Créativa, pépinière d’entrepreneurs, organise une réunion d’information
Vous êtes en phase de création d’entreprise, à la tête d’une entreprise récemment créée, à la direction d’une structure en phase de croissance ? Créativa vous exposera les bonnes raisons de s’implanter sur son site et vous informera sur son offre adaptée, flexible et clés en mains.
Rendez-vous le jeudi 7 juillet à 10h dans les locaux de Créativa, bâtiment Pierre Thomas, 546 rue Baruch de Spinoza, secteur Agroparc à Avignon.
Créativa, pépinière d’entrepreneurs, organise une réunion d’information
Declic Art est la plateforme de vente de la galerie physique: A+C Galerie. «La globalisation du marché de l’art à l’ère du numérique génère un trafic mensuel de plus de 10 000 personnes différentes sur declicart.com, entame le directeur de la galerie Charles Diehl, là ou, en galerie, une centaine de personne par mois franchit le pas de la porte. Nos coups de cœur ? Ils vont aux jeunes artistes, nous ayant rejoint pour la plupart dès la sortie d’école, ainsi que les œuvres d’artistes modernes et contemporains établis. Sensibles aux estampes, nous éditons certaines œuvres des artistes que nous défendons.
L’art en entreprise «Notre mission est de mettre notre expérience au service de l’entreprise. Nous les accompagnons dans le choix, la mise en valeur et le mode d’acquisition des œuvres. Défiscalisation, leasing ou location, autant de possibilités proposées pour réaliser son projet, sa collection d’œuvres d’artistes émergents et reconnus. Toutes les transactions d’achat sont accompagnées d’un certificat d’authenticité. Ce document atteste de l’acquisition et de l’authenticité de l’œuvre d’art.
La galerie d’art existe aussi à Vaison-la-Romaine où elle propose des ateliers d’art 20 bis, rue du général de Gaulle. La galerie d’Avignon vient juste d’être inaugurée et propose le plus vaste espace dévolu aux artistes. Charles Diehl participe à de nombreuses foires d’art contemporain à Monaco, Montpellier, Lausanne et Lille. Declic Art 87, rue de la Bonneterie à Avignon. Charlesdiehl@gmail.com. www.declicart.com
DR
Créativa, pépinière d’entrepreneurs, organise une réunion d’information
La ville d’Avignon vient de signer plusieurs conventions avec la Coopérative citoyenne d’énergies renouvelables Enercipa pour installer des panneaux photovoltaïques sur les toits de certains bâtiments municipaux. Plusieurs établissements possédaient déjà des installations similaires depuis 2014 tels que l’école Saint-Jean, la piscine Stuart Mill, le Gymnase Génicoud et le stade nautique.
Cette fois-ci, 4 bâtiments sont concernés : l’école maternelle Arrousaire, l’école élémentaire de la Trillade, le Gymnase Barbière et la brasserie de la Plaine des Sports. Ainsi, les conventions signées par la ville et par Enercipa conviennent de la mise à disposition des toitures pendant 20 ans après l’installation des panneaux, avec une possibilité d’extension de 5 ans si les deux parties donnent leur accord. Une redevance de 26 000€ a également été mise en place pour toute la durée des conventions, sous la forme de 52 jours d’actions pédagogiques à destination des scolaires et usagers des bâtiments bénéficiant de ces installations.
Ces installations photovoltaïques s’inscrivent dans une volonté de la ville d’Avignon d’agir en faveur du développement durable et d’accélérer le déploiement des énergies renouvelables sur son territoire.
V.A.
Créativa, pépinière d’entrepreneurs, organise une réunion d’information
Le Théâtre du Chêne noir propose 14 spectacles. « Cette édition signe le retour à la normale assure Julien Gélas, le directeur du Chêne noir. Une fois la programmation faite, je me suis rendu compte que deux thèmes majeurs émergeaient : l’amour et la guerre. Des thématiques qui résonnent avec l’actualité, car, aujourd’hui nous nous trouvons encore dans une logique de guerre, de confrontation, au niveau international. Qu’est-ce-qui fait qu’on tienne plus à la liberté qu’à la volonté de puissance ?«
Le théâtre était archi-plein lors de ce dimanche 3 juillet où le soleil écrasait la ville sous une chaleur sans souffle. Il n’y avait pas un chat dans la rue hormis les aficionados du théâtre du Chêne noir et aussi quelques voitures et transits perdus à la recherche d’une adresse, d’une location, dans les boyaux étroit de la ville médiévale.
