26 avril 2024 |

Ecrit par le 26 avril 2024

Annonciateur des beaux jours, le Festival Andalou aura lieu du 13 au 24 mars

Le Festival Andalou ? Un festival attendu en mars en Vaucluse et toujours aussi réjouissant

La présidente de l’association Andalouse Alhambra, Béatrice Valéro, l’a confirmé dans son allocution de bienvenue : Depuis 23 ans, la fidélité du public, des partenaires sociaux et culturels et des institutions publiques donne envie de continuer cette aventure commencée il y a 23 ans avec le Centre Social de la Fenêtre à Saint-Chamand, partenaire toujours privilégié.

Un festival andalou créé à Avignon, pour promouvoir la culture arabo-andalouse

Créée en 1996 par Luis de la Carrasca, auteur-compositeur, musicien et chanteur andalou, l’Association Andalouse Alhambra (AAA), présidée par Béatrice Valéro, a pour but de promouvoir et de diffuser la culture andalouse, arabo-andalouse et du bassin Méditerranéen par le biais d’activités et de créations artistiques. Active toute l’année, en partenariat avec le Centre social La Fenêtre, l’idée d’un festival andalou a germé en 2002. L’AAA a voulu le faire coïncider avec les célébrations qui ont lieu fin février en Espagne pour l’anniversaire de la constitution de l’Andalousie en communauté autonome. 

Un festival pluridisciplinaire désormais départemental et enrichi d’une Semaine espagnole

Deux mots d’ordre pour cette programmation pluridisciplinaire : diversité et exigence de qualité pour refléter toutes les facettes de la culture andalouse. Il y aura pendant plus de dix jours : cinéma, peinture, ateliers adultes et enfants, masterclass, jeune public et scolaire, contes, pratique amateur, défilé équestre et… gastronomie.

La deuxième édition de la Semaine Espagnole, voulue et soutenue par la mairie d’Avignon, est intégrée dans le Festival Andalou et aura lieu du samedi 16 au samedi 23 mars. Ce festival de plus en plus apprécié s’étend dans le département jusqu’à L’Isle-sur-la-Sorgue, Caumont ou Orange. 

Un pont d’Art entre les deux rives

Isam Ifghallal, président du festival, a rappelé l’essence même de ce dernier : « montrer à quel point l’art et la culture peuvent constituer des points de rencontre. Le Festival Andalou est un des leviers pour partager des moments de bonheur et de partage. Il est la mémoire sous forme de repère d’un vivre ensemble en harmonie et un pont d’art entre les deux rives. » 

Réveiller les consciences en Andalousie même

Le directeur artistique du festival Luis de la Carrasca, musicien auto compositeur, a salué l’effort de tous – des bénévoles toute l’année, mais aussi des artistes locaux — pour réaliser des merveilles avec un budget serré. Il a toutefois exprimé le regret, la frustration, de ne pouvoir, faute de budget suffisant, inviter, échanger avec de « vrais andalous. » Il aimerait pouvoir réveiller les consciences en Andalousie même. Il a précisé que son propos n’était pas négatif, juste réaliste. 

La culture andalouse à l’honneur du mercredi 13 au dimanche 24 mars

Au fil des jours à venir

Chant, musique et danse flamenco

 « De Sal y de Espuma » de Melchor Campos. 
Vendredi 15 mars. 19h30. 5 à 23€. Théâtre du Chien qui Fume. 75 Rue des Teinturiers. Avignon. 04 90 85 25 87. 

« Dulce Espina » de et par Cristina Hall et Sara Holgado.
Mardi 19 mars. 20h. 5 à 15€. Théâtre Golovine. 1 bis rue Sainte-Catherine. Avignon. 04 90 86 01 27.

 « Baró Drom » de Luis de la Carrasca.
Samedi 23 mars. 20h30. 10 à 23€.  Salle Jean Moulin. Auditorium. 971 Chemin des Estourans. Le Thor. 04 90 33 96 80. www.vaucluse.fr

 « Pulsación Flamenca » par la compagnie Juan Santiago.
Dimanche 24 mars. 17h. 12 et 16€. Théâtre du Sablier. 37 Cours Aristide Briand. Orange.

