Concours artistique ouvert à tous pour les 100 ans du Cellier des Princes
Pour célébrer les 100 ans de l’existence de la cave coopérative vauclusienne, un concours d’art multidisciplinaire est mis en place par le Cellier des Princes qui sera ouvert à tous. Les participants ont jusqu’au 30 octobre pour soumettre leur candidature, les gagnants verront leurs œuvres exposées durant une durée minimale de trois mois.
100 ans de passion et de tradition vinicole. C’est ce qui s’apprête à être célébré par la cave Cellier des Princes qui se trouve à Courthézon à l’occasion de ses 100 ans d’existence. Pour partager ce moment avec le maximum de personnes, la structure vauclusienne a fait le choix d’organiser un concours d’art et ouvert aux artistes de tous horizons afin qu’ils participent à travers leurs œuvres à l’héritage de Cellier des Princes.
Ce concours est pluridisciplinaire et invite des artistes de plusieurs domaines à s’inscrire. Peinture, photographie, dessin, vidéo, film, 3D, sculpture, poésie, littérature, philosophie, il y en aura pour tous les goûts. Ouvert depuis fin avril, le concours reste ouvert aux candidatures jusqu’au 30 octobre 2024. Dès le mois de novembre, la pré-sélection des œuvres débutera. Les gagnants du concours seront exposés dès le premier jour du mois de décembre.
Une exposition d’un an en récompense ultime
Les 1ers prix de chaque catégorie artistique se verra remettre une somme de 300€ en guise de récompense ainsi qu’un magnum de Châteauneuf-du-Pape. Au-delà de l’aspect financier, c’est surtout la possibilité d’exposer durant plus d’un an pour les artistes vainqueurs qui constitue la véritable récompense de ce concours avec trois mois supplémentaires en 2025 ou 2026. Certaines œuvres présélectionnées pourront même être mises en vente au bénéfice exclusif des artistes à la fin de l’année 2025.
Toutes les informations concernant le concours sont disponibles en cliquant sur ce lien.
Concours artistique ouvert à tous pour les 100 ans du Cellier des Princes
Du mardi 10 septembre au samedi 28 septembre 2024, le photographe Jean-Pierre Rieu s’installe dans le hall d’exposition du Pôle culturel de la commune de Sorgues pour une nouvelle exposition intitulée « portraits calés ». La suite logique pour l’artiste local qui avait déjà proposé une exposition « Urbex » en 2023 dans la ville vauclusienne qui avait séduit un public nombreux.
Pour cette nouvelle exhibition de son travail, Jean-Pierre Rieu proposera une série de portraits décalés et réalisés sans trucage, exposés durant plus de deux semaines et ce en entrée libre et gratuite. « Nos visages disposent-ils tous de traits, d’expressions compatibles ? C’est la question que je me suis posée lorsque l’idée m’est venue d’effectuer des portraits que l’on pourrait qualifier d’insolites, ce que j’appelle les « portraits calés » a déclaré l’auteur de l’exposition.
« J’espère qu’à l’issue de cette exposition, vous serez convaincus, comme je le suis, que nous pouvons « mixer » la morphologie de nos visages. Dans la technique que j’emploie, pas de « tricherie », juste de la photographie sans trucage. Deux personnes posent et la photo qui en résulte n’est pas modifiée. Deux visages sur une même photo donnent naissance à une troisième entité. Pour obtenir ce résultat il convient d’effectuer, de façon harmonieuse, la juste superposition qui va créer ce nouveau personnage ».
Infos pratiques : exposition « portraits calés » de Jean-Pierre Rieu. Du mardi 10 septembre au samedi 28 septembre 2024. Pôle culturel Camille Claudel, hall d’exposition, 285 avenue d’Avignon, 84700, Sorgues. Entrée libre aux horaires d’ouverture du Pôle culturel. Plus de renseignements au 04.86.19.90.90.
