3 novembre 2025 |

Ecrit par le 3 novembre 2025

Près 87 % des salariés propriétaires d’un chien ou d’un chat veulent venir travailler avec leur compagnon

Un nouveau sondage publié par Ultra Premium Direct révèle que 87 % des ‘pet-parents’ français possédant un chien ou un chat souhaiteraient pouvoir venir travailler avec leur animal. Cette forte demande s’appuie sur des bénéfices perçus en matière de bien-être, de stress et de productivité, alors que la France compte aujourd’hui près de 79 millions d’animaux de compagnie dans les foyers.

À l’heure où de nombreuses entreprises repensent leur organisation du travail, notamment avec le retour au bureau, la question de la présence des animaux au sein des locaux professionnels gagne en pertinence. Le sondage mené par Ultra Premium Direct cet été met en évidence une attente très nette : 87 % des salariés concernés aimeraient voir leur chien ou chat les accompagner au bureau.

Des effets bénéfiques très concrets
Au-delà du simple souhait, ce désir se fonde sur des effets bénéfiques très concrets. Parmi les répondants : 96% affirment que travailler en présence de leur animal réduit leur stress ; 94% pensent que cette présence améliore l’ambiance et stimule la créativité ; 79% estiment que la concentration et la productivité s’en trouveraient renforcées.

Des alliés du quotidien
Ces chiffres traduisent une évolution profonde : les animaux de compagnie ne sont plus perçus comme de simples compagnons domestiques, mais comme de véritables alliés du bien-être professionnel. Selon Ultra Premium Direct, qui autorise déjà depuis onze ans ses collaborateurs à venir avec leurs animaux, l’enjeu est double : améliorer le quotidien des salariés et renforcer la qualité de vie des chiens et chats, davantage présents et sollicités.

Plus d’un français sur deux concernés
À l’échelle nationale, la place des animaux est considérable. 61 % des Français déclarent posséder au moins un animal de compagnie, soit environ 79 millions d’animaux tous types confondus. Le fichier national I-CAD recense par ailleurs près de 17,9 millions de chiens et de chats identifiés et considérés comme vivants au 31 décembre 2023. Parmi eux, environ 16,6 millions de chats et 9,9 millions de chiens.

-Copyright Freepik

Et en Provence Alpes Côte d’Azur ?
Dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, où 10,76 % des foyers possèdent un chien ou un chat, la réalité du terrain illustre aussi cet attachement. Dans le département du Vaucluse, la SPA Vauclusienne gère deux refuges, notamment celui de L’Isle-sur-la-Sorgue, hébergeant plus de 500 chiens et chats en permanence, et près de 900 pensionnaires sur l’ensemble de ses deux sites. À cela s’ajoute la présence d’une vingtaine d’élevages canins, félins ou de NAC (Nouveaux animaux de compagnie) recensés dans les zones d’Apt et d’Orange. Si les enjeux de l’accueil sont bien présents sur le terrain : refuges saturés, bénévoles en première ligne, demandes d’adoption en hausse, il en va de même dans l’univers du travail : autoriser les animaux en entreprise nécessite des adaptations en matière d’hygiène, de sécurité et de responsabilité.

Que du bonheur
La logique est simple : plus les animaux passent de temps auprès de leurs maîtres, plus le lien se renforce et plus leur bien-être s’améliore. Cette approche s’inscrit pleinement dans la stratégie de nombreuses entreprises en quête de différenciation : attirer et fidéliser les talents en proposant un environnement de travail plus humain, bienveillant et innovant.

Quels bénéfices pour l’employeur ?
Pour les employeurs, les bénéfices d’une politique ‘pet-friendly’ sont multiples : réduction du stress, amélioration de la cohésion, possible impact positif sur l’absentéisme et la motivation. Reste à la mettre en œuvre avec discernement : zones dédiées, prise en compte des allergies, protocoles d’hygiène et accompagnement culturel.