Musique Arabo-Andalouse

L’orchestre Chabab Al Andalous de Rabat dirigé par Maître Hicham Belghiti, accompagné de l’artiste Abdellah Makhtoubi.
Vendredi 22 mars. 21h. 5 à 25€. Théâtre du Balcon. 38 rue Guillaume Puy. Avignon. 04 90 85 00 80 – contact@theatredubalcon.org

L’Orchestre Tarab avec Fouad Didi et Les Chandalous. 
Samedi 16 mars. 20h30. 15€. Le Rouge-gorge. Place de l’Amirande. Avignon. 06 81 25 19 73 – rougegorgeavignon@aol.com

Musique et chant

« Duo Trovaores » un concert de Trova Flamenca avec Antonio Placer et Juan-Antonio Suárez « Canito. » 
Dimanche 17 mars. 16h. Entrée libre sur réservation. Chapelle Saint-Symphorien. 9 impasse de la Chapelle. Caumont-sur-Durance. 04 90 25 21 07.

Théâtre

« Payasadas ou quelle clownerie la guerre » par la cie Catalina Rodriguez.
Samedi 16 mars. 20h30. 13€.Théâtre de l’Etincelle. 14 Rue des Etudes. Avignon.

Spectacles interactifs jeune public

« Flamenco Intimo » de Chely La Torito à l’école maternelle Antoine de Saint-Exupéry à Avignon (réservé aux enfants de l’école maternelle).
« Flamenka In Situ » de Chely La Torito à la Bibilothèque de Saint Chamand à Avignon (réservé aux enfants de l’école maternelle).
Carte Blanche à Chely La Torito au Centre Social et culturel de la Rocade-Espace Pluriel à Avignon.

Exposition des peintures sur le Flamenco et l’Andalousie

Exposition des peintures sur le Flamenco et l’Andalousie de l’artiste-peintre Serge Pena qui a réalisé la peinture de l’affiche du 23ème Festival Andalou. L’artiste donne libre cours à la force et la richesse de son imaginaire et nous communique des émotions nourries par les rencontres touchant au coeur de sa vie. Il vit en Provence, il pratique la peinture à l’huile au couteau et au pinceau. 
Jeudi 14 mars 2024 . 18h30. Vernissage de l’exposition. Puis ouvert du 15 au 24 mars. De 14h à 19h. Salle d’exposition de la Manutention. Rue des escaliers Sainte-Anne. Avignon. 

La petite cuisine des Halles

En partenariat avec l’association des commerçants des Halles. Démonstration et dégustation d’une recette d’un plat andalou par Hervé Bieber, maître coq à bord d’un navire.
Samedi 16 mars. 11h. Les Halles. Place Pie. Avignon. 

23ᵉ Festival Andalou. Du mercredi 13 au dimanche 24 mars. 04 90 86 60 57. 


Annonciateur des beaux jours, le Festival Andalou aura lieu du 13 au 24 mars

Parcours très honorable pour Ludovic Letellier au championnat d’Europe de billard 2024. Le Caumontois, qui défendait les couleurs du Portugal, a terminé avec sa nation à la septième place parmi les dix pays qui se sont affrontés.

Une place honorifique vu comme une progression par le Vauclusien, qui est aussi chef cuisinier au sein du bar-restaurant La Véranda à Caumont-sur-Durance. « On a accroché des grosses équipes et on a mené 7-3 face à l’Irlande, la grande favorite qui est la lauréate de cette édition, on avance dans le bon sens, il nous manque encore juste un esprit un peu plus tueur que possèdent les anglo-saxons », affirme le joueur né en Normandie. 

Une deuxième compétition sous les couleurs portugaises

C’est la deuxième participation au championnat d’Europe de billard pour Ludovic Letellier, après son expérience à Malte en 2023 avec cette même équipe portugaise. Si le Normand d’origine porte les couleurs jaune, verte et rouge, c’est avant tout par amour pour son sport, car il n’a aucune racine qui vienne du Portugal. « C’est ma femme qui est portugaise, explique-t-il. Ce qui s’est passé, c’est que mon meilleur ami, qui est le président de la fédération portugaise de billard, m’a proposé de jouer avec eux en 2020, peu avant la crise sanitaire, sachant l’opportunité que j’aurai de participer à de grandes compétitions, j’ai pris la double nationalité ».   

