21 octobre 2025 |

Ecrit par le 21 octobre 2025

Quels sont les prénoms les plus donnés en Vaucluse ?

Si Alba et Adam sont les prénoms les plus donnés en Vaucluse, Manon et Enzo sont ceux qui enregistrent le plus fort recul. Découvrez le top 10 des prénoms en Vaucluse ainsi que leur évolution depuis 2019.

Selon une étude* réalisée par Your surprise, site spécialisé dans les idées cadeaux personnalisées dont les naissances, Alba, Giulia et Ambre sont les 3 prénoms féminins les plus donnés en Vaucluse en 2024. Ces derniers affichent respectivement des progressions de +169%, +47% et +6% depuis 2019. Dans le même temps, Adam, Gabriel et Jules sont les prénoms les plus répandus chez les garçons. Des prénoms en recul cependant de -17%, -9% et -14% depuis 6 ans.

Dans le top 10 des prénoms des petites vauclusiennes c’est Alma qui enregistre la plus forte progression (+235%) alors que Lina connaît la baisse la plus importante (-35%). Du côté des nouveau-nés c’est Ibrahim qui augmente le plus (+25%) et Mohamed qui baisse le plus fortement (-23%).

Quelle tendance au niveau national ?
Actuellement, Louise est le prénom féminin le plus populaire en France, avec 3 125 bébés portant ce prénom. Il est suivi de près par Jade (3 055) et Ambre (2 815). D’autres prénoms en pleine ascension incluent Alba et Alma. Les favoris traditionnels comme Emma, Alice et Anna restent très appréciés, tandis que des prénoms plus récents comme Romy, Inaya et Giulia figurent également dans le top 20. Des prénoms comme Rose, Mia et Lou continuent de séduire les parents.
Depuis le début de l’année Gabriel est le prénom masculin le plus populaire en France, avec 4 550 bébés. Suivent ensuite Raphaël (3 470), Louis (3 335) et Léo (3 325). D’autres prénoms populaires cette année incluent Noah, Arthur, Adam et Jules. Des prénoms comme Maël, Eden et Sacha figurent également dans le top 20. Des prénoms tels que Mohamed et Aaron continuent également d’être choisis par de nombreuses familles.

Les prénoms qui sont en hausse…
Cette année, plusieurs prénoms de filles connaissent une nette hausse de popularité en France. Olivia arrive en tête, avec une augmentation de 79% en cinq ans, suivie de Victoria (+69%) et Inaya (+63%), qui séduisent de plus en plus les jeunes parents grâce à leur sonorité douce et internationale. Des prénoms courts comme Alix (+62%) et des classiques intemporels comme Rose et Agathe (+55%) confirment également cette tendance, à la fois moderne et rétro.
Chez les garçons, c’est le prénom Maël qui connaît une ascension fulgurante, avec une augmentation impressionnante de 320% en cinq ans, reflétant l’attachement aux prénoms bretons. Liam, avec sa sonorité anglo-saxonne, continue de grimper (+98%), tout comme Marius (+70%), Nino (+65%) et Augustin (+50%), qui allient charme rétro et fraîcheur contemporaine. Les parents semblent rechercher des prénoms courts, rythmés et dotés d’une forte personnalité.

… et ceux qui disparaissent
Cependant, tandis que certains prénoms gagnent en popularité, d’autres disparaissent peu à peu des faire-part de naissance à travers la France.
Chez les filles, des prénoms comme Manon, Clara et Camille, autrefois considérés comme des incontournables, enregistrent les baisses de popularité les plus significatives depuis 2010. Du côté des garçons, Tiago, Clément et Baptiste ont vu leur attrait diminuer au cours des cinq dernières années.
Manon est ainsi le prénom féminin le plus populaire à avoir chuté, passant de la deuxième place en 2010 à la 71e place en 2024, soit une baisse de 86%. D’autres prénoms ont également connu une forte baisse, comme Clara (-81%), Camille et Sarah (-79% chacune). Lola et Mathilde ont toutes deux chuté de plus de 70%, tandis que des prénoms classiques comme Emma et Léa ont perdu plus de 50% de leur popularité.
Chez les garçons, Enzo arrive en tête de liste, passant de la 3e place en 2010 à la 56e en 2024, soit une baisse de 82%. Nathan a chuté de 76%, tandis que Baptiste, Yanis et Clément ont chacun perdu plus de 70%. Même des favoris de longue date comme Lucas (-66%), Hugo (-57%) et Alexandre (-71 %) deviennent moins courants.

