16 juillet 2025 |

Ecrit par le 16 juillet 2025

Grand Delta Habitat : ‘De la transparence avec les partenaires financiers’

L’obsession de la coopérative spécialisée dans l’immobilier locatif ? Une amélioration constante de la trésorerie nette qui lui a valu les bonnes notations de Standard&Poor’s. Les leviers qui ont fait la réussite de la structure ? Une progression régulière du CA des loyers, une maîtrise de l’évolution de l’endettement, sa capacité en autofinancement et, surtout, des salariés formés, compétents et efficients.

Des rendez-vous nourris toute l’année avec ses partenaires
C’est ainsi que chaque année, Grand Delta Habitat propose des « Delt’Apéro » organisés pour présenter les activités de la coopérative, les résultats et les dispositifs innovants à destination de ses partenaires et clients. Le 1er Delt’Apéro d’avril évoquait la « Transparence bancaire » en présence des partenaires financiers, des administrateurs, du Président, Michel Gontard, du Directeur Général, Xavier Sordelet et du Directeur Administratif et Financier, Lionel François. La coopérative a également présenté ses comptes 2021 ainsi que son prévisionnel 2022.

GDH ? Une machine bien rodée
La structure doit sa réussite à une ingénierie financière et opérationnelle hyper optimisée et les résultats ne se font pas attendre. La coopérative détient ainsi l’une des plus fortes rentabilités du Vaucluse se plaçant à la 10e position des entreprises vauclusiennes les plus rentables du département -avec 16,47%- et à la 10e place en terme de chiffre d’affaires. Celui-ci est d’ailleurs passé de 123,9M€ en 2020 à 130,7M€ -soit +5,49%- en 2022 tandis que le patrimoine s’élève désormais à 21 309 logements. Le taux de vacances de 1,35% en 2020 est à 0,98% en 2021. En termes de ventes, 106 logements ont été acquis par des particuliers, un bloc de 192 logements a été vendu ainsi qu’un foyer logements équivalent à 53 appartements. L’activité accession représente un chiffre d’affaires de 2,9M€ avec une marge brute de 0,7% de M€ réalisés par la vente de 25 lots à bâtir ainsi que d’une vente en accession sociale sécurisée. La dette financière représente 43,27% des loyers. Enfin, la coopérative compte 8 agences, à ce propos, une nouvelle sera implantée à Nice en novembre prochain. Pour accompagner la progression de la structure dans le paysage immobilier de Paca et Occitanie, le nombre de salariés est passé de 359 à 377 avec 26 recrutements prévus cette l’année.

Perspectives financières 2022
En 2022, GDH prévoit de passer de 130,7M€ à 133M€ malgré une réduction du Loyer de solidarité estimée à 7,4M€. La livraison de 700 nouveaux logements devrait faire grimper le patrimoine de la coopérative à 22 000 logements. L’activité accession pourrait dégager une marge annuelle de 715 000€ et le nombre de salariés passera de 377 à 403.

Pour les années à venir
GDH vise dorénavant les 900 logements par an en construction, en Vefa (Vente en état futur d’achèvement) et en acquisition. Dans le cadre du NPNRU (Nouveau programme national de renouvellement urbain), la coopérative lancera en 2022 la réhabilitation, la résidentialisation et la démolition partielle des logements de résidences situées dans le quartier de Saint-Chamand à Avignon (355 logements dont 40 à démolir). Le premier bâtiment sera démoli fin 2022. Globalement 500 logements par an seront réhabilités. Par ailleurs, la structure s’est engagée à ce que 50% de son patrimoine soit classé en étiquette énergétique A, B, C et 50% en D en 2025.

Quelle fiscalité à venir ?
« Après la mise en place de la RLS (Réduction de loyer de solidarité) en 2018 et son application pleine en 2020 qui a un eu un impact fort sur les Bailleurs sociaux -pour rappel 7,4 M€/ an pour GDH-. Une menace se précise avec l’impôt sur “la surcompensation” pour contrôler les aides de la France au secteur du logement social. Pour préserver sa bonne santé financière GDH veut continuer à optimiser ses coûts de fonctionnement en développant la dématérialisation des données et les visio-conférences », rappelle Michel Gontard, le président de la coopérative.

Projection 2026
Michel Gontard et ses équipes prévoient un patrimoine de 26 000 logements, un chiffre d’affaires de 156M€, l’investissement dans l’entretien et la réhabilitation du parc locatif à hauteur de 34M€, l’investissement de 25M€ en fonds propres, la vente de 150 logements et un taux de recouvrement des loyers de 99%.

