L’occasion pour dix demandeurs d’emploi, démontrant une appétence pour la restauration, de faire leur preuves en montrant leurs compétences et leur savoir-être au formateur du Greta-CFA qui était présent pour les encadrer durant la réalisation des mets et le service en salle. Plusieurs représentants d’entreprises étaient invités pour déceler de nouveaux talents. L’après-midi, ils ont pu rencontrer des professionnels du secteur et des recruteurs et échanger avec eux sur leur perception de l’expérience et sur les opportunités d’emploi.
Le projet, parrainé par Clément Charlier, vice champion du monde des traiteurs, a plusieurs objectifs : -Orienter vers les métiers de l’Hôtellerie, Restauration et Tourisme en proposant une expérience concrète. -Faciliter le recrutement pour les entreprises locales, en particulier sur les postes de cuisinier et de serveur. -Répondre aux besoins saisonniers des entreprises tout en envisageant des formations complémentaires et adaptées.
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Cavaillon : un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Mercredi 20 mars la présidente du département de Vaucluse, le maire de Cavaillon et le directeur régional de l’ARS posaient la première pierre d’un nouvel EHPAD qui a l’horizon 2026 proposera une centaine de lits. Ce nouvel établissement et tous les autres seront loin d’absorber les besoins des prochaines années, compte tenu du vieillissement important de la population.
Bien qu’aujourd’hui les personnes du « 3ème âge » aient changé de nom et s’appellent désormais « les séniors ou les aînés », les problèmes demeurent. Comment faire face à l’augmentation brutale et attendue des plus de 75 ans, et en particulier celles en perte d’autonomie ? Dans le Vaucluse, entre 2020 et 2030, leur nombre progressera de 30 000. Pour répondre en partie aux besoins on construit de nouveaux établissements. Mais quand vous interrogez votre entourage (y compris soi-même) personne ne veut s’y retrouver. Rapporté au coût de la construction d’un EPHAD, en moyenne de 150/200 K€ par lit, on se dit que ça faire cher pour un endroit où on ne souhaite pas aller. Et cela sans évoquer les conditions inacceptables réservées par certains établissements à leurs résidents. On se souviendra du récent scandale ORPEA. Bref, on est souvent loin des clubs de vacances. Tout cela montre en définitive que l’EHPAD n’est pas la solution miracle. Au mieux une solution parmi les autres.
« Une vraie question de santé publique »
Les conséquences du vieillissement de la population est « une vraie question de santé publique » affirmait Gérard Daudet, le maire de Cavaillon, lors de la pose de la première pierre de l’EHPAD en question. De son côté Dominique Santoni, Présidente du département lançait en novembre dernier un plan d’actions sur 5 ans visant à développer l’autonomie et les aides à domicile (services et soutiens médicaux) pour les aînés et les personnes souffrant d’un handicap. Une voie dont on n’a sans doute pas exploré toutes les possibilités pour retarder voir éviter l’hébergement en établissement médico-social. Mais là aussi la partie n’est pas facile et comme le précisait Denis Robin, le directeur régional de l’ARS PACA, « il nous faut développer l’attractivité de ces métiers ». Une manière de reconnaître que là aussi on manque de bras et de vocations.
On a souvent tendance à critiquer les élus pour les choix qu’ils effectuent mais, dans certains cas, il faut reconnaître que les décisions ne sont pas facile à prendre. Comme celle d’être conduit à investir dans la construction de lieux qui accompagnent les fins de vie et qui ne font envie à personne. Là aussi il faut sans doute nous réinventer.
Cavaillon : un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Le Centre hospitalier de Cavaillon a pu poser, ce mercredi 20 mars, la première pierre du futur Ehpad qui se situera en plein cœur de la ville. Un aménagement qui s’accompagne de la mise en place d’un centre de ressources territorial pluripartenarial qui favorisera l’accompagnement renforcé à domicile pour les personnes âgées. Ce projet bénéficie du soutien et de l’accompagnement de l’Agence régionale de santé Provence-Alpes-Côte d’Azur, du Département de Vaucluse et des collectivités territoriales.
