Châteauneuf-de-Gadagne, Loli Satam expose au Bistrot de la Pastière
Artiste autodidacte, Loli Satam passionnée par les arts, et en particulier par le collage, expose au Bistrot de la Pastière à Châteauneuf-de-Gadagne à partir de samedi 1er avril jusqu’au dimanche 28 mai.
Au tout début ? Loli Satam, passionnée par l’art rencontre des artistes, visite toutes les expositions qui se présentent à elle, s’imprégnant fortement de toutes ces images. C’est ainsi que pour joindre l’utile à l’agréable, elle a longtemps travaillé dans un centre d’art. Là, elle participe activement à l’organisation d’expositions et à l’édition de catalogues.
C’est donc tout naturellement, lors du premier confinement, qu’elle s’essaie à plusieurs activités et est très vite séduite par l’art du collage. Elle commence par déchirer des images et à les juxtaposer, puis à customiser des images qu’elle réinterprète. Elle découpe au ciseau, puis au cutter et au scalpel, assemble et colle.
Zebra de Loli Satam DR
Chacune de ses créations est unique, réalisée à partir de ces images collectées de toutes part : magazines, ouvrages, journaux anciens comme autant de sources infinies. Elles sont ensuite assemblées et collées, invitant le spectateur à entrer dans univers onirique, décalé où la représentation du réel n’a plus tout à fait la même place.
Le infos pratiques Loli Satam expose se collages au Bistrot de la Pastière du 1er avril au 28 mai. Restaurant tenu par Philippe Gaven qui propose une cuisine italienne élaborée à partir de produits frais. 5, Place de la Pastière à Châteauneuf-de-Gadagne. 04 90 22 40 95. L’artiste accrochera ses œuvres vendredi 31 mars après-midi. sur facebook Loli loli et instagram lolisatam. MH
Châteauneuf-de-Gadagne, Loli Satam expose au Bistrot de la Pastière
Décembre n’est pas seulement le mois du recueillement, des fêtes en famille et des cadeaux – c’est aussi la période des rétrospectives annuelles. Parmi elles : la rétrospective annuelle de Spotify. La plateforme de streaming musical qui fait partie des services les plus utilisés en France avec Deezer vient de publier son classement des artistes les plus écoutés en 2022 par pays.
Dans le top 10 des artistes les plus écoutés en France sur Spotify cette année, on retrouve presque uniquement des rappeurs français, à l’exception du chanteur canadien The Weeknd, neuvième dans l’Hexagone et quatrième au classement mondial avec plus de 80 millions d’auditeurs par mois. Pour la deuxième année consécutive, Jul conserve la première place du classement. Le rappeur marseillais affiche un total de 6,5 millions d’auditeurs mensuels sur Spotify (total mondial). Derrière Jul, Ninho occupe la deuxième place du podium suivi de Gazo. Ces deux artistes comptent respectivement 4,9 et 5,8 millions d’auditeurs par mois. Damso, PNL, Naps, Orelsan, Tiakola et Nekfeu complètent le classement.
Les rappeurs masculins dominent le classement des écoutes sur Spotify en France et on constate que les femmes sont absentes de ce top 10. Comme le montre un autre graphique, à l’inverse de leurs homologues masculins, très majoritairement francophones, les musiciennes les plus populaires sur la plateforme dans l’Hexagone sont pour la plupart anglo-saxonnes.
Châteauneuf-de-Gadagne, Loli Satam expose au Bistrot de la Pastière
Artothèque accueille 220 adhérents dont beaucoup sont des artistes établis dans le Luberon tels que des peintres, des sculpteurs et des photographes, dont des célébrités mondialement connues. François Cance, président de l’association -qui a pour but de promouvoir l’art contemporain- organise, tout au long de l’année, des visites d’ateliers d’artistes, des expositions, des rencontres ainsi que des conférences. Il dévoile son calendrier 2022 et se remémore les aventures vécues en 2021.