La salle s’est très vite remplie. Alors que le public bruissait à peine, face à la scène, une table depuis laquelle Julien Gélas annonçait le programme et où metteurs-en-scène et comédiens prenaient chacun à leur tour, la parole. Certains étaient diserts, d’autres plus synthétiques, ou encore graves ou bien légers et plein d’humour. Ils portaient le bermuda, la casquette, quand d’autres arboraient de chics ensembles sable. Il régnait un esprit de famille heureuse de se retrouver dans sa maison de campagne.
Et puis il y a cette sensation d’un retournement Car la scène, avec ses chaises et ses artistes en se remplissant, ressemblait finalement à la salle d’un théâtre qui regarde une scène emplie de spectateurs. D’ailleurs ils étaient quelques-uns, comédiens, écrivains à scruter le public, à étendre leurs tentacules invisibles pour collecter ambiance, impressions, guettant les plus fugaces réactions. A ce moment peu de gens arboraient de masque, alors comédiens et metteurs-en-scène voulaient encore pouvoir décrypter les visages.
Le programme, qu’en penser ? On y fera sans doute de belles découvertes. Il y aura déjà les pièces vues cet hiver alors qu’elles n’étaient pas encore tout à fait rodées mais déjà bien maîtrisées laissant surgir émotions et mises-en-scène efficaces sans parler du soin apporté à d’ingénieux décors.
Ce qu’on a vu cet hiver Nous avions déjà écrit sur ces trois pièces dont vous pourrez retrouver les critiques en cliquant sur les titres : ‘Les chaises’ d’Eugène Ionesco. La création fut portée au cœur même du Covid «Le spectacle évoque l’amour, la fin de vie, la disparition, la perte de la mémoire. Si ces thèmes ne sont pas joyeux Ionesco les traite sous la forme de farce avec beaucoup d’humour et de dynamisme », relatait Renaud Gillier, le metteur-en-scène et comédien. Il est le formidable orateur dans les Chaises… Salle John Coltrane. 10h15. Du 7 au 30 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
‘Lettres à un ami Allemand’ d’Albert Camus «C’est un défi et un magnifique texte pour ce qu’il dit de nous, de ce que nous vivons, de l’histoire de humanité qui ne fait que se répéter,» soulignait Julien Gélas. «A un certain âge on a envie de faire des choses essentielles. Un moment fort à partager,» relatait Didier Flamand qui interprète le texte. Lettres à un ami allemand. Salle Léo Ferré. 11h45. Du 7 au 30 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
‘Le Jeu du Président’ de Julien Gélas «J’ai écrit ce texte pendant le confinement, se souvient Julien Gélas. J’étais fasciné par le début de quinquennat d’Emmanuel Macron. J’observais que tout ou presque était théâtral. Une matière formidable pour composer un drame contemporain. Je me suis inspiré des crises des gilets jaunes, du Covid, de la manière dont Emmanuel Macron s’était emparé du pouvoir et de la politique -ce qui m’a rappelé beaucoup d’illustres personnages-. J’ai imaginé un personnage étrange, un conseiller occulte, Vicien, qui serait à la fois la mauvaise conscience et la conscience humaniste et désespérée de ce président. L’idée de Vicien ? Mener le président à sa perte en exacerbant tous ses défauts. Une inspiration de ‘Le roi s’amuse’ de Victor Hugo.» Le Jeu du président.Salle Léo Ferré. 17h15. Du 7 au 30 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
La servante de Proust de Georges Belmont «Céleste Albaret –la femme du chauffeur du grand auteur- fut la gouvernante et la seule confidente de Marcel Proust, indiquait Arnaud Bertrand le metteur-en-scène. Elle se met à son service alors que la guerre de 1914-18 éclate. Elle arrive de Lozère et sait à peine lire et écrire. Alors que ces deux êtres n’avaient rien en commun –elle la campagnarde, lui le dandy mondain à la culture encyclopédique- une solide relation va les lier. Agée de 82 ans Céleste décide d’écrire cette fabuleuse relation. Salle John Coltrane. 17h35. Du 7 au 30 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
