18 agences Manpower de la région Sud, dont celle d’Avignon, poursuivent l’opération de recrutement ‘Le vendredi du BTP’, afin de recruter près de 500 candidats dans le secteur du Bâtiment et des travaux publics.
Afin de répondre à la forte reprise d’activité dans ce secteur, cette journée portes ouvertes se tient chaque dernier vendredi du mois. Le vendredi 29 octobre se tiendra ainsi la 13e édition dans le Sud.
Quels postes ?
Les équipes Manpower rencontreront des candidats afin de répondre aux enjeux des entreprises locales qui peinent à recruter dans le secteur du BTP. Différents postes en CDI, CDI Intérimaire, CDD, Interim et alternance sont à pourvoir : maçons, maçons VRD (Voirie et réseaux divers), conducteurs de travaux, plombiers chauffagistes, manœuvres, manœuvres TP (Travaux publics), menuisiers, chefs de chantier, canalisateurs, coffreurs bancheurs, plombiers, plaquistes, menuisiers poseurs, chefs d’équipe, peintres en bâtiment, conducteurs d’engins.
Quel programme ?
Lors de cette journée, les candidats pourront échanger avec les agents de talents Manpower, découvrir les différentes opportunités d’emploi dans les métiers du BTP de leur région, et seront invités à faire du parrainage et de la cooptation. « Le secteur du BTP reprend des couleurs malgré la crise sanitaire. Les profils en travaux publics sont légèrement moins recherchés, et un fléchissement est apparu à l’automne en raison de cette année atypique qui a empêché le déploiement d’appels d’offre. Mais la dynamique de reprise est bien là, de grands projets sont à venir, et le constat de pénurie de compétences dans le secteur de la construction reste très présent », indique Nicolas Paillier, directeur de la Région Sud de Manpower.
Agence Manpower Avignon BTP et maintenance : 6 avenue de la gare, Avignon. Plus d’informations sur les offres de Manpower France, cliquez ici.
L.M.
Manpower réitère ‘Le vendredi du BTP’ à Avignon
Philippe Lechat vient de cesser ses activités d’expert-comptable et de commissaire aux comptes auprès d’Axiome Provence. Cet ancien Marxiste qui voulait savoir pourquoi les pays sont riches ou pauvres et pourquoi cela est aussi vrai pour les hommes va continuer d’écrire ses romans. Mais là, tout de suite, il dit ce qu’il a vécu, connu et ce vers quoi il va cheminer. Rencontre.
«Pourquoi ai-je choisi cette profession ? Quand j’étais jeune, j’étais Marxiste. Ce qui m’intéressait ? Savoir pourquoi il y avait des gens riches et des gens pauvres, des pays riches et des pays pauvres. J’ai rencontré un expert-comptable qui était un ami de mes parents. Il m’a dit : ‘Si tu veux savoir pourquoi les pays sont riches ou pauvres il te faudra faire de l’économie et pour savoir pourquoi les gens sont riches ou pauvres, en France, il te faudra faire expert-comptable. Ainsi tu verras comment se créent des fortunes, pourquoi des gens déposent le bilan, tu seras au cœur de la micro-économie’. Et cela m’a intéressé.»
Ce que m’a appris mon métier ?
«Que les chefs d’entreprise sont, en général et même pour un ancien Marxiste, honnêtes, sympathiques et qu’ils essaient de développer leurs activités pour l’ensemble de l’économie. Ils sont beaucoup plus partageurs que ce que j’imaginais et que les gens s’imaginent, enfin, les meilleurs, ceux qui développent leur entreprise savent s’entourer. Ceux qui ne savent pas s’entourer ? Ils restent seuls, travaillent avec deux, trois personnes et créent et font perdurer de toutes petites entreprises.»
Savoir s’entourer ?
«Quel que soit le secteur d’activité, c’est bien choisir ses collaborateurs : un bon expert-comptable, un avocat, une boîte de communication, consulter un ingénieur pour régler les problèmes techniques s’il y en a. Le métier d’entrepreneur ? C’est de coordonner des talents.»
Les forces et faiblesses de mon métier ?
«La force ? C’est rencontrer des gens intéressants et contribuer au développement de leur activité et donc à celui de l’économie locale. La faiblesse ? C’est passer beaucoup de temps à faire le travail de l’administration : remplir des déclarations et des formulaires. On est pour un quart de notre temps auxiliaire de l’administration, des impôts et de l’Urssaf (Union de recouvrement des cotisations de sécurité sociale et d’allocations familiales.»
Le problème ?
