12 mai 2025 |

Ecrit par le 12 mai 2025

Marion Nussbaumer, consultante en relation d’aide et de management : ‘Et si on réinventait la vie en entreprise ?

Marion Nussbaumer est consultante en relation d’aide et de management. Son crédo ? Être au top de sa forme pour être au top de sa vie. Elle s’adresse aux dirigeants, aux organisations et aux particuliers, créant, pour chaque profil, un programme dédié. Objectif ? Se sentir libre d’aller bien pour aller plus loin.

Longtemps manager dans le marketing, la relation client, la communication, responsable de pépinière d’entreprises, directrice de l’Attractivité du territoire, de l’immobilier d’entreprise, de la création d’entreprise, cheffe de cabinet, cette touche à tout de l’économie décide, à l’orée d’un changement de dizaines, de s’offrir une nouvelle vie.

Pour y parvenir ?
Elle change de paradigme. Et pour se réinventer s’essaie à diverses disciplines. Elle y découvre des trésors comme la PNL (Programmation neuro linguistique), l’Art-Thérapie et conçoit des programmes personnalisables qu’elle décide de partager avec trois sphères qu’elle connaît bien : le dirigeant, les organisations et le particulier. Comment ? En segmentant des propositions très pratico-pratiques.

Il y a tout d’abord The Wonder boss
Ancienne responsable de Créativa, pépinière d’entreprises à Avignon, Marion Nussbaumer se rappelle la solitude du créateur ou repreneur d’entreprise et aussi ses besoins en développement de compétences. Alors elle déroule sa proposition d’accompagnement, inspirée d’un mentorat québécois et des techniques de relation d’aide. Sa proposition ? Apprendre à gagner en sérénité pour mieux diriger, cultiver confiance et optimisme, travailler sa flexibilité mentale, son écologie intérieure : bien-être, sommeil, vision de l’avenir et développement de l’entreprise.

Concernant l’accompagnement des organisations, Marion Nussbaumer parie sur The creative company’ qui mise sur la vie épanouissante des salariés pour assurer la croissance durable à l’entreprise. Comment ? En faisant appel à l’intelligence créative des équipes ce qui permettrait également aux managers de les fidéliser. Ainsi écloraient des solutions originales pour faire face aux problèmes, valorisant la prise d’initiative, cultivant un regard positif sur les événements et en se démarquant de l’environnement concurrentiel. Bref un autre management, plus râteau que pyramidal et surtout plus intelligent ?

Par quels procédés ?
Ça commencerait par une méditation de pleine conscience pour se poser et s’ouvrir pour, ensuite, se diriger vers une méditation créative qui prendrait la forme d’écriture, de dessin, de peinture, d’écoute musicale tournée vers la recherche de solution en groupe et, du même coup, en permettre la cohésion et actionner l’intelligence collective. Pour commencer ? The creative company entame l’évaluation des besoins afin d’établir un projet sur mesure. Son champ d’application ? Le développement des compétences, le management, la santé au travail, la gestion de projet, la conduite du changement, l’innovation et le marketing. Et pour la mise en place ? Il est toujours temps de s’engager dans un accompagnement ponctuel ou régulier selon les besoins.

Enfin, pour les particuliers, il y aurait ‘The Medi art program’ qui propose de la médiation artistique, une approche par le corps avec des massages, du yoga et des techniques de respiration et aussi de la méditation en pleine conscience.

La promesse ?
Devenir l’artisan de sa vie. Le défi ? S’offrir une meilleure qualité de vie. Lâcher la dispersion pour se concentrer, faire des choix réfléchis, poser les bases d’un mode de vie apaisé, retrouver sa confiance en soi, comprendre ses émotions, porter un autre regard sur sa vie et ainsi s’ouvrir au changement. Il est question ici de prendre l’homme dans son entièreté : corps, cœur, conscience et de reprendre les rênes de la vie que l’on souhaite pour soi.