Les nouveautés ? Il y aura ‘Blanche Neige et les sept nains’, des frères Grimm, un spectacle jeunes enfants –nominé aux Molière- réalisé avec beaucoup de fougue et de moyens techniques sur le plateau », annonce Julien Gélas. Le spectacle fera la part belle à la musique, à la poésie, des hologrammes et du mapping. Blanche neige et les 7 nains.Salle Léo Ferré. 9h45 du 7 au 31 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
‘L’Arlésienne’d’Alphonse Daudet dont tous les personnages seront interprétés par l’acteur et metteur-en-scène Daniel Mesguich qui commente de sa belle voix profonde : «Alphonse Daudet est le plus grand des acteurs mineurs avec une Arlésienne écrite de main de maître, une histoire implacablement structurée, mathématique. J’avais envie de faire le conteur tout en jouant la pièce. J’interprète tous les personnages : le vieux berger Balthazar, le jeune héros Frédéri, le gardian… La pièce de théâtre a été inspirée à Alphonse Daudet par le neveu de Frédéric Mistral qui s’était suicidé. Sa particularité ? Elle fût accompagnée, en son temps, par la musique de Georges Bizet qui devint célèbre par la suite. L’Arlésienne. Salle John Coltrane. 10h15. Du 7 au 30 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
‘Fabien’de Marcel Pagnol Sera donné, sur scène, par 9 comédiens. Marcel Pagnol a eu l’idée du texte en parcourant la Foire du Trône. Elle fut sa dernière pièce de théâtre et jouée, pour la dernière fois, en 1956. Sans doute à cause du sujet abordé. Au départ ? Le cirque et le théâtre forain : un monde artisanal, de la magie, des clowns et des monstres. Le thème ? Les violences psychologiques conjugales dans un foyer au cœur du cirque. «J’ai cherché à faire rire le public à travers ce drame, parce que je suis convaincu que le rire ouvre les esprits et l’on peut faire passer plus de messages ainsi, explique Marc Pistolesi le metteur-en-scène. Je n’ai pas voulu dénoncer mais montrer ce qui se passe dans ce foyer qui vit dans un cirque en balançant le public, comme une femme violentée psychologiquement, par une caresse, deux gifles, une caresse, deux gifles. Elle ne sait jamais sur quel pied danser. Dès que l’on rentre dans le drame, l’on rentre dans le rire et dès que l’on rentre dans le rire, l’on rentre dans le drame. Ça virevolte comme la piste aux étoiles, comme le cirque. Fabien. Salle Léo Ferré. 13h15. Du 7 au 30 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
‘Un amour de Blum’ Le saviez-vous ? L’ancien président du Conseil Léon Blum –également écrivain et critique littéraire- fut emprisonné en 1940 par le gouvernement de Vichy puis déporté dans le pavillon de chasse de Himmler à 600 m des murs de Buchenwald puis à Dachau. Une jeune-femme déjà mariée, de 27 ans sa cadette –Jeanne Levylier- qui deviendra sa dernière compagne et 3e épouse, le soutiendra de prison en prison, y compris en camps de concentration et dans la terreur d’être fusillés à tout moment. L’homme politique réunira tous les arguments pour répondre au procès qui lui est fait poussant Philippe Pétain lui-même à ajourner celui-ci afin d’éviter qu’un regain de popularité ne mette Blum à l’affiche. Le couple sera finalement sauvé par l’armée américaine et les francs-tireurs italiens. Ce que raconte la pièce ? Cette mystérieuse et improbable histoire d’amour au milieu de l’horreur. «Elle est jeune et solaire, il a 27 ans de plus qu’elle et est l’ami de grands auteurs tels que Proust, Gide… Il tombera fou amoureux d’elle.» raconte le metteur-en-scène Gérard Gélas, précisant que la musique a été concoctée par Julien Gélas. Un amour de Blum.Salle John Coltrane. 13h30. Du 7 au 30 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
Changer l’eau des fleurs de Valérie Perrin «C’est parti d’un voyage entre Paris et Avignon où Caroline Rochefort a lu dans l’avion ‘Changer l’eau des fleurs, relate Salomé Lelouch. L’histoire ? Violette Toussaint vit dans un cimetière dont elle est gardienne, partageant le quotidien des fossoyeurs, des personnes qui se recueillent sur les tombes. Une défunte exige d’être enterrée auprès d’un inconnu. Son fils enquête, » raconte Salomé Lelouch. «Violette célèbre la vie dans un lieu de mort qui parle de la mémoire,» relève Mikaël Chirinian, metteur-en-scène avec Salomé Lelouch. Changer l’eau des fleurs. Salle Léo Ferré. 15h15. Du 7 au 30 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
