30 avril 2024 |

Ecrit par le 30 avril 2024

Delta Plus continue de se réinventer avec un nouveau site web plus moderne

L’entreprise aptésienne Delta Plus, spécialisée dans les équipements de protection individuelle (EPI), dévoile son nouveau site web. Plus moderne, ce dernier s’ajoute à d’autres changements qu’a opéré l’entreprise au cours de ces dernières années dans l’objectif de se réinventer.

En 2021, Delta Plus a commencé par changer son logo pour en adopter un plus simple et épuré, visant à affirmer son identité en France et à l’international. En janvier dernier, c’est une nouvelle signature, ‘Enjoy Safety’, que l’entreprise a révélé. Un slogan représentant tous les défis auxquels sont confrontés les professionnels porteurs d’équipement de sécurité.

Aujourd’hui, c’est le site web de la société aptésienne qui fait peau neuve avec un design plus moderne et de meilleures performances techniques. Ce changement présente plusieurs objectifs : faciliter le choix du bon équipement grâce à un guide de choix simple et complet, indiquer où trouver les produits Delta Plus, présenter chaque produit à la façon d’un site B2C, offrir un espace de commandes en ligne pour les distributeurs de Delta Plus, proposer les ressources média via un centre de téléchargement, présenter les actualités du Groupe ou encore faciliter la candidature des potentiels futurs employés.

Delta Plus en chiffres

Delta Plus est née en 1977.
L’entreprise aptésienne aux 3 500 collaborateurs distribue ses quelque 7200 produits dans plus de 110 pays grâce à 18 sites de production.
Delta Plus enregistre un chiffre d’affaires de 312,3M€ sur les neuf premiers mois de 2023, ce qui représente une croissance de +1,6% par rapport à la même période en 2022.
Pour rappel, l’entreprise a enregistré un chiffre d’affaires record en 2022, s’élevant à 420,2M€.

V.A.


Delta Plus continue de se réinventer avec un nouveau site web plus moderne

Les travailleurs veulent du changement. Ils ont réévalué l’importance que représentent la sécurité de l’emploi, l’éthique professionnelle et veulent surtout offrir du sens à leur vie. C’est en tout cas l’analyse de People at work 2022, une étude mondiale sur les salariés.

Globalement ?
7 travailleurs sur 10 envisagent un changement de carrière important cette année. Ils sont motivés par la flexibilité, la sécurité de l’emploi et 76% envisageraient de travailler pour une entreprise avec plus de diversité, d’équité et d’inclusion.  

Contexte
Plus de deux ans après le début de la pandémie de Covid-19, les collaborateurs et employeurs continuent de subir ses conséquences considérables, qui ont réduit à néant de nombreux acquis. En parallèle, le paysage économique et politique est devenu extrêmement difficile en raison de problèmes tels que l’augmentation de l’inflation et les retards de la chaîne d’approvisionnement. Tout ceci s’agglomère pour créer un gigantesque ensemble de contraintes ayant des répercussions sur les entreprises pour encore un certain temps. Alors quelles répercussions potentielles et quels changements vont-ils s’opérer ? Car le monde économique a besoin de talents à séduire et fidéliser.

7 salariés sur 10 envisagent une réorientation professionnelle
Cette année, 7 travailleurs sur 10 (71 %) ont envisagé une réorientation professionnelle parce qu’ils veulent entrevoir au-delà d’un salaire régulier. La pandémie a mis au jour l’importance du bien-être personnel et de la vie en dehors du travail plus que jamais auparavant. Elle a également renforcé la volonté de bénéficier de conditions de travail plus souples, notamment de davantage de flexibilité et d’options de travail.

Égalité des salaires hommes/femmes et inclusion
Les salariés s’intéressent de plus en plus à l’éthique et aux valeurs des entreprises. 3 sur 4 (76 %) d’entre eux envisageraient de rechercher un nouvel emploi si leur entreprise présentait des disparités salariales injustifiées entre les hommes et les femmes ou ne disposait d’aucune politique de diversité et d’inclusion.

