1 mai 2024 |

Ecrit par le 1 mai 2024

Aygues-Ouvèze en Provence : le bus ‘France services’ inauguré

Le préfet du Vaucluse, Bertrand Gaume et le président de la communauté de communes Aygues-Ouvèze en Provence ont inauguré le bus France Services mis en place pour accompagner les habitants des 8 communes de la CCAOP dans leurs démarches administratives.

Chaque France services donne accès aux neuf partenaires nationaux : ministères de l’Intérieur et de la Justice, direction générale des finances publiques, Pôle emploi, l’Assurance retraite, Caisse nationale d’assurance maladie, Caisse nationale des allocations familiales, Mutualité sociale agricole et La Poste. L’accompagnement se fait soit par des permanences régulières, soit par visioconférence. Ces structures s’adressent notamment aux usagers qui ne peuvent se déplacer dans les services publics des agglomérations voisines pour effectuer leurs démarches mais aussi à ceux qui ont des difficultés à utiliser les outils numériques ou qui n’en ont pas à leur disposition.

Où en Vaucluse ?

Il en existe 18 en Vaucluse, dont 2 structures sont itinérantes et 4 viennent d’être labellisées à Caderousse, Morières-lès-Avignon, Cucuron et Pertuis. Ces espaces offrent également, via des collectivités et des associations, d’autres propositions d’aide. Les deux structures itinérantes couvrent les communes rurales des Communautés de communes Aygues-Ouvèze en Provence et Pays d’Apt Luberon. L’espace France services le plus proche de chez vous ? Il est ici. Compte tenu de la situation sanitaire il est préférable de prendre rendez-vous avant de s’y rendre. Plus de 1300 structures ont été déployées en France pour se situer à moins de 30 minutes des usagers.

Dans le détail

Les agents accompagnent les usagers dans les démarches en ligne : navigation sur les sites des opérateurs, simulation d’allocations, demande de documents en ligne ; pour résoudre les situations plus complexes en s’appuyant sur un correspondant au sein des réseaux partenaires, le cas échéant par un appel vidéo avec l’usager ; mettre à disposition et accompagner l’utilisation d’outils informatiques tels que la création d’une adresse e-mail, l’impression ou scan de pièces nécessaires à la constitution de dossiers administratifs.

Les agents conseillent les usagers. Photo: Préfecture de Vaucluse.

L.M


Aygues-Ouvèze en Provence : le bus ‘France services’ inauguré

Dans le cadre du plan de relance, la gendarmerie du Vaucluse a bénéficié d’une nouvelle flotte automobile : 16 véhicules, dont 4 motos exposés vendredi dernier à la brigade territoriale autonome de l’Isle-sur-la-Sorgue.

La flotte comprend notamment 5 véhicules banalisés zoé électrique, 9 Peugeot 5008 thermiques et 2 véhicules Kangoo, affectées principalement à des missions de liaison. Ce renouvellement s’inscrit dans le cadre du plan de relance national et européen, voulu par le Ministère de l’Intérieur (auquel la flotte de gendarmerie est rattachée depuis 2008).

Afin de renouveler le parc automobile des forces de sécurité, le Parlement a abondé de 75 millions d’euros les crédits du ministère de l’Intérieur. A cet effet, 1 263 véhicules électriques, 15 000 vélos électriques et 1 355 véhicules thermiques Peugeot 5008, fabriqués en France, ont été répartis dans les commissariats de police et les brigades de gendarmerie.

La Direction départementale de la sécurité publique de Vaucluse (DDSP) a pour sa part été équipée de 4 véhicules banalisés zoé électrique, 6 vélos à assistance électrique et 4 Peugeot 5008 thermiques. Une opportunité offerte aux pouvoirs publics pour passer au « zéro émission » de gaz à effet de serre.