Génération de bébés Google ?
Si des célébrités influencent souvent le choix des prénoms (un sportif, une star du cinéma ou un chanteur) désormais les parents sont passés aussi à la mode 2.0 dans leur quête d’inspiration. Rien que l’année dernière, les recherches sur Google liées aux ‘prénoms de bébé’ ont augmenté de 35%.

L.G.

*Méthodologie : Pour réaliser cette étude, Your surprise a analysé les prénoms les plus donnés en France en s’appuyant sur les données officielles du registre des naissances de l’Insee, couvrant la période de 2010 à 2024. En observant l’évolution annuelle du nombre d’enfants portant chaque prénom, un classement a été établi afin d’identifier les prénoms de filles et de garçons les plus en déclin, autrement dit ceux qui sont progressivement délaissés. À noter que l’année 2025 étant en cours, les données correspondantes ne sont pas encore disponibles.


Quels sont les prénoms les plus donnés en Vaucluse ?

C’est une réalité dont on parle peu. D’ailleurs on préfère n’y voir que de la félicité et peu de femmes ont été en capacité de dire leur désarroi : Cette chape de plomb qui vous tombe dessus, annihilant tout sentiment, alors que la naissance de votre nouveau-né devrait vous combler.

La jeune maman, elle-même, ne sait pas ce qui lui arrive. Et la plupart du temps, s’enfoncera dans un opaque silence. La plupart du temps également, le personnel soignant passera son tour. Par manque de temps ou de formation.

Une femme sur deux déprime après la naissance de son bébé
Pourtant une fois chez elle, une femme sur deux déprimera sévère avec son nouveau-né dans les bras. Ce qui sera préjudiciable autant pour la maman que pour l’enfant. Mais le savoir et en parler pourrait enfin libérer tout le monde et surtout trouver des solutions pour passer ce cap difficile et s’envoler vers des horizons libérateurs et sereins.

Comment faire ?
En s’en ouvrant tout de suite à la maternité ou et auprès de son médecin soignant. Le bénéfice ? Apprendre à se connaître pour mieux prendre soin de soi. Et prendre soin de soi c’est aussi prendre soin des autres.

L’info qui heurte ?
Plus de la moitié des nouvelles mamans souffrent d’anxiété ou de dépression post-partum selon un sondage effectué par Intima, à l’occasion de la fête des mères.

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Un moment palpitant et éprouvant
La naissance est l’événement le plus palpitant, mais aussi le plus éprouvant dans la vie d’une femme. Le moment où l’enfant vient au monde chamboule toute son existence, mais cela ne s’arrête pas là. En effet, le rétablissement postnatal est souvent difficile.

On parle de guérison physique et si on allait plus loin ?
La plupart du temps, les nouvelles mamans consultent pour des problèmes liés à la guérison physique. Pourtant, les changements hormonaux qui suivent l’accouchement peuvent avoir un fort impact sur la santé émotionnelle et mentale.

États-Unis, au Royaume-Uni, en Espagne, en Italie et en France 
C’est ainsi qu’Intima, marque de santé intime, a questionné 5 019 mères âgées de 20 à 40 ans aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Espagne, en Italie et en France afin de connaître les sujets tabous autour de la période qui suit l’arrivée du nouveau-né.

Une question d’hormones
Pendant la grossesse, les niveaux d’hormones atteignent des sommets et chutent dès l’accouchement, ce qui peut causer des sautes d’humeur. La combinaison entre cette brusque baisse hormonale et le stress généré par l’adaptation au rythme et aux besoins de bébé font que la jeune maman est plus susceptible de développer une dépression post-partum pendant le premier mois de sa nouvelle vie de mère. 

