4 novembre 2025 |

Ecrit par le 4 novembre 2025

Agilis met de la couleur dans les écoles du Vaucluse

La société Agilis, filière du groupe NGE, est intervenue dans des cours d’écoles maternelles et primaires des communes de Morières-lès-Avignon et de Carpentras. Objectif ? Redonner un peu de couleur à la rentrée des classes qui aura lieu le 2 septembre.

Des jeux en couleurs, des marelles, des escargots, des cheminements cyclables et des jeux numérotés, les écoliers se réjouissent déjà de reprendre le chemin de l’école. « Je suis toujours fier de voir nos belles réalisations de peinture au service des territoires et en particuliers des enfants. Nos équipes sont impliquées et compétentes ce qui nous permet réellement d’améliorer la qualité de la vie des habitants. C’est notre vocation », se réjouit Didier Longeron, président de la société de Agilis. Petit tour des 3 chantiers assurés par les équipes peinture de Agilis Vaucluse, agence basée à Morières-lès-Avignon.

Tour d’horizon des travaux

Au sein de l’école de Morières-lès-Avignon : de la peinture au sol décorative a vu le jour, dans le cadre du marché d’entretien de peinture avec la Ville. A l’école maternelle Perdiguier, des formes géométriques réalisées en peintures colorées non solvantées, et respectueuses de l’environnement ornent désormais le sol. Agilis a également réalisé la remise en peinture de la piste cyclable dans l’enceinte de la cours d’école.

Crédit photo: Agilis

A l’école primaire Marcel Pagnol, des formes géométriques et des jeux numérotés de couleur blanche ont fait leur apparition. A l’école maternelle des Croisières à Carpentras, en sous-traitance de la société d’aménagement urbain Totem pour le service technique de la ville de Carpentras, Agilis a réalisé un cheminement cyclable pour une sensibilisation à la sécurité routière et l’apprentissage du vélo ainsi que quatre couloirs de course.

Crédit photo: Agilis

120M€ de chiffre d’affaires

Des grandes infrastructures de transport aux réalisations de proximité, Agilis, créée en 2002 par Didier Longeron, sécurise, oriente, aménage avec des équipements novateurs et entretient plus de 1000 chantiers par an pour des clients publics et privés. Avec un chiffre d’affaires de plus de 120M€, Agilis est une filiale de NGE (12 000 salariés, 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires). Spécialiste de l’équipement de la route, des sols sportifs et de l’aménagement des espaces, Agilis offre une gamme large de services, de la conception et réalisation des travaux à l’entretien de ces derniers. Plus de 500 collaborateurs apportent à ce jour leur expertise du territoire.


Agilis met de la couleur dans les écoles du Vaucluse

Les règles en vigueur se précisent concernant le pass sanitaire pour les salariés du BTP. L’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP) fait le point sur les dernières mesures applicables dès le 30 août 2021.

La loi relative à la gestion de la crise sanitaire, approuvée par le Conseil constitutionnel (décision n° 2021-824 DC du 5 août 2021) impose la détention d’un pass sanitaire dans des lieux à risque de contagion à la Covid-19. Sont notamment concernés les établissements de santé, sociaux et médico-sociaux, les restaurants (à l’exception des restaurants d’entreprise) ainsi que les séminaires et salons professionnels. Les déplacements de longue distance par transports collectifs, en avion, en TGV, trains de nuit, Intercités et cars sont également concernés. Ainsi, le public et les usagers de ces lieux et établissements doivent, depuis le 9 août, présenter un pass sanitaire valide pour y accéder. En revanche, d’autres lieux ou établissements qui ne sont pas mentionnés dans la loi ne peuvent l’exiger.