Copyright Freepik

Épanouissement professionnel et perspectives
Étonnamment, les travailleurs sont optimistes lorsqu’on leur demande comment ils se sentent au travail. Parmi eux, 9 sur 10 (90 %) déclarent être satisfaits ou quelque peu satisfaits. L’optimisme suscité par les perspectives au niveau professionnel semble rester solide.

Une demande d’augmentation salariale
Les attentes sont grandes en matière d’augmentations salariales, avec plus de 6 travailleurs sur 10 (61 %) qui en prévoient une dans l’année et 3/4 (76 %) préparés à en demander. Toutefois, la capacité à répondre aux exigences salariales n’est peut-être pas suffisante pour mettre un terme à l’exode des talents : la tendance des changements d’emploi et du basculement vers des secteurs perçus comme étant plus résistants face aux crises et ralentissements économiques s’accélère.

Paie et avantages sociaux, une priorité même si le salaire ‘ne fait pas tout’
Le salaire est perçu comme étant le facteur le plus important d’un poste et 2/3 des travailleurs (65 %) souhaiteraient travailler plus pour gagner plus. Pourtant, le nombre d’heures supplémentaires hebdomadaires non payées dépasse effectivement l’équivalent de celui d’un jour ouvré (8,5 heures) : c’est moins qu’en 2021 mais toujours plus qu’avant la pandémie. Puisque 7 travailleurs sur 10 (71 %) aimeraient plus de flexibilité sur leurs horaires de travail, comme la possibilité de condenser leurs heures en une semaine de 4 jours, il pourrait devenir insoutenable de continuer à effectuer autant d’heures supplémentaires. Ceci renforce l’idée que les employeurs peuvent devoir (et vouloir) faire un compromis entre la paie et d’autres facteurs, afin que les travailleurs restent satisfaits et épanouis.

Santé mentale : le stress s’intensifie et le travail en pâtit
Le stress au travail a atteint des niveaux préoccupants et concerne 67 % des travailleurs au moins une fois par semaine, contre 62 % avant la pandémie. Parmi eux, 1 sur 7 (15 %) ressent du stress tous les jours. 53 % d’entre eux – un nombre alarmant – pensent que leur travail pâtit d’une santé mentale en détresse, ce qui constitue une situation intenable.

Copyright Freepik

Télétravail et aménagements personnels : les travailleurs prêts à changer de position
Obliger les travailleurs à retourner sur leur lieu de travail à temps plein sans que cela ne soit nécessaire pourrait être contre-productif : 2/3 (64 %) songeraient à rechercher un nouveau poste si cela se produisait. Beaucoup d’entre eux envisagent de déménager et une minorité significative l’a déjà fait. Les inquiétudes portant sur le fait que les employeurs pourraient négliger les télétravailleurs en faveur de leurs collègues travaillant sur place ne sont pas fondées.

L’inverse ?
En réalité, c’est l’inverse : les travailleurs à distance se sentent davantage reconnus et récompensés pour leurs efforts mais aussi soutenus dans leur carrière. Presque 7 travailleurs sur 10 déclarent être payés de façon juste selon leurs compétences et leur rôle, comparé à moins de la moitié de leurs pairs qui travaillent sur site. Les employeurs qui compensent à outrance en se focalisant sur les télétravailleurs au détriment des autres doivent redresser la barre de toute urgence

Source
« People at Work 2022 : l’étude Workforce View » explore les attitudes des salariés envers le monde du travail actuel, ainsi que leurs attentes et leurs espoirs concernant l’environnement de travail du futur. L’enquête a été menée par Nela Richardson et Marie Antonello.

