26 août 2025 |

Ecrit par le 26 août 2025

Théâtre, musique, mime, poésie à la Scala Provence pour trois spectacles cette semaine

Reprise de Gisèle Halimi, une farouche liberté avec Marie-Christine Barrault

Depuis sa création à la Scala Paris le 18 octobre 2022, le spectacle affiche complet. Nous avions pu le voir à la saison 2 de la Scala Provence, joué par Ariane Ascaride et Philippine Pierre-Brossolette. Initialement prévue pour une soirée unique, une représentation de la pièce de Léna Paugam avait été rajoutée en dernière minute pour le lendemain. Elle avait ensuite rencontré, et son public, et un vif succès durant le festival Off 2023.

Elle est reprise depuis mai 2025 par Marie-Christine Barrault et Hinda Abdelaoui dans la même mise en scène. 

Gisèle Halimi, soixante-dix ans de combats, d’engagement au service de la justice et de la cause des femmes 

Sur scène, deux générations de femmes, deux sensibilités, deux voix dialoguent et révèlent la vie de Gisèle Halimi au fil de ses souvenirs recueillis par la journaliste Annick Cojean. La mise en scène de Léa Paugam ajoute des documents d’archives sonores avec les voix de Gisèle Halimi et Simone Veil.
Mardi 28 janvier. 19h30. 15 à 38€. 

What it most suggests, premier disque sous le label Scala Music du pianiste Josquin Otal

Après avoir enregistré la redoutable sonate de Liszt, après avoir donné en 2021 un éblouissant récital à La Scala Paris, il présente son premier disque pour le label Scala Music avec notamment les impressionnantes Études-Tableaux de Rachmaninov. Un programme tout en couleur !

Au programme

Granados, El Amor Y la muerte
Liszt, Sonnets de Pétrarque
Rachmaninov, Etudes Tableaux op. 39 
Vendredi 31 janvier. 20h.10 à 25€. 

L’Ame-son, un théâtre musical drôle et poignant

Un si joli titre pour ce concert burlesque ou théâtre musical, c’est selon. Le mime Stefano Amori, disciple de Marel Marceau et le guitariste baroque Bruno Helstroffer vont ressusciter les partitions oubliées de Henry Grenerin et nous transportent dans le Paris de 1641. Un conte en gestes et en musique, profond et léger à la fois. 
Dimanche 2 février. 16h. 10 à 25€. 

La Scala. 3 rue Pourquery de Boisserin. Avignon. 04 90 65 00 90.


Théâtre, musique, mime, poésie à la Scala Provence pour trois spectacles cette semaine

Mater Dolorosa de Vivaldi

Le grand Vivaldi, le « prete rosso », est l’auteur de ce singulier Stabat Mater écrit pour alto solo dont les huit mouvements lents, qui cultivent incontestablement une jolie transparence, contrastent avec la virtuosité folle du motet In furore justissimae irae.

La jeune scène lyrique montante Bruno de Sà et Paul Figuier 

C’est le jeune et très prometteur contre-ténor Paul Figuier qui en sera l’interprète avec le brillant sopraniste Bruno de Sá dont professionnels, critiques… et public saluent la voix extraordinaire et la rare musicalité. Sa venue à Avignon est en soi un évènement !

Stabat Mater de Pergolèse

Les deux interprètes se retrouveront avec Thibaut Noally à la direction, au violon et son ensemble Les Accents dans le célébrissime, « divin poème de la douleur » ainsi qu’a pu le définir Bellini : « Pergolèse parcourt ici tous les sentiments humains, l’affliction certes, mais aussi l’espoir et la tendresse ».

L’Italie, Venise, tout un programme baroque

Présentées en coréalisation avec Musique Baroque en Avignon et Musique Sacrée et Orgue en Avignon, (re)découvrez ces grandes œuvres italiennes où votre imagination vous transportera dans une Venise baroque foisonnante.

Dimanche 26 janvier. 16h. 17 à 34€. Opéra Grand Avignon. 4 Rue Racine. Avignon. 04 90 14 26 40.


