4 mai 2024 |

Ecrit par le 4 mai 2024

De nouveaux horaires pour les déchèteries de la Cove

A compter du lundi 1e février, les déchèteries d’Aubignan, Caromb, Carpentras, Malaucène et Venasque ouvriront à 8h30.

Les déchèteries d’Aubignan, Caromb et Carpentras seront ouvertes du lundi au samedi.
Horaires d’hiver : du 1er octobre au 31 mars, de 8h30 à 12h30 et de 14h à 16h30.
Horaires d’été : du 1er avril au 30 septembre de 8h à 12h30 et de 14h à 18h.

La déchèterie de Malaucène sera ouverte du lundi au samedi matin et les mercredis et samedis après-midi.
Horaires d’hiver : du 1er octobre au 31 mars de 8h30 à 12h30 et de 14h à 16h30.
Horaires d’été : du 1er avril au 30 septembre de 8h à 12h30 et de 14h à 18h.

La déchèterie de Venasque sera ouverte les mardis, vendredis et samedis matin.
Horaires d’hiver : du 1er octobre au 31 mars de 8h30 à 12h30.
Horaires d’été : du 1er avril au 30 septembre de 8h à 12h30.


De nouveaux horaires pour les déchèteries de la Cove

En décembre dernier, les Compagnons du Goût, le réseau de bouchers charcutiers traiteurs indépendants, lançaient une opération solidaire via la vente de tablettes de chocolat au prix de 3€ intégralement reversés à l’association Petits Princes. Malgré le contexte sanitaire, l’opération a remporté un franc succès, l’association ayant reçu 36 000 € afin de permettre aux enfants malades de réaliser leurs rêves.

Dans le Vaucluse, 5 artisans ont participé à l’opération :

Claudine et Denis Da-Prato : Grande Rue à Cabrières d’Avignon
Anne-Marie Méjean, Choc Viandes : 128 avenue Jean-Henri Fabre à Carpentras
Yvan Amsallem, Les Frères Bouchers : 319 route de Caumont à Jonquerettes
Axel Da Prato, Maison Rastello : 356 bd St Roch à La Tour d’Aigues
Alexis Roumette : 41 rue St Martin à Orange

Créée en 1987, l’association Petits Princes réalise les rêves d’enfants et d’adolescents gravement malades. Elle est à ce jour la seule association en France à réaliser plusieurs rêves pour un même enfant en fonction de l’évolution de sa pathologie. Depuis 33 ans, plus de 7 900 rêves ont été réalisés, avec plus d’un rêve réalisé par jour.


De nouveaux horaires pour les déchèteries de la Cove

En 20 ans, la PME vauclusienne est passée de la cacahouète de comptoir à numéro 1 européen du vrac bio dans la grande distribution alimentaire. Le tout en développant son ADN éco-responsable ainsi que son ancrage territorial.

« Nous avons commencé il y a 20 ans avec des produits gras et sucrés vendus dans du plastique et aujourd’hui nous sommes le leader européen du vrac bio avec 0 plastique. » Quel chemin parcouru par Franck Bonfils qui, pour financer ses études à sciences-po il y a plus de 20 ans, faisait griller des cacahuètes dans le garage de ses parents à Gigondas. Il faisait alors le tour des bars pour remplir les distributeurs posés sur les comptoirs avant qu’une polémique nationale sur leur hygiène n’ait raison d’eux.

Une fois son diplôme en poche, celui qui aurait souhaité devenir journaliste commence à travailler dans la banque. Mais sans grande conviction. Cet amoureux du Comtat Venaissin a envie de revenir travailler chez lui. Cette histoire de cacahuètes lui revient à l’esprit. Alors avec la complicité de ses parents, il crée ‘Un Air d’ici’ en 2000, avec comme objectif de proposer à la grande distribution des cacahuètes de bistrots ’à l’ancienne’.

