25 juin 2025 |

Ecrit par le 25 juin 2025

L’AIST -Santé au travail- propose d’échanger autour du film ‘Un autre monde’, histoire d’un dirigeant d’entreprise

Un cadre d’entreprise, sa femme, sa famille, au moment où les choix professionnels de l’un font basculer la vie de tous. Philippe Lemesle et sa femme se séparent, un amour abimé par la pression du travail. Cadre performant dans un groupe industriel, Philippe ne sait plus répondre aux injonctions incohérentes de sa direction. On le voulait hier dirigeant, on le veut aujourd’hui exécutant. Il est à l’instant où il lui faut décider du sens de sa vie.

Les échanges se feront autour du film avec E. Le Lagadec, médecin du travail et JP Matz psychologue du travail. Un cocktail dinatoire clôturera la soirée.

Les infos pratiques
Jeudi 7 avril. Pathé Cap Sud.18h30. Diffusion du film, 20h15 échanges avec le public. 21h Cocktail dinatoire. Gratuit. Inscription obligatoire ici. 175, rue Pierre Seghers à Avignon.
MH


L’AIST -Santé au travail- propose d’échanger autour du film ‘Un autre monde’, histoire d’un dirigeant d’entreprise

L’autre festival commence aujourd’hui et déploiera l’univers du livre ce samedi 2 et dimanche 3 avril. Au programme ? Un salon du livre protéiforme avec des conférences et des lectures, des rencontres littéraires, des visites d’Avignon vue par des écrivains, des moments de dédicaces aussi, des ateliers d’écriture et des dictées adultes et enfants. 50 auteurs locaux et nationaux seront au rendez-vous. Tout le programme ici.
Précédent article sur ce sujet ici.
MH


L’AIST -Santé au travail- propose d’échanger autour du film ‘Un autre monde’, histoire d’un dirigeant d’entreprise

L’équipe uruguayenne de rugby a fait son choix concernant le lieu où elle s’entrainera et se logera durant la coupe du monde accueillie par la France en 2023. La cité des papes deviendra donc le camp de base du XV d’Uruguay pendant la compétition.

Dans sa volonté de devenir une ‘Terre de jeux’ d’ici 2024, la ville d’Avignon a déposé sa candidature pour devenir camp de base pour la coupe du monde de rugby 2023. C’est ainsi que l’équipe d’Uruguay a choisi la capitale vauclusienne pour s’entraîner. Les joueurs auront accès à différentes infrastructures sportives de la ville telles que le parc des sports, le complexe sportif évolutif couvert (Cosec) Moretti, le stade nautique, ou encore la salle de musculation et l’espace bien-être de Yakha Sport.

La compétition aura lieu du 8 septembre au 28 octobre 2023. Le XV d’Uruguay posera donc ses valises à Avignon à partir du 29 août pour les phases de poules, et ce, au moins jusqu’au 9 octobre, ou plus tard selon les qualifications de l’équipe. « En acceptant notre candidature à être camp de base, l’équipe d’Uruguay est assurée de toute notre hospitalité, de notre engagement et de celui de tous les avignonnais pour la réussite de leur mondial », s’est enthousiasmée Cécile Helle, maire d’Avignon.

V.A.


L’AIST -Santé au travail- propose d’échanger autour du film ‘Un autre monde’, histoire d’un dirigeant d’entreprise

La nouvelle, jalousement gardée jusqu’alors, devrait faire l’effet d’une petite bombe mais il était difficile de la cacher plus longtemps. Le Conseil régional d’Occitanie vient de s’offrir le pont d’Avignon afin de ‘booster’ sa politique touristique dans sa partie Est. L’ouvrage d’art médiéval de la cité des papes datant du XIIe siècle va ainsi être très prochainement démonté pour être installé, à quelques centaines de mètres seulement, à Villeneuve-lès-Avignon au pied de la tour Philippe-le-Bel. Il constituera le maillon phare d’un ‘Bridge tour’ comprenant notamment le pont du Gard ainsi que Pont-Saint-Esprit.

