2 août 2025 |

Ecrit par le 2 août 2025

Abbé Pierre, Pacte du pouvoir de vivre ce jeudi 10 février à Avignon

La plénière du Pacte du pouvoir de vivre aura lieu ce jeudi 10 février à Avignon en présence de Marie-Aleth Grard, présidente ATD Quart Monde, association qui, depuis 1957, lutte pour mettre fin à l’extrême pauvreté et construire une société plus juste, qui respecte les droits fondamentaux et l’égale dignité de tous.

Ils seront là
Seront présents à ses côtés Laurent Berger, secrétaire-général de la CFDT, président de la confédération européenne des syndicats et Christophe Robert, délégué général de la Fondation de l’Abbé Pierre. L’association, créée en 1987 agit pour permettre à toute personne défavorisée d’accéder à un logement décent et à une vie digne.

Le pacte du pouvoir de vivre
Initié le 5 mars 2019, le Pacte du Pouvoir de Vivre comprend plus de 60 membres organisations de la société civile portant 90 propositions et visant à répondre à l’urgence sociale, écologique et démocratique de la France. Pendant les campagnes présidentielle et législatives, le Pacte du pouvoir de vivre va agir au niveau national et aussi spécifiquement en Provence-Alpes-Côte d’Azur, pour que ses propositions soient au cœur des débats. Objectif : Créer un nouveau modèle de société plus juste et plus respectueux de la planète. Le débat portera sur ‘Le pacte du pouvoir de vivre : une alliance inédite’ et ‘9 millions de personnes en situation de pauvreté : un choix politique ?’

Les infos pratiques
Pacte du pouvoir de vivre. jeudi 10 février. A partir de 13h30. Une après-midi de débat. Novotel Avignon Centre. 20, boulevard saint-Roch. Inscriptions ici.
pactedupouvoirdevivre@cfdt-paca.pactedupouvoirdevivre.fr
MH


Abbé Pierre, Pacte du pouvoir de vivre ce jeudi 10 février à Avignon

Après deux années d’absence pour cause de crise sanitaire, les attractions de Luna park reviennent à Avignon sur les allées de l’Oulle.

Luna park regroupe 80 des meilleures attractions pour divertir tous les publics, petits et grands. Jusqu’au 13 mars, le parc est ouvert tous les jours de 14 heures à 19 heures. Quatre nouveautés cette année. Le ‘Surf party’, une sauterelle à 8 bras, mesurant 16 mètres de diamètres et « consommant 80A de moins que ces grandes sœurs à 12 bras », selon l’association Luna park. Mais aussi une balançoire en forme de bateau pirate, une rotation à 360°, et un manège Avengers. Le président de l’association du Luna park et premier vice-président du syndicat national des professionnels de la fête, Michel Rabat, espère que les confinements sont bel et bien derrière nous.

Cette vidéo du Xfactor est la copie exacte de l’Aengers selon l’équipe de Luna park.

Plus d’informations, cliquez ici.

L.M.


Abbé Pierre, Pacte du pouvoir de vivre ce jeudi 10 février à Avignon

Succès franc. La 2ème édition du concours des bières d’Avignon s’est déroulée le samedi 5 févier dans l’enceinte de la brasserie de l’IUT à Agroparc et a réuni les foules. 47 brasseries étaient représentées et 196 échantillons ont été goûtés. Les dégustateurs, répartis sur 13 jurys, ont finalement décerné 113 médailles : 40 or, 43 argent et 30 bronze. La liste complète des médaillés est à retrouver sur le en cliquant ici.

C’est plus que la première édition qui s’était déroulée en mai 2021 dans les locaux de la Maison de l’agriculture de Vaucluse. Le jury, qui devait départager 121 échantillons provenant de 27 brasseries de France et de Belgique, avait finalement attribué 56 médailles. Derrière ce nouveau concours des bières artisanales, il y a le concours des vins d’Avignon et tous les membres du comité d’organisation réunis autour du président José Gonzalvez. Pour l’occasion, un partenariat a vu le jour avec l’association Pumba prod, organisatrice du salon ‘Un Amour de brasseur » à Carpentras et du Festival de la bière de goût de Pernes-les-Fontaines.

« Chez votre caviste ou en magasin, vous avez certainement déjà vu apposés sur certaines bouteilles de bière des écussons avec la mention ‘Médaille d’or Paris’ ou « World beer award » par exemple. Notre ambition n’est pas de rivaliser avec ces concours déjà bien établis mais d’apporter une approche différente dans le monde des bières artisanales », indique l’équipe organisatrice du concours. Reconnu par les autorités européennes en 1992, le concours des vins rassemble en moyenne chaque année quelque 1000 échantillons de vins qui proviennent de trois régions viticoles : Vallée du Rhône, Provence et Languedoc.

Lire aussi : Avignon, Concours de bières artisanales

L.M.