La délicatesse C’est au départ un roman de David Foenkinos. « Je voulais faire de ce texte un parcours initiatique. «Phase 1 : On cherche à avoir l’idéal, lorsqu’on l’atteint on le perd, il meurt, affirme Thierry Surace, le metteur-en-scène. Phase 2 : La meurtrissure, le repli sur soi, la victimisation et finalement le combat pour survivre ou pour apprendre à vivre. Phase 3 : Accepter la laideur des choses pour prendre le monde dans sa globalité et de ce fait, pouvoir trouver le bonheur. L’idée ? Que le spectateur suive ce cheminement. Vous ne sortirez pas grandi, mais, j’espère épanoui et content d’avoir entendu un beau texte mis, malgré lui, au théâtre.» La délicatesse. Salle John Coltrane. Du 7 au 30 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
Les passagers de Frédéric Krivine «Une femme, commerçante Palestinienne, est convoquée par la Police pour recueillir son témoignage sur un attentat à la bombe survenu dans un bus après qu’elle en soit descendu. Ce fait divers a eu lieu en Israël, détaille Julien Gélas et la jeune-femme en a été accusée. Au départ l’interrogatoire plutôt neutre met au jour l’idéologie de la femme. Ce thriller, cette réflexion très minutieuse, dissèque les motivations, les événements qui font que l’on passe à l’acte, que l’on essaie de se révolter, détaillant les tenants et aboutissements. Finalement pourquoi passe-ton de l’esprit au crime ?» Les passagers. Salle John Coltrane. 19h30. Du 7 au 31 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
Fleurs de soleil de Simon Wiesenthal «L’histoire se passe durant la 2e guerre mondiale. Un cas de conscience qui parle du pardon », relate lors d’une vidéo Thierry Lhermitte dans ce seul-en-scène. Simon Wiesenthal a passé sa vie à poursuivre les nazis, hanté par l’assassinat de millions de juifs innocents et d’autres comme les handicapés, les homosexuels, les gens du voyage, les résistants… Arrive le moment où il recueille les confessions d’un jeune soldat nazi, Karl, qui lui narre une scène terrible. Se pose alors la question du pardon. Peut-on accorder soi-même la rédemption au nom d’autres victimes ? Arrêté en 1941 Simon Wiesenthal sera interné dans 5 camps de concentration. Il sera libéré lors de l’invasion soviétique. Fleurs de soleil. Salle Léo ferré. 19h55. Du 7 au 30 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
Le temps des trompettes de Félicien Chauveau «ici l’on aborde les 36 premières années de Jean-Baptiste Poquelin dit Molière en faisant écho au monde contemporain, raconte Félicien Chauveau, metteur-en-scène, auteur et comédien. En tant que directeur de troupe j’ai trouvé, dans le temps des trompettes, des correspondances avec ma propre vie : Aller frapper à la porte des princes, chercher des aides à droite et à gauche, des protecteurs, connaitre des déboires, beaucoup voyager.» Le temps des trompettes.Salle John Coltrane. 21h20. Du 7 au 30 juillet. Relâche les 11, 18 et 25 juillet.
Andromaque de Racine «Il est question de l’héritage des crimes des parents, détaille Robin Renucci en vidéo. Oreste aime Hermione qui aime Pyrrhus qui aime Andromaque qui aime son défunt époux Hector pour défendre la vie de son fils, Astyanax. C’est aussi une histoire de guerre, de guerriers, de dette de guerre, et du poids de la guerre chez les enfants. Cela nous touche particulièrement dans le contexte que nous vivons. On retrouve chez Racine souvent 8 personnages, 4 points cardinaux, 4 espaces et un spectacle en diagonale. On parle des parents, des Dieux, des humains. C’est une façon mathématique de raconter une histoire.» Andromaque.Salle John Coltrane. 21h30. Du 7 au 17 juillet. Relâche le 11 juillet.
