4 novembre 2025 |

Ecrit par le 4 novembre 2025

L’entreprise bucco-rhodanienne Qista doublement reconnue pour son travail en faveur de la transition écologique

L’entreprise de démoustication durable Qista, installée à Sénas, rejoint la communauté du Coq Vert de Bpifrance, composée de dirigeants engagés dans la transition énergétique et écologique. Une reconnaissance pour la société qui a aussi été désignée PME de l’année 2025 pour la Région Sud dans le cadre des Trophées PME RMC-BFM..

Fondée en 2014 par l’Arlésien Pierre Bellagambi, l’entreprise Qista propose une solution pour lutter contre les moustiques sans impacter les écosystèmes. Le parcours de la PME, dont la transition un moteur de compétitivité, lui a offert une porte d’entrée dans la communauté du Coq Vert, initiée par Bpifrance, en partenariat avec l’ADEME et le ministère de la Transition écologique.

Créé en 2020, cette communauté regroupe plus de 3 000 dirigeants engagés dans la transition énergétique et écologique et a pour objectif de construire une dynamique collective en valorisant les bonnes pratiques, encourageant l’innovation responsable et accompagnant la transition écologique et énergétique des entreprises françaises.

Une reconnaissance pour l’entreprise bucco-rhodanienne

Cette entrée dans la communauté du Coq Vert représente une vraie reconnaissance pour Qista. « Cette adhésion vient saluer près de 12 ans d’engagement de Qista en faveur de la santé publique et de la qualité de vie », déclare l’entreprise.

« Cette reconnaissance ne marque pas un aboutissement, mais une nouvelle étape vers un changement de paradigme. »

L’entreprise sénassaise souhaite poursuivre ses efforts pour lutter contre la prolifération de moustiques tout en utilisant des technologies non toxiques pour l’environnement. « Avec les acteurs de la communauté du Coq Vert, nous souhaitons démontrer qu’innovation et responsabilité environnementale peuvent avancer ensemble pour bâtir une industrie française durable », affirme Pierre Bellagambi, PDG de Qista.

PME de l’année 2025 pour la Région Sud

En parallèle, l’entreprise Qista a aussi été distinguée lors des 16e Trophées PME RMC-BFM. Organisé chaque année par RMC et BFM, ce concours distingue les petites et moyennes entreprises françaises les plus performantes, innovantes et qui font preuve d’une exceptionnelle résilience.

Ainsi, Qista a obtenu le Trophée de la PME de l’année 2025 pour la Région Sud. « Ce prix honore non seulement le travail accompli, mais aussi la vision que nous défendons depuis notre création : prouver qu’il est possible d’allier performance, durabilité et respect du vivant, se félicite le PDG. C’est une reconnaissance de la vitalité industrielle de notre région et du rôle très concret que peuvent jouer les entreprises françaises dans la transition écologique. »

Qista représentera donc la Région Sud lors de la finale nationale des Trophées PME RMC-BFM, qui se tiendra à Paris le 27 novembre prochain.


L’entreprise bucco-rhodanienne Qista doublement reconnue pour son travail en faveur de la transition écologique

Imaginez 9 hectares de roseaux, de rizières, de salins, de marais, de garrigue, de pins, de tamaris, de roubines et d’étangs au milieu du Delta du Rhône, 20 000 hectares protégés et classés depuis 2002 en « réserve naturelle de biosphère » par l’Unesco. C’est là, dans ce paradis sur terre qu’est implanté le Mas de Dard.

Une propriété qui a un long passé. Là où ont été proposés des rodéos à cheval, des spectacles avec des manades de taureaux sauvages, des concours de monte à cru (sans selle). C’est l’époque où le cigarettier américain Marlboro venait tourner ses publicités avec cow-boys à cheval, à chemises à carreaux et bottes santiags, là où avaient été tournés Crin Blanc et D’où viens-tu Johnny avec évidemment Johnny Hallyday.

Cette propriété de 1 200 m² bâtis dont 600 m² habitables a aussi appartenu à Jean Broussolle. Cet auteur-compositeur-interprète a longtemps fait partie du groupe vocal ‘Les Compagnons de la Chanson’ et avait notamment écrit Je suis le vagabond, le marchand de bonheur (une chanson dont seuls les plus de 50 ans se souviennent !)