Conjuguer vie professionnelle et bien-être
En somme, le sondage d’Ultra Premium Direct met en lumière un véritable appel des salariés propriétaires d’animaux : pouvoir conjuguer vie professionnelle et présence de leur compagnon. Avec près de 79 millions d’animaux de compagnie en France et un fort attachement des Français à leurs chiens et chats, la question dépasse désormais le simple avantage anecdotique pour devenir un levier de management et de qualité de vie au travail. Le retour au bureau, désormais, pourrait bien se faire… avec un peu plus de pattes au sol.
Mireille Hurlin


Près 87 % des salariés propriétaires d’un chien ou d’un chat veulent venir travailler avec leur compagnon

Si fort malheureusement les abandons de chiens feront encore les gros titres cet été, nombreux sont les maîtres qui, au contraire, mettent tout en œuvre pour que leurs vacances soient compatibles avec le bien-être de leur animal. Comme le montre l’étude réalisée pour Pro-Nutrition par l’institut FLASHS auprès de quelque 4 765 propriétaires partant en villégiature dans les prochaines semaines, ces derniers sont en effet très majoritairement prêts à assumer les contraintes, financières notamment, qu’implique la compagnie d’un chien. Une préoccupation qui confirme la place de membre à part entière qu’ont aujourd’hui nos compagnons à quatre pattes au sein des familles françaises.

La majorité des propriétaires de chiens — 60% d’entre eux seront dans ce cas cet été — ont prévu d’emmener leur animal avec eux sur leur lieu de villégiature. Parmi les autres solutions, le confier à des proches, famille ou amis, l’emporte largement : ils sont 27% à faire ce choix, contre 7% qui solliciteront les services d’une pension ou d’un pet-sitter à domicile et 4% qui le laisseront à la maison en chargent un tiers d’en prendre soin. 2% ne savent pas encore pour leur part quelle option ils retiendront dans les semaines qui viennent.

©Pro-nutrition / FLASHS

Un surcoût assumé

Qu’il s’agisse de trouver une location adaptée ou de faire appel à des services de garde, rendre ses vacances « dog friendly » peut entraîner un coût supplémentaire pour les maîtres. Une contrainte financière que presque tous acceptent, puisque 93% d’entre eux le disent, 54% sans hésiter et 39% en restant dans les limites du raisonnable. En l’espèce, les revenus des propriétaires de chiens ne constituent pas un facteur discriminant : 92% de ceux percevant moins de 1 300€ par mois sont prêts à assumer ce surcoût, soit une proportion identique à ceux dont les revenus dépassent les 2 500€ (93%).

©Pro-nutrition / FLASHS

Un critère de choix

D’une manière générale, nombreux sont les propriétaires de chiens qui déterminent leur destination, ou en tous les cas leur logement sur place, en fonction de leur protégé. 32% des maîtres disent le faire systématiquement et 48% indiquent que cela a déjà pu peser dans leur choix. Un sur cinq seulement (20%) affirme au contraire ne pas modifier ou adapter ses projets de vacances en lien avec son animal.

©Pro-nutrition / FLASHS

Étude réalisée par FLASHS pour Pro-nutrition


Près 87 % des salariés propriétaires d’un chien ou d’un chat veulent venir travailler avec leur compagnon

L’association Peta (Pour un traitement éthique des animaux) met en garde contre le fait de laisser un animal dans une voiture en stationnement et partage d’autres conseils susceptibles de sauver des vies.

Les températures grimpent cette semaine, et la France se prépare à subir une grosse vague de chaleur qui pose des dangers pour les personnes les plus vulnérables, ainsi que pour les animaux. La canicule présente un risque élevé pour la santé de nos animaux de compagnie, et il est vital de rappeler de ne jamais les laisser dans un véhicule en stationnement :

  • Ne laissez jamais un animal dans une voiture garée par temps chaud, même pendant une courte durée et avec les fenêtres légèrement ouvertes. Un chien enfermé dans une voiture en stationnement peut mourir d’un coup de chaleur en quelques minutes, y compris lorsque la voiture n’est pas garée au soleil. Lorsqu’il fait 26 degrés, la température à l’intérieur d’une voiture à l’ombre peut être de 32 degrés, et l’intérieur d’une voiture garée au soleil peut atteindre les 70 degrés.
  • Aidez les animaux piégés dans un véhicule garé
    Si vous apercevez un chien en détresse dans une voiture, relevez le modèle et la couleur du véhicule, ainsi que le numéro de la plaque d’immatriculation et appelez la police, puis essayez de retrouver le propriétaire de la voiture si possible. Assurez-vous que quelqu’un garde un œil sur l’animal pour évaluer l’urgence de la situation.