Le Caumontois est loin d’être le seul dans ce cas, l’équipe portugaise étant constitué majoritairement de ressortissants français. « Le niveau en équipe de France est très élevé, c’est très compliqué d’être appelé, ajoute Ludovic. Malgré tout, la France a terminé à un point derrière nous, ce qui démontre clairement que la progression de notre équipe est réelle. » 

Rendez-vous en 2025 ? 

Et pour la suite ? Celui qui est également vice-président du club de billard de Châteaurenard ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et compte bien redoubler d’efforts pour continuer à participer à ce genre de compétitions. « Je vais continuer à jouer énormément, à m’entrainer chez moi et faire des compétitions avec mon club pour arriver prêt au prochain championnat européen à Malte », annonce le Vauclusien. 

Ludovic Letellier n’est donc pas prêt de lâcher la canne et se prend à rêver pour la suite. « J’espère qu’on arrivera à rentrer dans les quatre premiers au prochain championnat européen, voire faire une finale, on n’était pas si loin que ça cette année », conclut-il.


Annonciateur des beaux jours, le Festival Andalou aura lieu du 13 au 24 mars

Le Caumontois Ludovic Letellier participe ce week-end aux championnats d’Europe de billard 8-pool qui débute ce week-end à Killarney en Irlande. Il défendra les couleurs de l’équipe A masculine du Portugal du samedi 24 au jeudi 29 février.

Après plus de 30 ans d’expérience à écumer les compétitions départementales et nationales, notamment avec le club de Chateaurenard, ce Vauclusien habitué aux grandes compétitions internationales va donc participer une nouvelle fois au championnat européen de billard.

Celui qui est aussi chef cuisinier au sein du bar-restaurant La Véranda à Caumont-sur-Durance fera donc parti des 33 membres de l’équipe lusitanienne dont une majorité des joueurs ne sont pas originaires du Portugal, mais vivent en France, en Belgique, en Angleterre ou au Luxembourg. Il faut dire que la Fédération portugaise est une toute jeune structure qui a vu le jour en 2017 et dont le siège se trouve en Normandie.


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« Parler pointu » ? expression utilisée pour désigner le prétendu non-accent de tous ceux qui vivent au-dessus de Valence.

Parler en évitant de faire entendre son accent… du sud. Parler comme nous le demandent les Médias, certains cours d’art dramatique qui enseignent un français normatif, académique, « distingué »…

Une prise de conscience salutaire

Benjamin Tholozan a grandi dans un village du midi où tout le monde s’exprime dans le style de Pagnol. Pour devenir comédien, il a appris à gommer son accent provençal, à parler la langue du pouvoir, des médias, du théâtre ! Pour l’enterrement de son grand-père, il écrit une oraison mais personne ne comprend rien, faisant des yeux ronds, mettant en cause son accent « parisien ». Il sent alors l’éloignement créé par des années de cours d’art dramatique à la capitale. 

Un conte initiatique, drôle et universel pour rendre hommage à ses racines

Dans Parler pointu, il veut ressusciter son pépé, et, avec lui, la manière de parler de ses aïeuls. Faut-il renier son héritage culturel et familial, se déraciner, se faire violence et perdre son identité pour mieux s’intégrer ? Homogénéiser le monde en faisant disparaître les particularités qui le rendent si riche ? Est-il nécessaire de modifier volontairement sa façon d’être et de s’exprimer pour faire du théâtre ? 

Au-delà de votre anecdote et déclic personnel, qu’est-ce qui vous a inspiré Benjamin Tholozan ?

Pourquoi j’ai jeté ma grand-mère dans le vieux port de Serge Valetti, Parler croquant de Claude Duneton, Les Quatre Saisons d’Espigoule, faux documentaire réalisé par Christian Philibert, Le Schpountz de Marcel Pagnol.

