12 juillet 2025 |

Ecrit par le 12 juillet 2025

(Vidéo) Avignon, Florine Clap finalise son documentaire sur le père Chave

Florine Clap ? C’est une réalisatrice et documentariste très connue d’Avignon, pour ses qualités personnelles d’écoute et de gentillesse et surtout pour la justesse de son travail. Son crédo ? Des portraits de personnalités inédites comme l’Homme aux cheveux rouges qui dépeint l’engagement de l’artiste peintre Boris Daniloff, ou encore de Folco, le petit avignonnais qui conçoit des villes et leurs fonctionnement dans leurs moindres détails, depuis qu’il sait marcher et qui adore le tramway et les trains ; à moins qu’il ne s’agisse de Elsa Elly, aide-soignante à domicile que l’on accompagne dans sa tournée quotidienne. Toujours des portraits sensibles et surtout sans retouches.

Aujourd’hui ?
Elle écrit une lettre que voici : «J’espère que vous allez bien. Je vous écris concernant mon projet documentaire sur le père Chave que je suis en train de finaliser. Le montage, actuellement en cours, prendra fin le 7 juin 2022, dans une semaine.  Il sera diffusé le 17 juillet en avant-première à 10h30 à l’Utopia d’Avignon (projection-débat en présence d’Olivier Py, directeur du Festival), puis le 24 juillet à 10h30 sur France 2 (dans l’émission Le Jour du Seigneur).»

Les ambitions du film,
«De ses débuts à son tournage récent (avril, mai 2022) et à son montage en cours, ont été celles d’une fiction autant que celles d’un documentaire ; et elles ont donc, dès son origine, porté ses besoins de financement à un niveau supérieur au coût moyen d’une réalisation télévisuelle de 26 min. Le producteur du film, le CFRT, nous a suivis, soutenus et accompagnés tout au long du processus pour que ce projet garde sa singularité. De même, les diffuseurs ont marqué leur soutien à nos choix de réalisation».

Exceptionnelles archives
«Cependant, l’introduction d’archives assez nombreuses (archives filmiques, photographiques et radiophoniques, notamment) et coûteuses (archives INA, archives de Radio Canada, réalisations de sociétés de production audiovisuelles…), ainsi que l’utilisation d’œuvres musicales au sein de la bande-son, entraîne un surcoût de cinq milles euros, que la production ne peut absorber à elle seule à ces quelques jours de la fin du montage.» 

Richesse documentaire
«Pourtant nous ne voulons pas renoncer à la richesse documentaire et esthétique, à la beauté visuelle et sonore, à l’apport narratif précieux de ces archives (et de ces pièces musicales), qu’il s’agisse de la captation du Prince de Hombourg réalisée par Georges Franju (avec Gérard Philipe au plateau et Jean Vilar à la mise en scène, en 1951), de journaux télévisés ou de documentaires donnant à sentir l’ambiance du Festival d’Avignon dans des décennies éloignées, ou de divers entretiens réalisés avec Robert Chave par Radio Canada en 1985, puis par RCF et par France Culture dans les années 2010.»

Besoin d’aide
«C’est pour cette raison que nous avons donc décidé de solliciter votre aide et de mettre en place cet appel aux dons en urgence, à l’heure du montage d’un film que nous ne voulons pas voir appauvri pour raison purement économique…»

Un Docu-Fiction
«Si vous souhaitez soutenir notre film, le choix de son sujet, celui de sa réalisation mixte (documentaire et fiction), enfin la mise en valeur d’archives majoritairement peu connues du public, vous pouvez faire dès maintenant un don déductible des impôts, vous permettant de nous aider à moindre coût : en effet, les dons au profit des associations ouvrent droit à une réduction de 66 % de l’impôt sur le revenu, pour un particulier, et à une réduction de 60 % de l’impôt sur le revenu ou sur les sociétés, pour une entreprise. La campagne de financement est ouverte jusqu’au 7 juin 2022. Les noms des donateurs et des mécènes figureront dans le générique de fin.»

Les infos pratiques
Pour faire un don, pour le documentaire, contacter Jacques Hersant directeur de production au CFRT 07 78 79 20 19 j.hersant@ext.cfrt.tv


(Vidéo) Avignon, Florine Clap finalise son documentaire sur le père Chave

La CPME 84 (Confédération des Petites et Moyennes Entreprises de Vaucluse) et le cabinet d’avocats Barthélémy proposent une formation sur le rôle du CSE –Comité Social et économique- dans les entreprises de moins de 50 salariés en matière d’hygiène, de sécurité et de santé au travail.

Pour les entreprises de moins de 50 salariés
En effet, dans les entreprises de moins de 50 salariés, le CSE a des règles de fonctionnement et des attributions particulières en matière de santé et sécurité au travail.