«Ce que je recherche ? Interroge François Cance, La liberté dans la création. J’ai travaillé 35 ans chez BNP Paribas, lorsque j’avais besoin de m’échapper de ma vie professionnelle, je téléphonais à des sculpteurs, des peintres, des photographes et j’allais passer une heure avec eux dans leur atelier. C’était pour moi une véritable respiration que de côtoyer un créateur.»
Lors d’un mariage à Dakar «Un jour, lors d’un mariage à Dakar, je feuillette une revue locale et je tombe sur un article évoquant Ousmane Sow. Je l’appelle et passe une heure avec lui. Je l’ai revu 15 ans après alors que Jean-Paul Blachère créait sa fondation d’entreprise éponyme pour participer au développement de l’Afrique en aidant à la création contemporaine et la promotion de ses artistes. Le monde sert à ça : établir des contacts.»
Dans l’avion «Un jour, alors que j’étais en avion, au lieu de prendre un journal ou une revue, je me suis mis à converser avec la personne assise à côté de moi. Cette dame férue d’art avait possédé une galerie à Barcelone. Elle était devenue l’assistante de Marc Albouy président d’Electra-EDF à Paris. Je lui parle du sculpteur Pollès dont je me suis beaucoup occupé. Je lui explique que l’artiste fond lui-même ses pièces –ce qui est très rare- en Toscane à côté de Pietrasanta. Je lui précise qu’il est en train de travailler sur un pantographe électronique ce qui engage un certain coût. Elle me répond qu’elle va en parler à son patron.»
François Cance lors de l’assemblée générale d’Artothèque au Phébus à Joucas qui a réuni 120 membres. L’association en compte 220.
Electra-EDF «Un mois après, Marc Albouy me rappelle. Nous prévoyons de passer trois jours en Toscane pour rencontrer Pollès et voir ses œuvres. Nous avons participé à une fusion. Lorsque Marc Albouy a vu le pantographe il a décidé de diligenter un ingénieur pour la mise en œuvre la partie électronique électronique ce qui a conduit à déposer un brevet EDF-Pollès*. Six mois après, il me joint à nouveau pour me donner le contact d’une de ses amies qui s’occupe de Bagatelle, à Paris évoquant la possibilité d’une exposition. C’est ainsi, il y a 15 ans, que Pollès a été exposé à l’Orangerie, il y avait le pantographe manuel et aussi l’électronique, la projection du film sur la fusion –à l’initiative de Marc Albouy qui l’avait commandé-. Tout cela a été réalisé grâce à Marc Albouy et, avant lui, grâce aux contacts humains.» *Dans les années 1990, le sculpteur Pollès a développé, en collaboration avec le centre de recherche EDF, un pantographe électrique utilisant, pour la première fois, une pointe de touche électronique enregistrant le point de contact avec la matière et ses coordonnées. Source Note technique Lithias sur la 3D.
Pourquoi ? «Lorsque j’ai pris ma retraite il y a 25 ans, j’avais envie de rassembler des artistes, c’est devenu l’association Artothèque. Nous étions 30. Puis à ces artistes se sont greffés des amis. L’association a pris de l’ampleur au fur et à mesure des rencontres organisées au Domaine de la Citadelle à Ménerbes, à la Maison Dora Maar, au Château de la Nerthe à Châteauneuf-du-Pape. J’ai eu la chance d’obtenir des lieux de grande qualité qui ont trouvé leur public, les gens sont venus et ont demandé à adhérer à l’association. Tout cela s’est fait simplement, amicalement, au gré de contacts.