28% de la population cavaillonnaise a plus de 60 ans, soit un peu plus de 7 000 habitants. D’ici à 2030, ce chiffre va considérablement augmenter et le département du Vaucluse comptera près de 30 000 personnes âgées supplémentaires. L’accueil et la prise en charge de cette tranche d’âge devient donc un défi et une priorité pour les professionnels de santé et les institutions territoriales.
Pour y faire face sur le département du Vaucluse, le Centre Hospitalier Intercommunal de Cavaillon-Lauris a décidé de se mobiliser pour les séniors de son territoire. Le CHI, qui a mis sur pied un projet d’aménagement d’un nouvel Ehpad flambant neuf en plein cœur de la commune de Cavaillon, a pu poser la première pierre du futur bâtiment ce mercredi 20 mars. Un évènement symbolique qui a pu compter sur la présence de Denis Robin, directeur général de l’Agence régionale de santé PACA, de Gérard Daudet, Maire de Cavaillon et de Dominique Santoni, présidente du Département de Vaucluse.
L’établissement en construction verra le jour en mars 2026 au plus tard, après une réception de travaux en novembre 2025. Cet établissement sera résolument moderne et tourné vers le bien-être de ses accueillants. D’une surface de plus de 5 800 m², le nouvel Ehpad permettra d’offrir exclusivement des chambres individuelles, toutes dotées de salles d’eau et d’équipements domotisés, avec des terrasses. Des espaces de convivialité et de restaurations seront présents à tous les étages.
La cérémonie de pose de première pierre de ce nouvel édifice vient rappeler l’engagement total des pouvoirs publics, des collectivités territoriales, de la ville de Cavaillon face à la réalité démographique qui se dresse sur territoire vauclusien. Cet Ehpad apparait comme une première réponse à la question de la difficulté d’accueil des personnes âgées et comme une solution qui offrira un meilleur accompagnement gériatrique.
Un projet soutenu financièrement
Le financement global de cette opération est estimé à plus de 20 millions d’euros. Un projet important donc qui a été rendu possible grâce au soutien de la Mairie de Cavaillon qui a cédé un terrain constructible et idéalement situé, de l’Agence régionale de santé qui a apporté des financements importants en investissement et exploitation sur tous les dispositifs sanitaires et médico-sociaux.
Le Conseil départemental a également apporté une aide majeure et un soutien de tous les instants en mobilisant des emprunts permettant d’assurer les dernières étapes de l’aménagement du futur bâtiment.
Un Centre de Ressources Territorial
Le Centre Hospitalier Intercommunal de Cavaillon-Lauris déploie également un Centre de Ressources Territorial (CRT) proposant un accompagnement renforcé à domicile et un travail en partenariat permettant de retarder ou d’éviter l’hébergement en établissement médicosocial.
Le CRT proposera une fonction d’appui, de coordination, d’expertise et de soutien en lien avec l’ensemble des acteurs gérontologiques du sanitaire, du médico-social et du domicile. À ce titre, six personnes âgées bénéficient actuellement du dispositif naissant d’Ehpad hors les murs.
Cavaillon : un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
La Ville de Cavaillon qui avait pris l’initiative d’installer des selfs en 2022 dans trois écoles élémentaires de la commune a décidé d’élargir l’expérience sur toutes ses écoles élémentaires à partir du lundi 18 mars. Un moyen efficace de lutter contre le gaspillage alimentaire et qui devrait permettre de favoriser l’autonomie des enfants.
La Ville de Cavaillon continue de s’engager pour l’innovation et la jeunesse. En 2022, trois écoles élémentaires de la commune avaient été choisies pour la mise en place de selfs à titre expérimental dans les cantines des établissements. Des équipements spécifiques qui permettent aux enfants de devenir « acteurs » de leurs repas en choisissant entre deux entrées et deux desserts proposés dans un espace prédéfini (salad’bar).