Objet de la formation
Cette formation a pour objet de faire connaître le rôle et les domaines d’intervention du CSE, ses moyens et les obligations qui en découlent pour les employeurs. Pour rappel, depuis la publication des ordonnances Macron du 22 Septembre 2017, les délégués du personnel, le CHSCT et le CE ont disparu au profit d’une seule instance le Comité Social et Economique (CSE).

Les infos pratiques
Formation de la CPME84 et du cabinet d’avocats Barthélémy sur ‘Le rôle du Comité Social et économique’. Jeudi 9 juin. De 8h30 à 12h30. Au siège de la CPME84, 4-6, avenue de la Reine Jeanne à Avignon. Parking privatif gratuit. Réservation obligatoire contact@cpme84.org et au 04 90 14 90 90
MH


(Vidéo) Avignon, Florine Clap finalise son documentaire sur le père Chave

Le Crédit Agricole Alpes-Provence et Wizbii, la plateforme des services utiles aux 16-30 ans, organisent un job dating destiné aux jeunes à Avignon le mercredi 8 juin prochain de 18h30 à 21h30.

De nombreux secteurs d’activité seront représentés lors de cet événement à travers diverses entreprises locales telles que Burger King Avignon, Crédit Agricole, Captain Burger, Maison et Services, Saint-Maclou, SoCoo’c, ou encore Transac. Différents postes seront proposés aux jeunes, en CDI, CDD, stage et alternance. L’objectif de cette rencontre est de connecter les jeunes aux entreprises qui recrutent. Ce job dating est ouvert à tous et adapté à la pluralité des profils, des expériences professionnelles mais aussi des niveaux d’études.

À travers son dispositif ‘Youzful // Job Dating’, le Crédit Agricole Alpes-Provence souhaite aider les jeunes à s’insérer dans la vie professionnelle et les accompagner. Ce dispositif a déjà fait ses preuves puisque depuis sa mise en place, les différents job datings ont réuni 23 000 candidats et 2 435 entreprises. D’après une enquête de satisfaction menée par Wizbii, 79% des jeunes ont trouvé le dispositif utile pour leur recherche d’emploi.

Pour participer à cet événement, il est obligatoire de se pré-inscrire via le formulaire sur le site de Youzful. Les équipes du dispositif prendront ensuite contact avec les personnes inscrites pour leur communiquer le lieu exact du job dating.

V.A.


(Vidéo) Avignon, Florine Clap finalise son documentaire sur le père Chave

Quelle est la seule et unique force de celui qui atteint ses objectifs, que ce soit au niveau sportif, professionnel ou personnel ? Vous donnez votre langue au chat ? Frédéric Cliquet lui a la réponse : c’est l’action. Bien oui, si vous laissez les choses en l’état, la situation ne progressera pas et vous en resterez là. Mais si vous êtes chef d’entreprise et que vous voulez aller plus loin, plus vite, il y a des stratégies déjà testées chez les sportifs de haut niveau qui vous y aideront. L’autre bénéfice ? Ce sera du gagner du temps.

Ce que propose Frédéric Cliquet ?  De vous accompagner. A qui s’adresse-t-il ? Aux entrepreneurs solos et aux entreprises. Pourquoi ? Pour créer un écosystème de performances dans le bien-être, pour soi-même –car plus on se connaît soi-même et plus l’on est en mesure de manager-, et mieux communiquer avec les autres. Comment ? En s’adossant à un outil qui émane du sport de haut-niveau, qui passe par le corps, parce que celui-ci ne ment pas.

Changement de paradigme
«Le monde de l’entreprise change. Les grands chefs d’entreprise savent que si le salarié doit toujours s’adapter, il ira vers l’épuisement. Or, aujourd’hui on sait, grâce à nos outils, quel sera l’environnement le plus favorable au salarié et comment il réagit de manière naturelle et innée, à une nouvelle information. Ainsi, si chacun est à sa place et travaille dans un environnement adapté à ses facultés et compétences, il conservera toute son énergie pour travailler mieux et plus longtemps. Tout le monde y gagne : le chef d’entreprise parce qu’il obtiendra des résultats optimum, les salariés parce qu’ils seront chacun à leur place et travailleront, avec beaucoup d’énergie, dans des conditions adaptées à leurs personnalités. Le bénéfice ? Tout le monde va dans le même sens et cela est essentiel à la réussite et à la pérennité de l’entreprise.»

Qualité de vie dans tous les aspects de celle-ci

Avant la mise en place de l’équipe, un bon recrutement !
«Avant tout cela ? Il est question de bien recruter.Comment ?En se basant, par exemple, sur le MBTI qui est un test -établissant 16 types de personnalités- basé sur Jung et Myers-Briggs, mais pas que. Pourquoi ? C’est un ensemble de choses. A diplôme égal et personnalités intéressantes entendues lors du recrutement, il faut ajouter d’autres facteurs comme l’environnement interne au poste, l’adéquation de la personnalité aux professionnels déjà en place et surtout au travail attendu. Ainsi ? Avec un profilage réussi, une étude de la personnalité des candidats mis en corrélation avec le milieu de l’entreprise et face et l’attente de la performance attendue, le chef d’entreprise, ou le service de ses ressources humaine est désormais plus sûr d’avoir établi le bon recrutement. Et c’est important car le recrutement coûte très cher en argent mais aussi en temps passé.»

