20 décembre 2025 |

Ecrit par le 20 décembre 2025

Où trouve t’on le plus de bars et restaurants en Vaucluse ?

Recoupant 900 indicateurs issus de plus de 130 sources et jeux de données, la start-up Ville de rêve a établi un classement du nombre de bars et restaurants au km2 situés dans les cœurs de ville.

Sans surprises, en Vaucluse c’est à Avignon que l’on trouve la plus forte densité du département avec 430 établissements au km2 en centre-ville. Au niveau national, la cité des papes se classe en 22e position en se situant dans la même strate de chiffres que Lille, Grenoble, Cannes ou bien encore Ajaccio.

Dans le Vaucluse arrive ensuite Orange. La cité des princes totalise ainsi pour sa part 251 bars et restaurants au km2. Derrière, on trouve Apt 158 établissements au km2, Cavaillon (151) et Carpentras (95). Les grandes villes de la Région Sud caracolent en tête (voir paragraphe suivant), mais on constate que Nîmes (13e avec 527 établissements/km2) fait la course en tête au sein du triangle de la grande Provence. En effet, avec 252 bars et restaurants Arles est plutôt dans les pas d’Orange que de ses grandes voisines.
A noter que Pont-Saint-Esprit (153), Bagnols-sur-Cèze (135) et Beaucaire (92) tirent leur épingle du jeu (voir détail dans le tableau ci-dessous). Au final en France, la moyenne s’établit à 188 bars et restaurants par km².

La Région Sud en pole position
Si ce classement est forcément dominé par Paris (1 191 établissements/km2), la Région Sud est particulièrement présente avec Toulon (2e avec 775 établissements/km2), Marseille (4e avec 729 établissements/km2), Aix-en-Provence (7e avec 651 établissements/km2) et Nice (8e avec 602 établissements/km2). Le grand Sud est largement représenté puisque Bordeaux (5e avec 683 établissements/km2), Bayonne (6e avec 682 établissements/km2) ainsi que Montpellier (9e avec 590 établissements/km2) figurent dans ce top 10. Seules les villes d’Annecy (3e avec 738 établissements/km2) et Rennes (10e avec 541 établissements/km2) troublent ce presque grand schelem sudiste.

Le Grand Café Barretta à Avignon. Crédit : Alain Hocquel-VPA

« Cette hyper-concentration reflète la transformation de l’économie locale en faveur de l’accueil touristique, constate ville de rêve. Cette configuration génère des nuisances croissantes pour les habitants (bruits, flux piétons, livraisons, odeurs) et modifie profondément la composition commerciale traditionnelle. »
Pour la plateforme statistique, cette densité représente également un indicateur d’un potentiel surtourisme.

L.G.


Où trouve t’on le plus de bars et restaurants en Vaucluse ?

Jusqu’au 30 septembre prochain, les œuvres de trois artistes locaux sont exposées au Château de Mille à Apt. Sculpture, peinture, photographie et art naturel sur plâtre s’entremêlent dans l’exposition ‘Balades’.

Ils sont plus d’une centaine à être venus admirer les œuvres des artistes Joël Canat, Anneka Imbert, et Verena Omnes ce mercredi 9 juillet à l’occasion du vernissage de l’exposition ‘Balades’ proposés par le domaine viticole Château de Mille à Apt.

Certains étaient silencieux face aux œuvres, essayant de comprendre le sens qu’ont pu vouloir leur donner les artistes. D’autres en débattaient avec leurs amis, leur conjoint, leurs enfants, ou bien avec des inconnus rencontrés devant une sculpture.

©Vanessa Arnal-Laugier / L’Echo du Mardi

Trois artistes locaux

Pour l’exposition ‘Balades’, ce sont les talents de trois artistes provençaux qui se joignent : Joël Canat, Anneka Imbert, et Verena Omnes. Ce premier est un sculpteur installé à Ménerbes depuis les années 70 où il a décidé de planter une vigne. C’est en coupant des chênes qu’il s’est initié à la sculpture sur bois, en autodidacte. Certaines de ses sculptures semi-abstraites font quelques dizaines de centimètres tandis que d’autres font parfois plus de 2 mètres.

Anneka Imbert, de son côté, photographie et dessine la nature durant ses balades dans la garrigue. Elle ramène parfois avec elle des plantes sauvages, qu’elles utilisent pour en faire des installations faites de bronze, de cuivre, de laiton et de bois, mais aussi des dessins à l’encre, comme cette fresque de 9 mètres de long sur papier japonais exposée au Château de Mille.

