5 novembre 2025 |

Ecrit par le 5 novembre 2025

Prix départemental de l’architecture, du paysage et de l’environnement : découvrez le palmarès 2023

Mercredi 7 juin a eu lieu l’édition 2023 de la remise du prix départemental de l’architecture, du paysage et de l’environnement. Aux côtés de la Motte-d’Aigues et de Grambois, trois réalisations de la ville d’Avignon ont été distinguées par le jury.

Cette 10e édition du prix départemental de l’architecture, du paysage et de l’environnement s’est déroulée à la salle associative du Château de Beaucet. Organisé par le Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement de Vaucluse (CAUE), conjointement avec le Conseil départemental de Vaucluse et avec le soutien de la DRAC, ce concours a pour objectif de promouvoir la qualité et la diversité de la création architecturale et de la conception paysagère du département.

Lors de cette édition 2023, la ville d’Avignon, représentée par Joël Peyre, conseiller municipal délégué aux Finances, représentant Cécile Helle, Maire d’Avignon, a reçu trois distinctions qui viennent saluer les réalisations menées entre 2018 et 2022 par la collectivité. Parmi ces trois réalisations, l’une d’entre elles a obtenu le premier prix de sa catégorie. Les deux autres ont reçu le prix spécial du jury.  

Palmarès

Catégorie Architecture :
1er prix : Halles sportives Génicoud à Avignon
Les Halles Génicoud ont notamment été distinguées pour leur insertion urbaine, l’apport de lumière naturelle et l’apport de nature par leurs patios végétalisés.

Maître d’ouvrage : ville d’Avignon / Maître d’œuvre : Daniel Fanzutti, architecte / Juin 2020.

2e prix : Groupe scolaire de Grambois
Le groupe scolaire a notamment été distingué pour son appréhension des espaces, sa lumière omniprésente et ses liens directs intérieur-extérieur.

Maître d’ouvrage : mairie de Grambois / Maître d’œuvre : Nathalie Merveille, architecte / Juin 2019.

Prix spécial du Jury : Stade nautique d’Avignon
Le stade nautique a été distingué pour le respect de l’édifice originel labellisé Architecture Contemporaine Remarquable tout en proposant des usages contemporains.

Maître d’ouvrage : ville d’Avignon / Maître d’œuvre : SOHO Architecture, architectes ; Bouygues Bâtiment Sud-Est (mandataire) / Décembre 2019.

Catégorie Paysage et Environnement :
1er prix : Aménagement du site de l’étang de Bonde à la Motte d’Aigues
L’aménagement de l’étang de la Bonde a été distingué pour sa valorisation et sa sécurisation de l’accès au site qui permet de mieux accueillir le public.

Maître d’ouvrage : communauté territoriale Sud Luberon COTELUB / Maître d’œuvre : Atelier Lieux et Paysages ALEP / Juillet 2021.

Prix spécial du Jury : Jardins du Palais des Papes à Avignon
Les jardins du Palais des Papes ont notamment été distingués pour la qualité de la restauration et des études accompagnant la requalification en lien avec la DRAC.

Maître d’ouvrage : ville d’Avignon / Maître d’œuvre : Didier Repellin, architecte en chef des monuments historiques / Printemps 2020.

Outre ce palmarès, ce sont au total 18 réalisations qui étaient candidates aux Trophées 2023. Voici la liste des projets.

L’aménagement du parvis et des abords de l’office intercommunautaire du tourisme du Pays d’Apt

Maître d’ouvrage : communauté de commune du Pays d’Apt Luberon / Maître d’œuvre : APSI BTP (mandataire) / Agence Paysages (Cotraitant) / Janvier 2020.

L’aménagement des rues Bancasse, Etroite, Mignard, Figuière et plan d’Aubanel

Maître d’ouvrage : citadis, mandataire pour la ville d’Avignon / Maître d’œuvre : Agence Planisphère (mandataire) / Agence Paysage (Cotraitant) / Février 2020.

Le centre Hospitalier Montfavet Joly-Jean

Maître d’ouvrage : centre Hospitalier de Montfavet / Maître d’œuvre : ECOTEAM / 2020.

La construction d’une maison individuelle en bois : la Maison Ouane

Maître d’ouvrage : privée / Maître d’œuvre : SARL Raphaël Azalbert / 2017.

L’ensemble sportif du Lycée René Char

Maître d’ouvrage : la région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur / Area PACA Sud / Maître d’œuvre : MV Architectes / Juillet 2020.

L’extension d’une habitation

Maître d’ouvrage : privée / Maître d’œuvre : SARL Raphaël Azalbert / Juin 2018.

Le programme de logements collectifs et individuels : Résidence Aroma

Maître d’ouvrage : grand delta habitat / Maître d’œuvre : Atelier Initial / Décembre 2021.