« Nous avions été sollicités pour participer au financement de la LEO (Liaison Est Ouest) afin de faciliter le contournement d’Avignon, explique la région Occitanie. Mais franchement quel intérêt de réaliser un équipement qui pourrait servir aux gens à mieux se déplacer, aller à leur travail, permettre le développement économique de leur territoire et donner du travail à leurs enfants ? »
« En revanche, dès que l’on a su qu’il était possible de réaliser cette opération nous n’avons pas hésité une seconde, poursuit le Conseil régional d’Occitanie. Pensez donc : un projet hors de prix qui nous permet de nous offrir un pont qui ne sert à rien en ne rejoignant aucune rive l’une à l’autre. Nous n’avons pas tergiversé longtemps car une telle occasion ne se présente pas tous les jours. »

« On avait entendu dire qu’il y avait quelque chose après Remoulins. »

A la découverte du Gard avignonnais
Pour en arriver là, les obstacles n’ont cependant pas manqué. « Nous ne savions pas que notre région allait si loin, reconnaît-on à Toulouse. Heureusement, le département du Gard nous a beaucoup aidés pour mener à bien ce projet. »
« Nous n’avons aucun mérite, précise-t-on humblement du côté de l’institution départementale basée à Nîmes. On avait entendu dire qu’il y avait quelque chose après Remoulins, alors nous n’avons pas été trop surpris quand nous avons découvert le Gard avignonnais. Après, sincèrement, nous ne savions pas qu’il y avait autant de gens là-bas et en plus ils parlent la même langue que nous !  A notre décharge, il faut reconnaître que franchement cela prête à confusion : ’la cité des papes’. Du coup, nous on a toujours cru que c’était l’Italie. »

Vers une extension du plan faubourgs ?
Bien que le montant exact de la transaction ait été tenu secret, l’opération est particulièrement ‘juteuse’ pour Avignon, En se séparant de l’un de ses joyaux patrimoniaux, la municipalité de la cité des papes va être financièrement en mesure de déployer le ‘Plan Faubourgs’ sur tout son territoire. Mieux, pour ne pas jouer les radines, elle propose d’étendre son projet à l’ensemble du Grand Avignon. Pour cela, elle envisage d’offrir une trottinette électrique à chaque habitant de l’agglomération. Et pour ceux qui auront le Rhône à traverser, ils devraient être équipés de pédalos électriques.
De l’autre côté du Rhône, le transfert du pont Saint-Bénezet d’une rive à l’autre ne semble pas poser de problème pour Villeneuve-lès-Avignon. Bien au contraire.
« Nous, explique-t-on du côté de la cité cardinalice, on est comme les autres communes gardoises du Grand Avignon et du Gard rhodanien : entre Occitanie et Provence on ne sait plus trop où l’on habite. Du coup, cela nous arrange quand ce sont les autres qui prennent des initiatives, cela nous évite de prendre le risque d’avoir à le faire. »
« Nous sommes à 100% à l’origine de cette opération, confirme la région Occitanie. Le canton de Villeneuve ne nous a rien demandé mais cela nous permet d’enfin  réaliser un investissement dans cette zone. Un territoire parmi les plus contributeurs en matière fiscale dans lequel nous n’investissons jamais. Sincèrement, nous avions peur que cela commence à se voir, alors avec ce projet on est tranquille pour longtemps maintenant. On va pouvoir continuer à percevoir leurs impôts pour 50 ans au moins ! »

Bénédiction des Architecte des bâtiments de France
Mais pour mener à bien un tel dossier, il a fallu auparavant recevoir l’indispensable bénédiction des ABF (Architecte des bâtiments de France). « Cela faisait des années que nous nous obstinions à refuser systématiquement l’installation d’un disgracieux portique de protection afin d’éviter que les poids lourds ne viennent percuter ce patrimoine de l’humanité. Quelle idée de faire si laid alors qu’il est plus facile de restaurer régulièrement. »
Toutefois, en raison de la multiplication des coûts de réparation suite à des accidents impliquant des camions venant endommager l’ouvrage d’art médiéval datant du XIIe siècle  (5 fois en 3 ans dont 2 en février dernier) la décision de mettre en place ces ‘horribles’ portiques a finalement été prise. Ces derniers devant être installés à partir de juin prochain.

« Quand deux solutions s’offrent à nous, nous choisissons toujours celle qui coûte le plus cher. »

« Mais s’il n’y a plus de pont, plus besoin de portiques, s’enthousiasment les gardiens du patrimoine. Alors quand nous avons eu vent du projet de transfert vers la partie Occitane du Rhône, nous avons sauté sur l’occasion. Car, par principe, quand deux solutions s’offrent à nous, nous choisissons toujours celle qui coûte le plus cher puisque ce n’est pas nous qui payons. »
Seul regret pour les ABF, avec le déménagement du pont Saint-Bénezet « nous allons perdre le portique qui permettait de protéger jusqu’alors le pont Daladier, une merveille de l’art crypto-gothique qui, bientôt, sera sous l’intolérable menace des poids lourds. »