Fragments de Hannah Arendt «Bérengère Warluzel s’est prise de passion pour Hannah Arendt, révèle Charles Berling, m’apportant, pendant le Covid, un assemblage de textes, des fragments tirés de beaucoup de ses œuvres. Le défi ? Trouver l’émotion profonde et donc théâtrale de ce qu’elle raconte. La question ? Comment partager ensemble cette pensée, cette lucidité et cette foi –dans l’être humain- qui nous réveille dans toutes les dimensions qui nous réunissent, ce qui fait le bien commun, qu’on est bien ensemble. Nous avons d’ailleurs été saisis de voir le public bouleversé par cette pensée claire, forte quand nous avions joué l’an passé chez Présence Pasteur. Nous avons réalisé deux versions. L’une avec Bérengère Warluzel seule en scène et l’autre avec ses enfants adolescents : Romane, Isaure, Guilad, et Ariel Oren pour montrer que ces textes sont abordables par tous.» Fragments.Salle Léo Ferré. 21h30. du 19 au 30 juillet. Relâche le 25 juillet.
Les infos pratiques Théâtre du Chêne noir. 8 bis, rue Sainte-Catherine à Avignon. 04 90 86 74 87. www.Chenenoir.fr Tous les spectacles ici.
Créativa, pépinière d’entrepreneurs, organise une réunion d’information
L’AIST 84, le service de santé au travail de Vaucluse, organise la 3e édition de son forum dédié à la santé des dirigeants, managers et indépendants. Le vendredi 8 juillet, cinq ateliers seront proposés pour se ressourcer.
L’AIST 84, le service de santé au travail de Vaucluse, organise la troisième édition de son forum dédié à la santé des dirigeants. Cet évènement, qui se tiendra le vendredi 8 juillet, est ouvert aux chefs d’entreprise, dirigeants, managers et indépendants, adhérents ou non à l’AIST 84, dans la limite de deux personnes par structure.
Au programme de cette troisième édition : des techniques de respiration pour apprendre à se détendre physiquement et mentalement, des pratiques et astuces pour être en pleine forme, de la visualisation mentale pour transformer les pensées négatives en pensées positives, de l’introspection pour s’éloigner du chemin de l’épuisement et une découverte de l’automassage. Tous les ateliers sont proposés gratuitement.
Créativa, pépinière d’entrepreneurs, organise une réunion d’information
Avignon vient de signer le contrat de concession portant sur les 30 prochaines années avec Enedis. Il y est question de développement du territoire, de transition écologique, de politique tarifaire et d’accompagnement des consommateurs
Pour l’occasion Paul-Roger Gontard, Adjoint au Maire, Délégué au développement territorial et aux grands projets a signé une charte partenariale, dans le cadre de la concession, entre la Ville et Enedis en présence de Cédric Boissier, Directeur régional Provence Alpes du Sud d’Enedis, et Sébastien Quiminal, Directeur Enedis Vaucluse. Enedis y a également vu là l’opportunité d’une journée de séminaire pour une partie de ses équipes, au Palais-des-Papes, sur les services innovants en matière de transition écologique à destination des collectivités.
La charte partenariale La charte qui accompagne la signature du contrat de concession avec Enedis encourage divers domaines comme la sobriété énergétique face à l’urgence climatique ; Le déploiement de l’auto-consommation collective (école Joly Jean). On y évoque aussi l’optimisation des dépenses dans les bâtiments publics via les données agrégées par les compteurs communicants Lynky ; L’accélération de la rénovation des bâtiments énergétiques en regard de l’historique des consommations d’électricité 2011-2019 ; L’aide à la décision face à la précarité énergétique ; Ainsi que la détection des anomalies de l’éclairage public.
En savoir plus Enedis, gestionnaire public du réseau de distribution d’électricité emploie 38 000 personnes. Au service de 37 millions de clients, elle développe, exploite, modernise 1,4 million de kilomètres de réseau électrique basse et moyenne tension (230 et 20 000 volts) et gère les données associées. L’entreprise publique réalise les raccordements des clients, le dépannage 24h/24, 7J/7, le relevé des compteurs et toutes les interventions techniques. Elle intervient également auprès des collectivités locales, propriétaires des réseaux. Enedis est indépendante des fournisseurs d’énergie qui sont chargés de la vente et de la gestion du contrat de fourniture d’électricité.
Paul-Roger Gontard s’est entretenu avec les équipes d’Enedis à l’occasion de la signature de la charte partenariale
Créativa, pépinière d’entrepreneurs, organise une réunion d’information
Sainte-Catherine-Institut du cancer Avignon Provence propose la 5e édition de l’ascension du Mont Ventoux, à pied ou en vélo, samedi 3 septembre. Les inscrits réaliseront un exploit sportif qui permettra de récolter des dons pour la recherche et l’amélioration de la qualité de vie des patients, atteints du cancer, pendant et après leur traitement.