Dans ce marché où il doit faire face à des mastodontes de l’apéro, il se distingue alors en proposant un produit de professionnel au particulier. Les grandes marques mettent en sachet, il conditionne dans un seau réutilisable. Elle cache leur produit dans un emballage aluminisé, il montre ses cacahuètes dans un contenant transparent. Et cela marche.

Le spécialiste des fruits secs bio

Dans le même temps, ce développement s’accompagne d’une adaptation de l’outil de production. ‘Un Air d’ici’ quitte Gigondas en 2006 pour rejoindre Carpentras, en face de Lafarge dans la zone de Carpensud. Le site s’agrandit notamment de 600m2 en 2015 mais il n’est plus suffisant pour faire face à la croissance de l’entreprise vauclusienne.

Il faut dire qu’entretemps ‘Un Air d’ici’ s’est peu à peu positionnée comme spécialiste des fruits secs avant de s’orienter, en 2008, vers une production bio, toujours destinée à la grande distribution. C’est à ce moment-là que la société carpentrassienne mise sur le vrac via des meubles où les produits sont versés dans des trémies afin que les consommateurs puissent se servir de la quantité dont ils ont besoin dans des sachets kraft recyclables. Bien que le vrac représente désormais plus de 90% de l’activité, l’offre comprend également, en complément, une gamme en sachet pour la consommation ‘nomade’.

« Ma grande fierté, c’est d’avoir permis à des millions de personnes de consommer du bio sans être des clients des magasins spécialisés. »

« Quand je suis arrivé dans les magasins pour proposer du bio en vrac, il n’y avait que des problèmes, se souvient Franck Bonfils. J’ai dit laissez-moi juste 1 mètre de linéaire pour faire nos preuves. J’étais sûr que nous étions dans le vrai car nous sommes les seuls au monde à gérer de cette manière avec une maîtrise complète de la chaîne : à savoir une connaissance parfaite des filières sur place (méthode de culture, pas de pesticide, pas de travail des enfants…), un contrôle à 100% des produits que utilisons par notre service qualité ainsi que par un laboratoire indépendant – je fais confiance, mais je contrôle – , des produits transformés à 100% dans notre site de Carpentras ainsi que des conditionnements 100% compostables et biodégradables. A cela, s’ajoute des techniciens dédiés, formés aux règles d’hygiène et de sécurité alimentaire, pour le remplissage des trémies hermétiques, directement dans les magasins, ce qui fait que personne n’entre en contact avec les produits dans nos meubles. »

L’accélérateur ‘Juste bio’

Si tous les ingrédients sont là, il ne manque plus que le détonateur pour emballer la machine au niveau national. Cet accélérateur arrive en 2017 avec le lancement de la marque ‘Juste bio’ dont les meubles se trouvent dans plus de 6 000 points de vente en GMS maintenant. Le succès est tel que la nouvelle marque détrône ‘Un Air d’ici’ qui reste cependant le nom de la société. « Ma grande fierté, c’est d’avoir permis à des millions de personnes de consommer du bio sans être des clients des magasins spécialisés où ils n’ont pas l’habitude d’aller », se félicite Franck Bonfils.

Le pari n’était toutefois pas gagné lorsqu’il a fallu convaincre les banquiers de financer ses meubles et leur contenu que Franck Bonfils s’était engagé à reprendre à ses frais auprès des magasins. Finalement, c’est le Crédit agricole qui dit ‘banco’ pour financer la stratégie de la PME comtadine. Bien lui en a pris puisqu’aujourd’hui 25kg de produits ‘Juste bio’ sont vendus chaque minute, dont 5kg d’amandes qui constitue le produit phare de cette marque proposant plus de 140 références en vrac issues de l’agriculture biologique et certifiées bio (fruits secs, ‘snacking’, graines, céréales et petit-déjeuner, riz, pâtes, café…).