«Les gouvernements successifs nomment des ‘monsieur simplification des formalités’ qui sont énarques. Ils ne connaissent pas le terrain. Au lieu de simplifier, ils mettent au point des systèmes encore plus complexes. Un exemple ? Le bulletin de salaire. Il y a 30 ans celui-ci s’inscrivait sur ½ page, puis il a fait une page, puis certains bulletins de paie ont fait deux pages. Leur solution a été alors de regrouper plusieurs lignes sur une seule. A l’édition, le bulletin n’a plus fait qu’une page mais toute sa complexité a demeuré. La simplification est ultra complexe et nécessiterait, sans doute, d’inviter les experts-comptables dans le tour de table de la simplification.»
Passer le relai
«Passer le relai à l’aube de la retraite ? Il y a comme un deuil, un changement de cap intellectuel à opérer, une décision à prendre : ‘Je vais arrêter à telle date’. Après on en parle autour de soi pour s’obliger à faire ce que l’on a dit. Puis on prend un peu de temps, on s’entoure de personnes bienveillantes qui connaissent cette problématique parce qu’elle n’arrive qu’une fois ou deux dans la vie d’un entrepreneur. Un chef d’entreprise n’est pas expérimenté en matière de vente ou de cession de son entreprise à ses enfants lorsqu’il s’agit d’entreprises familiales. J’ai mis trois ans à céder mon cabinet, entre le moment où j’ai trouvé mes successeurs et où j’ai arrêté vraiment. Le passage de relai a été assez long.»
Quand et pourquoi je suis devenu chef d’entreprise ?
«J’ai créé ma boîte à 30 ans. Je voulais être indépendant financièrement et ne rendre de compte à personne. Je suis rentré à l’époque dans le réseau Axiome qui était plus ‘petit’ qu’aujourd’hui. J’ai discuté avec mes confrères devenus associés puis des amis. Lorsque j’avais une question je savais à qui m’adresser et la réponse était aussi rapide que bienveillante. Ce qui m’a permis de développer le cabinet ? Cet écosystème. Puis ça a été la venue, dans le cabinet, de professionnels avec lesquels je travaillais. Je les ai embauchés puis ils sont devenus des associés. Chacun apportait son talent et croisait ses connaissances avec les autres : l’un sur les associations, l’autre sur les professions libérales…»
Conjuguer les talents pour développer l’entreprise copyright Freepik
La réussite qui m’a le plus marqué ?
«Alors que j’étais tout jeune expert-comptable, une jeune-femme est venue solliciter mon avis sur son projet. Elle était simple vendeuse de vêtements dans une boutique et avait rencontré une entreprise italienne qui vendait des pulls. Elle avait adoré leurs produits et venait me consulter pour monter son entreprise. Nous avons trouvé un tout petit local, nous nous sommes battus pour trouver de l’argent et j’ai beaucoup travaillé sur ce projet. Elle a ouvert la première boutique Benetton en Bretagne. Ça a été un succès extraordinaire.»
Réussite et croissance
«Quatre-cinq ans après elle possédait six boutiques. Cette petite vendeuse payée au Smic dans un magasin ‘pas terrible’ était devenue chef d’entreprise et avait embauché des directrices de magasin. Cette réussite m’a beaucoup touché car cette jeune-femme modeste, qui élevait seule son enfant, était restée aussi simple que sympathique. Elle se souvenait de ce qu’elle avait vécu et avait constitué une équipe de vendeuses à son image. Ce qui m’a ému ? Qu’elle ait construit une belle réussite à partir de rien et dans des conditions difficiles. Alors je me suis dit : C‘est ça que je veux faire !»
La boutique porte-bonheur
«Je suis retourné à Rennes cet été, dans cette toute petite boutique. Ce n’était plus elle. J’y ai trouvé une jeune-femme qui sortait du confinement. Je lui ai raconté l’histoire et lui ai souhaité autant de réussite. Lorsque je la quittais un immense sourire se dessinait sur son visage parce qu’elle était dans la boutique qui portait bonheur.»
Et maintenant ?
«Je vais écrire mon troisième roman, m’occuper de mes petits-enfants et voyager avec mon épouse maintenant que c’est possible : Italie, Afrique, Japon, Etats-Unis où nous descendrons la route N°1 entre Vancouver et Los Angeles. Nous partirons en Camping-Car et nous donnerons rendez-vous aux enfants, à la famille, aux copains à différents endroits de la route en disant ; ‘Venez nous rejoindre’. »
Mes romans
«C’est une série : l’histoire d’un capitaine qui travaille à l’OCBC (Office central de lutte contre le trafic de biens culturels) et voyage partout dans le monde. L’homme se déplace en Afrique, en Asie, en Amérique pour retrouver l’origine des objets volés et lutter contre les trafiquants d’art. Le premier roman ‘Just a mountain’ se passait en Amérique du Sud, au Pérou et au Chili, le deuxième en Afrique avec une histoire autour du Mont Kilimandjaro et le troisième au Vietnam pour une histoire entre le Vietnam du nord en 1950 et la communauté Hmong dont nous avons ici, quelques représentants, et la politique française dans le sud de la France.»
