16 mai 2025 |

Ecrit par le 16 mai 2025

Carte blanche au batteur Teun Verbruggen au club de jazz avignonnais

Après plusieurs annulations liées à la pandémie de Covid-19, Blind Io reprend la route des tournées ! Pour ce nouveau projet, Teun Verbruggen a choisi de s’entourer de musiciens d’horizons totalement différents. Tous l’inspirent, sont atypiques, et font fortement appel à l’imaginaire. Bram De Looze, pianiste virtuose, donne à sa musique des rebondissements surprenants et frais. En composition ou en improvisation, il parvient toujours à laisser son empreinte. Ingrid Laubrock, saxophoniste/compositrice basée à Brooklyn depuis 2009, explore les frontières entre les domaines musicaux et crée des univers sonores denses. Ikue Mori, connue à la fois pour son travail de soliste et ses collaborations avec des groupes comme Hemophiliac et les bagatelles de John Zorn, offre un large éventail entre improvisations noise (Mike Patton) et musique lyrique abstraite minimale.

Jeudi 1er décembre. 20h30. 5 à 16€.AJMI Club. 4, Rue des Escaliers Sainte-Anne. 04 13 39 07 85.  www.jazzalajmi.com


Carte blanche au batteur Teun Verbruggen au club de jazz avignonnais

Romain Rodriguez est santonnier, à Comps dans le Gard. Ce mardi 29 novembre, il vient de finir d’installer, pour la cinquième année consécutive, la crèche provençale de l’ancienne église des Célestins, à Avignon. Les visiteurs pourront la découvrir dès ce samedi 3 décembre.


Carte blanche au batteur Teun Verbruggen au club de jazz avignonnais

137 000€ ! Tous les records battus au Palais des Papes pour le « Dîner d’exception » au profit de l’Institut Sainte-Catherine. Et les superlatifs sont de mise pour cette soirée caritative hors du commun. Exceptionnellement deux préfets de Vaucluse étaient présents dans la Salle du Grand Tinel : l’actuelle, Violaine Démaret et le précédent Bertrand Gaume, venus aider à pousser les enchères.

David Bérard et Patrick Armengau ont animé de leurs talents la soirée. Copyright Andrée Brunetti

Et ils ont réussi avec l’efficace commissaire-priseur Patrick Armengau et le dynamique animateur David Bérard à atteindre le chiffre de 71 200€ (en 2021, c’étaient 53 000€). Il est vrai que les lots étaient alléchants : une montre Hermès « Heure H » du joailler Richard Doux a atteint la somme de 4 000€, le salon iconique « Bubble » de Roche & Bobois 6 500€, la Maison Moga de l’Isle sur la Sorgue a offert une bouteille rarissime de Bourgogne, une Romanée-Conti Cuvée « Saint Vivant » 1997 qui a été adjugée 8 000€. Pareil pour le Mathusalem de Champagne Rosé Miraval avec la signature « B.P. » de Brad Pitt qui a atteint, lui aussi, des sommets (8000€). Autre enchère élevée, un pendantif or blanc et diamant (7 000€). Quant à la série de 3 bouteilles de la toute 1ère cuvée de Patrick Bruel (« Léos) issue de son vignoble à l’Isle sur la Sorgue, elle a été acquise pour 1 700€. A noter aussi l’immense photo en noir et blanc (2,20m x 1,20m) de James Chiew avec Leonardo di Caprio, Matt Damon, Brad Pitt est partie à 4000€. Sans parler des chaussures du champion de moto pontétien Johann Zarco, du cuissard et du maillot de Matt Evans, le 1er cycliste australien à avoir remporté le Tour de France !

