2 mai 2024 |

Ecrit par le 2 mai 2024

Avignon : le Rouge Gorge devient rose pour une soirée au profit de la lutte contre le cancer du sein

Ce vendredi 12 avril, le Rouge Gorge, à Avignon, organise une soirée au profit de Sage, le réseau vauclusien de professionnels de santé qui accompagnent les femmes atteintes d’un cancer du sein. Plusieurs groupes de musique se succéderont sur scène. Rock, métal, ou encore musique électronique, il y en aura pour tous les goûts.

Au programme :
Les Didier, un groupe de rock, dont tous les membres se prénomment Didier, qui va mettre le feu sur la scène du Rouge Gorge avec ses reprises revisitées. Le groupe a notamment remporté le concours Class’Viock à Aix-en-Provence en 2023.
Mundilfari, un groupe de métal symphonique, qui a sorti la première partie de son deuxième album Into the dark box en novembre 2023 et qui souhaite rendre le métal accessible à tous. Le groupe présentera aussi certains titres de son premier album The last soul standing.
Voltaire proposera de la musique électronique écrite à la plume classic elctro, deep techno et mélodique.
-Le DJ Spiritim assurera les interludes avec de la house.

Une tombola sera organisée, également au profit du réseau Sage. De nombreux lots seront à gagner comme des tee-shirts, des CDs, des bières de la Brasserie Artisanale du Mont Ventoux, des vins de Cairanne du Domaine Delubac, des lots Panasonic ou encore le journal La Provence.

Réservation au 04 86 34 27 27 ou par mail à l’adresse rougegorgeavignon@aol.com
Vendredi 12 avril. 19h30. 18€. Rouge Gorge. 10 bis Place de l’Amirande. Avignon.


Avignon : le Rouge Gorge devient rose pour une soirée au profit de la lutte contre le cancer du sein

L’entreprise Les Monocyclettes, spécialisée dans la lingerie post-mastectomie, est née en 2019 à la Bastide des Jourdans. À l’origine du projet, Angélique Lecomte, qui est partie d’un constat personnel : il est difficile de trouver de la lingerie et des vêtements lorsqu’on a une asymétrie suite à un cancer du sein.

En 2023, la France a enregistré 61 214 nouveaux cas de cancer du sein. Si l’on pourrait penser que la plupart des femmes choisissent de faire une reconstruction mammaire après avoir subi une mastectomie, elles ne sont en réalité que 30%. 70% des femmes ayant eu un cancer du sein font le choix de rester plates ou asymétriques.

C’est le cas notamment de la Vauclusienne Angélique Lecomte, qui, après avoir été diagnostiquée d’un angiosarcome du sein en 2016 traité par mastectomie totale, a décidé de ne pas faire de reconstruction. « Deux ans après la mastectomie, quand j’ai pu faire la reconstruction, en fait, je ne la souhaitais plus, j’étais passée à autre chose et je ne voulais pas retourner sur tout un tas d’interventions, de douleurs, et d’hospitalisations », explique-t-elle.

D’infirmière à entrepreneuse

Avant de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale et de créer les Monocyclettes, Angélique a été infirmière. Elle a notamment travaillé dans le milieu psychologique, ce qui lui a apporté des compétences dont elle se sert encore aujourd’hui à travers les Monocyclettes. « L’aspect psychologique du cancer et de tout ce qui en découle après, me parle beaucoup et reste assez central pour moi », affirme la Vauclusienne.

« Il y a beaucoup de handicaps invisibles autour du cancer du sein dont on parle peu, voire pas du tout. »

Angélique Lecomte

Après son cancer du sein, le retour au travail d’Angélique est loin d’avoir été idyllique. « Ça s’est très mal passé, explique-t-elle. Il y a peu de compréhension des séquelles qu’on peut avoir après une telle maladie parce qu’elles ne se voient pas. » Grosse fatigue, impossibilité de lever les bras, difficulté à tourner la tête de gauche à droite… Les séquelles qu’a eu Angélique n’étaient pas compatibles avec son travail. Ainsi, elle ne l’a jamais vraiment repris. De là est venu l’idée de se lancer à son compte.

La naissance des Monocyclettes

Au moment où Angélique a remis sa démission, la suite de son histoire est encore un peu floue. L’envie de créer et d’aider les femmes qui, comme elle, ont eu un cancer du sein, est présente. « J’avais besoin de me former donc pendant un an, en même temps que j’ai monté l’entreprise, j’ai suivi une formation en alternance de chef de projet e-commerce », ajoute-t-elle.