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Une enquête qui lève les tabous
Cette enquête a révélé qu’après la naissance de leur enfant, 54 % des femmes souffrent d’anxiété, 49 % de dépression et 32 % de douleur lors des rapports sexuels.11 % d’entre elles n’en ont jamais parlé autour d’elles. 70 % des participantes ont déclaré avoir eu une conversation à ce sujet avec leur partenaire, 47 % avec le personnel médical et 22 % avec des ami(e)s.

Anxiété, abattement, dépression post-partum
Parmi celles qui ont parlé de leurs sentiments d’anxiété ou de leur abattement avec un médecin, 50 % ont été diagnostiquées comme souffrant de dépression post-partum, 34 % du syndrome du troisième jour (ou « baby blues ») et 7 % d’autres problèmes mentaux. 7 % ont reçu un diagnostic de psychose puerpérale et 21 % ne présentaient aucun trouble psychique.

Le syndrome du 3e jour
On confond souvent la dépression post-partum et le syndrome du troisième jour. Ce dernier survient à la suite de la chute soudaine du niveau hormonal, en particulier celui des estrogènes. Voici les symptômes les plus communs : humeur changeante, confusion mentale et anxiété. Le baby blues débute en général un à trois jours après l’accouchement et peut durer plusieurs semaines. Il passe habituellement tout seul, sans traitement médical, mais dans 20 % des cas, il se transforme en dépression post-partum. Il est donc essentiel que les femmes en parlent ouvertement avec leurs proches, qu’elles leur fassent part de leurs sentiments, et qu’elles savent quand elles doivent se tourner vers un spécialiste.

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Les symptômes
Tout comme le syndrome du troisième jour, les changements hormonaux sont aussi responsables de la dépression post-partum. Cette dernière est toutefois beaucoup plus grave et demande un traitement médical. Elle se manifeste dans les six semaines après la naissance. Près d’une femme sur sept en souffre, mais comme elles ne consultent pas toujours un médecin et que certaines souffrent en silence, ce chiffre pourrait être plus élevé. Les symptômes de la dépression post-partum qui apparaissent dans les quatre semaines après l’accouchement sont : la mauvaise humeur, la perte d’intérêt, les insomnies, les sentiments de culpabilité et l’anxiété, pour n’en citer que quelques-uns. Les sautes d’humeur et le manque d’intérêt envers leur petit ne sont pas rares. Cette pathologie est en général traitée avec une combinaison de psychothérapie et d’antidépresseurs. 

Un sondage auprès des femmes de 20 à 30 ans
Le sondage a par ailleurs montré que les femmes interrogées avaient eu leur premier enfant entre l’âge de 20 et de 30 ans (âge moyen en France : 25 ans). Parmi elles, 22 % ont répondu qu’elles ont attendu avant d’avoir un bébé pour différentes raisons : 38 % manquaient de stabilité financière, 31 % ne se sentaient pas prêtes, 22 % avaient peur de l’accouchement, 11 % n’arrivaient pas à tomber enceintes et ont eu recours à l’assistance médicale à la procréation, 9 % ne voulaient pas avoir d’enfants et 7 % ont affirmé que leur partenaire n’en voulait pas.

En conclusion,
tout ce qui a trait à la maternité est très éprouvant : du fait d’essayer de tomber enceinte, à la période postnatale, en passant par le choix du bon moment et la grossesse avec tous les changements physiques et hormonaux qu’elle comprend. Comme la vie est faite d’incertitudes, on n’est jamais assez préparé à affronter une grossesse et la vie de jeune maman. Il est essentiel de bien dormir et de savoir reconnaître les symptômes d’anxiété, du syndrome du troisième jour ou de la dépression. Parfois, la meilleure cure est de faire part des problèmes liés à la maternité à ses proches.
MH

DR

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