Réservation au 04 90 78 64 68 sur le site de La Garance.
Mercredi 07 février. 20h. 3 à 10€. Salle de l’Arbousière. 1360 Avenue Voltaire Garcin. Châteauneuf-de-Gadagne.
Jeudi 08 février. 20h.3 à 10€. Salle Roger Orlando. 11 place du Marché. Caumont-sur-Durance.
Vendredi  09 février. 20h. 3 à 10€ Salle des fêtes. Avenue Napoléon Bonaparte. L’Isle-sur-la-Sorgue.
Samedi 10 février. 20h. 3 à 10€. Salle des fêtes. Place Gabriel Péri. Apt.


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Le metteur en scène Frédéric Roels s’empare de Carmen dans une adaptation intime à quatre voix et un violoncelle.

Carmen est un opéra complexe. « On y lit un drame passionnel fort, qui a bouleversé des générations d’auditeurs et de spectateurs, avec une musique d’une puissance irrationnelle et irréductible à toute analyse modérée. Un soldat aime une jeune femme à la réputation douteuse, une bohémienne, une hors-classe, hors-la-loi, séductrice de grand chemin. Il est jalousé par un torero, un homme d’apparat, de prestige, sans commune mesure avec son statut de brigadier, d’une part ; et d’autre part, tiraillé par l’amour sincère d’une jeune fille sans histoire, sa presque sœur, qui ne se voit pas continuer sa vie avec un autre homme que lui. Quatuor ambigu, constitué de personnages dont la rencontre, a priori, est peu plausible. Et pour corser le tout, il y a des soldats, des enfants, du folklore espagnol, du peuple, de la danse, de la corrida… Une série d’éléments qui étoffent l’histoire et lui donnent son panache, peut-être au risque de l’étouffer. » Ainsi résume malicieusement le metteur en scène Frédéric Roels qui préfère privilégier un Carmen plus intime.

Carmen, une histoire de fragilités cumulées

« Je ressens le besoin de me concentrer auparavant sur cette notion de fragilité au travers des quatre personnages principaux, d’évacuer pour un moment tout le contexte hispanisant et populaire, de rechercher l’essence de l’œuvre en la réduisant au strict minimum… le tout sur une péniche et accessible à un public dès 11ans », ajoute Frédéric Roels qui signe aussi les décors, les costumes et la lumière. 

Distribution
Carmen : Axelle Saint-Cirel
Micaëla : Lyriel Benameur
Don José : Etienne de Bénazé
Escamillo : Aimery Lefèvre
Violoncelle : Florent Audibert

Samedi 3 février. 20h. 6 à 12€. Dimanche 4 février. 16h. L’autre Scène. Avenue Pierre de Coubertin. Vedène. 04 90 14 26 40.
Mardi 6 février. 20h. 6 à 12€. Salle Roger Orlando. Caumont-sur-Durance.
Mercredi 7 février. 20h30. 6 à 12€. Salle Jean Galia. Rochefort-du-Gard.
Jeudi 8 février. 20h30. 6 à 12€. Pôle Culturel Jean Ferrat. 157 rue des écoles et du stade. Sauveterre. 04 66 33 20 12.
Vendredi 9 février. 20h. 6 à 12€. La Pastourelle. Saint-Saturnin-lès-Avignon.
www.operagrandavignon.fr 


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Grand Delta Habitat organise, chaque année, une visite d’une partie de son patrimoine. Objectif ? Commenter les dernières réalisations d’un point de vue technique, architectural et des usages. Ce passage de revue nous a menés à Châteauneuf-de-Gadagne, Cavaillon, Cheval blanc, L’Isle-sur-la-Sorgue, Le Thor et Caumont-sur-Durance.

Xavier Sordelet, directeur général de Grand Delta Habitat, commente les réalisations que nous allons visiter

Départ de la rue Martin Luther King, siège de Grand Delta Habitat, près du pont de l’Europe, à Avignon. C’est tout un car, affrété pour l’occasion, qui se déplace avec, à son bord, des administrateurs, des membres du Codir –Comité de direction- de Grand Delta Habitat, des élus, des partenaires financiers et des agents territoriaux. Durant cette visite nous entrerons dans des appartements habités ou en cours de finition, irons au cœur des chantiers, avec, parfois, à la clef, les éclairages des architectes, le suivi de logements très attendus par des responsables de service des mairies concernées comme des directrices de CCAS (Centre communal d’action sociale) ou encore des adjoints délégués au logement social.