Abbé Pierre, Pacte du pouvoir de vivre ce jeudi 10 février à Avignon

Après avoir investi les quatre continents et fondé plusieurs entreprises au service de l’humain, Dominique Brogi poursuit le chemin de ses convictions. Les mêmes qui la conduisent aux législatives de 2022.

« Disruptive », le terme résonne dans la salle un bon nombre de fois. Open space spacieux, cartons de marchandises soigneusement rangés, Dominique Brogi nous reçoit dans son fief à Agroparc. La ‘globe-trotter’ déborde d’une énergie contagieuse, gratifie d’un tutoiement naturel, vous plonge dans les méandres de sa vie. Entrepreneure dans l’âme, toutes ses aventures ont un point commun : l’entraide.

C’est officiel, la conseillère régionale de Paca est candidate LR dans la 1ère circonscription de Vaucluse, au côté d’Elisabeth Amoros, Gilles Veve, Julien Aubert, Roger Rossin, Jean-Claude Bouchet ayant souhaité « passer le relais ». « C’est la première fois que je fais une campagne, je suis arrivée là-dedans par un enchainement de choses. Je ne me suis pas réveillée un matin avec un déclic, c’est une suite logique », nous confie Dominique Brogi. L’entrepreneure entend mettre à profit son parcours de chef d’entreprise, sons sens de l’analyse pour trouver des solutions aux problématiques de sa circonscription. « A 56 ans, je rentre dans un environnement où je n’ai aucune zone de confort », souligne-t-elle.

« J’entends et je comprends que les gens en ont marre de la politique. On retrouve très souvent les mêmes personnes, aux mêmes endroits, avec des mandats différents », déplore la candidate. L’expérience de vie, la maturité, un logiciel déconstruit et une vision neuve, les planètes semblent être alignées. La comète Julien Aubert ne tardera pas à lui tendre la main pour les législatives de juin. Le président LR de Vaucluse lui confiera alors : « je pense que tu peux être celle par qui la différence peut arriver ».

Dominique Brogi est conseillère régionale de Paca, déléguée à l’égalité femmes-hommes.

Aux quatre coins de la planète

Un globe terrestre. Enfant, elle le tourne des heures durant dans sa chambre, positionne les pays, apprend par cœur leur nom. Cette sphère anodine lui donnera le goût de l’aventure et ouvrira ses horizons. A quoi ressemble la vie ailleurs ? Celle qui naît à Madagascar arrive en France à l’âge de 3 mois. Elle grandit dans un quartier populaire, élevée par sa maman avec des moyens très modestes. « Je n’ai manqué de rien, mais la viande par exemple, c’était une seule fois par semaine », se remémore-t-elle. Très vite, Dominique Brogi se découvre une passion : les langues. Son accent naturel et la richesse de son vocabulaire la conduisent tout droit vers un bac littéraire avec 3 langues vivantes, puis un BTS Commerce international à Grenoble.

Au sortir des études, elle jette son dévolu sur l’Angleterre avant d’aller à Montréal. L’oiseau s’envole, dort par terre dans un 30m², faute de moyens pour s’acheter un matelas tout de suite. « J’étais très fière d’être indépendante », conte Dominique Brogi qui fait très vite ses preuves. Elle devient directrice générale des ventes à l’international à seulement 21 ans. Suivront des voyages d’affaires dans tout le globe. « L’avion, c’était ma maison et le fil conducteur d’une telle vie est la solitude liée à la délocalisation et les temps de voyage », explique-t-elle.

Explorant des environnements et des cultures différentes, Dominique Brogi écoute les aspirations et les besoins de chacun. La trajectoire est celle d’une entrepreneure animée par cette volonté de changer les choses. « C’est un tempérament qui s’est imposé à moi, c’est l’histoire de ma vie, aider depuis que je suis petite, quel que soit le milieu », indique l’élue. En France, l’extravertie à l’américaine, l’enthousiaste naturelle détonera dans un environnement plus mesuré. « Ceci dit, une fois que tu casses cette première barrière, une relation quasiment fusionnelle se crée », relativise-t-elle.

Dominique Brogi porte le programme de Valérie Pécresse, candidate LR aux prochaines présidentielles. Photo: DR

L’aventure ‘Monshérif

Après dix années passées à Tahiti, direction Paris. Dominique Brogi se voit confier un mandat dans une société éditrice de solutions digitales. En 2013, elle crée un réseau nommé Fabtown (la ville fabuleuse) qui met en relation, par des notifications et une carte dynamique interactive, les personnes selon leurs centres d’intérêts. Des fonctionnalités révolutionnaires à l’époque. L’application permet également l’entraide autour de sujets graves ou le partage de services. Suivra le même principe au service des collectivités avec l’application en marque blanche FabVille, précurseur des applications citoyennes disponibles partout aujourd’hui.