Enfin, le public découvrira les œuvres de Verena Omnes, faites de plantes locales moulées sur du plâtre. Ces cadres en relief sont ensuite peints dans des tons assez neutres, souvent teintés dans les ocres du Luberon.


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Nées en Normandie, les Éditions de la Safranède sont désormais installées au cœur de la Provence, à Ménerbes. Ce dimanche 13 juillet, leur fondatrice Marie-Françoise Chevallier Le Page, aussi auteure, sera en séance de dédicace à la librairie Fontaine Luberon à Apt.

Ancien avocat au barreau de Paris, Marie-Françoise Chevallier Le Page a décidé de quitter la Normandie il y a peu pour se retirer en Provence, dans le mas familial à Ménerbes. L’objectif pour elle était de se consacrer à l’écriture, une passion qui la suit et l’entoure depuis longtemps. « Nous sommes nombreux à écrire dans la famille, affirme-t-elle. J’avais 4 ou 5 ans quand j’ai révélé à mon père que je souhaitais écrire un livre. Mais ce n’est qu’à 60 ans que j’ai écrit le premier. »

Ce dimanche 13 juillet, la fondatrice de la maison d’édition ira à la rencontre de ses lecteurs le temps d’une séance de dédicace à Apt et présentera le troisième et dernier tome de la trilogie qui suit le personnage de Taddeuz.

Taddeuz et l’Esprit du Zambèze

Si le personnage de Taddeuz n’a que 13 ans dans le premier tome Taddeuz et le collier aztèque, il est adulte dans ce troisième tome, dévoilé le 1er avril dernier. La saga suit ce jeune garçon qui s’apprête à devenir roi et qui se retrouve plongé dans une nouvelle mission au sein de la Glenowl Academy, une école hors du commun qui enseigne au travers d’aventures grandeur nature.

Aventure, voyage et fantasy s’entremêlent dans les trois tomes. Ce dernier opus se concentre sur un sujet au cœur de l’actualité : le réchauffement climatique et son impact sur les populations, la faune et la flore. « L’Esprit du Zambèze est une ode à la jeunesse et à sa capacité à changer le monde », révèle l’auteure.

De la littérature jeunesse au roman

Marie-Françoise Chevallier Le Page a plusieurs cordes à son arc en termes d’écriture. Si elle présentera de la littérature jeunesse (voire pour jeune adulte) ce dimanche à Apt, elle a commencé sa carrière d’écrivaine avec des contes pour enfant. Les contes de Mamyshâ se déclinent en 15 tomes, illustrés par l’auteure elle-même, qui les a écrits pour ses petits-enfants. « J’avais du mal à trouver l’illustrateur qui correspondait à ce que je voulais donc mon mari m’a encouragée à faire moi-même les illustrations », explique-t-elle.

Le dernier conte, sorti au début de l’année 2025. ©Éditions de la Safranède

Mais ce n’est pas tout. La présidente des Éditions de la Safranède compte aussi deux romans à son actif : La Veuve K. ou la vie de château et sa suite, La part d’ombre ou Qu’aurais-je fait si j’avais su ?, qui mêlent enquête, suspense et vie en société. « Tous mes livres sont inspirés d’anecdotes de ma vie, ou bien de faits divers que j’ai pu lire dans l’actualité », ajoute Marie-Françoise.

Les projets de l’auteure et de la maison d’édition

En s’installant au cœur du Luberon, à Ménerbes, les Éditions de la Safranède ambitionnent de s’ancrer davantage dans le paysage littéraire local.

Après avoir fait le Salon Cav’Arts de Cavaillon en mai dernier, Marie-Françoise Chevallier Le Page, de son côté, ira à la rencontre de ses lecteurs à Apt ce dimanche 13 juillet, mais aussi à Roussillon à l’occasion de l’événement ‘Livre en fête’ le dimanche 28 septembre prochain.

Rencontre ce dimanche 13 juillet. De 10h30 à 18h. Librairie Fontaine Luberon. 16 Rue des Marchands. Apt.