La part de l’artiste
En bonne marqueteuse, Marion Nussbaumer aura segmenté tous les axes de travail sur lesquels elle a la capacité et l’envie d’intervenir, compétences qu’elle aura compilé durant toute sa vie professionnelle. Il n’en restait qu’une, fraîchement découverte, qu’elle veut laisser s’épanouir tant au cœur de l’entreprise que du foyer : des toiles mobiles rétroéclairées aux couleurs inspirantes. Une entreprise est née de cette envie en partenariat avec Julien Chatton, designer lumière. Ensemble ils créent ‘Via Luce, the art of light’ –l’art de la lumière-.
Theartoflight.via-luce.com et https://www.via-luce.com/

Un art protéiforme  
Marion Nussbaumer mêle ses propres peintures et photographies en une image prête à fondre sur de grands formats astucieusement complétés d’invisibles leds. Résultat ? Des créations artistiques, des couleurs et des formes monumentales rétroéclairées et mobiles conçues comme autant de fenêtres inspirantes pour rythmer, en entreprise, un open space, une salle de réunion, un hall d’accueil, où tout simplement son home sweet home.

Mindful tour
Et puis il y a eu une nouvelle envie. Celle de faire découvrir aux touristes, aux vauclusiens, aux habitants du Grand Avignon et au-delà une visite guidée de Villeneuve-lès-Avignon en Pleine conscience. Marion Nussbaumer y propose une méditation en pleine nature, dans un parc de garrigue avec une vue époustouflante sur tout le département. A moins que l’on préfère une marche méditative propice à apprivoiser le patrimoine historique et culturel de la cité cardinalice. Le Mindful tour s’organise de 10h à 13h jusqu’en octobre et sous réserve de conditions climatiques favorables.

Des ateliers pratiques
Marion Nussbaumer propose ‘Tapas y Plumas’ des ‘ateliers écriture et détente’, un happy hour mensuel -tous les 1ers mardis du mois- qui stimule votre créativité, à la Maison Bronzini 74, rue de la République à Villeneuve-lès-Avignon. Objectif ? Laisser libre cours à son imagination tout en appliquant des consignes parfois très originales ! La méditation de pleine conscience, en groupe, a lieu elle, tous les mercredis, à la péniche Althéa de 18h30 à 20h. Chemin de l’ile Piot à Avignon.

Les infos pratiques
Cabinet Marion Nussbaumer. 12, rue du Compagnonnage. 30 133 les Angles. bonjour@marion-nussbaumer.com 06 38 84 20 74

« Je suis une créative dans l’âme et l’entreprise dans laquelle nous passons le plus clair de notre temps doit permettre à cette créativité de s’exprimer. Pourquoi ? Parce qu’elle est la source infinie de solutions de développement à la fois pour les hommes et pour la structure. C’est mettre en œuvre la cohésion d’équipe et donc l’intelligence collective. Le management entrepreneurial se reconstruit, se redéfinit grâce à des techniques innovantes elles-mêmes espérées par les nouvelles générations. »

Marion Nussbaumer

Marion Nussbaumer, consultante en relation d’aide et de management : ‘Et si on réinventait la vie en entreprise ?

Likibu, 1er comparateur de location de vacances entre particuliers, vient de dévoiler son classement des villes et villages touristiques les plus recherchés par les internautes. Un palmarès où le Vaucluse est à la fête.

Avec 220 440 requêtes sur les 12 derniers mois, Avignon arrive ainsi en 2e position des villes françaises de moins de 100 000 habitants plébiscitées via le moteur de recherche Google lors de requêtes effectuées au cours des 12 derniers mois sur les thèmes ‘Que faire’, ‘Que voir’, ‘Que visiter’. Dans ce top 50, la cité des papes est seulement devancée par La Rochelle (234 580 requêtes). Derrière on retrouve Saint-Malo, Narbonne, Biarritz, Bayonne, Colmar, Vannes, Sète et les Sables-d’Olonne. Plus loin, Cannes arrive 14e, Arles 15e, La Ciotat 31e et Saint-Raphaël 39e.