Concours artistique ouvert à tous pour les 100 ans du Cellier des Princes
Exposée depuis début juin au sein de la Fondation Van Gogh à Arles, la toile « la nuit étoilée » de Vincent Van Gogh est encore exposée jusqu’au lundi 26 aout 2024, 18h. Il reste donc que quelques jours pour admirer cette toile iconique de l’artiste peintre néerlandais, très attaché à la ville du sud de la France.
L’exposition « Van Gogh et les étoiles » offre l’occasion de concevoir une exposition mettant en perspective les sources dans lesquelles puisa l’artiste pour réaliser cette œuvre mais aussi l’influence qu’elle a eue. À travers différentes approches, scientifiques, historiques ou poétiques, les travaux d’artistes anciens et contemporains apportent un éclairage nouveau sur l’œuvre de Van Gogh afin d’en souligner l’héritage et la force inébranlable.
Le chef d’œuvre rejoindra ensuite la National Gallery à Londres pour l’exposition « Van Gogh : poètes et amants » qui débutera dès le 14 septembre 2024.
Infos pratiques : Exposition « Van Gogh et les étoiles ». Accessible tous les jours de 10h à 19h, jusqu’au lundi 26 août 2024, 18h. Fondation Vincent Van Gogh, 35 rue du Docteur Fanton, 13200 Arles. Tickets disponibles ici.
Concours artistique ouvert à tous pour les 100 ans du Cellier des Princes
Inaugurée en juillet 2024, à la veille d’une élection importante pour notre pays, l’exposition Miss Tic ‘À la vie, à l’amor’ au Palais des Papes rassemble pour la première fois les œuvres d’une femme hors du commun qui nous interpelle au-delà des murailles pour nous insuffler sa rage, ses désirs et son humour.
Nous avons eu l’immense privilège d’être accompagnés pour la visite de presse par la curatrice de l’exposition Camille Lévy Serfati, l’assistant de Miss Tic Maxime Gurriet, ainsi que Charlotte et Antoine Novat, ses ayants droits qui ont pu nous régaler d’anecdotes, de commentaires, de précisions techniques, de souvenirs… Mais pas d’inquiétude : l’exposition se suffit à elle-même, les panneaux sont très explicites, tout est prévu jusqu’au 5 janvier pour rendre cet événement accessible à tous avec visites guidées et pédagogiques, ateliers et même espace participatif. Comme l’exposition précédente de l’été 2023 d’Eva Jospin, elle se déploie dans tout le Palais, est comprise dans le prix d’entrée de la visite, n’est pas circonscrite à La Grande Chapelle comme l’exposition Salgado (2022). C’est utile de le rappeler, car la visite du Palais requiert une bonne forme physique et nécessite de prendre son temps pour lire les centaines d’aphorismes accrochés dans les différents espaces. Un mot d’ordre : prendre son temps, déambuler, rire et s’extasier devant tant de talent, d’humour et d’à-propos, les écrits faisant souvent écho à notre actualité. Malgré les murs imposants du Palais, on retrouve paradoxalement le faste populaire de la rue chère à Miss Tic.
De l’anonymat à la reconnaissance dans l’espace public
De son vrai nom Radhia Aounallah, épouse Novat, Miss.Tic naît en 1956 à Paris. À l’âge de 10 ans, elle survit à un accident de voiture qui coûtera la vie à sa mère, son frère et sa grand-mère et la marquera à vie d’un handicap de la main droite. « Le voyage est familial, la route nationale, l’accident fatal… Fin des vacances… Disparition définitive de ceux que j’aime. Je n’ai plus rien à perdre, à part moi… Le corps modifié, je traîne ce qui reste de mon enfance avec agacement », Extraits d’un Texte autobiographique écrit par Miss.Tic. Dans les années 80, elle part pour les États-Unis, intègre le milieu punk. De retour à Paris, elle pose son premier pochoir en 1985 et emprunte son pseudonyme au personnage de la sorcière dans les aventures de Picsou qu’elle lisait enfant.