Si la police n’intervient pas ou n’arrive pas à temps et que la vie du chien semble être en danger imminent, entourez-vous d’un ou plusieurs témoins qui pourront confirmer votre évaluation de la situation, puis entreprenez de libérer l’animal en souffrance du véhicule, transportez-le à l’ombre et attendez l’arrivée de la police.

Tout chien présentant un ou plusieurs symptômes d’un coup de chaleur (agitation, halètement rapide ou pénible, vomissements, état léthargique, manque d’appétit ou de coordination) nécessite des soins urgents. Vous pouvez tenter de le rafraîchir en lui mettant de l’eau à disposition et en lui appliquant une serviette humide et froide sur la tête et la poitrine, ou bien en l’immergeant dans de l’eau tiède (jamais glacée). Ensuite, conduisez rapidement l’animal chez un vétérinaire.

« À la différence des humains, les chiens ne peuvent se refroidir qu’en haletant et en transpirant par leurs coussinets. »

En règle général, quand il fait très chaud, laissez vos chiens à l’intérieur. À la différence des humains, les chiens ne peuvent se refroidir qu’en haletant et en transpirant par leurs coussinets. Les hautes températures peuvent occasionner un coup de chaleur ou des séquelles permanentes et même s’avérer fatales.

  • Fournissez de l’eau et de l’ombre. Si les animaux doivent être laissés à l’extérieur, il faut leur donner de l’eau à profusion et suffisamment d’ombre, tout en tenant compte du déplacement du soleil. Même de courtes durées d’exposition directe au soleil sont susceptibles d’entraîner des conséquences graves pour leur santé.
  • Marchez, ne courez pas. Lorsque qu’il fait très chaud et humide, ne faites jamais faire d’exercice à votre chien en le faisant courir à côté de votre vélo ou en l’emmenant courir avec vous. Voulant vous faire plaisir, le chien s’écroulera avant d’abandonner, et il sera alors peut-être déjà trop tard pour le sauver.
  • Prenez garde aux sols exposés au soleil. Quand il fait chaud, le goudron peut chauffer jusqu’à atteindre entre 55 et 80 degrés, ce qui suffit à gravement brûler les pattes d’un animal. Touchez le sol avant de promener votre animal – s’il est trop chaud au contact pour votre main, il est trop chaud pour les coussinets de votre chien. Privilégiez l’herbe et éviter si possible les sols chauds, ou attendez qu’ils rafraichissent pour promener votre compagnon. Planifiez si possible les ballades tôt le matin ou en fin de soirée.

Les animaux sauvages peuvent également souffrir de la chaleur :

  • Fournissez aux oiseaux de l’eau fraîche. Vous pouvez disposer des plats peu profonds sur les rebords de fenêtres, les balcons et les terrasses ainsi que dans les jardins. Si possible, placez les récipients à l’ombre pour garder l’eau plus fraîche. Nettoyez les récipients avec de l’eau et un peu de vinaigre (n’utilisez pas de savon, car les restes de savon peuvent retirer aux oiseaux les huiles naturelles présentes sur leurs plumes).

L.G.

Plus d’informations sur le site de PETA.


Près 87 % des salariés propriétaires d’un chien ou d’un chat veulent venir travailler avec leur compagnon

Ultra Premium Direct, spécialiste français de l’alimentation pour chiens et chats, vient d’ouvrir son premier ‘pop up’ store à Avignon. Installée depuis lundi dernier dans la galerie marchande Aushopping du centre commercial d’Auchan Avignon-Nord, cette boutique éphémère est ouverte jusqu’au samedi 21 juin prochain.

Durant cette période deux experts en nutrition animale accueilleront et conseillerons les clients de 9h30 à 19h30. L’occasion pour les propriétaires vauclusiens de chats et chiens de bénéficier notamment d’offres promotionnelles allant de -20% à -40% ainsi que de participer à de nombreuses animations (possibilité de jouer sur une roue 100% gagnante pour chaque achat, participer à tirage au sort pour gagner 6 mois de croquettes etc).