La restructuration et requalification de l’entrée de ville Place des Félibres

Maître d’ouvrage : commune de Camaret et communauté des communes Aygues Ouvèze / Maître d’œuvre : H. Hardy et C. Pinet Architectes, Gilbert Cordeil Paysagistes, C2i Conseil BET VRD / Juin 2021.

La construction d’un accueil de loisirs sans hébergement

Maître d’ouvrage : ville de Cavaillon / Maître d’œuvre : cabinet d’architecture Avant-Propos / Février 2020.

La construction de 12 logements locatifs sociaux

Maître d’ouvrage : Vallis Habitat / Maître d’œuvre : 28.04 architecture / Mars 2021.

La réhabilitation Ilôt Trewey

Maître d’ouvrage : ville de Monteux / Maître d’œuvre : SPL Territoire 84 / Septembre 2020.

La réhabilitation et extension de la salle des fêtes

Maître d’ouvrage : mairie de Sorgues / Maître d’œuvre : Nathalie Merveille, architecte / Décembre 2020.

La construction d’un groupe scolaire

Maître d’ouvrage : mairie de Vedène / Maître d’œuvre : R+4 Architectes / Septembre 2019.

J.R.


Prix départemental de l’architecture, du paysage et de l’environnement : découvrez le palmarès 2023

La première édition du festival ID-Ile, qui s’est tenu les 9 et 10 juin sur l’île de la Barthelasse, a réuni près de 6 000 personnes.

Malgré une légère pluie le vendredi soir et une courte coupure de courant le samedi – qui aura procuré plus de peur que de mal – la première édition d’ID-Ile a réussi à figer de nombreux sourires sur un public en joie venu assister à la naissance de ce nouveau festival.

Se rêvant d’être « un temps partagé par tous » le pari est réussi pour ID-Ile qui a réuni un public hétérogène : les adolescents et jeunes adultes ont été séduits par la soirée rap du vendredi qui a accueilli environ 2 500 personnes. Le samedi soir, orienté pop et électro, a quant à lui attiré de nombreuses familles, avec près de 3 500 visiteurs.

6 000 entrées ont donc été enregistrées sur l’ensemble des deux soirées. Un bilan positif pour la première édition de ce nouveau rendez-vous qui devrait, comme le souhaitait la Maire d’Avignon Cécile Helle, monter en puissance et en notoriété au cours des prochaines éditions.

« Avignon, est-ce que t’es là ?! »

Durant deux soirs, le festival a permis à plusieurs artistes de jouer à domicile, c’est le cas du rappeur N3MS, vainqueur du tremplin ID-Ile qui a assuré la première partie du vendredi. L’Avignonnaise Pauline de Tarragon a quant à elle ouvert la soirée du samedi, accompagné d’Axel Concato avec qui elle forme le duo pop PI JA MA.

Enfin, Suzane a enflammé le poumon vert d’Avignon lors de son premier concert « à la casa », comme l’indiquait une pancarte qui lui a été tendue. Durant une heure, l’artiste n’aura cessé de chanter, danser et hurler « Avignon, est-ce que t’es là ?! » devant un public connaissant les paroles de ses chansons sur le bout des doigts.  

Pour l’heure, le rendez-vous est donné en 2024 pour la seconde édition d’ID-Ile.  

J.R.


Prix départemental de l’architecture, du paysage et de l’environnement : découvrez le palmarès 2023

Le Grand Avignon vient officiellement de céder l’Opéra confluence situé en Courtine. Le lieu ne sera pas démonté et va devenir, à l’initiative de 4 entrepreneurs locaux, une salle de spectacle à la programmation particulièrement variée.

Ce vendredi 9 juin, le Grand Avignon a signé la vente de l’Opéra confluence situé dans la zone de Courtine, juste en face de la gare TGV d’Avignon. La communauté d’agglomération, qui conserve le terrain toutefois, a cédé le bâtiment pour un montant de 700 000€ payable sur 10 ans.
Pour rappel, cet édifice démontable avait été mis en service en 2017 afin d’accueillir provisoirement l’Opéra du Grand Avignon pendant les travaux de rénovation de l’opéra de la place de l’Horloge. Après 4 ans de travaux, l’Opéra est revenu en 2021 dans son site historique re-construit en 1847 après un incendie.
Depuis, l’Opéra confluence était fermé et l’agglomération réfléchissait comment pérenniser cet outil afin d’étoffer l’offre culturelle sur le territoire. Avec cette cession, c’est désormais chose faite maintenant grâce à l’arrivée de 4 investisseurs locaux.

