1 juillet 2025 |

Ecrit par le 1 juillet 2025

8 mars, la Journée internationale des droits des femmes à Avignon

Mettons-nous d’accord, le 8 mars, c’est la Journée internationale des droits des femmes et non pas la Journée de la femme !

La Journée internationale des droits des femmes trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle, en Europe et aux États-Unis, réclamant des meilleures conditions de travail et le droit de vote. C’est en 1975, lors de l’Année internationale de la femme, que l’Organisation des Nations Unies a commencé à célébrer la Journée internationale des droits des femmes le 8 mars.

Une journée d’action

Le 8 mars est une journée de rassemblements à travers le monde et l’occasion de faire un bilan sur la situation des femmes. Traditionnellement, les groupes et associations de femmes militantes préparent des événements partout dans le monde pour fêter les victoires et les acquis, faire entendre leurs revendications, améliorer la situation des femmes. C’est aussi l’occasion de mobiliser en faveur des droits des femmes et de leur participation à la vie politique et économique. Les Nations Unies définissent chaque année une thématique différente qui est pour 2024 : « Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme. » 

Le 8 mars à Avignon

Frédéric Pagès — agrégé de philosophie et journaliste au Canard Enchaîné — revient au Théâtre des Halles pour un nouvel opus des Philosophes en chair et en os : Les femmes et la philosophie

Chaque conférence est rythmée par les improvisations d’un musicien, lors de courtes pauses. Sur un écran, des photos et cartes géographiques sont projetées. Après chaque représentation, un échange est proposé au public. Après Rousseau, Spinoza et Nietzsche, il aborde, en ce 8 mars, la question des femmes et de la philosophie. Au banquet athénien, elles n’étaient pas là pour discourir, ni à l’église, pas davantage dans les académies savantes. Pour justifier cette exclusion, les philosophes ont développé, depuis l’Antiquité, un bêtisier misogyne.

En contre-feu, quelques femmes lumineuses ont inventé des lieux où elles pouvaient occuper la scène sans offenser les règles. Au XVIIIᵉ siècle, dans toute l’Europe, les salons, animés généralement par des femmes, furent une pièce maîtresse des Lumières et de leur diffusion. Il faut attendre le XXᵉ siècle pour que brillent des grands noms tels qu’Hannah Arendt, Simone Weil, Simone de Beauvoir. Reste une question dérangeante : et si la philosophie restait une affaire d’hommes ?
Vendredi 8 mars. 20h. Tarif unique. 10€. Théâtre des Halles. Rue du Roi René. Avignon. 04 32 76 24 51.

Femmes et paysage en Méditerranée, sous la culture, l’agriculture 

Conférence présentée par Nathalie David, éditrice et créatrice du lieu ‘Le jardin singulier’. 

Dans la plus petite commune du Vaucluse, Saint-Léger-du-Ventoux, est né un lieu, le Jardin Singulier : dans l’ancienne maison forestière, l’association Esprit des lieux a installé sa librairie, sa maison d’édition, un restaurant où sont proposés plats et boissons à partir de productions locales, un jardin où l’on peut flâner en rencontrant quelques installations artistiques, mais surtout où l’on peut rencontrer des gens, se reposer, se ressourcer au milieu des arbres, car oui, le Ventoux est un jardin !
Jeudi 7 mars 2024. 18h30 à 20h. Espace Étoile MAIF. 139 avenue Pierre Sémard. Avignon. 04 32 76 24 66. contact@volubilis.org   http://www.volubilis.org 

La Journée internationale des droits des femmes à la Maison pour tous Monfleury

La journée débutera dès 18h par la présentation des expositions Je suis, une série de fresques et tableaux réalisés par des adhérents de la Maison pour tous. À partir de 19h30, un repas – tajine de bœuf aux pruneaux, tiramisu – et une animation ‘Et nous les femmes’, faite par Camille Giry, comédienne humoriste et femme engagée.
Vendredi 8 mars. 19h30. Repas et animation. 12€/personne pour adhérent. 15€ pour non-adhérent. Inscription. Site Champfleury. 2 rue Marie Madeleine. Avignon. 04 90 82 62 07.