Nouvelles dispositions à compter du 30 août

Cette obligation de présenter un pass sanitaire valide s’appliquera aux personnes qui interviendront dans ces établissements et ce, à partir du 30 août 2021, alerte l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment sur son site. Une application « lorsque la gravité des risques de contamination en lien avec l’exercice des activités qui y sont pratiquées le justifie, au regard notamment de la densité de population observée ou prévue ». L’OPPBTP ajoute : « A partir du 30 septembre, les jeunes travailleurs de moins de 18 ans seront également soumis à cette obligation. » Exception à l’obligation : « sauf si l’intervention se déroule hors des espaces accessibles au public, en dehors des horaires d’ouverture au public ou si l’intervention est urgente. »

Statut vaccinal complet

Dans ce cas, l’exploitant aura le droit de demander aux salariés du BTP de présenter leur pass sanitaire. Pour qu’il soit valide, celui-ci doit comporter, sous format papier ou numérique via l’application Tous anti Covid, un statut vaccinal complet contre la Covid-19, un résultat d’un test RT-PCR ou antigénique de moins de 72 heures, un résultat d’un autotest réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé ou un certificat de rétablissement de la Covid-19 reçu à l’issue du résultat d’un test RT-PCR ou antigénique positif, datant d’au moins onze jours et de moins de six mois.

L’employeur peut contrôler la validité du pass

L’employeur est autorisé par la loi à contrôler la validité du pass sanitaire de ses employés qui seraient amenés à travailler ou à intervenir dans les lieux concernés par le dispositif. Dans le respect du secret médical, le chef d’établissement et l’employeur ont uniquement accès au QR code du pass sanitaire, précisant la validité ou non du pass. Ils n’ont pas accès à la nature du justificatif. Toutefois, si le salarié le souhaite, il peut présenter à son employeur son justificatif de statut vaccinal complet. Dans ce cas uniquement, l’employeur est autorisé à conserver le justificatif de son salarié, jusqu’au 15 novembre 2021, en vue de lui délivrer un titre spécifique permettant une vérification simplifiée.

Informer le CSE

Dans les entreprises et établissements d’au moins 50 salariés, l’employeur est tenu d’informer le CSE (Comité social et économique) des mesures de contrôle du pass sanitaire qu’il entend mettre en œuvre. L’avis du CSE est rendu au plus tard un mois après l’information de l’employeur, et peut intervenir après que ce dernier a mis en œuvre ces mesures.

Plus d’informations, cliquez ici.

L.M.


Agilis met de la couleur dans les écoles du Vaucluse

Le ‘Vendredi du BTP’, vous connaissez ? La 10e édition dans la Région Sud se tiendra le 30 juillet 2021. Manpower poursuit sa vaste campagne de recrutement dans 16 agences du Sud de la France, dont celle d’Avignon. 600 postes à pourvoir.

Les équipes Manpower rencontreront des candidats afin de répondre aux enjeux des entreprises locales qui peinent à recruter dans le secteur du BTP (Bâtiment et travaux publics). Différents postes en CDI, CDI Intérimaire, CDD, Interim et alternance sont à pourvoir : maçons, finisseurs, coffreurs, couvreurs, charpentiers, électriciens, menuisiers, plaquistes, plombiers, conducteur d’engin et manœuvre.

Lors de cette journée, les candidats pourront échanger avec les ‘Agents de talents’ Manpower, découvrir les différentes opportunités d’emploi dans les métiers du
BTP de leur région, et seront invités à faire du parrainage et de la cooptation. « Le secteur du BTP reprend des couleurs malgré la crise sanitaire. Les profils en Travaux publics sont légèrement moins recherchés, et un fléchissement est apparu à l’automne en raison de cette année atypique qui a empêché le déploiement d’appels d’offre. Mais la dynamique de reprise est bien là, de grands projets sont à venir, et le constat de pénurie de compétences dans le secteur de la construction reste très présent », indique Nicolas Paillier, Directeur de la Région Sud de Manpower. Plus d’informations, cliquez ici.

L.M.


Agilis met de la couleur dans les écoles du Vaucluse

55 restaurants vauclusiens se sont manifestés afin de bénéficier de l’ouverture dérogatoire pour les salariés du BTP. Initié fin janvier par la CCI (Chambre de commerce et d’industrie) de Vaucluse, ce dispositif vise à permettre aux restaurateurs vauclusiens d’accueillir dans leur établissement les salariés itinérants d’entreprises du BTP pour la restauration du midi. Il est désormais opérationnel depuis le 23 février. Les entreprises intéressées sont invitées à se faire connaître auprès des services de la CCI.