En mai 2016, la chef dentreprise donne naissance à ‘Monsherif’. Le dispositif qui prend la forme d’un bouton connecté sera démocratisé en 2018. ‘Monsherif’ permet à partir de simples clics discrets et géolocalisés de communiquer, d’alerter et de récolter des preuves, sans avoir à se saisir de son téléphone, car l’urgence ne le permet pas. « Les personnes victimes de violences, les joggeuses agressées, les situations de handicap, l’accident, la chute, l’AVC, ou encore la détresse respiratoire liée à la Covid19 : si on a un bouton sur soi, on peut appuyer dessus sans avoir à parler pour alerter son entourage, on peut agir rapidement », explique-t-elle.

Pourquoi être venue s’installer en Vaucluse ? Tout est question de logistique. Se faire livrer les boutons connectés en plein centre de Paris, le défi relève de la gageure. « Étant tombée sous le charme du Vaucluse, rejoindre le Technopôle d’Agroparc était une évidence », précise-t-elle. Dès les prémices, l’écosystème économique vauclusien croit fermement à cette solution. En septembre 2021, la bonne nouvelle tombe et vient couronner le labeur : ‘Monsherif’ est récompensé par le prix ‘Tech for women’ remis à l’Unesco.

Le 30 septembre dernier Monsherif a été récompensé du prix ‘Tech for women’. Photos DR

Aujourd’hui, une quinzaine de personnes s’emploient à développer la solution dans l’hexagone. « Quand des personnes m’expliquent leur calvaire jusqu’au moment où elles ont ce bouton entre les mains, je me sens tellement petite, je visualise encore tout ce qu’il reste à accomplir. J’irai jusqu’au bout, pour toutes les personnes vulnérables qui ont besoin de ça », conclue-t-elle en brandissant la version ‘Monsherif’ en bijou scintillant connecté.

Quand la Région se manifeste

Entre temps, Dominique Brogi est élue ‘Femme numérique du Vaucluse’. « J’ai continué à faire mon bonhomme de chemin dans la discrétion, je ne connaissais pas du tout l’écosystème vauclusien. Je poursuivais mon travail pour permettre aux gens de gagner en sérénité et en liberté au quotidien », raconte l’élue. Une convention avec le Tribunal judiciaire d’Avignon voit le jour, avec l’association d’aide aux victimes l’Amav 84. La Maison de protection tenue par la gendarmerie de Carpentras suivra.

En juin 2021, en pleine campagne, Renaud Muselier entend des échos. Une femme a créé une solution inédite au service de la sécurité des citoyens, elle innove, prend des risques et gagne des prix. Sur proposition du président de la Région Paca, la voilà quelques temps après plongée au Conseil régional, « je me suis dit que cela pouvait être une suite logique dans mon engagement. » Dominique Brogi devient conseillère régionale déléguée à l’égalité femmes-hommes, elle siège notamment à la commission ‘sécurité, défense’, et ‘transports et ports’. Pour éviter tout conflit d’intérêt, elle structure la gouvernance de Monshérif, « je resterai toujours l’ambassadrice, c’est mon bébé ».

De gauche à droite : Dominique Santoni, présidente du Département, Bertrand Gaume, préfet de Vaucluse, Thierry Lagneau, maire de Sorgues et Dominique Brogi, lors de la campagne de vaccination en Vaucluse.

Avignon, le « miroir » de la France

De fil en aiguille, la volonté se fait plus prégnante : elle sera candidate aux législatives. De l’aveu de Dominique Brogi, « Avignon est le miroir de la France », avec tout ce qu’elle a de plus beau à offrir : un patrimoine « d’une richesse incroyable », une géographie et des paysages « à couper le souffle ». « A côté de ça, tous les problèmes se concentrent de manière très dense : la pauvreté, la dépendance aux aides sociales, l’insécurité… On a tendance à oublier le bon sens : le bien-être des habitants au quotidien. Est-ce que l’on a bien réfléchi ? En matière de transports, de piétonnisation, de logements sociaux. Comment rendre Avignon vraiment agréable, pouvoir se loger facilement, bouger, s’y sentir en sécurité ? », autant de questions que l’élue met sur la table.

L’approche se veut différente : « je pose un problème, je n’arrive pas en conquérante. Je ne me présente pas à l’élection pour être maire d’Avignon. Je prends une circonscription qui sert de zone d’analyse, avec de la remontée d’informations, pour faire enfin des textes de loi dans le sens de ce qui est attendu par la population », explique-t-elle. En matière de vision, Dominique Brogi épouse celle de la cheffe de l’exécutif, dont la carrière a débuté en agence de publicité. « Dominique Santoni est une femme de terrain, elle se fiche de connaître le parti politique en face d’elle quand on lui soumet une proposition », juge l’élue.

« Je ne me présente pas à l’élection pour être maire d’Avignon. »

« Je ne m’estime absolument pas légitime pour avoir des vues sur la fonction de maire d’Avignon, même si je vis ici depuis six ans. En revanche, mon expérience de vie fait ma force pour agir », précise celle qui porte le programme de Valérie Pécresse. « Je le dis à tout le monde : je ne veux pas faire une carrière politique, mais une action politique, ce n’est pas pareil », abonde-t-elle.