Côté gastronomie
Côté gastronomie le repas concocté par le chef étoilé Christian Etienne, aidé par 35 de ses camarades comme Serge Chenet (« Entre vigne & garrigue » à Pujaut), Florent Pietravalle (« La Mirande »), Jean-André Charial (« L’Oustau de Baumanière »), Mathieu Desmarets (« Pollen » Avignon), Michel Meissonnier(« L’Hermitage » aux Angles), Michel Philibert (« Le Gajulea » au Barroux), Eric Sapet (« La petite maison » à Cucuron) a séduit toutes les papilles. Réalisé avec la collaboration de Helen Traiteur pour les 350 convives, le menu avec poulpe mariné, brunoise de fenouil, crème au gingembre, poudre de poutargue et croque truffe en entrée. Comme mise en bouche, un oeuf cuit à 64° et accord truffe noire oignons doux des Cévennes. Ensuite, de la dorade snackée avec canelloni de brandade, mousse de petits pois à la verveine. Pour le plat de viande : du veau accompagné d’un millefeuilles de pomme de terre, palet de butternut et enfin pour conclure ce festin : un dessert de pommes vertes, caramélisées, crémeux de caramel et cannelle. Le tout assorti d’un Crozes Hermitage de Michel Chapoutier (l’ancien président d’Inter Rhône), un blanc du Château Val Joanis, un Gigondas du Clos des Cazaux et enfin un Muscat de Beaumes de Venise de la Tourade.

Le professeur Serin, cancérologue, vice-président de l’Institut Sainte-Catherine Copyright Andrée Brunetti

La tombola
Quant à la tombola qui proposait toutes sortes de cadeaux (un plaid 100% poil de chameau de la Manufacture de fibres nobles Brun de Vian – Tiran de l’Isle sur la Sorgue), un wek-end à La Coquillade en plein Luberon, une croisière sur le Rhône avec Les Grands Bâteaux de Provence, des caisses de vins AOP du Château Bonnisson d’Aix-en- Provence, des magnums de Cru Vacqueyras, des smartphones… Elle a atteint 15 200€ ce qui est un peu moins que l’an dernier (16 140€) mais beaucoup plus qu’en 2019 (6735).

Près de 178 650€ récoltés !
En tout, 178 650€ ont été levés lors de cette soirée unique grâce à la générosité de chacun, et quand on soustrait les dépenses, on totalise un montant global de bénéfices de 137 050€ (au lieu de 109 000 en 2021), soit 28 000€ en plus, bravo ! Le docteur Daniel Serin, vice-président de l’Institut Sainte-Catherine, a rendu hommage à « Tous les malades du cancer. Ceux qui sont en cours de traitement  et qui luttent. J’ai aussi une pensée émue pour tous ceux qui nous ont quittés. Mais surtout je voudrais insister : ils sont de plus en plus nombreux à être guéris chaque jour ».

Christian Etienne, chef cuisinier 1 étoile au guide Michelin durant plus de 29 ans. Copyright Andrée Brunetti

Le cri d’alarme de Roland Sicard
Le Président Roland Sicard n’a pas pris la parole (pour ne pas jeter un froid lors de cette soirée conviviale et chaleureuse). Mais sur les réseaux sociaux, la veille, il avait lancé un cri d’alerme : « Il nous manque 10 médecins sur 40. Nous n’arrivons à recruter ni médecins ni infirmiers. Ils ne veulent plus travailler comme avant. Nous avons toujours 1 service sur 5 fermé, ce qui a des conséquences dramatiques sur les malades du cancer, les urgences sont saturées, ce qui complique les traitements et retarde la prise en charge des malades ». Il ajoute : « De décennie en décennie, je suis dépité de voir notre système de santé s’écrouler. De réforme en réforme, nos besoins sont de plus en plus quantitatifs et de moins en moins qualitatifs. Le paradoxe est qu’ il y a de plus en plus de malades mais de moins en moins de médecins. C’est une équation impossible » regrette-t-il amèrement.

Conscience politique
Espérons qu’à côté de la générosité des citoyens, les politiques fassent eux aussi des efforts pour améliorer l’accueil des patients, la qualité des soins mais aussi les conditions de travail des soignants quels qu’ils soient.