Lors de la 4e édition française en 2021, 188 participants -soit 41 % de plus que l’édition 2019 (pas d’édition en 2020 cause Covid)-, s’étaient inscrits à « Ventoux contre Cancer » collectant plus de 104 400€ au profit de la lutte contre le cancer. En 4 éditions 280 000€ ont été collectés dont 159 000€ dévolus à l’Institut sainte-Catherine.
Dans le détail Les inscrits parcourront 26 km, au départ de Sault jusqu’au sommet du Géant de Provence, à condition, au préalable d’avoir collecté 275€ -minimum- par participant adulte et 100€ pour les jeunes, pour être sur la ligne de départ.
100% des dons reversés 100 % des dons collectés par les inscrits seront reversés à 4 organismes de lutte contre le cancer du territoire Avignon-Provence-Occitanie : Sainte-Catherine, Institut du cancer Avignon-Provence à Avignon ; l’Hôpital La Timone à Marseille ; Cami Sport & Cancer à Aix-en-Provence et le CHU (Centre hospitalier universitaire) de Montpellier.
Comment faire Les dons sont possibles jusqu’à la veille des 2 courses le 3 septembre sur www.ventouxcontrecancer.fr, dans la rubrique ‘faire un don’. Le donateur peut choisir de sponsoriser une équipe ou un individuel, puis sélectionne le bénéficiaire et son projet.
Les 2 projets de Sainte Catherine Le 1er, en termes de soins propose l’amélioration du confort des patients lors des toilettes en situation palliative avec l’acquisition pour les unités d’hospitalisation de fauteuils de douche motorisés et de systèmes de ‘douche au lit’ pour les patients les plus fragiles.
Le second vise la recherche et développement propose la Mise en place de la radiothérapie adaptative à Sainte-Catherine avec le Système ‘Ethos’ de Varian qui permet une radiothérapie adaptée à l’anatomie des patients grâce à une imagerie et une dosimétrie réalisées directement sur la table de l’appareil de traitement. Les bénéfices attendus sont un meilleur contrôle de la dose délivrée au volume cible, ainsi que la protection des tissus sains.
En savoir plus sur Sainte-Catherine L’institut Sainte-Catherine – Institut du cancer – Avignon-Provence a été fondé en 1946, à l’initiative du docteur Georges Reboul et est spécialisé dans le dépistage et le traitement des tumeurs cancéreuses. Son recrutement, son plateau technique et ses activités de recherche clinique, Sainte-Catherine le classent comme l’un des centres les plus performants dans cette spécialité au plan national.
Le nouvel hôpital de jour a été créé en 2019 avec 52 places, soit l’un des plus grands de France. L’établissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif, développe une politique d’excellence dans la prise en charge des patients cancéreux.
Son activité est particulièrement importante en Radiothérapie avec 55 000 séances/an, ce qui représente 100% des séances en Vaucluse et 33% des séances en région Paca ; La chimiothérapie se développe sur 18 500 séances/an, ce qui représente 75% des séances en Vaucluse et 10% des séances en région Paca ; L’équipe soignante se compose de 300 personnes.
Les infos pratiques L’événement aura lieu samedi 3 septembre, au départ de Sault. Les 26 km peuvent être faits à pied (en courant ou en marchant) ou à vélo. Pour participer au départ il faut, au préalable avoir recueilli 275 € par participant adulte en financement participatif, et 100€ par enfant de moins de 18 ans. Les donateurs choisissent le bénéficiaire et son projet à financer. www.ventouxcontrecancer.fr
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Tut-Tut vient de passer un partenariat avec les Intermarchés du Sud-Est -qui représente 240 points de vente- pour la livraison des ‘drive‘
Tut-Tut ? C’est la plate-forme qui propose un service de livraison ‘éco-responsable et local’ assuré par des particuliers, membre de la communauté des coursiers Tut-Tut. Le principe ? Livrer les courses, un objet ou un encombrant –selon la taille de véhicule- sur son trajet –dans un rayon de 30km- tout en empochant un ‘pourboire’ pour service rendu.
Comment ça marche ? Les clients effectuent leurs demandes de livraison sur le site d’Intermarché et choisissent leurs créneaux horaires tandis que les particuliers-coursiers, en réalisant les livraisons avec leur propre véhicule, complètent leur salaire en rentabiliser leurs trajets.