La circonscription représente pour Dominique Brogi un territoire animé de défis qui appellent à l’action, une cartographie pour « faire bouger les choses au niveau national et renverser la vapeur ». Et d’ajouter : « Mon enjeu, c’est d’être à l’écoute de chaque personne de cette circonscription. » Avec Valérie Pécresse, Dominique Brogi partage le ‘Faire’, ou la réflexion, la prise de décision, suivie de l’action. « Elle préside la plus grosse région d’Europe. Son parcours est remarquable. Elle est discrète, efficace, pragmatique », énumère Dominique Brogi.

Des bassesses, des mesquineries ? « J’en ai eu toute ma vie. En entreprise, on ne te fait pas de cadeau, encore plus quand tu es une femme. Mais je continuerai toujours à m’engager et à tout donner », conclue la candidate.

Présentation au prix Tech for Women « Agir pour l’égalité » de Marie Claire remporté par Monshérif

Abbé Pierre, Pacte du pouvoir de vivre ce jeudi 10 février à Avignon

L’association Villes & villages où il fait bon vivre vient de dévoiler son palmarès 2022 des communes de France métropolitaine. Un classement où Avignon et de nombreuses autres communes de Vaucluse figurent en bonne position.

Avec 187 critères répartis dans 9 grandes catégories (qualité de vie, sécurité, santé, commerces et services, transports, éducation, sports et loisirs, solidarité, attractivité immobilière), la méthodologie mise en place par l’association ‘Villes & villages où il fait bon vivre’ permet de dresser un état des lieux de la qualité d’accueil et d’attractivité des 34 827 communes hexagonales.
Dans ce palmarès où Angers, Annecy et Bayonne s’octroient les 3 premières places, Avignon se distingue en obtenant la 11e place. La Cité des papes perd toutefois 2 places par rapport à l’année précédente mais figure tout de même en 4e position des 79 villes de sa strate (communes de 50 000 à 100 000 habitants).
Derrière, 9 autres communes vauclusiennes apparaissent dans le top 1 000 (voir ci-dessous). Et quand l’on compare aux communes de leur state, Carpentras (61e), Cavaillon (89e), Le Pontet (25e) et Saint-Saturnin-lès-Avignon (54e) apparaissent dans le top 100 de leur catégorie respective.
En Vaucluse, c’est le village de Goult (+2 505 places) qui affiche la plus importante progression dans ce classement national. A l’inverse, Sivergues enregistre le plus fort recul (-2 328 places).

Retrouvez le classement complet des 151 communes de Vaucluse, cliquez ici.

Le Vaucluse affiche sa qualité de vie
Avec un mode d’évaluation privilégiant notamment l’accessibilité aux services, ce sont plutôt les communes urbaines et péri-urbaines qui figurent en tête du classement départemental des villes & villages où il fait bon vivre. Cependant, l’observation du classement national fait aussi apparaître une importante montée en puissance de la qualité de vivre en Vaucluse. En effet, plus des deux tiers des communes du département (103 sur 151) progressent dans le palmarès national. La tendance est encore plus forte quand on détaille par taille de ville. Ainsi, Carpentras, Cavaillon et Orange sont toutes à la hausse dans la catégorie des villes de 20 000 à 50 000 habitants. Seul Pertuis est en légère baisse. Même dynamique pour les villes de 10 000 à 20 000 où 6 communes sur 7 sont en hausse au niveau national. Elles sont 11 sur 13 dans la strate 5 000 à 10 000 habitants, 9 sur 10 pour celle de 3 500 à 5 000 habitants, 13 sur 18 pour 2 000 à 3 500 habitants, 37 sur 57 pour 500 à 2 000 habitants et 22 sur 41 communes de 0 à 500 habitants (détails des classement par catégorie : voir ci-dessous)

Carpentras est la ville de 20 000 à 50 000 habitants où il fait le plus bon vivre en Vaucluse. La capitale comtadine se classe au 167e rang national et 61e rang de sa catégorie. © Hocquel A. VPA
Malgré un léger recul au niveau national, Le Pontet reste la commune de 10 000 à 20 000 habitants où il faut le mieux vivre dans le département.© Hocquel A. VPA
En 2022, Entraigues-sur-la-Sorgue en tête de la catégorie des villes de 5 000 à 10 000 habitants. © mairie Entraigues
Dans la strate des villes vauclusiennes de 3 500 à 5 000 habitants, c’est Saint-Saturnin-lès-Avignon qui arrive encore en tête cette année. © Gerald Villena-Adobe stock
Châteaneuf-de-Gadagne gagne 49 places dans sa catégorie au niveau national. En Vaucluse, la commune garde la tête de la catégorie 2 000 à 3 500 habitants. ©HOCQUEL A.-VPA
Avec 2 505 places gagnées au niveau national en 1 an (+1 240 places dans la catégorie des villages de 500 à 2 000 habitants où Jonquerettes se classe en tête dans le département), Goult est la commune vauclusienne qui a le plus progressé dans le palmarès 2022 de l’association ‘Villes & villages où il fait bon vivre’. © Hocquel A. VPA
Dans les communes de 0 à 500 habitants c’est à Saint-Hippolyte-le-Graveyron qu’il fait le mieux vivre en Vaucluse selon le classement 2022 de l’association ‘Villes & villages où il fait bon vivre’.