La revanche posthume d’une pionnière
Pour cette artiste qui a toujours transgressé l’ordre établi, quelle reconnaissance que d’être exposée au Palais des Papes, symbole de la puissance politique et religieuse au XIVᵉ siècle, devenu depuis le lieu emblématique des grandes expositions d’Art contemporain.
Femme issue de milieu populaire, fille d’un travailleur immigré tunisien, poétesse, papesse de l’Art urbain, pionnière du street-art, artiste au 1001 pochoirs (pochoiriste) les qualificatifs ne manquent pas pour cette femme hors du commun que l’on pensait ne pas connaître, mais qui a pourtant accompagné son époque en laissant son empreinte dans la rue, les galeries ou les expositions. Miss Tic coche toutes les cases de l’artiste qui n’a fait aucun compromis au cours de sa courte vie (décédée à 66 ans) si ce n’est en 1999 : celui de décider de demander désormais l’autorisation pour apposer ses pochoirs, lassée d’être toujours arrêtée et condamnée. Autorisation d’apposer certes, mais libre des contenus ! Et quels contenus ! Dessins, affiches et slogans explicites appelés aphorismes ont le mérite de faire mouche, d’être compris par tous et de nous faire rire.
Vagabondage et expérimentation dans les rues de Paris
Dans les jardins Benoit XII, Pascal Rodrigues, scénographe de l’exposition, a traduit l’univers brut de Miss tic sans artifice : premiers pochoirs dont le premier de 1985 dans le 14ᵉ arrondissement, palissades, poubelle, boîtier électrique, boîte aux lettres comme éléments du décor. Miss Tic avait eu une expérience théâtrale et avait à cœur de toujours travailler la mise en scène de ses œuvres dans la rue. Rien n’était spontané. Tout était pensé pour pouvoir susciter l’étonnement au détour d’une rue, d’une impasse. C’était pour elle une manière de sublimer l’ordinaire et le banal.
Une femme de caractère désormais inscrite dans l’histoire de la typographie
Dans les années 80, sa production littéraire devient importante, la place de l’intime est centrale et petit à petit, elle va préférer les formes brèves, la forme de l’aphorisme, les détournements de slogan publicitaire pour faire passer des messages, provoquer et bousculer avec humour. Elle cherche sa typographie et va devenir créatrice de caractère, avec une nouvelle typographie, reconnaissable entre toutes. Cette idée formidable de créer une signature inscrite résolument Miss Tic dans le monde masculin de la typographie.
À partir de 2000, elle ne travaille que sur autorisation
En 1999, suite à une condamnation pour « détérioration d’un bien par inscription » elle décide de sortir de l’illégalité et de toujours demander l’autorisation avant d’apposer ses pochoirs. C’est le début d’un travail où l’humour, l’érotisme, le désir et l’amour sont présents dans chaque parcelle de son œuvre qui est dévoilée de la salle du Grand Tinel à la Grande Chapelle. On découvre ainsi la première série créée sur autorisation « Muses et hommes » qui détourne des tableaux de l’histoire de la peinture classique qui avait tendance à représenter les femmes, les muses comme des objets du regard masculin, comme des corps passifs. Miss Tic leur redonne la parole en rajoutant des aphorismes, exemple pour La Joconde « pour sourire, il faut avoir beaucoup pleuré. »
Une femme engagée et subversive
Elle ne se disait pas militante, mais elle a inscrit son travail dans le champ de la poésie civique : on découvre avec jubilation dans la Grande Chapelle ses slogans savoureux produits à chaque campagne présidentielle jusqu’en 2007. « On n’est ni de droite, ni de gauche, on est dans la merde », « soyons des gueux » ou « le pouvoir ne protège pas, il se protège. »
Une femme qui revendique une sexualité libre