Roland Sicard, président de Sainte-Catherine. Copyright Andrée Brunetti

Carte blanche au batteur Teun Verbruggen au club de jazz avignonnais

Initialement prévue pour une soirée unique la pièce de Léna Paugam avec Ariane Ascaride et Philippine Pierre Brossolette se jouera également le dimanche après-midi. Quand on sait que la salle de la Scala Provence peut accueillir 600 spectateurs on se dit que le combat d’une vie de l’avocate Gisèle Halimi n’a pas été vain et continue de mobiliser des hommes et des femmes.

Mais qui est Gisèle Halimi ?
Osons poser la question  même si pour toute une génération de femmes la réponse fuse : elle est celle qui a incarné jusqu’à sa mort en 2020, la justice, la liberté, le courage et le féminisme. Les plus jeunes en ont peut-être entendu parler par leur mère ou au moment de son décès à 93 ans en juillet 2020, en pleine crise sanitaire. Comment résumer une vie de combats et d’action ? Son enfance tunisienne alimentera déjà sa révolte contre une société machiste et traditionnelle. De rebelle à avocate sans cesser d’être militante, elle sera de toute les causes : lutte anti coloniale, soutien de la militante FLN Djamila Boupacha victime de torture, grand Procès de Bobigny en 1972, où elle obtient la relaxe de la jeune femme et parvient à mobiliser l’opinion, ouvrant la voie à la dépénalisation de l’avortement, au début de 1975, abolition de la peine de mort, parité dans les institutions politiques,  dépénalisation de l’homosexualité, droit des peuples, droit des femmes…

C’est la jeune comédienne Philippine Pierre-Brossolette, bouleversée après avoir lu le livre de Annick Cojean (Edition Grasset 2020),  qui est à l’origine de ce projet et qui le porte
Sur scène, 2 générations de femmes, 2 sensibilités, 2 voix  dialoguent et révèlent la vie de Gisèle Halimi au fil de ses souvenirs recueillis par la journaliste Annick Cojean. C’est Philippine Pierre Brossolette qui a demandé à Ariane Ascaride de porter avec elle ce portrait sensible de la célèbre avocate. La mise en scène de Léa Paugam ajoute des documents d’archives sonores avec les voix de Gisèle Halimi et Simone Veil.

Deux ans après son décès, l’hommage national se fait attendre
Comment ne pas évoquer Gisèle Halimi, disparue cet été. De sa chère Tunisie à notre Assemblée nationale, des prétoires, des hémicycles, de plaidoyers en manifestes, celle qui était née Zeiza Taïeb plaida pour l’émancipation des peuples et fit faire des bonds de géant à la cause des femmes. Un hommage national lui sera prochainement rendu dans la cour des Invalides.»  Discours d’Emmanuel Macron le 4 septembre 2020 suite au décès de Gisèle Halimi en juillet 2020.

La semaine dernière encore
Vendredi 25 novembre 2022, lors de la journée internationale contre les violences faites aux femmes et au lendemain d’un vote à l’Assemblée pour inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution, 73 députés de la Majorité ont redemandé à Emmanuel Macron de faire entrer Gisèle Halimi comme la 7e femme au Panthéon.

Petit aparté téléphonique avec Ariane Ascaride

Ariane, vous jouez dans le spectacle Une farouche liberté Gisèle Halimi. Pourrait on dire aussi Ariane Ascaride,  une farouche liberté ?
Oui peut-être mais Gisèle Halimi est surtout beaucoup plus courageuse que moi,  elle n’a cessé de l’être. Petite déjà elle n’accepte pas sa condition, elle va se battre et jamais cesser de se battre,  elle fait changer les choses, elle fait en sorte que les lois changent.

Elle a changé le monde en plaidant ….et vous en jouant ?
J’ai une parole qui peut créer un peu de solidarité avec les spectateurs. Mais Gisèle Halimi fait vraiment  bouger la loi, la société. Il faut parler de cette femme plus que jamais aujourd’ hui. Et si en jouant je peux faire connaître ses combats, tant mieux. Quand on voit que le droit à l’interruption volontaire de grossesse ( IVG)  régresse partout dans le monde, même en France, celles qui n’auront pas d’argent pour le faire seront des candidates à la mort. C’est le droit premier de toute femme de disposer de son corps.