Les risques d’erreurs ?
Un recrutement coûte, au bas mot entre 45 et 100 000€. En cas d’erreur ? Il y aura la perte de cet argent, une baisse de productivité, l’impact sur l’image de la marque ou de l’entreprise et plus de turn over de personnel. Mon bon profilage ? J’utilise un des outils issu du sport de haut niveau, c’est rapide et sans questionnaire, le corps de ment pas. Je détermine les préférences naturelles innées et j’établis un écosystème de ‘performance’ dans le bien-être. »

Un exemple ?
«La semaine dernière, avec des collègues, nous nous sommes rendus à Bordeaux sur l’invitation du directeur d’un collège privé –et également président des directeurs de collèges privés de France- qui a organisé une journée pédagogique pour les enseignants, l’équipe administrative et les techniciens.»

Le profilage
«Auparavant, la veille, toute la journée les personnels du collège avaient travaillé sur le ‘profilage’. Le Profilage ? C’est repérer les archétypes d’après leur posture physique, corps, démarche, façon de se saluer, de s’exprimer… En clair ? La posture révèle sa manière de se concentrer, de se recharger, de capter les informations environnantes, de les traiter, de les synthétiser, de communiquer. Objectif ? Toujours pareil : Mieux se connaître soi-même pour mieux se comprendre, communiquer avec les autres et optimiser les actions des uns et des autres dans le même sens.»

Bienveillance et potentiel au travail DR

Dans le détail ?
«Je me suis formé à plusieurs méthodes dont le Sane  (Système d’alignement neuro-émotionnels) qui consiste en un alignement émotionnel. Cela passe par engager le corps, le subconscient et le mental en direction de nos désirs. Etre désaligné émotionnellement ? C’est lorsque le mental tire dans un sens et que la physiologie du corps et le cœur tirent dans l’autre sens, ce qui indique un conflit interne, et donc des contradictions. Cette méthode d’auto coaching permet à chacun de créer les circuits internes de bien être en passant par le corps pour gagner le subconscient ce qui créé un alignement entre ses désirs, son subconscient et son corps. Résultat on travaille mieux et plus longtemps puisque l’on est dans le bien-être.»

Qu’est-ce que le Wingwave ?
«J’ai aussi suivi une formation en Winwave qui intervient dans l’élimination des blocages de la performance. Le coach utilise le test myotatique –résistance musculaire- afin de trouver les facteurs de stress qui empêchent l’expression des capacités. Comment ? Il s’agit d’interpréter de légères réactions ‘déclencheuses’ de stress ou de fortes réponses musculaires qui signifient qu’il n’y a pas de stress. Ensuite, il s’agit de comprendre quelle émotion –peur, honte, irritation- accompagne quel stress. Lors de l’intervention, le coach fait des balayages horizontaux avec la main devant les yeux du patient, tandis que ce dernier dirige ses yeux vers les mouvements tout en orientant ses pensées vers les facteurs déclencheurs du stress. Ces mouvements normalement utilisés lors du sommeil, permettent de faire travailler entre elles des zones du cerveau et d’éliminer les formes stressantes. Résultat ? Les formes stressantes corrélées à des actions sont effacées et remplacées par des pensées positives. Moi, j’y associe également des stimulations auditives ou tactiles gauche droite.»

Le mindset
«Le mindset ? Ça veut dire Etat d’esprit. Son point de départ ? Toute notre vie notre cerveau est en capacité de créer de nouvelles connexions. Il s’agit donc de créer un nouvel état d’esprit, une nouvelle façon de penser pour faire face aux difficultés, les surmonter et atteindre ses objectifs. Plus clairement ? On se fixe un objectif chiffré, on travaille sa confiance en soi, on s’affranchit du regard des autres, on apprend à gérer ses émotions et on se met en action. Pour tenir le cap ? On pense positif, on devient patient et persévérant, on apprend la magie de voir grand, on se fond dans l’action et on développe ses connaissances.»

Vous vous rappelez de lui ?
C’est l’ancien kiné ostéopathe du boulevard Raspail à Avignon qui avait cofondé avec le docteur Amandine Lacroix le centre Médikinos, spécialisé dans les soins des sportifs. Il est le plus avignonnais des Belges de Bruxelles. Vous souhaitez le joindre ? Frédéric Cliquet. Coach-formateur-Consultant 06 25 22 56 43 contact@activateur de performances.fr et www.activateurdeperformances.fr

Frédéric Cliquet

(Vidéo) Avignon, Florine Clap finalise son documentaire sur le père Chave

Le magazine Terre de vins organise la 5ème édition du concours du meilleur caviste de France auquel Lény Hugot, responsable de la boutique Nicolas dans le centre-ville d’Avignon, participe.