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Le marché paysan d’Apt vient de fêter ses 40 ans. A cette occasion, l’association du marché paysan d’Apt, le Parc naturel régional du Luberon et la Ville d’Apt ont organisé une matinée d’animations destinée au grand public et aux scolaires.
L’opération s’est déroulée le mardi 17 juin dernier sur le cours Lauze de Perret où se tient le marché ainsi qu’au jardin public.
Sur le cours Lauze de Perret, les producteurs étaient présents pour leur traditionnel marché paysan du mardi matin, avec en plus des stands de sensibilisation sur l’alimentation locale et la préservation des surfaces agricoles.
Au jardin public, était installée une ferme pédagogique pour faire découvrir les animaux de la ferme aux classes des écoles d’Apt (Les Cordeliers, Saint-Exupéry, Giono, Bosco, collégiens éco-délégués de la Cité scolaire). Par ailleurs, un repas, concocté par Nicolas cuisine le monde à partir des produits du marché, a aussi régalé de nombreux convives.

Une histoire de marchés
Il y a aujourd’hui 8 marchés paysans sur le territoire du Parc du Luberon : Coustellet, Saint-Martin de la Brasque, Pertuis, Cadenet, La Tour-d’Aigues, Lauris, Forcalquier et Apt. Ce sont plus de 250 paysans qui y proposent leurs productions de saison, frais, cueillis à maturité, variés et de qualité : fruits, légumes, fleurs, plantes aromatiques, vins, jus de fruit, fromages de chèvre, miels, confitures, volailles, œufs…
C’est à Coustellet, en 1982, que s’est créé, à l’initiative du Parc naturel régional du Luberon, le premier Marché paysan. Il s’agissait de répondre à une demande des consommateurs, touristes ou résidents, en quête de produits agricoles locaux de qualité.
Un an plus tard en 1983, les agriculteurs du sud Luberon sollicitaient le Parc du Luberon pour créer un deuxième marché à Saint-Martin de la Brasque.  Le marché paysan a ensuite été créé en 1985. Aujourd’hui, ils sont 7 dans la partie vauclusienne du Parc et 1 dans les Alpes de Haute-Provence.

Marché Paysan d’Apt. Tous les mardis. De 8h à 12h. Cours Lauze de Perret. Apt.

Marché paysan : une vraie marque
La marque « Marché paysan » (déposée à l’Institut national de la propriété industrielle) est attribuée par le Parc naturel régional du Luberon à un marché de producteurs locaux proposant en direct les produits issus de leur exploitation (la revente est interdite), frais, mûrs et conformes aux réglementations sanitaires. Les agriculteurs sont regroupés au sein d’une association-loi de 1901. Un règlement intérieur régit les droits et devoirs des adhérents.


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Éric Pierrat a été nommé sous-préfet d’Apt. Il succède à Christine Hacques qui était sous-préfète depuis août 2020 et qui devient sous-préfète de Nyons, dans la Drôme.

Il va quitter les Bouches-du-Rhône pour le Vaucluse. Éric Pierrat a été nommé sous-préfet d’Apt, par décret du président de la République du 5 juin, publié au Journal officiel le 6 juin, pour une durée initiale de trois ans.

Ce commissaire de police à Salon-de-Provence n’en est pas à son coup d’essai puisqu’il a déjà été sous-préfet par le passé, à Thiers dans le Puy-de-Dôme de 2003 à 2005. Il a ensuite été conseiller économique de l’ambassade française à New Delhi en Inde avant de revenir en France et d’exercer différentes fonctions. Ce n’est qu’en 2022 qu’il entre à l’École nationale supérieure de la police puis devient commissaire de police.

C’est sous un soleil de plomb que le nouveau sous-préfet d’Apt devrait prendre ses fonctions le mardi 1er juillet prochain et assurer la représentation de l’État dans les 57 communes qui composent l’arrondissement d’Apt.


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Christine Hacques, sous-préfète d’Apt depuis août 2020, quittera son bureau ce vendredi 20 juin pour prendre ses nouvelles fonctions de sous-préfète de Nyons, dans la Drôme, dès le lundi 23 juin. Les élus de l’arrondissement d’Apt se sont réunis ce lundi 16 juin à l’occasion de son départ.

Ce lundi 16 juin, une centaine de personnes sont venues célébrer le travail de Christine Hacques, sous-préfète d’Apt d’août 2020 à juin 2025, à l’occasion de son départ. C’est couverte de fleurs, de produits locaux et autres cadeaux, et avec beaucoup d’émotions, que la future sous-préfète de Nyons a salué les élus et tous ceux qui ont travaillé à ses côtés pendant près de cinq ans.

