20 avril 2024 |

Ecrit par le 20 avril 2024

Le Pontet : le nouvel opus de Ducobu diffusé en avant-première au Capitole

Ce samedi 2 mars, le cinéma Capitole MyCinewest, situé au Pontet, vous proposera de découvrir en avant-première le nouvel opus de la saga autour du personnage emblématique de Ducobu. Intitulé ‘Ducobu passe au vert’, ce nouveau film sera diffusé en présence de l’acteur et réalisateur Elie Semoun.

Dans ce nouvel opus, Ducobu (Damien Pauwels) souhaite prendre une année sabbatique pour sauver la planète, mais surtout pour sécher l’école. Mais Latouche (Elie Semoun) ne compte pas le laisser faire si facilement.

Réservation en ligne ou sur place.
Samedi 2 mars. 16h45. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


Le Pontet : le nouvel opus de Ducobu diffusé en avant-première au Capitole

2 millions de spectateurs avaient vu le premier opus de Kev Adams en 2022 alors que sortait le livre-bombe de Victor Castanet Les fossoyeurs sur les maisons de retraite et les mauvais traitements infligés aux personnes âgées dans les Ehpad du Groupe Orpéa. Du coup, Kev Adams, l’icône des ados dans Soda qui a aujourd’hui 32 ans est reparti dans une suite avec une brochette d’acteurs séniors. Certes, au générique cette fois on ne retrouve ni Mylène Demongeot, ni Gérard Depardieu. Mais Jean Réno en directeur de maison de retraite, Daniel Prévost en geek compulsif branché sur ‘Tik Viok’ à la recherche de la femme de sa vie, Liliane Rovère et sa tignasse blonde en pétard, Chantal Ladesou en colonelle qui éructe sur son fauteuil roulant, Amanda Lear en ‘Barbie’ virevoltante, Firmine Richard en antillaise folle de cuisine pimentée, Michel Jonasz nostalgique de Molière et Enrico Macias sourd qui hurle de longue.

Au départ, Kev Adams a une vraie empathie pour les personnes âgées. « J’ai été élevé par mes grands-parents, ils venaient me chercher à l’école, ils me faisaient faire les devoirs, on avait une relation fusionnelle », explique-t-il. Et après le succès de ‘Maison de Retraite 1’, il propose de retrouver les pensionnaires séniors et les jeunes orphelins. Sauf que l’établissement qui les accueille doit fermer faute de rénovation et de remise aux normes. Il accepte donc l’invitation d’un propriétaire d’Ehpad de luxe dans le Sud de la France et il emmène tout son petit monde en vacances en bus dans le Var.

Et là, juniors et séniors sont accueillis dans une villa de rêve, au Pradet, à l’Est de Toulon, au bord de la Méditerranée, face aux Îles d’Or, Port-Cros et Porquerolles. Un paysage de carte postale de la Riviera. Hélas, une guerre va éclater entre eux et les anciens pensionnaires qui n’acceptent pas ces nouveaux venus. Un genre de ‘West Side Story’ à la française. Mais rassurez-vous, tout est bien qui finit bien dans le meilleur des mondes et le long-métrage se conclut par une ‘happy end’.

Dans ‘Maison de retraite 2’, on retrouve les valeurs chères à Kev Adams : relations transgénérationnelles, humanité, humour, solidarité, tendresse, bienveillance, espièglerie, climat bon-enfant. Il évoque les soucis du grand âge : surdité, mémoire défaillante, dégénérescence, perte d’autonomie. Il rend hommage aux soignants « mal payés, qui font bien leur job, ne comptent pas leurs heures, se dévouent corps et âme pour les aînés. » Mais rejouer la carte Vermeil des séniors présente quelques inconvénients. Comique de répétition lassant, caricature de l’homosexualité, vieilles gloires qui surjouent, cabotinent. Ces papys et mamies font de la résistance pour tromper l’ennui, certes, mais on oscille entre guimauve et ras-des-pâquerettes.

Vendredi soir, le cinéma Capitole MyCinewest du Pontet, était plein comme un œuf pour accueillir Kev Adams en amont de la projection. Le film, sorti le 14 février, a déjà été vu par près de 150 000 spectateurs lors des avant-premières en France. Familial et sympathique, il va sans doute trouver son public, mais battra-t-il le record des 2 millions de ‘Maison de Retraite 1’, pas sûr…


Le Pontet : le nouvel opus de Ducobu diffusé en avant-première au Capitole

Du grand rien dans du grand nulle-part. Un tout, d’où surgit « La grâce » d‘Ilya Povolotsky, cinéaste russe. Dur et magistral.

