Marie Blachère dans Capital, « la reine incontestée des boulangeries »
Ce dimanche 19 janvier, l’émission Capital, présentée par Julien Courbet, est entrée dans les coulisses de l’enseigne de boulangerie Marie Blachère, dont le siège est basé à Châteaurenard. Ce reportage intitulé ‘Marie Blachère : qui peut détrôner la reine des boulangeries pas chères ?’ est disponible en replay sur le site de la chaîne télévisée M6.
L’enseigne de boulangerie, sandwicherie et tarterie Marie Blachère a fait l’objet d’un reportage par les équipes de l’émission Capital, diffusée sur M6. Ce reportage, que les téléspectateurs ont pu regarder ce dimanche 19 janvier, était scindée en deux parties dédiées aux enseignes Intermarché et Marie Blachère, ainsi qu’à leur stratégie pour se placer devant leurs concurrents.
La seconde partie de l’émission concernait Marie Blachère, société du Groupe Blachère, basé à Châteaurenard dans les Bouches-du-Rhône. Dans ce reportage ‘Marie Blachère : qui peut détrôner la reine des boulangeries pas chères ?’, Bernard Blachère, fondateur et président de l’enseigne, ouvre les portes des boulangeries qui ont conquis le cœur des Français, mais aussi des étrangers puisque Marie Blachère est présente au Luxembourg, en Belgique, au Portugal, ou encore aux États-Unis. L’enseigne a d’ailleurs été qualifiée de « meilleure chaîne de boulangerie pour la santé » d’après une enquête d’UFC-Que Choisir.
Le reportage de Capital met en lumière la stratégie de Marie Blachère pour obtenir un tel succès auprès des consommateurs. « De la convivialité et une bonne dose de stratégie », peut-on entendre durant l’émission. On y voit les collaborateurs de l’enseigne, du boulanger au vendeur, en passant par les équipes de direction. Le téléspectateur en apprend plus sur le fonctionnement de l’entreprise, notamment sa stratégie de mise en place d’offres spéciales comme le ‘3+1 gratuit’ ou le ‘4 pour 5€’ qui répondent aux défis de l’inflation, de la montée en puissance du snacking, et des innovations.
Marie Blachère en chiffres • 1,1 milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2023 • 12 000 collaborateurs • Plus de 850 boutiques • 380 millions de baguettes vendues par an
Marie Blachère dans Capital, « la reine incontestée des boulangeries »
« Depuis 3 ans, sur une friche industrielle de 7 hectares, nous avons dépollué, recyclé et requalifié un site qui occupe désormais 13 500 m² de plancher », précise lors de l’inauguration, ce mardi 26 novembre, Jérémie Becciu, l’heureux directeur de ce ‘Pôle Logistique – MIN Châteaurenard – Mobilité Décarbonée’ qui trône en pleine campagne.
En présence du Président de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, Renaud Muselier (qui a fait un chèque de 5M€), de la Présidente du Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône, Martine Vassal (qui a déboursé 10M€), de la sous-préfète d’Arles Cécile Lenglet (650 000€), et du maire Marcel Martel qu’il remercie, le directeur ajoute : « Du champ au marché, de la graine à l’assiette, c’est notre ADN, celui de ce pôle agro-alimentaire de tous nos fruits et légumes frais, secs et surgelés. » En tout, ce Pôle a coûté 33M€ cofinancés également par le Crédit Agricole Alpes-Provence (représenté par son président Franck Alexandre) et la Banque des Territoires.
Cette plateforme accompagnera le transport de demain en passant à une mobilité décarbonée des marchandises. « Le taux de remplissage est de 92%, nous avons 148 salariés et dès l’année prochaine, ils seront 200 chauffeurs, livreurs, préparateurs de commandes, manutentionnaires, caristes, gestionnaires de stocks et de chargements, commerciaux », précise Jérémie Brecciu.
Sur un seul site, sont concentrés des bâtiments neufs, lumineux, fonctionnels de béton-verre-acier pour 9 entreprises de transports, des parkings pour 148 poids-lourds et 222 véhicules du personnel, avec 17 bornes de recharge électrique, un groupe de production de froid mutualisé pour autant de quais et cellules logistiques accessibles aux personnes à mobilité réduite avec, côté esthétique, un code couleur éclatant.