Plus récemment, les propriétaires n’étaient autres que Marie Sara et Henri Leconte. Le champion de tennis et l’une des rares françaises « torera à cheval », fille d’Antoine Bourseiller, un élève de Jean Vilar, comédien, metteur en scène et ancien patron du Théâtre du Gymnase à Marseille. Marie Sara, elle, avait été formée par Simon Casas, ancien matador et organisateur de corridas, notamment à Nîmes où il est né.

Un rachat récent par un Avignonnais

Et cette propriété a été rachetée il y a peu par un avocat avignonnais, Lionel Goret, qui, avec sa compagne Aurélie David, l’a rénovée pour en faire un site de réceptions pour mariages et séminaires de prestige.

Aurélie David et Lionel Goret.

Le sable a été remplacé par du béton ciré dans le manège a été transformé en salle de réception pour 200 à 300 convives. Il jouxte les élégantes écuries et leur carrelage d’azulejos camarguais. Piscine, terrains de pétanque, de pickleball avec et de tennis, mais aussi sauna, cabanes perchées avec tentes confortables au-dessus des marais et vue imprenable sur les chevaux de race Camargue sont offerts aux clients prêts à privatiser ce site pour un soir, un jour, un week-end, une cérémonie inoubliable aux Saintes-Maries-de-la-Mer. Avec en prime, sur demande, l’organisation de spectacles équestre devant leurs fenêtres.

Suite nuptiale avec lit king-size XXL, salon, cheminée, terrasse privée, mais aussi chambres individuelles, studios indépendants, en tout jusqu’à 26 personnes peuvent dormir sur place, entre murs de chaux, carrelages de terre cuite, mobilier provençal et poutres apparentes et un calme absolu.

Piquez-vous au jeu ! Allez faire un tour pour découvrir ce havre de paix, de biodiversité et de verdure, Le Mas de Dard.

Mas de Dard
Draille des Capelans
13 460 Les Saintes-Maries-de-la-Mer
masdedard.fr


L’entreprise bucco-rhodanienne Qista doublement reconnue pour son travail en faveur de la transition écologique

L’association bucco-rhodanienne Artmobile Création organise la 19e édition de ‘La Farandole des Ancêtres’, un rallye de vieilles voitures qui vont sillonner les routes du Gard, du Vaucluse et des Bouches-du-Rhône les vendredi 10, samedi 11 et dimanche 12 octobre.

Un véritable musée roulant explorera les territoires du Gard, du Vaucluse et des Bouches-du-Rhône ce week-end. En effet, il n’y aura que des véhicules ‘ancêtres’, c’est-à-dire de plus de 100 ans. Ce rallye promenade est réservé aux voitures construites avant 1919, la plus vieille étant une Cottereau datant de 1898.

Une vingtaine de participants venant de diverses régions de France, mais aussi de Belgique et de Suisse parcourront le Sud pendant trois jours. Une manifestation devenue incontournable pour les passionnés de véhicules très anciens.

Le parcours

Le public pourra admirer le cortège au travers de son parcours. Les voitures feront un arrêt au Musée Georges Borias à Uzès ce vendredi 10 octobre de 14h30 à 15h30 puis se dirigeront vers le Parc du Château de Flaux entre 16h30 et 17h.

Ce samedi 11 octobre, direction les Alpilles vers le Domaine Grand Mas de Lansac à Tarascon entre 9h30 et 10h30, puis les véhicules passeront par Maussane et marqueront un arrêt au Rucher des Alpilles à Saint-Rémy-de-Provence de 15h à 16h, et enfin, la journée se terminera par une réception en mairie d’Estézargues entre 17h30 et 18h30.

Pour le dernier jour de ce rallye promenade, les voitures repartiront vers le Gard en passant par le Vaucluse. Les participants passeront par Saze entre 8h30 et 9h avant de visiter la Tour Philippe le Bel à Villeneuve-lès-Avignon à 9h30 avant de passer par le centre-ville pour terminer ce périple sudiste.


L’entreprise bucco-rhodanienne Qista doublement reconnue pour son travail en faveur de la transition écologique

Les Passagers du Zinc nous invitent à une soirée joyeuse et dévergondée dans la belle salle de la Rotonde de Châteaurenard.

Les os sur la peau de Bob’s not Dead

Bob chante la vie, l’amour, la révolte… Ce qu’il y a de chouette chez Bob’s Not Dead, c’est qu’il surprend toujours là où on ne l’attend pas tout en étant exactement conforme à ce qu’on en espère. Seul sur scène avec ses guitares et sa boite à rythme ‘Paulette’, il viendra nous présenter ses chansons tirées de son album Les Os sur la peau

Avec sa gouaille incomparable, il balance un cocktail décoiffant de chanson réaliste, d’esprit libertaire et punk. Fidèle à ses convictions, il défend ses idéaux avec passion, générosité et une tendresse infinie. Ce soir, BOB vous invite à l’insoumission joyeuse, à la tendresse désinvolte et la dérision salvatrice le temps d’un concert, l’énergie brute !