Théâtre, musique, mime, poésie à la Scala Provence pour trois spectacles cette semaine

Alexandra Grimal, une musicienne accomplie

Compositrice, interprète, saxophoniste, Alexandra Grimal — qui avait remporté le Grand prix du Tremplin européen de jazz d’Avignon en 2007 — a continué son exploration musicale entre musique improvisée, contemporaine ou expérimentale. Elle est nommée dans la catégorie révélation instrumentale des Victoires du Jazz en 2010 et produit deux premiers opus The Monkey in the Abstract Harden (2015) et Refuge (2020).

Un solo au saxophone tenor à l’heure du thé

La compositrice et saxophoniste revient avec un nouveau solo au saxophone ténor.

Elle explore des territoires inconnus, sans filets et empreinte de tous ces lieux de passage musicaux et géographiques qu’elle sillonne depuis tant d’années. Alexandra Grimal plonge au cœur de la matière sonore, là où l’anonyme et l’intime se confondent pour donner naissance à un langage vivant et plastique.

Alexandra Grimal : Saxophone ténor, composition

Dimanche 26 janvier. 17h. Tarif unique 12€. Ouverture des portes et de la billetterie à 16h pour un goûter partagé. AJMI Club. 4 Rue des Escaliers Sainte-Anne. Avignon. 04 13 39 07 85.


Théâtre, musique, mime, poésie à la Scala Provence pour trois spectacles cette semaine

Ce dimanche 26 janvier, les Halles d’Avignon accueilleront la 15ᵉ édition de la Fête de la truffe. Pour l’occasion, la Ville vous promet une expérience gustative inoubliable.

Ce dimanche, la Ville d’Avignon organise une journée gastronomique et festive autour de la truffe aux Halles d’Avignon. Au programme : des dégustations, des démonstrations de cavage avec des chiens truffiers, des ventes de truffes fraîches.

La journée sera rythmée par plusieurs temps forts comme l’inauguration à 10h de la 15ᵉ Fête de la truffe en compagnie des confréries Taste Fougasse et les Rabassiers du Comtat ou encore l’intronisation de maître Fougasse. Le tout se fera dans une ambiance musicale proposée par Manu and co.

Dimanche 26 janvier. De 10h à 16h. Les Halles. 18 Place Pie. Avignon.


Théâtre, musique, mime, poésie à la Scala Provence pour trois spectacles cette semaine

Pour débuter cette année 2025, l’Orchestre National Avignon Provence (ONAP) nous invite à déambuler dans les évocations de forêts de Shumann, Dvorak ou Vaughan Williams ce vendredi 24 janvier.

Pas moins de trois œuvres majeures qui seront autant de contes sans paroles sous la direction musicale du violoncelliste Raphaël Merlin.

Pour la première fois en France, une version pour orchestre des Waldszenen de Schummann, orchestrée par Ralph Breitenbach

On trouve dans le recueil Waldszenen « Scènes de la forêt » (1849) de Robert Schumann une série de 10 tableaux miniatures et pittoresques : des chasseurs solitaires, une scène festive à l’auberge et même le chant troublant d’un oiseau-prophète… La nature y apparaît tantôt réconfortante, tantôt effrayante, mais dans tous les cas magique.

Waldesruhe « Calme de la forêt » (1883) d’Antonín Dvořák

Cette pièce concertante pour violoncelle et orchestre nous entraînera dans une promenade bucolique, au rythme lent.

Une intrigante « Dark Pastoral » (2010) de l’Anglais Ralph Vaughan-Williams

« Dark Pastoral » (2010) est une relecture inspirée d’un projet de concerto pour violoncelle de l’Anglais Ralph Vaughan-Williams. On imagine aisément un promeneur solitaire qui se souviendrait des chants traditionnels britanniques oubliés. 

Pour ne pas nous perdre tout à fait dans ces bois noirs, nous pourrons compter sur l’exactitude du jeu et de la direction de Raphaël Merlin, fraîchement nommé directeur artistique et musical de l’Orchestre de Chambre de Genève.