Michel Gontard, lors de la visite de maison individuelle en location au Nouveau Chai à Châteauneuf-de-Gadagne

Lors du trajet,
Michel Gontard, président et Xavier Sordelet, directeur général de la coopérative HLM évoquent les caractéristiques des bâtiments érigés et les avancées techniques mises en place à titre expérimental car le logement social reste un fabuleux terrain de jeu pour améliorer l’habitat et prendre en compte les nouveaux usages apparus lors des transformations sociétales. Ils évoquent également leurs partenaires de construction ou de réhabilitation et signalent les enjeux, les réussites et les déconvenues vécues ainsi que les solutions mises en place pour faire face aux aléas.

Le Nouveau Chai à Châteauneuf-de-Gadagne

A l’arrivée du car,
Parfois l’architecte, des adjoints au maire, un agent de proximité et des responsables de l’agence commerciale concernée égrainent les particularités des bâtiments : nombre de logements, état des lieux et font remonter les informations sur le ressenti des habitants, l’observation des usages, la praticité des lieux dont, le plus souvent, la proximité avec le cœur de ville, à pied et par les transports en commun, est particulièrement plébiscitée.

Le 110 à Cavaillon

L’autre fierté des aménageurs sociaux ?
Construire, transformer ou encore réhabiliter des bâtiments si esthétiques et, parfois même si atypiques, qu’ils n’ont rien à envier au parc privé, avec –disent les concepteurs de ces logements- une exigence accrue en termes de qualité d’exécution et de confort d’habiter. Si la coopérative se distingue particulièrement dans le logement social, son ambition n’est pas de s’y cantonner pour offrir, également, du logement pour tous, de l’achat de terrain libre constructeur, des pavillons, la gestion de syndic, de l’aménagement du territoire, le remaniement de centres-villes avec la réappropriation de commerces en rez-de-chaussée et de logements en étages…

Le Bleu du ciel à Caumont-sur-Durance

C’est ainsi que nous avons visité
Le Nouveau Chai à Châteauneuf-de-Gadagne –ancienne cave coopérative désaffectée où se mêlent terrains à bâtir, logements en accession et maisons individuelles à la location pour une opération avoisinant les 4,3M€ ; Le Petit Luberon, Résidence Alter Sénior®, à Cavaillon, proposant 20 maisons individuelles proches du centre-ville et de ses commerces pour les seniors autonomes pour une opération à plus de 3M€ ; La Résidence le 110 à Cavaillon pour 21 logements dans un bâtiment en R+3 pour une opération à presque 2,5M€ ; L’Ecureuil à Cheval-Blanc proposant 8 logements collectifs avec, en rez-de-chaussée, l’installation d’une boucherie, dont les locaux sont la propriété de la mairie, pour une opération à presque 1,5M€ ; La Résidence Les Iris, encore à l’état de chantier, où sont érigés 26 logements collectifs GDH dans un ensemble comprenant 72 logements en tout, répartis en collectifs et individuels, toujours à Cheval-Blanc pour une opération à presque 1,4M€ ; La Barthalière à l’Isle-sur-la-Sorgue, qui comprend 14 terrains vendus en libre choix constructeur, 12 villas en accession à la propriété livrées en novembre 2021 et la résidence Auréus qui proposera 38 logements collectifs pour la location pour un peu plus de 4,7M€ ; La résidence Le Lys au Thor qui propose 24 logements collectifs et 6 logements individuels pour près de 7,7M€ ; et, enfin, la Résidence Le Bleu du Ciel à Caumont-sur-Durance constituée de 36 logements, dont 9 proposés à la location pour un peu plus de 1,2M€. 

Le Petit Luberon à Cavaillon, résidence Seniors pour personnes autonomes


Annonciateur des beaux jours, le Festival Andalou aura lieu du 13 au 24 mars

Le Département de Vaucluse réalise actuellement des travaux de remise en état du pont sur le Mourgon situé sur la RD 900, à Caumont-sur-Durance. Le chantier, débuté le 9 octobre, sera achevé avant la fin novembre.