Cet outil du XXIᵉ regroupe le flux des marchandises, réduit le nombre de camions sur les routes, limite les nuisances sonores, les vibrations des poids-lourds, les embouteillages et le rejet de gaz polluants dans l’atmosphère. Les chauffeurs disposent d’un vestiaire, de douches, les salariés d’un restaurant d’entreprise. « Entre les étals des producteurs, des paysans, des grossistes, des détaillants et les camions frigorifiques, il y a à peine quelques mètres, tout se passe sur le même lieu, on économise entre 20 et 30% de carburants et il n’y a pas de rupture de la chaîne du froid. D’ici 2030, la plupart des véhicules seront électriques, donc zéro décibel, pas de bruit sur les quais et dans les hangars. Et notre mue n’est pas terminée », insiste Jérémie Brecciu.
Marcel Martel, le maire de Châteaurenard, rappelle que c’est grâce à l’arrivée du chemin de fer, à la fin du XIXᵉ siècle, que Châteaurenard a connu un essor économique exceptionnel en livrant à Paris les fruits et légumes ramassés la veille en Provence. Il a aussi salué ce nouveau site couronné du label ‘BDM’ (Bâtiment durable méditerranéen – Bronze), à haute performance énergétique qui ajoute à l’attractivité de sa commune.
Martine Vassal, la présidente de l’exécutif des Bouches-du-Rhône et de la Métropole d’Aix-Marseille-Provence qui était venue, dès 2016, sur l’ancien carreau du MIN au cœur de Châteaurenard le reconnaît : « Il était dans un triste état, mais les salariés qui y travaillaient avaient une sacrée volonté ! Du coup, j’ai décidé de les aider, de soutenir ce projet de modernisation. Et j’ai tenu parole. Il ne faut pas oublier que c’est le plus grand marché de fruits et légumes de France, après Rungis. Et surtout, Ici, c’est priorité aux circuits courts. Et dans la crise que traversent nos paysans, je voudrais leur dire que je les comprends. Il est honteux qu’ils ne vivent pas du fruit de leur travail. Et s’il le faut, je suis prête à grimper en haut des barricades avec eux pour les soutenir dans leur juste combat. »
Place à Renaud Muselier, le patron de la Région Sud. « Nous avons chez nous tout un réseau de MIN à Marseille (Les Arnavaux), Avignon, Cavaillon, Nice et Châteaurenard. Il représente 1,2Md€ de chiffre d’affaires, 10% des MIN de France, 682 000 tonnes de marchandises, 11% du flux régional annuel. Le président évoque alors la figure tutélaire du Châteaurenardais Léon Vachet, député RPR pendant près de 20 ans (1988-2007) et surtout éternel défenseur des paysans, « dont l’unique ambition était de développer sa ville. Il serait content aujourd’hui de voir ce pôle. »
Renaud Muselier évoque alors son programme ‘Une Cop d’avance’ avec son ‘Plan climat’, son souci de décarboner, de préserver la biodiversité, de préserver la qualité de l’air et donc de vie de ses habitants et d’avoir une énergie diversifiée entre véhicules électriques, panneaux photovoltaïques, éolien flottant et sites nucléaires. Il a aussi parlé du déficit record que subit la France. « Comment des hauts fonctionnaires de Bercy qui ont Bac + 20 ont-ils pu laisser filer la dette de 60Md€ entre mars et juin 2024 ? Pour nous, ça représente un régime minceur de -112M€. Je ne vais pas fermer de lycées, ni réduire le réseau de transports Zou ni le budget alloué à l’agriculture. Je maintiendrai l’enveloppe de 26,8M€ sans parler des 63M€ du FEADER (Fonds européen agricole pour le développement rural) pour 2025. »
Il faut savoir qu’après cette 1ʳᵉ étape, le programme du Pôle Logistique va s’enrichir dans quelques mois d’un nouveau carreau des producteurs avec des entrepôts adaptés aux attentes environnementales des consommateurs. Il sera, lui aussi, le moteur de la transition énergétique avec une « Centrale de production photovoltaïque » de 4,2GW pour valoriser les produits locaux et bio et apporter une valeur ajoutée à ce territoire. D’autant plus qu’il a été édifié sur un terrain abandonné, une ancienne friche industrielle, donc sans grignoter un seul mètre carré agricole.