Le début d’un vaste jeu de chaise musicale ?
En tout cas, ce transfert semble avoir donné des idées à d’autres collectivités. Ainsi la ville de Nîmes, lassée d’être la cible des mouvements animalistes, aurait proposé d’échanger les arènes contre le théâtre antique d’Orange. « Cela n’a que des avantages : on reste dans la romanité et on se débarrasse des anti-corridas », se félicite-t-on au sein de la municipalité gardoise.
Du côté de la cité des princes, on est tout aussi enthousiaste à cette idée : « Nous pourrons étoffer notre offre touristique en proposant une féria d’Orange inédite. Cela donnera aussi un coup de fouet aux prochaines éditions des Chorégies. »
Ayant appris la nouvelle, Roberto Alagna, qui a toujours affiché sa fidélité à la scène du plus vieux festival lyrique de la planète, prendrait déjà secrètement des cours de ‘muleta’ dans une manade en Camargue afin d’être le premier ténor au monde à jouer Carmen face à un véritable taureau de Miura.

Déconstruction patrimoniale
Même à Paris, lassée par plus de 130 ans de présence de la dame de fer, la ville Lumière entend passer à autre chose. Elle souhaite ainsi échanger les 330 mètres de la Tour Eiffel contre les 260 mètres de celle d’Aramon.

Paris veut ‘déconstruire’ son patrimoine en rendant hommage à l’architecture industrielle des années 1970-1980. Pour cela, l’ancienne centrale de production à partir de fuel lourd d’Aramon serait le parfait symbole de cette époque révolue de l’utilisation des énergies fossiles.

« La Tour Eiffel, avec tout son métal qui ne sert à rien, c’est comme l’automobile : il est temps de passer à autre chose, explique la mairie de Paris. Désormais, il est temps de ‘déconstruire’ la capitale. Et n’y a-t-il pas plus beau symbole, à l’aune des Jeux olympiques, que de recycler le formidable héritage industriel français des années 1970 ? » Le transfert de ce symbole révolu de la production d’électricité via les énergies fossiles mis en service en 1977 et mis à l’arrêt en 2016 devrait être mené à bien pour Paris 2024.
Pour sa part, la ville d’Aramon, soutenue par la CNR (Compagnie nationale du Rhône), compte recycler l’ouvrage de Gustave Eiffel en phare géant pour la navigation des péniches sur le Rhône. « Avec le réchauffement climatique et la fonte des glaces on est jamais assez prudent, mais vu la hauteur de l’édifice on devrait avoir un peu la marge », précisent les deux partenaires.

La Tour Eiffel va être recyclée en phare de navigation pour les péniches naviguant sur le Rhône.

Châteauneuf-du-plug ?
Enfin, particulièrement séduite par ‘Le Tree’, l’œuvre équivoque de l’artiste Paul Mc Carthy qui avait fait l’objet d’une controverse lors de son exposition sur la place Vendôme à Paris pendant la Fiac 2014, la commune de Châteauneuf-du-Pape entend elle aussi mener sa révolution patrimoniale.
Pour cela, elle envisage de substituer les ruines de son château qui domine son vignoble depuis près de 800 ans, par l’œuvre, mi-sapin gonflable mi-sextoy, du célèbre plasticien américain. Ce dernier, grand amateur de Châteauneuf, devant installer les restes du château castelpapal dans sa propriété de Los Angeles et transformer le donjon en une immense cave à vin.
Anticipant la polémique le maire de Châteauneuf-du-Pape s’agace pourtant déjà : « avec cette œuvre, les gens verront ce qu’ils auront envie de voir : un sapin, un sextoy ou même une soucoupe volante* ! On s’en fout, ce qui compte c’est que l’on se soit débarrassé de cette tour, symbole phallique d’une époque patriarcale révolue. »
Mis dans la confidence, le Syndicat des vignerons de la plus vieille AOC de France plancherait déjà sur la création d’une bouteille en forme de plug pour remplacer celle avec les armoiries traditionnelles gravées sur le col depuis 1937 ou la mitrale apparue au début des années 2000.

L’œuvre controversée de l’artiste américain Paul Mc Carthy va prochainement venir prendre la place de l’ancien donjon du Châteauneuf-du-Pape qui lui, prendra la direction de Los Angeles pour être transformée en une immense cave à vin.