L’unique Pasteur Guy

On ne saurait le classer, et on ne le présente plus ! Artiste dévergondé, dont les sermons consistent à mixer ensemble les plus grands morceaux Rock, Soul ou Funk ! Il saura nous faire aimer ses prêches, sulfureux et profondément décalés. Artisan d’une foi musicale inconditionnelle et prosélyte, Pasteur saura nous enrôler dans son show mystico-comico-religieux.

Vendredi 3 octobre. 20h30. 5 à 18€. La Rotonde. Parking Super U. Boulevard Ernest Genevet. Châteaurenard.


L’entreprise bucco-rhodanienne Qista doublement reconnue pour son travail en faveur de la transition écologique

Brandon Dehan est le chef pâtissier du restaurant gastronomique l’Oustau de Baumanière aux Baux-de-Provence. Pour régaler vos papilles et celles de vos proches, il vous dévoile la recette de riz au lait.

Porter tous les ingrédients à ébullition dans une casserole, puis les cuire au four à 165 °C pendant environ une heure. Refroidir la préparation sur de la glace afin de stopper la cuisson.

Les noix de cajou caramélisées (praliné cajou) :
– 450 g de sucre semoule
– 1 kg de noix de cajou torréfiées

Faire cuire le sucre à 116 °C avec un peu d’eau. Ajouter les noix de cajou, bien mélanger jusqu’à ce que chaque noix soit enrobée de sucre, puis faire caraméliser. Étaler sur un Silpat et laisser refroidir. Mixer en poudre pour obtenir un praliné (garder quelques noix de cajou caramélisées pour le dressage).

L’opaline aux corn flakes :
– 335 g de fondant
– 225 g de glucose
– 60 g de corn flakes (pétales de maïs)

Faire cuire le fondant et le glucose à 165 °C. Ajouter les corn flakes, débarrasser, laisser refroidir, puis mixer. Étaler cette poudre sur un Silpat, faire fondre brièvement au four et découper 8 disques d’opaline.

L’infusion de riz basmati :
– 1,4 litre de lait entier
– 800 g de crème liquide
– 100 g de sucre semoule
– 1 g de sel fin
– 50 g de trimoline
– 210 g de riz basmati

Faire bouillir le lait et la crème avec le sucre, le sel et la trimoline. Cuire le riz dans ce mélange jusqu’à ce qu’il soit tendre et laisser infuser le tout une nuit au frais.

Le siphon de riz au lait :
– 100 g de jaunes d’oeufs
– 25 g de sucre semoule
– 25 g de trimoline
– 70 cl de lait entier
– 400 g de crème liquide
– 50 g de sucre semoule
– 100 g de riz Arborio
– 900 g d’infusion de riz basmati (voir ci-dessus)

Fouetter les jaunes d’œufs avec 25 g de sucre et la trimoline jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Faire bouillir le lait et la crème avec le sucre, ajouter le riz Arborio et le faire cuire jusqu’à ce qu’il soit tendre. Verser le tout sur le mélange jaunes-sucre-trimoline en fouettant bien, ajouter l’infusion de riz basmati. Mixer à l’aide d’un mixeur plongeant, passer au chinois, laisser refroidir. Introduire 600 g de ce mélange dans un siphon et introduire deux cartouches de gaz.

Le crémeux à la noix de cajou :
– 3 g de gélatine en feuilles
– 45 g de jaunes d’œufs
– 20 g de sucre semoule
– 225 g de crème liquide
– 1 g de fleur de sel
– 50 g de mascarpone
– 100 g de praliné cajou (voir ci-dessus)

Faire tremper la gélatine dans de l’eau froide pendant 10 minutes. Fouetter les jaunes et le sucre jusqu’à ce qu’ils blanchissent. Faire bouillir la crème avec la fleur de sel, verser le tout sur le mélange jaunes-sucre. Ajouter la gélatine essorée, le mascarpone et le praliné. Mixer à l’aide d’un mixeur plongeant, laisser refroidir et garder au frais.