En 2022 A l’heure où nous écrivons nous ne savons pas si le programme qui suit sera maintenu. Nous vous invitons donc à vous rapprocher de l’association pour en avoir confirmation. Éternel optimiste, homme bienveillant et grand amoureux de l’art –plutôt contemporain-, François Cance a prévu de fêter le gâteau des rois dimanche 30 janvier à 16h chez le peintre William Hanon, 92 rue de la République à Apt. Dimanche 24 avril nous ferons un pique-nique chez Christiane Filliatreau à Bioux, chemin de l’Oratoire, pour y découvrir ses sculptures et poteries. Samedi 21 mai à 15h, Pierre Brun se prêtera à une visite de la manufacture Brun de Vian-Tiran à l’Isle-sur-la-Sorgue. Dimanche 29 mai, Christian Desailly à Gordes exposera 6 artistes Nanou et Bernard Autin, Christine Bozza, Marine Guillemot, Marc Nucera et Jacques Salles. Dimanche 12 juin Julien Allègre, sculpteur, ouvrira son atelier situé chemin de Cairanne, 382 Zac camp Bernard à Sablet. Au cours de l’été Hans Silvester, photographe –qui a notamment photographié des poules dans le monde entier-, le chef Xavier Mathieu étoilé au guide Rouge Michelin pour le Phébus à Joucas et un conférencier évoqueront le bien-être animal. Vendredi 9 septembre Babouchka à Coustellet accueillera les peinture et gravures de Fabienne Péry-Meylan. En octobre prochain, Denis Brihat exposera ses photos à la Librairie le Bleuet à Banon. Enfin, ne novembre aura lieu l’assemblée générale qui se déroulera dans le nouveau bâtiment de la Lustrerie Mathieu 432 Route de Croagne à Gagas.
En 2021 Les adhérents d’Artothèque ont ainsi visité les ateliers de Sylvia Tailhandier. En mai et septembre dernier la librairie Le bleuet à Banon a exposé des sculptures de Marc Nucera et les photos d’Eric Meylan. Toujours en mai dernier un pique-nique s’est tenu chez le peintre Eva Vorfeld à Bioux pour découvrir ses oeuvres. En juin, à l’Isle-sur-la-Sorgue, il était question de rencontrer Nanou peintre et Bernard Autin, sculpteur. Ce même mois, le photographe et journaliste François Bringer a ouvert 4 jours son atelier à Bonnieux. En juin, les époux Canat, dans leur propriété de Ménerbes ont accueilli une expo du peintre Galatioto et des photos d’Alain Wieder autour du parc de sculptures de Joël Canat. En juillet, le mas de Sudre a mis en scène les œuvres du peintre Philippe d’Orsay, les sculptures de Bérengère d’Orsay et les sculptures animalières d’Olivia Trégaut. En août c’était au tour de Marie-Laure Gérard-Becuwe d’exposer ses sculptures au Phébus à Joucas. En septembre dernier, c’est lors d’un pique-nique chez elle, à Gargas, que Claudine Borsotti, laissa découvrir ses sculptures aux adhérents.
Les infos pratiques Artothèque. Promotion de l’art et des artistes. François Cance. 06 80 05 53 07. artothèquecance@orange.fr
Châteauneuf-de-Gadagne, Loli Satam expose au Bistrot de la Pastière
Provence-store.com est une marketplace de la société Provence Marketing, située à Avignon. Elle a été imaginée par Joëlle Cambonie, professionnelle du marketing et de la communication qui s’est installée en Provence avec sa famille il y a 7 ans. Jour après jour, celle-ci a découvert les talents et spécialités de la région ; à travers provence-store.com, elle souhaite les partager avec les amoureux de la Provence, toute l’année et dans le monde entier.
Ce qu’on y trouve ? Des artistes et des artisans qui vivent en Provence. Ils ont été sélectionnés par Joëlle Cambonie pour l’authenticité de leur travail, leur créativité et bien sût leurs œuvres et produits livrables dans toute l’Europe, en Amérique du Nord et au Moyen-Orient ainsi qu’en Asie.
Bagkok thème Stéphan Venekas
Les artistes Le dernier à être entré sur Provence-Store est Stéphan Venekas. Sa passion évidente pour l’aéronef, capture d’image saisissante, sensation de vitesse : les œuvres de Stéphan Venekas sont très ‘tendance’. Elles suggèrent une idéalisation quasi irréelle puisant sa source dans les villes verticales telles que Hong-Kong, New York ou Dubai et une vision intemporelle d’un monde en constance mutation. Son travail s’exprime par une impression sur aluminium. Finition ultra glossy en verre acrylique 2 mm ou résine époxy. Châssis bois. Pour découvrir les œuvres de Stéphan Venekas ici.