Comment je procède ?
«Je fais beaucoup de recherches historiques sur Internet et j’évoque des endroits que j’ai visité, dont j’ai ressenti et mémorisé l’ambiance. Ai-je confronté mes écrits à la réalité ? J’ai bientôt rendez-vous avec un vrai capitaine de la vraie OCBC. Je vais profiter de cette expérience.»
Comment je me suis lancé ?
«C’était un pari avec les enfants qui me disaient : ‘Il faut que tu écrives un livre !’ J’ai dit : ‘Ok, il sera écrit pour Noël !’ Je donne des rendez-vous et il faut que je tienne le délai ! Le premier ouvrage était intéressant. J’ai mis trois ans pour écrire le deuxième parce que je travaillais. J’écrivais le soir, le week-end, pendant les vacances, mais c’était compliqué parce qu’il fallait du temps pour rentrer dans l’histoire. Une amie m’a prêté sa grande maison où le téléphone ne passe pas. J’y passais deux ou trois jours. J’ai aussi bénéficié d’un stage chez Gallimard qui m’a beaucoup aidé. Ce que j’y ai appris ? Qu’il faut écrire 10 pages pour en conserver une.»
Manpower réitère ‘Le vendredi du BTP’ à Avignon
Trois copines Brigitte Ferren, Sophie Roux et Noelle Réal s’apprêtent à participer au Rose trip Maroc, un trek aventure 100% féminin et pédestre du 28 octobre au 2 novembre 2021. Durant six jours les trois pink’opines participeront à cette randonnée pédestre d’orientation au cœur des grands espaces désertiques et sauvage du Maroc. La randonnée étant éco responsable les filles devront conserver leur propre déchets et ramasser ceux qui se tiendront sur le route jusqu’aux points de ravitaillement. La promesse de ce désert tour ? Se perdre pour mieux se retrouver. Un séjour à la fois sportif, solidaire et méditatif.
Qui sont-elles ?
«Moi, c’est Sophie ! Emportée par l’enthousiasme d’une amie tout juste rentrée duRose Trip Maroc 2019, une nuit m’a suffi pour rêver de cette aventure et me dire: et pourquoi pas moi ? Glissant timidement cette idée à l’oreille amusée de chacune de mes deux amies Noëlle et Brigitte,cela s’est vite transformé en Yes we can! Et voilà, grâce à leur enthousiasme, quelques jours plus tard nous étions inscrites pour l’édition d’octobre 2021 sous le dossard 49 ! Notre équipe s’appelle les ‘Pink’opines’ comme notre association Loi 1901.»
Une rando au Maroc
Le trek Rose Trip Maroc est une randonnée nomade féminine et solidaire au cœur du désert marocain, qui se déroulera du 28 octobre au 2 novembre 2021. Par équipes de trois, les participantes s’envoleront pour cinq jours d’aventure dont trois jours d’étapes et un challenge solidaire, entièrement dédiés au lâcher prise et au dépaysement. Rose Trip Maroc est une aventure pédestre réservée aux femmes en quête d’aventures et de dépassement de soi. Néophytes et expertes de trek sont les bienvenues sur la ligne de départ.
Les Pink’opines, c’est qui ?
C’est Brigitte Ferren, 57 ans, pharmacien. Ses passions : la musique, la lecture, l’engagement associatif… Ses loisirs : les concerts, le cinéma, les jeux de société entre amis, les voyages… Sa qualité pour l’aventure : curieuse et décidée. Sa citation : « l’éternité c’est long, et surtout à la fin. » Sophie Roux, 52 ans, assistante de direction. Ses passions : la lecture, les découvertes, les moments passés en famille … Ses loisirs : le ski, le jogging, la moto, les expos,… Sa qualité pour l’aventure : ‘le goût du partage ; je suis discrète mais tenace !’ Sa citation préférée : « Certains veulent que ça arrive, d’autres aimeraient que ça arrive et d’autres font que ça arrive.» Noëlle Réal, 49 ans, Chargée de communication chez Réal Communication. Ses passions : «Tout ce qui fait du bien ! Et notamment les bonnes tables. » Ses loisirs : «La mer, les amies, la lecture, sorties… » Sa qualité pour l’aventure : «L’insouciance !» Sa citation : «Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait !»
Collecter des fonds
«Nous souhaitons collecter des fonds pour soutenir l’association avignonnaise ‘Vivre Comme Avant’ qui œuvre pour le bien-être des femmes atteintes d’un cancer du Sein et nous aider à boucler le budget du trek.» Pour participer c’est ici.