Toujours sur les mêmes critères, Likibu a également dressé le top 30 des villages les plus recherchés par les internautes. Si Rocamadour arrive en tête (110 000 requêtes), Gordes apparaît en deuxième position (60 500). Les villages vauclusiens de Roussillon (10e) et Lourmarin (18e) ainsi que ceux des Baux-de-Provence (5e) et de Grignan (29e) complète ce carton plein local.

L.G.


Marion Nussbaumer, consultante en relation d’aide et de management : ‘Et si on réinventait la vie en entreprise ?

La Maison Jean Vilar fête sa réouverture avec au programme : La prolongation de l’exposition photo Côté jardin, une promenade photographique au Jardin des Doms visible jusqu’au 13 novembre ; une autre exposition photos ‘Studio Jump’ où le public invité à regarder les 30 photographies géantes des coulisses du festival d’Avignon dans les années 1950 -51, 58, 59- s’est lui aussi prêté à sauter sous l’appareil en rafale de Margot Laurens ; l’expo Arrêts sur motifs, restitution d’ateliers des enfants du centre de loisirs de la Barthelasse avec Tiphaine Dubois et, enfin, les notes punaisées sur les tableaux de service de Jean Vilar qui y livre coups de gueule et félicitations à ses troupes, ouvreuses, spectateurs permettant de découvrir les coulisses des lieux qu’il dirigeait à Chaillot, Avignon et en tournée.

Côté jardin
‘Côté jardin’ La promenade photographique au jardin des Doms débutée le 4 juin 2021, tout juste au sortir du confinement, joue les prolongations jusqu’au 13 novembre 2022. Mission ? Continuer à enthousiasmer les promeneurs du jardin suspendu d’Avignon dont les paysages remarquables proposent 30 fenêtres sur le passé glorieux de monstres sacrés comme Gérard Philipe, Jeanne Moreau, Philippe Noiret, Jean-Pierre Darras, Georges Wilson, Maurice Garrel, les danseurs de Maurice Béjart autour du prolifique Jean Vilar, créateur du festival d’Avignon et homme de théâtre très engagé pour les artistes et techniciens des arts vivants.

Nathalie Cabrera, directrice de la Maison jean Vilar à Avignon

Pris sur le vif
Les clichés, pris sur le vif, sont le plus souvent signés d’Agnès Varda photographe-cinéaste et du journaliste photographe au Provençal, Maurice Costa. Leur œil exercé nous propulse plus de 70 ans en arrière, dans le quotidien, lors des répétitions, de femmes et d’hommes de l’art, des enfants dans l’ombre de leurs parents artistes. Pour la petite histoire Agnès Varda était une amie d’adolescence de l’épouse de Jean Vilar, Andrée, toutes deux vivant à cette époque à Sète. C’est précisément Andrée qui fera embaucher Agnès, à partir de 1948, comme photographe du festival d’Avignon, puis au Théâtre national populaire. Bien sûr, on mourrait d’envie de farfouiller dans le fonds riche de 1 000 clichés pris entre le printemps et l’été 1950, témoignant des coulisses désormais archivées et numérisées grâce au travail de la Maison Jean Vilar, des Archives nationales et familiales et de la Bibliothèque de France.

Ça n’est pas tout
Nathalie Cabrera, la directrice de la Maison Jean Vilar, propose surtout ‘Infiniment Maria Casarès, Gérard Philipe, une évocation’ du 24 juin au 30 avril et une ouverture du 1er au 31 août 2022. «Maison de la mémoire et de l’histoire du Festival, la Maison Jean Vilar se devait de célébrer les 100 ans de la naissance de ces deux artistes essentiels à l’aventure de Jean Vilar et à celle de la France des années cinquante.» Ainsi, l’exposition Infiniment, Gérard Philipe et Maria Casarès – une évocation dont le commissariat est de Jean-Pierre Moulères assisté d’Adrian Blancard et Margot Laurens, se déploiera au rez-de-chaussée de la Maison Jean Vilar et au Jardin des Doms. L’exposition évoquera, par un choix de photographies, d’enregistrements sonores, d’objets et d’éléments d’archives, ces deux monstres sacrés, depuis la création des Épiphanies d’Henry Pichette en 1947, et leur engagement conjoint au TNP et au côté de Jean Vilar jusqu’en 1959 et la mort de Gérard Philipe. En complément de cette exposition en deux parties, ces anniversaires donneront lieux à différentes manifestations durant l’année et pendant le Festival d’Avignon.