C’est l’agence DE.SO (François Defrain et Olivier Souquet) architectes urbanistes, installée à Paris et Avignon qui a imaginé la ‘coque’ de l’Opéra confluence. Une prouesse en lamellé-collé réalisée en moins de 1 an à partir de 2016 pour cette salle de spectacle démontable de 950 places (850 places fixes + 100 mobiles) inaugurée en 2017. © DE-SO

4 repreneurs pour une programmation éclectique
Parmi ces 4 repreneurs en charge de l’exploitation* de cette salle désormais appelée ‘Confluence spectacles’ le plus connu localement est certainement René Kraus, directeur du cinéma Capitole studios au Pontet et aussi président du festival de cinéma Les rencontres du Sud.
Dans ce tour de table figure également l’acteur et producteur Grégory Cometti, qui dirige le KFT (KaFé Théâtre) à Saint-Galmier près de Saint-Etienne. Actuellement directeur du théâtre Le Paris à Avignon, il a fait ‘ses armes’ dans la cité des papes durant le Festival au Capitole centre et au Vox. « C’est l’homme de l’art », précise René Kraus.
Patrice Fabre, directeur du restaurant El Asador aux terrasses des saveurs au Pontet dans la zone d’Avignon-Nord qui a aussi dirigé pendant plusieurs années une entreprise d’événementiel, ainsi que Christian Duprè, directeur technique du capitole studios, complètent l’équipe des repreneurs.
Ces derniers ont pour ambition d’orienter la nouvelle salle vers une programmation particulièrement éclectiqueavec de la variété, du stand-up, des spectacles de cirque, de la magie…

Logo de la future salle basée en Courtine.

Près d’une soixantaine de dates prévues en 2024
En tout, près d’une soixantaine de rendez-vous sont annoncés en 2024. Même si certaines dates sont à confirmer, sont ainsi notamment prévus Louane, Bernard Lavilliers, Kev Adams, Enrico Macias, Camille Lellouche, Anne Roumanoff, Trois Cafés gourmands, Christophe Alévêque, Sellig…
« Tout cela sera évolutif car nous pourrons aussi accueillir un artiste au dernier moment selon les tourneurs, complète René Kraus. Nous allons faire preuve d’une certaine souplesse dans la programmation qui ne sera pas figée. »

C’est le 16 février 2024 que la nouvelle salle Confluence Spectacles devrait ouvrir ses portes. A l’affiche : l’humoriste Vincent Dedienne, ancien chroniqueur de l’émission de Yann Barthès ‘Quotidien’ et doublement récompensé aux Molières. © DR

Inauguration prévue le 16 février 2024
Dans tous les cas, l’ouverture de ‘Confluence spectacles’ est prévue le 16 février prochain. C’est Vincent Dedienne, humoriste repéré dans l’émission de Yann Barthès ‘Quotidien’ deux fois récompensé aux Molières, qui inaugurera la nouvelle salle de spectacle avignonnaise.
« L’idée c’est de proposer un large spectre de programmation allant de la musique électro à Frédéric François », insiste René Kraus. Et celui qui vient d’être réélu le 1er juin dernier président de la grande exploitation (Ndlr : tous les cinémas qui font plus de 450 000 entrées par an) au sein de la FNCF (Fédération nationale des cinémas français) de rappeler qu’avec cette nouvelle salle « On répond à un manque, car cela n’existait pas sur le Vaucluse. Si on voulait voir ce type de spectacle il fallait aller à la Paloma, à Nîmes, ou au Silo, à Marseille. »
« En tout cas, c’est bien de voir que tout le monde se met ensemble autour d’un projet pour garder des artistes sur Avignon qui est une ville culturelle », souligne-t-il en rappelant « qu’ils avaient eu le soutien de la mairie d’Avignon et du Grand Avignon. »

« On a été les seuls à faire une proposition. Sinon, la salle serait partie. »

René Kraus

850 000€ de travaux
Mais avant d’ouvrir, la salle va faire l’objet d’un ‘lifting’ important pour un montant de 850 000€. Des travaux de mise aux normes qui vont également permettre d’agrandir les loges, d’installer une nouvelle sonorisation ainsi que de revoir les espaces de restauration. Après ces réaménagements, le lieu disposera alors d’une capacité de 1 000 places assises et 1 700 places debout.
« On a été les seuls à faire une proposition, insiste René Kraus. Sinon, la salle serait partie. »
Le détail de la programmation sera à découvrir sur le site internet de Confluence spectacles qui devrait ouvrir d’ici une dizaine de jours.

Les nouveaux exploitants de la salle ont prévu d’investir 850 000€ pour réaménager Confluence spectacles d’ici son ouverture annoncée en février prochain.

*’Confluence Spectacle’ a pour objet social « la production et l’exploitation de représentations théâtrales, artistiques ou cinématographiques, audio-visuelles et télévisuelles, soit directement soit en co-productions » au sein de la nouvelle salle.


Prix départemental de l’architecture, du paysage et de l’environnement : découvrez le palmarès 2023

Après le succès de la Fête des 25 ans l’an passé, l’association Semailles invite le public pour une soirée champêtre et nature ce vendredi 16 juin à partir de 17h.

Association d’insertion par l’activité économique (IAE), en agriculture biologique, Semailles invite le grand public à la campagne pour découvrir ou redécouvrir son espace bio, solidaire, nourricier et pédagogique, qui s’étend sur seize hectares en plein cœur de la ceinture verte.