Vivre comme avant
Jeudi 21 octobre, l’association Les Pink’opines composée de Brigitte Ferren, Sophie Roux et Noëlle Real, a remis un chèque de 1000€ à Maïté Sanchez, référente Vaucluse de l’antenne nationale « Vivre comme Avant ». Cette association vient en aide, moralement, aux patientes souffrant d’un cancer du sein. Les bénévoles de Vivre comme avant sont toutes d’anciennes opérées du sein et savent mieux que personne accompagner les femmes touchées par la maladie.
Remise de chèque
Cette remise de chèque s’est déroulée au restaurant La Coquille à Villeneuve-lez-Avignon qui accueille chaque année, bénévolement, un repas en faveur d’Octobre Rose. Le menu, tout rose, a été concocté par Les Assiettes de Monik, une cheffe à domicile basée dans le Luberon. Ce chèque est le fruit des recettes de la soirée ainsi que de la tombola des Pink’opines, qui s’envolent vers les dunes du désert marocain pour le Trek rose Trip du 28 octobre au 2 novembre avec cette maxime : « c’est bien beau d’avoir du cœur, maintenant il va falloir avoir des jambes! ». MH
Manpower réitère ‘Le vendredi du BTP’ à Avignon
Une dizaine de collaborateurs de bureau d’expertise-comptable d’Avignon du groupe KPMG viennent de participer à l’opération de ramassage de déchets ‘Madd (Make a difference day). Initié chaque 4e samedi du mois d’octobre depuis 1992, c’est la première fois qu’elle se déroule en Europe. A cette occasion, 7 000 salariés de KPMG France se sont donc mobilisés dans 160 villes de l’Hexagone. A Avignon, c’est à la Barthelasse, le long du chemin de Halage notamment, que les volontaires du cabinet d’expertise-comptable vauclusien basé à Agroparc ont, sac de toile de jute à la main, collecté déchets et autres bouts de verre. ‘Au menu’ : canettes en verre ou en métal, bouteilles plastiques, bouts de verre, mégots, emballages divers et même un vélo ! « On ne s’est pas déplacé pour rien, reconnaît François De Lepiney, directeur du bureau de KPMG Avignon. Tout ce que nous avons récolté va être déposé dans une benne à ordures mis à disposition par la Ville d’Avignon en lien avec les associations partenaires. »
Une étape de mobilisation importante « Cette journée XXL exprime la force de notre engagement en faveur de la planète ; explique pour sa part Marie Guillemot, présidente de KPMG France. Elle encourage chacun de nous, en tant que collaborateur et citoyen, à exercer sa responsabilité environnementale en commençant par des gestes simples. Cette opération à l’échelle nationale démontre l’impact de ces gestes quotidiens démultipliés par une mobilisation collective. L’ampleur des défis à relever doit nous conduire à travailler tous ensemble dans une logique d’écosystème. Nous avons à cœur de construire la synergie entre les aspirations individuelles à agir, les engagements de l’entreprise et ceux des associations qui nous accompagnent. Cette journée est une étape de mobilisation importante sur la trajectoire qui doit permettre à KPMG de rejoindre la communauté des entreprises à mission. »
Poursuite de la démarche Pour poursuivre cette démarche de manière durable, KPMG a fait le choix de donner une seconde vie aux déchets récoltés. En lien avec les collectivités, le cabinet a d’une part confié les déchets aux associations mobilisées sur l’évènement pour qu’elles en assurent le recyclage. KPMG travaillera d’autre part avec un artiste ‘upcycling’ reconnu pour son travail engagé en faveur de l’écologie. La collection d’art fera l’objet d’une exposition itinérante dans les 220 bureaux de KPMG à travers la France et donnera lieu à une vente caritative en 2022.
Manpower réitère ‘Le vendredi du BTP’ à Avignon
Les Soroptimist organisent une conférence Grand public à l’occasion de l’anniversaire de leurs 100 ans. Le thème ? ‘Le docteur Suzanne Noël pionnière de la chirurgie reconstructive du sein et fondatrice du Soroptimist international en Europe en 1924’, par le docteur Sarfati, chirurgienne plasticienne de l’Institut du sein à Paris.
Au programme
19h, Introduction de Roland Sicard, Président de Sainte-Catherine – Institut du Cancer – Avignon-Provence ; 19h15 : Christine Martella, Présidente du Soroptimist International d’Avignon : les 100 ans du mouvement Soroptimist ; 19h30 : Docteur Isabelle Sarfati : l’histoire de Suzanne Noël et la chirurgie mammaire d’aujourd’hui ; 20h15 : Questions / Réponses des participants. Fin de la conférence à 21h.