Le désir est son moteur, une rage de vivre que l’on retrouve partout. Elle revendique de pouvoir mettre sur la place publique le corps des femmes, le désir et le plaisir. Elle se réapproprie – au risque de choquer aujourd’hui, mais il faut recontextualiser — la représentation des corps des femmes pour affirmer la « force politique du corps des femmes. » Pour elle, le corps de ces/ses femmes fatales (détournées, calquées de magazine ou de publicités accompagnées toujours d’un aphorisme poétique) a un potentiel subversif très important. « Je revendique la charge érotique de mon travail. »
Son atelier, une immersion dans son travail avant la rue
Miss Tic passait beaucoup de temps dans son atelier ici reconstitué avec sa radio, ses étagères, ses bombes. « Écriture, recherche iconographique dans des BD, des livres, des affiches. Mais aussi expérimentation et recherche plastique entre tôle, soie, bois. Elle calquait, transformait, scannait ses calques, vectorisait les dessins à l’aide d’un logiciel, les mettait ensuite à l’échelle, puis les imprimait à l’échelle voulue pour les coller ensuite sur du papier cartonné, les redécouper au cutter. Il y avait tout un processus de mise en jeu du corps », précise son assistant Maxime Gurriet. On pourra admirer plus de 90 matrices de ses pochoirs suspendus dans la Grande Chapelle.
Son hommage aux femmes de lettres
En 2011, elle crée une série pour rendre hommage aux femmes de lettres qui ont en commun d’être irrévérencieuses, subversives… comme elle. L’idée de cette installation que l’on découvre dans le Grand Tinel est de « replacer Miss Tic comme poétesse, femme de lettres au côté de celles qu’elle célèbre. » Elle a pour cela bombé leurs portraits sur des pages bien précises de leurs ouvrages. On s’amusera ainsi à deviner grâce à des indices littéraires, Virginie Despentes, Patti Smith, Marguerite Duras…
En fin de visite, l’histoire intime croise la Grande Histoire
Où l’on comprend que Miss Tic se livrait intimement, mais qu’elle était « une véritable philosophe de la rencontre ». On découvre ainsi tout un cabinet de curiosité exposé sur une longue table de travail : pêle-mêle des archives intimes, des lettres, esquisses, la liste – établie par Miss Tic — de ses amours, des collages, photos. Affichée sur fond rouge, son histoire intime rencontre la grande Histoire. C’est ainsi qu’elle se marie en 1998 quand le préfet de Corse Claude Erignac est assassiné, qu’elle passe en correctionnelle en 1999 quand l’Otan déclare la guerre à la Serbie, qu’elle est filmée par Agnès Varda en 2003 pour le tournage de Murs Murs quand la navette spatiale Columbia explose… Une salle passionnante, entièrement consacrée à l’amour, l’amitié et à quatre décennies de combat poétique aux prises avec l’actualité.
Les visiteurs auront le dernier mot
Après avoir entendu la lettre finale écrite par Miss Tic et lue par Augustin Traquenard sur France Inter pendant le premier confinement, la Chambre des Notaires va permettre à chaque visiteur entre 14h et 17h d’exprimer sa rage ou ses désirs sur des palissades vierges, avec une typographie libre de droits créée spécialement.
Une œuvre collaborative éphémère que n’aurait pas reniée Miss Tic, elle qui a toujours désiré la libre expression intime et publique et sa transmission.
Jusqu’au 5 janvier 2025. Miss Tic. À la vie à l’Amor. Du 01/03 au 03/11 : 9h – 19h. Du 04/11 au 20/12 : 10h – 17h. Du 21/12 au 31/12 : 10h – 18h. 5 à 17€. Palais des papes. Avignon. 04 32 74 32 74.
Concours artistique ouvert à tous pour les 100 ans du Cellier des Princes
Deux voisines habitant à Lacoste, Véronique Meredith et MacKenzie Mercurio, exposent leurs œuvres jusqu’au dimanche 18 août à La Cure à Lacoste.