Les Monocylettes naissent donc en 2019, grâce à une campagne réalisée sur la plateforme de financement participatif Ulule. Au départ, Angélique ne propose que des vêtements asymétriques, puis est arrivée la crise de la Covid-19, qui a quelque peu freiné le développement de l’entreprise. À la fin de l’année 2020, les affaires reprennent avec cette fois-ci de la lingerie asymétrique, suite à une rencontre et une alliance avec une couturière indépendante. Aujourd’hui, Angélique travaille aussi avec deux ateliers, un sur Dunkerque et un sur Lyon, qui ont permis d’augmenter la production.

De la lingerie pour toutes les poitrines

Aujourd’hui, l’entreprise propose principalement de la lingerie. Sur le site, on trouve des mono-bonnets profonds ou plats, des soutiens-gorge plats ou avec poche, ou encore des grandes tailles. Ainsi, aucune poitrine n’est mise à l’écart. « J’ai fait beaucoup de recherches pour voir ce qui était proposé, même à l’étranger, explique Angélique. Et je ne trouvais pas vraiment de produit qui répondait à mon besoin, j’ai donc décidé de le faire moi-même. » L’entreprise du Sud Vaucluse compte trois revendeurs en France, auxquels devraient bientôt s’ajouter d’autres.

Les Monocyclettes subliment les femmes, principalement en France, mais aussi quelques-unes à l’étranger. « J’ai quelques clientes en Europe, par exemple en Espagne, en Angleterre, en Suisse, en Belgique, mais j’en ai aussi au Canada, aux États-Unis, poursuit-elle. C’est la preuve qu’il existe peu de produits adaptés aux asymétries alors qu’il y a une demande. »

Des produits qui respectent le corps et la santé

De nombreuses femmes décident de ne pas porter de prothèse suite à leur mastectomie, cela peut créer un déséquilibre de la posture, tout comme celles qui choisissent de porter une prothèse, mais dont le poids n’est pas toujours bien adapté. La chirurgie et la radiothérapie peuvent, elles aussi, créer des troubles posturaux. C’est pourquoi Les Monocyclettes proposent un système de bretelles ‘papillon’, un concept breveté qui permet d’améliorer la posture et diminuer les douleurs dorsales.

De plus, les modèles proposés sont en tissus Oeko-Tex et/ou bio, un détail qui a du sens. « On a une fabrication française, on a des matières premières qui sont sourcées en France ou en Europe, ajoute Angélique. C’était important pour moi qu’il n’y ait rien qui aille à l’encontre du respect de la santé. On s’adresse quand même à des personnes qui viennent d’avoir un cancer, on ne va pas en plus proposer des articles qui contiennent des produits toxiques ».

Un accompagnement au-delà de l’aspect esthétique

« La féminité ne se résume pas à une paire de seins ! » C’est une phrase que l’on retrouve sur le site des Monocyclettes. C’est en ce sens qu’Angélique souhaite développer l’entreprise. « Je suis en train de développer la partie accompagnement, la partie coaching, explique l’entrepreneuse. Il y a un réel travail de réappropriation du corps et de quête d’identité après un cancer. »

« Les problèmes liés au fait de se sentir ‘femme’ après un cancer du sein sont peu abordés. Il n’y a pas vraiment d’accompagnement donc on peut se sentir seule. »

Angélique Lecomte

Souvent, la poitrine est associée à la féminité, mais aussi à la sexualité. Ainsi, les femmes qui ont eu un cancer du sein ont souvent du mal à se réaligner avec ces aspects-là. Angélique propose donc un programme personnalisé sur 12 mois qui s’intitule ‘DÉFI’ (Douleurs, Émotions, Fatigue, Image de Soi) afin que les femmes se réconcilient avec elles-mêmes, comme elle a réussi à le faire, notamment à travers Les Monocyclettes.


Avignon : le Rouge Gorge devient rose pour une soirée au profit de la lutte contre le cancer du sein

Le 8 septembre dernier, la MSA Alpes-Vaucluse, le Centre régional de coordination des dépistages des cancers Sud Paca et la mairie d’Uchaux ont présenté l’exposition Sein’Art #2. Celle-ci sera accessible au public ce samedi 7 octobre à l’occasion d’une journée d’action pour Octobre Rose.

Cette exposition, mêlant l’art photographique de Julien Bernard et le body painting réalisé par Nathalie Barthes, est composée de 14 photos de bustes mis en scène et agrémentés de messages de prévention. En plus de découvrir ses photos, le public pourra participer à des marches solidaires, profiter de food trucks avec notamment la meilleure pizza du monde primée à Naples en 2018, participer à un concours de pétanque, ou encore profiter de démonstrations de VTT, de danses, et bien d’autres animations à Uchaux.