Dans le détail en 2020
La coopérative Grand Delta Habitat a réalisé un chiffre d’affaires de 130,7M€ -contre 123,9M€ en 2020- engrangeant une rentabilité de 16,47% grâce à un taux de recouvrement de 99,35% et a investi 129M€. Elle se place en 13e position des plus importants CA de Vaucluse. La structure de logement social abrite 52 620 personnes dans 21 309 logements. GDH gère 8 011 lots de syndic. L’organisme a livré, cette année, 555 logements –dont 450 neufs- et a procédé à 144 ventes. Le bailleur et constructeur qui emploie 377 collaborateurs –contre 359 en 2021- détient 8 agences commerciales, a tissé des partenariats avec 150 communes et connaît un taux de logements vacants de 0,98% -soit 206 logements- contre 1,35% en 2020.

L’importance des notations
Pour la 3e année consécutive Standard & Poor’s a attribué la note de A+ à Grand Delta Habitat à long terme et A1 à court terme. L’agence de notation évoque ‘des performances financières solides, un maintien de la trésorerie adéquat permettant un important programme de développement’… ‘Une solvabilité renforcée par une position concurrentielle extrêmement forte de l’entreprise’… ‘Des résultats financiers robustes grâce à une forte capacité de maîtrise des dépenses de fonctionnement et des efforts de numérisation des processus opérationnels’. Ces notations permettent à la coopérative de diversifier ses sources de financement notamment d’émissions d’obligations sur les marchés privés.


Grand Delta Habitat : ‘De la transparence avec les partenaires financiers’

Patrick Armengau, commissaire-priseur de l’Hôtel des ventes d’Avignon propose des automobiles de collection. Parmi les voitures vintage les aficionados de Porsche seront bien au rendez-vous pour cette magnifique Porsche 911 carrera de 1989 noire à un peu plus de 185 000 km à partir de 60 000€. Il y a aussi cette Citroën marron clair de 1972 qui partira à partir de 35 000€. On craque pour cette magnifique MGA 15000 cabriolet blanche de 1957. L’auto a fait l’objet d’une rénovation complète sellerie, mécanique et carrosserie qui devrait s’envoler très vite à partir de 30 000€. Cette Cadillac Eldorado orange de 1975 avec un tout petit kilométrage d’un peu plus de 63 000km brillera de tous ses feux à partir de 18 000€. Cette Mercedes 500 SL cabriolet de 1990 affichant un peu plus de 176 000km gris clair avec son intérieur en cuir noir devrait partir sur de nouveaux chemins printaniers à partir de 12 000€. On aura toujours un petit pincement au cœur pour cette Austin mini cooper de 1992 noire en très bel état de présentation et état de marche à partir de 9 000€. Cette Dauphine R1090 blanche est proposée en bel état de présentation cependant il faudra prévoir une remise en route. Elle qui faisait partie d’une succession retrouvera une nouvelle vie à partir de 5 000€.

Les infos pratiques
Automobiles de collection. Lundi 25 avril. 14h. Hôtel des ventes d’Avignon. 2, rue Mère Teresa, zone de courtine à Avignon. 04 90 86 35 35.
Plaquette illustrée ici. Le catalogue des ventes ici. Exposition vendredi 22 avril de 10h à 12h et de 14h à 17h ainsi que samedi 23 avril de 10h à 12h et 14h à 17h également lundi 25 avril de 10h à 12h. Privilégier un enlèvement sur plateau.
MH


Grand Delta Habitat : ‘De la transparence avec les partenaires financiers’

Présentée dans les plus grandes villes du monde : Rio de Janeiro, Rome, Paris, Sao Polo… l’exposition du célèbre photographe franco-bréslien propose plus de 200 photographies, des projections vidéo et une création sonore inédite de Jean-Michel Jarre. Pendant sept ans, Sebastião Salgado a sillonné l’Amazonie brésilienne, photographiant la forêt, les fleuves, les montagnes, les peuples qui y vivent. Cet univers profond, où l’immense pouvoir de la nature est ressenti comme dans peu d’endroits sur la planète, a imprimé dans l’œil du photographe des images saisissantes. Accompagnée d’une création sonore, véritable symphonie-monde imaginée par Jean-Michel Jarre à partir des sons concrets de la forêt, l’exposition restitue aussi la voix et le témoignage des communautés amérindiennes photographiées. Imaginée et conçue par Lélia Wanick Salgado, cette exposition immersive au cœur de l’Amazonie est une invitation à voir, à entendre en même temps qu’à penser le devenir de la biodiversité et la place des humains dans le monde vivant.