Un concept conçu pour donner le choix aux élèves, les impliquer et leur donner une meilleure autonomie en tout point. Ces nouveaux selfs donnent la possibilité aux enfants de participer au débarrassage de leur plateaux et d’avoir un premier contact avec le tri sélectif. L’idée est de les inciter à prendre l’habitude de trier leurs déchets en mettant en place des tables de tri qui séparent les biodéchets et les transforment en compost.
Des selfs dans toutes les écoles dès ce mois de mars
Il s’avère que cette idée a eu du succès puisque la Ville de Cavaillon a pris la décision d’étendre les selfs aux huit écoles élémentaires de la commune à partir du 18 mars. Un aménagement global qui a couté 145 676 euros et qui entre dans la volonté de la ville de développer les équipements dans les établissements scolaires.
Le mardi 19 mars, à l’heure du repas, a eu lieu l’inauguration de ces nouveaux espaces avec un déjeuner à la cantine de l’école élémentaire Charles de Gaulle, qui vient de bénéficier de ce nouveau agencement.
Cavaillon : un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
A Cavaillon, le marché des producteurs reprend dès ce jeudi 21 mars au Grenouillet, face aux arènes. Le maire de la ville, Gérard Daudet, lancera officiellement le marché à 16h.
Tous les jeudis de 16h à 18h30, les Cavaillonnais pourront trouver des produits locaux de qualité et de saisons. L’occasion idéale de soutenir l’agriculture vauclusienne.
En plus des fruits et légumes de saison, peuvent s’ajouter des produits tels que huile d’olive, jus de fruits, miel et produits de la ruche, fromage et terrine de chèvre, œufs et volaille.
Le marché des producteurs sera en place tous les jeudis jusqu’au 26 septembre.
Découvrez quand auront lieu les autres marchés de producteurs :
Cavaillon : un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Abysses, une adaptation du texte de l’auteur italien Davide Enia, qui raconte l’arrivée des migrants sur l’île de Lampedusa
Alexandra Tobelaim et son équipe plongent dans le texte de Davide Enia, Abisso. En seulement 25 pages, l’auteur italien a réussi à raconter l’arrivée des migrants sur l’île de Lampedusa. Tout y est, les rencontres, les échanges, l’accueil, la solidarité, la douleur collective aussi et la complexité des rapports humains face à cette crise humanitaire qui se déroule sur les plages du Sud de l’Europe et dans nos villes.
La parole est aux sauveteurs
Ce texte choral distribue les paroles : celles et ceux qui font les sauvetages en mer, les autres qui sont là pour accueillir, les familles de l’île bouleversées par ces arrivées, ce gardien de cimetière qui ne peut se résoudre à ne laisser aucune trace de ces vies. S’entremêle à la grande Histoire le parcours plus intime de l’auteur avec son père, qui regardent tout cela se dérouler sous leurs yeux.
Sur scène, un comédien, une musicienne
Dans cette mise en scène épurée et émouvante, le comédien Solal Bouloudnine, accompagné par la musicienne Claire Vailler, approchent par l’émotion cette tragédie contemporaine. Interprétation splendide de ce texte délicat qui permet d’entrevoir une expérience humaine dans toute sa complexité, avec foi, courage et énergie.
La Garance est fidèle à la comédienne et metteuse en scène Alexandra Tobelaim
En amoureuse des mots, Alexandra Tobelaim aime à faire récit. La Garance a accueilli ses spectacles Italie-Brésil 3 à 2 en 2014, Face à la mère en 2018 et In-Two en 2019.
Cavaillon : un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Les marchés des producteurs vauclusiens sont de retour. Cette initiative, visant à proposer chaque semaine des produits 100% locaux, va se dérouler dans six communes du département dont Uchaux pour la première fois. L’opération, qui débute ce jeudi 21 mars, se tiendra jusqu’à octobre prochain.