A quel moment Gisèle Halimi a-t-elle croisé votre vie ?
Elle fait irruption dans ma vie à partir du procès de Bobigny en 1972. Je me rends compte qu’il se passe  un truc de fou, un truc incroyable : une jeune femme mineure est condamnée pour avoir fait une IVG,  dénoncée par son propre violeur !

Etes-vous aussi une artiste engagée ?
Je suis une citoyenne engagée. Je participe à la vie de mon pays, de ma ville. Adhérente du collectif 50/50 je veux continuer à me battre par exemple pour imposer les femmes à l’intérieur du cinéma français. Les choses ont tout de même beaucoup bougé mais il faut rester vigilant.Je prends complètement à mon compte la phrase de Gisèle Halimi «Le combat est une dynamique, si on s’arrête on dégringole, si on s’arrête on est foutus.» Si on commence à se battre pour les droits des femmes, on fait bouger toute la société.

Les spectacle est donné depuis le 18 octobre 2022 à la Scala Paris. Quelle est la réaction du public ?
Je suis très très  touchée car tous les soirs nous terminons avec une salle debout. Et ce qui me touche beaucoup plus encore c’est qu’il y a des jeunes gens. J’ai l’impression qu’il y a eu un moment où la transmission  s’est un peu arrêtée dans le mouvement féministe. Il y a aujourd’hui le mouvement Metoo mais qui ne sait pas ou a oublié  qu’il y a des femmes qui se sont battues dans les années 70 pour leur droit. Il y a donc un public très étonnant, des dames d’un certain âge, et des  jeunes filles et jeunes garçons qui découvrent, qui ne savaient pas. Et là, j’ai vraiment l’impression de faire mon métier, de transmettre.

Changer le monde en jouant ?  Oui changer, apprendre des choses à des jeunes, c’est épatant.

Samedi 3 décembre. 20h. Dimanche 15h.10 à 25€.La Scala. 3 rue Pourquery de Boisserin. Avignon. 04 90 65 00 90. lascala-provence.fr


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L’Institut du cancer Sainte-Catherine participe à Movember, manifestation de sensibilisation annuelle sur les maladies masculines telles que le cancer de la prostate. A ce titre Sainte-Catherine propose une conférence grand public mercredi 30 novembre de 19h30 à 21h. Celle-ci est aura lieu en présentiel ainsi qu’en live sur les réseaux sociaux. Elle sera animée par Werner Hilgers, coordinateur de l’Unité fonctionnelle urologie et oncologue médial à Sainte-Catherine.

Le programme de la conférence sur le cancer de la prostate
19h30-19h40 La prostate ça sert à quoi ? Avec le docteur Werner Hilgers.
19h40-20h Dépistage et diagnostic avec le docteur Mehdi Blah, urologue à la clinique Synergia Ventoux à Carpentras.
20h-20h20 La place de la chirurgie dans le cancer de la prostate avec le docteur Alessandro di Rosa, urologue à la clinique Rhône Durance d’Avignon et à la clinique Elsan d’Orange.
20h40-21h Foire aux questions

Les infos pratiques
Mercredi 30 novembre. De 19h30 à 21h. Amphithéâtre de Sainte Catherine. Ce programme est proposé en collaboration avec la clinique Synergia Ventoux de Carpentras, la clinique Rhône Durance d’Avignon ainsi que la Clinique Elsan d’Orange. Inscription à la conférence https://conference.isc84.org 04 90 27 60 50 et sur les réseaux sociaux Facebook et Youtube. Institut du cancer Sainte-Catherine 250, Chemin de baigne pieds à Avignon.
MH


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Du 25 au 10 décembre, Soroptimist International Avignon participe à la campagne d’information et de prévention des violences à l’égard des femmes, « Oranger le monde ». A cette occasion, une soirée cinéma suivie d’une table ronde est organisée, le vendredi 2 décembre, au cinéma Le Vox d’Avignon avec la projection du film « La Terre des hommes ».