Les infos pratiques
Des visites guidées sont proposées durant toute la durée de l’exposition. Plus d’information sur 04 32 74 32 74 et https://www.avignon-tourisme.com Ouverture : Du 27/06 au 30/11/2022, tous les jours. – du 27 au 30 juin : de 10h à 18h. – du 1er juillet au 31 août : de 10h à 19h. – du 1er septembre au 6 novembre : de 10h à 18h. – du 7 au 30 novembre : de 10h à 17h. Dernière entrée 1h avant. Gratuit pour les mois de 8 ans. Tarifs Palais des Papes incluant l’exposition : 12 € / 10 €. Tarifs exposition : 8 € / 5€.
MH


Grand Delta Habitat : ‘De la transparence avec les partenaires financiers’

Tout le monde en rêvait, ils l’ont fait ! Qui ? La Fédération des théâtres indépendants d’Avignon. Quoi ? Proposer, du 16 avril au 14 mai, des spectacles qui auront lieu, cette année en juillet, lors du festival off qui se tiendra du 7 au 30 juillet.

«Le printemps du festival est née en réaction à l’annulation du festival off 2020 qui a aussi donné naissance au festival Indépendance(s) (du 1er au 22 octobre pendant la semaine d’art proposant 50 spectacles dans 14 théâtres) durant les vacances de la Toussaint, indique Harold David (Atypik-theatre.fr), co-président de la Fédération des Théâtres indépendants d’Avignon (FTIA).»

Indépendance(s) à l’Automne et Le Printemps du Off maintenant
«Avec un festival au printemps et à l’automne nous espérons réconcilier le public avignonnais -qui d’habitude fuit la ville lors du festival- en lui faisant des propositions artistiques, promet Harold David. Cette nouvelle organisation a aussi pour but de permettre aux professionnels du spectacle et à la presse de découvrir, en avant-première, des spectacles du festival, alors qu’en juillet ils se disent submergés par les sollicitations de plus de 1 500 propositions artistiques. Ces avant-premières permettent notamment à la presse régionale de voir et d’écrire sur les spectacles à l’avance ce qui permet aux compagnies d’obtenir un écho médiatique et une visibilité précoce dès le début du festival.»

Un constat accablant
«Sur les presque 1 600  spectacles, plus de 1 000 spectacles n’accueilleront aucun journaliste, déplore Sylvain Cano-Clémente, co président de la FTIA et régisseur du Théâtre du rempart. Seulement 400 à 500 spectacles sont couverts. Nous nous inscrivons dans une démarche militante pour faire découvrir aux Avignonnais -qui fuient le festival- et offrir un véritable soutien aux compagnies que nous accueillons à Avignon. Il est rassurant de compter sur les habitants et la presse. Ce que nous trouverions intéressant ? D’augmenter le nombre d’articles parus sur les spectacles en juillet.»

De gauche à droite Sylvain Cano-Clémente et Harold David

« Nos théâtres sont des pépinières de créations» «Notre ambition ? Interroge Harold David, mailler un réseau de salles pour mutualiser des actions, développer notre capacité à porter des opérations collectives pour mieux faire valoir le travail qui s’accomplit dans nos salles à l’année. On pense souvent que les salles avignonnaises ne sont ouvertes qu’une fois par an, ce qui est peut-être vrai pour un certain nombre d’entre-elles pour le public, mais pas pour les artistes puisque nous sommes nombreux à leur ouvrir nos portes afin qu’ils préparent leurs créations pour le festival. Nos théâtres sont des pépinières de création.»

Au-delà
«Au-delà d’Indépendance(s) et du Printemps du off, nous menons une réflexion, au sein de la fédération et aussi avec d’autres lieux –La Factory, Théâtre de l’Oulle, Salle Tomasi, La chapelle des Anthonins- sur des outils de travail pour les compagnies que constituent nos salles et qu’il est temps de valoriser. Notre souhait ? Faire de la ville d’Avignon, outre une ville de diffusion de la création théâtrale nationale et internationale, une ville de création à l’année. Cela ferait émerger une plus-value en termes d’implantations sur le territoire, un rayonnement auprès des publics. Les compagnies pourraient être accompagnées pour pouvoir développer leurs projets, au travers de résidences de créations doublées d’actions culturelles et artistiques ce qu’elles ne peuvent pas faire aujourd’hui et que nous ne pouvons porter faute de moyens. Nous pourrions ainsi développer une nouvelle dynamique des territoires via ces évènements et ces outils de travail.»

Judith Magre DR

Judith Magre, marraine du 1er Printemps du off
La marraine du 1er Printemps du Off est Judith Magre, la Cassandre dirigée par un Jean Vilar metteur en scène dans ‘La Guerre de Troie n’aura pas lieu en juillet’ de Jean Giraudoux en 1963, à la Cour d’Honneur. L’artiste a reçu le Molière de la meilleure comédienne en 2000 et 2006 et s’est hissée au sommet d’une carrière de six décennies. 