La collection ‘Ipadrawing’ de Lionel Borla : l’art rendu accessible Lionel Borla travaille à Marseille. Son style figuratif est agréablement stylisé. On reconnaît ses œuvres par les silhouettes longilignes, qui habitent ses œuvres. Elles constituent autant de symboles de l’esprit humain qui voyagent entre les paysages et les architectures et entraînent le public dans un monde de couleurs et d’harmonie. La musique, souvent présente, rythme les tableaux. Pour Noël 2021, il nous a fait le plaisir de sortir une collection ‘d’Ipadrawings’ à 160€ seulement. (Ici, Pinède fauviste) Pour découvrir les œuvres de Lionel Borla ici.
Pinède fauviste de Lionel Borla
Mode et accessoires de mode Song by Minji Vinvent (mode), Angel et Miosotti (couture), Choco et Lula (mode enfants), Les bottes de Marius (bottines de Camargue), Les Péquelettes del sol (ceintures), atelier Pom.
Châteauneuf-de-Gadagne, Loli Satam expose au Bistrot de la Pastière
Retour de voyage propose une exposition-vente de 80 œuvres d’artistes et de photographes reconnus de Birmanie. Les cotes des artistes sont maintenues. Les fonds récoltés seront envoyés aux artistes et aux photographes. Wendy Law-Yone, écrivain et journaliste fera l’introduction du vernissage aujourd’hui vendredi 29 octobre à 19h30. Catalogue de l’exposition ici.
Retour de voyage
Le lieu, situé au cœur de l’Isle-sur-la-Sorgue, est le point de ralliement d’artistes et de collectionneurs du monde entier et l’endroit de merveilleuses rencontres. A côté des œuvres d’art, Retour De Voyage propose également des créations et de l’artisanat rapportés de nombreux voyages et représente des artistes, des créateurs et des designers rencontrés au hasard de leurs balades autour de la planète.
Les infos pratiques
Retour de voyage-La maison sur la Sorgue. Concept store. 6, rue Rose Goudard. Galerie d’art place Rose Goudard à l’Isle-sur-la-Sorgue. 06 87 32 58 68. lamaisonsurlasorgue@wanadoo.fr Vernissage-vente de l’exposition ce soir vendredi 29 octobre à partir de 19h30 jusqu’à 21h. MH
Châteauneuf-de-Gadagne, Loli Satam expose au Bistrot de la Pastière
La Villa Datris propose un regard sur 10 ans d’exposition. Objectif ? Rendre l’art contemporain accessible à tous. Une manière pour la fondatrice, Danièle Kapel-Marcovici, d’ouvrir l’esprit de ses contemporains à une façon de voir et de penser à la marge. Depuis 2011, 500 artistes ont été exposés pour ravir plus de 300 000 visiteurs.
Ce qu’on y verra ?
Toutes les œuvres acquises par la fondation depuis 2011. En comptant rapidement, ça fait 123 artistes à découvrir… La gageure ? Et même le casse-tête chinois ? Placer chaque sculpture à sa place et les faire dialoguer entre-elles ‘en symphonie’ alors qu’elles sont parfaitement hétéroclites… Le talent ? Instaurer une cohérence, un fil conducteur capable d’emmener le visiteur à la marge de l’académisme, de ses connaissances, de ses repères et envies, l’invitant à s’exercer à l’abstraction à appréhender… l’inconnu et donc le futur.