Mise en lumière des photos Jump prises lors du printemps 2021 dans le jardin des Doms en mode rafale par Margot Laurens Copyright Mireille Hurlin

Maria Casarès, Gérard Philipe
2022 est le centenaire de la naissance de Maria Casarès (21 novembre 1922-22 novembre 1996 à 74 ans) et Gérard Philipe (4 décembre 1922-25 novembre 1959 à 36 ans). L’exposition ’Infiniment Maria Casarès, Gérard Philippe, une évocation’ retrace leur vie de façon à ce qui les connaissent ou pas les découvre avec autant de liberté que de fascination. Parcours artistique, intellectuel, politique, et aussi insolente beauté, regards et gestuelle appuyée, ils sont les enfants terribles des planches de l’après-guerre. Cette exposition marque le retour de la programmation de l’association Jean Vilar au sein de ses murs suite aux travaux de mise aux normes de l’Hôtel de Crochans effectués par la Ville d’Avignon. Après une programmation 2021 hors-les-murs, dont l’exposition Côté Jardin, Jean Vilar et Avignon, promenade photographique au Jardin des Doms, l’association Jean Vilar réinvestit désormais la Maison Jean Vilar et retrouve l’agence avignonnaise Studio BT architecte avec qui elle avait travaillé sur la scénographie de Côté Jardin.

Les notes de service de Jean Vilar
« Il est difficile de se faire une idée sur l’homme qu’était Jean Vilar, sourit Nathalie Cabrera, cependant on peut l’approcher notamment au fil de l’ouvrage ‘Notes de service’ qui nous fait entrer dans la gestion du quotidien du fondateur du festival d’Avignon et des rapports entretenus avec les troupes, les techniciens, les ouvreuses. Ma note préférée ? Il y en a plein. Je me rappelle de cette note de service où Jean Vilar demandait aux comédiens de porter, sous leurs costumes, des tricots de peau afin de ne pas les user. Jean Vilar montait des projets dont il était, financièrement responsable. Toute sa vie il a eu ce souci de rechercher des fonds pour réaliser des projets théâtraux où il faisait intervenir de grands comédiens mais aussi des plasticiens, des dessinateurs publicitaires, des musiciens. Cet hommage à Maria Casarès et Gérard Philipe met en exergue l’engagement de ces deux monstres sacrés et artistes au côté de Jean Vilar ce qui aura permis au festival d’Avignon de gagner très vite en renommée.Il faut se rendre compte que Maria Casarès et Gérard Philipe ont accepté de gagner des cachets bien moins confortables que ce qu’on leur offrait par ailleurs contribuant à faire du festival d’Avignon, très vite, un lieu incontournable qui drainait les talents de l’époque. « 
Jean Vilar. Notes de services. Lettres aux acteurs et autres textes 1944-1967. Chez Actes Sud-papiers. Paru en juin 2014.

Le dernier hiver du Cid présenté, maintenant, au festival de Cannes !
‘Jérôme Garcin -Le masque et la plume, le nouvel Obs- mari d’Anne-Marie Philipe, la fille d’Anne et Gérard Philipe et très proche de l’épouse du comédien a écrit un livre ‘Le dernier hiver du Cid’ qui raconte les derniers mois du comédien. Ce livre a fait l’objet d’un documentaire qui a été sélectionné dans la catégorie ‘Classique’ lors de ce festival de Cannes. La maison Jean Vilar y a d’ailleurs apporté sa contribution en partageant ses archives’, précise Nathalie Cabrera. Il y a soixante ans, le 25 novembre 1959, disparaissait Gérard Philipe. Il avait trente-six ans. Juste avant sa mort, ignorant la gravité de son mal, -à l’époque médecins et famille cachaient la gravité de leur état aux malades- il annotait encore des tragédies grecques, rêvait d’incarner Hamlet et se préparait à devenir, au cinéma, le Edmond Dantès du Comte de Monte-Cristo. C’est qu’il croyait avoir la vie devant lui. Dans le dernier hiver du Cid, Jérôme Garcin porte le témoignage d’Anne Philipe, du dernier été à Ramatuelle au dernier hiver parisien de Gérard.