Comme chaque année depuis 9 ans, le Soroptimist International Avignon participe à la quinzaine d’activisme de lutte contre toutes les formes de violences envers les femmes, « Oranger le monde », du 25 novembre au 10 décembre. Pendant 15 jours, les Soroptimist du monde entier vont « oranger » leurs villes, faire éclairer les monuments, mener des actions de sensibilisation, collecter de l’argent pour mener d’autres actions de prévention de la violence à l’égard des femmes. La ville d’Avignon éclaira notamment le pont Saint-Bénézet ainsi qu’une partie des remparts, comme cela se fait notamment pour octobre rose.

Cette année, en plus de ces actions, le SI Avignon organise une soirée cinéma suivie d’une table ronde, animée par Sandra Vich, le vendredi 2 décembre à partir de 18h30 au cinéma Le Vox, place de l’Horloge, Avignon. Le public assistera à la projection du film « La Terres des hommes », de Naël Marandin. A la suite de la projection, six intervenants échangeront et partageront leurs points de vue sur certains des sujets évoqués dans le film et notamment les métiers masculins occupés par des femmes et le harcèlement.

« La Terre des hommes » de Naël Marandin avec Diane Rouxel, Finnegan Oldfield, Jalil Lespert et Olivier Gourmet.

Programme de la soirée 

  • Accueil à partir de 18h30
  • Film à 19h
  • Table ronde à 20h50
  • Moment de convivialité autour d’un verre vers 22h15
  • Fin de soirée à 23h

Les bénéfices de la soirée seront reversés à Adaikalam pour « la Maison d’Agathe » orphelinat pour fillettes à Pondichéry.

Projection de « La Terre des hommes », le vendredi 2 décembre au Vox, Avignon. Réservation et paiement en ligne ou par téléphone : 06 14 32 80 21.

J.R.


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Après avoir obtenu en juin dernier la certification ROC V1, InterSystems, spécialiste de la gestion de données dont la mission est d’accompagner les organisations dans leur transformation numérique, annonce que le centre hospitalier d’Avignon devient le premier hôpital miroir rattaché au dispositif ROC (remboursement des organismes complémentaires).

Le dispositif ROC (remboursement des organismes complémentaires) permet de dématérialiser la relation entre les établissements de santé et les organismes complémentaires dès l’admission du patient et ce, jusqu’à la facturation des soins. Mettant ainsi à disposition des patients et des équipes administratives, des informations fiables, rapides et disponibles instantanément.  

A la suite du succès de la phase d’expérimentation, lancée en 2019, et à l’intégration du centre hospitalier d’Avignon au cercle de confiance ROC, l’établissement a pu commencer début novembre la phase de production sous-surveillance d’une mutuelle certifiée ROC V1 qui n’avait pas participé à l’expérimentation. L’objectif est d’intégrer au fur et à mesure tous les organismes complémentaires au dispositif afin de le généraliser.

« Le recouvrement des factures est un vrai problème dans les hôpitaux et cela pesait sur les équipes. C’est ce qui nous a motivés à nous engager, parmi les premiers, avec InterSystems sur le projet ROC en 2019, explique Cécile Polito, adjointe au directeur du centre hospitalier d’Avignon. Le résultat est là puisque qu’aujourd’hui nous avons un taux de rejet des factures de l’ordre de 1%. Nous sommes très fiers de poursuivre notre engagement dans la généralisation du dispositif pour élargir le cercle de confiance ROC ».

« Grâce à notre dynamisme respectif, nous avons pu avancer très vite et ainsi, intégrer très tôt le dispositif ROC, précise Hélène Cottier, directrice R&D InterSystems France, et cela se concrétise aujourd’hui par cette nouvelle étape pour le centre hospitalier d’Avignon qui est devenu le 1er établissement miroir, tous éditeurs confondus ».