Pour sa 5ème édition, le concours enregistre une augmentation de 20% des candidatures, ce qui lui donne davantage de légitimité auprès des cavistes de France. Un grand nombre de professionnels se sont inscrits via le site du concours, mais seulement 43 d’entre eux ont été pré-sélectionnés. Parmi eux, un seul Vauclusien : Lény Hugot, responsable du magasin Nicolas situé au 18 Rue de la République, qui avait été finaliste du concours en 2016.

Tout au long du concours, les cavistes vont participer à plusieurs étapes de sélection. Lors de la première épreuve qui a eu lieu au début du mois de mai, ils ont répondu à une série de questions pour évaluer leur expertise en matière de vins, spiritueux et autres alcools de qualité. La prochaine étape aura lieu le 12 septembre au Château Belgrave près de Bordeaux. À l’issue de cette dernière, 8 candidats seront sélectionnés et participeront à la finale qui aura lieu le 17 octobre en Vallée du Rhône. Le jury, composé d’experts du monde du vin, remettra les prix du caviste de bronze, d’argent et d’or, ainsi que le prix du Meilleur jeune caviste.

V.A.


(Vidéo) Avignon, Florine Clap finalise son documentaire sur le père Chave

La plateforme Bolt, qui est déjà implantée dans plusieurs villes du Sud-Est de la France, continue son expansion et vient proposer ses services à Avignon et à Nîmes, et ce, dès demain, le mercredi 25 mai.

« Après avoir lancé nos services de VTC avec succès à Marseille, Montpellier et Nice l’été dernier, puis à Toulon il y a quelques jours, il était important pour nous de continuer à étendre notre présence dans le Sud », explique Julien Mouyeket, directeur général de Bolt France. La société vient donc s’implanter dans la cité des papes, mais aussi à Nîmes qui deviennent donc les 27ème et 28ème villes où Bolt propose ses services de VTC.

Dès demain, ce seront donc 50 chauffeurs qui opéreront dans les deux villes. « Ces nouveaux lancements nous permettent de répondre à une demande plus importante au démarrage de la saison estivale tout en poursuivant notre stratégie de développement dans les principales villes de France », a continué Julien Mouyeket.

Une entreprise en constant développement

L’entreprise d’origine estonienne est arrivée en France en 2017 et sa plateforme est aujourd’hui disponible dans la plupart des grandes villes du pays, de Lille à Montpellier, en passant par Mulhouse, ou encore Clermont-Ferrand. En plus de sa présence en France, Bolt est également implantée dans plus de 45 autres pays. La société a récemment franchi le palier des 100 millions d’utilisateurs, dont plus de 2 millions sont en France.

« Nous sommes très fiers de l’hyper-croissance qu’a connu Bolt ces derniers mois. Nous sommes convaincus que le cœur de notre réussite se situe dans notre capacité à saisir les évolutions de la société et à innover en permanence pour être au plus proche des attentes de nos utilisateurs », développe le directeur général de Bolt France.

Vers une mobilité plus propre

De nos jours, de plus en plus de sociétés accordent une importance particulière à leur empreinte carbone. Pour le moment, 20 à 25% des véhicules utilisées par la société Bolt sont hybrides ou électriques. D’ici 2025, l’entreprise aimerait que les véhicules propres consituent 50% de sa flotte.

De plus, la société de services de VTC prévoit d’accélérer la transition des voitures privées vers la mobilité partagée. Ainsi, le chauffeur prendrait plusieurs utilisateurs qui vont vers une même destination pour réduire le nombre de trajets et de détours inutiles. « Nous entendons poursuivre notre expansion, en continuant à apporter les meilleurs services aux meilleurs prix et en poursuivant nos engagements pour une mobilité urbaine plus durable », a conclu Julien Mouyeket.

L’application Bolt est disponible sur iOS et Android

V.A.


(Vidéo) Avignon, Florine Clap finalise son documentaire sur le père Chave

En obtenant 79 sur 100 pour sa stratégie RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) et développement durable l’avignonnais GSE figure parmi le 1% des entreprises les plus performantes en la matière. Evalué par l’organisme de notation international indépendant Eco Vadis créé en 2007 à Paris, ce résultat permet au contractant général vauclusien d’obtenir la médaille platine, soit le plus haut niveau de notation décerné par EcoVadis.
Dans le détail, GSE, qui est évalué ainsi depuis 2016, a obtenu la note de 80/100 sur les volets environnementaux, éthiques, sociaux et de respect des droits de l’homme, et une note de 70/100 pour les achats responsables.
« GSE doit assumer un rôle de pilote dans l’amélioration des standards de notre secteur pour le développement durable, explique Roland Paul, président de GSE et président du Comité RSE. L’ensemble du Groupe est prêt à relever les grands défis du développement durable, et faire de GSE une entreprise toujours plus engagée et responsable. »

Evaluée par EcoVadis depuis 2016, l’entreprise avignonnaise GSE a obtenu la médaille platine 2022 pour son engagement en matière de stratégie RSE et développement durable.