C’est une histoire dure. Alors elle se raconte en silence, car elle est habitée par l’indicible chagrin de la fille, l’éblouissante Maria Lukyanova. Et de son père – le valeureux Gela Chitava – qui l’accompagne de la rivière à la mer. On ne sait rien d’autre.
La seule chose qui aille, c’est leur van qui brinqueballe. Dans un néant inouï.
Vivre, c’est persister. Tout est tragique, rien ne nous sauve. On baigne dans la Russie éternelle de Dostoïevsky, écrasée par un quotidien d’airain. Le réel est le signe de son au-delà. Il faut apprendre à distinguer, faute de savoir lire. Voyons ça.

Le van est rouge.
Comme le sang de la fille. Elle se lave dans la rivière, en rapporte un bidon d’eau qu’elle réussit à peine à porter, comme tous ceux qui en ont fait la nécessaire expérience : l’eau, c’est la vie. Mais c’est aussi un fardeau que nos forces ne peuvent jamais excéder malgré notre volonté. Il faut bien voir de quel bois nous sommes faits. Le ton est donné.

©DR

Le van porte un logo a trois branches.
La fille fait face à un soleil pâle, en route pour le Nord. L’éolienne géante la masque, à chaque rotation de ses trois pales qui semblent la décapiter sans fin.
C’est périlleux un voyage à deux, quand on ne sera plus jamais trois.

La mère est morte. Le père n’a pas de plan, comme le souligne cruellement la fille qui s’inquiète de savoir ce qu’il pourra bien faire quand « tout le monde aura Internet ». C’est-à-dire quand il n’y aura plus la moindre poésie possible.
Déjà, tout accable, rien ne sourit : le paysage atroce, le vide des âmes, les personnages aux boussoles fantomatiques – prodigues de paroles rares et énigmatiques – sous un ciel plombé.

Enfin, la station météo usée au-delà de la corde, laminée sans fin par la mer de Barents. Elle survit dans un froid glacial grâce à une femme étrange et pénétrante comme dans un rêve. La clé des songes. Elle pourrait faire redémarrer le van, au pare-brise fendu mais pas brisé, en route vers la grâce…

Comme disait Dostoïevsky, vivre sans espoir, c’est cesser de vivre.

©DR

Mon conseil : payez votre place pour embarquer dans ce « Road movie » d’une toute autre trempe de ceux que vous avez déjà vu. Partez si c’est trop dur. Vous aurez aidé un jeune cinéaste rempli de talent, maniant le symbole en orfèvre. Restez, si vous entrevoyez que la Grâce pourrait se rencontrer dans l’abîme du courage, la vie renaissant de l’abnégation de son cycle.

La grâce. Long métrage/119 minutes/Vostf. Jusqu’au mardi 13 février au cinéma Utopia d’Avignon La Manutention.


Le Pontet : le nouvel opus de Ducobu diffusé en avant-première au Capitole

L’année 2023 aura marqué un retour des Français dans les salles de cinéma du pays. C’est en tout cas ce qu’indiquent les chiffres publiés la semaine dernière par le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC). D’après l’agence du ministère de la Culture, la fréquentation des cinémas l’année dernière a atteint près de 181 millions d’entrées, soit une augmentation de 18,9 % par rapport à 2022. Si, en 2023, le nombre de visiteurs dans les salles obscures n’aura pas atteint les niveaux, historiquement élevés, des années 2017 à 2019, il représente tout de même une forte progression par rapport à 2022 : +18,9 % d’entrées.

D’après le CNC, ce succès s’explique en partie par la grande diversité des films sortis au cinéma l’année dernière. Le cinéma français représentait à lui seul 71,9 millions d’entrées en 2023, soit une part de marché de près de 40 %, grâce au succès de plusieurs films made in France, comme Astérix et Obélix : l’empire du milieu, Alibi.com 2 ou encore le premier volet de la saga Les Trois Mousquetaires, qui ont tous les trois enregistré plus de trois millions d’entrées chacun. De nombreux blockbusters internationaux ont également porté la reprise de la fréquentation des cinémas en France, comme le phénomène Barbie, de Greta Gerwig, deuxième plus gros succès de l’année 2023, derrière Super Mario Bros, le film.

De Valentine Fourreau pour Statista


Le Pontet : le nouvel opus de Ducobu diffusé en avant-première au Capitole

Depuis le mercredi 27 décembre, jusqu’au mardi 9 janvier, le Parc naturel régional du Luberon diffuse ses trois clips ‘Nouveaux regards’ dans les salles de cinéma vauclusiennes, à Cavaillon, Pertuis, Manosque, Apt et Cucuron. Un des trois mini-films est diffusé avant chaque séance.