« La présence de l’État à nos côtés est précieuse, et avec le visage de Christine Hacques, elle devient essentielle, a commencé par dire Dominique Santoni. À Paris, on entend une petite musique nous faisant croire que les sous-préfectures ne seront bientôt plus qu’un héritage, qu’elles ne servent plus à rien. » La présidente du Département a tenu à démentir ces propos et à dire que le Vaucluse gardera le souvenir d’une sous-préfète investie.

Un travail main dans la main avec le préfet

Ça a été ensuite au tour de Thierry Suquet, préfet de Vaucluse, de dire un mot à propos de Christine Hacques, qu’il qualifie de « précieuse. » Un adjectif qu’avait aussi employé Violaine Demaret, ancienne préfète du département, à son égard au moment de passer la main à son successeur.

Ces dernières semaines, nombre d’élus des communes de l’arrondissement d’Apt ont témoigné du travail acharné de la sous-préfète auprès de Thierry Suquet. « J’ai eu des retours sur le fait que vous ne lâchiez rien », a-t-il ajouté, faisant rire l’auditoire et Christine Hacques. Le préfet a souligné les difficultés que présente le territoire du Luberon et a acclamé l’engagement de la sous-préfète dans chacune de ses missions.

« La sous-préfecture de Nyons travaille beaucoup avec le Vaucluse, on a de la chance, a-t-il fini par dire. Je compte sur vous pour prêter une attention particulière aux Gorges du Toulourenc, un territoire qui est partagé et fragile, mais aussi à l’Enclave des papes, qui est un territoire vauclusien mais limitrophe de la Drôme. »

Près de cinq années passées à Apt

C’est en août 2020, en pleine crise sanitaire, que Christine Hacques a posé ses valises dans la capitale du Luberon après avoir été sous-préfète d’Yssingeaux en Haute-Loire. « J’ai pris racine ici, malgré un démarrage difficile où je ne pouvais reconnaitre aucun visage à cause des masques, et aucune voix à cause des défauts de son lors des visioconférences », ironise-t-elle.

« J’ai aussi une pensée pour Bertrand Gaume et Violaine Demaret qui, chacun à leur façon, m’ont beaucoup appris. »

Christine Hacques

Après avoir remercié le préfet, la sous-préfète d’Apt a aussi pris un moment pour remercier les élus pour leur combattivité face aux dérives. « J’espère ne pas avoir donné l’image d’être contre vous lorsque je vous ai dit ‘non’ », a-t-elle déclaré avec le sourire. Elle a également remercié chaleureusement son équipe. « Sans son équipe, un sous-préfet n’est rien », a-t-elle affirmé avant d’ajouter fièrement que son équipe répond à 100% des courriers reçus.

Ses dossiers phares

Durant ses années à la sous-préfecture d’Apt, Christine Hacques a travaillé sur bon nombre de dossiers. Trop pour tous les citer. « Si le Luberon offre une carte postale extraordinaire, la carte postale a malheureusement un revers », déplore-t-elle. La future sous-préfète de Nyons s’est notamment fortement mobilisée sur le sujet de la paupérisation des habitants et a insisté sur l’importance de rester accessible, et de ne pas considérer les personnes comme de simples dossiers à traiter.

Elle a aussi travaillé étroitement avec les acteurs du Colorado provençal pour le projet Grand Site. « J’aurai voulu que ce dossier soit traité plus rapidement, mais au moins aujourd’hui il est possible de mieux gérer les flux grâce à la mise en place du système de réservation des créneaux de visite notamment », a-t-elle ajouté. Un système qu’elle aurait aussi voulu voir se mettre en place durant son temps à Apt à l’Abbaye de Sénanque à Gordes qui est victime de son succès durant la période estivale, mais c’est encore du ressort des propriétaires de l’édifice.

« Je vous remercie d’avoir accepté mon rythme et mon exigence », a-t-elle conclu avec beaucoup d’émotions alors qu’elle se prépare à quitter le Vaucluse pour la Drôme pour une durée initiale de trois ans. C’est Éric Pierrat, commissaire de police dans les Bouches-du-Rhône, qui va lui succéder. Il devrait prendre ses fonctions le 1er juillet prochain.