Créé en 1997, l’objectif de l’association est d’aider les personnes éloignées de l’emploi à retrouver un travail le plus durable possible ou à entrer dans une formation qualifiante. « Nous sommes 15 permanents pour accompagner chaque année environ 70 femmes et hommes salariés en transition professionnelle vers l’emploi durable. » explique Olivier Capgras, directeur.

Atelier Découverte des habitants de la mare © Thomas Bohl

Semailles permet à des femmes et des hommes de peaufiner leur projet d’emploi ou de formation tout en étant dans l’action, grâce aux activités de maraîchage et d’éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD). « Vous avez besoin de légumes, ils ont besoin d’un travail. Ensemble cultivons la solidarité », telle est la politique de l’association. Chaque semaine, ce sont 350 avignonnais qui achètent les paniers proposés par l’association.

Au programme de la soirée du vendredi 16 juin : découverte des paniers bio et locaux de l’association ; visite des nouveaux jardins ; contes et ateliers nature pour les enfants ; balade agro écologique et biodiversité ; expo de sculptures de Marc Andrieu ; etc.

Espace naturel oblige, le nombre de places de parking est limité et l’association conseille de venir à vélo.

Vendredi 16 juin de 17h à 23h. Entrée libre et gratuite. 2412 avenue de la Croix rouge, Avignon.


Prix départemental de l’architecture, du paysage et de l’environnement : découvrez le palmarès 2023

La récente étude réalisée par la néo-assurance Leocare révèle le classement des villes les moins chères de France en matière d’assurance automobile. Avignon se classe 82e parmi les villes les moins chères.

Le prix de l’assurance auto varie en fonction de plusieurs critères tels que le type de véhicule, l’expérience de conduite, l’âge, le niveau de protection ainsi que la compagnie d’assurances choisit. Cependant, même avec des profils similaires, d’importantes différences subsistent en fonction du lieu de résidence. En comparant 100 villes de France, l’étude réalisée par Leocare a observé des variations de tarifs moyens mensuels pouvant atteindre 45% d’une ville à l’autre.

Parmi le classement des villes les moins chères, Avignon arrive en 82e place avec un prix moyen mensuel de l’assurance de 47,20€. Un classement bas, comme plusieurs villes du sud. En effet, il ressort du classement que les villes où la cotisation d’assurance est la plus chère sont situées en Provence-Alpes-Côte d’Azur et en banlieue parisienne. En PACA, Nice, Antibes et Marseille se classent respectivement en 97e (49,02€), 98e (49,58€) et 99e (56,48€) positions.

Prix moyen mensuel de l’assurance automobile dans chaque département © Leocare

Toujours selon ce classement, Montauban se distingue comme la ville où l’assurance automobile est la moins coûteuse (41,77€), suivie de près par La Roche-sur-Yon (41,79€), Niort (42,50€) et Le Mans (42,59€).  

Ces écarts de prix s’expliquent principalement par les accidents, vol, catastrophe naturelle, le coût de la main-d’œuvre, qui, selon leur fréquence, augmentent le montant moyen de l’assurance. Partant de ce constat, les grandes agglomérations sont les moins avantageuses. Mécaniquement, les villes densément peuplées, avec une concentration élevée de véhicules, présentent logiquement plus de risques de sinistres.

Méthodologie : Leocare s’est focalisée sur les prix d’assurance auto pratiqués dans les 100 villes métropolitaines les plus peuplées de France. Les tarifs indiqués correspondent au profil d’un conducteur avec au moins 24 mois d’assurance au cours des 36 derniers mois, sans sinistre ni suspension ou annulation de permis, ni de condamnation pour alcoolémie, stupéfiants, délit de fuite ou refus d’obtempérer. Il possède une Peugeot 208 (1.2 PureTech 110 Allure Eat 6 CV, immatriculée en 01/2018) pour un usage strictement privé. La formule choisie est « Tous risques » avec franchises (50 euros pour le Bris de glace et 330 euros pour les dommages tous accident, vol et incendie) et un plafond de 1 million d’euros pour la protection du conducteur.


Prix départemental de l’architecture, du paysage et de l’environnement : découvrez le palmarès 2023

La CCI (Chambre de commerce et d’Industrie) de Vaucluse vient de recevoir une délégation marocaine de la Chambre africaine du commerce et des services (CACS) et de la Région Dakhla-Oued Eddahab. C’est avec cette région que la chambre consulaire vauclusienne a récemment conclu un partenariat pour la création d’un centre de formation dans le secteur de l’hôtellerie et la restauration qui sera situé à Dakhla.