Contact : 06 20 76 38 59
Marie Blachère dans Capital, « la reine incontestée des boulangeries »
Les artistes Ukrainiens célèbrent Noël
L’Ukraine, comme tous les pays européens, célèbre Noël, mais on s’en doute, avec une couleur et une profondeur toute particulière. Ses artistes, tous de très haut niveau et qui ont remporté de nombreux prix à l’international, nous invitent à cette fête de la paix que symbolise Noël.
Au programme
De belles et nombreuses performances artistiques et une grande variété de genres : acrobatie, gymnastique aérienne, illusion, clown, chorégraphie, chant, le tout accompagné par des artistes de music-hall. Une fête colorée avec de merveilleux costumes.
Mercredi 20 novembre 2024. 15h. 17€. Espace Culturel et Festif de l’Étoile. 10 avenue Léo Lagrange. Châteaurenard. 04 90 24 35 36.
Marie Blachère dans Capital, « la reine incontestée des boulangeries »
La P’tite Fumée, LE groupe incontournable de la scène live française
La P’tite Fumée a su s’imposer comme un incontournable de la scène live française. Les quatre musiciens proposent un cocktail électro-acoustique explosif à la frontière de la Psytrance et de l’univers Cyberpunk, une joyeuse tempête sonore où le didgeridoo fusionne avec les mélodies hypnotiques de la guitare et de la flûte traversière, sur une fondation rythmique percutante. Chaque spectacle est un rituel festif incandescent, un moment intense de partage avec le public, une véritable invitation au lâcher prise. Préparez-vous à « pousser la machine » !
Makoto, électro et son asiatique
La musique de MAKOTO SAN allie le son de percussions en bambou et autres instruments asiatiques à la musique électronique. Insolite, pur et envoûtant, le timbre des instruments en bambou guide les productions du quatuor. C’est cette vibration des graminées qui donne une couleur si particulière à leurs morceaux. C’est en live qu’on prend la mesure de MAKOTO SAN avec un show oscillant entre la tension ultra-cérémonielle des spectacles de percussions japonaises et le lâché prise dansant du club techno.
Samedi 9 novembre. 20h30. De 19 à 27€. Salle de l’Etoile. 10 avenue Leo Lagrange. Châteaurenard. 04 90 90 27 79. www.lespassagers.net
Marie Blachère dans Capital, « la reine incontestée des boulangeries »
Comment trouver la force d’avancer, lorsque plus rien ne nous pousse et que plus personne ne nous tire ?
Chami Chamo a voyagé, marché, vécu. Beaucoup. Longtemps. Aujourd’hui, il ne peut plus avancer, il ne sait plus par où aller, quel chemin prendre. C’est au moment où plus rien ne lui parait possible qu’il va faire la rencontre de Lulu Berlue et Jean Yves le Hérisson. Ensemble, ils vont partir à la recherche du chemin de Chami Chamo, traversant des forêts, des marécages, affrontant une tempête gigantesque et naviguant jusque dans les entrailles de la Terre.
Une épopée musicale en vaisseau chameau.
Cette quête initiatique, comme un voyage au bout de soi, les mènera plus loin encore qu’ils ne l’imaginaient. Pour tout public à partir de 5 ans.
Pour fêter la fin de leur résidence du 14 au 16 octobre à la Rotonde, organisée par les Passagers du Zinc, les Joulik viennent nous présenter leur nouveau live.
Joulik, un trio vocal et instrumental voguant entre chants traditionnels revisités et musiques créatives du monde
Le trio Joulik dessine ses carnets de voyages sonores comme une ode aux Ailleurs, aux langues mêlées et aux paysages imprégnés de parfum de liberté. Le dernier opus, Racines, ancre ce cheminement dans un territoire imaginaire, une contrée sans frontières où la boussole s’affole du pourtour Méditerranéen à l’Océan Indien, des terres celtiques aux rives balkaniques, d’embruns brésiliens en échos subsahariens. Un pays fantasmé, révélé au fil des voix et des cordes enlacées que Joulik essaime sous un arbre à palabres.
