16 juin 2025 |

Ecrit par le 16 juin 2025

Provence Outillage : 70 ans au service des bricoleurs

La société Provence Outillage basée aux Taillades célèbre ses 70 ans et surfe sur la vague du bricolage et du jardinage depuis la crise sanitaire.

« C’est mon grand-père maternel, Claude Chaminas qui était quincaillier, qui a créé cette entreprise familiale en 1955. A l’époque, il faisait les foires et marchés du coin, il sillonnait les routes de Vaucluse et des Bouches-du-Rhône avec son camion et il interpelait les chalands pour leur vendre ses articles », explique Cédric Sanchez, troisième génération à la tête de la société qui totalise aujourd’hui pas moins de 5 000 références.
Le patron de Provence Outillage ajoute « je suis tombé dedans quand j’étais tout petit, et depuis 25 ans j’y travaille avec mes frères, ma tante et ma maman et tout se passe bien. En famille, on se comprend ».

« En famille, on se comprend ».

Cédric Sanchez, président de la SAS Provence Outillage

En 70 ans, les choses ont bien changé. En 1974, il y avait une flotte d’une vingtaine de camions-magasins qui quadrillaient la Provence et bien au-delà. En 1984, des tracts et catalogues ont été imprimés pour informer les clients, ils avaient le temps de choisir les articles, tranquillement, chez eux. Avec le progrès, une boutique en ligne a été créée en 1999.
« Le catalogue papier existe toujours, on en sort 4 par an, réactualisé chaque saison » précise Cédric Sanchez. Mais les camions ont disparu et on a aussi ouvert un blog depuis 2010 pour échanger avec notre clientèle, la conseiller. »

Crédit : Provence Outillage/DR

Le Covid a boosté l’activité
La sociologie aussi s’est modifiée. « La crise sanitaire a boosté nos ventes, elle a accéléré le marché. Les gens confinés ont voulu profiter de leur maison et de leur résidence secondaire, de leur jardin, améliorer leur confort, leur cadre de vie, repeindre, décorer, refaire leur cuisine ou leur salle de bains. Même s’ils ne sont pas professionnels, ils ont plein de tutos qui les aident. Avant, nous avions davantage de retraités, désormais il y a plus d’actifs, la clientèle a rajeuni. »

Aujourd’hui, Provence Outillage ce sont 6 sites, le siège historique situé aux Taillades à côté de Cavaillon, Pertuis et Monteux dans le Vaucluse, mais aussi Graveson, le Muy dans le Var et Villeneuve-Loubet dans les Alpes Maritimes (soit 2 870m2 en tout) et une soixantaine de salariés. Et des pôles comme le bricolage, le jardin, l’auto et la moto, l’habitat, les loisirs, la piscine, le barbecue, le camping…

Le magasin de Monteux. Crédit :DR

« Il y a aussi des temps forts pour nos ventes, comme la fête des pères et les soldes. 50% de notre chiffre d’affaires proviennent du site en ligne, 25 à 28% des magasins et le reste de notre propre marque fournie à d’autres. » Le chiffre d’affaires tourne autour de 16M€.

Les articles aussi ont évolué. Avec les tondeuses et les visseuses-dévisseuses san fil, les pistolets à colle, le télémètre laser, le plante-clous rechargeable qui plante un clou de 9 cm en 3 secondes. « Ce printemps, la tendance évolue encore. Par exemple, nous n’avons pas moins de 150 références de grillages, plus ou moins occultants, avec des mailles, des couleurs et des hauteurs différentes, de nouveaux parasols, du mobilier de jardin tendance. »

Ce vendredi 23 mai, Provence Outillage fête ses 70 ans aux Taillades, sur la route de Robion avec ses collaborateurs, ses fidèles clients et toute la famille réunie pour l’évènement. Cédric Sanchez, ses deux frères Jérôme et Olivier, directeurs commercial et logistique, sa maman et sa tante. Mais aussi son fils de 9 ans et sa fille qui en a 17. « Pour l’instant, ils sont trop jeunes pour savoir s’ils vont prendre la suite de l’aventure de cette entreprise familiale. Mais j’ai espoir ! » conclut-il.