Un petit festival cinématographique organisé par l’association Osez le féminisme 84, en partenariat avec le cinéma Le Vox et l’association Miradas Hispanas

Primadonna, film italien de Marta Savina sorti en France le 17 janvier 2024. Sicile, 1965. Lia a grandi dans un village rural. Elle est belle, têtue et sait ce qu’elle veut. Lorenzo, fils d’un patron local, tente de la séduire. Lorsqu’elle le rejette, fou de rage, il décide de la prendre de force. Au lieu d’accepter un mariage forcé, Lia le traîne au tribunal. Cet acte va pulvériser les habitudes sociales de son époque et va ouvrir la voie au combat pour les droits des femmes. Ce drame a une grande portée historique moderne, celle de l’Italie des années 60. Il s’inspire de l’histoire vraie de Franca Viola. Cette femme italienne est restée dans les mémoires pour avoir refusé un « mariage réparateur ».
Jeudi 7 mars. 20h.  Débat animé par Osez le féminisme 84 (OLF). Cinéma Le Vox. 22 Place de l’horloge. Avignon.

Gisèle Halimi, la cause des femmes, un documentaire de Cédric Condon

Ce documentaire sorti en 2022 retrace le parcours courageux de l’avocate engagée, de la militante féministe et de la femme politique, entre ses combats et ses victoires.
Vendredi 8 mars. 20h30. Débat animé par OLF avec l’ancienne députée et avocate Souad Zitouni en témoin. Cinéma Le Vox. 22 Place de l’horloge. Avignon.

Ana Rosa en présence de la réalisatrice Catalina Villar 

Le mot de la réalisatrice : « Une unique photo d’identité retrouvée après la mort de mes parents : celle de ma grand-mère, Ana Rosa, morte avant ma naissance et dont on ne parlait jamais dans la famille. Je savais seulement qu’elle avait subi une lobotomie. En tirant les fils de ce drame, j’explore les liens de la psychiatrie avec la société de son temps et la place très particulière des femmes dans cette histoire… »
Samedi 9 mars. 20h. Débat coanimé par OLF et Miradas Hispanas. 5 à 8,50€. Cinema Le Vox. 22 place de l’horloge. Avignon. 04 90 85 00 25.


8 mars, la Journée internationale des droits des femmes à Avignon

Ce samedi 2 mars, le cinéma Capitole MyCinewest, situé au Pontet, vous proposera de découvrir en avant-première le nouvel opus de la saga autour du personnage emblématique de Ducobu. Intitulé ‘Ducobu passe au vert’, ce nouveau film sera diffusé en présence de l’acteur et réalisateur Elie Semoun.

Dans ce nouvel opus, Ducobu (Damien Pauwels) souhaite prendre une année sabbatique pour sauver la planète, mais surtout pour sécher l’école. Mais Latouche (Elie Semoun) ne compte pas le laisser faire si facilement.

Réservation en ligne ou sur place.
Samedi 2 mars. 16h45. Cinéma Capitole MyCinewest. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


8 mars, la Journée internationale des droits des femmes à Avignon

2 millions de spectateurs avaient vu le premier opus de Kev Adams en 2022 alors que sortait le livre-bombe de Victor Castanet Les fossoyeurs sur les maisons de retraite et les mauvais traitements infligés aux personnes âgées dans les Ehpad du Groupe Orpéa. Du coup, Kev Adams, l’icône des ados dans Soda qui a aujourd’hui 32 ans est reparti dans une suite avec une brochette d’acteurs séniors. Certes, au générique cette fois on ne retrouve ni Mylène Demongeot, ni Gérard Depardieu. Mais Jean Réno en directeur de maison de retraite, Daniel Prévost en geek compulsif branché sur ‘Tik Viok’ à la recherche de la femme de sa vie, Liliane Rovère et sa tignasse blonde en pétard, Chantal Ladesou en colonelle qui éructe sur son fauteuil roulant, Amanda Lear en ‘Barbie’ virevoltante, Firmine Richard en antillaise folle de cuisine pimentée, Michel Jonasz nostalgique de Molière et Enrico Macias sourd qui hurle de longue.

Au départ, Kev Adams a une vraie empathie pour les personnes âgées. « J’ai été élevé par mes grands-parents, ils venaient me chercher à l’école, ils me faisaient faire les devoirs, on avait une relation fusionnelle », explique-t-il. Et après le succès de ‘Maison de Retraite 1’, il propose de retrouver les pensionnaires séniors et les jeunes orphelins. Sauf que l’établissement qui les accueille doit fermer faute de rénovation et de remise aux normes. Il accepte donc l’invitation d’un propriétaire d’Ehpad de luxe dans le Sud de la France et il emmène tout son petit monde en vacances en bus dans le Var.