Samedi 7 octobre. Salle des jardins. Rue des Jardins. Uchaux.

V.A.


Avignon : le Rouge Gorge devient rose pour une soirée au profit de la lutte contre le cancer du sein

Septembre va bientôt laisser place à octobre, le mois dédié à la sensibilisation au cancer du sein. Pour l’occasion, les soignants vauclusiens ont décidé de tomber la blouse pour une série de shooting photo. À l’origine du projet, Laura Jill Lepvrier, infirmière au centre hospitalier Louis Giorgi à Orange.

En début d’année 2023, Laura Jill Lepvrier apprend qu’une de ses amies a un cancer du sein. C’est un choc pour l’infirmière de 31 ans. « On ne se sent pas forcément impliqué dans la cause, jusqu’au jour où ça nous touche directement ou ça touche l’un de nos proches, explique-t-elle. Je me suis rendu compte que ça pourrait très bien m’arriver aussi. »

De là naît l’idée d’organiser un projet pour Octobre Rose. Pour l’infirmière, qui a aussi fait son mémoire de fin d’étude sur la transformation physique après une mastectomie, participer à la sensibilisation autour de ce cancer avait du sens. Laura commence donc à en parler autour d’elle et à mobiliser des soignants en mars 2023.

Un projet artistique

Une fois le projet en route, vient une interrogation : quelle direction prendre ? Aussitôt, cela surgit comme une évidence, Laura Jill Lepvrier souhaite proposer un projet artistique. « Je voulais faire de l’élégant, du beau », affirme-t-elle. La jeune femme a toujours eu une fibre artistique. En parallèle de sa vie d’infirmière, elle a été dans une troupe de cabaret, puis danseuse pour un magicien, ce qui l’a amenée à poser pour des photographes il y a de cela deux ans.

De fil en aiguille, elle a collaboré avec plusieurs photographes, dont Frédéric Sicard à qui elle a proposé de faire partie du projet. « Il a été partant tout de suite pour créer un projet qui nous ressemble, c’est-à-dire un projet artistique pour une cause importante », développe Laura.

Des soignants vauclusiens de tous les horizons

Afin de mobiliser les soignants, l’infirmière a parlé du projet autour d’elle, mais a aussi créé une page Facebook et un compte Instagram dédiés ‘Tomber le haut pour octobre rose’. Au fur et à mesure, plusieurs dizaines de soignants se sont ralliés à la cause. Ainsi, depuis mars 2023, les shooting photo se sont enchaînés.

Une soixantaine de soignants vauclusiens sont passés devant l’objectif, dont la majorité travaille à l’Hôpital d’Orange. Si la plupart sont des femmes, quelques hommes ont également pris part au projet, car il ne faut pas oublier que le cancer du sein touche également les hommes. Les soignants, devenus modèles photo pour le projet, viennent de plusieurs branches du milieu médical tels que la psychiatrie, l’aide à l’enfance, ou encore les soins palliatifs.

Un projet pour sensibiliser et récolter des dons

Qui dit sensibilisation au cancer du sein dit aussi récolte de dons. Laura a décidé de créer ce projet pour appeler à la solidarité de chacun et pour récolter des dons pour le Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur pour lequel il est également possible de faire des dons via la plateforme Hello Asso.

Pour ce qui est des photos des soignants prises par Frédéric Sicard, elles seront prochainement à la vente sur une plateforme dédiée. Les photos devraient même faire l’objet d’une exposition dans les prochaines semaines.

Le cancer du sein (source : la Ligue contre le cancer)

– Avec environ 61 214 nouveaux cas en 2023 et plus de 900 000 personnes atteintes en France, le cancer du sein est le plus répandu des cancers chez la femme
– 12 100 décès annuels
– Près de 80% des cancers du sein se développent après 50 ans
– L’âge médian du diagnostic est de 64 ans
– Les hommes représentent moins 1% du nombre total de cancers du sein et sont plus fréquemment diagnostiqués après 60 ans


Avignon : le Rouge Gorge devient rose pour une soirée au profit de la lutte contre le cancer du sein

Le Centre Régional de Coordination des Dépistages des Cancers Sud-Provence-Alpes-Côte d’Azur, la MSA Alpes-Vaucluse, la mairie d’Uchaux et le Conseil Régional Sud-Paca organisent le vernissage de l’exposition Sein’Art#2, ce vendredi 8 septembre à 18h.