Direction musicale et violoncelle : Raphaël Merlin
Robert Schumann : Waldszenen (orchestration de Ralph Breitenbach)
Antonín Dvorák : Waldesruhe
Ralph Vaughan Williams : Dark pastoral
Franz Schubert : Symphonie n° 4 « tragique »

Répétition générale

Répétition générale ouverte aux publics scolaires et associatifs.
Vendredi 24 janvier de 9h30 à 11h.

Avant-concert

Rencontre en salle des Préludes de 19h15 à 19h45 avec le violoncelliste Raphaël Merlin.

Vendredi 24 janvier. 20h. 5 à 30€. Opéra Grand Avignon. 4 Rue Racine. Avignon. 04 90 14 26 40.


Théâtre, musique, mime, poésie à la Scala Provence pour trois spectacles cette semaine

Le mercredi 29 janvier, la Commission du film Luberon Vaucluse et France Travail Culture-Spectacle organisent la 7ᵉ édition du Forum de la formation aux métiers de l’image à l’Hôtel de Ville d’Avignon.

Afin d’attirer plus d’acteurs de l’audiovisuel sur le territoire et de montrer que le Vaucluse est une réelle pépite pour la production numérique, la Commission du film Luberon Vaucluse et France Travail Culture-Spectacle mettent en avant ce secteur et ses formations dans un Forum à Avignon le mercredi 29 janvier. Les formations dans les métiers du cinéma, l’audiovisuel, les jeux vidéo, l’animation et la communication visuelle seront représentées par diverses écoles vauclusiennes comme L’École des Nouvelles Images, 3iS, SCAD Lacoste, la Game Academy, Capcom’art Formations, et bien d’autres.

Plusieurs temps forts rythmeront la journée comme un atelier de l’alternance et financements de la formation avec l’AFDAS, Airo Formations et France Travail Culture-Spectacle à 11h15, une présentation des métiers de la production avec IMCA Provence, directeur de production, une production et un studio d’animation à 14h, ainsi qu’un moment pour découvrir les métiers du doublage avec en Ma compagnie production à 15h15.

Ce n’est plus un secret, le Vaucluse est bel et bien une terre de cinéma. De la série Les Gouttes de Dieu tournée en partie à Châteauneuf-du-Pape au film A good year filmé à Bonnieux, en passant par la comédie Avignon triplement primée au festival de l’Alpe d’Huez, le département regorge de décors qui en inspirent plus d’un. Le Conseil départemental de Vaucluse encourage d’ailleurs cette création au travers d’un fonds d’aide à la création et à la production cinématographique et audiovisuelle.

Mercredi 29 janvier. De 10h à 16h30. Inscription gratuite en ligne. Hôtel de Ville. 18 Place de l’Horloge. Avignon.


Théâtre, musique, mime, poésie à la Scala Provence pour trois spectacles cette semaine

Avec plus de 14 millions de voyageurs en 2024, le réseau de transports en commun Orizo du Grand Avignon atteint un record historique, soit une progression de 7,8% par rapport à 2023, avec un million de voyageurs supplémentaires.

L’année 2023 avait déjà été une année exceptionnelle, avec une hausse de la fréquentation de 18% par rapport à 2022. Depuis la reprise de l’exploitation du réseau Orizo par la société publique locale (spl) Tecelys, celle-ci aura augmenté de 27%, avec 3 millions de voyageurs supplémentaires.

La baisse des tarifs décidée en juillet 2022
par les élus du Grand Avignon a largement contribué à rendre les transports en commun accessibles au plus grand nombre. L’accroissement de la fréquentation s’explique également par le développement continu de l’offre de transports et l’amélioration de la qualité de services : renouvellement du parc de bus, amélioration du transport à la demande…

La ligne de tramway plébiscitée
Au palmarès des 15 arrêts les plus fréquentés du réseau Orizo (hors navettes gratuites), figurent 6 stations de tramway. La ligne la plus utilisée du réseau en 2024 est la T1 (tramway), avec 2,88 millions de voyageurs en 2024, suivie de la ligne de bus à haute fréquence Chron’hop C2, avec 2,5 millions de voyageurs, puis de la ligne C3 avec 1,4 million de voyageurs.