Favoriser les échanges avec l’Afrique
Organisé par le vauclusien Thierry Robin, Délégué Europe de la CACS qui dispose désormais d’une antenne au sein de la CCI 84, la venue des représentants du royaume chérifien a permis de faire découvrir les savoir-faire de l’école hôtelière d’Avignon géré par la Chambre de commerce et d’industrie de Vaucluse.
Durant son séjour, la délégation marocaine a également visité les locaux de l’Inrae (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement) situé à Agroparc. Ils ont aussi visité les installations de l’aéroport Avignon-Provence avant d’être reçu par Cécile Helle, maire d’Avignon, dans les salons de l’Hôtel de ville de la cité des papes.
Cette rencontre a été l’occasion de signer une convention de partenariat en présence du Consul du Maroc venu de Marseille qui a rappelé que son pays « était ouvert à toutes les coopérations, surtout avec la France » dans un département « qui compte 40 000 Marocains » d’origines.
Même volonté pour le maire d’Avignon qui s’est déclarée « favorable à ces échanges ». Dans ce cadre, outre l’école hôtelière, les secteurs de la l’agro-alimentaire, du transports, de la culture, de la désalinisation…

La délégation marocaine et la CCI de Vaucluse ont été reçues par Cécile Helle, maire d’Avignon.Crédit photo : Newcom

« Avec cet accord Dakhla ainsi qu’avec l’ouverture du bureau de la CACS dans nos locaux à Avignon, nous pouvons être une porte vers l’Afrique pour les entreprises vauclusiennes, explique Gilbert Marcelli, président de la CCI 84. A l’inverse, pour la délégation marocaine la Chambre de commerce et d’industrie pourrait constituer l’accès d’entrée à l’Europe.
Par ailleurs, Thierry Robin, qui figure parmi les organisateurs de nombreux salons des maires en France dont celui de Vaucluse à l’automne ou celui du Gard qui vient d’avoir lieu à Alès, va aussi organiser le 1er salon des maires du Maroc qui se déroulera à Marrakech. Il a donc profité de cette rencontre pour convier Cécile Helle à ce rendez-vous inédit en Afrique.

Une délégation chinoise reçue quelques jours plus tôt
Quelques jours auparavant, à l’occasion de la signature de la charte de jumelage entre le district de Bao’an-Shenzen et la ville d’Avignon, une importante délégation d’élus et des chefs d’entreprise chinois a aussi été reçue par la CCI de Vaucluse. Ces derniers ont visité l’entreprise Egide à Bollène, spécialisée dans la production de boîtiers hermétiques pour composants électroniques.
Le séjour s’est clôturée par une réunion à la CCI en présence notamment de Zhe Dong, 1er adjoint de Bao’an-Shenzen, Guangli Dong, Consul général de Chine à Marseille et Gilbert Marcelli, président de la CCI de Vaucluse afin d’évoquer la situation géographique (proximité de la mer, industrie et innovation, infrastructures…) de cette mégalopole … De nombreux chefs d’entreprise vauclusiens étaient présents pour l’occasion. « Une dynamique économique va être mise en place, entre la province Bao’an-Shenzen et le Vaucluse. Nous allons mettre en place un bureau d’échanges entre Avignon coeur de Provence, et la Chine, pour développer l’économie vauclusienne » s’est félicité pour l’occasion le président de la CCI.

La délégation chinoise en visite dans l’usine Egide de Bollène en compagnie d’Anthony Zillio, le maire de la ville. Crédit photo : Newcom

Prix départemental de l’architecture, du paysage et de l’environnement : découvrez le palmarès 2023

François Quintin va prendre la direction de la Collection Lambert à partir du mois de septembre prochain. Celui qui est actuellement délégué aux arts visuels à la Direction générale de la création artistique (DGCA) du ministère de la culture depuis 2020 succèdera à Alain Lombard en poste depuis février 2018 à la tête de ce musée d’art contemporain situé dans l’intra-muros d’Avignon.
« François Quintin a été nommé par le conseil d’administration de la Collection et avec l’agrément de la ministre de la Culture, conformément à la procédure prévue pour les Centres d’art d’intérêt national, après un appel à projet », explique Jean-Luc Choplin, président du conseil d’administration de la Collection.
Avant son poste actuel, le futur directeur né en 1967 a été notamment directeur délégué de la Fondation d’entreprise Lafayette anticipations de 2011 à 2019 et le directeur du FRAC Champagne-Ardenne de 2001 à 2007.

Le projet phare d’Avignon Capitale européenne de la culture
La Collection lambert a vu le jour suite à une donation du galeriste et marchand d’art Yvon Lambert. A la fin des années 1990, ce dernier avait souhaité ouvrir sa collection personnelle au grand public. Après un projet avorté de création d’un musée à Montpellier, c’est finalement à Avignon que la Collection ouvrira ses portes en juillet 2000, année où la cité des papes avait été désignée ‘Capitale européenne de la culture’.
Au départ prêté pour 20 ans, le fond du collectionneur est composé de près de 560 œuvres majeures de la seconde moitié du XXe siècle et du début du XXIe siècle avec des artistes comme Daniel Buren, Cy Twombly, Sol LeWitt, Jean-Michel Basquiat, Robert Ryman, Andres Serrano, Carl Andre, Douglas Gordon, Nan Goldin…

La plus importante donation à l’Etat depuis plus d’un siècle
En 2008, Yvon Lambert annonce officiellement qu’il souhaite faire don de sa collection. Un projet entériné en novembre 2011 avec la donation des œuvres à l’Etat français inaliénables à l’hôtel de Caumont. Estimée à 97M€, il s’agit de la plus importante donation faite à l’Etat depuis 1906.
Aujourd’hui, grâce aux nombreux dépôts qui s’ajoutent, la Collection Lambert dispose d’environ 2 000 œuvres à présenter sur les 4 000 m2 des hôtels particuliers de Caumont et de Montfaucon. L’ensemble de la collection est assurée pour un montant de 200M€.