En 2021, ces investissements vont se poursuivre grâce aux crédits prévus en loi de finances et en relance. Ils permettront un renouvellement historique de la flotte automobile des forces de sécurité à hauteur d’un quart des véhicules et répondront à l’objectif de verdissement du parc automobile. Outre une amélioration des conditions de travail des forces de l’ordre, ces investissements représentent un levier important de soutien au secteur économique local et national, dans une période où l’activité est fortement impactée par la crise sanitaire.

Le colonel Le Neindre et le préfet du Vaucluse, Betrand Gaume. ©David Benezech

L.M.


Aygues-Ouvèze en Provence : le bus ‘France services’ inauguré

Après Grand Delta Habitat, RES, et Pellenc, au tour des collaborateurs de la Préfecture du Vaucluse d’être présentés aujourd’hui dans la rubrique Etat-major.

Bertrand Gaume (46 ans – Science Po Lyon, DESS Université Paris Nanterre, ENA), préfet de Vaucluse depuis 2018. Seul haut fonctionnaire dont les compétences ont une base constitutionnelle, il est nommé par décret du Président de la République, pris en Conseil des Ministres. Auparavant : directeur de cabinet du ministre délégué chargé de l’Economie sociale et de la consommation, directeur de cabinet du ministre puis de la ministre de l’Education nationale & ESR et Préfet de Corrèze. Il est accompagné  du corps préfectoral de Vaucluse dans l’exercice de ses fonctions:

Didier François (65 ans – ENA, D.E.U.G. droit et DAP), administrateur général, nommé sous-préfet de l’arrondissement de Carpentras, décoré de l’Ordre national de la Légion d’honneur. Auparavant : secrétaire général pour les affaires régionales auprès du préfet de la région Midi Pyrénées ; directeur adjoint à la direction de l’information légale et administrative dans les services du premier ministre ; administrateur général ; chargé de mission auprès du secrétaire général du ministre de l’intérieur ; directeur de projet auprès de la directrice de modernisation et action territoriale au sein du ministère de l’Intérieur.

Alex Gadré, (28 ans – ENA), directeur de cabinet, assiste le préfet dans sa responsabilité du maintien de l’ordre public et de la sécurité sur l’ensemble du département. Missions essentielles : lutte contre la délinquance, protection des populations, pilotage de la stratégie de communication de l’État dans le département. Auparavant : chargé de mission auprès du secrétaire général du ministre de l’Intérieur, chargé de mission auprès du directeur général de la Police nationale.

Marie-Charlotte Euvrard (Saint-Cyr, diplôme d’Etat-Major), Sous-Préfète chargée de mission, organise la coordination interministérielle locale sur la politique de la ville, exerce une fonction de dialogue avec les collectivités territoriales et les acteurs locaux (CAF, bailleurs sociaux, pôle emploi, caisse des dépôts, MSA)  Auparavant : Officiers des armes en poste opérationnel ; Commandant de compagnie à l’Ecole Polytechnique ; directrice de cabinet du général commandant le service militaire volontaire.

Christian Guyard, (cycle préparatoire ENA, IEP, EHESP), Secrétaire général, sous-préfet de l’arrondissement d’Avignon. En charge de la conduite des politiques interministérielles, gestion des grands dossiers départementaux et impulsion donnée aux actions de l’État dans le département. Assure l’intérim du préfet en cas d’absence ou de vacances, anime le dialogue social avec les agents et gère le budget et le patrimoine de la préfecture. Auparavant : secrétaire général de la préfecture du Gers ; adjoint au sous-directeur – chef du BPFI ; sous-préfet chargé de mission au sein du Ministère de l’Intérieur.

Christine Hacques, (DEA, DESS, INET), Sous-Préfète de l’arrondissement d’APT. Également référente départementale des questions de ruralité, assure par son rôle de conseil et d’animation de différentes commissions et instances : la sécurité de biens et des personnes, garantie des libertés publiques- réglementation, développement local et mise en œuvre de politiques nationales. Auparavant : directrice générale adjointe des services de la Ville, en charge des « services à la population » à Valence ; directrice de la Culture puis directrice générale adjointe des services, en charge des « Territoires » au sein du département de l’Ardèche ; Sous-préfète d’Yssingeaux (Haute-Loire).