Abbé Pierre, Pacte du pouvoir de vivre ce jeudi 10 février à Avignon

L’hôtel des ventes d’Avignon propose, cette semaine, des tableaux anciens, du mobilier et des objets d’art particulièrement recherchés comme ce tableau de Charles-François Lacroix pour son paysage portuaire avec deux orientaux, (Marseille vers 1700 Berlin après 1784) Paysage portuaire avec deux orientaux. Dimensions 47,8×63,5cm. 10 000/15 000€. Il y a aussi ce tableau attribué à Adriaen Van Stalbemt (1580-1662) ‘Vénus armant l’Amour’ sur panneau de chêne parqueté avec son cadre d’époque Louis XIV en bois sculpté et redoré de dimensions 48,5×73,5cm et estimé entre 6 000 et 8 000€. On craque pour ce tableau attribué à Bernardo Cavallino de l’école Napolitaine XVIIe siècle dont les dimensions sont 76x62cm pour une estimation comprise entre 4 000 et 5 000€.

Les bijoux
Au chapitre des bijoux nous avons repéré une magnifique minaudière en argent émaillé et diamant d’époque Art Déco estimée entre 800 et 1 000€. Une paire de dormeuses en or et platine ornées chacune d’u diamant TA de 1,2 carat environ, la paire est estimée entre 2 000 et 3 000€.

On est curieux
D’entendre cet incroyable piano droit mécanique à cylindre interchangeable JB Blance et R Goffart à Valenciennes. C’est un piano ‘La victoire’ N°3424 époque fin XIXe estimé entre 500 et 600€. Ce sera également la même mise à prix pour ce Léon Mougenot, un violon fait à Mirecourt en 1927. 

Collection de petits bronzes animaliers
Ils sont ravissants ces petits bronze animaliers de XIXe siècle dont certains sont signés Antoine-Louis Barye, Auguste Caïn, Théodore Getcher, Pierre-Jules Mène…

Les infos pratiques
Hôtel des ventes d’Avignon. Samedi 5 février de 9h30 à 14h15. Tableaux anciens, mobilier et objets d’art. Succession de Monsieur de la L et divers. Exposition vendredi 4 février de 10h à 12h et de 14h à 18h ainsi que le matin de la vente de 9h à 9h30. Patrick Armengau, commissaire-priseur. Courtine 2, rue Mère Teresa à Avignon. 04 90 86 35 35 www.avignon-encheres.com et www.interencheres.com/84001

Prochaines ventes
Samedi 12 mars pour des tableaux et art moderne du XXe siècle ; Samedi 9 avril pour du mobilier et des objets d’art ; Lundi 25 avril pour des automobiles de collection ; Samedi 21 mai pour des bijoux, accessoires et art de la table ; Jeudi 2 juin timbres et cartes postales ; Samedi 18 juin mobilier et objets d’art.
MH

Vierge à l’enfant attribuée de Bernardo Cavallino, école Napolitaine du XVIIe siècle


Abbé Pierre, Pacte du pouvoir de vivre ce jeudi 10 février à Avignon

Dans le cadre de la préparation annuelle de l’élection de juges au Tribunal de Commerce d’Avignon, la CPME 84 (Confédération des petites et moyennes entreprises de Vaucluse) lance un appel à candidature afin d’intégrer cette fonction.

Pour rappel, le Tribunal de Commerce est la juridiction spécialisée du premier degré, composée de juges élus par les dirigeants d’entreprise. Elle tranche les conflits entre commerçants ainsi que les litiges relatifs aux actes de commerce et statue en matière de défaillance des entreprises.

Juge durant 2 ans
Les juges des Tribunaux de Commerce sont élus pour une durée de 2 ans avec la possibilité de 3 renouvellements de 4 ans.

Pour être éligible
les candidats devront remplir les conditions prévues par les articles L723-4 ; L723-5 ; L723-6; L723-7 et L723-8 du code de commerce, soit entre autres :
Etre âgés entre 30 ans et 75 ans ; Justifier soit d’une immatriculation pendant cinq années au moins au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers, soit de l’exercice, pendant une durée totale cumulée de cinq ans ; Etre inscrits sur les listes électorales des chambres de commerce et d’industrie et des chambres de métiers et de l’artisanat dressées dans le ressort du tribunal de commerce ou dans le ressort des tribunaux de commerce limitrophes ; Ne pas exercer la fonction de conseiller prud’hommes.