Les chiffres du Off 2021
1070 spectacles ; 923 créations ; 752 compagnies ; 315 spectacles accessibles aux personnes présentant des déficiences auditives ou non francophones ;116 lieux ; 57 événements ; 49 spectacles en langues étrangères ; 4 spectacles traduits en LSF (Langue des signes française).

La Fédération des Théâtres indépendants d’Avignon
La FTIA rassemble 81 salles, 51 enseignes, 7 770 sièges et 13 041 représentations.

Les infos pratiques
Le Printemps du Off. 30 spectacles en avant-première du festival off du 16 avril au 14 mai à Avignon. Le programme complet ici par théâtre et par jour.


Grand Delta Habitat : ‘De la transparence avec les partenaires financiers’

L’Institut du cancer Sainte-Catherine Avignon-Provence renouvelle son « Dîner des Chefs à la maison ». Le concept ? Des pièces apéritives, une mise-en-bouche, une entrée, un plat et un dessert concoctés par 35 chefs de la région et leurs brigades pour un panier repas gourmet et gourmand à déguster chez soi, en famille, entre amis, ou encore en amoureux…  Le concept, né en plein confinement, a dorénavant ses aficionados –ils étaient 653 pour la 1re édition- et ravis de retirer ces paniers gastronomiques en clic & collect. On vous dit tout.

Un cadeau d’entreprise
Bien sûr, ces paniers repas gastronomiques peuvent être offerts par les chefs d’entreprise à leurs équipes, clients et partenaires. Pour être au top et briller devant vos convives, un document sera joint à la commande avec les astuces des chefs pour réchauffer et présenter vos mets.

Un don plein de générosité
En commandant ces paniers gourmands en plus de vous régaler vous portez aussi un nouveau projet de Sainte-Catherine : l’hôpital numérique qui permet de suivre et sécuriser la prise en charge des patients sous thérapie orale à domicile. «Devenir mécène de Sainte Catherine c’est associer nos forces et innover ensemble dans la lutte contre le cancer sur notre territoire Avignon-Provence, a souligné le docteur Daniel Serin, vice-président de Sainte-Catherine –Institut du Cancer Avignon-Provence.

Un don déductible des impôts
Les commandes sont déductibles des impôts à hauteur de 66% pour les particuliers dans la limite de 20% du revenu imposable et 60% pour les entreprises dans la limite de 0,5% du chiffre d’affaires de l’entreprise. Un exemple ? Pour 100€ le menu coûtera 34€ après déduction fiscale pour les particuliers et 40€ après déduction fiscale pour les entreprises.

Les partenaires co-organisateurs
Ils s’appellent Christian Étienne maître cuisinier de France ; Eric-Helen traiteur président de l’entreprise éponyme ; Isabelle Maridet présidente de l’agence Provence Organisation, David Bérard journaliste animateur et concepteur d’Happening Sud, Benjamin Perles directeur de Cote Magazine.

Le menu
4 pièces apéritives

Pic de chèvre frais au yuzu et miel / Noisettes croquantes ; « Pince-moi » d’un pois gourmand / Pesto rosso ; Cubisme de foie-gras à la mangue et Brochette de légumes façon ‘antipasti’

Mise en bouche
Tartare de crevettes ; Gravlax de saumon mariné à la betterave

Entrée
La boîte à œufs d’après Pâques : Vichyssoise aux truffes – Panacotta d’asperges – Royale de foie gras – Bâtonnet de Focaccia

Plat
Epaule d’agneau de la ‘Crau de Camargue’ confite à la sauge primeur, jus d’un navarin. Légumes de printemps en beaux morceaux, polenta gratinée au parmesan.

Dessert
Délice de printemps fraise, pistache, vanille et citron vert.

Les infos pratiques
Les commandes se font sur www.icap-solidaires.org ou encore par chèque, en remplissant un bon de commande, ou encore par mail ou téléphone auprès de Karine Chesnel au 04 90 27 60 50 k.chesnel@isc84.org. Date limite des commandes vendredi 29 et samedi 30 avril 2022 à Sainte-Catherine à Avignon ou auprès d’Helen traiteur à Morières-lès-Avignon. Toutes les infos et les commandes sur www.icap-solidaires.org

Tous les secrets des chefs en vidéo
La nouveauté ?  Vous apprendrez tout sur la préparation des plats de votre « Dîner des Chefs à la maison ». Suivez Sainte Catherine sur les réseaux sociaux FB et Instagram dès le 11 avril 2022 en direct de la cuisine de Christian Étienne ! Toutes les infos et commandes sur www.icap-solidaires.org