Une entreprise engagée
En plus de cette évaluation, GSE s’est soumise à l’évaluation de ses pairs, au travers du Global Compact France, branche hexagonale du réseau Global Compact. Cette initiative des Nations Unies regroupe plus de 13 000 participants dans 170 pays, réunis autour de l’engagement volontaire en matière de développement durable, dans le strict respect des 17 objectifs de développement durable adoptés en 2015 par l’ONU, autour du respect des droits de l’homme, des normes internationales du travail, de la préservation de l’environnement et de la lutte contre la corruption, afin de construire un monde plus durable et inclusif d’ici 2030. GSE a adhéré au programme dès 2003, en devenant un des membres fondateurs et a siégé 17 ans à son conseil d’administration.

Dans le cadre de sa politique RSE, GSE a ainsi établi une feuille de route de développement durable récapitulant les objectifs à atteindre d’ici 2025. GSE s’est donc lancée dans la certification environnementale et l’éco-responsabilité de ses projets immobiliers, pratique l’inclusion, le recyclage des déchets et le bien-être dans ses bureaux comme sur les chantiers, a réduit ses émissions de CO2 liées aux déplacements de 10% depuis 2016, diminué de moitié sa consommation de papier et a formé 660 collaborateurs à l’anti-corruption. 75% des objectifs de la stratégie ont déjà été remplis.

Par ailleurs, GSE a créé en 2018 ‘GSE Foundation’ qui a pour objectif de développer et soutenir des actions « d’intérêt général à caractère humanitaire, éducatif, culturel et social à travers le monde ». Le fonds de dotation est dirigé par un conseil d’administration composé de 7 salariés de GSE et de Michel Gambassi, ancien collaborateur et président de GSE Foundation. Le premier projet à voir le jour a été la construction d’un internat à Katmandou, au Népal, ou encore une ferme-école à Mananjary, à Madagascar.

Des collaborateurs heureux
Fondé 1976 par deux frères architectes Jean-Pierre et Michel Hugues, GSE est spécialisé dans la conception de projets clés en main. L’entreprise, passée début 2019 sous le pavillon du groupe de construction allemand Goldbeck leader sur le marché européen de la construction clef en main (CA de plus de 4 milliards d’euros, 7 800 personnes, 70 sites), assure ainsi la prise en charge complète de projets de construction (recherche et qualification foncière, études techniques, montage d’opération, travaux, service après-vente) dans les secteurs industriels, logistiques, tertiaires, commerciaux et de loisirs,

Parmi les derniers chantiers en date notamment, un centre logistique de 18 900 m² réalisé pour le compte de GLP à Pinto, au sud de Madrid, en Espagne. Cette plate-forme logistique, baptisée ‘G-Park Pinto’ comptera 1 200 m² de bureaux et plusieurs parkings capables d’accueillir 239 voitures, 9 camions et plus de 60 vélos. L’ensemble, qui doit être livré en septembre 2022, sera certifié BREEAM Very Good. Il sera également équipé du système BMS (Battery management system), avec suivi de la consommation sur place ou à distance, ainsi que d’un éclairage LED qui fonctionnera avec des détecteurs de présence et d’intensité.

En 2020, GSE a réalisé un chiffre d’affaires de 665M€. Le groupe compte environ 460 collaborateurs répartis dans six pays en Europe, et en Chine, dont 14 implantations en France.

L’entreprise vauclusienne s’est aussi dotée d’un nouveau siège situé dans la zone de l’aéroport à Avignon. Inaugurée en octobre dernier, cette vitrine du savoir-faire de la société intègre des espaces de travail (accueil des clients, salles de réunions et de co-working, open spaces et lieux privatifs pour s’isoler, laboratoire de recherche) et des espaces de détente (tennis, terrain de volley, de pétanque, salle de sieste, de fitness avec coach, vestiaires, douches, foyer, bar, restaurant avec un chef qui propose des plats bio). De quoi expliquer que 93% des collaborateurs de GSE affirment prendre du plaisir au travail.

Découvrez le pôle dédié à l’innovation au sein de GSE situé dans son nouveau siège d’Avignon inauguré en octobre dernier dans la zone de l’aéroport.

(Vidéo) Avignon, Florine Clap finalise son documentaire sur le père Chave

Paul-Roger Gontard, maire-adjoint à l’urbanisme de la Ville d’Avignon a initié une rencontre avec les acteurs de la construction, les professionnels et les décideurs pour imaginer les 3 prochains quartiers de la ville : Bel Air, Joly Jean et Courtine-Confluence. Mission ? Mieux construire pour mieux habiter. Plus de 100 personnes ont planché.