J.R.


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Alexandra Siffredi, la médiatrice du Musée Angladon a déniché une pépite dans les réserves du Musée. C’est un paysage du XVIIème siècle relevant de l’Ecole de Frankenthal, qui fait l’objet de notre accrochage de saison.

Le Musée Angladon – Collection Jacques Doucet met en lumière en cette saison automne-hiver un paysage de l’Ecole de Frankenthal tiré de ses réserves. Cette huile sur toile (68,4 X 99,3 cm) appartenant à la collection Angladon – Dubrujeaud est l’œuvre d’un peintre anonyme du XVIIème siècle. Elle est exposée dans la salle dédiée aux accrochages de saison.

Une toile d’inspiration champêtre
Cette toile d’inspiration champêtre, aux tons subtils de bruns, gris et bleus, trouve son origine dans le village de Frankenthal, en Bavière rhénane, devenu entre XVIème et XVIIème siècles un lieu de foisonnement artistique. En 1587 un groupe de protestants des Pays-Bas, fuyant les persécutions religieuses, s’y installe. Parmi eux, le peintre Van Coninxloo, originaire d’Anvers, qui devait révolutionner l’art du paysage.

Romantisme de la nature
De nombreux artistes travaillent ensuite à Frankenthal, attachés à peindre des sites romantiques ou tragiques, avec une prédilection pour les paysages forestiers, les architectures fantastiques et les villes incendiées.

Une école d’influence
Le style romantique de l’Ecole de Frankenthal rayonne bien au-delà de la Bavière, influence des peintres travaillant à Nuremberg, Augsbourg, Francfort, et survit longtemps en Allemagne. Lieu de passage entre les Pays-Bas et l’Italie, Frankenthal joue également un rôle de premier plan dans la diffusion du style italo-flamand né à Venise, qui se diffuse rapidement au nord des Alpes.

Les ateliers
D’octobre à mai le Musée propose les Ateliers du jeudi. Actuellement c’est atelier fusain et photos avec une étude de Jean-Siméon Chardin ‘Intimité de la lumière et mystère de la composition ; à partir du 1er décembre ce sera Manet et peindre de la texture ; à partir du 26 janvier ce sera Vuillard-Nabis-Paravent avec l’étude des collages et motifs décoratifs avec figure.

Les infos pratiques
Musée Angladon, Collection Jacques Doucet. Du mardi au samedi de 13 à 18h.8€.5, rue Laboureur à Avignon 04 90 82 29 23.


Carte blanche au batteur Teun Verbruggen au club de jazz avignonnais

Quand les jours se font plus courts et la nuit tombe, La Mirande s’éclaire comme à la bougie. Avec les vraies chandelles et le crépitement des feux de cheminée – quoi de plus paisible et merveilleux pour fêter les fêtes de fin d’année !

Tout au long du mois de décembre, La Mirande vous propose des animations et ateliers divers. De nombreuses surprises sont au rendez-vous pour vous faire vivre des moments chaleureux et festifs en famille.

Tous les jours, le bar et le salon de thé hivernal vous accueillent dans les salons pour apprécier des boissons chaudes, cocktails de Noël, et autres délices faits maison. Sapins et crèche provençale décoreront le patio.

Ne manquez pas
Les ateliers de Noël, les Chocolats, Créations, Thés de Noël, les Guimauves au chocolat, Gingerbread House, Les gaufres de Minne, Les mardis, Les contes en famille, Les mercredis soirs autour de la cheminée, Les apéritifs musicaux, Les vendredis et samedis, Les chants de Noël provençaux, Les dimanches, Les repas de Noël, le Dîner du 24 décembre, les Déjeuner et dîner du 25 décembre, La Soirée de la Saint-Sylvestre, le Dîner du 31 décembre, Le Grand Brunch du Nouvel An le 1er janvier. L’intégralité du programme ici.

https://www.echodumardi.com/tag/avignon/page/129/   1/1