A propos de Sainte-Catherine
Fondé en 1946, Sainte-Catherine est un établissement médical spécialisé dans le dépistage et le traitement des tumeurs cancéreuses. Par son recrutement, son plateau technique et ses activités de recherche clinique, Sainte-Catherine est classé comme l’un des centres les plus performants dans cette spécialité au plan national. Depuis 2019, un nouvel hôpital de jour a été créé avec 54 places, soit l’un des plus grands de France. Établissement de Santé Privé d’Intérêt Collectif (ESPIC), Sainte-Catherine développe une politique d’excellence dans la prise en charge des patients cancéreux qui lui sont confiés. Depuis avril 2021, Sainte-Catherine est devenu membre affilié à UNICANCER.

Son activité est particulièrement importante
Radiothérapie, 55 000 séances/an, ce qui représente 100% des séances en Vaucluse et 33% des séances en région PACA ; Chimiothérapie, 18 500 séances/an, ce qui représente 75% des séances en Vaucluse et 10% des séances en région PACA ; Soins d’accompagnement grâce à des médecins qualifiés et une équipe soignante de 300 personnes.

Chiffres clés 2021
Par an, Sainte-Catherine Institut du cancer prodigue 40 000 consultations médicales ; 55 000 séances de radiothérapie ; 25 000 actes d’imagerie médicale ; 22 000 patients pris en charge ; 18 500 séances de chimiothérapie et prend en charge 3 150 nouveaux patients.
                                                                            


Grand Delta Habitat : ‘De la transparence avec les partenaires financiers’

La ville d’Avignon et l’ANT (Association de gymnastique Avignon) accueilleront les 16 et 17 avril la toute première édition de l’Open parkour* Avignon. Une compétition ‘d’art du déplacement urbain’ qui se déroulera au sein des halles sportives Génicoud, site référence à l’international et centre de préparation pour les Jeux olympiques Paris 2024.

Au programme : le samedi 16 avril une compétition ‘freestyle’ et le dimanche 17 une autre de ‘speedrun’ (ndlr : parcours de rapidité), de 9h à 18h les deux jours. La veille de l’Open de Parkour, vendredi 15 avril se tiendra de 10h à 17h une journée d’initiation au parkour organisé par l’ANT sur la place du palais des Papes.
« Cette compétition est un vrai challenge, car c’est la première fois post-covid qu’on peut lancer un événement majeur sur notre territoire, explique Laurent Michelier, directeur de l’ANT gym Avignon. Ce type de compétition était jusqu’à présent organisée principalement à Marseille et nous avons fait le pari avec la ligue, le comité régional Provence-Alpes-Côte d’Azur et le responsable du rendez-vous parkour sur Marseille, Cédric Martin, d’élaborer un plan d’action sur un nouvel événement qui pourrait se faire en intérieur dans une salle spécialisée de Parkour. »

Si la compétition se déroulera les 16 et 17 avril (voir affiche en fin d’article), des initiations sont aussi prévues toute le journée sur la place du palais des papes.

Une compétition ouverte à tous
La compétition est ouverte à tous à partir de 12 ans. Elle est répartie en différentes catégories : 12, 14, 15/17 et + de 18 ans. Si la tranche d’âge est aussi large, c’est de par l’accessibilité du sport, sans contrainte, qui se base sur l’adaptabilité des pratiquants à leurs spécificités, que ce soit l’âge ou le handicap.
Si l’Open parkour est inédit à Avignon, il ne l’est pas pour la région. Dans la Drôme s’organisait déjà fin 2021 ce type de compétition à Saint-Vallier où 90 pratiquants avaient su montrer leurs capacités. Pareil à Marseille en octobre 2021 avec l’Open parkour freerun qui avait réuni 220 participants. 

Des participants de le France entière
Au total, pour cette prochaine compétition dans la cité des papes, environ 130 participants de tous niveaux et de partout en France sont attendus pour 250 personnes au total. Un succès qui s’explique par l’expansion de cette pratique sportive, et plus particulièrement dans le Sud. Une région qui compte déjà la plus grosse association hexagonale de parkour (PK13 à Marseille) ainsi que le plus grand nombre de pratiquants de haut niveau  (60% de l’équipe de France vient de Paca). Dans le Vaucluse, on comptabiliserait déjà près d’une demi-douzaine d’associations de pratique du parkour.