Le blanc vapeur :
– 150 g de blanc d’œufs à température ambiante
– 90 g de sucre semoule

Monter les blancs en neige en les serrant avec le sucre semoule. Mouler la meringue dans 8 cercles à l’aide d’une poche à douille, la cuire au four à vapeur pendant 4 minutes à 90 °C. Détailler en 8 palets avec un emporte-pièce rond et réserver.

La sauce caramel :
– 280 g de crème liquide
– 8 g de fleur de sel
– 190 g de sucre semoule
– 190 g de glucose
– 100 g de beurre

Porter la crème à frémissement avec la fleur de sel. Faire cuire le sucre et le glucose jusqu’à l’obtention d’un caramel, déglacer avec la crème. Cuire le tout à 105 °C, passer au chinois, refroidir a 75 °C, puis incorporer le beurre à l’aide d’un mixeur plongeant. Laisser refroidir complètement.

Finition et dressage :
– Grains de riz soufflé
– Praliné cajou
– Noix de cajou caramélisées

Poser le blanc vapeur centré sur l’assiette. Le creuser légèrement, ajouter au centre le riz au lait et le crémeux à la noix de cajou, couvrir d’un peu de sauce caramel. Ajuster l’opaline sur le tout, déposer un gros dôme de riz au lait au siphon sur l’opaline. Parsemer de riz soufflé, de poudre de praliné cajou et de poudre de noix de cajou caramélisées.

DR

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Le Club des entrepreneurs Terre de Provence organise la 3e édition de ses rencontres économiques le jeudi 2 octobre à Eyragues. Il fêtera ses 10 ans avec les participants par la même occasion.

Le Club des entrepreneurs Terre de Provence a pour ambition de faciliter les échanges économiques, mais aussi d’informer et former les dirigeants. C’est pourquoi elle organise chaque année un événement autour des rencontres économiques. La 3e édition, qui aura lieu le 2 octobre, sera sur le thème ‘Entreprendre dans un monde en mutation : opportunités et défis’.

Ce rendez-vous permettra aux participants d’obtenir un éclairage d’expert sur les transformations en cours avec une conférence et une table ronde, mais aussi de se rencontrer et d’élargir leur réseau professionnel. À travers ces rencontres économiques, le Club souhaite également mettre en valeur des entrepreneurs locaux engagés et innovants.

Né en 2015, le Club des entrepreneurs Terre de Provence compte aujourd’hui plus de 100 adhérents et organise une trentaine d’événements par an. Ainsi, l’événement du 2 octobre sera aussi l’occasion pour l’association de célébrer ses 10 ans. Une soirée festive attend les participants, ainsi que de nombreuses surprises.

Pour vous inscrire à cet événement, cliquez ici.
Jeudi 2 octobre. À partir de 17h. Salle de la bergerie – Parc du poète. Rue du Lavoir Couvert. Eyragues.


L’entreprise bucco-rhodanienne Qista doublement reconnue pour son travail en faveur de la transition écologique

Nicolas Bottero est le propriétaire et le chef de cuisine du restaurant étoilé Le Mas Bottero, situé à Saint-Cannat, dans les Bouches-du-Rhône. Pour régaler vos papilles et celles de vos proches, il vous dévoile sa recette de rhubarbe ‘Mira’ de la famille Vermès, déclinée à la vanille de Madagascar.

Réduire les corn flakes en poudre et mélanger avec la margarine et le suce roux. Étaler entre deux papiers cuisson et cuire 10min a 160°C.
Une fois refroidi, mixer le biscuit avec l’huile de coco, étaler et détailler.

Chantilly végétale Vanille :
– 300g Végétop 
– 30g Sucre 
– 15g Masse Gélatine
– 1 pc Vanille gousse

Chauffer la moitié de la végétop avec le sucre et la vanille, ajouter la gélatine puis le reste de végétop froide. Mixer et refroidir.
Une fois froid monter au batteur comme une chantilly. Débarrasser dans une poche avec douille ronde unie.

Compoté de Rhubarbe :
– 500g Rhubarbe 
– 10g Pectine
– 70g de sucre
– 20g Masse Gélatine

Couper la rhubarbe en gros morceaux. Suer sans coloration dans une casserole avec un peu d’eau à couvert. Une fois cuit, ajouter le mélange sucre et pectine et faire bouillir au moins une minutes. Hors du feu ajouter la masse gélatine et refroidir.

Rhubarbe pochée :
– 1kg de rhubarbe
– 400g Eau 
– 200g Sucre 
– 2 gousses Vanille épuisée

Faire un sirop à la vanille en portant à ébullition l’eau, le sucre et les gousses de vanille. Tailler des bâtonnets de 10 cm de long de rhubarbe et pocher dans le sirop quelques minutes. Refroidir l’ensemble dans le sirop. Détailler de fins bâtonnets de rhubarbe pochée.