Contrat d’engagement entre le restaurateur et l’entreprise
L’initiative a fait l’objet d’une convention-cadre entre la préfecture de Vaucluse, la CCI 84 et la délégation de Vaucluse de la Chambre de métiers et de l’artisanat de région Provence-Alpes-Côte d’Azur (CMAR Paca) permettant l’ouverture dérogatoire des restaurants pour l’accueil de salariés ou artisans du bâtiment et travaux publics en période hivernale.
Pour bénéficier de ce dispositif, l’entreprise ou l’artisan du BTP devra prendre attache auprès d’un restaurateur à proximité de son chantier. L’établissement de restauration et l’entreprise ou l’artisan du BTP signeront un contrat d’engagement qui devra être validé par les services de la préfecture de Vaucluse. Ce contrat définira la liste nominative des personnes pouvant être accueillies ainsi que le prix du repas.

Pas plus de 2 entreprises par établissement
Un restaurant pourra signer plusieurs contrats d’engagement avec des entreprises ou artisans du BTP, mais s’engage à ne recevoir que deux entreprises au maximum par jour au sein de son établissement pour limiter le brassage. Une liste des restaurants souhaitant participer au dispositif est centralisée auprès de la CCI, de la CMAR, de la Capeb, de la FBTP et de l’Umih, qui la diffuseront à l’ensemble des professionnels du secteur BTP.
Par ailleurs, le restaurant s’engage à accueillir au sein de son établissement uniquement les salariés ou artisans listés sur le contrat d’engagement et à respecter un protocole sanitaire particulièrement exigeant, défini à l’article 40 du décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire.

Détail de l’opération sur le site de la CCI


Agilis met de la couleur dans les écoles du Vaucluse

Selon une étude BVA réalisée pour le compte du groupe NGE basé à Saint-Etienne-du-Grès à côté de Tarascon, Avignon figure dans le top 20 des villes préférées de France pour la génération des Millénials.

La cité de papes apparaît ainsi en 11e place, ex-aequo avec Strasbourg, Lille, Toulon et Brest, dans ce classement établi à partir de critères comme le respect de l’environnement (44% des priorités), la sécurité (26%), l’accessibilité des logements (29%), les économies d’énergies (24%), l’accès aux loisirs (20%) ou bien encore les lieux de partage et de convivialité (18%) ainsi que les transports doux, collectifs ou partagés (17%).
Autant de domaines fondamentaux pour cette génération des 20 à 35 ans dans lesquels les villes du Sud font carton plein. En effet, Bordeaux figure en tête de ce classement devant Aix-en-Provence (2e), Montpellier (5e), Toulouse (6e), Nice (7e), Marseille (10e), Nîmes (18e) et Perpignan (19e).
Autres critères d’attractivité de cette classe d’âge des personnes nées entre 1985 et 2000 appelées aussi génération Y, cette ville rêvée doit aussi privilégier la mixité des espaces de vie, faciliter la création d’emploi et disposer d’une activité commerciale dynamique.

Groupe de BTP provençal
Pour NGE (Nouvelles générations d’entrepreneurs), la réalisation de ce sondage s’inscrit dans la poursuite de sa stratégie de développement de nouvelles activités « qui rendent les villes, les collectivités et les territoires plus attractifs et résilients ».
Le groupe de BTP provençal, qui vient d’être retenu par Vinci autoroutes pour mener l’élargissement de l’A57 à Toulon, participe à la construction des grandes infrastructures et à des projets urbains ou de proximité en France et dans 16 pays à l’international. NGE compte 13 500 collaborateurs et a réalisé l’an dernier un chiffre d’affaires de 2,5 milliards d’Euros.
Très active en matière de recrutement (plus de 2 500 embauches par an), cette société détenue à 80% par ses dirigeants et ses salariés, entend anticiper les mutations de son secteur d’activité.

Un outil baptisé NGE immobilier
Pour cela, elle dispose notamment d’une structure appelée NGE Immobilier qui propose aux territoires des possibilités de co-programmation sur-mesure pour décliner leurs ambitions urbaines en s’appuyant sur les expertises techniques et financières du groupe NGE.
« Les élus, les propriétaires fonciers, les aménageurs et les grands utilisateurs sont en quête de réponses et de solutions cousues-main réalisées par des acteurs attentifs aux besoins de toutes les parties prenantes, explique David Taglioni, directeur général de NGE Immobilier. Fort de l’ancrage territorial du groupe, NGE Immobilier est idéalement placé pour concevoir et développer des projets qui privilégient la mixité des usages, les services, l’inclusion et la flexibilité. Nous n’avons pas de produits sur étagères, ce que nous voulons, c’est proposer des projets exclusifs. Nous sommes avant tout des promoteurs d’usages pour des produits urbains durables. »