Les infos pratiques
Jeudi 28 octobre. De 19h à 21h. Cellier Benoît XII au Palais-des-Papes.Avignon. Pass sanitaire obligatoire. Réservation obligatoire ici. MH
Manpower réitère ‘Le vendredi du BTP’ à Avignon
‘Les nuits de l’Inde’ proposent de découvrir le danseur Barathanatyam, en tournée exceptionnelle en France, qui donnera un spectacle de danse indienne de Mohanapriyan. La soirée est organisée, avec le soutien des Soroptimist, au profit de la Maison d’Agathe, créée à Pondichéry pour accueillir, actuellement, 17 des fillettes orphelines. Les nuits de l’Inde. Vendredi 12 novembre 2021 à 20h. 15€. Réservation ici. Théâtre de l’Etincelle, place des Etudes à Avignon.
En savoir plus
Danse classique, originaire du sud-est de l’Inde, le Bharatanatyam réunit vigueur et rapidité. Symbolisme et technique s’allient harmonieusement. La rythmique très riche et la géométrie des lignes dans l’espace caractérisent cette danse. Les larges déplacements, les sauts, les fentes profondes et les équilibres demandent à la fois grâce, force et endurance.
Maîtrise et concentration
Le plus grand bienfait du bharatanatyam est sa capacité à contrôler l’esprit. La plupart du temps, nous sommes incapables d’avoir une contemplation unifiée même lorsque nous ne sommes pas dans l’action. Or dans le bharatanatyam, on n’est pas en dehors de l’action ; il y a beaucoup à faire, mais c’est l’harmonie des actions diverses qui apporte la concentration que nous cherchons.
Entrer en conscience
Le poids de l’action s’oublie dans le charme profond de la pratique artistique. Grâce aux pieds qui gardent le rythme, aux mains qui expriment le geste, au regard qui suit la main, à l’oreille qui écoute la musique du maître ainsi que ce que l’on chante soi-même, par l’harmonisation de ces cinq éléments, l’esprit atteint la concentration et la clarté. Ce sentiment intérieur de la danseuse est le sixième sens, qui harmonise ces cinq éléments mentaux et mécaniques pour créer l’expérience et le plaisir de la beauté. C’est l’étincelle qui donne au danseur le sens de sa liberté spirituelle, au sein des contraintes et de la discipline de la danse.
Sérénité
Le yogi atteint la sérénité par la concentration issue de la discipline. Dans la danse, les pieds, les mains, les yeux, les oreilles et le chant s’unifient jusqu’à parvenir à un état de fusion : la sérénité du yogi devient torrent de beauté. Le spectateur, qui est absorbé lorsqu’il regarde le spectacle avec une vive attention, libère ainsi son esprit des distractions, et ressent une grande clarté. Dans cette implication mutuelle, la danseuse et le spectateur sont tous deux délivrés du poids de la vie mondaine et font l’expérience de la joie divine de l’art avec une sensation de liberté totale.” Source Kalpana MH
Manpower réitère ‘Le vendredi du BTP’ à Avignon
Espaces Atypiques vient d’ouvrir son agence, 24, rue Thiers à Avignon. «Un espace cosy, contemporain et décalé – en plein cœur de la ville, dans un bâtiment réhabilité du XIXe,» sourit Laurence Lavandier, directrice de l’agence. La structure couvrira le secteur avignonnais ainsi que le Comtat Venaissin, le Lubéron et le Ventoux entre le Rhône et la Durance.
A la chasse… aux biens
“Nous observons une zone urbaine composée principalement d’appartements, de duplex ou d’hôtels particuliers” précise Laurence Lavandier Et une zone plus rurale qui offre essentiellement des mas réhabilités, et quelques maisons contemporaines. Les péniches sont enfin une petite niche assez plébiscitée par nos clients”.
Forte demande mais sans envolée des prix
En 2020, le marché a explosé après le premier confinement. Depuis, la demande n’a cessé d’augmenter : “Il y a une très forte demande, avec une affluence d’habitants des grosses métropoles comme Paris, Lyon ou encore Marseille, en recherche de calme, de nature, d’esprit de campagne” relate Laurence Lavandier. Malgré ce phénomène, les prix n’ont pas connu de forte augmentation, avec cependant quelques exceptions : Dans le Lubéron de belles propriétés sont en ventes à plus de 800 000€. Certes, nous dépassons quelquefois les 4 000€/m2, mais le prix moyen reste largement inférieur, comme dans le centre d’Avignon on l’on peut trouver des appartements en dessous de 300 000€”.