Nouvelle saison pour les marchés des producteurs de Vaucluse. Chaque semaine, six villes de Vaucluse vont accueillir cette initiative soutenue par la Chambre d’agriculture du Vaucluse et le réseau Bienvenue à la ferme vise à favoriser la qualité des produits artisanaux et à soutenir une agriculture locale et durable.
Dès le jeudi 21 mars, 16h, cette édition 2024 fera son grand retour l’espace du grenouillet sur la commune de Cavaillon. Les agriculteurs issus du département seront présents ensuite sur Avignon, aux allées de l’Oulle dès le 25 mars de 17h à 19h, puis à Pernes-les-Fontaines sur la place Frédéric Mistral à partir du 27 mars de 18h à 20h, à Montfavet, place de l’église le 29 mars de 16h30 à 19h, et enfin Uchaux dès le 10 avril, chemin de l’Estagnet.
Fruits frais, légumes, miels, charcuteries, viandes, œufs, fromages, huiles d’olives, jus de fruits, amandes… Il y en aura pour tous les goûts sur les marchés du soir des producteurs de Vaucluse grâce à cette opération permettant notamment de lutter contre l’achat-revente ainsi que de favoriser une agriculture locale et un système commercial viable pour son avenir.
Cavaillon : un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Un quartet, quatre virtuoses, une union céleste
Rien de moins que Ballaké Sissoko, Vincent Segal, Émile Parisien et Vincent Peirani. Quatre virtuoses pour une union céleste en musique ! Un mélange des genres le temps d’un concert qui promet d’être un moment suspendu, avec quatre musiciens hors pair et très reconnus, internationalement, chacun avec leur instrument.
Deux duos réunis en un seul son
On a l’habitude d’entendre Ballaké Sissoko (kora) et Vincent Segal (violoncelle) d’un côté et Vincent Peirani (accordéon) et Émile Parisien (saxophone) de l’autre. L’album Les égarés est une complicité de sons, de timbres, de touchers, de souffles et de phrasés. Une unité d’esprit qui nous a comblés lors de leur précédente prestation aux Suds à Arles.
Ballaké Sissoko : kora Vincent Segal : violoncelle Vincent Peirani : accordéon Émile Parisien : saxophone
Vendredi 15 mars. 20h. 3 à 20€. Scène Nationale La Garance. Rue du Languedoc. Cavaillon. 04 90 78 64 64.
Cavaillon : un restaurant éphémère pour les demandeurs d’emploi
Grand Delta Habitat vient d’inaugurer la résidence Le 110, qui accueille 21 logements, avenue des Arcoules, dans un des quartiers prioritaires de la commune de Cavaillon. A la demande de la municipalité, 10 des appartements sont des T1 et T2 dévolus aux jeunes actifs de la ville. L’enjeu ? Leur permettre un accès facilité à leur indépendance, au monde du travail et aux transports en commun grâce à la proximité des infrastructures ferroviaires et routières.
Dans le détail La Résidence 110 accueille 21 logements en classement énergétique A dont 2T1 de 28m2 assortis d’un loyer de 184€ et 30€ de charges ; 8T2 de 39 à 44m2 pour des loyers de 218 à 387€ et des charges se montant à 40€ ; 6T3 de 60m2 de 330 à 485€ de loyer mensuel assorti à 50€ de charges ; 5T4 de 79 à 85m2 de 448 à 537€ pour un montant de charge à 70€ et, enfin, une place de stationnement à 16€ par mois. Egalement, chaque logement bénéficie d’un extérieur. Ceux situés en rez-de-chaussée possèdent des jardins orientés sud offrant aux locataires un espace extérieur ensoleillé tandis que ceux situés en étage possèdent des terrasses.
Au chapitre des finances La construction du bâtiment s’est élevée à presque 2,5M€ dont plus de 2,241M€ de prêts contractés auprès de la Banque des territoires, un peu plus de 130 000€ de fonds propres et 72 000€ de subventions de l’Etat.
Cavaillon et Grand Delta Habitat Cavaillon concentre 2 339 logements gérés par l’Agence de Cavaillon qui prend également en charge des logements situés à Cheval Blanc et Mérindol pour l’équivalent de 2 416 logements.