Exposition ‘Arrêts sur motifs
Arrêts sur motif présente une restitution d’ateliers menés par la graphiste Tiphaine Dubois auprès des enfants du Centre de loisirs de la Barthelasse, s’inscrivent dans le cadre des ateliers C’est mon patrimoine ! Ils sont l’occasion pour les enfants d’une enquête dans le fond de costumes, les dessins et les photographies de la Maison Jean Vilar. Pour l’occasion les enfants se sont confrontés au travail de stylisme des dessinateurs de costumes Léon Gischia et Mario Prassinos. Les enfants ? ils ont créé leurs propres motifs, pièces de costumes, fabriqué avec un plaisir non feint des méli-mélo, des livrets fait main de silhouettes mélangeant au fil des demi-pages les hauts et bas des vêtements.
Exposition jusqu’au 14 juin. Du mardi au samedi de 14h à 18h.

Dans les coulisses de la maison Jean Vilar, Nathalie Cabrera interviewée par une journaliste, toutes deux filmées par Margot Laurens

Exposition Studio Jump
C’est en voyant les portraits bondissants de Jean-Pierre Darras et Philippe Noiret immortalisés par le photographe Maurice Costa lors de l’exposition Côté Jardin, Jean Vilar et Avignon, actuellement prolongé au jardin des Doms d’Avignon que Margot Laurens, chargée de communication à la Maison Jean Vilar a eu l’idée de proposer un ‘Studio Jump’ au public venu assister à l’inauguration de l’expo photo. Elle en restitue des petits et grands clichés à voir absolument jusqu’au 14 juin 2022 du mardi au samedi de 14h à 18h.

Les infos pratiques
Semaine de pré-ouverture en entrée libre : Du 25 juin au 2 juillet 2022 De 14h à 18h, fermeture le dimanche et lundi Fermeture exceptionnelle du 4 au 6 juillet. Pendant le Festival d’Avignon : Du 7 juillet au 26 juillet 2022 Tous les jours de 11h à 20h. Fermeture exceptionnelle du 27 juillet au 31 juillet. Du 1er aout 2022 au 30 avril 2023 : Du mardi au samedi de 14h à 18h. Entrée : Le billet d’entrée de l’exposition Infiniment – Maria Casarès, Gérard Philipe – une évocation donne l’accès à toutes les expositions de la Maison Jean Vilar. À partir du 7 juillet 2022 : L’œil présent – Photographier le Festival d’Avignon au risque de l’instant suspendu. Tous les soirs – Jean Vilar, Notes de service, TNP 1951 – 1963 Plein tarif : 6€ Tarif réduit : 3€ Entrée gratuite pour les moins de 12 ans. Tout le programme de l’été ici. Maison Jean Vilar. Place de l’Horloge, Montée Paul Puaux. 8, rue Mons à Avignon. 04 90 86 59 64.

La Maison Jean Vilar réouvre au public

En savoir plus
L’association Jean Vilar c’est une programmation à l’année, à la Maison Jean Vilar, de rencontres, d’ateliers et d’événements autour de Jean Vilar, du théâtre populaire et du Festival d’Avignon • Un partenariat privilégié avec le Festival d’Avignon et des projets communs : Une part importante de notre programmation est inscrite dans leurs documents et supports de communication en juillet, nous mettons conjointement en place l’accueil de la grande librairie du Festival et d’un programme de lectures et de rencontres : Les Conversations à la Maison – Le Festival Côté Livre • Des partenariats menés avec différents acteurs culturels d’Avignon et des alentours : Les Hivernales, Parcours de l’Art, Semaine Italienne à Avignon, C’est pas du luxe… • Un panel d’événements inscrits dans les manifestations nationales : La Nuit des Idées, Les Journées Européennes du Patrimoine, La Nuit Européenne des Musées..