Paul-Roger Gontard aime l’action. Et l’action chez lui doit être, au préalable, bien pensée, formalisée et se transformer en une expérience constructive puisqu’elle interviendra sur la vie quotidienne des habitants des trois nouveaux quartiers d’Avignon : Bel Air, Joly Jean et Courtine-Confluence.

Le thème de cette rencontre ?
« Améliorer la qualité d’usage des logements construits pour mieux répondre aux besoins de leurs occupants et retrouver le désir d’habiter en ville ». Le rapport, rendu public en septembre 2021 ‘Habiter la France de demain’ est devenu un référentiel pour améliorer la qualité d’usage des logements, répondre aux nouveaux besoins des occupants et surtout retrouver le désir d’habiter en ville.

Paul-Roger Gontard et Laurent Girometti

Le rapport qui fait bouger les lignes
Pour l’occasion Paul-Roger Gontard a invité Laurent Girometti, l’un des cosignataires du ‘Référentiel du logement de qualité’ remis à Emmanuelle Wargon, ancien ministre, en septembre 2021 qui, depuis, est devenu un référentiel pour les acteurs du logement.

Les ateliers de Bénézet pour bâtir la ville de demain
«Nous souhaitons bâtir la ville de demain avec l’ensemble de nos partenaires de façon à impulser une vision dynamique du territoire avec la réalisation concrète des quartiers de demain et la reconstruction de la ville sur elle-même. La première thématique de ces ateliers Bénezet –le 1er constructeur cher à la ville- sont le logement car nous devons faire face à de nouvelles contraintes environnementales, climatiques, les crises énergétique, sanitaire qui ont bouleversé les demandes des français, notamment sur la qualité d’habiter. Nous devons tenir compte également à la loi Climat et résilience, la RE 2020 (Règlementation environnementale), la nouvelle formule du PLU (Plan local d’urbanisme) et la hausse des matières premières dans le bâtiment.»

Qui planche ?
Les fabricateurs de la ville : promoteurs immobiliers, des architectes, acteurs du logement social,  économistes, paysagistes, bureaux d’étude, des représentants de l’Etat, de collectivités territoriales, élus, associations, l’Aurav (Agence d’urbanisme Rhône Avignon Vaucluse), le Caue (Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement), l’Ordre des architectes de Paca, Citadis et la SPL G2A. Les appels à projets à venir ? Ils concerneront  Joly Jean, Bel Air et Courtine-Confluence.

Au fil de la matinée ?
«Une table ronde avec des experts de la construction, des retours d’expérience sur la qualité d’habiter de demain, le marché du logement. Puis six ateliers par petits groupes pour travailler à l’échelle du quartier, de l’immeuble, du logement, de son organisation intérieure. Dans un même temps ? Le processus de décision, les itérations entre les acteurs de la fabrication de l’immeuble, les collectivités et la ville : à quel moment partage-t-on la décision, quand fait-on un retour d’expérience ? Objectif ? Élaborer une charte offrant les grandes orientations, qui d’ailleurs, complètera la partie règlementaire et les ambitions pour la qualité d’habiter.»

DR Courtine-Confluence

Changer de paradigme
Il est aussi question de résister à l’éparpillement urbain et donc à la tentation du logement individuel qui grignote les espaces et coûte cher aux collectivités en termes d’infrastructures afin de rassembler du petit collectif avec un bâtiment à l’épaisseur maîtrisée (pas trop importante), aux logements traversants ou à double orientation, bien conçus et répondant à la demande des habitants telles que les mobilités, les espaces verts et services afin que la ville reste attractive.

Qu’est-ce qu’un logement bien conçu ?
Aujourd’hui la demande est à un espace à double orientation, bien ventilé –nord sud ou est ouest-, baignant dans la lumière naturelle, avec une cuisine possiblement séparable du reste du logement, le tout rythmé de rangements, et offrant des espaces extérieurs. Également, les usagers demandent une bonne isolation phonique et thermique corrélée à la diminution des charges grâce à la performance énergétique du bâtiment.

Faits de société
Dans le rapport, les personnes interrogées : aménageurs, architectes, économistes du bâtiment, bailleurs, observent la diminution de la taille des logements, la décohabitation et donc la multiplication de demandes de logements, la pénurie de ceux-ci, la recherche de 2 pièces pour les personnes âgées, une augmentation de la largeur des circulations ainsi que des salles de bain PMR (personnes à mobilité réduites) et, depuis le confinement, même si auparavant la demande existait, la demande d’extérieurs.

Plus de 100 personnes étaient réunies lors des ateliers de Bénezet

Actuellement ?
Au niveau national, voire même européen, le rapport évoque une métropolisation accélérée ; une pression de l’optimisation des logements avec la disparition de l’entrée et de la cuisine en tant que pièces ; un ralentissement de la construction depuis deux décennies renforcé par la réticence des municipalités à trop densifier la ville.

