus et acteurs locaux partout en France.

‘1 000 binômes communes-intercommunalités seront accompagnés par ce programme’

Dans le détail

Au total donc, les 3 milliards d’€ destinés aux 1 000 communes pourront faire éclore les projets menés par le maire et son équipe. Le dispositif, propose, entre-autres, de financer, à hauteur de 75%, le poste de chef de projet qui accompagnera la collectivité, celui du manager de centre-ville à hauteur de 40000€ pour 2 ans, le financement de 1 000 îlots de fraîcheur et d’espaces publics plus écologiques, également des réductions fiscales pour des travaux dans l’immobilier ancien avec le dispositif Denormandie et de la Fondation du patrimoine…

Le numérique aussi

Le numérique reste très présent avec la création de 800 France Services (guichet unique d’accès aux services publics), d’ici 2022 dans les communes du programme (avec 30 000€ de subvention annuelle + une formation et des aides à l’investissement), la création de 200 Fabriques du territoire, tiers-lieux regroupant des services liés au numérique (télétravail, ateliers partagés…) profitant à l’ensemble du territoire, le déploiement de 500 Micro-Folies, tiers-lieux numériques culturels développés par l’établissement public de la Villette et financés jusqu’à 80% par l’État.

‘Petites villes de demain est un dispositif qui délivrera 3 milliards d’€ pour la revitalisation des villes de moins de 20 000 habitants’

Les partenaires

Ce soutien spécifique piloté par l’Agence nationale de la cohésion des territoires intervient à partir de partenariats avec la Banque des territoires, l’Agence nationale de l’habitat, l’Adème (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), l’Anah (Agence nationale de l’habitat), le Cerema (Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) et l’Association des petites villes de France, les CAUE (Conseil d’architecture, d’urbanisme et d’environnement )…

En complément d’un autre dispositif

Ce programme est lancé trois ans après ‘Action cœur de ville’, qui lui est destiné aux villes de plus de 20 000 habitants et doté de 5 milliards d’euros sur cinq ans pour améliorer les conditions de vie des habitants des villes moyennes et conforter le rôle de moteur de ces villes dans le développement du territoire.

 

Les villes du Gard (dont Roquemaure du Grand Avignon) et des Bouches du Rhône limitrophes du département de Vaucluse bénéficiant du dispositif.

Les Bouches-du-Rhône

Les villes retenues dans les Bouches-du-Rhône sont : Chateaurenard, Lambesc, Port-Saint-Louis-du-Rhône, la Roque-d’Anthéron, Saint-Martin-de-Crau, Saint-Rémy-de-Provence, Sénas et Trets.

Le Gard

Les villes choisies dans le Gard sont : Aigues-Mortes, Anduze, Aramon, Barjac, Beaucaire, Bellegarde, Calvisson, La Grande Combe, le Grau-du-Roi, Pont-Saint-Esprit, Quissac, Remoulins, Roquemaure, Saint-Ambroix, Saint-Gilles, Saint-hilaire-de-Brethmas, Saint-Hyppolite-du-Fort, Saint-Jean-du-Gard, Sommières, Vauvert et Le Vigan.

L’Ardèche

Les villes retenues par le Gouvernement sont : Le Cheylard, l’Argentière, Le Pouzin, Ruoms, Saint-Agrève, Le Teil, Tournon-sur-Rhône, Vallon-Pont d’Arc, Le Vans, Villeneuve-de-Berg, Viviers, La Voulte-sur-Rhône.

La Drôme

Dans la Drôme ce sont : Buis-les-Barronnies, La Chapelle-en-Vercors, Cléon-d’Andran, Crest, Die, Dieulefit, Livron-sur-Drôme, Loriol-sur-Drôme, Nyons, Saint-Donat-sur-l’Herbasse, Saint-Jean-en-Royans et Saint-Vallier qui ont été sélectionnées.

Les Alpes-de-Haute-Provence

Dans les Alpes-de-Haute-Provence : Annot, Banon, Barcelonnette, Castellane, Château-Arnoux-Saint-Auban, Forcalquier, Saint-André-les-Alpes, Seyne et Sisteron bénéficieront du dispositif.