L.G.


Prix départemental de l’architecture, du paysage et de l’environnement : découvrez le palmarès 2023

Lors de son assemblée générale, la Fédé BTP 84 a fait un point sur ce que vivent les professionnels du bâtiment et des travaux publics. Si le niveau d’activité est sauvegardé grâce aux opérations commandées et amorcées en 2022, les professionnels peinent à sauvegarder emplois et savoir-faire face à un carnet de commande à l’arrêt et une trésorerie tendue. Alors que les budgets sont votés et les financements là, les projets ne sortent pas. Mais tout n’est pas sombre et certains indicateurs laissent présager des lendemains meilleurs.

Pourtant, ce temps d’inertie entamera considérablement et durablement la santé économique et sociale du département. En ce moment, également, les bailleurs sociaux revoient leurs copies, entre démolitions, réhabilitations, constructions et relogement des résidents, les équilibres financiers se fragilisent. Les maires ont compris à quel point le dispositif Zan (Zéro artificialisation nette) mettait un coup d’arrêt à la construction. Plus globalement, l’on craint que le Grand argentier de la France n’ait tout oublié des outils de défiscalisation et de prêts aidés qui favorisaient jusqu’alors l’accession à la propriété. Alors tous les opérateurs de l’acte de bâtir sonnent l’alarme.

Là, maintenant, nous sommes sur un point de bascule
Alors que tout paraît silencieux, le sous-sol gronde et les voix s’élèvent de toute part. Que se passe-t-il ? Pour le savoir nous nous rendons au nouveau siège de la Fédé du BTP 84 qui, il faut bien l’avouer, souffle depuis qu’elle s’est installée dans une partie des locaux de l’UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie), chemin de Fontanille à Agroparc, en attendant de construire un bâtiment à sa mesure. Plus accessible à ses adhérents, plus confortable pour les collaborateurs, les nouveaux locaux s’épanouissent en cœur de nature, où les places de stationnement sont encore disponibles.

Jean Max Diaz, Emilie Feral, Daniel Léonard, Frédéric Saintagne et Denis Mathelin

Dans la salle de conférence,
devant un parterre de journalistes ? Daniel Léonard, le président de la Fédération BTP84 entouré d’Emilie Feral, présidente branche Gros Œuvre, Vice-présidente FBTP84, de Fréderic Saintagne, président de la section Pole Habitat Vaucluse, rejoints par Jean Max Diaz, trésorier. Aux côtés des journalistes, assistent à la conférence de presse Denis Mathelin président de la branche TP, Nathalie Cayrol, déléguée régionale Pole Habitat Paca et Emmanuel Meli, secrétaire général Fédération BTP84. Les visages sont graves tandis que Daniel Léonard ouvre la séance.

La tendance ?
«Elle est mitigée parce qu’il est difficile de maintenir un niveau d’activité même si pour cette année, celle-ci est sauvegardée puisque le BTP travaille sur les contrats antérieurs à 2022. Mais voilà, le climat social –avec les manifestations contre la loi sur les retraites, la pénurie et la flambée des prix du carburant, l’inflation et la remontée des taux d’intérêt bancaires- ont porté un coup dur à la confiance et au pouvoir d’achat des ménages qui, fatalement se répercutera sur tous les échelons de l’économie, alors il va dérouler la prospective à 6 mois.»

Tout d’abord le secteur de la construction, du bâtiment et de l’artisanat 

«Sur le logement neuf, la crise est amorcée. -30% d’activité pour les constructeurs de maison individuelle et les artisans qui travaillent avec eux. Le non résidentiel neuf souffle le froid et le chaud. -14% sur les surfaces commencées sur les commerces, les bâtiments agricoles et industriels. En revanche sur les surfaces autorisées +7% de bureaux et bâtiments administratifs. L’activité en amélioration-entretien affiche un petit tassement stable à +1,4%. Le coût des matériaux grimpent avec le coût de l’énergie, notamment pour les tuiles, les produits céramiques, le verre et les produits issus du ciment. Enfin, la remontée des taux d’intérêt paralysent les ménages, les entreprises et les collectivités puisque 40% des dossiers de prêts de bancaires sont refusés.»