Le Centre de recherche
Le centre de recherches ADP Research Institute® a interrogé 32 924 actifs dans 17 pays entre le 1er novembre et le 24 novembre 2021, parmi lesquels plus de 8 685 travailleurs de la ‘gig economy’ (économie des petits boulots et des micro-entrepreneurs) exclusivement. En Europe 15 683 travailleurs ont été interrogées en Allemagne, Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Pologne, Royaume-Uni et Suisse dont 4 133 de la gig economy. En Asie-pacifique : 7 644 en Australie, Chine, Inde et Singapour dont 2 003 de la gig economy. En Amérique latine : 5 768 en Argentine, Brésil et Chili dont 1 547 de la gig economy. En Amérique du Nord : 3 829 au Canada et aux États-Unis dont 1 002 de la gig economy.

DR

Panels des actifs interrogés
Dans le panel des actifs interrogés, nous avons distingué les travailleurs indépendants des salariés. Les travailleurs indépendants se sont définis comme ceux qui travaillent de manière occasionnelle, temporaire ou saisonnière, ou en tant que freelances, prestataires indépendants, consultants, travailleurs indépendants, ou qui utilisent une plateforme en ligne pour trouver du travail. Les salariés dits traditionnels se sont identifiés comme étant ceux qui ne travaillent pas sous un statut d’indépendant, mais qui occupent un emploi régulier ou permanent à temps plein ou partiel.

Définition des travailleurs
Il a également été demandé aux répondants de s’auto-définir en tant que travailleur essentiel (comprenant les définitions de travailleur clé ou critique) ou travailleur non essentiel. Ces définitions varient en fonction du lieu, de l’organisation et des directives gouvernementales. En règle générale, elles comprennent ceux dont le travail est vital au fonctionnement continu de la société et de la vie quotidienne, tels que les professionnels de la santé ou de la logistique, les forces de l’ordre, les agents gouvernementaux, les journalistes et le personnel des supermarchés. Dans certains pays, les travailleurs du secteur des services financiers figurent également dans cette liste.

Détails de l’enquête
L’enquête a été menée en ligne dans la langue locale. Les résultats globaux sont pondérés pour représenter la taille de la population active dans chaque pays. Les pondérations se basent sur les données de la population active fournies par la Banque mondiale1, dérivées de données issues de Ilostat, la base de données centrale en matière de statistiques de l’Organisation internationale du travail (OIT) depuis le 8 février 2022.
MH


Delta Plus continue de se réinventer avec un nouveau site web plus moderne

Dans le cadre du renouvellement de ses marchés publics, la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue vient de changer ses abribus pour en placer des plus accommodants, mieux adaptés aux besoins des usagers. Plus spacieux et plus confortables, ces nouveaux abribus sont éclairés, équipés de bancs mais également de prises USB.

Ce changement concerne les abribus des avenues St-Antoine, des Sorgues et des quatre otages, des cours Victor Hugo, Émile Zola, et Fernande Peyre, et de la route de Saumane. Ce remplacement de mobilier est financé par la publicité dans le cadre d’un appel d’offres.

V.A.


Delta Plus continue de se réinventer avec un nouveau site web plus moderne

Le pique-nique des chefs aura bien lieu ce dimanche 3 octobre. Cependant, à cause d’un dimanche réputé pluvieux par la météo, les paniers repas seront remis sous le préau du centre de loisirs de la Barthelasse, au début du chemin de halage, à côté de la piscine de la Palmeraie à partir de 10h30 et jusqu’à 16h. Si le beau temps revenait, il y aura toujours la possibilité de pique-niquer dans le parc du centre de loisirs ou sur le chemin de halage comme c’était prévu. Les exposants, quant à eux, proposeront de la vente à emporter : vins, café, thé, pain…
lepiqueniquedeschefs@gmail.com

Le pique-nique des chefs d’Avignon prévoit de confectionner 2 450 paniers grâce à 17 chefs dont les étoilés Florent Pietravalle (La Mirande), Marc Fontanne (Le Prieuré) et le nouvel étoilé d’Avignon, Mathieu Desmarest (Pollen). Plus de 3 000 personnes sont attendues sur les berges du Rhône, côté île de la Barthelasse.
Autre article sur ce sujet ici.
MH

https://www.echodumardi.com/tag/changement/   1/1