Le Var

Dans le Var, les communes éligibles sont : Les Arcs, Aups, Barjols, Le Beausset, Le Cannet-des-Maures, Cogolin, La Londe-des-Maures, Lorgues, Le Luc, Le Muy, Roquebrune-sur-Argens, Saint-Maximin-la-Sainte-Baume et Salernes.

Petites villes de demain , explication en vidéo.


13 communes de Vaucluse ont été choisies pour bénéficier du dispositif ‘Petites villes de demain’

L’IRSEA (Institut de recherche en sémiochimie et éthologie appliquée) vient d’identifier un groupe de molécules capables d’inhiber la réplication du Covid-19.

« Aux termes de 6 mois de recherche, nous avons réussi à identifier un groupe de molécules, dont l’une avec nos partenaires istréens d’Azur isotopes, capables d’inhiber la réplication du virus, confirme le docteur Patrick Pageat. Nous atteignons 99,9% de réduction de la production de particules virales in vitro avec des doses significativement inférieures aux doses qui font apparaître les premiers effets toxiques. »

« Il s’agit d’un nouvel espoir. »

« Ces travaux font l’objet de dépôt de demandes de brevets européens dont les premiers rapport de recherche sont positifs, poursuit le fondateur de cet institut de recherche privé vauclusien créé il y a 25 ans. Il s’agit d’un nouvel espoir dans la lutte contre le virus, mais aussi contre certains coronavirus pathogènes pour des animaux domestiques comme le chat, le porc ou les bovins. »

L’institut, dédié à l’étude du comportement des animaux et de l’homme, de leurs interactions et tout spécialement de leur communication chimique, entend désormais nouer des accords avec des entités capables de l’aider à mener les travaux de validation clinique de ses recherches.

« Une nouvelle arme contre la pandémie »

« Il s’agit maintenant d’apporter au plus tôt, mais avec le souci de la sécurité sanitaire et environnementale, ces nouvelles armes contre une pandémie dont les conséquences sanitaires mais aussi sociétales et économiques sont devant nous », poursuit Patrick Pageat.

« Nous espérons aussi pouvoir apporter notre expérience dans la conception de nouvelles stratégies de conception d’outils thérapeutiques, intégrant rapidité, efficacité et respect de l’ensemble du Vivant », insiste le responsable de ce laboratoire qui a fait de la réduction du recours à l’expérimentation animale une priorité grâce à des méthodes bio-informatiques et d’approche pharmacophore utilisant de très lourds calculs par ordinateur.

« Ces résultats ont été obtenus dans le plein respect des règles éthiques et de la philosophie de notre institut de recherche. C’est le fruit des recherches et de l’implication d’une équipe pluridisciplinaire et internationale, totalement indépendante et uniquement financée par le fruit de ses travaux via les redevances sur ses brevets. Aucune influence d’aucune sorte, hors des délibérations et discussions entre les scientifiques impliquées, n’a orienté notre travail. »


13 communes de Vaucluse ont été choisies pour bénéficier du dispositif ‘Petites villes de demain’

Au titre des mouvements de terrain survenus lors des intempéries fin 2019, l’arrêté interministériel du 14 septembre 2020, publié au journal officiel le 24 octobre 2020, a reconnu comme étant en état de catastrophe naturelle, la commune de Grambois.

Au titre de la sécheresse et réhydratation des sols 2019, l’arrêté interministériel du 15 septembre 2020, publié au journal officiel ce jour, 25 octobre 2020, a reconnu comme étant en état de catastrophe naturelle, les communes suivantes : Apt, Beaumes-de-Venise, Bonnieux, Buisson, Caromb, Châteauneuf-du-Pape, Courthézon, Entrechaux, Loriol-du-Comtat, Monteux, Orange, Saignon, Saint-Marcellin-lès-Vaison et Vaison-la-Romaine.

Les personnes sinistrées disposent d’un délai de 10 jours au maximum à compter de la publication de l’arrêté au journal officiel, soit le 4 novembre 2020, pour déclarer les dégâts subis auprès de leur compagnie d’assurance.