Parmi les œuvres, des artistes livrent leurs pensées
Odile de Frayssinet pour ‘Comme une terre sans ombre’
«Cette sculpture commence par une armature métallique, qui lui sert de squelette, sur laquelle j’appose un tissage que j’ai voulu ‘originel’ comme un témoignage de tous temps, conçu à partir de la ficelle polypropylène qui restera pérenne. Puis j’ai pris mon chalumeau pour en faire une peau, puis je fais une série d’amalgame avec des liants acryliques, de la terre, de la poudre de marbre, de la poudre d’or. Je conçois des sortes de stèles, des totems, des vigies… un peu comme des incantations primitives. Comme un mouvement archaïque originel qui est de s’adresser à quelqu’un à quelque chose de plus grand que soi. Cette grande stèle fait partie d’une série intitulée ‘L’âge de fer’.» Odile de frayssinet est née en 1947 à Santiago du chili. Elle vit et travaille à Vénéjan.
Odile de Frayssinet ‘Comme une terre sans ombre’
Ciris-Vell pour un ‘Totem ondulatoire’
«Mon thème ? C’est de partir de la terre pour aller à l’univers, au Cosmos. Cette sculpture fait partie d’une série réalisée pour une importante exposition à Paris et avait intégré ce lieu avant même que la Villa Datris ne soit ouverte. Mon mari et moi avions accompagné Danièle et son compagnon Tristan dans la recherche d’un lieu pour la Fondation à l’Isle-sur-la-Sorgue. Cette œuvre est réalisée à parti de matières recyclées. Le totem ? C’est le trait d’union entre la terre et le cosmos dont le bleu intense, souligne l’immatérialité.» Ciris-Vell est née en 1946 à Paris. Elle vit et travaille à l’Isle-sur-la-Sorgue.
Ciris-Vell, comme un trait d’union entre la terre et le Cosmos
Henri-François Dumont pour ‘Ascension médiatique’
«Ce siège en inox fait partie des créations ‘Sculptures d’assises’ de l’artiste. L’escalier rouge monte vers un vide figurant la chute des notoriétés pourtant très médiatisées et bien assises. «Je fais référence au tapis rouge qui habille les marches du festival de cannes, symbole de la réussite médiatique. On voit des gens monter puis descendre les escaliers et parfois on ne les voit plus durant des années ou plus jamais. Cela figure la chute des notoriétés. J’ai ainsi réalisé 300 sièges soit sans assises soit avec des assises impossibles.» Henri-François Dumont est né en 1935 à Is-sur-trille. Il vit et travaille à l’Isle-sur-la-Sorgue.
Henri-François Dumont présente la chute des notoriétés
Samuel Rousseau pour ‘Paysage rupestre’
«Je rends hommage au travail d’artistes existants il y a 30 à 40 000 ans. Pour faire ce montage vidéo, j’ai utilisé les images provenant de la grotte Chauvet et de Lascaux, créé des animations avec le bestiaire de ces grottes ensuite projeté sur une lauze où les anfractuosités se transforment en paysage permettant le cheminement des animaux. La pierre devient ainsi une fenêtre temporelle et spatiale sur un monde où l’on vivait il y a des milliers d’années. Ce qui me fascine ? Les tout débuts de l’imagination de l’humanité. Pourquoi ? Parce que c’est ce qui, intrinsèquement nous constitue. Ces artistes ont inventé le dessin animé, la perspective avant que celle-ci ne resurgisse à la Renaissance… Samuel Rousseau est né en 1971 à Marseille. Il est artiste plasticien, dessinateur, sculpteur, photographe, vidéaste et créé des installations. Il vit et travaille à Grenoble.
Samuel Rousseau salue les premiers artistes de l’humanité avec sa lauze animée des dessins des grottes Chauvet et Lascaux
Laurent Baude présente ‘Alpha Tango’
Le geste. Laurent Baude dessine avec son corps, dresse et sculpte la lumière dans un élan de vie qui enlace l’espace. Il joue avec les formes des néons pour en faire des arabesques de couleur entre geste fulgurant et chorégraphie des corps qui dansent. «La sculpture ? C’est de la lumière, de l’espace, du vide, un geste de vie. Comment j’ai réalisé l’œuvre ? Je l’ai conçue à partir d’éléments recyclés puis j’ai demandé à un souffleur de verre de réaliser ces néons qui suivent et accompagnent ces tiges de métal façonnées pour sculpter la lumière.» Laurent Baude est né en 1966 à Saint-Maurice. Il vit et travaille à Lagnes.