Provence Outillage : 70 ans au service des bricoleurs

Après plus d’un an de travaux, le nouveau magasin Mr Bricolage a ouvert ses portes ce mercredi 27 mars à Monteux. Il a été inauguré par Christian Gros, président des Sorgues du Comtat et maire de Monteux, Philippe De Dapper, directeur général des Services de l’Agglomération, les élus communautaires, les élus municipaux de Monteux, le personnel ainsi que les nouveaux clients du magasin.

L’enseigne Mr Bricolage, spécialisée dans le bricolage, le jardinage, la décoration et l’aménagement de la maison et du jardin, qui disposait jusqu’à présent de cinq boutiques en Vaucluse (à Pertuis, Apt, l’Isle-sur-la-Sorgue, et deux à Avignon), en ajoute une de plus à son compteur. Situé à Monteux, le nouveau magasin a ouvert ses portes ce mercredi 27 mars, en lieu et place de l’ancien dancing, au 268 Route d’Avignon.

« Je suis très content, a affirmé Christian Gros. Anciennement, les amoureux de la danse venaient. Maintenant, ce sont les amoureux du bricolage. On n’a pas laissé faire n’importe quoi : il y avait un besoin et celui-ci devait être une nouvelle offre commerciale adressée aux particuliers. Mr Bricolage a une philosophie affirmée de magasin de proximité à l’opposé des hypers impersonnels. »

Cette installation s’inscrit dans une volonté de redynamiser le centre-ville et de booster l’attractivité du nouveau pôle commercial de Beaulieu. « Monteux est une ville en plein développement’, a déclaré Benoît Thocquenne, directeur des magasins de Monteux et de l’Isle-sur-la-Sorgue. Pour cette boutique, dix personnes issues des communes alentours ont été recrutées. D’autres emplois pourraient être créés à l’avenir, selon l’activité.


Provence Outillage : 70 ans au service des bricoleurs

L’entreprise Augier, spécialisée dans les matériaux de construction, la menuiserie, le carrelage, mais aussi sur les projets de cuisine, de salle de bain ou de bricolage, est installée à Vaison-la-Romaine depuis 125 ans. En 2022, elle a été le premier négoce de matériaux à avoir obtenu la certification Bois de France.

L’histoire a commencé avec Joseph Casimir Girard, arrière-arrière-grand-père de Christophe Augier, actuel président de l’entreprise Augier. Traceur de pierres à Crillon-le-Brave, Joseph déménage à Vaison-la-Romaine dans les années 1890 et rachète les établissements Benjamin Long, commerce de bois de construction, le 26 mai 1899, repris par son fils Noël puis par le gendre de ce dernier, Marcel. Celui-ci a notamment développé la filière négoce de matériaux, qui a pris en 1946 son nom définitif : les établissements Marcel Augier. L’entreprise est reprise par Marc, le fils de Marcel, puis par son petit-fils Christophe, qui en est président depuis 2013.

Cette année, Augier célèbre donc ses 125 ans. Ce sont cinq générations qui se sont succédé et qui ont fait de l’entreprise ce qu’on connait d’elle aujourd’hui, à savoir une société pluridisciplinaire, qui maîtrise plusieurs métiers : les matériaux, la menuiserie, le carrelage, le sanitaire, la cuisine et le bricolage.

Un pied dans l’entreprise depuis petit

L’entreprise Augier étant dans la famille depuis plusieurs générations, Christophe n’y a pas échappé. « J’ai toujours été intéressé par l’entreprise, ayant baigné dedans depuis tout petit, et j’ai toujours été attiré par le commerce, au sens très large », explique Christophe Augier. Après avoir été diplômé de la Montpellier Business School, Christophe entame donc un parcours professionnel pour le moins éclectique.