« Nous sommes ravis de lancer notre premier pop-up à Avignon, explique Armandine Albert, ‘Chief Brand Experience Officer’ chez Ultra Premium Direct. C’est pour nous une très belle occasion de rencontrer nos clients, et de présenter notre marque à ceux qui ne nous connaissent pas encore. Notre objectif est de nous rendre présents au cœur du quotidien des habitants de la région, qui sont de plus en plus nombreux à chérir un animal de compagnie. »

Un champion de la croissance
« Aujourd’hui, un Français sur deux vit avec un chat ou un chien, un chiffre qui ne fait que croître d’année en année. Partout en France, ces maîtres veulent offrir une alimentation de qualité à leurs animaux et recherchent de plus en plus de conseils de professionnels pour répondre au mieux aux besoins de leurs animaux de compagnie », rappelle la startup a figurant chaque année depuis 2021 dans le palmarès Les Echos/Statista des ‘Champions de la croissance’.

Des pop ups pour mieux mailler le territoire
Pour répondre à cette attente croissante sur tout le territoire, Ultra Premium Direct a ouvert depuis 4 ans une vingtaine de boutiques en propre en périphéries de grandes villes. L’objectif étant de donner aux propriétaires d’animaux des conseils personnalisés et adaptés pour préserver le bien-être de leur chien ou chat.
A ce jour, l’essentiel des boutiques se situent dans le Sud-Ouest dont est originaire la société basée à Agen. Montpellier et Nice sont les deux implantations les plus proches de la cité des papes.
Cependant, face à une hausse de la demande, la marque a choisi de renforcer encore son maillage territorial, y compris dans les villes où elle n’est pas encore installée physiquement. Outre Avignon, Ultra Premium Direct, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 70M€ en 2024, va ouvrir en juin et en juillet d’autres pop up stores dans le sud de la France à Aubagne et Antibes.


Près 87 % des salariés propriétaires d’un chien ou d’un chat veulent venir travailler avec leur compagnon

La Centrale Canine a organisé la 5e édition de ses Trophées des chiens héros qui a récompensé 24 chiens d’exception, dont un qui exerce en Vaucluse auprès de l’Armée de l’Air et de l’Espace.

83% des Français considèrent le chien comme un membre de la famille à part entière et 85% lui attribuent le titre de « meilleur ami de l’Homme. » Ils sont 9 millions sur le territoire, et certains, formés ou non, se sont distingués grâce à leur courage, leur dévouement, leur flair ou leur capacité et ont pu prendre des initiatives, sauver, changer ou améliorer des vies, résoudre des enquêtes, sécuriser des lieux, ou encore lutter contre le terrorisme et les trafics.

C’est le cas de 24 chiens qui viennent d’être récompensés par la Centrale Canine à l’occasion de 5e cérémonie officielle de remise des Trophées des chiens héros qui s’est déroulée à l’hôtel de ville de Paris. Parmi les 24 récompensés, un est vauclusien. « Cet événement national constitue également l’occasion de rendre hommage aux professionnels et aux bénévoles qui consacrent leur énergie à préparer et à former ces chiens pour des attentes toujours plus pointues », précise Alexandre Balzer, président de la Centrale Canine.

Peyo, membre du Commando de Parachutiste de l’Air n°20

C’est à Orange que Peyo, un berger belge malinois de 7 ans, a fait ses preuves. En binôme depuis presque 6 ans avec le sergent-chef Dorian, au sein du Commando de Parachutistes de l’Air n°20, qui dépend de la base aérienne 115 Orange-Caritat, Peyo a débuté sa carrière en tant que chien d’escadron de protection des bases aériennes.

À seulement 3 ans, grâce à sa soif d’apprendre et sa complicité avec Dorian, Peyo se spécialise dans les interventions et dans l’Aide à la recherche et à la détection d’explosifs (ARDE). À 5 ans, il est formé au guidage laser et à 7 ans, il est le 1er chien de l’Armée de l’Air a être formée au guidage par drone volant.

Peyo s’est distingué de nombreuses fois au cours de sa carrière, notamment au cours de missions périlleuses. Ce qui lui a valu l’obtention du Trophée dans la catégorie ‘Chien de recherche d’explosifs et d’armements’, une belle distinction pour ce « chien d’exception. »

Le sergent-chef Dorian et Peyo. ©L. Dubois / Armée de l’Air et de l’Espace

Un autre chien, venu du Vaucluse, récompensé

Un autre chien, qui lui a été formé en Vaucluse avant de rejoindre un autre département, a été distingué lors de cette remise de prix. Il s’agit de Nala, une Saint-Pierre de 8 ans, qui, après avoir été formée par la Fondation Gaillanne, 1ère école d’éducation de chiens guides et d’assistance en Europe située à L’Isle-sur-la-Sorgue, aide aujourd’hui le quotidien de Llewellyn Barré, une jeune femme présentant un trouble du spectre autistique.