Pour Laurent Baude Alpha Tango est une chorégraphie de la lumière, un élan de vie qui enlace l’espace
Les infos pratiques Fondation Villa Datris. 7, avenue des quatre otages à l’Isle-sur-la-Sorgue. En août tous les jours sauf le mardi de 10h à 13h et de 14h à 19h. 04 90 95 23 70. Toutes les infos pratiques surwww.fondationvilladatris.com
Châteauneuf-de-Gadagne, Loli Satam expose au Bistrot de la Pastière
Cette expo intitulée ‘J’aime les arbres’ est une invitation à l’évasion où ‘Retour de voyage’ propose ‘un arbre… comme une respiration’, à travers le regard de 6 artistes. Le photographe Denis Brihat montre la beauté d’une forêt ou la force d’un arbre à travers ses tirages photographiques et sa technique si pure de la représentation de la nature ; Hans Silvester nous fait observer, grâce à son œil magique, ce que sans lui nous aurions manqué dans la grandeur et la beauté des arbres ; Gabriela Morawetz nous envoûte avec ses créations oniriques, magnifiques tableaux photographiques ; Jephan de Villiers crée de petites créatures de la terre, gracieuses sculptures ; Marc Nucera sculpte avec chaleur et puissance – à la tronçonneuse – les troncs abattus et donne une seconde vie aux arbres en leur vouant un amour inconditionnel ; Ndary Lo réalise avec des matériaux de récupération – des fers à béton soudés – de petits arbres aux branches qui se terminent par des mains qui s’élèvent vers le ciel ; quant à Patricia Dupuy et Bernard Soria pour les éditions ‘Le Renard Pâle’, ils marient les textes des auteurs avec les œuvres des artistes pour réaliser d’incroyables livres d’artistes. Vernissage de l’exposition ce mercredi 30 juin à partir de 18h.
Retour de voyage
Retour de voyage est la galerie d’art et le concept store du Boutique-hôtel La maison sur la Sorgue, point de ralliement d’artistes et de collectionneurs du monde entier où œuvres d’art, créations et artisanat se mêlent en un lieu, témoins de voyages et de contrées très lointaines.
Infos pratiques
Exposition J’aime les arbres. Inauguration mercredi 30 juin de 18h à 21h. Jusqu’au 31 juillet. 80 œuvres signées accueillies dans la galerie Retour de voyage et les salons de la Maison sur la Sorgue. Six artistes exposants. Morawetz – Denis Brihat – Marc Nucera, Hans Silvester, Ndary Lo, Jephan de Villiers et les éditions Le Renard Pâle. La Maison sur la Sorgue. Galerie, Boutique, Hôtel 6, rue Rose Goudard à l’Isle-sur-la-Sorgue. 0687 32 58 68. M.H.
Photo de Hans Sylvester
Châteauneuf-de-Gadagne, Loli Satam expose au Bistrot de la Pastière
Stéphanie et Fabien Antoine, anciens professionnels du textile, viennent de poser leurs bagages à l’Isle-sur-la-Sorgue où ils ont ouvert ‘Ovio Home’, le nouveau rendez-vous des amoureux de la déco, 8 place Ferdinand Buisson.
Changer de décor
C’est ainsi que le couple de quinquagénaire nous invite dans une très belle bastide provençale où se mêlent plusieurs univers fait de métissage de matières brutes, traditionnelles, de sobriété et de raffinement dans un esprit plutôt Bohème. Là, sont mis en scène mobilier, art de la table, linge de maison, luminaires, accessoires de mode… Pssss… On y trouve même des créations de Sarah Lavoine et la collection out door est à tomber… dans son jardin, là, juste sous le tilleul avec un bon bouquin, un thé et un carré de chocolat.