Enjeux majeurs
Face aux enjeux majeurs de cette fonction essentielle pour l’équilibre de l’économie locale, les candidats devront impérativement être dotés : D’une disponibilité suffisante (1 journée par semaine en moyenne est à prévoir) ; D’une bonne expérience de la gestion d’entreprise ; D’un sens de l’engagement, de l’intégrité, de l’humilité et de l’exigence ; D’une forte capacité de rédaction et de synthèse ; D’une aisance avec l’outil informatique. Le candidat H/F devra s’engager en vue d’accomplir cette mission dans la durée ainsi qu’à suivre les formations proposées, nécessaires et obligatoires.

Pré-candidater ?
Vous êtes invités à vous faire connaître sur contact@cpme84.org CPME84, 4-6, avenue de ma Reine Jeanne à Avignon.
MH


Abbé Pierre, Pacte du pouvoir de vivre ce jeudi 10 février à Avignon

Le chef étoilé des lieux, Florent Pietravalle, recevra au sein de ses cuisines, Cyril Attrazic,
chef étoilé au Guide Michelin à Aumont-Aubrac, pour un voyage culinaire entre leurs univers de jeunes grands chefs prodiges de la gastronomie française ! 

Cyril Attrazic, tout comme Florent Pietravalle, sont tous deux récompensés d‘une étoile et d’une étoile verte au Guide Michelin. Passionnés par les produits dans leurs écosystèmes et sensibles aux enjeux environnementaux, leur cuisine est faite d’expériences, de technicité et d’émotions en accord avec leurs territoires au gré des saisons.

«Ici en Aubrac, relève Cyril Attrazic, on est sur un territoire traditionnel d’élevage avec des exploitations à taille humaine. À l’heure où on parle beaucoup d’éco responsabilité, on développe la nôtre sur le bœuf.»
« La cuisine ce n’est pas copier la nature mais c’est apprendre à travailler avec elle, souligne Florent Pietravalle. On a créé un écosystème qui nous porte au quotidien au restaurant. Je décide de mes cartes main dans la main avec mes producteurs. »

Les infos pratiques.
Repas à 4 mains. Ce jeudi 3 février au soir. 180€. La Mirande, 4, place de l’Amirande à Avignon. 04 90 14 20 20 Réserver ici.
MH

DR

Abbé Pierre, Pacte du pouvoir de vivre ce jeudi 10 février à Avignon

Les équipes de l’Institut du cancer Sainte-Catherine avaient promis de faire toute la lumière, de publier tous les chiffres sur la 2e édition du Gala ‘Fourchettes & rubans’. L’événement caritatif organisé au profit de l’innovation en cancérologie a récolté plus de 109 000€. Prochain rendez-vous vendredi 25 novembre 2022, même heure, même endroit. Mais avant Sainte-Catherine propose la 2e édition du ‘Dîner de chefs à la maison’ qui aura lieu les vendredi 29 et samedi 30 avril 2022.

Lors de la 2e édition du Gala ‘Fourchettes & rubans’ 34 chefs dont 7 étoilés, 4 meilleurs ouvriers de France et 2 maîtres cuisiniers de France avaient œuvré pour un dîner d’exception dévolu aux acteurs économiques de Vaucluse. 360 convives liés à l’entreprise –dont 66 particuliers- confortablement installés dans la salle du Grand Tinel du Palais-des-papes. Résultat ? 109 000€ récoltés pour créer une plateforme à destination des patients ‘Hors les murs’.

Pour quoi faire ?
«Dès aujourd’hui et encore plus demain, le malade du cancer sera amené à recevoir ses traitements à domicile, assure Daniel Serin, oncologue, radiothérapeute et vice-président de Sainte-Catherine. Une innovation due aux nouvelles molécules prises par voie orale via un pilulier électronique individualisé. La remontée du vécu du traitement, de son suivi médical, de ses effets secondaires éventuels nécessiteront la création d’une plateforme numérique au service du malade, de ses proches comme de ses soignants de proximité. Hors les murs de Sainte-Catherine, oui mais en contact constant grâce au numérique avec plateforme professionnelle à son écoute, chargée d’entendre ses demandes et de répondre à chacune de ses questions.»

On se souvient
Bien sûr, on se souvient de l’objet connecté créé par l’actuel président de Sainte-Catherine, Roland Sicard qui avait présenté, en septembre 2020, le pilulier intelligent, dénommé Thess (Therapy smart system).
«Thess dispose d’un brevet mondial, avait alors précisé Roland Sicard, président de Thess corporate. Le tout premier système pouvant garantir une dispensation ajustable à l’unité et à distance des médicaments solides. Les hôpitaux pourront accéder de cette solution numérique dès juillet 2021,» avait promis le chef d’entreprise qui avait proposé quelques piluliers à l’essai à l’institut du cancer Sainte-Catherine.
«Thess est produit chez SGH Healthcaring à Saint-Marcellin (38), concepteur de dispositifs médicaux innovants, spécialiste de l’administration du médicament et du complément alimentaire de formes sèche et liquide, respiratoire, diagnostique et pré-analytique et e-santé. L’objet connecté coûte entre 600 et 800€ «le prix d’un smart-phone», précisait son concepteur pour une durée de vie de 3 à 4 ans, rechargeable sur batterie. Le coût du conteneur jetable est de 5€. Le dispositif «entièrement recyclable» devrait être remboursé par l’Assurance maladie.»