Ce qui a contribué à dégrader le logement ?
Les achats en Vefa (Vente en état futur d’achèvement) ce qui fait perdre la main au bailleur social sur la qualité de l’ouvrage. Le coût de la production des logements contrôlé par le triptyque, foncier, coût de la construction, marges promoteur dont la solvabilité des ménages n’est devenue qu’une variable d’ajustement fixée par les banques. On y évoque aussi les investisseurs privés ‘peu regardants sur la qualité d’usage plutôt focalisés sur les labels énergétiques et environnementaux’. Pour y remédier ? La création d’un cercle vertueux initié par les collectivités territoriales grâce à une politique foncière forte, l’usage de la préemption pour limiter l’inflation.

La parole est à…
Laurent Girometti, « Nous avons mis en évidence avec François Leclercq une tendance à une certaine dégradation de la qualité des logements produits, notamment sur des caractéristiques d’habitabilité, de confort et de qualité d’usage. Nous avons concentré notre travail sur le logement et comment se donner des éléments de références pour qu’il soit de qualité et cela, sans inventer des solutions disruptives. Cela passe par le calcul des bonnes surfaces, le correct dimensionnement du salon et de la cuisine. C’est revenir à des principes de conception de logements oubliés ou laissés de côté depuis trop longtemps. Sur ce plan, nous avons plus de marge de manœuvres en construction, car pour la réhabilitation on essaie de tendre vers ces principes mais bien évidemment on travaille avec l’existant. Ce sont des principes de surfaces, de volumes, de ventilation en créant des logements traversants, des rangements, veiller à l’orientation, la hauteur sous plafond, la ventilation de l’ensemble, d’éclairement naturel en durée et intensité. Le but ? Travailler sur les priorités, les règles du jeu locales dans un objectif de qualité.»

Ce que je retiendrai de cette journée à Avignon ?
«La qualité des échanges et une intégration de toutes les problématiques pré-citées, souligne Laurent Girometti. En écoutant les discours introductifs de Mme Cécile Helle et de Paul-Roger Gontard on sent une volonté s’inscrire dans une vraie action publique tout en y travaillant avec toutes les parties prenantes ce qui est le meilleur atout pour instaurer le dialogue.»

Dr Courtine Confluence, un quartier à inventer

La conclusion
«La restitution des ateliers de Bénezet se fera en fin d’année dont la deuxième étape aura lieu début 2023, assure Paul-Roger Gontard. Pour le moment ? Il s’agit de définir les ambitions et une vision des logements de demain sur le territoire. Désormais en plus du coût de construction de l’immeuble il est question du coût de fonctionnement de celui-ci, également son inscription dans un contexte méditerranéen, et la prise en compte des retours d’expérience. Lors des ateliers il était surtout question de l’exposition des contraintes et des options pouvant y répondre.»

Ne pas reproduire les erreurs du passé
«Cette charte devrait être proposée l’année prochaine et utilisée par les acteurs de la construction et de la réhabilitation, rappelle l’adjoint à l’urbanisme. La démonstration ? Une démarche plurielle dans un esprit de coopération gagnant-gagnant. Le monde est en train de changer et ce que nous construisons aujourd’hui sera utilisé par les générations futures d’où notre responsabilité à construire durablement, et dans la mesure où les m2 dans notre ville se réduisent comme peau de chagrin. Nous ne pouvons pas reproduire les erreurs d’urbanisation du passé.»

Stopper l’étalement urbain
«Sur les 6 000 logements qui vont être produits dans le contexte du NPNRU (Nouveau programme national du renouvellement urbain), un tiers se fera dans la ville sur elle-même et les deux autres tiers dans le diffus ou les Zac (zone d’activités concertées) portées par la commune, détaille l’adjoint au maire. On ne peut plus désormais grignoter sur les espaces naturels et agricoles qui ne sont plus des terres à bâtir mais font partie d’une ville équilibrée de demain. Nous aurons à inventer un collectif d’habitats.»

Proposer des alternatives
«L’enjeu ? Proposer à nos habitants qui quittent la ville pour aller dans les villages périphériques de revenir dans des formes d’habitats qui leur conviennent car la règle du zéro artificialisation va énormément contraindre les espaces à urbaniser souligne Paul-Roger Gontard. La maison avec jardin va devenir rare. Il faut proposer des alternatives avec des espaces lumineux, des extérieurs généreux, de l’intimité, de la modularité avec des services en plus grand nombre et des prix compétitifs.»

Comprendre, dialoguer, statuer

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L’entrée en vigueur de la circulation différenciée dans le bassin de vie d’Avignon en cas d’épisode de pollution de l’air persistant va avoir un impact important sur la mobilité des habitants de l’agglomération de la cité des papes. Retour sur les conséquences pratiques pour les usagers.