La Maison Jean Vilar
Suite à la disparition de Jean Vilar en 1971, Paul Puaux, son plus proche collaborateur et son successeur à la direction du Festival d’Avignon (1971-79) fonde en 1972 l’Association Jean Vilar afin de recueillir les documents concernant son œuvre, ceux du Théâtre National Populaire lorsqu’il en était le directeur (1951-1963), et de l’ensemble du Festival d’Avignon qu’il avait créé en 1947. Depuis, l’association Jean Vilar organise des rencontres et produit des expositions alternant les sujets patrimoniaux mettant en valeur les fonds d’archives, et les expressions contemporaines illustrant les problématiques et esthétiques du théâtre d’aujourd’hui. Elle valorise la pensée et l’œuvre de Jean Vilar en travaillant auprès de nombreux partenaires, en participant aux débats qui traversent le théâtre public et les politiques culturelles, et faisant de place aux artistes pour transmettre, interpréter et réinventer l’histoire du théâtre populaire.

Margot Laurens photographe et chargée de communication et Nathalie Cabrera directrice de la Maison Jean Vilar dans l’espace Jump où sont exposés les clichés de Margot lors de l’inauguration de la balade photographique du jardin des Doms, Côté jardin’ Copyright Mireille Hurlin

Marion Nussbaumer, consultante en relation d’aide et de management : ‘Et si on réinventait la vie en entreprise ?

Les murs du collège Jean Brunet à Avignon viennent de se revêtir d’une fresque haute en couleur qui a été entièrement réalisée par douze élèves, avec l’aide de l’artiste avignonnais Pablito Zago.

L’équipe d’enseignement du collège avignonnais à l’origine de ce projet artistique a missionné les jeunes en décrochage scolaire pour réaliser cette fresque afin de les mettre en valeur et de les faire participer à une activité motivante dont ils pourraient être fiers.

Ainsi, pendant les heures de cours de leurs camarades, ces douze collégiens ont réalisé des dessins représentant ce qui les passionne. Pablito Zago a ensuite rassemblé ces derniers pour les peindre dans l’enceinte de l’établissement. Ainsi, Yousra, Boubacar, Sandrano, Dorian, Ilyes, Zoé, Ayline, Loïc, Léa, Baptiste, Lyana et Shams Gabriel ont désormais leur nom aux côtés de celui de l’artiste avignonnais sur les murs de leur collège.

V.A.


Marion Nussbaumer, consultante en relation d’aide et de management : ‘Et si on réinventait la vie en entreprise ?

A l’occasion de la Nuit des musées 2022 qui aura lieu ce samedi 14 mai, le Musée Angladon – Collection Jacques Doucet à Avignon va recevoir le collectif Les soirées dessinées. Ce dernier, créé en 2013, effectue de nombreuses performances au quotidien dans différents lieux afin de promouvoir le dessin au sein de l’art contemporain.

Pour cette Nuit des musées, quatre artistes seront présents. Ainsi, Aurélie Bauer, Jean-Marc Forax, Marie Rauzi et Sylvain Royer dessineront au milieu des visiteurs sur un grand rouleau de papier tendu sur le mur. Cette performance sera centrée sur l’artiste français Matisse dont les œuvres seront au musée Angladon du 3 juin au 9 octobre prochains pour l’exposition ‘Le désir de la ligne. Henri Matisse dans les collections Doucet’.

Pour toute information supplémentaire, contactez le 04 90 82 29 03 ou l’adresse mail accueil@angladon.com

Samedi 14 mai. De 19h à 22h. 3€. Gratuit pour les moins de 25 ans. Musée Angladon. 5 Rue Laboureur. Avignon.

V.A.


Marion Nussbaumer, consultante en relation d’aide et de management : ‘Et si on réinventait la vie en entreprise ?