Pour les travaux publics
«Les coûts de production ont augmenté de 9,4% grevant considérablement le résultat des entreprises. Les appels d’offres 2023 ne sont pas au rendez-vous. Alors même que le cycle électoral à mi-mandat laisserait supposer le lancement d’opérations, nous n’observons pas de redémarrage de la commande publique. Il faut dire que pour les maîtres d’ouvrage l’inflation des coûts de l’énergie impacte tout autant les budgets et, bien sûr, l’augmentation du coût des opérations.»

Copyright Freepick

Le bilan économique
«Si les chiffres d’affaires ont augmenté, les coûts de production tels que les salaires, les matériaux et l’énergie ont explosé, alors, malgré le volume d’activité, les bilans et les résultats 2022 sont en baisse, voire en perte et tandis que les fournisseurs de matériaux voient leur cotation culminer par les assureurs-crédits, celles des entreprises se dégradent.»

Pourtant les besoins sont grands
«Constructions neuves, rénovation, entretien, infrastructures routières, le monde continue de tourner. La demande de logement des étudiants, salariés, retraités ; le maintien de l’emploi, la dynamisation du territoire avec la résolution des points noirs tels que le pont de Bonpas, la Léo (Liaison Est Ouest), le tram, les déviations de villages réclament toute notre attention comme l’accélération de la transition écologique, la décarbonation des villes et des entreprises, la déperméabilisation des sols, l’inventaire des friches industrielles et autres dents creuses, la renaturation des cours d’eau, la lutte contre les inondations et incendies et l’amélioration des réseaux d’énergie.»

C’est maintenant que tout se joue,
alors la Fédération du BTP, la Fédération française du bâtiment et la Fédération nationale des travaux publics font corps et s’accordent pour une Zan (Zéro artificialisation nette) moins paralysante via les propositions du sénateur Jean-Baptiste Blanc ; un assouplissement de l’accès au crédit immobilier ; un PTZ (Prêt à taux zéro) sur le neuf de 40% en zones B2 et C ; la relance d’un Pinel version 2022  et la révision du statut de bailleur privé.

Copyright Freepick

Au plan national
Concernant le Plan eau, les bâtisseurs promeuvent la rénovation des réseaux qui laissent filer dans la nature, au mieux 20% d’eau potable, parce que les installations ont désormais fêté leur centenaire. Quant au Plan vélo ? Il continue de prévoir 2 milliards d’euros d’ici 2027 pour développer les aménagements cyclables, soit 28 000 kilomètres en attente de réalisation.

Rénovation énergétique et neutralité carbone en 2050
Pourrait-on augmenter le montant de MaPrimRénov et instaurer un dossier unique pour ce dispositif ainsi que les C2E (Certificats d’économie d’énergie) ; pérenniser le crédit d’impôt en faveur de la rénovation énergétique des TPE et PME (Très petites et moyennes entreprises).

Des taxes déjà mises en service mais pas les filières
Et puis il y a la REP (Responsabilité élargie du producteur) qui fait grimacer. Pourquoi ? Parce qu’alors que les éco-taxes sont en place, les plateformes de collecte n’existent pas. La belle idée de l’économie circulaire n’a pas encore eu le temps de procéder au maillage du territoire sur le traitement des déchets.

Dr Désormais le collectif remplace la maison individuelle avec jardin

D’encourageants indicateurs
«Il y a fort heureusement des indicateurs qui laissent présager des lendemains très encourageants. D’abord le niveau d’épargne brut des collectivités qui ont gardé des capacités de financement solides, et parfois des budgets d’investissement en progression. Ensuite, dans notre département la création de Vaucluse ingénierie, impulsé par le Conseil départemental ; qui apporte un accompagnement technique personnalisé aux communes et intercommunalités dans leurs projets. Sans oublier le programme d’investissements d’Enedis de 11M€ sur le Vaucluse pour les infrastructures de recharge électrique.

Le Budget de l’Etat
Le budget de l’Agence de financement des infrastructures (l’AFIT) augmente de 14%. Signe de projets d’activité de l’État  sur les infrastructures routières, ferroviaires, transports en commun ; Pour la transition écologique, la mise en place du Fonds vert avec 2 milliards d’euros d’engagement dont 500M€ en 2023.

Des difficultés à recruter
Sur le sujet de l’emploi toutes les entreprises rencontrent les mêmes difficultés pour recruter, tant pour remplacer les départs en retraite que se développer pour assurer la progression des entreprises. Notre fédération départementale représente 5 000 emplois dans le Vaucluse, qu’il faut sauver développer et former. Là encore des leviers existent et peuvent nous apporter des perspectives : Par la qualité de nos formations avec le CFA Mouret et l’ECIR (l’Ecole de la Construction, des Infrastructures et des Réseaux) et au GEIQ BTP84, outil dévolu au recrutement et à l’insertion, ainsi que les publics en reconversion, notamment avec les dispositifs du Pôle emploi.