Le Therapy smart system DR

Les chiffres du Gala
109 750€ collectés dont 82 750€ via la réservation des tables, 52 790 grâce aux enchères –réalisées par Patrick Armengau, commissaire-priseur avignonnais et 16 140€ via les tickets de tombola. Les objets mis aux enchères étaient très séduisants comme une raquette de Raphaël Nadal partie pour 8 000€, un tableau de Stéphane Testa pour 7 500€ ; une photographie de Jan Gulfoss pour 5 200€, un collier et des boucles d’oreilles de la joaillerie avignonnaise Doux pour 5 000 et 4 200€.

Si l’on compare à 2019 ?
60% des entreprises présentes en 2021 l’étaient aussi en 2019, côté particuliers ils étaient 51% à s’être représentés. Si le Gala ‘Fourchettes & ruban’ est dévolu aux acteurs économiques de Vaucluse, le ‘Dîner de chef à la maison’ est lui, dédié aux familles. Ce dernier avait permis de collecter, en avril 2021, 25 000€ pour la distribution de 653 repas gastronomiques.

Au menu ?
Au titre de l’apéritif il y avait une tartelette Saint-Jacques et son céleri Tandoori. ‘Comme au pot-au-feu’ proposait une pince de betterave multicolore avec sa brousse et ses noisettes et un Finger d’agneau façon tajine. La Mise-en-bouche faisait apparaître un velouté glacé aux truffes. Puis il y a eu un Foie gras de canard et truite fumée en habit végétal accompagnés de radis colorés, le tout servi avec un bouillon Dashi. Le plat était suivi d’un dos de saumon mi-cuit avec son sabayon de cèpes et une tuile pralin de cèpes. Le filet de veau truffé roulé dans son lard paysan arborait une échalote caramélisée et des girolles au miel de châtaigner avec son jus corsé. ‘On y danse’ a fait fondre les convives avec sa farandole de textures de l’or noir de Madagascar et sa glace à l’infusion de fèves de cacao.

Les vins servis dans l’ordre du menu
Ce furent l’AOC Clairette de Die Tradition, Jaillance, cuvée bio GD39 ; l’AOC Ventoux Terra Ventoux les 5 terroirs 2020, blanc ; l’AOC Côtes du Rhône Villages Laudun, Maison Sinnae, éléments Luna 2020, Blanc ; l’AOC L’Hermitage, domaine des Remizières, cuvée Emilie 2020, blanc ; l’AOC Saint-Joseph, E. Guigal 2018, rouge et l’AOC Vin doux naturel rasteau, Ortas, Signature 2016, rouge.

Les co-organisateurs 
Ils se nomment Eric Louis pour Helen traiteur, Isabelle Maridet pour PO, David Bérard pour Happening sud, Benjamin Perles pour Cote magazine et le chef Christian Etienne.

Les partenaires
Avignon tourisme congrès, CBA le digital pour les métiers de la santé en libéral, Rose et Marius, MLC Agency, InterRhône, Erneste, De Rudder imprimerie, Hôtel des ventes d’Avignon, Truffières de rabasses, Saumon écossais Label rouge, Chocolaterie de l’Opéra, 808 pureté minérale, Maison Violette, groupe Rouby, Hawecker meilleur ouvrier de France, Les truites de l’Isle-sur-la-Sorgue.

Grâce à eux
Les chefs qui ont soutenu le gala par leur talent ? Pascal Auger (Hôtel d’Europe), Pascal Barnouin (Maison de la Tour Avignon), Thierry Baucher (Mof), Marc Bayon(Groupe Frères Blanc à Lyon), Sébastien Beaupère (Maison Violette Avignon), René Bergès (La table de Beaurecueil), Benjamin Brussiaud (Helen traiteur Avignon), Jean-André Charrial et Alain Burnel (Oustau de Baumanière aux Baux-de-Provence), Serge Chenet (Entre vigne et garrigue à Pujaut), Olivier Combe (Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon), Bruno d’Angelis (Consultant, Avignon), Mathieu Desmarest (Pollen, Avignon), Christian Etienne (Maître cuisinier de France), Pascal Ginoux (Consultant, Avignon), Julien Gleize (L’Agapê, Avignon), Frédéric Hawecker (Pâtisserie chocolaterie Hawecker à Châteaurenard), Daniel Hebet (Le jardin du quai à l’Isle-sur-la-Sorgue), Philippe Houy (Château d’Arpaillargues),Robert Lallemand (La Petite auberge, Noves), Claude Lambert (La Tonnelle, les Angles), Patrice Leroy (Ecole hôtelière Avignon),Edouard Loubet (Le Grizzly à Manigod), Olivier Marbaud (Helen traiteur à Avignon), Xavier Mathieu (Le Phébus à Joucas), Michel Meissonnier (L’Hermitage, les Angles), Philippe Parc (Consultant, formateur pâtisserie, Avignon), Christian Peyre (Le domaine de Bournissac, Paluds de Noves), Michel Philibert (Le Gajulea, le Barroux), Florent Pietravalle (La Mirande, Avignon), Michel Receveur (Ecole hôtelière, Avignon), Francis Robin (Le Mas du soleil, Salon-de-Provence), Stéphanie Roch (Mas l’échanson, Châteaurenard), Eric Sapet (La petite maison de Cucuron) Guilhem Sevin (Restaurant le Sevin à Avignon), Jeoffrey Valenziano (Helen Traiteur, Avignon).