Les lamentations du département de Vaucluse
Enfin, à la tête du département de Vaucluse, bien que peu favorable à ce grand chamboulement patrimonial, on semble se résigner à ces bouleversements : « Ici, on n’aime pas changer les habitudes. Pour preuve, 3 de nos 5 derniers présidents ont été élus au bénéfice de l’âge. Il faut déjà qu’on s’habitue à avoir une femme à la présidence pour la première fois depuis plus de 230 ans alors voir tous ces monuments déménager… Mais bon, on va suivre quand même le mouvement bon gré mal gré. » Le Département serait déjà en négociation très avancée avec la municipalité de Jérusalem pour ‘troquer’ sa partie du palais des papes contre le mur des lamentations.

Don Diego de la Garcia

*Pour rappel, la municipalité de Châteauneuf-du-Pape est la seule commune au monde à avoir pris un arrêté interdisant le survol, le décollage et l’atterrissage des soucoupes volantes sur l’ensemble de son territoire. Un arrêté pris le 25 octobre 1954 par Lucien Jeune alors maire de Châteauneuf.


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En 2022, Arôme célèbre son 17e anniversaire. L’occasion de revenir sur le parcours de cette agence de communication qui, très tôt, a fait le pari du digital.

Pour Rémi Vicente, l’aventure Arôme a commencé en 2005. D’abords aux côtés  de François Verlant, co-fondateur de l’agence avant de la quitter en 2012, puis en compagnie de Delphine Goyon, qui vient de prendre une autre voie depuis quelques mois.
Intervenant dans la conception de tous supports, ‘print’ et web, de la création de logo, plaquette, site web aux campagnes publicitaires tous médias en passant par la réalisation de charte graphique ou bien encore le domaine du packaging, Arôme est aussi un expert dans la communication digitale et le web marketing.
« Nous nous sommes orientés très tôt vers le digital, confirme Rémi Vicente. C’est un domaine où nous avons une vraie expertise notamment sur Google et les réseaux sociaux comme Instagram et Facebook par exemple. Nous avons aussi fait des choix forts en nous appuyant sur des outils comme WordPress utilisable en ‘open source’ là ou d’autres vendaient du leasing déguisé entraînant ainsi des coûts inutiles pour les clients pour une qualité médiocre de design et de référencement. »

Un pionnier du digital
Ce n’est donc pas un hasard si ce pionnier du digital a figuré, dès 2012, dans le top 100 des agences françaises présentes sur Facebook via le palmarès établit par LLLLITL, le blog des agences de publicité créatives.
Côté moteur de recherche, l’agence joue aussi dans la cours des grands au niveau référencement : sur Google, Arôme en première position quand son nom ou ‘agence de communication’ est associé à la requête ‘Avignon’ et en deuxième place lorsque l’internaute utilise le mot ‘Paca’. Dans ces conditions, normal que le digital représente désormais plus de la moitié de l’activité de l’agence avignonnaise.

Un territoire sans limite
 « Avec les téléphones portables puis les smartphone, c’est fini le monde d’avant, constate Rémi Vicente. Aujourd’hui, le digital constitue un territoire de conquête sans limite avec des contenus qui accèdent à l’immortalité dans un puits sans fonds. Le digital a aussi réduit les coûts de la publicité et les ‘petits’ en ont profité. Notre job c’est de mettre en place un rouleau compresseur numérique mais encore faut-il faire un bon dosage entre les différents outils. Et quand on ne sait pas faire, on a la sagesse de ne pas y aller. »
L’Echo du mardi peut témoigner directement de la qualité de ses savoir-faire puisque c’est Arôme qui a accompagné sa transition du ‘papier’ vers le 100% digital. Résultat : des audiences bien au-delà de nos espérances. 

Arme de destruction massive
Arôme, qui dispose d’une nouvelle version de son site depuis l’automne dernier, n’hésite d’ailleurs pas à s’appliquer les recettes qu’elle préconise à ses clients. L’agence envoie aussi mensuellement une newsletter (plus d’une cinquantaine à ce jour) mettant en avant l’actualité de ses clients. « La newsletter, c’est une arme de destruction massive » reconnaît Rémi Vicente pour qui cet outil est l’un des meilleurs moyens pour un client de toucher et communiquer auprès d’une communauté numérique. « Encore faut-il l’alimenter avec du contenu, sinon cela ne sert pas à grand-chose. »
L’occasion pour celui qui a été aussi président de l’UCC (Union des conseils en communication) Grand Sud de 2018 à 2020 de rappeler toutefois que « le digital c’est bien, mais faut-il avoir une maîtrise de la base du  métier. Il faudra toujours savoir réaliser des visuel, des logos ou du rédactionnel, produire des contenus et des messages de qualité. »