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Avec un contexte macroéconomique toujours incertain, le groupe aptésien Delta Plus avait enregistré un chiffre d’affaires en légère baisse en 2024. Une tendance qui s’est poursuivi au premier trimestre 2025.

Le groupe Delta Plus, basé à Apt et spécialisé dans les équipements de protection individuelle (EPI), a enregistré un chiffre d’affaires de 94,6M€ au premier trimestre 2025, en léger recul de -1,3% par rapport à la même période en 2024. Cette baisse est due à des marchés astreints en France, en Europe de l’Est ainsi qu’en Chine, au contexte macroéconomique et géopolitique incertain, et à un impact de change négatif, dans la continuité des derniers mois de 2024.

Malgré cela, et dans la continuité de 2024, le Groupe confirme sa résilience au premier trimestre 2025 et soutient ses performances grâce à un effet périmètre favorable de 2M€ avec l’intégration de la société néerlandaise Armor, spécialisée dans la distribution et la commercialisation de chaussures de sécurité haut de gamme, mais aussi grâce à une dynamique commerciale positive en Amérique du Sud, Afrique, Moyen-Orient et Océanie, et à une solide performance de son positionnement produit et de sa stratégie client.

À l’instar de 2024, l’année 2025 reste marquée par des incertitudes comme les conflits en Ukraine et au Proche-Orient, la volatilité des principales devises mondiales, et les nouvelles tensions géopolitiques portées par les droits de douanes en ce début d’année. Malgré cela, Delta Plus entend maintenir une croissance organique positive du chiffre d’affaires en 2025.


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Chaque année, la Fondation Crédit Coopératif remet ses Prix de l’Inspiration en ESS (Économie sociale et solidaire). Sur 89 candidats en Région Sud, cinq ont été récompensés dont l’entreprise à but d’emploi (EBE) Zou Vaï à Apt.

Lancés il y a 40 ans, les Prix de l’Inspiration en ESS récompensent des acteurs engagés, inspirants et inspirés qui mettent en œuvre des projets sociaux et environnementaux utiles. Sur 89 candidatures en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, cinq ont été retenues :

« Chaque année, nous faisons le constat d’un élan toujours plus vif et créatif en faveur d’une société inclusive de toutes et tous, affirme Stéphane Salord, président du comité de région représentant des sociétaires PACA du Crédit Coopératif. Notre région affiche une belle dynamique et je félicite toutes celles et ceux qui participent de près ou de loin à ces initiatives, plus que jamais indispensables dans le contexte actuel. »

Née dans le cadre de l’expérimentation ‘Territoire zéro chômeur de longue durée‘, lancée dans le Pays d’Apt en 2022, l’EBE Zou Vaï œuvre pour offrir des opportunités professionnelles aux personnes privées durablement d’emploi autour d’activités éco-responsables. Depuis sa création, elle a permis la sortie durable de privation d’emploi de près de 100 personnes.


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Le Département de Vaucluse organise le Forum des métier de l’aide à domicile et du soin ce jeudi 5 juin à la salle des fêtes d’Apt. L’occasion de découvrir les différents métiers de ce secteurs et de rencontrer des professionnels, mais aussi de participer à des entretiens d’embauche.

Avec le vieillissement de la population et les modifications de mode de vie chez les seniors, le secteur de l’aide à domicile et du soin connait un véritable essor. Aujourd’hui, ce sont plus de 1 000 postes qui sont proposés en Vaucluse, dont la plupart sont à pourvoir immédiatement.

Ouvert à tous, le Forum des métiers de l’aide à domicile et du soin se veut un moment d’échanges avec la participation des principaux acteurs du secteur. Les participants pourront rencontrer les professionnels, découvrir les différents métiers sous diverses formes comme des mises en situation, de la réalité virtuelle, un Escape Game, ou encore avec un simulateur de vieillissement. Il sera également possible de s’informer sur les formations et de participer à des entretiens avec des recruteurs.

À travers ce rendez-vous, le Département de Vaucluse souhaite s’engager dans la valorisation de ces métiers parfois mal connus mais dont les conditions de travail et salariales ont fortement évolué ces dernières années.

Jeudi 5 juin. De 9h30 à 12h30. Entrée libre. Salle des fêtes. Place Gabriel Péri. Apt.

https://www.echodumardi.com/tag/apt/page/3/   1/1