Frère Baudouin Ardillier prêtre et président d’Alterminds ; Sophie Poncet psychologue formatrice et Thibault Hurstel ‘humanologue’ seront invités à s’exprimer sur ‘ HPI, Haut potentiel intellectuel, zèbre, précoce, arborescent, pense autrement, atypique… Effet de mode ou mode de fonctionnement’ accompagnés par Faustine Fayette, journaliste.
Lundi 16 mai à 20h30, Eglise saint-Ruf et Saint-Joseph, 27 boulevard Gambetta à Avignon. Tout public.
MH


Marion Nussbaumer, consultante en relation d’aide et de management : ‘Et si on réinventait la vie en entreprise ?

Dandy Dandie, un nom qui sonne élégamment
Dans ce quatuor paritaire (2 femmes, 2 hommes) , le saxophoniste Alban Darche assure les compositions et les arrangements. Le son qu’il impulse est sublimé par le chant de Chloé Cailleton qui illumine Baudelaire …..et même une composition de Jeanne Added !

Un quatuor flamboyant
Le trompettiste Geoffroy Tamisier et la pianiste Nathalie Darche avec son piano préparé achèvent de donner à ce quatuor le raffinement sonore qui trouvera son écho dans la jolie salle de l’AJMI.
Jeudi 12 mai. 20h30. 5 à 16€. AJMI Club. 4, rue des Escaliers Sainte-Anne. 04 13 39 07 85. www.jazzalajmi.com


Marion Nussbaumer, consultante en relation d’aide et de management : ‘Et si on réinventait la vie en entreprise ?

Cette semaine, Didier Bailleux* nous propose un retour en Vaucluse et plus précisément à Avignon afin d’évoquer les enjeux économique vitaux que représente le Festival.

Le 7 juillet prochain débutera la 76e édition du festival d’Avignon. Après, une annulation pure et simple en 2020,  et  une dernière semaine torpillée avec la mise en œuvre du passe sanitaire en 2021… on croise les doigts pour 2022. Qualifié de la plus grande scène francophone du monde, le festival d’Avignon est aussi un grand marché du théâtre et un important booster économique pour la ville.

L’héritage de Jean Vilar
Si tout va bien, la cité papale s’attend à vivre dans les prochaines semaines sa période la plus importante de l’année. Plus de 100 000 festivaliers sont attendus sur 3 semaines (plus que la population de la ville) avec des retombées économiques estimées à plus de 50M€. Il s’agit donc cette année de ne pas se rater.
Dans le Vaucluse, entre 2019 et 2020, la fréquentation des hébergements a reculé de plus de 50% et celle des sites culturels et patrimoniaux de 60% (Source Le Vaucluse en chiffres 2021– L’Echo du Mardi).
Sachant que 81% des dépenses des festivaliers sont effectuées dans les commerces, la ville pourrait difficilement encaisser (ou plutôt pour le coup ne pas encaisser) une nouvelle déconvenue. Une étude de la CCI de Vaucluse enfonce un peu plus le clou en montrant que « 93 % des festivaliers extérieurs ne seraient pas venus sans le festival ». On voit ici tout le caractère vital de cet événement pour la ville.
Avoir su capitaliser et développer l’œuvre de Jean Vilar était plus que pertinent, mais n’avoir qu’un seul atout dans sa manche, n’est-ce pas un peu trop risqué ? Ne pourrait-on pas profiter de cette renommée et de cette image pour aller plus loin ?

Pour un festival élargi ?
Sur les 139 lieux de spectacles du festival Off, une quinzaine accueille du public à un autre moment. Et seulement cinq sont ouverts de manière permanente. En 2015, la CCI du département par la voix de son président, lançait un appel à tous les institutionnels et acteurs culturels et économiques pour que soit défini « un vrai projet avec une durée plus longue », estimant que les retombées économiques n’étaient pas à la hauteur de la notoriété mondiale de l’événement. Mais calmons-nous sur la vocation internationale de l’événement. A la différence d’un festival musical, il faut pour assister à celui d’Avignon maitriser à minima la langue de Molière. Ce qui limite un tant soit peu le caractère mondial et universel du festival.
S’ouvrir à d’autres disciplines artistiques et à d’autres moments de l’année pourrait également apporter ce surplus d’activité attendu. Cela permettrait d’utiliser toutes les infrastructures existantes qui pour la plus part du temps sont fermées 11 mois sur 12. Certains y travaillent et c’est une bonne chose.
La culture peut être un puissant facteur d’attractivité pour un territoire, bien au-delà d’un événement éphémère fût-il emblématique et le plus connu de tous…