Les arrêtés sont consultables ICI 


13 communes de Vaucluse ont été choisies pour bénéficier du dispositif ‘Petites villes de demain’

Dans le cadre de la Fête de la science, la Maison du Parc d’Apt reçoit vendredi 9 octobre les paléontologues Loïc Costeur et Olivier Maridet afin de partager leurs connaissances sur les environnements et les climats du Luberon au cours de l’ère tertiaire.

En 1920 puis 1938, des fouilles historiques conduites sur la commune de Murs ont livré des fossiles de mammifères à la préservation exceptionnelle. Depuis 2017, de nouvelles recherches ont permis de redécouvrir le site ancien : de nombreux nouveaux fossiles âgés de plus de 30 millions d’années ont ainsi pu être découverts. A partir des fossiles de mammifères de Murs et d’autres gisements du Luberon, Loïc Costeur et Olivier Maridet, tous deux paléontologues au Musée d’histoire naturelle de Bâle et au Jurassica Museum à Porrentruy, partageront avec le public les connaissances sur les environnements et les climats du Luberon au cours de l’ère tertiaire, et sur leur évolution.

Vendredi 9 octobre. 18h30. Maison du Parc. 60, place Jean-Jaurès. Apt. Entrée gratuite sur inscription au 04 90 04 42 00 ou accueil@parcduluberon.fr. Port du masque obligatoire. www.parcduluberon.fr


13 communes de Vaucluse ont été choisies pour bénéficier du dispositif ‘Petites villes de demain’

Pôle emploi Provence-Alpes-Côte d’Azur continue de sillonner le territoire en proposant un lieu de ressources et d’échanges, animé par un réseau de partenaires et d’entreprises qui va à la rencontre des publics.

Né du constat que tous les demandeurs d’emploi ne sont pas inscrits à Pôle emploi, ‘La place de l’emploi et de la formation’ est un évènement itinérant qui permet d’aller directement à la rencontre du public. L’objectif de ces rencontres est de proposer des solutions d’insertion professionnelle durable, de promouvoir les opportunités de formations et faire découvrir les métiers porteurs.

Au sein de ce village itinérant, les visiteurs pourront faire un point sur leur situation, bénéficier de conseils d’orientation professionnelle, d’ateliers de pratique numérique, et découvrir des métiers qui recrutent et les formations qui permettent d’y accéder.

Les demandeurs d’emploi de niveau scolaire inférieur au Bac pourront notamment bénéficier des moyens du Pacte régional d’investissement dans les compétences pour intégrer des parcours de formation allant de la remise à niveau à la formation qualifiante dans des secteurs qui recrutent en proximité.

Vendredi 25 septembre. 10h à 14h. Place Mirabeau. Pertuis.
Jeudi 1er octobre. 13h à 17h. Place de la fontaine. Bollène.
Mardi 6 octobre. 13h à 17h. Place Gabriel Péri. Apt.


13 communes de Vaucluse ont été choisies pour bénéficier du dispositif ‘Petites villes de demain’

Le groupe aptésien Delta plus spécialisé dans les équipements de protection individuelle (EPI) affiche un résultat semestriel de 137 M€, en hausse de +11,6%. Cette croissance sur les 6 premiers mois de l’année, couplée à une bonne tenue des marges et à une maîtrise des coûts, permet au résultat opérationnel courant d’augmenter de façon significative (20,1 M€ en 2020 contre 16 M€ en 2019). Il s’élève à 14,7% du chiffre d’affaires contre 13% l’an dernier. Le résultat net, qui s’élève à 13,3 M€, progresse également (+13,7% par rapport à 2019), en dépit d’effets de change impactant négativement le résultat financier. L’an dernier, Delta plus a réalisé un chiffre d’affaires de 263,3 M€, en hausse de +9,5% par rapport à l’année précédente. Le groupe vauclusien a ainsi affiché en 2020 une augmentation de son chiffre d’affaires pour la 10e année consécutive.