Le projet ‘Nouveaux regards’, soutenu par la Région Sud, comprend trois mini-films de 45 secondes chacun, pour redécouvrir le territoire du Parc naturel régional du Luberon à travers les yeux de trois habitants : un Circaète Jean-le-Blanc, un chevreuil et une abeille. Les objectifs sont de montrer aux habitants du Luberon les richesses du territoire, de démontrer l’intérêt de défendre ces richesses patrimoniales, et de faire comprendre que l’outil ‘parc naturel régional’ est important pour la préservation et le développement raisonné du territoire.

Réalisés par l’agence Anonymes et François Volfin, les trois clips montrent la grande diversité écologique dont le Parc dispose, avec une faune et une flore riches et diversifiées. Ils sont diffusés jusqu’au mardi 9 janvier dans les cinémas de Cavaillon, Manosque, Pertuis, Apt et Cucuron, et ils seront présentés durant tout le mois de janvier dans différents villages du Luberon lors des séances de La Strada. Pour ceux qui n’auraient pas la chance de les visionner, le Parc les partagera sur ses réseaux sociaux par la suite.

V.A.


Le Pontet : le nouvel opus de Ducobu diffusé en avant-première au Capitole

La 96ᵉ cérémonie des Oscars aura lieu le 10 mars 2024. L’académie des Oscars vient de révéler les films présélectionnés dans 10 catégories et la production étudiante et avignonnaise BOOM est dans la ‘shortlist’ pour l’Oscar du court métrage d’animation.

Après avoir remporté une médaille d’or aux Student Academy Awards, portés par l’Académie des Oscars, en octobre dernier, le film BOOM des étudiants de l’École des nouvelles images, à Avignon, fait partie des 15 finalistes pour l’Oscar du court métrage d’animation.

Le film d’animation de 6min40, réalisé par les étudiants avignonnais Gabriel AugeraiRomain AugierLaurie Pereira de FigueiredoCharles Di Cicco et Yannick Jacquin pour l’image et le son, et par Mathis Marchal pour la musique, met en scène un couple d’oiseau qui tente de sauver ses œufs d’une éruption volcanique.

Parmi les 15 court-métrages en lice, seulement 5 seront sélectionnés entre le 11 et le 16 janvier. Les nommés seront annoncés le 23 janvier 2024. Cette récompense serait une immense reconnaissance du travail des étudiants de l’École des nouvelles images, mais aussi du savoir-faire français, qui plus est vauclusien, en termes de cinéma. De plus, elle s’ajouterait au palmarès de BOOM, qui a déjà obtenu de nombreux prix ces derniers mois.


Le Pontet : le nouvel opus de Ducobu diffusé en avant-première au Capitole

Le violoniste et chef d’orchestre André Rieu donne rendez-vous au public ce dimanche 17 décembre au cinéma Capitole MyCinewest, au Pontet, pour la diffusion de son concert White Christmas.

Durant trois heures, le Roi de la valse offre un spectacle magique depuis son tout nouveau palais d’hiver dans sa ville natale de Maastricht. « Je suis heureux d’inviter mon public de cinéma à faire ce magnifique voyage au pays des merveilles de Noël », a-t-il annoncé.

16€, réservation en ligne ou sur place.
Dimanche 17 décembre. 15h30. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


Le Pontet : le nouvel opus de Ducobu diffusé en avant-première au Capitole

Ce vendredi 8 décembre, le cinéma La Cigale, situé à Cavaillon, va accueillir le spectacle ‘Requiem pour Johnny’. Le concert est composés de nombreuses chansons connues de tous et de quelques morceaux oubliés.

Après avoir sillonné le Sud de la France et être passé par la scène de l’auditorium du Thor, où 600 spectateurs ont pu vibrer au son des rythmes et des nombreux succès de Johnny, Christian Dessinsa et ses musiciens proposeront un nouvel hommage à la figure du rock français.

Le tarif est au prix de 30€, pour accéder à la billetterie en ligne, cliquez ici.

Vendredi 8 décembre. 20h30. La Cigale. 79 Avenue du Maréchal Joffre. Cavaillon.

V.A.


Le Pontet : le nouvel opus de Ducobu diffusé en avant-première au Capitole

Ce jeudi 7 décembre, le cinéma Capitole MyCinewest va diffuser -M- En Rêvalité, le concert de la dernière tournée de l’artiste -M-, qui a rassemblé plus d’un million de spectateurs.

Textes, mélodies et scénographie permettront de faire vivre une expérience inoubliable au spectateur pendant 2h30, dans un univers décalé et extravagant comme seul -M- sait le faire, entouré de la bassiste et chanteuse légendaire Gail Ann Dorsey, et de ses musiciens Corentin Pujol (claviers), Fabrice Colombani (percussions), Maxime Garoute (batterie) et Feal Cool Jazz (saxophone).

Réservation en ligne ou sur place.
Jeudi 7 décembre. 20h. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.

https://www.echodumardi.com/tag/cinema/page/2/   1/1