Après une déscolarisation et une hospitalisation dû à un refus de s’alimenter, Nala a rejoint le foyer de Llewellyn en Haute-Garonne. Après des débuts difficiles face à cette nouvelle arrivée, la jeune femme a pu reprendre sa scolarité, passer son Baccalauréat, retrouver des loisirs et récupérer une vie sociale. Un bonheur retrouvé qui a valu à Nala l’obtention du Trophée dans la catégorie ‘Chien d’assistance’.


Près 87 % des salariés propriétaires d’un chien ou d’un chat veulent venir travailler avec leur compagnon

On dit que le chien est le meilleur ami de l’Homme, et ce ne sont pas les Français qui diraient le contraire ! Un tiers d’entre eux possède un chien et 21% en voudraient un selon le Baromètre 2022 Centrale Canine / CSA ‘Les Français et le chien’. En Provence-Alpes-Côte d’Azur, c’est le berger australien qui a obtenu la place du chien préféré en 2023, détrônant ainsi le staffordshire bull terrier.

Centrale Canine, dont la mission principale est de recenser et de suivre la généalogie de tous les chiens de race en France à travers son Livre des Origines Français (LOF), a dévoilé son classement des races de chien les plus populaires à l’échelle nationale, mais aussi par région.

En région Paca, c’est le berger australien qui a conquis le cœur des Provençaux en 2023, en enregistrant le plus de naissances dans la région (1 145 inscriptions au LOF). Il est suivi de près par staffordshire bull terrier (925 inscriptions au LOF), qui était à la première place en 2022, puis du golden retriever (888 inscriptions au LOF). Le berger australien n’est d’ailleurs pas seulement à la première place en Paca, mais il l’est aussi dans neuf autres régions, ainsi qu’au niveau national.

Le berger australien

Le chouchou des Provençaux tel qu’on le connait aujourd’hui s’est développé exclusivement aux États-Unis. Il a été nommé ‘berger australien’ par association avec les bergers d’origine basque en provenance d’Australie, arrivés aux États-Unis au XIXe siècle.

Le berger australien est une race jeune puisqu’elle a été reconnue par la Fédération cynologique internationale seulement en 1996, bien que son élevage en France ait commencé depuis les années 1980. La cote de cette race auprès des Français n’a cessé de croître depuis son arrivée sur le territoire. En 1997, la France recensait moins de 130 bergers australiens inscrits au LOF, pour atteindre plus de 150 000 inscrits aujourd’hui.

Le berger australien est un chien de taille moyenne à la robe attrayante, il n’en existe d’ailleurs pas deux identiques, avec des yeux pouvant être vairons (yeux de couleurs différentes) ou particolores (plusieurs couleurs dans le même œil) et au caractère enjoué. Intelligent, c’est un compagnon affectueux et robuste. Totalement dévoué à son maître et formidable partenaire de jeu, il s’intègre parfaitement à la vie de famille. Il apprend rapidement et est très facile à éduquer. Très actif, c’est un chien qui a besoin de beaucoup d’exercice et qui n’apprécie pas la solitude.


Près 87 % des salariés propriétaires d’un chien ou d’un chat veulent venir travailler avec leur compagnon

Lors des Journées du patrimoine des samedi 16 et dimanche 17 septembre, le Vieux village des Angles se réveillera dans son passé. Au programme ? De la musique, du théâtre, les vieux métiers, un manège de chevaux de bois et des contes pour enfants. Une création féérique de l’association des Amis du vieux village des Angles. Demandez le programme.

Lors de ces journées européennes du patrimoine les 16 et 17 septembre 2023, l’association des Amis du vieux village des Angles propose buvette et goûter de brioches au jardin de l’église et de la rue de la République. Une évocation, dans les rues du vieux village, des commerces de jadis, de la vie d’écrivains, artistes et scientifiques qui ont connu ou vécu ici.