Faciliter l’insertion professionnelle des jeunes
C’est avec la même philosophie de proximité que NGE s’implique également pour les jeunes éloignés de l’emploi. Le groupe dont le siège se trouve au parc d’activités de Laurade vient ainsi de signer avec le Service militaire volontaire (SMV)  une convention de partenariat pour favoriser l’insertion professionnelle des jeunes de 18 à 25 ans éloignés de l’emploi.
L’accompagnement vers l’emploi de ces jeunes passe notamment par des parcours de formation élaborés par ‘Plate Forme’, l’école de NGE, première école interne du BTP reconnue Centre de formation pour les apprentis (CFA) depuis 2019.
« Cette convention de partenariat avec le SMV va nous permettre d’allier nos forces pour aider les jeunes à rejoindre le chemin de l’emploi, précise Bruno Pavie, directeur des ressources humaines de NGE. Notre groupe est depuis longtemps investi dans des dispositifs d’intégration avec un corps tutoral important et une culture de formation très ancrée. Nous aurons à cœur de faire découvrir et aimer nos métiers aux jeunes que nous accueillerons. »


Agilis met de la couleur dans les écoles du Vaucluse

Depuis une dizaine d’années, les carrières du Lampourdier (Lafarge Granulats et Delorme) grignotent le terroir de l’un des vins les plus réputés de la planète : le Châteauneuf-du-Pape (3 200 hectares de terroir entre safres, galets et sables, 320 exploitants et près de 100 000 hl de vin classés AOC – Appellation d’origine contrôlée).

Ce qui a mis le feu aux poudres ? C’est la demande d’extension de la superficie, de la durée et du volume d’extraction, au-delà de l’exploitation actuelle par la société Delorme pour une durée supplémentaire de 30 ans. « L’enquête d’utilité publique s’est déroulée en pleines vendanges (17 août-16 octobre 2020) quand les vignerons sont débordés. Le commissaire enquêteur a donné un avis favorable » dénonce Michel Blanc, directeur du Syndicat des producteurs de Châteauneuf-du-Pape.
« En 15 ans, le volume de calcaire extrait du Lampourdier a été multiplié par deux avec une montée en puissance de la pollution, des nuisances sonores induites par les tirs de mine, la circulation ininterrompue de poids-lourds, les vibrations, la poussière et l’impact sur la biodiversité, la faune, la flore et nos vignobles. »

Une Paix des braves en 2017
Pourtant, en 2017, le préfet de Vaucluse d’alors, Bernard Gonzalez, se félicitait d’une ‘Paix des braves’ entre carriers et vignerons : « ils ont enterré la hache de guerre ». Un accord avait été trouvé pour transporter les granulats par péniche sur le Rhône et non accumuler les camions sur la route : deux silos étanches de stockage avaient été aménagés, 1 600 mètres de convoyeurs à bande implantés pour maîtriser les émissions de poussière, une aspersion des pistes et des brumisateurs avaient été installés, les camions devaient être bâchés… Mais au fil du temps, les bonnes habitudes se sont relâchées, trafic fluvial trop onéreux, camions sans bâche dont on renifle les poussières quand on les suit avec les vitres ouvertes de son véhicule…
Christine Freslard, directrice de l’ODG. (Organisation de défense et de gestion) de l’AOC Châteauneuf-du-Pape suppose que la demande de matériaux de construction est en augmentation. « Mais ce n’est pas une raison pour donner libre court à une extension totale dans le temps, la superficie et le volume. »

Avis défavorable de la commune
Plus d’un millier de vignerons, riverains et défenseurs de l’environnement ont déjà signé la pétition mise en ligne sur change.org afin d’interpeller la ministre de la Transition écologique afin qu’elle stoppe l’appétit insatiable des carriers du Lampourdier. Le conseil municipal de Châteauneuf a voté un avis défavorable lors de la séance publique du 4 décembre dernier, alors que celui d’Orange a émis un avis positif.