Démonstration de parkour par PK13 lors de l’inauguration des Halles sportives Génicoud à Avignon en 2020. © DR

Avec les meilleurs ‘traceurs’ de la région
Pour les plus performants, cette compétition sera aussi le moment de se tester alors que la prochaine étape des championnats du monde de la discipline se déroulera à Montpellier en juin et que les jeux mondiaux de parkour auront lieux à Birmingham aux Etats-Unis en juillet prochain. Ce n’est donc pas un hasard si les 20 meilleurs ‘traceurs’ de Paca sont déjà présents dans les salles avignonnaises depuis le début de semaine, afin de se préparer au mieux avant ces deux échéances internationales.
Quant à l’ANT, l’Open Parkour Avignon fait partie de son plan d’action de développement. Ce dernier a deux objectifs: atteindre 1 400 adhérents à l’horizon 2024 pour les jeux olympiques, et devenir une structure reconnue sur le territoire national.

Alice Durand

Vendredi 15 avril. 10h-17h. Palais des Papes. Place du Palais, Avignon.
Samedi 16 avril/Dimanche 17 avril. 9h-18h. Halles sportives Génicoud. 18 Bis Av. du Blanchissage, Avignon.
L’inscription des participants à la compétition est gratuite. Les spectateurs devront quant à eux payer 4 € pour les deux jours.

* Le Parkour est l’art du déplacement urbain. Cette discipline est basée sur le franchissement d’obstacles naturels ou artificiels dans le paysage urbain, utilisant diverses techniques de déplacement (courir, sauter, rouler, grimper, tomber…) dans les 3 dimensions de l’espace.


Grand Delta Habitat : ‘De la transparence avec les partenaires financiers’

La naissance du projet 
La rencontre entre le batteur new-yorquais Joe Farnsworth, le pianiste Olivier Truchot et le bassiste Patrick Maradan s’est faite sur la scène du Hot Club de Lyon en novembre 2019. La connexion fut telle que les trois musiciens décidèrent de former un vrai trio et d’inviter régulièrement à se joindre à eux les grands musiciens que Joe côtoie à New York.

Le batteur new-yorkais Joe Farnsworth (Horace Silver, McCoy Tyner, Cedar Walton,…) et son ami le grand guitariste Mark Whitfield (Quincy Jones, Ray Charles, Herbie Hancock,…) se retrouvent dans un quartet européen inédit composé du  pianiste Olivier Truchot ( Scott Hamilton, Ralph Moore, Ivan Lins,…) et du bassiste Patrick Maradan ( Keystone Big-Band, Quincy Jones, James Carter, Stochelo Rosenberg,…) Ce groupe de jazzmen chevronnés sera en tournée en Europe en mai 2022 pour le plus grand plaisir des amoureux du “son Blue Note” et du Jazz qui swing !

Concert de jazz. Mercredi 18 mai. Théâtre de l’Oriflamme, 3-5 portail Matheron à Avignon. 06 15 40 03 65. (Horaire en soirée et prix prochainement renseignés).


Grand Delta Habitat : ‘De la transparence avec les partenaires financiers’

Les villes d’Avignon et Morières-lès-Avignon viennent chacune d’accueillir un point La Poste Relais.

Désormais, le tabac du Moulin à Avignon et le magasin E. Leclerc de Morières-lès-Avignon possèdent tous deux un point relais La Poste. Les particuliers comme les professionnels peuvent donc y déposer leurs courriers, simples ou recommandés, y retirer leurs colis et lettres en instance, y acheter des Prêt-à-Poster, des emballages Colissimo et des carnets de timbres, ou encore y affranchir leurs lettres et colis.

Ces points relais, placés chez des commerçants ou artisans, permettent de faciliter l’accès de la majorité des services proposés dans un bureau de poste. Ces nouveaux points viennent compléter les services déjà mis en place par la Poste à Avignon et Morières-lès-Avignon.

Tabac du Moulin. Du lundi au samedi de 7h30 à 12h30 et de 14h à 17h30. 21 Avenue du Moulin de Notre Dame. Avignon.

E. Leclerc. Du lundi au samedi de 8h30 à 19h et le dimanche de 8h30 à 12h. Espace presse. 1001 Rue Folard,. Morières-lès-Avignon.

V.A.


Grand Delta Habitat : ‘De la transparence avec les partenaires financiers’

Alors que le Plan faubourgs remet en question la fluidité de la circulation routière, qu’habitants et riverains protestent puissamment, le père Baudouin Ardillier, curé de Saint-Ruf, frère de la communauté de Saint-Jean à Avignon a souhaité prendre la parole. Lui aussi a vu la fréquentation de la paroisse amputée de 40%. Il n’explique pas le manque de concordance entre les femmes et hommes politiques ni le peu d’attention offert à la population.