« 25kg de produits ‘Juste bio’ sont vendus chaque minute. »

Une stratégie récompensée par Ernst & Young dès 2018

Un positionnement salué en 2018 par le cabinet d’audit EY (Ernst & Young) dans la cadre de la 26e édition de son prix EY. L’entreprise carpentrassienne figurant alors parmi les 9 lauréats de la région Sud-Est en obtenant un prix dans la catégorie ‘Vision stratégique’

Et le succès est au rendez-vous de ce positionnement atypique qui se traduit aussi dans les résultats : 2M€ de chiffre d’affaires en 2005, 4M€ en 2008, 13M€ en 2016, 50M€ en 2017 et 78M€ en 2020 !

Cet essor s’accompagne alors immanquablement de nouveau besoin de production. ‘Juste bio’ décide donc de se doter d’un nouvel outil fidèle à son ADN éco-responsable : un site de 10 000m2, toujours à Carpentras, qui est la première usine agro-alimentaire zéro plastique d’Europe. « Nos services administratifs ont aménagé le 2 novembre dernier alors que le 2e confinement débuté, se remémore Franck Bonfils. Les équipes de production sont arrivées le 15 décembre. »

16M€ d’investissement

Avec cet investissement de 16M€ (9M€ pour le bâtiment et 7M€ pour les outils de production), le leader européen du vrac bio dispose également d’une usine à énergie positive dont la capacité de production est maintenant de 28 000 tonnes contre 7 000 tonnes pour l’ancien site qui sera conservé pour être loué. La PME gardant un attachement pour ce lieu qui l’a vu grandir.

La nouvelle usine comprend notamment un nouveau four permettant de produire en une journée l’équivalent d’une semaine de production sur l’ancien site. De quoi aussi permettre d’aromatiser directement ses produits à partir de produits bruts ou de continuer à les enrober, les griller ou les mélanger.

Dans la partie réfrigérée, des racks mobiles ont été installés pour réduire l’espace dédié au stockage. Résultat : 50% de place gagnée et d’importants gains énergétiques car il y a moins de volume à refroidir.

Mais ce déménagement a été aussi l’occasion de faire la chasse aux plastiques et autres déchets alors qu’avec le vrac c’est plus de 300 tonnes de plastiques qui ont pu déjà être économisé l’an dernier. Ainsi avec ces locaux flambant neufs ‘Juste bio’ permet dorénavant l’économie de 2 millions d’étiquettes grâce à un procédé de marquage laser remplaçant l’utilisation de solvant et des systèmes de jet d’encre.

« Grâce à ces méthodes nous allons aussi économiser 500km de ruban de transfert thermique ainsi que 2 000km de scotch. »

« Notre volonté, poursuit le patron vauclusien, c’est que notre site soit entièrement tourné vers la réduction des emballages polluants. »

« Notre volonté, poursuit le patron vauclusien, c’est que notre site soit entièrement tourné vers la réduction des emballages polluants. Pour cela, depuis 2019 nous avons notamment mis au point, avec une start-up israélienne, un emballage entièrement compostable et biodégradable. » Un conditionnement inédit d’origine végétale permettant de garantir une durée de vie de près de 1 an au produit emballé qui avait eu les honneurs de Brune Poirson, alors secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire lors d’une présentation il y a bientôt 2 ans.

« Ce procédé est en open-source. Il est donc utilisable par l’ensemble du secteur qui, pourtant, ne semble pas se précipiter pour l’utiliser » regrette Franck Bonfils.

Même désappointement concernant la mise en place de filières de production locales : « en matière d’approvisionnement nous essayons de faire toujours au plus proches. D’abord la France, puis nos voisins européens et ainsi de suite… »

S’approvisionnant dans une trentaine de pays, le patron de ‘Juste bio’ qui a appris à maîtriser ses craintes en avion, est un gros utilisateur d’amandes bio (1 200 tonnes par an provenant essentiellement d’Espagne et d’Italie). L’entreprise est donc prête à soutenir la mise en place d’une filière. Encore faut-il que les différents acteurs prennent en compte les exigences du secteur du bio.