13 communes de Vaucluse ont été choisies pour bénéficier du dispositif ‘Petites villes de demain’

Réuni à Lourmarin, le comité syndical du parc naturel régional du Luberon vient de réélire Dominique Santoni, seule candidate déclarée, à la présidence de ce parc créé en 1977

Déjà présidente du Parc naturel régional du Luberon (PNRL) depuis 2017, Dominique Santoni vient d’être réélue présidente lors du dernier comité syndical du parc. Seule candidate déclarée, celle qui est également maire d’Apt, vice-présidente de la Communauté de communes Pays d’Apt Luberon (CCPAL) et vice-présidente du Conseil départemental de Vaucluse, a rappelé que rien ne la « prédestinait à devenir présidente du Parc du Luberon ». En effet, cette dernière a dû succéder précipitamment à son prédécesseur, Roland Aubert, qui s’est retiré pour des raisons de santé (nldr : il est décédé depuis en mai 2017).

« C’est lui qui m’a incité à me présenter, explique Dominique Santoni. Roland était un homme fédérateur, attachant, pour qui j’avais de l’estime et de l’affection. C’est lui qui m’a fait découvrir et aimer le parc et aujourd’hui, j’essaie chaque jour de mener à bien ma mission en sachant que rien ne dure toujours… »

«Nous ne construisons pas d’immeubles, de routes… mais nous bâtissons un monde plus beau.»

Insistant sur ce « bel outil de territoire », la présidente a rappelé que si parfois « ce que nous faisons ne se voit pas, c’est justement ce que l’on fait qui permet de ne voir que de magnifiques paysages préservés. Nous ne construisons pas d’immeubles, de routes … mais nous bâtissons un monde plus beau, nous préservons le patrimoine, nous protégeons la faune, la flore, nous cultivons des plantes, des fleurs, des légumes, des variétés fruitières anciennes…. Nous gérons nos ressources, nous développons le territoire en créant des synergies pour un développement économique et touristique de qualité. »

Créé en 1977, le PNRL regroupe 77 communes, donc cinq villages figurant parmi les plus beaux de France, et s’étend sur 185 000 hectares. Il compte 170 000 habitants et accueille plus de 1,5 million de touristes par an.

« Nous avons réalisé de beaux projets dans l’intérêt de nos communes comme le programme des certificats d’économie d’énergie qui a permis aux communes de faire de la rénovation énergétique avec un financement proche de 100%, ou encore le programme Sedel (Services d’économies durables en Luberon énergie et eau). Nous assistons aussi au quotidien les communes dans l’élaboration des règlements de publicité, ou pour la réhabilitation et les travaux de patrimoine comme la chapelle d’Oppède, la calade de Cabrières d’Aigues. »

Le Parc, qui est dirigé par Laure Galpin à la tête d’une équipe de 50 agents, a également œuvré au maintien du centre de sauvegarde de Buoux avec la LPO (ligue de protection des oiseaux), a acquis la Maison du Parc auprès du département de Vaucluse et participé à la mise en place d’une alimentation saine et locale via le projet alimentaire territorial, avec les marchés paysans, l’opération ‘De la ferme à la cantine’, les bistrots de pays, la marque ‘Valeurs parc’… Par ailleurs, le Parc mène aussi une réflexion afin de donner au Château de l’environnement de Buoux un rayonnement régional…

«Nous arrivons à un moment important de l’histoire du Parc avec la révision de la charte.»

« Aujourd’hui, nous arrivons à un moment important de l’histoire du Parc avec la révision de la charte qui nous mènera en 2039 », poursuit Dominique Santoni pour qui le PNRL « est un territoire d’innovation et d’expérimentation ».

« Nous allons pouvoir travailler ensemble à l’élaboration de cette charte, définir les priorités du territoire, une stratégie face au changement climatique, relever des défis, trouver des solutions face à la perte de nos ressources en eau, perte de la biodiversité, production agricole, crues, canicules … Comment ferons-nous face ? Comment vivrons-nous et travaillerons-nous en 2039 ? Le Luberon, c’est un parc habité où le cadre de vie et les centres urbains attirent des habitants et là encore, nous devrons nous pencher sur les questions de logement, d’emploi, de déplacements, de développement économique, de nature en ville… »

 