Glace vanille Végétop :
– 220g Eau 
– 100g Sucre
– 60g Glucose Atomisé 
– 10g Stabilisateur
– 500g Végétop
– 1 gousse Vanille Gousse
– 200 g de rhubarbe pour les copeaux
– 100g de maïs cru
– 5cl d’huile de tournesol

À l’aide d’une mandoline, tailler des copeaux de rhubarbe crue dans une longueur de 10cm.
Réaliser du popcorn en cuisson des grains de maïs dans une casserole avec couvercle et un peu d’huile de tournesol.
Bouillir l’ensemble des éléments pour la glace et mixer. Refroidir et foisonner en sorbetière.

DR

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CapCar, la plateforme française de vente et d’achat de voitures d’occasion entre particuliers, vient d’ouvrir une nouvelle agence au Thor, 77 rue Pasteur. A sa tête, Jason Lambert et son associé Mathieu Moschelli accompagnés de Léane Moschelli ainsi que de Sébastien Pacchiana qui rejoint un staff plutôt familial. La plateforme propose des véhicules contrôlés, garantis, livrés partout en France, avec une négociation gérée en ligne.

Pour tout dire, CapCar collabore avec 300 agents indépendants, 10 agences locales ouvertes -et 6 en cours de lancement-, et entre 5 000 et 6 000 véhicules vendus chaque année. Avec plus de 10M€ investis dans ses outils digitaux, CapCar propose aux vendeurs de gagner en moyenne 3 000€ de plus qu’en reprise, sans frais, et aux acheteurs d’économiser jusqu’à 10% par rapport aux prix en concession.

Une affaire de famille
A la tête de l’agence, Jason Lambert travaille sur les secteurs de Barbentane, les Baux-de-Provence, Châteaurenard et les alentours ; Mathieu Moschelli sur Aureille, Les-Baux-de-Provence, Cabannes et les alentours ; Léane Moschelli sur l’Ardèche, les Bouches-du-Rhône, le Gard et le Vaucluse et Sébastien Pacchiana pour les secteurs d’Arles, Nîmes, Avignon, les alentours. Dix voitures ont déjà été vendues en deux semaines.

Jason Lambert et Mathieu Moschelli Copyright CapCar Communication

L’interview
«Mathieu Moschelli et moi-même nous sommes rencontrés il y a plus de 10 ans, dans le secteur automobile, où nous avons travaillé, chacun pour une marque, sur le secteur de Cavaillon et ses alentours, relate Jason Lambert. Il est mon frère de cœur, et puis, il y a Léane, la sœur de Mathieu, qui nous a rejoints et bientôt mon beau-frère, Sébastien Pacchiana à l’agence que nous avons ouvert le 1er août, 77 rue Pasteur au Thor.»

Pourquoi nous sommes-nous lancés dans l’aventure Capcar ?
«Parce que nous trouvions qu’il manquait un maillon en concession automobile pour satisfaire notre quête de sens : le lien avec le client. Pour nous les clients ne sont pas des numéros anonymes mais une nouvelle histoire, un moment de vie. Notre vœu ? Accompagner le client de A à Z, dans un vrai service de proximité et de qualité.»

Notre mission ?
«Accompagner, avant tout, les vendeurs. Nous les accompagnons, ainsi, dans toutes les démarches : trouver les acheteurs, filtrer les demandes farfelues, réaliser le paiement et, ensuite, finaliser les ventes. Ce process se fait avec un seul intermédiaire du début à la fin. Nous nous rémunérons auprès de l’acheteur et selon le modèle de la voiture. Enfin, les véhicules sont garantis 6 mois.»

Copyright CapCar Communication

Comment nous procédons
«Nous faisons le tour de la voiture, l’essayons, regardons les points spécifiques comme la batterie, les pneus, les plaquettes, les disques, la courroie de distribution, les factures d’entretien, l’état général. Nous disposons aussi de critères et ne prenons pas, à la vente, de véhicules de plus de 20 ans ou de plus de180 000km.»

Aujourd’hui
«Nous avons ouvert une agence physique afin de prendre contact avec les gens pour discuter autour d’un café. Tout n’est pas que business. Les gens viennent nous rencontrer pour discuter de tout et de rien, se renseigner et nous prenons du temps, sans enjeu spécifique, pour nous parler et découvrir comment l’on peut échanger les uns avec les autres.»  