« Je suis un fervent défenseur de l’emploi local. »

Autre grande fierté pour Franck Bonfils : créer de l’emploi local. « Je suis un fervent défenseur de l’emploi local car c’est nous les entrepreneurs qui créons des emplois et c’est nous qui créons des consommateurs sur nos territoires », explique celui qui ne comptait que 5 salariés en 2005 puis une trentaine à l’orée 2016/2017. Aujourd’hui, l’entreprise compte 130 salariés ainsi que 15 à 20 intérimaires supplémentaires. L’an dernier, cet acteur de l’emploi local a recruté 40 personnes et cherche à en embaucher 10 de plus actuellement (recrutement ici).

L’emploi, l’emploi et encore l’emploi semble être le leitmotiv de ce patron qui n’avait hésité, il y quelques années à supprimer toutes les cartes Total de ses commerciaux suite à l’annonce d’un plan de licenciement après des bénéfices records du pétrolier. « Nous avons pris nos cartes essence chez nos clients distributeurs », explique-t-il alors qu’il offre alors des vélos à ses salariés pour limiter les déplacements en voiture. Le bio ce n’est pas que dans les amandes c’est aussi dans la tête.

Et le Covid dans tout ça ?

« Lors du 1er confinement, on a fermé le vrac pour des raisons d’hygiène en apposant des messages anxiogènes dans les rayons alors que vrac ne présente pas plus de risque qu’un paquet de gâteaux mis en rayon par un opérateur. Je le répète, nos opérateurs versent les produits dans les trémies sans toucher les aliments. Ensuite, ce sont les consommateurs qui se servent sans jamais être en contact avec les produits stockés dans nos meubles. »

« Avec cette crise sanitaire, il y a un vrai retournement des consommateurs qui veulent plus de transparence et d’informations. Maintenant, ce que l’on raconte sur les entreprises intéresse le grand public. Dans le même temps, je suis convaincu qu’à long terme on ira à la réduction des emballages et que le secteur du vrac devrait exploser. »

En attendant, les projets ne manquent pas puisque ‘Juste bio’ va sortir en 2021 ‘Cocorico’ une gamme de produit français (noix, légumineuse…). Autre lancement, l’arrivée de la marque ‘Louis et P’tit Jules’, qui reprend le concept du vrac dans des meubles, pour être déclinée au sein de la GSS (Grande surface spécialisée). Déjà présent en Suisse, en Belgique, au Luxembourg et au Portugal, la ‘pépite’ vauclusienne envisage également d’étendre son offre à l’export.


De nouveaux horaires pour les déchèteries de la Cove

Actuellement en chantier, l’ancienne gare de Carpentras se transforme progressivement en gare dédiée au numérique et à l’innovation (voir vidéo). Un projet de 3M€ piloté par la Communauté d’agglomération Ventoux Comtat Venaissin (Cove) qui sera livré en avril 2021.

Les travaux vont bon train du côté de l’ancienne gare SNCF de Carpentras. Alors que le bâtiment aurait dû être rasé en 2015, la Cove a souhaité opérer de grands travaux de réhabilitation afin de transformer totalement le lieu pour y développer le numérique sur son territoire. « L’objectif est de créer un écosystème consacré aux nouvelles technologies, sous la forme d’un pôle de services accessible au plus grand nombre, détaille Jacqueline Bouyac, présidente de la Cove. Avec ses espaces physiques et virtuels, le lieu se prêtera aux rencontres entre des personnes qui n’ont pas forcément vocation à se croiser afin de partager leurs savoirs et leurs compétences. »

Un chantier de 3,02M€

Véritable tiers-lieu dédié à l’innovation, la future Gare numérique sera scindée en différents espaces destinés à accueillir les entreprises comme les particuliers : 254m² seront ainsi dédiés à des ateliers de fabrication numérique, 266m² seront réservés à de la location de bureaux. La Gare comprendra également un espace de coworking de 460m², un espace évènementiel de 375m² ainsi qu’un emplacement pour y dispenser des formations. Un coin restauration sera aménagé à l’arrière du bâtiment tandis que les anciennes voies ferrées laisseront place à de grandes terrasses. « Nous souhaitons accueillir et accompagner toutes sortes d’entreprises en phase de création et de développement, souligne Jaouad Ziati, délégué au développement numérique. Ces entreprises y trouveront toutes les ressources matérielles et humaines nécessaires pour les aider à grandir et à innover. » Pour ce chantier au long cours dont la première pierre fut posée à l’été 2019, le budget total s’élève à 3,02M€ (dont 617 836€ pris en charge de la Région Sud-Paca). La livraison est, quant à elle, prévue pour avril 2021.