Cette exposition est l’aboutissement d’un travail mêlant l’art photographique de Julien Bernard et le body painting de Nathalie Barthes mis au service de la sensibilisation au dépistage du cancer du sein. 14 photos de bustes mis en scène et agrémentés de messages de sensibilisation sont à découvrir.

Le vernissage a lieu ce vendredi 8 septembre à 18h. Samedi 7 octobre, à l’occasion d’une journée d’action Octobre Rose à Uchaux, l’exposition sera présentée au public. De nombreuses animations seront proposées lors de cette journée : marches solidaires, concours de pétanque, tournoi de tennis, démonstration VTT, démonstration de danse (salsa, Bachata)…

Un taux de dépistage particulièrement bas en PACA

L’objectif de l’exposition est d’augmenter le taux de participation aux dépistages des cancers organisés dans la région, avec en priorité le dépistage du cancer du sein. Ce cancer est le plus fréquent des cancers féminins avec de 49 000 cas annuels (1 femme sur 8 y sera confrontée au cours de sa vie). C’est aussi la 1ère cause de mortalité par cancer chez la femme avec 12 000 décès par an en France. Détecté à un stade précoce, le cancer du sein peut être guéri dans 9 cas sur 10.

L’exposition est aussi l’occasion de parler des autres dépistages. Le cancer colorectal, avec 42 000 nouveaux cas déclarés chaque année, est l’un des plus fréquents mais aussi le 2ème cancer le plus meurtrier, tous sexes confondus. Le cancer du col de l’utérus touche quant à lui 3 000 femmes et cause 1 100 décès par an.

En région Provence-Alpes-Côte d’Azur, les taux de dépistage sont particulièrement bas et très en dessous des objectifs de santé publique.

Vernissage vendredi 8 septembre à 18h à la salle des Farjons, Uchaux. Inscription obligatoire ici.


Avignon : le Rouge Gorge devient rose pour une soirée au profit de la lutte contre le cancer du sein

Octobre est symboliquement dédié à la sensibilisation au dépistage du cancer du sein, avec Octobre rose. L’institut Sainte-Catherine se mobilise, comme tous les ans, et organise une conférence Grand Public mardi 4 octobre, de 20h à 21h30, à l’amphithéâtre de Sainte-Catherine, en présentiel et en live sur les réseaux sociaux.

Octobre rose est une campagne nationale annuelle destinée à sensibiliser le grand public au dépistage du cancer du sein. A ce titre, Sainte-Catherine organise une conférence Grand public, gratuite, ouverte à tous, sur 3 thèmes de 30 mn chacun, et un temps d’échange avec le public en présentiel et en live sur les réseaux sociaux.

La conférence
aura pour sujet : ‘Les nouveautés dans le traitement du cancer du sein par l’unité fonctionnelle sein-gynéco de sainte-Catherine’, avec la participation des docteurs Elise Lavit, oncologue médicale et Ana Bigou, oncologue radiothérapeute et animée par les Docteurs Daniel Serin, Vice-Président de Sainte-Catherine, et Claude-Pierre Gautier, Médecin Coordinateur Régional – Dépistage des cancers – Centre de coordination Sud Paca.
Mardi 4 octobre, de 20h à 20h30, à l’amphithéâtre de Sainte-Catherine

Le Mont-Blanc en post-chimiothérapie, une épreuve, un défi, un grand bonheur
Témoignage de Véronique Michel qui s’est donné comme objectif l’ascension du Mont Blanc, défi qu’elle s’est lancé en 2019, pendant son traitement en chimiothérapie : « Le sport est un atout mental et physique majeur pour guérir. Je dédie cette ascension tout particulièrement aux femmes atteintes d’un cancer. La route est longue mais l’espoir doit rester en ligne de mire » ; avec les coordinatrices : Joëlle Duret et Loranne Humann, Kinésithérapeutes à Sainte-Catherine.
De 20h30 à 21h.

Cancer du sein et reconstruction
La reconstruction vue par 2 artistes : Jérôme Taub et Matthieu Faury, avec la participation de Caroline Birling, Présidente de CBA Informatique. Des femmes engagées dans une reconstruction après le Cancer du sein seront les modèles des 2 artistes.
Des portraits de femmes sur le thème de la reconquête de leur être et de leur féminité. Une approche artistique autour d’un aspect complexe et trop peu souvent abordé de ce combat contre le cancer du sein.
De 21h à 21h30.

