2 août 2025 |

Ecrit par le 2 août 2025

Cavaillon : B2P se diversifie dans la cybersécurité

Crée en 2006, la société B2P a été une des premières à avoir développée et exploitée une bourse de fret en ligne pour les professionnels du transport. Après avoir élargi son offre à des services complémentaires, la société cavaillonnaise crée aujourd’hui un pôle de cybersécurité. Il s’agit d’apporter une réponse technique à la montée en puissance des cybermenaces dans le secteur du transport et de la logistique.

Le domaine du transport et de la logistique n’est pas lui aussi épargné par les cyberattaques. La digitalisation toujours plus importante de ce secteur lui fait courir des risques croissants. Jusqu’alors la cybersécurité était intégrée de manière transversale à tous les projets, B2P a décidé de passer la vitesse supérieure en créant un service entièrement dédié au sein de l’entreprise. Cette orientation, qualifiée de majeure par ses dirigeants, est une étape nécessaire pour l’obtention de la certification ISO 27001, norme internationale garantissant les meilleures niveaux de sécurité en matière de traitement de l’information.

« La cybersécurité est notre affaire à tous. En créant ce pôle dédié, nous affirmons notre ambition d’être à la pointe de la sécurité numérique et d’offrir des solutions fiables et pérennes à nos clients », précise Christophe Leininger, Directeur des systèmes d’information de B2P. Ce service a été confié à Antoine Boyer, un jeune ingénieur spécialisé en cybersécurité.


Cavaillon : B2P se diversifie dans la cybersécurité

Après un an de recherche et développement pour obtenir la texture parfaite et le goût authentique de la tomate provençale, l’entreprise Kookabarra, basée à Cavaillon, vient de sortir son tout premier jus de tomate.

L’entreprise cavaillonnaise Kookabarra, fabricant de jus de fruits frais, continue d’innover et d’élargir son catalogue de produits. Seulement quelques mois après avoir lancé une toute nouvelle gamme de nectars frais, l’entreprise a présenté sa nouveauté en février : le jus de tomate. Ce produit a demandé un an de recherche et développement afin d’obtenir la texture parfaite et le goût délicat de la tomate provençale.

Kookabarra met un point d’honneur à sourcer ses produits au plus proche, et ce jus de tomate ne déroge pas à la règle. L’entreprise a choisi des tomates issues de différentes variétés (cœur de bœuf et noire de Crimée) mais toujours cultivées en Provence. Un litre de ce jus requiert environ 10 tomates et promet « un voyage dans les potagers les plus ensoleillés de France. »

À l’occasion du lancement de nouveau jus, Kookabarra s’est associé au groupe McCormick, implanté en Vaucluse, au travers des marques Ducros et Cholula avec lesquelles a été créé un coffret en édition limitée, qui a notamment fait sensation à la Saint-Valentin. Ce dernier était composée d’une petite bouteille de jus de tomate, ainsi que du gingembre signé Ducros et de deux sauces plus ou moins pimentées Cholula.

©Kookabarra

Cavaillon : B2P se diversifie dans la cybersécurité

L’entreprise de biotechnologie Koppert, dont le siège se situe à Cavaillon, ajoute deux nouveaux produits à sa gamme ‘Grandes Cultures’ : Triario et Stingray 25, qui permettent la stimulation et le développement des plantes.

L’entreprise Koppert France, qui a fêté ses 40 ans l’année dernière, élargit sa gamme de produits qui est déjà forte de plus de 250 références. Triario et Stingray 25 sont les deux nouveaux produits qui viennent enrichir la gamme ‘Grandes Cultures’. Ces deux nouveautés ont été conçues pour renforcer la résistance des cultures et de stimuler leur croissance.

Triario se veut un bouclier naturel contre les maladies du sol. C’est un fongicide de biocontrôle et un puissant colonisateur de racines basé sur le champignon Trichoderma harzianum T-22, qui présente de nombreuses caractéristiques favorables aux cultures. Il contrôle notamment les maladies du sol et permet d’obtenir une culture plus forte et plus résistante.