La Caisse nationale d’assurance maladie ou encore la distribution en pharmacie aux États-Unis, Christophe fait plusieurs métiers avant de revenir à sa terre natale, Vaison-la-Romaine, où l’entreprise familiale n’attend que son retour. « Quelque part, qu’on vende du paracétamol ou une perceuse, c’est pareil, on vend un produit avec un conseil technique », ajoute-t-il en riant. Il rejoint donc l’entreprise en 2005, prend ses marques avant d’être en charge de la partie bricolage. C’est en 2013 qu’il prend ses fonctions de président et succède à son père, Marc.

1ᵉʳ négoce de matériaux certifié ‘Bois de France’

Près de 10 ans après le changement de présidence, l’entreprise obtient le label ‘Bois de France’, attribué pour la première fois à un négoce de matériaux. « Le bois est une de nos spécialités historiques », affirme Christophe. C’est donc tout naturellement que, lors de sa rencontre avec Frédéric Blanc, président de Bois de France, en 2021, quand ce dernier présente le label, Christophe s’y intéresse immédiatement.

« Pour nos clients, qu’ils soient particuliers ou professionnels, il est important d’avoir une qualification des produits qu’ils achètent. »

Christophe Augier

La labellisation est donc officielle depuis octobre 2022. Elle garantit que 100% des produits de bois qui passent par Augier sont produits et usinés en France. En plus de garantir un véritable produit français, le label a pour objectif de promouvoir le bois français et la filière professionnelle, et développer l’unité de l’écosystème du bois français. « On voit beaucoup de qualifications dans le domaine de l’alimentaire, explique Christophe. Pour le bois, c’est pareil. Ce n’est pas juste un bout de bois, c’est un très beau produit qui est élevé en France et les acteurs de la filière bois le travaillent avec amour. »

Une démarche responsable « pas à pas »

Cette labellisation entre dans la démarche responsable « pas à pas », comme l’appelle Christophe, de l’entreprise. « Augier est une PME (petite ou moyenne entreprise), on n’a pas d’équipe RSE (responsabilité sociétale des entreprises), on n’a pas de directeur de l’environnement ou autre, développe-t-il. On fait ce qu’on peut en termes d’environnement avec notre temps et avec nos moyens. »

L’entreprise vaisonnaise mène petit à petit plusieurs actions qui forment un ensemble cohérent avec les valeurs environnementales qu’elle souhaite véhiculer. Augier a notamment ouvert il y a quelques mois un point de recyclage gratuit pour les matériaux de construction. Grâce à un partenariat avec Écomaison, l’entreprise récupère gratuitement les gravats, la laine de verre, ou encore le métal non utilisés sur les chantiers que les professionnels peuvent récupérer gratuitement sur le site vaisonnais. L’entreprise installe également des centrales solaires afin d’utiliser ses toits et l’ensoleillement intelligemment. « Pour une PME, la première difficulté de tout ça, c’est une complexité et une instabilité juridique, explique Christophe. On a parfois le choix de faire ou de ne pas faire toutes ces petites choses, mais nous, on trouve que c’est intéressant de les faire. »

Le site Augier, à Vaison-la-Romaine. ©Augier

Une entreprise familiale

En plus de tout l’aspect environnemental, Augier fait aussi attention à ses employés. « Même si l’entreprise a grandi, l’humain reste très important pour nous, affirme le PDG. Ce qui m’importe, c’est de pouvoir croiser n’importe qui dans l’entreprise et d’avoir une relation humaine intéressante avec cette personne-là. » 

« Les personnes les plus importantes dans l’entreprise, ce n’est pas le PDG, ce n’est pas le directeur, c’est la caissière, c’est le magasinier, c’est le chauffeur, ce sont ceux qui voient le client tous les jours. »

Christophe Augier

Pour Christophe, l’essence même d’Augier passe par ses équipes, leur entente et leur bien-être. Même si elle s’agrandit, l’aspect familial reste donc une valeur chère à l’entreprise qui aujourd’hui emploie près de 50 personnes et réalise un chiffre d’affaires d’environ 11 millions d’euros.