Les infos pratiques
Mardi 4 octobre. A partir de 20h jusqu’à 21h30. Conférence gratuite, Ouverte à tous mais inscription obligatoire. https://octobrerose.isc84.org Conférence en présentiel et en live sur YouTube et Facebook. Un temps de questions/réponses sera disponible avec les orateurs et le public présents à l’amphithéâtre mais aussi avec les internautes qui nous suivront en direct sur les réseaux sociaux. Sainte-Catherine Institut du cancer. 250, Chemin de baigne pieds à Avignon. Inscription : https://octobrerose.isc84.org
MH


Avignon : le Rouge Gorge devient rose pour une soirée au profit de la lutte contre le cancer du sein

L’association Moriéroise des artisans et commerçants (AMAC) a réuni quelques femmes pour une séance photo à l’occasion d’octobre rose et de l’évènement ‘on pose pour le rose’. Tous les dons récoltés seront reversés à la lutte contre le cancer du sein.

On pose pour le rose’ est une association, mais avant tout un évènement de levée de fonds au profit de la recherche contre le cancer du sein. A cette occasion, l’association Moriéroise des artisans et commerçants (AMAC) a réuni quelques femmes pour la bonne cause.

Frédéric Sicard, le photographe derrière l’objectif, est à l’initiative de cette séance photo dont les dons seront reversés directement à la lutte contre le cancer du sein. L’idée est de venir prendre la pose en échange d’un don.

Ces clichés rappellent l’importance de se faire dépister, qu’importe l’âge et le sexe. Si les hommes ne représentent que 1% des cancers du sein, il est important qu’ils sachent qu’ils peuvent être concernés par ce cancer.

Eugénie, Ornella, Géraldine, Ornella L, Alexandra et Emma ont répondu présentes pour cette cause importante qui touche toutes les femmes © DR AMAC

Avignon : le Rouge Gorge devient rose pour une soirée au profit de la lutte contre le cancer du sein

Les Soroptimist organisent une conférence Grand public à l’occasion de l’anniversaire de leurs 100 ans. Le thème ? ‘Le docteur Suzanne Noël pionnière de la chirurgie reconstructive du sein et fondatrice du Soroptimist international en Europe en 1924’, par le docteur Sarfati, chirurgienne plasticienne de l’Institut du sein à Paris.

Au programme

19h, Introduction de Roland Sicard, Président de Sainte-Catherine – Institut du Cancer – Avignon-Provence ; 19h15 : Christine Martella, Présidente du Soroptimist International d’Avignon : les 100 ans du mouvement Soroptimist ; 19h30 : Docteur Isabelle Sarfati : l’histoire de Suzanne Noël et la chirurgie mammaire d’aujourd’hui ; 20h15 : Questions / Réponses des participants. Fin de la conférence à 21h.

Les infos pratiques

Jeudi 28 octobre. De 19h à 21h. Cellier Benoît XII au Palais-des-Papes.Avignon. Pass sanitaire obligatoire. Réservation obligatoire ici.
MH


Avignon : le Rouge Gorge devient rose pour une soirée au profit de la lutte contre le cancer du sein

Pour la 28e édition de l’opération nationale Octobre Rose, le Conseil départemental de Vaucluse a décidé d’éclairer en rose la façade de l’Hôtel du Département, à Avignon. Un geste symbolique qui durera tout le mois d’octobre en soutien à la campagne de sensibilisation au dépistage du cancer du sein et de collecte de fonds pour soutenir la recherche.
Pour cela, les 16 spots habituellement blanc qui illuminent chaque nuit l’édifice ont été recouvert d’un film spécial ‘Rose 150’ reproduisant les teintes de la couleur officielle de la campagne nationale.
L’éclairage se déclenchera chaque soir, quelques minutes avant le coucher de soleil. Il s’éteindra, chaque matin, juste après le lever du jour. Un programmateur basé sur l’éphéméride assurera ce fonctionnement quotidien.
L’initiative s’inscrit dans le cadre d’Octobre rose qui, depuis 1994, illumine de nombreux monuments historiques pour montrer leur soutien à la lutte contre le cancer du sein.
A cette occasion, durant tout le mois les professionnels de santé, associations et institutions sont mobilisés pour informer la population sur le dépistage du cancer du sein. Ces acteurs organisent ainsi des manifestations et des initiatives (courses, défilés, ventes caritatives, clips, etc.) pour informer mais également récolter des fonds au profit de la recherche médicale et scientifique (3,1M€ en 2020).
Chaque année en France, 54 000 nouveaux cas sont détectés et 12 000 femmes en décèdent. Une femme sur 8 risque de développer un cancer du sein au cours de sa vie.

https://www.echodumardi.com/tag/cancer-du-sein/   1/1