Un marché très concurrentiel
En près de 20 ans d’existence, le patron d’Arôme a aussi constaté les profondes mutations qui ont bouleversé son secteur d’activité.
« Il y a beaucoup en compétition, observe-t-il. En 10 ans, les prix ont chuté de 30% dans le Vaucluse mais nous sommes encore là alors qu’en quelques années 20% des agences affiliées ont fermé. »
Pour s’inscrire sur la durée, Arôme s’est autant appuyée sur des clients renommés (Carrefour, Lidl, Axa et même le site internet du chanteur de reggae Jimmy Cliff !) que de nombreuses entreprises et partenaires économiques locaux comme Chabas Iveco, Aubanel for business (la marque de l’enseignement supérieur du lycée Aubanel) ou bien encore le château du Seuil dans le Pays d’Aix ainsi que le cabinet Pyxis Avocats implanté à Avignon et Carpentras.

Award du design
Arôme est également régulièrement distinguée en matière de design comme en 2019 où l’agence et son client ‘Solis Culturae’ basé à Châteaurenard ont été récompensé par la plateforme ‘Packaging of the world’ pour la créativité du ‘branding/packaging’ (marque/emballage) d’une gamme de produit à base de spiruline.
Plus récemment, l’agence a remporté deux trophées pour ses créations dans le cadre du concours ‘A’Design Award’ : un award d’argent pour la qualité de l’identité visuelle de la marque Kailani et un award de Bronze pour la créativité du packaging de la marque de Chips BCBG. Auparavant, Arôme avait remporté en 2018 trois prix dans le cadre du concours ‘A’Design Award’. Deux awards d’argent et un award de bronze dans les catégories Packaging Alimentaire & Vins.


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Redécouvrez l’une des plus grandes œuvres de Victor Hugo à travers un spectacle théâtral et musical qui s’adresse à tous.

A l’esthétique « burtonienne » et aux mélodies rock, jazz, blues qui viennent enrichir un jeu d’acteur mémorable, la mise en scène de William Mesguich vient donner une teinte nouvelle à ce monument de la littérature.

«Misérables est l’histoire d’une rencontre entre Cosette et Jean Valjean. L’histoire d’une résistance contre la pauvreté et la violence, de deux vies qui basculent. Misérables est une ode à la vie, à l’amour pour tous les cœurs et toutes les âmes. C’est aussi un spectacle total où les comédiens chantent, jouent la comédie et d’un instrument, le tout accompagné de mélodies rock et d’une esthétique ‘burtonienne’».

Un texte intemporel
«Comme dans tous les grands textes, il y a de l’intemporel dans Les Misérables, de l’universel. Il est question de Cosette, de Valjean mais aussi de tous ces personnages anonymes dans le monde qui subissent les soubresauts d’une société, d’une histoire intime, injuste ou violente.»

Pour un avenir meilleur
«Cela raconte les aventures, les déboires, ou la désespérance de tous les laissés-pour-compte de notre monde, tous les abîmés par la vie. Et en même temps, il y a de l’espoir. La tragédie de certains se transforme et devient le prétexte à une réparation, une révolution sociétale ou personnelle, la croyance en un avenir meilleur.»

Jazz, Blues, rock
«La musique et le chant enrichissent et mettent en relief le propos théâtral. Une manière de redonner, peut-être, de la joie, du spectaculaire, du baroque à une œuvre tellement étudiée et représentée. Avoir une musique de scène originale « sans âge », un savoureux mélange pop, aux influences jazz, blues, rock… pour des comédiens-chanteurs musiciens, permet de donner une autre tonalité à ce monument de la littérature française.»
William Mesguich

Les infos pratiques
Misérables. Dimanche 3 avril à 16h et lundi 4 avril pour les scolaires. Théâtre du balcon. 38, rue Guillaume Puy à Avignon. Réservation ici. contact@theatredubalcon.org 04 90 85 00 80

MH


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L’Isema, école de commerce spécialisée sur les secteurs de la naturalité et tous les secteurs issus du vivant -agroalimentaire, alimentation, santé, cosmétique-  a à cœur de traiter de sujets autour de l’agriculture, l’alimentation et de l’environnement à destination des particuliers, intervenants, professionnels et, bien sûr, les étudiants.