L’équipe Augier. ©Augier

Provence Outillage : 70 ans au service des bricoleurs

À l’occasion de la journée mondiale du bricolage célébrée ce mercredi 24 mai, l’agence Flashs et le spécialiste du dépannage Depanneo.com ont choisi de s’intéresser à la répartition au sein des couples des tâches telles que le petit bricolage, les réparations ou les dépannages, généralement considérées comme relevant davantage de la responsabilité des hommes.

Si l’inégal partage, au détriment des femmes, des tâches dites domestiques comme le ménage, les courses ou encore la confection des repas est régulièrement mis en lumière, l’étude confiée à l’Ifop auprès de plus de 1 000 Françaises montre que les hommes gardent la main sur la plupart des travaux d’entretien intérieur et extérieur de la maison.

Une nette évolution de cette vision
Cette enquête témoigne d’une évolution en la matière puisque la proportion d’hommes s’en chargeant exclusivement a nettement baissé au cours des deux dernières décennies au profit d’une plus large collaboration entre conjoints, voire de femmes prenant désormais seules les choses en main. Enfin, et parce qu’ils restent marqués du stéréotype « masculin », bricolage et petits travaux amènent souvent les hommes à refuser que leurs conjointes s’y adonnent, à surestimer leurs capacités auprès de leur entourage, et même à ressentir de la honte lorsqu’ils échouent dans leur entreprise.

DR

La répartition des tâches dites ‘masculines’ dans le couple
Cette hégémonie est d’abord remise en cause du point de vue féminin. Selon leurs conjointes, 52% des hommes se chargent du petit bricolage à la maison, (71% en 2005). Interrogés à leur tour, les hommes ont une vision quelque peu différente dans la mesure où 71% d’entre eux indiquent encore assurer prioritairement ces tâches.
Vu par les Françaises, le partage entre conjoints a presque doublé sur la même période, passant de 15% à 27%, mais ne concerne que 19% des hommes répondants. De même, la part des femmes qui disent assumer seules le petit bricolage au sein du foyer est aujourd’hui de 17% (soit 7 points de plus qu’en 2005), quand les hommes ne sont que 8% à faire ce constat.

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Cependant des tâches restent « masculines » dans les faits. Les tâches que les hommes font le plus souvent seuls consistent à : faire redémarrer la batterie d’une voiture (66% s’en chargent), changer une roue crevée (62%), changer une pièce sous un lavabo (62%), boucher ou percer des trous dans un mur (60%).
Celles qui sont les plus partagées au sein des couples sont : l’ouverture des pots difficiles (54% le font autant l’une que l’autre), faire le plein de la voiture (48%), nettoyer cette dernière (44%) ou encore découper les morceaux de volaille et de viande (41%).
Les tâches qu’il arrive le plus souvent aux femmes de réaliser seules sont : peindre ou repeindre un mur ou un plafond (20% des répondantes l’indiquent), découper des morceaux de volaille et de viande (20%), faire le plein d’essence et nettoyer la voiture familiale (20%), déboucher une canalisation (16%) …

Des tâches majoritairement vues comme non genrées par les femmes
Tenter de réparer des appareils électro- ménagers est la seule tâche que les femmes interrogées considèrent comme plus masculine que relevant des deux sexes (50% contre 48%).