Copyright Alain Hocquel

Un parc de bus renouvelé, plus confortable et plus écologique
Le Grand Avignon poursuit son investissement en faveur des véhicules plus propres et respectueux de l’environnement avec 8,4M€ dévolus à l’achat de 5 petits bus électriques et 14 autobus hybrides. En trois ans, le Grand Avignon aura remplacé 53 % de sa flotte de véhicules. Sur l’ensemble du parc de véhicules du réseau Orizo exploité par la spl Tecelys, 15 bus sont électriques et 40 bus hybrides, soit un total de 37% de véhicules ‘propres’. Objectif ? Contribuer à la réduction de la pollution et des émissions de gaz à effet de serre, tout en veillant au confort et à la sécurité des usagers.

31,9M€ investis depuis 3 ans
En 2024 : 32 bus renouvelés (dont 18 hybrides) pour un montant de 13,4 M€ ; En 2023 : 23 bus renouvelés (dont 9 hybrides et 8 électriques) pour un montant de 9,7M€ ; En 2022 : 23 bus renouvelés (dont 9 hybrides et 7 électriques) pour un montant de 8,8M€ pour un total de 31,9 M€ investis depuis 3 ans. Récemment, l’agglomération a lancé une nouvelle génération de vélos électriques en libre-service Vélopop. Elle a également ouvert une Maison du vélo, pôle d’information et de services pour les cyclistes afin d’initier et de  développer la culture du vélo dans l’agglomération.


Théâtre, musique, mime, poésie à la Scala Provence pour trois spectacles cette semaine

Sous l’impulsion de la CCI de Vaucluse, à qui la Région Sud a délégué la gestion de l’aéroport d’Avignon, la plateforme aéroportuaire de la cité des papes entend favoriser la création d’une filière locale de démantèlement et de reconversion aéronautique. Une persévérance qui devrait très prochainement porter ces fruits.

Le projet Aero 145 Aegis ayant finalement fait long feu, la Société aéroport Avignon-Provence, qui gère la plateforme aéroportuaire d’Avignon pour le compte de la CCI de Vaucluse, n’en a pas pour autant abandonné son ambition de développer une activité autour de la mise en place d’une « filière de démantèlement, reconversion, stockage et maintenance d’avions ou d’hélicoptères civils ».
Pour cela, l’aéroport d’Avignon a donc lancé, courant 2024, un AMI (Appel à manifestation d’intérêt) afin de solliciter les éventuels candidats au développement de cette filière. Et c’est l’entreprise Eleven, une société d’ingénierie spécialisé dans la maintenance aéronautique basée à Istres, qui a répondu favorablement à cette demande.

Basée à Istres, la société Eleven est spécialisée dans la maintenance aéronautique. Crédit : Eleven/DR

50 à 70 emplois d’ici 2 ans ?
« Chez nous, Eleven va procéder à la maintenance et au ‘retrofit’ (rénovation) de petits, moyens et longs courriers, dévoile Guillaume Desmarets, nouveau directeur de l’aéroport depuis mai dernier. A charge pour les salariés qui seront recrutés, entre 50 à 70 en 2 ans, de transformer un avion commercial en cargo ou de faire passer le nombre de sièges d’un aéronef de 100 à 200. Ici, à Avignon, l’entreprise nous a fait savoir qu’elle avait besoin, dans un premier temps, de 5 000m2 de hangars pour accueillir des Airbus A 310 par exemple. Mais petit à petit, Eleven pourrait s’agrandir et développer ses activités afin de créer des emplois supplémentaires. »
« Cela élargirait notre gamme de compétences et ancrerait encore plus la Société Aéroport Avignon Provence comme pôle d’excellence », se réjouit Guillaume Desmarets qui a auparavant été pilote de chasse au sein de l’Armée de l’Air et de l’Espace où il a notamment piloté des Jaguar lors de missions en Irak et au Kosovo.