De nouveaux horaires pour les déchèteries de la Cove

L’association Art et vie de la rue, en partenariat avec l’association Kareen Mane et Cultura Le Pontet, organise une distribution de cadeaux aux enfants de familles en difficulté. Cette distribution s’effectuera dans le respect des gestes barrières.

Mercredi 16 décembre. 16h à 17h30. Art et vie de la rue, 47 rue du Refuge. Carpentras. 04 90 60 69 54.


De nouveaux horaires pour les déchèteries de la Cove

La mairie, qui a pour projet de mettre en place une mutuelle communale, invite les carpentrassiens à remplir un questionnaire. Objectif : rassembler les habitants intéressés afin de pouvoir négocier un tarif plus avantageux auprès des professionnels du secteur.

Dans l’optique de faire bénéficier les habitants d’un tarif préférentiel pour leur mutuelle, la Ville de Carpentras souhaite négocier un contrat de couverture santé groupé. Un dispositif qui concerne les retraités, étudiants, travailleurs indépendants, salariés, ainsi que les personnes seules, en couple ou en famille monoparentale. La Ville indique que l’aboutissement d’un tel projet ne sera conditionné que par l’adhésion du plus grand nombre.

La première étape de ce dispositif vise à recenser le nombre d’adhérents potentiels afin de cerner leurs attentes en termes de garanties et de prix via un questionnaire à remplir. Disponible en ligne, ce dernier sera également mis à disposition à l’accueil de la mairie à compter du 15 décembre et jusqu’au 31 mars prochain. Les questionnaires complétés pourront être renvoyés par mail à ccas@carpentras.fr ou par voie postale à l’adresse de la mairie (Place Maurice Charretier, 84200 Carpentras).

Dans le Vaucluse, Caumont-sur-Durance est la première commune à s’être dotée d’une mutuelle municipale en 2013. Une initiative qui a fait des a fait des émules puisque Caromb, Mazan, la Bastide-des-Jourdans, Châteauneuf-du-Pape, Courthézon, Caderousse, Cheval-Blanc, Saint-Didier, Bollène Châteauneuf-de-Gadagne, Morières-lès-Avignon ou bien encore Vaison-la-Romaine se sont lancées dans ce projet.


De nouveaux horaires pour les déchèteries de la Cove

Malgré la crise sanitaire, les Noëls insolites de Carpentras font leur retour cette année du 19 décembre au 3 janvier. Au programme : des ateliers, des spectacles et des animations givrées gratuites pour petits et grands. 

Cette année, crise sanitaire oblige, les Noëls insolites reviennent dans un format repensé. Si le traditionnel marché gourmand ainsi que les déambulations habituelles ne seront pas de la partie, le festival propose une programmation composée d’animations et de spectacles fixes gratuits. Parmi les activités préférées des familles, les animations givrées font leur retour avec, tout d’abord, le Gliss X-trem qui sera installé devant l’hôtel-Dieu. Les détenteurs de la carte jeunes pourront bénéficier de 3 descentes gratuites et après chaque saut, les bouées seront désinfectées. En cette fin d’année particulière, le Jardin des neiges déménage place du Marché aux Oiseaux. Ce dernier prend toujours la forme d’un parcours et d’une descente de luge mais, en raison de la situation sanitaire, les entrées seront comptées et le matériel sera désinfecté. Quant à la patinoire, elle va connaître un grand changement cette année en passant à 300 m2 de surface. Ces 50 m2 supplémentaires permettront ainsi d’assurer les distances entre les patineurs.