Un after work jeudi 7 avril
Dans ce cadre l’école propose un after work Jeudi 7 Avril à 18h en présence des acteurs locaux et experts œuvrant chacun à leur façon pour informer et développer ce type d’agriculture au cœur de notre ville d’Avignon.

Les intervenants
Baptiste Grard, enseignant chercheur ISARA (école partenaire) / expert sur le sujet de l’agriculture urbaine,
Paul-Arthur Klein, Directeur des Jeunes Pousses et de la ferme urbaine Le Tipi d’Avignon,
Et Mathieu Navarro, Directeur association «Car elles butinent».

Ensemble
Ils apporteront leur vision de ce type d’agriculture sous forme de témoignage, de retours d’expérience en se basant sur des exemples concrets de réalisation notamment sur notre territoire. Comme lors des précédentes soirées After Work, un temps sera donné pour les questions du public. 

Les infos pratiques
Amphi de l’Isema,105 Rue Pierre Bayle à Avignon. Inscription obligatoire ici.
MH


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Découvrons la géniale artiste Artemisia Gentilshchi grâce aux Amis du théâtre Populaire et à la Compagnie Vertigo à la salle Benoit XII. En 1612 en Italie a lieu le procès du peintre Agostino Tassi pour le viol de la jeune peintre Artemisia Gentileschi.

Artiste peintre italienne de l’école caravagesque, Artemisia Gentileschi (1593-1656) est l’une des rares femmes peintres de son époque, la première à être devenue célèbre au point de vivre de son art et de parcourir l’Europe. Elle a 17 ans au moment des faits. Les enjeux de ce procès – intenté par son père le peintre Orazio Gentileschi – qui a agité pendant neuf mois la Rome de la Renaissance, résonnent spectaculairement avec les situations que nous affrontons quatre siècles plus tard. La décrédibilisation de la victime, la place de l’artiste reconnu protégé par son milieu qui rend l’agresseur intouchable, l’injonction à apporter des preuves impossibles à fournir.

La création de la Compagnie Vertigo mêle reconstitution, mythe et regard contemporain. D’après le texte It’s true, it’s true, it’s true d’Ellice Stevens et Billy Barrett, et les transcriptions du procès intenté à Agostino Tassi en 1612.

A partir des transcriptions du procès, de remises en perspective des tableaux présentés durant les audiences, et d’écriture de plateau, l’histoire du combat d’une vie fait résonner ces enjeux sur le plateau avec une brûlante actualité. C’est l’histoire d’une femme qui s’est défendue et a pris sa revanche à travers son art, pour devenir une des plus grandes peintres de sa génération.

Les Amis du Théâtre Populaire (ATP),  une institution toujours à l’avant-garde…
La plus ancienne des associations encore en activité, l’ATP d’Avignon, a été créée en 1954-1955 pour soutenir l’action de Jean Vilar au Festival d’Avignon et pour fidéliser toute l’année un public curieux et ouvert au plaisir d’un théâtre populaire et exigeant. Avec cet avant-dernier spectacle de la saison 2021-2022, Les ATP clôturent bientôt cette 67e édition avec toujours l’ exigence de la qualité et le souci de l’accession au plus grand nombre.

Artemisia Gentileschi sera présenté au théâtre du Train Bleu cet été dans le cadre du festival Off d’Avignon ! La pièce jouera chaque jour à 20h20 du 8 au 27 juillet 2022.

Jeudi 31 mars 2022. 20h30. Théâtre Benoît XII . Rue des Teintutiers. Avignon. www.atp-avignon.fr


L’AIST -Santé au travail- propose d’échanger autour du film ‘Un autre monde’, histoire d’un dirigeant d’entreprise

Rencontre musique et théâtre avec le comédien Régis Royer, face à l’Orchestre national Avignon-Provence : une manière originale de comprendre la conception d’une œuvre, au cœur de la création.

Hector Berlioz sort du théâtre, bouleversé par Hamlet de Shakespeare. Berlioz est amoureux, Hector Berlioz est survolté, pauvre mais déterminé, il s’affranchit des codes et convenances pour écrire sa Symphonie Fantastique dont le 5e mouvement «Songe d’une nuit de sabbat» est un véritable délire musical.

L’Orchestre National Avignon Provence sous la direction de la cheffe Debora Waldman nous convie à ce voyage symphonique.

Samedi 2 avril. 16h. 5 à 12€. Opéra Grand Avignon.4 Rue Racine. Avignon. Réservation ici. 04 90 14 26 40. www.operagrandavignon.fr

https://www.echodumardi.com/tag/avignon/page/161/   1/1