Stingray 25, quant à lui, est extrait d’une algue appelée « Ascophyllum nodosum. » Il permet de stimuler l’activité microbiologique autour des racines et de renforcer la vigueur, la productivité et le rendement des cultures en améliorant la structure des racines, l’absorption des nutriments et la tolérance au stress.

« De récents essais sur le terrain en France ont démontré des augmentations de rendement remarquables lorsque Stingray 25 est intégré à nos solutions telles que Triario, a déclaré Felipe Capobianco, responsable du Développement des marchés chez Koppert. En France, les producteurs ont constaté des augmentations de rendement moyens de 1,01 tonne par hectare pour le maïs, avec un retour sur investissement de 3,60€ pour chaque euro investi. »


Cavaillon : B2P se diversifie dans la cybersécurité

Le 10 février dernier, le Vauclusien Mathieu Blanchard terminait le Yukon Artic Ultra 2025, une course extrême au Canada, après près de 8 jours d’exploit. Une performance qui a attiré l’oeil des médias, notamment de l’émission télévisée Quotidien, diffusée sur TMC, dans laquelle il est revenu sur son parcours.

Plus 600 km et près de 11 000m de dénivelé positif dans des conditions climatiques extrêmes, avec des températures pouvant atteindre -50°C, le tout en tractant une luge de 30kg ? Impensable pour la plupart, et pourtant, Mathieu Blanchard l’a fait, et ce en 7 jours et 22 heures.

Après un retour à la réalité difficile, et plusieurs jours à l’abri des projecteurs pendant lesquels il a pu réaliser peu à peu l’exploit qu’il a accompli au Canada, Mathieu Blanchard est devenu l’invité phare des podcasts et plateaux télévisés. Il a notamment été sur le plateau de Quotidien, émission de TMC, ce lundi 3 mars. « J’ai beaucoup beaucoup souffert et je ne m’en suis pas tout à fait remis », avoue le Vauclusien à Yann Barthès, présentateur de l’émission Quotidien.

L’ultra-trailer a partagé son expérience, sa préparation, ses difficultés lors de la course, et les leçons qu’il a tiré de cette expérience extrême dans laquelle seuls quelques téméraires osent s’aventurer.


Cavaillon : B2P se diversifie dans la cybersécurité

8 ans c’est le temps qu’il a fallu pour que le melon de Cavaillon obtienne enfin son IGP (Indication Géographique Protégée). Un processus de murissement particulièrement long. Cet IGP c’est au fond une double victoire. D’abord, celle des melonniers provençaux qui se voient récompensés pour leur travail et leur acharnement. Mais c’est celle aussi de la ville de Cavaillon qui voit son nom associé à un produit phare et mondialement connu.

A l’instar de Montélimar pour son nougat, Grenoble pour ses noix, Menton pour ses citrons ou Nyons pour son huile d’olive (pour ne citer que quelles produits du sud de la Loire) Cavaillon entre dans le cercle privilégié des villes dont la notoriété sera désormais associée à celle d’une spécialité. Elle en sera même portée par elle.

Là où certains monnaient des terres rares pour maintenir leurs souverainetés, ici utilise des melons

On pourrait y voir là le début d’une nouvelle « story », d’un nouvel élan pour la cité cavare. Elle commence au 15ème siècle avec les premières cultures, elle se poursuit avec Alexandre Dumas qui échangea avec la ville une partie de sa bibliothèque contre une rentre annuelle en melons. Elle prend, aujourd’hui, une nouvelle dimension avec ce fameux IGP.