La balle est dans le camp du préfet
La balle est désormais dans le camp du préfet de Vaucluse qui a jusqu’au 19 avril au plus tard pour publier un arrêté. Espérons que l’environnement et le bon sens l’emporteront, contrairement à ce qui se passe dans les Bouches-du-Rhône, où depuis des décennies, les boues rouges de la mine de bauxite de Gardanne se déversent matin, midi et soir, nuit et jour en pleine mer Méditerranée, dans un site classé, donc théoriquement protégé, du Parc naturel régional des Calanques entre Marseille et Cassis… Tout cela pour préserver l’emploi et les intérêts économiques aux dépens de la biodiversité et de la nature.


Agilis met de la couleur dans les écoles du Vaucluse

Manpower organise ‘Les vendredis du BTP’ afin de pouvoir 600 postes dans le BTP en région Sud. Cette journée de recrutement se tient chaque dernier vendredi du mois pour recruter des maçons, finisseurs, coffreurs, couvreurs, charpentiers, électriciens, menuisiers, plaquistes, plombiers, conducteurs d’engin et manœuvres en contrats à durée indéterminée, intérimaires et à durée déterminée. Parmi les 16 Agences Manpower citées, Avignon, Montpellier, Marseille sont concernées. www.manpower.fr


Agilis met de la couleur dans les écoles du Vaucluse

Cyril Cartagena (Unis Marseille-Provence Corse) et président d’Immexis* vient d’être nommé président de l’Observatoire immobilier de Provence (OIP). Il succède à Philippe Deveau, président de la Fédération du BTP 13, et président de l’OIP depuis 2 ans.

Créé en 1993 à l’initiative de la FPI Provence (ex-FPC), l’OIP regroupe l’essentiel des fédérations et organismes professionnels régionaux de l’immobilier. Basé à Marseille, la structure propose des outils d’observation du marché immobilier dans les Bouches-du-Rhône, l’aire Avignonnaise, les aires Alpines et le Var.

« Un observatoire du marché immobilier dans les Bouches-du-Rhône, l’aire Avignonnaise, les aires Alpines et le Var. »

Le nouveau président, qui souhaite conserver l’ADN de l’OIP en matière de mesure de l’activité et de réflexion, entend également remodeler les outils de l’Observatoire en enrichissant les données ‘data’ sur l’ensemble des marchés du territoire

En cette période de crise sanitaire, il souhaite tout particulièrement accompagner les filières les plus fragilisées et repositionner stratégiquement l’OIP vis-à-vis des pouvoirs publics et décideurs locaux. Enfin, il veut faire évoluer les évènements publics organisés par l’OIP de manière à ce qu’ils demeurent des rendez-vous fédérant l’ensemble des professionnels

Par ailleurs dans le même temps, le conseil d’administration de l’OIP a désigné Pierre-Alexandre Pernot (FPI Provence), directeur général du promoteur indépendant hyérois Segeprim (10 salariés), à la tête de la délégation varoise de l’Observatoire. Ce diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Lyon (EM Lyon) et titulaire d’une maîtrise de droit des affaires (Université d’Aix-Marseille) succède à Martial Aubry (AR Hlm Provence-Alpes-Côte d’Azur & Corse).

*Cyril Cartagena, 42 ans, est depuis septembre 2005, président d’Immexis, groupe familial de services immobiliers (gestion, syndic, property management, location et vente) présent sur la Métropole Aix-Marseille Provence et la région Sud (40 personnes, 1300 lots en gestion locative, 13 000 lots en copropriété, 40 000 m2 d’immeubles tertiaires sous gestion). Diplômé de l’ICH (Institut de la Construction et de l’Habitat) et de l’ESCP-EAP (École Supérieure de Commerce de Paris), Cyril Cartagena a débuté sa carrière comme auditeur chez Deloitte en 2000 puis il a intégré Price waterhouse Coopers Corporate Finance à Paris, où, de 2001 à 2005, il a exercé successivement des fonctions de conseil en restructuration d’entreprises et de conseil financier en Immobilier. Il est par ailleurs Président adjoint de l’UNIS Marseille Provence Corse depuis 2017 et membre du Club de l’Immobilier Marseille Provence. Il est enfin RICS member (Chartered Surveyor) depuis 2008.

https://www.echodumardi.com/tag/btp/page/4/   1/1