Il sera aussi question du passé industriel, place de l’église. Il y aura, ici et là une présentation des métiers de jadis comme le rémouleur, la bugadière, le vannier, la présentation d’un atelier de laine…, rue de la République.

Les visiteurs seront invités à entrer dans l’église et à faire le parcours des croix, à l’église Notre Dame de l’Assomption, hors offices et cérémonies. Les bergers avec leurs moutons, âne, chèvres et chien chemineront dans les rues et les calades. Il sera tout aussi possible de profiter de ces dernières belles journées de l’été pour découvrir les sentiers des plantes, des peintres et le patrimoine bâti.

Troupeau d’ovins Copyright Mireille Hurlin

Dans le détail, Samedi 16 septembre
13h30, ouverture des journées du patrimoine dans le jardin de l’église,
12h-14h30 Restaurant dans le jardin de l’église,
13h30-18h Jeux en bois avec l’association Oser, place de l’église
13h45-16h Orgue de barbarie avec Francis Cauli de Surunfil dans les rues et les calades du vieux village,
14h30-16h30 Cuisson des pains et des brioches du Petit gourmand, dans le four banal et vente des produits, sur place, rue de la République,
15h-16h30 Balade commentée du village, départ depuis la Tour des Mascs,
15h-17h Dessin d’après nature, initiation gratuite avec Serge Le Cun, dans les rues et les calades du vieux village,
16h-17h, Francis Cauli raconte des histoires aux enfants au jardin du presbytère,
17h30-18h30 Théâtre Le lavoir, œuvre de Dominique Durvin et Hélène Prévost sur une libre adaptation de Bertrand Beillot, au lavoir.

Cardage de la laine, fabrication de matelas Copyright Mireille Hurlin

Dimanche 17 septembre
10h30-16h Orgue de barbarie avec Francis Cauli dans les rues et les calades,
11h-12h30 Ballade commentée du vieux village depuis la Tour des Mascs,
11h30-12h30 Théâtre Le lavoir, au lavoir,
12h-14h30 Restaurant le Jardin, au jardin de l’église,
13h-18h, Jeux en bois avec l’association Oser, Place de l’église,
13h30-17h30, Manège des enfants et animation, avec la Compagnie Lune à l’autre, à la Tour des Mascs
14h30-16h Ballade commentée du Vieux village, départ depuis la Tour des Mascs,
14h30-16h30 Cuisson des pains et des brioches et vente par le Petit gourmand, au Four banal, rue de la République,
15h-16h, dernière représentation de la pièce de théâtre Le lavoir au lavoir,
15h-17h Dessin d’après nature, initiation gratuite par Serge Le Cun, dans les rues et les calades,
16h-17h Francis Cauli raconte des contes aux enfants dans le jardin du presbytère,
17h45-18h45, concert de clôture par le Trio Mare Nostrum Musicae à l’église.
www.lesamisduvieuxvillagedesangles.fr

Le Rémouleur Copyright Mireille Hurlin

Coup de projecteur sur la pièce de théâtre Le lavoir
Patricia Baronne, Sophie Chiarugi, Marie-Christine Pujol et Anne Rollot donneront trois représentations samedi 16 à 17h30 et dimanche 17 septembre à 11h30 et 15h. En bas de la rue Frédéric Mistral, au Lavoir du vieux village des Angles. Il s’agit d’une libre adaptation de la pièce Le lavoir de Dominique Durvin et Hélène Prévost.

Copyright Arnold Jerocki

L’histoire
En cette journée du 2 août 1914, quatre femmes se retrouvent au Lavoir pour la corvée du linge. L’occasion de parler de tout et surtout de leurs conditions de vie de femme et d’employée. Chacune possède un caractère bien trempé, ses douleurs, ses joies, ses rêves et ses désillusions. Toutes sont bavardes, entières et explosives. Disputes, réconciliations, complicité, les fous rires rythment cette  journée ordinaire du début du 20e siècle qui finira par bouleverser le monde entier. Car personne ne se doute que cette journée va faire basculer leur destin avec la déclaration de ce que l’on nommera, plus tard, la Grande Guerre. Quatre beaux portraits de femmes, servis par un texte vif et poétique, un vrai régal pour les comédiennes comme pour les spectateurs. La mise en scène est de Bertrand Beillot et le régisseur est Christian Rollot.