Des artistes pour faire vibrer la vie
Des expositions ajoutent un supplément d’âmes au lieu, comme le peintre Robert Bourrasseau, dont le couple, particulièrement séduit par la peinture contemporaine captant la magie et la poésie du quotidien, a acquis, il y a plusieurs années, sa ‘tasse du gaucher’ «qui aura vu grandir nos enfants au fil des repas et leur laissera sans doute un souvenir indélébile». Ovio-Home 8, place Ferdinand Buisson à l’Isle-sur-la-Sorgue. 04 90 90 50 77 contact@ovio-home.com & www.ovio-home.com
Châteauneuf-de-Gadagne, Loli Satam expose au Bistrot de la Pastière
Il était une fois la Maison sur la Sorgue, boutique hôtel et surtout lieu protéiforme accueillant, à la fois, la galerie d’art ‘Retour de voyage’ et le concept store
Les propriétaires du lieu, Marie-Claude et Frédéric, sont en pleine préparation de l’exposition “J’aime les arbres” qui débutera jeudi 1er avril 2021. Elle investira la galerie d’art ainsi que les suites et les salons de La Maison Sur la Sorgue, hôtel particulier du XVIIe siècle, avec une cinquantaine d’œuvres présentées.
Le parcours des visiteurs «Nous avons imaginé le parcours du visiteur qui sera amené à découvrir les arbres à travers les approches des artistes présentés à cette occasion. C’est tout naturellement que la scénographie de cette exposition se déroulera dans la galerie Retour De Voyage, dans l’ensemble des suites et des salons de La Maison Sur La Sorgue, ainsi que dans le jardin, autour de la force du platane centenaire … “première œuvre naturelle”… Il nous procure l’ombre et la fraîcheur et combien de fois avons-nous vu les visiteurs poser leur main sur le tronc pour ressentir la force de cet arbre majestueux qui lance ses branches vers le ciel au-delà des toits de la ville…»
A la découverte des artistes « L’exposition sera l’occasion de rencontres avec les artistes et de découvrir l’art de Denis Brihatpour voir la beauté d’une forêt ou la force d’un arbre à travers sa technique si pure de la représentation de la nature, … de se laisser emporter par l’œil magique de Hans Silvesterqui sait si bien nous montrer ce que sans lui nous aurions manqué dans la grandeur et la beauté des arbres… d’être envoûtés par la sensibilité féminine et par la force intérieure des créations oniriques de Gabriela Morawetz, magnifiques tableaux photographiques … de se laisser interroger par les petites créatures de la forêt de Jephan de Villiers, gracieuses offrandes gardiennes de la mémoire “d’un passé où l’homme et la nature ne faisaient qu’un” … de ressentir la chaleur et la puissance des troncs sculptés à la tronçonneuse par Marc Nuceraqui donne une seconde vie aux arbres en leur vouant un amour inconditionnel … d’être fascinés par les terminaisons des arbres de Ndary Loréalisés avec des matériaux de récupération, qui écrivait dans ses carnets : « un arbre est fait d’entrelacements de corps humains, les bras au ciel » … d’admirer le travail d’orfèvre de Patricia Dupuy et Bernard Soria pour les éditions Le Renard Pâlequi savent admirablement marier les textes des auteurs avec les œuvres des artistes et peut-être d’enrichir votre bibliothèque avec un livre d’artistes. »
La Birmanie Et après ? La fin de l’été sera consacrée aux artistes du Myanmar (la Birmanie). « Bouleversés par le coup d’état du 1er février, ils ont besoin plus que jamais de montrer leurs œuvres dans le monde entier, de transmettre leurs passions mais aussi leur quotidien ». En fin d’année, Marie-Claude et Frédéric, imaginent dès à présent une exposition sur le thème du baiser, «parce que nous espérons que nous pourrons enfin poser les masques et parce que nous avons tous besoin de nous rapprocher.» La Maison sur la Sorgue 6, rue Rose-Goudard. 06 87 32 58 68. https://www.lamaisonsurlasorgue.com/