«Le Plan faubourgs c’est Liberté, égalité mais pas fraternité, analyse Baudouin Ardillier. Il est difficile de prendre la parole quand on est un ecclésiastique, sous peine de se faire huer alors que justement la laïcité a pour but de laisser chacun s’exprimer. Aristote nous explique qu’il n’y a de communauté humaine viable qu’autour d’un projet où tous acceptent de chercher le bien commun et de servir le plus faible. Il me semble que c’est ce qu’on attend de  ‘la fraternité républicaine’. C’est ainsi que se construit une cité, où la personne est au centre, et où chacun décide de se mettre au service de l’autre, en  le considérant comme plus important que soi.»

Femmes et hommes politiques écoutez vos administrés
«Pourtant les personnes en responsabilité politique, s’évertuent avec générosité à faire vivre la cité, sans pour autant proposer explicitement des choses à vivre.. Quand l’humain, n’est pas au cœur du souci politique, on considère avec condescendance les citoyens, en particulier les contradicteurs, comme des gens à qui il ne faut pas donner la parole parce qu’ils ne comprennent pas le sens du bien supérieur mis en œuvre. Ici, donc, on promeut le transport plutôt que de privilégier la rencontre.» On peut ainsi étouffer un centre-ville entre les quartiers parce qu’on ne peut plus s’y rendre, ni s’y garer. »

Le vide politique ?
«Le plan faubourgs dans les constats que je fais, ressemble à ce que le philosophe appelle ‘un vide politique’ : faute de politique humaine, on produit une politique de transports, en la proposant comme une solution radicale et idéologique aux problèmes traversés par notre société. La voiture est l’ennemie, seul le vélo est l’ami. Mais le vieillard et le faible, celui qui travaille, celui qui n’a pas d’autre choix que de se déplacer en voiture, ceux qui veulent s’instruire librement, doivent en faire les frais. D’abord empêcher la circulation avant de favoriser l’accès, c’est faire de l’injonction paradoxale une règle : pour votre bien, on vous fait du mal et on ne vous offre pas de solution.»

Servir le bien commun
«Quand le bien commun n’est plus le bien humain, et que pour l’atteindre, on ignore les cris de ceux qui souffrent, et que les acteurs politiques  n’acceptent pas là contradiction, ils sont alors enfermés dans un système qui vire en général totalitaire et dictatorial. Quand l’idée n’est pas bonne et est imposée avec violence aux habitants, ces derniers retirent leur considération aux élus, et la confiance se brise.» Le tissu local se délite alors.

Le vélo comme mode idéal de transport ? Oui, à condition de laisser aussi la place aux autres : bus, tram, voiture…

Les racines de l’histoire
«Cependant, il n’y a rien de neuf sous le soleil, pas besoin d‘avoir fait de longues études ou d’être membre d’un parti, d’un athéisme ou d’une croyance pour faire cette analyse, il faut juste avoir fait un peu d’histoire, et cela tombe bien, notre cité crie du fond de ses racine vers nous, un appel au bon-sens et au dialogue !» conclut Baudouin Ardillier.

Les acteurs économiques montent au créneau
Lors du conseil communautaire du Grand Avignon du 14 mars, Anne-Sophie Rigault (Rassemblement National), conseillère régionale Paca, municipale d’Avignon, communautaire du grand Avignon a évoqué le Plan Faubourgs interpellant le président, Joël Guin :«Lors du précédent Conseil communautaire vous m’avez répondu qu’aucun chef d’entreprise ne vous a sollicité quant  aux nombreuses difficultés que le Plan faubourgs provoquaient sur la Ville centre et que si vous l’étiez, vous vous rapprocheriez alors sans tarder du maire d’Avignon. Je sais de source sûre que des acteurs économiques locaux vous ont personnellement écrit : La CPME84, Le Medef, La Chambre de commerce et d’industrie, la Capeb84, de nombreux commerçants indépendants qui espèrent un soutien des élus avant le redouté baissé de rideau. Pour certains c’est déjà trop tard. Le boulanger Bannette de l’avenue Saint-Ruf a fermé définitivement ; Les Cycles Robert, après 49 ans vont mettre fin à l’aventure.»