Guillaume Desmarets, directeur de l’aéroport d’Avignon Provence depuis mai dernier. Crédit : aéroport d’Avignon/DR

Le point sur l’activité du site
L’occasion pour celui qui a aussi travaillé au centre d’essais en vol d’Istres de rappeler les enjeux de la plateforme aéroportuaire vauclusienne appartenant à la Région Sud qui en a délégué la gestion à la CCI 84 depuis 2007.
« Ici, nous pouvons accueillir des aéronefs d’une capacité de 20 à 120 places, des Gulfstream américains comme des Embraer brésiliens, poursuit Guillaume Desmarets.
Selon l’Union des aéroports français, celui d’Avignon aurait accueilli 3 758 passagers en 2023 (-62,1% par rapport à 2022) « mais 16 000 en tout par an en incluant les jets privés. Il y a aussi l’aviation civile, d’affaires, les charters, les touristes et si on compte les pilotes, stewarts et hôtesses, ce sont 80 000 personnes transportées. »
« Après le Covid et la crise sanitaire de 2019, l’aéroport d’Avignon a retrouvé son rythme de croisière car les pilotes, cloués au sol pendant des semaines, ont dû repasser leur licence ou leur habilitation, ce qui a boosté l’activité aéronautique » précise aussi le directeur.

Le pôle économique de l’aéroport s’étend sur 16 hectares autour du tarmac de la piste avignonnaise. Il regroupe près de 60 d’entreprises comptant plus de 500 emplois qualifiés. Crédit : aéroport d’Avignon/DR

Un pôle d’emplois qualifiés
L’aéroport c’est aussi le pôle de compétitivité aéronautique Pegase (baptisé pôle Safe au niveau régional) ainsi que les 16 hectares de foncier économique de la zone abritant près d’une soixantaine d’entreprises regroupant plus de 500 emplois qualifiés autour des 1 880 mètres du tarmac de la piste papale.
Parmi eux notamment, la base de maintenance des hélicoptères de RTE (Réseau de transport d’électricité), qui assure l’entretien et la surveillance des plus de 100 000 kilomètres de lignes à haute et très haute tension françaises, le sellier haut de gamme de la Maison Borghino, tout particulièrement spécialisée dans les sièges en cuir pour l’aviation d’affaires, ou bien encore, plus récemment, AES, le pionnier des drones marocains.

Il y a quelques semaines, l’aéroport d’Avignon a été le théâtre d’une première mondiale : le chargement d’un hélicoptère civil Super Puma dans un A400M militaire destiné aux missions de secours à Mayotte. Crédit : aéroport d’Avignon/SAF Hélicoptères/DR

Un ‘hub’ sanitaire et de protection civile
Enfin, activité méconnue de cet aéroport ayant vu le jour en 1937 : la plateforme est aussi un ‘hub’ important en matière de sécurité civile et de santé. Ainsi, elle collabore avec le centre hospitalier Henri-Duffaut, seul établissement de santé du département à être habilité aux prélèvements d’organes en Vaucluse, dans le cadre de transfert d’organe. Dans des circonstances ou chaque seconde compte, il est en effet vital de disposer d’un accès spécifique pour les ambulances afin qu’elles puissent stationner directement aux portes des avions médicalisés.
Par ailleurs, il y a quelques semaines pour la première fois un Super Puma civil a été chargé à l’intérieur d’un avion de transport militaire A400M de l’Armée de l’air. L’hélicoptère était destiné aux missions humanitaires suite au passage du cyclone Chido à Mayotte. Durant le Covid, en 2020, c’est également un A400M qui avait transféré des patients de l’hôpital d’Avignon, alors saturé, vers des établissements de santé en Bretagne.

Andrée Brunetti & Laurent Garcia


Théâtre, musique, mime, poésie à la Scala Provence pour trois spectacles cette semaine

https://www.echodumardi.com/tag/avignon/page/32/   1/1