Un marché pour les habitants locaux et issus des grandes métropoles
La clientèle locale et celle provenant des grandes métropoles représentent 70% des ventes de résidences principales réalisées par l’agence : “30% des résidences secondaires sont acquises par des étrangers, essentiellement européens, concentrés dans le Lubéron et le Ventoux reprend Laurence Lavandier. Après le confinement nous avons également observé une augmentation du phénomène bi-résidence, surtout de la part de parisiens”.
Dans le détail
Laurence Lavandier a dirigé pendant plus de 20 ans, une agence immobilière traditionnelle et a abordé tous les aspects tant techniques que juridiques du secteur de l’immobilier. Ses goûts pour l’architecture et la photographie l’amènent tout naturellement vers Espaces Atypiques. Elle déménage des Bouches-du-Rhône pour se lancer dans l’aventure et s’installe en Vaucluse pour ouvrir l’agence d’Avignon. Aujourd’hui à la tête d’une équipe de cinq personnes, Laurence Lavandier pense recruter cinq personnes supplémentaires d’ici le premier semestre 2022 : “Pour aider au développement de notre activité, je recherche de vraies personnalités, sensibilité artistique bienvenue.” MH
Laurence lavandier
Manpower réitère ‘Le vendredi du BTP’ à Avignon
Le Geiq BTP Vaucluse c’est un peu le petit frère de la Fédé BTP 84, qui d’ailleurs l’a créé en 1995 avec la Capeb (Confédération de l’artisanat et des Petites entreprises du bâtiment). Sa mission ? Aider les personnes les plus éloignées de l’emploi, via des formations et des contrats d’apprentissage ou en alternance de 6 à 24 mois, à reprendre du service pour répondre aux besoins en recrutement des entreprises.
La promesse ? A la fin du contrat la personne est armée pour accéder à un emploi durable. Le Geiq Paca (Provence-Alpes-Côte d’Azur) en chiffres ? Ce sont chaque année 1 000 salariés en parcours d’insertion et de qualification, plus de 300 entreprises adhérentes et 70% de retour vers l’emploi grâce à l’accompagnement socio-professionnel.
En 26 ans ?
Le Geiq a contribué à remettre sur pied 2 000 personnes dont un jeune homme qui a obtenu son BTS et est devenu le patron de l’entreprise qui lui a donné sa chance. Pour le Geiq, la vie est plus belle lorsqu’ on la partage. « 200 personnes sont, chaque année, employées par le Geiq en Vaucluse, dont 80 personnes trouvent un emploi, souligne Francis Larrieu, président sortant de la structure. En 26 ans d’exercice, 2 000 personnes ont ainsi retrouvé une vie active. » C’est d’ailleurs du gagnant-gagnant puisque l’outil permet aux entreprises comme aux candidats de se rencontrer et, chacun de son côté, de polir sa demande en préparant le candidat via des formations internes et externes pour répondre aux exigences du poste proposé dans l’entreprise.
Une asso, quatre volets d’activité, 100 salariés
«D’ailleurs le Geiq 84 ce sont quatre structures reprend Christelle Gougelin, Directrice de la structure : Bat Insérim 84 : entrperise de travail temporaire d’insertion ; Geiq BTP Vaucluse : c’est le groupement d’employeurs pour l’insertion et la qualification émetteur de contrats en alternance ; c’est le GE BTP : Groupement d’employeurs classique pour les métiers du BTP (Bâtiment et travaux public). Enfin, il y a l’Unageiq (Union Associations Geiq BTP Vaucluse) au sein de laquelle travaillent 8 salariés permanents. Ces 4 structures emploient, chaque année, une centaine de salariés.»
Mailler le territoire
«Le Geiq 84 maille le territoire avec ses bureaux situés à Avignon, Cavaillon, Camaret-sur-Aigues et bientôt Bollène précise Christelle Gougelin. Le site Internet, responsive, permet de déposer les offres d’emploi des entreprises vauclusiennes adhérentes au Geiq BTP. Son application sur smartphone propose de postuler dans l’instant, et au Geiq de traiter sa candidature. Il y a 190 Geiq en France.»
Francis Larrieu à gauche vient de passer le relais à Luc Faure, pour la présidence du Geiq 84
Assemblée générale
La soirée a débuté dans l’amphithéâtre de la CCI (Chambre de commerce et d’industrie), allée des Fenaisons à Avignon lors de l’assemblée générale du Geiq BTP 84 (Groupement d’employeurs pour l’insertion et la qualification) avec la passation de présidence puisque Francis Larrieu –ancien chef d’agence Colas-SRMV Sorgues-Carpentras- et président du Geiq BTP 84 depuis avril 2015 cède sa place à Luc Faure –Chef d’agence Gard-Vaucluse Eurovia. Une quarantaine de personnes était présente dont des responsables de structures partenaires.