Le préfet de Vaucluse vient d’annoncer le renforcement du dispositif d’urgence en cas d’épisode de pollution de l’air ambiant sur le département de Vaucluse et plus particulièrement la zone d’Avignon. L’objectif de cette mesure de santé publique est de réduire l’exposition de la population aux effets de la pollution atmosphérique, en particulier celle vivant à proximité immédiate des grands axes routiers.
En Vaucluse, on estime que 418 000 personnes sont exposées au dépassement de la ligne directrice de l’OMS (version 2021) pour les dioxydes d’azote NO2 et 459 000 personnes au dépassement pour les particules fines PM 10. Cette pollution étant principalement située dans l’agglomération d’Avignon et près des grands axes de circulation.
Concrètement, lorsque que le niveau de pollution atmosphérique sera trop élevé certain véhicules seront interdits de circuler dans un périmètre de 20 communes : 9 vauclusiennes (Avignon, Caumont-sur-Durance, Entraigues-sur-la-Sorgue, Jonquerettes, Le Pontet, Morières-les-Avignon, Saint-Saturnin-lès-Avignon, Vedène et Velleron), 7 gardoises (Les Angles, Pujaut, Rochefort-du-Gard, Roquemaure, Sauveterre, Saze et Villeneuve-lès-Avignon) et 4 des Bouches-du-Rhône (Barbentane, Châteaurenard, Noves et Rognonas).

Quand circuler ou non ?
Dans ce cadre, les véhicules légers équipés de vignette Crit’Air 4, 5 et non classés, et les poids-lourds équipés de vignettes Crit’Air 3, 4, 5 et non classés, ne pourront pas circuler entre 6h et 20h. Seuls les véhicules légers équipés de vignettes Crit’Air de classe électrique ou hydrogène, 1, 2 et 3 ainsi que les poids-lourds équipés de vignettes Crit’Air de classe électrique ou hydrogène, 1 et 2 seront autorisés à circuler dans le périmètre. Egalement, tous les véhicules fonctionnant au GNV (Gaz naturel véhicule) sont dotés d’une vignette de niveau 1 et seront donc également autorisés à circuler lors des pics de pollution.
Par ailleurs, certains véhicules équipés d’une vignette Crit’Air 4 ou 5 (ou 3, 4 ou 5 pour les poids-lourds), pourront continuer à circuler (véhicules d’intérêt général, véhicules assurant du co-voiturage, véhicules agricoles, transports de denrées périssables). Attention, chaque véhicule bénéficiaire de la dérogation devra être équipé de la vignette Crit’Air pour circuler, quel que soit le niveau Crit’Air auquel il est éligible.
A noter que la circulation différenciée ne s’applique pas aux véhicules circulant sur les portions des autoroutes A7 et A9 traversant le périmètre (pourtant générateurs de très importantes pollutions aux particules fines), ainsi que sur plusieurs axes routiers permettant de rejoindre un parking offrant un accès aux transports en commun.

Amende de 68€ à 135€ et points de contrôles
Afin de faire respecter cette circulation différenciée lors des épisodes de pollution de l’air, 7 points de contrôle seront mis en place dans un premier temps par les forces de l’ordre. Ils seront situés :

– Rond-point D907 à Sorgues
– Rond-point A7 (grand giratoire de la zone commerciale – sortie A7 Avignon Nord)
– Rond-point ‘Rossi’ à Monteux
– Rond-point D28/D53 – Morières-lès-Avignon/Vedène (Intermarché)
– Rond-point D901 – Morières-lès-Avignon (maison Calvino)
– Rond-point sortie A7 Avignon Sud
– Grand carrefour D900-D973

Tous ces points permettront un retournement des véhicules si les critères ne sont pas remplis. Selon la préfecture de Vaucluse « la pédagogie sera de mise ». Toutefois, se déplacer dans le périmètre avec un véhicule non autorisé ou sans vignette sera passible d’une amende comprise entre 68€ à 135€.

Gratuité des transports au bout du 4e jour
Si les contrôles seront effectifs dès le premier jour de l’épisode de pollution, les Vitesses seront réduites de 20km/h sur toutes les routes du département (sans descendre en dessous de 70km/h). A partir du 4e jour et au-delà, mise en place d’une gratuité des transports en commun sur le Grand Avignon, incitation tarifaire sur les réseaux TER et cars régionaux assurés par la Région Sud-Paca.

Comment se procurer la vignette Crit’Air ?
Pour ceux qui ne disposent pas de cette vignette Crit’Air il faut se rendre sur le site www.certificat-air.gouv.fr pour se la faire délivrer par courrier (3,70€ envoi postal inclus).
« Cette vignette sera indispensable en cas d’épisode de pollution de l’air persistant », insiste les services de la préfecture de Vaucluse.

Pour être informé d’un épisode de pollution, il est possible de s’abonner aux alertes d’AtmoSud sur son site Web.

https://www.echodumardi.com/tag/avignon/page/158/   1/1