Désignation des membres bureaux

Outre la réélection de Dominique Santoni comme présidente, la réunion de ce comité syndical a permis aux délégués du parc de procéder à la désignation de l’ensemble des membres du bureau syndical du PNRL. Ce dernier est constitué de Gaëlle Letteron (Apt), Patrick Courtecuisse (Cavaillon), Valérie Bardisa (Pertuis) alors que la désignation du représentant de Manosque est en cours. Pour le collège Région : Stéphane Sauvageon, Roselyne Giai-Gianetti et Nathalie Czimer-Sylvestre. Pour le Collège département : Serge Sardella pour les Alpes-de-Haute-Provence ainsi que Noëlle Trinquier et Elisabeth Amoros pour le Vaucluse. Pour les communes et les EPCI (Etablissement public de coopération intercommunale) : Karine Masse (Lurs), Béatrice Vincent (La Bastide-des-Jourdans), Alain Mathieu (Pierrerue), Véronique Milesi (Lagnes), Charlotte Carbonnel (Saint-Martin-de-Castillon), Béatrice Terrasson (Saint Michel L’observatoire), Thierry Richarme (Dauphin), Béatrice Grelet (La Bastidonne), Patrick Merle (Ménerbes), Bernard Briffault (Pierrevert), Mickaël Cavalier (Ansouis), Lionel Morard (Buoux), Bérengère Loisel-Montagne (Les Taillades), Jean-Pierre Gerault (Oppède), Jean-Luc Miola (Corbières), Viviane Dargery (Viens), Patrick Peythieux et Delphine Cresp (Cabrières d’Aigues), Francois Dupoux (Saignon), Georges Faucouneau (Sainte-Tulle), Pierre Fischer (Durance Luberon Verdon Agglomération) et Christian Chiapella (Communauté de communes Pays de Forcalquier – Montagne de Lure).


13 communes de Vaucluse ont été choisies pour bénéficier du dispositif ‘Petites villes de demain’

Placée en redressement judiciaire le 26 mai dernier, l’enseigne Camaïeu, qui vient d’être reprise par la Financière immobilière bordelaise, a fermé ses magasins d’Apt et de Mistral 7 à Avignon.

L’enseigne de prêt-à-porter féminin, qui avait été placée en redressement judiciaire le 26 mai dernier, a depuis été reprise par la Financière immobilière bordelaise (FIB), dirigée par l’homme d’affaires Michel Ohayon. En France, l’enseigne prévoit de conserver 2 619 de ses 3 100 salariés, et 511 des 634 magasins. Dans le Vaucluse, après une première fermeture de la boutique rue des marchands à Avignon l’an dernier, c’est au tour de celle de la galerie marchande de Mistral 7 de baisser définitivement le rideau ce jeudi 20 août, tandis que le magasin d’Apt ferme également ses portes. Les salariées devraient être reclassées dans les autres boutiques de l’enseigne qui, dans le Vaucluse, compte des points de vente à Avignon (Capsud), Le Pontet, Cavaillon, Carpentras, Orange, Bollène et Pertuis.


13 communes de Vaucluse ont été choisies pour bénéficier du dispositif ‘Petites villes de demain’

Christine Hacques a été nommée sous-préfète d’Apt ce samedi 15 août par décret publié au Journal officiel. Auparavant sous-préfète d’Yssingeaux (Haute-Loire) durant quatre années, cette haut-fonctionnaire est riche d’une carrière marquée par des engagements à l’international et une forte implication dans le domaine culturel.

Originaire de Grenoble, Christine Hacques a effectué une partie de ses études à Lyon puis à San Francisco. Docteur ès sciences politiques, elle a travaillé durant 10 années au ministère de l’Ecologie, en région Provence Alpes Côte-d’Azur puis en Rhône-Alpes, pour la protection des sites remarquables. En 2002, elle est missionnée en Afrique du sud pour apporter son savoir-faire sur le plan de gestion des parcs nationaux puis, en 2004, elle arrive en Ardèche pour permettre l’inscription de la grotte Chauvet Pont-d’Arc au patrimoine mondial de l’Unesco. Nommée en 2009 à la Ville de Valence avant de rejoindre le conseil départemental de l’Ardèche, elle officie en tant que directrice de la culture pendant quelques mois avant d’être promue directrice générale adjointe des services. Aujourd’hui, Christine Hacques arrive à Apt où elle succède à Dominique Conca qui a fait valoir ses droits à la retraite.

https://www.echodumardi.com/tag/apt/page/17/   1/1