Les partenaires du Geiq
Les partenaires du Geiq sont l’Etat, le Ministère du travail de l’emploi et de l’insertion, le Département de Vaucluse, la fédération du BTP Vaucluse, La Capeb, Les Geiq, son Comité régional Sud Paca, Pôle emploi, La Mission locale, Cap emploi 84, Constructys et Akto.
Nouveau site Internet
Un timing parfait aussi pour présenter le nouveau site Internet conçu et réalisé par Arg solutions et son application sur Smartphone. Objectif ? « Fidéliser les salariés existants et recruter de nouveaux candidats, explique Margaux Chauchat, chef de projet chez ARG Solutions. Le site s’adresse aux entreprises, aux candidats et aux partenaires tandis que l’application à télécharger, sur app store et Google play store, s’oriente vers le candidat et le salarié. Des plaquettes et flyers sont en cours de réalisation.»
Christelle Gougelin, directrice du Geiq 84 veut développer l’emploi des femmes dans le BTP
Les différentes structures du Geiq
Le Geiq BTP 84 (Groupement d’Employeurs pour l’insertion et la qualification dans les métiers du bâtiment de Vaucluse) a été créé en octobre 1995 à l’initiative de la Fédération du BTP et de la Capeb de Vaucluse afin de répondre aux besoins de main d’œuvre vieillissante dans les métiers du BTP et de permettre par l’alternance, à des personnes peu ou pas qualifiées d’acquérir des compétences professionnelles grâce à une période de formation couplée à une expérience en entreprise.
Pour un parcours des salariés
L’association loi 1901 est pilotée et gérée par ses entreprises adhérentes, pour favoriser l’insertion de personnes éloignées du marché du travail. Elle utilise majoritairement des contrats de professionnalisation, plus adaptés aux publics reçus mais a aussi recours aux contrats d’apprentissage. L’association reste l’employeur et organise des parcours de formation adaptés au profil de chaque salarié mais aussi aux besoins de l’entreprise dans une optique d’employabilité au terme du contrat. Tout au long du parcours, le salarié bénéficie d’un double tutorat -un seul et même interlocuteur en entreprise et au Geiq- ainsi que d’un accompagnement socio-professionnel renforcé.
Le Label Geiq
Chaque année, la fédération française des Geiq, sur le fondement d’un cahier des charges approuvé par le Ministre chargé de l’emploi et sur avis conforme d’une commission mixte nationale, attribue la reconnaissance du label Geiq.
Le Conseil d’administration
Le Conseil d’administration compte, parmi ses membres fondateurs Jean-Claude Perrier (Président de la Capeb Vaucluse) et Christian Pons (Président de la Fédé BTP 84). Anne Benedetti (Benedetti SA) en est la trésorière, Frédéric Busca (JFB Bâtiment) le secrétaire, suivent les membres utilisateurs : Jean-Max Diaz (Batri Diaz constructions), Luc Faure (Eurovia Languedoc-Roussillon), Eric Guirado (Eiffage route Grand Sud), Philippe Heyraud (Bries TP), Daniel Léonard (Midi Travaux), Olivier Méreu (4M Provence route), Philippe Million (Everest Isolation), Stéphane Spisser (Braja Vesigne-SRV Bas Montel). Enfin, Jean-Yves Chemin et Francis Larrieu sont membres honoraires.
Président, conseil d’administration et direction du Geiq 84
Manpower réitère ‘Le vendredi du BTP’ à Avignon
Trois jours durant lesquels Avignon sera le centre névralgique de la pratique du vélo sous toutes ses formes. La 4e édition d’Avignon vélo passion promet d’être aussi variée que spectaculaire, avec notamment les meilleurs pilotes mondiaux de BMX qui s’affronteront sur la piste. L’entrée est gratuite pour les moins de 8 ans.
Une myriade de partenaires publics et privés ont retroussé les manches pour concocter un week-end mémorable en faveur de la pratique du vélo. Il aura lieu les 29, 30 et 31 octobre prochains au parc des expositions. « Avignon est aujourd’hui à la 15e place des 128 villes françaises de plus de 50 000 habitants pour la part modale vélo sur les trajets domicile/travail ! », se réjouit Cécile Helle, maire d’Avignon. La municipalité entend bien multiplier les initiatives pour promouvoir le vélo et contribuer au rayonnement de la capitale vauclusienne.
C’est ainsi que les principaux artisans autour d’Avignon passion vélo se sont réunis ce mardi 19 octobre au côté de Zinèbe Haddaoui, adjointe déléguée à la ville fraternelle, active et sportive. Objectif ? Présenter le programme de cette manifestation d’ampleur au parc des expositions qui fait la part belle au vélo. Toutes les pratiques seront à l’honneur : électrique, vélo urbain, VTT, vélo de route, Gravel, vélo cargo, BMX, draisienne… Sur près de 35.000 m2, un village d’exposants, des animations, des événements sportifs, des rencontres avec les professionnels ainsi que de nombreux temps forts permettront de découvrir le vélo autrement. Trois jours de grand spectacle organisés par la ville d’Avignon et Avignon Tourisme, avec le soutien de la Région sud, du Département de Vaucluse, du Grand Avignon et de la Fédération française de cyclisme de Vaucluse.