L’une est artiste peintre, elle travaille sur de multiples techniques telles que l’encre et l’huile, des paysages aux natures mortes, et l’autre est photographe, elle crée des transferts sur bois de ses photographies originales, du floral au paysage, en passant par le portrait. Pour cette exposition, leurs deux univers se rencontrent et s’entremêlent.
Ouverture de 9h à 18h. Jusqu’au dimanche 18 août. La Cure Place de l’Église. Lacoste.
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À partir de ce vendredi 2 août, la Chapelle du Collège, située à Carpentras, accueillera l’exposition ‘Le crépuscule des dieux’ de l’artiste avignonnais Daniel Mourre. Le vernissage aura lieu le vendredi 2 août et l’exposition sera en place jusqu’au vendredi 30 août.
À travers ses œuvres, l’artiste montre les dérives des sociétés humaines et alerte sur la nécessité d’un changement rapide afin d’éviter des situations extrêmes, qui provoqueraient la finitude de l’Homme, provoquée par une nature saccagée. Ainsi, Daniel Mourre se positionne comme un archéologue d’un futur très lointain qui découvrirait des traces et des fossiles de l’ère anthropocène, c’est-à-dire l’époque ayant débuté quand l’influence de l’être humain sur la géologie et les écosystèmes est devenue significative à l’échelle de l’histoire de la Terre.
Vernissage le vendredi 2 août à 18h30. Ouverture du mardi au jeudi de 10h à 12h30 et de 15h à 18h, et le vendredi et le samedi de 10h à 13h et de 14h30 à 18h. Du 2 au 30 août. Chapelle du Collège. 21 Rue du Collège. Carpentras.
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Tout l’été, l’Abbaye de Silvacane, située à La Roque d’Anthéron, accueil l’exposition ‘Passion’ de l’artiste Jean-Charles Gil qui met en lumière les pointes de danse classique. Une exposition à l’image de sa carrière internationale de danseur, chorégraphe et directeur de compagnie.
Il y a une vingtaine d’années, Jean-Charles Gil commence un travail artistique autour des chaussons de danse, dans l’optique d’entamer une démarche d’observation, d’analyse et de mémoire, mais aussi dans une recherche esthétique autour de l’accumulation d’un matériau qui l’a accompagné toute sa vie de danseur. « Les chaussons sont multiples : beaux, neufs, sales, rangés, au repos, mais ils portent tous de l’existence et du vécu », explique-t-il.
L’exposition ‘Passion’, qui est en place à l’Abbaye de Silvacane jusqu’au 8 septembre prochain, compte 20 compositions de l’artiste, dont une pièce en bronze de 45kg créée pour l’occasion. De ‘Audition’ à ‘Dernière Saison’, de ‘Confinement’ à ‘Larmes de sang’, chaque tableau porte le souvenir de moments vécus. Les chaussons et pointes, dans leur arrangement ordonné et esthétique, dévoilent l’instant figé d’une chorégraphie en cours.
Jusqu’au dimanche 8 septembre. Tous les jours de 10h à 12h45 et de 14h à 18h. Abbaye de Silvacane. RD561. La Roque-d’Anthéron.
‘Confinement’‘L’envol’‘Larmes de sang’
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Après une première édition pleine de promesses, le salon international de l’art contemporain est de retour pour une seconde édition sur la ville d’Avignon, au Parc des expositions, du 4 au 6 octobre 2024. Dans le cadre de cet évènement, les organisateurs invitent les artistes du territoire vauclusiens à s’inscrire et faire découvrir leur talent.
Le SIAC (salon international de l’art contemporain) revient pour une seconde édition sur la ville d’Avignon. Après une première édition qui avait attiré un public nombreux avec plus de 7.000 visiteurs, l’évènement culturel qui avait permis à de nombreux vauclusiens de découvrir des artistes et d’échanger autour de leurs créations, reviendra au Parc des Expositions qui se trouve à Agroparc du 4 au 6 octobre 2024.