Copyright CapCar Communication

L’entreprise bucco-rhodanienne Qista doublement reconnue pour son travail en faveur de la transition écologique

Jean-Pascal Hesse, on le connaît dans le Vaucluse comme directeur de la communication de la Maison Pierre Cardin, qui pendant des décennies a accompagné le couturier qui a créé en 2000 le Festival de Lacoste dans le Luberon.

Mais à l’origine, sa famille s’était installée en Algérie en 1832 et avait dû la quitter, le cœur lourd comme des millions de Pieds-Noirs, après les Accords d’Evian en 1962 pour s’implanter à Salon-de-Provence. Titulaire d’une maîtrise d’histoire contemporaine à l’Université de Provence et d’une licence d’administration publique à l’IEP (Sciences-Po) à Aix-en-Provence, il publie en 1991 une monographie sur un village situé non loin d’Alger, Courbet, cher à sa grand-mère maternelle.

Féru d’histoire, de culture, et de patrimoine, enfant du pays, il est élu à Salon sous la mandature d’André Vallet qui avait succédé en 1989 à Jean Francou, maire pendant 33 ans. Et quand sa vie professionnelle l’amène à Paris, il s’engage auprès de Jacques Chirac et occupe encore aujourd’hui des fonctions de conseiller culturel à la mairie du 8e arrondissement. 

Le livre Salon de Provence, Mémoires d’une ville

Et Jean-Pascal Hesse vient de publier chez Odyssée, un livre-hommage grand format (24x34cm) de 264 pages, richement documenté, illustré. Avec gravures, peintures, iconographie, des dizaines de photos sur le paysage, oliviers, cyprès, vignes, collines, moutons, l’histoire, le patrimoine, l’architecture, la culture de Salon-de-Provence, sa sociologie, son agriculture, l’essor de son industrie.

Il y fait la part belle aux origines de la « Villa Salone », entre la Trévaresse, la Plaine de la Crau et le Rhône, aux premiers habitants Ligures, issus des Grecs et des Phéniciens, les signes du futur « Salon de Crau » qui remontent à 423 avant J-C ou encore « Le Mont-Sallyen » qui abritait un entrepôt de sel, sans oublier le commerce de « bestiaux, de laine, de peaux, de briques et de poteries. »

Des personnages illustres ont concouru à son rayonnement. Comme Michel de Nostredame (Nostradamus), né à Saint-Rémy en  1503, qui a fait ses études à l’Université d’Avignon et s’installera en 1547 à Salon où il écrira Les Prophéties et Les Centuries. Mais aussi Adam de Craponne (1526-76), ingénieur-hydraulicien qui a eu l’idée de génie de dériver la Durance pour creuser un canal de 60km entre la Roque d’Anthéron et l’Etang de Berre. Cette irrigation sauvera la ville et toute la région de la sècheresse et marquera le début de l’essor de l’agriculture. Célèbre également Pierre-André de Suffren, dit « Le bailli de Suffren de Saint-Tropez » qui a notamment séjourné à La Tour d’Aigues et à Lourmarin.

L’arrivée du train sur l’axe Toulon-Marseille-Aix, Avignon-Lyon, une gare PLM à Salon de Crau en 1873 boostera le commerce, notamment des fruits et légumes, de l’huile d’olive et du savon, des filatures de soie et du travail du cuir.

Château de l’Empéri, Abbaye de Sainte-Croix, Collégiale Saint-Laurent, Tour de l’Horloge, Fontaine moussue en forme de champignon au coeur du centre ancien figurent parmi les monuments les plus iconiques de la cité… Salon-de-Provence où Marcel Pagnol a tourné La fille du puisatier en 1940 avec Josette Day et Fernandel, qui est depuis 1938 le siége de l’Ecole de l’Air et de l’Espace et de ses « poussins », futurs as de l’aviation façon Top Gun. Et depuis 1964, le centre d’entraînement de la prestigieuse Patrouille de France, unité d’élite des pilotes de chasse qui, chaque 14 juillet, défilent avec leurs 8 Alfa-Jet au-dessus des Champs-Elysées laissant leur empreinte bleu-blanc-rouge dans le ciel.

Comme le conclut Jean-Pascal Hesse : « Les Salonais ne veulent pas simplement se tourner vers leur passé pour s’y réfugier. Ils veulent être artisans d’une prospérité et d’une fierté retrouvées. »

https://www.echodumardi.com/tag/bouches-du-rhone/   1/1