« Cette victoire » pour Cavaillon est d’autant plus belle que l’appellation couvre en fait 249 communes sur 4 départements (Vaucluse, Var, Bouches-du-Rhône, Alpes-de-Haute-Provence). Une « annexion territoriale pacifique » en quelque sorte. Là où certains monnaient des terres rares pour maintenir leurs souverainetés ici utilise des melons…. Ce n’est pas la même recette…

Cet IGP est une opportunité unique « apportée sur un plateau »… de melons bien sûr

On mesure aujourd’hui ce que peut représenter l’image pour le développement d’un territoire ou d’une ville. Beaucoup de collectivités se lancent dans des réflexions pour tenter d’infléchir une image ou s’en créer une nouvelle. C’est souvent un parcours difficile et qui prends beaucoup de temps et de moyens. Ici, cet IGP est une opportunité unique, « apportée sur un plateau »… de melons bien sûr.

On se surprends à imaginer que la traditionnelle fête du melon prenne une toute nouvelle dimension. On pense bien sûr à la fête du citron du côté de Menton. On pense aussi à l’incroyable collection de Jean-Jacques Prévôt qui réunit des centaines d’objets dédiés à ce fruit. Collection qui n’attend plus qu’un écrin pour devenir un lieu de visite insolite pour les touristes. Les idées et les projets ne devraient pas manquer…


Cavaillon : B2P se diversifie dans la cybersécurité

Le projet audacieux de la comédienne et metteuse en scène Juliette Navis

Juliette Navis a démarré une trilogie en 2019 qui interroge le rapport conquérant de l’homme à son habitat à travers les thématiques de l’argent avec « J. C. », autour d’une figure dérivée de Jean-Claude Van Damme dans le premier volet, de la mort ou plutôt de son refus avec « Céline » — autour de Céline Dion — avant de s’attaquer au sexe dans un troisième volet à venir.

Entre stand-up et théâtre, la metteuse en scène Juliette Navis questionne notre refus de la mort

Seule en scène, la comédienne Laure Mathis réussit à nous émouvoir non sans humour sur la vie effrénée de nos célébrités. Elle est un peu Céline Dion, sans la caricaturer malgré le look paillette et l’accent québecois. Elle ne chante pas, elle parle et nous livre son histoire intime qui nous fait voyager jusqu’au dénuement, antichambre de la vieillesse et de la mort. 

La tournée Nomade(s) de « Céline »

Mercredi 5 mars. 20h. 3 à 10€. Vélo Théâtre. Apt.
Jeudi 6 mars.20h. 3 à 10€. Salle des fêtes. L’Isle-sur-la-Sorgue.
Vendredi 7 mars. 20h. 3 à 10€. Salle des fêtes. Maubec.
Samedi 8 mars. 20h. 3 à 10€. Salle des fêtes. Mérindol.
Dimanche 9 mars.19h. 3 à 10€. Salle des fêtes de l’Arbousière. Châteauneuf-de-Gadagne.

Du 5 au 9 mars. A partir de 12 ans. Scène Nationale La Garance. Rue du Languedoc. Cavaillon. 04 90 78 64 64 .


Cavaillon : B2P se diversifie dans la cybersécurité

Suite à un accident sans gravité survenu en début d’année 2024 et au vu de la densité du traffic sur la Route de Robion (RD2) à Cavaillon, le Département de Vaucluse a décidé d’aménager un muret de sécurité innovant et unique en France sur environ 120 mètres.

La RD2 étant en partie longée par un canal, le Département de Vaucluse a souhaité prévenir tout nouvel accident et risque de chute dans le canal en sécurisant une partie de la route sur environ 120 mètres. Ainsi, un muret de sécurité innovant, une glissière ECO H1 développée par la société thoroise Agilis (filiale de NGE), a été installée le long d’un partie de la Route de Robion.

Le Département de Vaucluse est le premier en France à installer ce dispositif de retenue en béton breveté et marqué CE. Résistant aux chocs des poids-lourds, et pas seulement aux véhicules légers, ce muret a été mis en forme sur place. Les travaux ont débuté le 12 février et devraient s’achever ce vendredi 21 février. Le coût prévisionnel de l’opération s’élève à 34 430€, financé entièrement par le Département.