Jeudi 17 octobre. 20h30. Entrée libre. Salle La Rotonde. Parking Super U. Châteaurenard. Réservation sur lespassagers.net
Marie Blachère dans Capital, « la reine incontestée des boulangeries »
À vos classiques ! Cette forme de concert, qui reprend les plus grands tubes de la musique classique, voyage au cœur de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur pour vous proposer l’expérience de l’Orchestre au plus près de chez vous. Ce concert est parfait pour petits et grands dans un format léger d’une heure. Il sera dirigé par la cheffe Olha Dondyk, lauréate du concours La Maestra.
Au programme
Direction musicale : Olha Dondyk Wolfgang Amadeus Mozart, Adagio et fugue Edvard Grieg, Holberg Suite Wolfgang Amadeus Mozart, Petite musique de nuit Leoš Janáček, Suite pour cordes
Dimanche 29 septembre. 15h. 12 à 20€. Salle de l’Etoile. Châteaurenard. 04 90 24 35 36 .
Marie Blachère dans Capital, « la reine incontestée des boulangeries »
Auteur, compositeur, interprète, musicien et écrivain, le plus parisien des Américains Elliott Murphy occupe la scène depuis plus de 50 ans et n’en finit pas de nous étonner
Il se rit des modes, refuse l’emprise du temps et incarne toujours cette fascination que les poètes français ont toujours exercée sur le rock new-yorkais. Dandy romantique, compositeur-guitariste inspiré, chanteur charismatique, infatigable et authentique baladin, il a joué sur scène avec certains membres des Talking Heads, du Velvet Underground ou évidemment son ami Bruce Springsteen.
La chanteuse Justine Blue assurera la première partie
Elle se produira en trio avec batterie et guitare accompagnée de son clavier et de son ukulélé pour jouer ses titres blues soul jazz.
Samedi 28 septembre. 20h30. 5 à 15€. La Rotonde. Parking de Super U. Châteaurenard. 04 90 90 27 79. www.lespassagers.net
Marie Blachère dans Capital, « la reine incontestée des boulangeries »
Suite à la proposition du gouvernement français d’introduire des tenues communes dans les établissements scolaires du territoire, la Région Sud a proposé aux lycées de son territoire d’essayer cette expérience dès la rentrée 2024. Deux lycées ont répondu favorablement dont le lycée Jean d’Ormesson à Châteaurenard qui ont distribué les tenues communes dès le mercredi 28 août 2024.
En janvier 2024, le gouvernement français a proposé d’intégrer une tenue vestimentaire commune dans certains établissements du territoire national qui se porteraient volontaires. Sensible au sujet, la Région Sud a répondu à l’appel de l’Élysée et a proposé à deux lycées de son territoire de tenter l’expérience dès la rentrée 2024.
Après consultation de toutes les parties concernées : parents, professeurs et élèves, deux lycées pacaïens ont pris la décision de répondre favorablement à cette offre. C’est le cas notamment du lycée Jean d’Ormesson qui se trouve dans la commune de Châteaurenard.
Crédit Photo : Pierre-Emmanuel Trigo et Sylabfilms
Lutter contre l’harcèlement scolaire
L’introduction de ces tenus communes est une réponse apportée par le gouvernement et plus particulièrement Gabriel Attal (ministre de l’Éducation au moment de la proposition du gouvernement) afin de lutter contre un problème majeur qui sévit dans les établissements : l’harcèlement scolaire. Les tenues ont été conçues pour atténuer la différenciation sociale entre les élèves et favoriser une équité dans les relations nouées.
Ce mercredi 28 août, Solange Ponchon, conseillère régionale et Cyril Juglaret, conseiller régional et président de la Commission d’appel d’offres de la Région PACA, ont représenté Renaud Muselier, président de la Région Sud et se sont rendus au lycée Jean d’Ormesson pour remettre les tenues et assister au lancement de cette expérimentation. Ainsi, un trousseau de vêtements a été remis à chaque élève : 2 sweatshirts et 5 polos (2 manches longues et 3 manches courtes). D’une valeur de 250 €, il est financé à hauteur de 150 € par la Région Sud et de 100 € par l’Etat afin que les familles ne soient pas impactées financièrement.