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Les Françaises sont assez partagées sur l’allumage et l’entretien du barbecue (49% estimant que ce n’est ni masculin ni féminin contre 48% qui le voient comme masculin) et sur le fait de boucher ou percer des trous dans un mur (51% ni masculin ni féminin / 46% plutôt masculin). Monter un meuble ou une étagère sur un mur est considéré comme non genré par plus de 6 femmes sur 10 (61% contre 34% qui l’attribuent aux hommes), de même qu’ouvrir un pot difficile (60% non genré / 31% plutôt masculin) et nettoyer la voiture (68% non genré / 22% plutôt masculin). Les répondantes sont 10% à considérer que nettoyer la voiture est une action plutôt féminine, 9% à le penser du débouchage d’une canalisation, 5% du fait de monter un meuble ou une étagère et 4% de tenter de réparer des appareils électroniques.

Les freins au changement : tensions et enjeux autour des tâches masculines

Ces tâches ‘masculines’ peuvent parfois être source de tensions fréquentes. Si 37% des femmes hétérosexuelles indiquent que leur conjoint en fait à peu près autant que leur père en matière de bricolage et petites réparations, elles sont 33% à dire qu’il en fait aujourd’hui plus et à peine plus d’une sur cinq (21%) qu’il en fait moins. 52% des femmes interrogées dans cette étude font état de tensions avec leur conjoint lorsqu’il s’agit de bricoler. 16% font même état de disputes qui ont lieu souvent ou presque tout le temps.
Les hommes évoquent également des tensions, ils sont 47% à l’indiquer, dont 12% souvent ou presque tout le temps.

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Peut-on alors parler de virilité mal placée ? 37% des Français ont déjà refusé que leur conjointe exécute des petits travaux de ce type à la maison. Une proportion qui grimpe à

46% chez les ouvriers et 47% chez les titulaires d’un CAP-BEP. Le stéréotype de virilité renvoyé par le bricoleur accompli amène un certain nombre d’hommes à surestimer leurs compétences face au cercle familial. Ils sont ainsi quelque 30% à s’être vanté de qualités dépassant la réalité, une attitude plutôt marquée chez les plus jeunes puisque 45% des 18-34 ans sont dans ce cas.

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Entreprendre un bricolage ou une réparation n’est pas toujours couronné de succès, il arrive même que l’échec engendre un sentiment de honte chez celui qui s’y est risqué, comme en témoignent 4 hommes sur 10 dans cette étude. Afin de limiter les dégâts tout en sauvant la face, une petite proportion d’hommes (15%) fait appel à une aide extérieure, mais sans le dire à leurs proches ! Là encore, les plus jeunes sont les plus cachottiers, 38% des 18- 34 ans gardant pour eux seuls le mérite d’un bricolage réussi grâce à un tiers.

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Le point de vue de l’expert
« Une forme d’inertie existe toujours dans le processus de répartition des tâches, les unes étant considérées comme féminines, les autres comme masculines, explique François Kraus, directeur du pôle genre, sexualités et santé sexuelle de l’Ifop. Malgré #MeeToo et une remise en cause croissante des rôles des genres, il y a toujours des tâches associées aux hommes, et qu’ils prennent en charge. Cette étude montre ainsi que le bricolage, l’entretien de la maison, la voiture ou encore le barbecue sont des activités qui restent à dominante masculine. Elle témoigne également du fait que les femmes s’autonomisent et expriment la volonté de dégenrer les tâches dévolues aux hommes, qu’elles considèrent majoritairement comme mixtes. Toutefois, et dans les faits, on assiste sans doute à une résistance des hommes à laisser les femmes s’investir dans ce domaine, car ils estiment qu’il relève de leur rôle de genre, voire qu’ils ne seraient pas de ‘vrais hommes’ s’ils les laissaient faire. Après, même si la répartition des tâches ménagères est encore très inégale, les hommes ne font pas rien à la maison. Mais ils s’investissent avant tout dans des activités de l’ordre de l’exceptionnel, qui se voient et sont socialement valorisées car contribuant à l’amélioration du logement. Tâches qui, par ailleurs, ne sont pas aussi chronophages que celles assumées quotidiennement par les femmes. »

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