Les inscriptions, toujours ouvertes
Pour les artistes d’art contemporain, les inscriptions sont toujours ouvertes et en cours. Le SIAC 2024 reprendra ses valeurs et ses principes fondamentaux avec des rencontres avec les « professionnels » en direct sans passer par des galeries afin de valoriser une logique commerciale de proximité. Comme l’an dernier, un parcours de visite atypique permettra au public présent de découvrir les stands de manière originale et sereine tout en garantissant aux artistes une visibilité constante en tout points.
Pour obtenir le dossier de participation et s’informer sur les conditions d’admission, les intéressés sont invités à prendre contact l’organisation du salon par mail, à l’adresse suivante : e.genre@galeriephocea.com ou en se connectant sur le site du salon : www.siac-avignon.com. Pour prétendre à obtenir une place, il faut néanmoins justifier d’un statut de professionnel et d’un numéro de SIRET/Nº MDA ou AGESSA ou inscription à la chambre des métiers. Toutes les candidatures, peu importe le style, sont les bienvenues afin d’offrir au public la plus grande diversité de création.
3 jours consacrés à l’art
Du 4 au 6 octobre 2024, de nombreux artistes sont attendus au Parc des Expositions, sur 3 000 m2 dans le hall A, pour 3 jours de salon, animés par la même passion, le même esprit et la volonté de créer un rendez-vous annuel.
S’il revendique les mêmes fondamentaux qu’à Marseille, à savoir la présence exclusive d’artistes professionnels (et non de galeries) sur des espaces d’exposition privatifs avec une pluridisciplinarité de techniques et de styles présentées, le SIAC est une plateforme d’échanges, de rencontres et de partage, d’achats et de coups de cœur entre les exposants et le public composé de professionnels (galeristes, directeurs artistiques, architectes, décorateurs, décideurs d’entreprise…), d’amateurs d’art et de visiteurs néophytes.
Infos pratiques : 2ème édition du Salon international de l’art contemporain. Du vendredi 4 au dimanche 6 octobre 2024, de 10h à 22 h le vendredi et de 10h à 19h le samedi et dimanche. Parc des expositions, chemin des felons, 84140 Avignon. Billets et informations disponibles sur le site www.siac-avignon.com. Tarif normal : 10€, tarif réduit (étudiants, handicapés, groupe) : 7€ et gratuit pour les -12 ans.
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Dans quelques jours, peintures, sculptures et photographies vont s’intégrer dans le paysage de l’hôtel Le Phébus & Spa, situé à Joucas. Le vernissage aura lieu ce mardi 2 juillet.
Le mardi 2 juillet, Le Phébus va devenir une véritable galerie d’art. Le spa, le parc, le restaurant La Table de Xavier Mathieu et bien d’autres recoins de l’hôtel vont accueillir les œuvres de six artistes.
L’artiste Laurence Jenk montrera sa maîtrise du plexiglas et sa technique de torsion à travers ses œuvres qui seront disposés dans le parc et au sein-même de l’hôtel. Ses œuvres côtoieront les sculptures en bronze, terre, résine et céramique de Martine Wehrel. Les photographies de Hans Silvester pourront également être aperçues dans le parc du Phébus.
Les peintures aux couleurs vives de Murielle Vanhove et les toiles inspirées par le hip-hop underground des années 80 et 90 de Nicolas Herbé sublimeront la salle du restaurant étoilé de l’établissement. Le spa de l’hôtel, quant à lui, accueillera les peintures et gravures de Monique Flosi.
Hans SilvesterLaurence JenkMartine WehrelMonique FlosiNicolas HerbéMurielle Vanhove
Vernissage le mardi 2 juillet. 17h. Le Phébus & Spa. Route de Murs. Joucas. lephebus@lephebus.com / 04 90 05 78 83