Est-il encore temps de sauver les commerces ?
«Pour d’autres la situation est critique mais il est encore temps de les sauver : les restaurateurs, coiffeurs, fleuristes, petits épiciers de quartier ne voient plus personne passer leur porte, poursuit l’élue RN. Les pharmaciens éprouvent des difficultés à se faire livrer tous les matins, les officines se vident, les patients ne pouvant plus s’y rendre. Les artisans n’acceptent plus de se rendre dans les quartiers ouest d’Avignon. Le restaurateur Disciple d’Escoffier du Petit chaudron qui avait fait le pari d’ouvrir dans ce quartier populaire pour y de mettre un peu de vie économique vous a envoyé ce courriel ainsi qu’au préfet de Vaucluse et à l’Umih 84 : ‘Je fais appel à vos services suite à la situation catastrophique induite en grande partie par le Plan faubourgs et instauré par la mairie d’Avignon. Nous vivons et travaillons dans la zone du plan faubourgs. Je tiens, depuis 11 ans, le restaurant le petit Chaudron quartier Champfleury et malgré les multiples épreuves : Covid 19, travaux du tramway, j’ai toujours été réactif pour compenser ce qui nous était imposé. Mais là c’est le plan de trop, même si sur le papier c’était une bonne idée : quartier apaisé, moins de pollution, moins de bouchons, vie agréable, c’est tout le contraire qui s’est produit. Bouchons à répétition, pollution accentuée, habitants stressés et vie économique en chute libre avec des situations alarmantes pour nombre de commerces dont le nôtre. Nous subissons ce Plan faubourgs imposé et non-concerté. Ces sens interdit ou unique empêchent nombre de nos clients d’aller et venir et les enjoints à plus s’engager dans ce labyrinthe. Notre chiffre d’affaires a chuté de 60 à 70%. La mairie d’Avignon reste sourde aux nombreux appels au secours. Nous allons tout perdre si rien n’est fait rapidement. C’est la destruction quasi-totale du tissu économique de proximité qui est visé indirectement par ce plan’.»

Europrix a commencé à débaucher
«La directrice d’Europrix que j’ai rencontré cet après-midi et qui a repris le supermarché après le décès de son mari, m’a expliqué : ‘J’enregistre une perte de 40% de mon chiffre d’affaires et je pioche dans les réserves pour boucler les fins de mois depuis la mise en place du Plan faubourgs. Personne n’est venu nous voir. A ce rythme-là je tiendrai jusqu’en juin et encore… Nous sommes pourtant le poumon économique de la Rocade. L’entreprise qui employait 35 salariés il y a 3 ans n’en compte désormais que 20’.»

C’est toute l’agglo qui va mal
«Une entreprise qui ne peut pas accéder à Saint-Ruf, qu’elle soit de Velleron, de Saze, de Morières ou de Sauveterre, c’est toute l’agglo qui va mal. J’ai proposé au préfet de Vaucluse ainsi qu’à Cécile Helle, le 20 janvier dernier, que le Grand Avignon diligente une étude de circulation puisque les travaux sur le pont Daladier vont impacter bien plus largement le territoire avignonnais ainsi qu’une concertation publique.»

Des pétitions aussi
«Une pétition citoyenne circule sur les réseaux sociaux et tout récemment, le curé de l’église Saint-Ruf a ouvert les portes de la salle paroissiale pour apaiser les tensions et essayer de trouver des solutions, rappelle Anne-Sophie Rigault lors de son intervention. Il est encore temps de stopper l’hémorragie et de sauver ce qu’il est encore possible de sauver à condition de le vouloir. J’invite tous les vice-présidents à s’emparer du problème et à tout mettre en œuvre pour trouver des solutions.»

Baudouin Ardillier, curé de Saint-Ruf 3.0 en trottinette électrique

Dernière minute
Même son de cloche du côté de la plus ancienne pharmacie d’Avignon installée avenue de la Trillade depuis 1962. -autrefois appelée Pharmacie Dubois- et désormais l’officine de Valérie Defert, pharmacien, qui se désespère car depuis la mise en place du Plan faubourgs et surtout la mise en sens unique de l’avenue de la Trillade, le commerce de santé a perdu 40% de son chiffre d’affaires. « Nous sommes passés de 150 clients jours à 50, détaille Valérie Defert. Les gens ne viennent plus car ils sont pris en otages dans les embouteillages et mettent plus de 3/4 d’heure à regagner leur domicile, alors qu’ils habitent tout près ce qui les a fait renoncer à venir. Ils m’ont également fait remarquer qu’ils ne pouvaient pas venir ni en bus, ni en tram, ni en vélo car leurs prescriptions ou traitements sont parfois trop lourds. La pharmacie va disparaître sans que personne ne bouge une oreille. J’ai bien adressé une lettre en recommandé avec accusé de réception à madame le maire Cécile Helle, hélas restée sans réponse. Je me suis résignée à faire circuler, à mon tour, une nouvelle pétition. » Quand on lui demande : « Des bouchons routiers se forment-ils devant chez vous ? » Valérie Defert répond : Devant l’officine ? Il n’y a rien, c’est mort. »

La pharmacie de la Trillade a perdu 40% de son chiffre d’affaires depuis la mise en sens unique de l’avenue dans le cadre du Plan faubourgs de la mairie d’Avignon

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