Du côté de l’enseigne ? La livraison devient l’extension naturelle du service de drive, étendant la zone de chalandise, à une nouvelle clientèle qui ne pouvait jusque-là pas se déplacer.
Côté particulier Côté particuliers, l’inscription se fait sur la plateforme avec le téléchargement de l’appli qui envoie les notifications aux coursiers les plus proches des demandes de courses. Le particulier-coursier répond à la demande et effectue le service gagnant un petit complément de revenu.
Côté professionnels C’est de là qu’a surgi la surprise ! Alors que l’idée était surtout d’aider les petits commerçants avec, notamment, le casse-tête du dernier kilomètre, les demandes de partenariats ont afflué en nombre des grandes enseignes, parfois pour cause de drive, comme Intermarché, Carrefour et non alimentaire comme Électro Dépôt, Villa Verde, Truffaut, Bricorama, la Foir’fouille, Centrakor, Weldom… de toute la France !
L’Enjeu ? Que Tut-Tut opère sur tout le territoire national en maillant un réseau de plus en plus important. Et le succès est là, la start-up enregistrant 40% de croissance mensuelle, totalisant pour le moment 30 000 coursiers particuliers –dont 12 000 dans le Sud-est- et plus de 700 partenariats signés avec des dizaines de milliers de courses effectuées.
Le succès est au rendez-vous Vincent Chabbert, le fondateur de Tut-Tut en avril 2021, natif de Tavel –dans le Gard-, emploie déjà 30 salariés et bientôt 15 nouveaux profils d’ici la rentrée de septembre. L’entreprise se situe en Courtine à Avignon.
L’histoire ? Tout a débuté lorsque Vincent Chabbert, directeur d’Hôtels pour Valmavi France –et précédemment Ibis La Défense, Ibis styles, Courtepaille Valence, et Mercure Cavaillon- regardait les voitures passer devant lui, alors que lui-même naviguait entre les hôtels et restaurants qu’il manageait. L’idée qui a germé ? Comment optimiser l’espace d’une voiture occupée par une seule personne ? Les prémices de Tut-Tut étaient nés. www.tut-tut.com
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Mercredi 29 juin, Bertrand Gaume, préfet de Vaucluse, et Cécile Helle, maire d’Avignon, ont présenté, avec l’ensemble des services concernés, les dispositifs de sécurité et le protocole sanitaire déployés pour assurer la sécurité des citoyens et des participants lors du Festival d’Avignon et du Off, édition 2022, qui se tiendra du 7 au 30 juillet.
« La rentrée en festival s’opère dans un contexte spécial », a commenté le préfet de Vaucluse. Afin d’assurer le bon déroulement de l’édition 2022 du Festival d’Avignon et du Off, qui se tiendra du 7 au 30 juillet dans une période encore fragilisée par la crise sanitaire, les services de l’état, la ville d’Avignon, les organisateurs, les forces de l’ordre, l’agence régionale de santé PACA, le SDIS 84, la délégation militaire départementale, et l’association Croix Blanche coordonnent et renforcent leurs dispositifs de sécurité. Dans ce cadre, Bertrand Gaume, préfet de Vaucluse, et Cécile Helle, maire d’Avignon, ont présenté, mercredi 29 juin avec l’ensemble des services concernés, les dispositifs de sécurité et le protocole sanitaire déployés pour assurer la sécurité des citoyens et des participants lors du Festival d’Avignon et du Off.
La sécurisation de l’espace public renforcé Afin de garantir la sécurité de chacun, la police nationale et la police municipale d’Avignon déploieront un dispositif coordonné pour toute la durée du Festival. Le dispositif comprend notamment : le renfort d’unités de forces mobiles en complément des effectifs des polices nationale et municipale ; la sectorisation de l’intra-muros et la sécurisation des parties piétonnes ; des contrôles d’identité aléatoires dans l’espace public ; la mise en place de patrouilles pédestres. Les polices nationale et municipale bénéficieront du soutien opérationnel du groupement de gendarmerie de Vaucluse, de la délégation militaire départementale, du service départemental d’incendie et secours, d’agents privés de sécurité, ainsi que des associations agréées de sécurité civile en Vaucluse. Dans le cadre de l’opération sentinelle, la délégation militaire départementale accueillera un renfort de militaires en patrouille permanente. Un dispositif de brouillage sera également utilisé afin d’assurer le respect de l’interdiction de survol de la ville par des drones.