Pour des raisons de sécurité,
la vitesse autorisée est limitée temporairement à 30 km/h. Trois fermetures nocturnes, dont la première planifiée dans la nuit du 23 au 24 octobre, seront également à prévoir.

Le chantier consiste à refaire l’étanchéité du pont,
les trottoirs, les joints de chaussée, les corniches et la couche de roulement. Les appareils d’appuis, sur lesquels repose le tablier du pont, doivent être également remplacés. Les travaux ont démarré le 9 octobre dernier pour une durée prévisionnelle d’un mois et demi.

Largeur réduite
La circulation est actuellement maintenue sur les deux voies habituelles, mais sur une largeur réduite : par conséquent, la vitesse y est limitée à 30 km/h.

Circulation coupée durant 3 nuits
Pour les besoins du chantier, la circulation sur la RD 900 va être coupée durant trois nuits entre 20h30 et 6h. La première coupure est prévue, sous réserve d’aléas techniques, dans la nuit du 23 au 24 octobre. Une déviation sera mise en place et fléchée. Deux autres coupures nocturnes, annoncées lorsque les dates seront établies en fonction de l’avancée des travaux, auront lieu au cours de la première quinzaine de novembre.
MH

Itinéraire depuis Cavaillon

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A l’occasion de la coupe du monde de rugby, qui a commencé le 8 septembre, le Vaucluse et la Région PACA mettent à l’honneur le ballon ovale.

C’est en France que se déroule la dixième édition de la coupe du monde de rugby à XV, qui a commencé ce 8 septembre et prendra fin le 28 octobre. Sur les 48 matchs de la compétition, dix ont lieu en Provence-Alpes-Côte d’Azur : quatre à Nice et six à Marseille, dont deux quarts de finale. La région est, avec l’Île-de-France, celle qui accueille le plus de matchs.

La région est également celle qui accueille le plus de camps de base avec l’Afrique du Sud à Toulon, l’Ecosse à Nice, l’Uruguay à Avignon et l’Equipe de France à Aix-en-Provence pendant 15 jours. L’accueil du camp de base de l’Uruguay dans la cité des Papes est une reconnaissance pour le monde de l’ovalie vauclusien qui compte 18 clubs, dont 16 qui disposent d’une école de rugby.

L’équipe de rugby d’Uruguay à la rencontre des élèves vauclusiens

Vendredi 8 septembre, à quelques heures du premier match de la compétition, l’équipe de rugby d’Uruguay est allée à la rencontre de 5 classes de l’école Pierre de Coubertin. L’occasion pour les élèves vauclusiens de découvrir la pratique du rugby aux côtés de joueurs professionnels.

Lors de la cérémonie d’accueil de la sélection uruguayenne, ce lundi 11 septembre, les joueurs de l’équipe se sont là encore montrés proches des jeunes vauclusiens en se prêtant au jeu des selfies à de nombreuses reprises.

Les matchs de l’équipe de France retransmis à Caumont-sur-Durance

Dans le cadre du label « Terre de Jeux 2024 », Caumont-sur-Durance a décidé de retransmettre des matchs de l’équipe de France de rugby pendant la Coupe du Monde sur le grand écran de la salle des fêtes Roger Orlando. Le premier match a été diffusé ce vendredi 8 septembre. Les prochains seront diffusés le vendredi 6 octobre (France-Italie) et le samedi 28 octobre (finale). Selon les résultats de l’équipe de France, d’autres matchs pourront être programmés comme le quart de finale et la demi-finale.

Une buvette et de la restauration sont proposées sur place. L’intégralité des sommes récoltées aidera, en plus des aides municipales, à financer les déplacements des groupes de jeunes Caumontois de 8 à 17 ans. Ils iront assister à des épreuves sportives lors des Jeux Olympiques de Paris 2024.

Rugby à XV : 43 licenciés pour 10 000 habitants

Avec 22 070 licenciés en 2019, soit 43 licenciés pour 10 000 habitants, la région Provence-Alpes-Côte d’Azur est la 5e région française pour la pratique du rugby à XV en club, légèrement en retrait par rapport au niveau national (48 licenciés pour 10 000 habitants). La part de licenciés est la plus élevée dans le Var.