Des spectacles gratuits dans cinq lieux de la ville
Le festival proposera également de nombreux ateliers aux enfants. Déjà limités en nombre (inscription obligatoire), ils s’adapteront tout à fait aux gestes barrières. La mascotte Léon accueillera toujours les enfants dans son château situé à l’Inguimbertine pour des cours de création de costumes. Quant à la petite ferme, celle-ci s’installera place Maurice-Charretier. Pour éviter les attroupements, elle verra son périmètre élargi. Du côté du centre-ville, le manège du Contrevent, grâce auquel les enfants s’envoleront sur un tapis volant au son du piano, sera installé place d’Inguimbert. Enfin, en lieu et place du traditionnel théâtre de rue, des spectacles poétiques, insolites et féériques se joueront dans cinq lieux de la ville : la cour Sud de l’hôtel-Dieu où se trouvera un chapiteau, la Charité, le théâtre ambulant ‘Vagabond’ qui établira ses quartiers place d’Inguimbert, la place Bachagha Boualam (rue Galonne) et la cour de l’école Émile Bouche. A noter que le célèbre marché aux santons se tiendra à la chapelle du collège du 12 au 27 décembre tandis que la traditionnelle grande crèche provençale à l’office de tourisme du 20 décembre jusqu’à la mi-février.

Programme détaillé sur www.noelsinsolites.fr


De nouveaux horaires pour les déchèteries de la Cove

Malgré la crise sanitaire, les Compagnons du Goût, réseau rassemblant plus de 550 artisans bouchers, charcutiers et traiteurs indépendants parmi les meilleurs de France, vont aider l’association Petits Princes pour permettre à des enfants malades de réaliser leurs rêves.

Pour ce faire, des tablettes de chocolat sont mise en vente pour 3 € intégralement reversés à l’association Petits Princes. Créée en 1987, l’association réalise les rêves d’enfants et d’adolescents gravement malades. Le personnel médical des 150 services hospitaliers avec lesquels l’association collabore au quotidien confirme que le rêve aide leurs petits patients à se sentir mieux émotionnellement et parfois même physiquement. L’association Petits Princes est la seule association en France à réaliser plusieurs rêves pour un même enfant en fonction de l’évolution de sa pathologie. A ce jour, plus de 7 900 rêves ont été réalisés, avec plus d’un rêve réalisé par jour.

Les tablettes de chocolats sont disponibles chez :
Claudine et Denis Da-Prato : Grande Rue à Cabrières d’Avignon.
Anne-Marie Méjean, Choc Viandes : 128 avenue Jean-Henri Fabre à Carpentras.
Yvan Amsallem, Les Frères Bouchers : 319 route de Caumont à Jonquerettes.
Axel Da Prato, Maison Rastello : 356 bd St Roch à La Tour d’Aigues.
Boucherie Roumette et Fils : 41 rue St Martin à Orange.


De nouveaux horaires pour les déchèteries de la Cove

En raison de la reprise de l’activité commerciale qui s’annonce soutenue à l’approche des fêtes de fin d’année, la Ville de Carpentras autorise tous les commerces de détail à ouvrir les dimanches, du 29 novembre jusqu’au 27 décembre inclus.

Par ailleurs, afin de soutenir les commerçants de la ville et promouvoir le Click & Collect,  la Ville lance un nouveau format de vidéos sur sa page Facebook. Réalisées sous forme de pastilles de moins de 2 minutes, ces vidéos mettent en scène des usagers qui utilisent le Click & Collect pour leurs besoins : loisirs, bien-être, restauration, etc. Pour l’occasion, des commerçants membres de l’association ‘Carpentras notre ville’ ont été sollicités pour soutenir cette initiative qui ne fait que commencer. En effet, d’autres vidéos sont prévues, et ce même après le déconfinement progressif.

https://www.echodumardi.com/tag/carpentras/page/28/   1/1