Julien Fraysse (30 ans – Sciences Po, INET), administrateur territorial, nommé sous-préfet à la relance auprès du Préfet de Vaucluse. Chargé de l’animation et du suivi partenarial des mesures du plan France Relance. Coordonne et facilite la mise en œuvre des trois volets, économique, social, et écologique dans l’accompagnement des porteurs de projets. Auparavant : chargé de projets économiques structurants à Mulhouse Alsace Agglomération.


Aygues-Ouvèze en Provence : le bus ‘France services’ inauguré

Julien Aubert, député de Vaucluse a interpellé Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture, sur la filière de la fraise française concurrencée par les prix bas de sa cousine espagnole et propose la création d’une Indication géographique protégée.

Le prix de la fraise

En effet, la fraise produite en Vaucluse se trouve en position très défavorable par rapport à la fraise espagnole vendue, aujourd’hui en France à 1,60€ le kg contre 8€ en moyenne pour les fraises vauclusiennes. Cette concurrence menace les producteurs français de fraises mettant en danger toute la filière économique et donc les emplois locaux. Le député a donc demandé au ministre d’envisager des dispositions pour rééquilibrer la différence de prix entre la fraise espagnole et française. Il a également appelé le ministre de l’Agriculture à appuyer la création d’une indication géographique protégée en faveur de la fraise vauclusienne. Enfin Julien Aubert a alerté sur cette situation hier en hémicycle dans le cadre de l’examen du projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets.

En 2020

Le problème est récurent. En mars 2020 le Syndicat de Protection de la Fraise de Carpentras, émanation de la Confrérie de la fraise, dont la présidente est Virginie Fraysse, alors atteint de plein fouet par la crise sanitaire s’était déjà battu pour la vente de son fruit, notamment avec la fermeture du Marché d’intérêt national de Châteaurenard, des restaurants, l’annulation des fêtes de Carpentras et Velleron et une grande distribution locale ou des centrales d’achats plus séduites par le prix du fruit espagnol. L’année dernière, encore, le député de la 5e circonscription, avait prévenu le Ministère de l’Economie, sans qu’aucune réaction n’émaille le débat.

En 2019

En 2019, Bertrand Gaume, le préfet de Vaucluse, s’en était ému invitant à réunir les services de la Draaf (Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt) et de la DDT (Direction départementale des territoires) ainsi que les représentants des organisations professionnelles agricoles et des grandes et moyennes surfaces. Des enseignes de grande distribution s’étaient alors engagées à promouvoir la fraise française avec des animations en magasin et une mise en avant dans leur catalogue commercial. Avec 6 000 tonnes produites chaque année, la fraise de Carpentras représente plus de 50 % de la production provençale. L’Espagne est le 1er producteur européen de fraises avec 360 000 tonnes récoltées chaque année. En France, une fraise sur deux est espagnole est vendue en moyenne 3,5 fois moins chère que la fraise française.


Aygues-Ouvèze en Provence : le bus ‘France services’ inauguré

Marie-Charlotte Euvrard est la nouvelle sous-préfète chargée de mission Politique de ville en Vaucluse. Auparavant directrice de cabinet du général commandant le Service militaire volontaire au ministère des Armées depuis juillet 2019, cette dernière a succédé à Elisa Basso nommée directrice de cabinet du préfet de l’Hérault.

Commandante de l’armée de terre, Marie-Charlotte Euvrard a avant dirigé une compagnie à l’Ecole polytechnique de juillet 2016 à juillet 2019.

Elle est titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr obtenu avec le grade de Master.

 


Aygues-Ouvèze en Provence : le bus ‘France services’ inauguré

Bertrand Gaume, préfet de Vaucluse, vient d’être promu chevalier de la Légion d’honneur. Agé de 46 ans, ce dernier a été distingué pour ses 20 ans de services sur le contingent du ministère de l’Intérieur.