Un Anglois du siècle dernier et le garde-champêtre du village Copyright Mireille Hurlin

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Les chiens ne sont pas tout à fait comme leurs maîtres pour faire face aux chaleurs de l’été. Certains ont une fourrure épaisse, d’autres non, mais tous ont une capacité naturelle limitée pour évacuer la chaleur. Explications et conseils de l’expert vétérinaire nutritionniste Eric Charles.

L’été, les chiens souffrent plus de la chaleur que les êtres humains car ce dernier transpire tandis que sa sueur évacue des calories. À l’inverse, le chien ne transpire pas, mis à part une légère sudation au niveau des espaces inter-digités. Le surplus de chaleur s’élimine surtout par l’eau expirée de leurs poumons, c’est pourquoi ils halètent bruyamment.

L’été, ne pas hésiter à rafraîchir son chien
Il est possible de mouiller leur fourrure dans un bon bain, ou de pratiquer une brumisation sur leur pelage. Ils adorent ça ! Attention : ils ne doivent pas comprendre le bain comme une punition, du coup, le maître peut les y accompagner ne jouant, ou bien leur laisser un accès libre à une petite pataugeoire ou piscine miniature. Autrement ? Les installer dans un endroit frais leur fera le plus grand bien.

Promener son chien au petit matin
Évitez l’exercice aux heures les plus chaudes. Au petit matin, les promenades pourront sans doute être plus longues qu’en fin de journée où la chaleur reste accumulée.

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Comment alimenter son chien pendant l’été
Pas de changement majeur. Les chiens ne transpirent pas et ont besoin du même surplus d’énergie métabolisable quand il fait chaud, pour se refroidir, que lorsqu’il fait froid, pour se réchauffer. Du coup, les besoins quotidiens en nourriture ne vont pas changer. C’est surtout la façon de les alimenter qui doit être modifiée en fractionnant leurs repas plusieurs fois dans la journée, plutôt aux heures les plus fraîches. Et puis se rappeler qu’après le repas c’est l’heure de la sieste ! Alors pas question de partir en balade ou de démarrer une séance d’exercice dans les 2 heures qui suivent.

Penser en permanence à bien les hydrater
C’est important : le chien expire l’eau d’évaporation de sa régulation thermique, et comme son maître, il a besoin de boire plus et parfois même, beaucoup plus. Il faut donc veiller à ce qu’il ait accès en permanence à une eau fraîche très fréquemment renouvelée, d’autant plus que les bactéries se développent plus vite, quand il fait chaud.

L’été, les chiens prennent facilement un coup de chaud
Ils y sont beaucoup plus sensibles que l’être humain, souvenez-vous, ils ne transpirent pas ou très peu, en particulier les chiots qui adorent jouer sans s’arrêter. Le symptôme du ‘coup de chaud’ est assez simple : Le chien titube et tombe évanoui. Pourquoi ? Parce que le cerveau en surchauffe s’est mis automatiquement en mode ‘reset’, délaissant la partie du corps non vitale.

DR

En cas d’évanouissement
Installer le chien dans une pièce froide et ne pas hésiter à le baigner dans une eau du robinet bien fraîche. Pour éviter ce type de frayeur, on oublie les stations assises ou couchées en plein soleil ainsi que les jeux et les promenades aux heures chaudes, en particulier après le repas.

Attention au chien dans la voiture
Dans les voitures, les risques et les conséquences sont aussi rapides et graves pour les chiens que pour les bébés ! Et ne pas se bercer d’illusion simplement en ouvrant les fenêtres, il faut à minima : Laisser la voiture dans un endroit qui sera à l’ombre, le temps de son absence, et laisser la fenêtre ouverte. Vérifier la température, s’il fait plus de 28°C, pas de compromis, le chien accompagnera son maître qui lui proposera fréquemment de boire.