©Département de Vaucluse

Cavaillon : B2P se diversifie dans la cybersécurité

Ce mercredi 12 février, le Melon de Cavaillon a été officiellement reconnu IGP (Indication géographique protégée). Une véritable reconnaissance pour les producteurs locaux.

Après des années de quête pour l’obtention du label Indication géographique protégée, le Melon de Cavaillon est enfin reconnu IGP. Un label de qualité de l’Union Européenne qui vient récompenser le savoir-faire des producteurs locaux de ce fruit qui est à présent protégé par une identité d’origine et de qualité.

« Une véritable fierté pour Cavaillon, pour le Vaucluse et pour la Région Sud ! »

Benoît Mathieu, président du Marché d’intérêt national de Cavaillon

Le 3 février dernier, Gérard Daudet, maire de Cavaillon, a annoncé que le dossier de l’IGP Melon de Cavaillon avait été instruit par la Commission Européenne. « Cette bonne nouvelle, dont je suis particulièrement fier, nous la célébrerons tous ensemble, je l’espère, lors de la Fête du Melon 2025 », avait-t-il alors déclaré. Ce mercredi 12 février, c’est officiel, l’IGP Melon de Cavaillon est née.

Depuis plusieurs années, le Syndicat des Maîtres Melonniers de Cavaillon, qui est à l’origine de la marque ‘Melon de Cavaillon’, œuvrait pour obtenir ce label. « L’IGP garantit que chaque Melon de Cavaillon respecte des critères stricts de culture et de production, tout en préservant son héritage et ses traditions locales », explique le Syndicat.

Ainsi, pour être reconnu par le label, le fruit et sa production doivent suivre un cahier des charges strictes avec un taux de sucre à respecter, ainsi qu’un poids, un visuel, et même un certain mode de présentation lors de la vente. L’aire géographique de production et de conditionnement du Melon de Cavaillon s’étend sur une partie des départements des Alpes-de-Haute-Provence, des Bouches-du-Rhône, du Var et du Vaucluse.


Cavaillon : B2P se diversifie dans la cybersécurité

Le Cavaillonnais Mathieu Blanchard a remporté ce lundi 10 février le Yukon Artic Ultra 2025, une course de plus de 600km et près de 11 000m de dénivelé positif au Canada qu’il faut terminer en 12 jours maximum. L’athlète vauclusien a mis 7 jours et 22h.

Vous avez peut-être déjà entendu son nom. Il est très connu dans le milieu de la course à pied, particulièrement de l’ultra-trail. Mathieu Blanchard, né à Cavaillon, a remporté hier le Yukon Artic Ultra 2025, une course très redoutée, notamment à cause des conditions climatiques, avec des températures pouvant atteindre -50°C. Cette course est d’ailleurs connue pour être l’une des plus difficiles, brutales, froides et dangereuses du monde.

« Je dois avouer que la peur est bien présente, avait annoncé Mathieu Blanchard avant le grand départ. Mais c’est aussi ce qui rend cette aventure unique : un défi hors norme, une opportunité d’apprendre énormément sur moi-même, sur ma robustesse et ma capacité à survivre dans ces conditions extrêmes. » Et il l’a fait ! Après près de 8 jours de course, le Cavaillonnais a franchi la ligne d’arrivée après avoir parcouru plus de 600km, tout en en tirant une luge de 30kg. Cet exploit a été réalisé seulement quatre mois après qu’il ait remporté la Diagonale des Fous, une course de 175km avec plus de 10 000m de dénivelé positif à la Réunion.

« La douleur, la joie, la folie, la survie, l’accomplissement, le combat, la souffrance, l’euphorie, la peur, a-t-il déclaré à l’issue de la course. Ce n’est pas une victoire contre le froid ou la distance. C’est un retour à l’essentiel. À l’instinct. À ma nature sauvage. » Mathieu Blanchard est la première personne à compléter cette course totalement à pied. Il fait aujourd’hui partie des meilleurs ultra-trailers du monde. Quel sera son prochain exploit ?

https://www.echodumardi.com/tag/cavaillon/page/4/   1/1