Préfet de Vaucluse depuis juin 2018, Bertrand Gaume avait alors succédé au très controversé Jean-Christophe Moraud qui ne sera resté que 9 mois à la tête des services de l’Etat dans le département. Juste le temps nécessaire de faire la quasi-unanimité des élus locaux contre lui. Tout l’inverse du nouveau préfet qui, lui, aura réussi à réconcilier bon nombre de maires vauclusiens avec l’Etat.

Originaire de Vichy dans l’Allier, ce père de deux enfants, avait été précédemment préfet de la Corrèze à partir d’août 2015. Bertrand Gaume a aussi été auparavant directeur de cabinet de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche. Il a également été, en mai-juin 2012, le directeur de cabinet de Benoit Hamon ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et du commerce extérieur, chargé de l’économie sociale et solidaire et de la consommation.

Cet Enarque de la promotion Copernic a aussi été notamment sous-directeur, chef du service des finances et du budget au ministère de la défense et des anciens combattants, chef du bureau central des cultes au ministère de l’intérieur ainsi que sous-préfet et directeur de cabinet des préfets du Doubs et de la Gironde.

Diplômé de l’Institut d’études politiques (IEP) de Lyon et titulaire d’un DESS (Diplôme d’études supérieures spécialisées) politiques publiques locales.


Aygues-Ouvèze en Provence : le bus ‘France services’ inauguré

31 000 bénéficiaires en 2017, 33 000 en 2020, la pauvreté progresse et ce n’est pas la triple crise sanitaire, économique et sociale qui va inverser la tendance. Ce week-end, vous les avez vus avec leurs gilets orange fluo, les centaines de bénévoles qui ont quadrillé les supermarchés de l’ensemble du département pour la fameuse collecte de produits alimentaires et d’hygiène. Même le préfet, Bertrand Gaume, s’y est collé. Il s’est rendu au siège de l’association, à Montfavet et après avoir pris un café et rencontré l’équipe qui entoure Anne Paly, la présidente, il s’est posté à l’entrée de Mistral 7 pour tendre lui-même des sacs aux clients venus faire leurs courses, comme n’importe quel autre citoyen anonyme mais engagé dans cette opération de solidarité.

25 ans au service des Vauclusiens

La Banque Alimentaire (BA) de Vaucluse a 25 ans cette année, son rôle est d’aller retirer les invendus consommables, de faire la chasse au gaspi dans les magasins d’alimentation, de trier et de stocker, notamment les surgelés dans les congélateurs, sans interrompre la chaîne du froid. Ensuite, plus de 70 associations caritatives de l’ensemble du territoire viennent se fournir chez elle ou sont livrées tout au long de l’année pour donner ensuite de quoi se nourrir aux plus démunis. C’est dire l’importante de cette collecte du dernier week-end de novembre qui conditionne en grande partie l’activité du reste de l’année.

« La situation s’aggrave, la précarité empire, il y a de plus en plus de personnes qui vivent au-dessous du seuil de pauvreté, précise Annie Paly. De nouvelles catégories sont concernées, les jeunes adultes, notamment les étudiants qui n’ont pas eu de petit boulot depuis le virus, les mamans seules à s’occuper de leurs enfants et qui au printemps, quand les écoles étaient fermées, avaient trois repas par jour à confectionner, les retraités, beaucoup de veuves. Depuis mars, la demande a progressé de 20%. »

Un manque de bénévole

A Montfavet, siège de l’association, sur 1 500m2 œuvrent 8 salariés, dont 4 chauffeurs, des jeunes qui se sont engagés dans le ‘Service civique’ et des bénévoles. Il y en a une cinquantaine mais les effectifs ont fondu, divisés par deux en quelques années, puisqu’on pouvait compter sur 90 volontaires auparavant. « Mais nos bénévoles vieillissent, on en a qui tournent autour de 75-80 ans, souvent ils vivent eux-mêmes dans des conditions précaires et même si des jeunes veulent se rendre utiles, ils sont peu nombreux à s’engager » déplore la présidente de la BA 84.