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Ils ont dit

Daniel Léonard
« Les coûts de constructions explosent poussés également par les nouvelles règlementations, souligne Daniel Léonard. Dans le même temps les aides tels que le PTZ -qui s’amenuise- et les outils de défiscalisation, comme le Pinel s’arrêteront dans 18 mois, évinçant du même coup les investisseurs comme, d’ailleurs le sénateur Jean-Baptiste Blanc vient de s’en faire l’écho. Les bailleurs sociaux voient leurs bâtiments classés F et G (performance énergétique) et doivent trouver des solutions pour pouvoir upgrader rapidement le classement et louer leurs logements, ce qui passe par la réhabilitation. Pourtant, pour le moment rien ne se fait. L’inertie grève notre activité. Nous attendons des élus qu’ils réalisent leurs projets sans attendre. Il faut que les projets budgétés et financés se fassent. Notre problème ? Nous subissons des augmentations de toute part, c’est comme-ci nous prenions la foudre. Nous subissons les conséquences des marchés en 2021 et pour lesquels nous prenons de plein fouet des augmentations qui n’étaient pas prévues. Les bailleurs sociaux et le promoteurs ont vendus leurs projets et ne peuvent pas répercuter les hausses de prix : coût de l’énergie, hausse des prix des matériaux, sur leurs clients finals. Alors, nous renégocions pour arriver à ce que 50% de la hausse soit absorbée par eux mais nous perdons, là encore de la marge. D’autant que s’il est possible de renégocier avec le public, cela n’est pas possible avec le secteur privé.

Frédéric Saintagne
« Nous subissons une baisse de 40% dans la construction de maisons individuelles, indique Frédéric Saintagne, constructeur de maisons individuelles. C’est de l’emploi en moins, environ 1 200 plein temps. En janvier 2022, avec un taux de 1,1%, un ménage qui gagnait 3 000€ par mois pouvait obtenir un prêt de 270 000€, à la fin de cette année 2023, ce ne sera plus que 190 000€. Ce que ça veut dire ? Les primo-accédants n’ont plus accès au marché de l’immobilier. Or, ils étaient notre première cible. Concernant le dispositif Zan, nous sommes tous d’accord pour nous y conformer car de nombreuses communes possèdent des friches et des dents creuses exploitables à la construction. C’est sur ces terrains et les modifications de PLU (Plan local d’urbanisme) que nous devons travailler, même s’il nous faut densifier puisque la loi Climat et résilience va dans ce sens ce qui exclut, de fait, la maison individuelle, alors il n’y a pas de raison de tout bloquer. »

Emilie Féral
« Les plans Anru (Opérations de l’Agence nationale de renouvellement urbain) font naître du travail mais si je prends l’exemple des bailleurs sociaux, ceux-ci doivent faire face au relogement de leurs résidents et cela demande du temps, ce qui induit des retards de réalisation des opérations de démolition, réhabilitation et construction, d’autant que si l’enveloppe n’est pas utilisée à temps, elle s’amenuise puis se perd. Actuellement le plan d’exécution du plan Anru pour le BTP ne se fait pas. Cette inertie est très préjudiciable au bâtiment et aux travaux publics. Quant aux nouvelles règlementations telles que la RE 2020 (nouvelle règlementation environnementale des bâtiments), pour atteindre des objectifs de bas carbone, elle est l’une des plus contraignantes d’Europe et s’appliquera bientôt aussi à la réhabilitation. On nous demande de trouver des solutions alors que les filières ne sont pas encore adaptées. Nous devons faire de la recherche et développement alors que nous sommes en pleine crise. Si le progrès nous enthousiasme et nous stimule, tout faire de front s’avère périlleux. »


Prix départemental de l’architecture, du paysage et de l’environnement : découvrez le palmarès 2023

La ferme urbaine avignonnaise Le Tipi organise un nouvel événement ce samedi 10 juin. Au programme : de la bonne nourriture, de la musique entrainante, et de la convivialité.

Le Tipi invite les Avignonnais à venir découvrir de nouvelles cultures, ou les redécouvrir. En termes de musique, de nombreux styles différents seront représentés à travers un concert de rap, une scène ouverte, une chorale, un spectacle de flamenco, mais aussi un DJ set.

En même temps de s’en mettre plein les oreilles, les visiteurs pourront exalter leurs papilles avec des plats préparés par les bénévoles du Tipi. Des plats de tous les horizons tels que le mafé, la paëlla, le couscous, les crêpes bretonnes ou encore les crêpes à mille trous.

L’avenue Heinsenower sera donc animée ce samedi soir. Il sera également possible de profiter de diverses animations autour de l’environnement, de grands jeux, d’une foire aux livres, et de déguster des boissons bio et locales. De multiples lots seront à gagner lors de cette soirée.

Samedi 10 juin. De 16h à 00h. Gratuit. 57 avenue Heinsenower. Avignon.

V.A.

https://www.echodumardi.com/tag/avignon/page/129/   1/1