Bâtiment ambulatoire de Sainte-Catherine, Institut du cancer à Avignon

Un établissement pro-actif
Difficile de parler de Sainte-Catherine tant l’établissement brasse de vies. Parce que là-bas ont fait tout pour se sortir du cancer. A tel point que l’Institut est classé dans les centres les plus performants de France. 30 000 consultations y sont données chaque année.

Aller à l’essentiel
Alors là-bas on va à l’essentiel. On dit la vérité. On soigne au mieux. On accompagne tout du long. Là-bas aussi la notion de patient aurait presque disparue ! On n’est plus obligé de ‘patienter’ comme un ancien bout d’humain en perdition qu’on appellerait par sa tumeur. Là-bas on est écouté. Dans les bureaux, on prend le temps d’expliquer et de dialoguer.

On n’y ‘patiente’ pas, on y vit
L’autre miracle ? Le corps et l’esprit sont appréhendés dans leur ensemble. On n’est plus réduit à sa tumeur. Du coup on est passé du sujet ‘patient’ passif qui subit, à l’humain qui existe, qui pense et qui co-construit son avenir avec les équipes en place. On évoque la mise en place de stratégies, les fameux protocoles et le recueil des sensations de la personne soignée pour adapter le traitement. Et en cela c’est déjà une révolution. Justement la Révolution ? C’est que l’Institut s’est carapaté hors les murs. Entendez qu’on s’y soigne plus à l’extérieur qu’à l’intérieur. On fait le nécessaire sur place puis après on vit sa vie chez soi. Mais on n’est pas abandonné, au contraire, les équipes se plient en quatre aussi à l’extérieur.

Des rémissions et des guérisons
Au bout du chemin ? Des rémissions, des guérisons et aussi la mort. Tous les cas de figure sont abordés sans chichis, sans œillères, sans dramaturgie, on collecte les faits pour comprendre mais avec une vraie profondeur humaine. On travaille sur la douleur beaucoup, sur le ressenti de la personne, sur le corps qui fatigue, mais même là-bas la mort n’est pas une impasse parce que les soins palliatifs –si peu accessibles en France- existent et que l’on peut préparer son départ avec le rappel des amis, de la famille et la discrète et efficiente présence du personnel.

Pour l’heure ?
On se retrouve au 1er étage du bâtiment principal, à l’amphi. Sous leur masque ils ont tous le sourire, on le voit aux plissements de leurs yeux. Au bout de deux ans on arrive même à se reconnaître. En webinaire, le visage du docteur Daniel Serin apparaît.

Ils étaient là
Isabelle Maridet, directrice de l’agence Provence organisation à Avignon ; Didier Limongi, directeur de la SAS Maurin à Montfavet ; Charlotte Daviau, DRH de CBA Information à Agroparc Avignon ; Caroline Birling, présidente de CBA Information à Agroparc Avignon ; Patrice Sapey, directeur général administratif de Sainte-Catherine – Institut du Cancer – Avignon-Provence ; Florence Jullian, directrice commerciale d’Avignon Tourisme ; Christian Étienne, maître Cuisinier de France ; Alain Burnel, retraité – ancien chef du restaurant l’Oustau de Baumanière aux Baux-de-Provence. En bas de la photo, Olivier Combe, Chef de la Maison Bronzini à Villeneuve-lès-Avignon et Eric Louis, président d’Helen Traiteur à Morières-lès-Avignon. (légende photo ci-dessus)

Ce qu’on fait à Sainte-Catherine ?
De l’oncologie médicale, de l’oncologie radiothérapie, de l’algologie, de l’onco-génétique, de l’hospitalisation, de la psycho-oncologie, des soins palliatifs avec l’unité Ventoux, des analyses médicales via le laboratoire, de l’information médicale, des consultations externes et de la nutrition. L’établissement assure les traitements médicaux du cancer, en particulier la radiothérapie et la chimiothérapie.

https://www.echodumardi.com/tag/avignon/page/176/   1/1