Indoor BMX pour les audacieux. Crédit photo: Avignon passion vélo
Village d’exposants
Un hall complet est dédié aux institutions touristiques, aux enseignes vélo et aux marques émergentes pour s’équiper et s’informer sur les nouveautés et les bonnes pratiques. Une vingtaine d’exposants (magasin, accessoiristes, institutions, acteurs du tourisme ou de la sécurité routière) seront réunis dans le hall B. L’occasion également de tester les vélos sur une piste d’essai spécialement mise à disposition du public.
Le BMX, star du week-end
En journée, plus de 1 000 pilotes venus de toute l’Europe sont attendus pour une compétition unique en France. Le temps fort du samedi soir ? Le ‘grand show’ avec son et lumières dans une aréna de 2000 places. Le Cavaillonnais Sylvain André (champion du monde BMX 2018) et Kevin Miquel (numéro 4 mondial de VTT enduro) seront présents lors de l’événement. Les meilleurs pilotes mondiaux disputeront l’une des deux seules compétitions de BMX indoor en France. Sur la piste, plus de 300 mètres, 3 virages et des séries de bosses en terre. Plus d’informations, cliquez ici.
Sylvain André (milieu) et Kevin Miquel (droite). Crédit photo : Linda Mansouri
Tendance Gravel
Avignon surfe sur le Gravel, ce vélo passe-partout adapté aux chemins comme à la route. L’équipe Ventoux Gravel aventure proposera ainsi trois parcours de 70 à 200km pour offrir un concentré de sport, des expériences inédites et permettre la (re)découverte du patrimoine historique. Un temps fort du week-end qui fait écho au rayonnement du Gravel en Vaucluse avec le centre Rasteau érigé en chef de file de la pratique. Plus d’informations, cliquez ici.
Le vélo en famille
La Rand’eau vélo ? Une balade en famille sur le chemin des canaux organisée par l’Espélido-va-rouler. Les enfants partiront à la découverte des canaux d’irrigation dans la plaine de Montfavet. Une balade à vélo guidée, accessible à tous, entrecoupée par la découverte et des explications sur les canaux de la plaine d’Avignon. Une autre balade vélo aura lieu en mode chercheur de « galets peints » autour du Parc des Expositions à travers Agroparc. Plus d’informations, cliquez ici.
Par ailleurs, des animations pour les 6/12 ans sont organisées sur l’ensemble du site : Bike and Shoot, vélos burlesques, découverte des sports cyclistes… Le hall D sera entièrement consacré à la draisienne, ce petit vélo sans pédales accessible aux tout petits.
Nouveauté : le partage d’expériences
Le hall C du parc expo accueillera des rencontres, témoignages et projections de film. Exemple inspirant avec Pascal Bärtschi. Il est parti un 3 novembre et est revenu… 6 ans après ! Le leitmotiv du féru de vélo : One world, one bike, one dream ! Ce Suisse de 39 ans a en effet parcouru la planète sur son vélo, guidé par sa soif de découverte et le hasard des rencontres. Asie, Afrique, Amérique, Europe, Océanie… Pascal a exploré 59 pays et roulé 100 000 km. On vous laisse imaginer le nombre de crevaisons. Fort de cette expérience extrême, à son retour, il nous convie à partager son épopée au fil de la route. Découvrez les autres histoires fascinantes en cliquant ici.
Pascal Bärtschi, l’aventurier à vélo. Photo DR
‘Vaucluse cycle meet’, premières rencontres professionnelles
Vendredi 29 octobre, Vaucluse Provence attractivité organise un rendez-vous dédié entièrement aux professionnels afin de permettre à tous les opérateurs du tourisme vélo d’échanger et de faire connaissance : guides, loueurs, hébergeurs, transporteurs, etc. « 350 entretiens d’une durée de 15 min sont déjà programmés », précise Cathy Fermanin, Directrice générale chez Vaucluse Provence Attractivité. Ces rencontres sont organisées avec les partenaires de la ‘Provence à vélo’ avec cette volonté de valoriser le tourisme à vélo en tant qu’outil de promotion durable du territoire. Parmi les thématiques abordées : les aménagements de véloroutes, le gravel, les boucles de loisir, le cyclosportif… Il y en aura pour tous les goûts. Inscriptions, cliquez ici.