Du côté des installations, avec 91 terrains (1,8 pour 100 000 habitants) et 128 clubs (2,5 pour 100 000 habitants), la région se classe respectivement aux 10e et 9e rangs pour le nombre de terrains et de clubs par habitant. Provence-Alpes-Côte d’Azur et la Corse sont les seules régions de France métropolitaine à posséder plus de clubs que de terrains de rugby.

Etude de l’Insee Paca. Indicateurs sur la pratique du rugby par département. Source : Injep-Medes et Ministère des sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques.

Le nombre de terrains par habitant est le plus élevé en Vaucluse (3,9 pour 10 000 habitants). Il est le plus faible dans les Bouches-du-Rhône (1,3 pour 10 000 habitants) et les Alpes-Maritimes (1,2), départements les plus densément peuplé.

Un sport prisé par les 15-44 ans

Le rugby est un sport prisé par les 15 à 44 ans. 49% des licenciés de rugby ont entre 15 et 44 ans, alors que c’est le cas de seulement 34% des licenciés pour l’ensemble des sports olympiques. La pratique du rugby est faible chez les enfants (36% des licenciés ont moins de 15 ans) et encore plus chez les plus de 45 ans qui représentent 15% des licenciés.

Entre 2014 et 2019, le rugby a perdu 1 070 licenciés en Provence-Alpes-Côte d’Azur (-4,6%). La baisse est plus forte qu’au niveau national (-1,4%). La chute des effectifs concerne tout particulièrement les Alpes-de-Haute-Provence et le Var. A l’inverse, le nombre de licenciés a augmenté dans les Bouches-du-Rhône.

La baisse du nombre de licenciés en Provence-Alpes-Côte d’Azur entre 2014 et 2019 intervient après une hausse de 630 licenciés entre 2011 et 2014 (+2,8% contre +1,8% en France). Cette hausse était portée exclusivement par les moins de 25 ans. L’arrivée du XV de France en finale de la coupe du monde de rugby en 2011 en Nouvelle-Zélande a pu susciter l’engouement des plus jeunes et expliquer la hausse du nombre de licenciés dans les années qui ont suivi. La coupe du monde de 2015 au Pays de Galles, où la France a obtenu de moins bons résultats, n’a pas créé la même dynamique.

2 050 licenciés de rugby à XIII en Provence-Alpes-Côte d’Azur

En Provence-Alpes-Côte d’Azur, 2 050 personnes sont licenciées auprès de la Fédération Française de Rugby à XIII, dont 1 090 en Vaucluse et 820 dans les Bouches-du-Rhône.

Environ 300 personnes sont également affiliées à la Fédération Nationale de Touch rugby. Le Touch rugby exclut les contacts violents et peut se jouer de manière mixte. En France, les femmes y sont un peu plus représentées que dans le rugby à XV (respectivement 28% et 10%).

J.R.


Annonciateur des beaux jours, le Festival Andalou aura lieu du 13 au 24 mars

La Maison des Associations (Mades’A) donne rendez-vous ce samedi 2 septembre de 9h à 13h à la salle Roger Orlando pour découvrir toutes les activités culturelles, sportives et de loisirs proposées par les associations de Caumont-sur-Durance.

Cette journée dédiée à la découverte sera l’occasion de rencontrer les bénévoles des différentes associations et d’échanger avec eux. Plus d’une trentaine d’associations seront présentes. Quelques démonstrations seront présentées ainsi que des ateliers comme « Bombes à graines », animé par Les Jardins du Colibri. Ils proposeront aussi des visites des jardins partagés de Caumont à 10h et 11h.

Les stands « Terre de Jeux » et « Communication mairie » présenteront les évènements sportifs de la ville dans le cadre du label Terre de Jeux Paris 2024, des évènements du comité culture, du Club Jeunes et de l’application City All.

Forum des associations de 9h à 13h à la salle Roger Orlando et sur la place du Marché aux Raisins samedi 2 septembre. Renseignements au 04 90 01 20 13.

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