En 2019, 103 tonnes de nourriture avaient été collectées, là, tout n’a pas été comptabilisé. Covid oblige, les produits offerts par les vauclusiens ne seront triés que dans 3 jours puis stockés. Une trentaine de magasins ont gardé l’ensemble des denrées au frais et tout n’a pas encore été pesé. « On avait cru, avec la crise, que la collecte serait plus maigre, mais ce n’est pas avéré, le mouvement de solidarité a été formidable, confie Annie Paly. Certains, particulièrement sensibles à la pauvreté qui gagne du terrain ont carrément rempli des chariots à ras bord, ça fait chaud au cœur cet élan de générosité. Et finalement, quand on aura fait le point, on verra que ce sera peut-être mieux que prévu. Les donateurs se disent que la précarité peut les toucher eux aussi, ça n’arrive pas qu’aux autres. »

L’unique banque qui ne s’intéresse pas à notre argent

En plus de cette opération annuelle, la Banque Alimentaire, reconnue d’utilité publique, reçoit des aides, du département, qui, cette année a aussi fourni des produits frais venant de paysans, comme des œufs, du fromage, du lait, des lapins et bien sûr des fruits et légumes. La Région Sud a rajouté 20 000 € à sa subvention habituelle, la Ville d’Avignon aussi a proposé une rallonge. La Banque Alimentaire doit payer un important loyer pour sa plateforme de Montfavet, les factures d’électricité, du chauffage, du téléphone, l’essence des camions, le salaire du personnel qui gère, trie et livre les denrées alimentaires, mais aussi les produits d’hygiène pour bébés qui coûtent cher et que tout le monde ne peut pas s’offrir. Cette année, on a aussi vu des caddies de supermarchés avec des sacs de croquettes et des terrines réservés aux chats et chiens qui sont les seuls compagnons de personnes âgées et isolées qui ont de moins en moins les moyens de les nourrir.

Bref, la seule et unique banque qui ne s’intéresse pas à notre argent mais aux gens, c’est la Banque Alimentaire.

www.monpaniersolidaire.org

 


Aygues-Ouvèze en Provence : le bus ‘France services’ inauguré

Après avoir été déclaré ‘cas contact’ suite à un dîner officiel en compagnie de la ministre de la culture, Roselyne Bachelot, lors de sa venue à Avignon à l’occasion Etats généraux des festivals, le préfet de Vaucluse a pu sortir ce week-end de sa période d’isolement.

Auparavant, durant une semaine, Bertrand Gaume a donc dû télé-travailler depuis la résidence préfectorale située dans l’intra-muros de la cité des papes. Au final, son dernier test PCR au Covid-19 s’étant révélé négatif, comme d’ailleurs celui de la ministre de la culture, il a pu reprendre ses activités normalement. Pour rappel, sont considérés comme cas contact toute personne ayant été en contact, sans masque, pendant une période supérieure à 15 minutes avec une personne diagnostiquée ‘Covid positif’.


Aygues-Ouvèze en Provence : le bus ‘France services’ inauguré

Bertrand Gaume, préfet de Vaucluse, ainsi que Roselyne Bachelot, ministre de la culture, viennent d’être placés à l’isolement après avoir été déclarés ‘cas contacts’. Ils avaient participé à un dîner vendredi 2 octobre, à la suite duquel une personne a été diagnostiquée positive ce dimanche.

Sont considérés comme cas contact toute personne ayant été en contact, sans masque, pendant une période supérieure à 15 minutes avec une personne diagnostiquée ‘Covid positif’. Comme le stipule la règle sanitaire, le préfet de Vaucluse effectuera un test PCR 7 jours après avoir été en contact avec cette personne diagnostiquée ‘Covid Positif’ et devra observer d’ici là une période d’isolement en télétravail, tout comme la ministre de la Culture. Pour rappel, Roselyne Bachelot est venue dans la cité des papes vendredi et samedi dernier à l’occasion des premiers états généraux des festivals.

https://www.echodumardi.com/tag/bertrand-gaume/page/2/   1/1