« Pour mieux se retrouver, il faut continuer d’être vigilant. »
Bertrand Gaume, préfet de Vaucluse.
Un contrôle systématique des lieux de spectacle En prévention, des visites techniques et des commissions de sécurité dans les lieux de spectacle ont été effectuées par les services de l’état, de la ville d’Avignon et par le SDIS. Dès le mois de mai 2022, la moitié des effectifs de préventionnistes du SDIS 84 a été mobilisée sur le contrôle des lieux de spectacle. Sur l’ensemble des sites, il est demandé aux organisateurs et aux responsables des lieux de spectacle : un contrôle systématique des espaces ouverts au public par les responsables d’accueil avant l’entrée du public ; un contrôle visuel systématique des scènes et des gradins avant l’entrée du public ; des panneaux ‘Vigipirate’ apposés aux entrées du public ; un contrôle visuel systématique des sacs. Sur certains sites, dont la Cour d’honneur du Palais des papes, des agents de sécurité, d’une société privée de sécurité agréée, contrôleront les accès. Pendant toute la durée du Festival, le SDIS renforcera son dispositif opérationnel positionné au centre de secours d’Avignon. Il sera articulé avec le dispositif prévisionnel de secours (DSP), armé par le comité départemental des secouristes français de la croix rouge, et se déploiera de 12h à 2h du matin afin de réaliser les gestes de premiers secours.
Une limitation de la circulation Un plan de piétonnisation et un accès réglementé, limitant la circulation automobile dans l’intra-muros et favorisant les déplacements doux, sera mis en place par la ville d’Avignon durant toute la durée du Festival. 20 agents de surveillance seront déployés par la ville pour assurer le filtrage aux sept portes d’entrée et aux neuf portes de sortie. La circulation des véhicules à moteur sera interdite sur certaines voies : rue Molière, place des Corps Saints, rue Henri Fabre, rue Viala, rue Saint-Agricol… Cécile Helle, maire d’Avignon, a rappelé la mise en place du dispositif Lapi, géré par le centre d’information et de régulation des aires piétonnes et du stationnement (CIRAPS) : « ce dispositif remplace le système de badge par un système de lecture de plaque, après enregistrement préalable de la plaque d’immatriculation des véhicules ». Concernant le stationnement, 5 090 places de stationnement gratuit seront disponibles dans cinq parkings relais : parking des Italiens, de l’île Piot, de René Char, de l’Amandier et du Carrefour Courtine. Des navettes assureront la liaison jusqu’au centre-ville.
« Il vaut mieux tolérer un masque pendant deux à trois heures de spectacle que d’attraper un virus qui peut causer la mort et avoir des conséquences économiques. »
Bertrand Gaume, préfet de Vaucluse.
Des centres de dépistage et de vaccination éphémères Dans le contexte de forte reprise épidémique liée aux sous-variants d’Omicron, BA4 et BA5, le protocole sanitaire est renforcé, pendant toute la durée du festival, afin de concilier le bon déroulement des festivités avec les impératifs sanitaires. Le dispositif sanitaire est renforcé avec l’ouverture d’un centre éphémère de dépistage, sur la place Pie au laboratoire Bioaxiome, et de vaccination, sur le site Sainte-Marthe – Arendt de l’Université d’Avignon. Ces centres de dépistage et de vaccination seront accessibles sans rendez-vous. Egalement, 20 pharmacies, dont neuf en centre-ville, proposeront de réaliser des tests et vaccinations durant le festival. A de nombreuses reprises, le préfet de Vaucluse, Bertrand Gaume, a rappelé que « dans le contexte de forte reprise épidémique, le port du masque est fortement recommandé dans les situations de promiscuité et de brassage de population, dans les lieux d’affluence importante même en extérieur et dans tous les lieux clos, les théâtres y compris ». Evidemment, le protocole établi n’est pas définitif et peut évoluer selon la situation sanitaire. En lien avec l’agence régionale de santé et si la situation sanitaire l’exigeait, le préfet de Vaucluse est en mesure de prendre des mesures spécifiques destinées à protéger la population.
L’ensemble des éléments d’information sur les dispositifs de sécurité, la circulation mise en place et le protocole sanitaire sont en ligne sur les sites internet de la préfecture de Vaucluse et de la ville d’Avignon.