La culture victime d’un Covid long ?
Les lieux culturels ont particulièrement souffert pendant la crise sanitaire. Dans le Vaucluse, entre 2019 et 2020 la fréquentation des salles de cinéma a chuté de 65% et celles des spectacles vivants de 45 % (Source Le Vaucluse en chiffres 2021– L’Echo du Mardi). Si de nombreuses secteurs marchands ont retrouvé aujourd’hui leurs niveaux d’activité d’avant Covid ce n’est malheureusement pas le cas pour nombre de lieux culturels. Entre le passe sanitaire, la peur d’être contaminé, encore très présente, et aujourd’hui le recul du pouvoir d’achat, la culture (en tout cas dans ses pratiques extérieures) est mise à rude épreuve. Mais au-delà de ces phénomènes qui pourraient n’être que conjoncturels la crise pourrait avoir modifié de manière durable les usages. Une étude commandée par le Ministère de la Culture fin 2021 montrait que parmi les personnes déclarant aller moins dans les lieux culturels 26% d’entre elles disent s’être habituées à la consommation numérique. Ce n’est pas un hasard si les grandes plateformes d’e-commerce se lancent également dans le divertissement et la culture. Si elles permettent d’accéder à des œuvres culturelles plus facilement pourquoi pas, mais quelle place réserveront ces géants mondiaux aux créations émergeantes, plus ambitieuses ou moins connues ? Il y a sans aucun doute  un risque de se voir imposer une culture ‘mainstream’, comme c’est un peu le cas aujourd’hui avec la musique. Et où sera le plaisir de se rencontrer et de partager ? C’est pour cela qu’Avignon et son festival doivent, plus que jamais, être défendus et soutenus. Et rêvons même à une cité papale qui devienne aussi celle de tous les arts vivants… Versus les numériques.   

Didier Bailleux

*Ancien directeur général et directeur de la rédaction de Mirabelle TV (télévision régionale en Lorraine), Didier Bailleux a été auparavant consultant dans l’audiovisuel et à travaillé sur plusieurs projets : TNT, SVOD, services en ligne, création de TV locales. En tant que directeur marketing, il a participé, dans les années 1990 et 2000, à la création de plusieurs chaînes thématiques : Canal J, Voyage et Pathé-Sport. Aujourd’hui, il vit en Vaucluse et travaille sur la production de documentaires consacrés aux terroirs.


Marion Nussbaumer, consultante en relation d’aide et de management : ‘Et si on réinventait la vie en entreprise ?

Les 48h de l’agriculture urbaine reviennent à Avignon pour la 4e année consécutive, portées par l’association Les Jeunes Pousses.

A Avignon, il se tiendra les 14 et 15 mai et la coordination locale est gérée par Les Jeunes Pousses, l’association fondatrice du Tipi, première ferme urbaine avignonnaise située 57, avenue Eisenhower à Avignon.

Pique-nique électronique, parade végétale, végétalisations, marchés, ateliers jardinage et visites de fermes & jardins !

Ce festival est un évènement national, ayant lieu dans plus de 20 villes en France, Espagne, Belgique et Suisse. On y célèbre le jardinage, l’écologie et la nature en ville le temps d’un week-end.

Les infos pratiques
Au menu ? Des balades, des événements festifs, des formations et conférences, les mains dans la terre, des ateliers pratiques, un marché et un village de producteurs et créateurs, des projections et débats et des visites de fermes et jardins. Tous les renseignements ici.
MH

https://www.echodumardi.com/tag/avignon/page/149/   1/1