Ces conseils ont été prodigués par Eric Charles, expert vétérinaire nutritionniste pour la marque Lapsa. Une start-up disruptive, travaillant en recherche et développement (R&D) dans l’alimentation des chiens et des chats avec sa gamme intégrale pour chien à effet prébiotique équilibré en pharmacie, conseillée et vendue exclusivement en pharmacie. Les produits sont fabriqués en France, sous contrôle d’équipes de vétérinaires/nutritionnistes experts, avec une traçabilité́ totale des matières premières. Une entreprise solidaire et engagée pour le « made in France », l’économie locale et le commerce de proximité.
www.lapsa-lab.com
MH

DR

Près 87 % des salariés propriétaires d’un chien ou d’un chat veulent venir travailler avec leur compagnon

Les disparus, les fugitifs, les personnes ensevelies dans les décombres d’un tremblement de terre, de la drogue, des explosifs, des truffes et même des malades du Covid ou du cancer, le flair des chiens est déjà utilisé pour trouver un très grand nombre de choses. Mais désormais, grâce à un travail mené depuis plusieurs années par Veolia et des cynotechnicien, ce sont les fuites sur les réseaux d’eau potable que nos amis à 4 pattes sont maintenant capables de détecter. Démonstration pratique à Jonquières.

La recherche de fuites sur les réseaux de distribution est l’un des enjeux clés de la préservation de la ressource en eau. Afin d’améliorer ses processus, Veolia expérimente un nouveau procédé détection de fuites réalisée par des chiens spécialement dressés pour mener cette mission. Une première phase de test concluante qui se concrétise par des détections réelles sur le terrain. Un travail de longue haleine qui a pris plusieurs années que Veolia vient de présenter sur la commune de Jonquières.
A l’origine, c’est David Maisonneuve, chef de projet de la Direction soutien métiers et performance de Veolia, qui a eu l’idée, il y a 3 ans, que des équipes cynophiles pouvaient se former à cette spécialité jusqu’alors effectuée avec des appareils de détection électronique.

« Les performances canines vont au-delà des seuils que nous avions fixés. »

Pour cela, le groupe Veolia s’est donc appuyé sur les compétences d’anciens militaires, spécialiste de l’éducation canine, pour piloter et mettre en place ce procédé innovant. La truffe des canidés servant à identifier le chlore présent dans l’eau qui circule dans les réseaux afin d’en préserver la qualité.
« Passé l’entraînement des animaux à la détection du chlore, une phase de tests a été réalisée sur le terrain dans plusieurs régions. Les résultats sont bluffants : les performances canines vont au-delà des seuils que nous avions fixés, » constate témoigne François Bourdeau, cynotechnicien.
Même en présence d’une odeur chlorée extrêmement ténue, à travers le sol, les chiens Nina et Kelly ont su ‘marquer’ l’endroit précis où l’eau s’écoulait.

« Quand les derniers exercices de formation seront finalisés, nous pourrons déployer cette méthodologie complémentaire à notre arsenal de détection technologique traditionnelle, précise Gautier Lahitte, Manager travaux et réseaux AEP pour Veolia dans le Vaucluse. L’apport du chien et de son maître peut être déterminant, lorsque les sites sont difficiles d’accès en milieu urbain, et également à la campagne, lorsque les réseaux anciens ne sont pas correctement cartographiés. »

Des dizaines de milliers de kilomètres de canalisations concernées en France
Pour Veolia, l’utilisation des chiens pour la détection des fuites d’eau chlorée permet de gagner en rapidité d’intervention. Une solution particulièrement efficace lorsque la recherche de fuite est complexe, notamment sur les canalisations de gros diamètre où les technologies acoustiques habituelles ont leur limite (mauvaise communication ou accès difficile avec du matériel) ou dans des zones difficiles d’accès. Cela représente des dizaines de milliers de kilomètres de canalisations en France.
En effet, jusqu’alors les techniciens du groupe utilisé des outils de détection acoustiques, des corrélateurs et des amplificateurs mécaniques et électroniques, une recherche au gaz traceur). Cette nouvelle méthode vient donc en complément des systèmes déjà utilisés au quotidien par les chercheurs de fuite de Veolia.
« Actuellement nos programmes d’innovations ciblent tous les métiers d’exploitation avec comme non-négociable l’amélioration permanente de l’empreinte carbone des technologies utilisées, insiste David Maisonneuve. En ce sens, nous sommes en veille continue et cette innovation coche toutes les cases : sobriété technique, pas ou peu de matériel nécessaire, pas d’émission de CO2, respect de l’animal avec l’apprentissage par le jeu et socialement une possible reconversion professionnelle pour des maîtres chien issus des services de l’armée. »

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