Le mot de Gérard Daudet, maire de Cavaillon «Accueillir de nouveaux habitants dans des logements de qualité c’est donner à Cavaillon l’opportunité de continuer son développement, a souligné Gérard Daudet, maire de la Cité Cavare et président de l’agglomération Luberon Monts de Vaucluse, car ce sont les habitants qui impulsent une vie locale rythmée par les commerces et les associations. Ce sont eux, habitants, commerces et associations, qui font vivre et animent le territoire. Toute l’action de l’équipe municipale va dans le sens de cette ambition.»
Grand Delta Habitat en chiffres La coopérative affleure les 40 000 logements -39 375 pour être précis- avec, actuellement, 39 375 habitats répartis dans 3 régions, 7 départements et 194 communes, soit, tout de même, 93 300 personnes logées. GDH livre chaque année, aux environs d’un peu plus de 800 logements -805 en 2023- et en a vendu, la même année 158. La coopérative réalise un chiffre d’affaires de 215M€, en a investi 125M€, a en charge un peu moins de 1 000 lots en gestion de copropriété, notamment en appui aux copropriétés fragilisées ; accueille 662 collaborateurs ; a ouvert 15 agences commerciales ; connaît un taux de recouvrement des loyers de presque 99% et travaille à rénover, à grande vitesse, moins de 3% de logements vacants.
La feuille de route de GDH Le parcours résidentiel reste le fer de lance de la coopérative afin que ses clients puissent, s’ils le désirent, accéder au logement intermédiaire, voire à l’accession de la propriété pour les primo accédants et les ménages modestes.
Des solutions pour l’aide à l’accession à la propriété Le bailleur social travaille depuis plusieurs années au modèle de la dissociation pérenne entre le foncier et le bâti, via l’organisme de foncier solidaire –OFS- notamment dans les zones où le foncier est particulièrement tendu, ainsi que sur le prêt social location-accession –PSLA- destiné à favoriser l’accession sociale sécurisée permettant aux ménages sans apport personnel d’acquérir le logement qu’ils occupent avec un statut de locataire et, également, en utilisant le BRS –Bail réel solidaire- qui permet de dissocier le foncier du bâti pour faire baisser le prix d’acquisition des logements.
La différence entre le BRS et le PSLA ? Le BRS propose d’uniquement posséder le bâti, c’est-à-dire le logement, et non le terrain sur lequel il se trouve. De plus, il est dépendant du PSLA puisque ce dernier fixe les plafonds de ressources à respecter par les ménages acquéreurs. Le PSLA, lui, propose un accès progressif au statut de propriétaire, le locataire ayant la possibilité d’acheter l’ensemble de la propriété. Enfin, contrairement au BRS, le PSLA permet de réaliser une plus-value foncière lors de la revente éventuelle du bien.
Actuellement Grand Delta Habitat propose la location sociale adaptée aux ménages, famille monoparentales, seniors et personnes à mobilité réduite. Egalement l’accès au logement intermédiaire pour les salariés qui ne peuvent accéder au logement social mais qui ont des revenus trop modestes pour le parc privé. Le bailleur social s’est lancé dans la viabilisation des terrains en libre choix constructeur ainsi que dans la gestion de copropriétés et dans la réhabilitation en cœur de ville mêlant réhabilitation de commerces et de logements.
Ils étaient là L’inauguration de la résidence le 110, livrée en octobre 2023, s’est tenue en présence de Gérard Daudet, Maire de Cavaillon et ses adjoints, des élus de LMV Agglomération, de Patrick Sintès, Maire de Robion, Michel Gontard, Président de Grand Delta Habitat, Xavier Sordelet, Directeur Général, les administrateurs et des équipes de la Coopérative, ainsi que les locataires et les entreprises partenaires de l’opération. Six nouvelles résidences, soit 138 logements supplémentaires, viendront compléter la livraison de ce bâtiment en R+3.