Et là, juniors et séniors sont accueillis dans une villa de rêve, au Pradet, à l’Est de Toulon, au bord de la Méditerranée, face aux Îles d’Or, Port-Cros et Porquerolles. Un paysage de carte postale de la Riviera. Hélas, une guerre va éclater entre eux et les anciens pensionnaires qui n’acceptent pas ces nouveaux venus. Un genre de ‘West Side Story’ à la française. Mais rassurez-vous, tout est bien qui finit bien dans le meilleur des mondes et le long-métrage se conclut par une ‘happy end’.

Dans ‘Maison de retraite 2’, on retrouve les valeurs chères à Kev Adams : relations transgénérationnelles, humanité, humour, solidarité, tendresse, bienveillance, espièglerie, climat bon-enfant. Il évoque les soucis du grand âge : surdité, mémoire défaillante, dégénérescence, perte d’autonomie. Il rend hommage aux soignants « mal payés, qui font bien leur job, ne comptent pas leurs heures, se dévouent corps et âme pour les aînés. » Mais rejouer la carte Vermeil des séniors présente quelques inconvénients. Comique de répétition lassant, caricature de l’homosexualité, vieilles gloires qui surjouent, cabotinent. Ces papys et mamies font de la résistance pour tromper l’ennui, certes, mais on oscille entre guimauve et ras-des-pâquerettes.

Vendredi soir, le cinéma Capitole MyCinewest du Pontet, était plein comme un œuf pour accueillir Kev Adams en amont de la projection. Le film, sorti le 14 février, a déjà été vu par près de 150 000 spectateurs lors des avant-premières en France. Familial et sympathique, il va sans doute trouver son public, mais battra-t-il le record des 2 millions de ‘Maison de Retraite 1’, pas sûr…


8 mars, la Journée internationale des droits des femmes à Avignon

Du grand rien dans du grand nulle-part. Un tout, d’où surgit « La grâce » d‘Ilya Povolotsky, cinéaste russe. Dur et magistral.

C’est une histoire dure. Alors elle se raconte en silence, car elle est habitée par l’indicible chagrin de la fille, l’éblouissante Maria Lukyanova. Et de son père – le valeureux Gela Chitava – qui l’accompagne de la rivière à la mer. On ne sait rien d’autre.
La seule chose qui aille, c’est leur van qui brinqueballe. Dans un néant inouï.
Vivre, c’est persister. Tout est tragique, rien ne nous sauve. On baigne dans la Russie éternelle de Dostoïevsky, écrasée par un quotidien d’airain. Le réel est le signe de son au-delà. Il faut apprendre à distinguer, faute de savoir lire. Voyons ça.

Le van est rouge.
Comme le sang de la fille. Elle se lave dans la rivière, en rapporte un bidon d’eau qu’elle réussit à peine à porter, comme tous ceux qui en ont fait la nécessaire expérience : l’eau, c’est la vie. Mais c’est aussi un fardeau que nos forces ne peuvent jamais excéder malgré notre volonté. Il faut bien voir de quel bois nous sommes faits. Le ton est donné.

©DR

Le van porte un logo a trois branches.
La fille fait face à un soleil pâle, en route pour le Nord. L’éolienne géante la masque, à chaque rotation de ses trois pales qui semblent la décapiter sans fin.
C’est périlleux un voyage à deux, quand on ne sera plus jamais trois.

La mère est morte. Le père n’a pas de plan, comme le souligne cruellement la fille qui s’inquiète de savoir ce qu’il pourra bien faire quand « tout le monde aura Internet ». C’est-à-dire quand il n’y aura plus la moindre poésie possible.
Déjà, tout accable, rien ne sourit : le paysage atroce, le vide des âmes, les personnages aux boussoles fantomatiques – prodigues de paroles rares et énigmatiques – sous un ciel plombé.

Enfin, la station météo usée au-delà de la corde, laminée sans fin par la mer de Barents. Elle survit dans un froid glacial grâce à une femme étrange et pénétrante comme dans un rêve. La clé des songes. Elle pourrait faire redémarrer le van, au pare-brise fendu mais pas brisé, en route vers la grâce…

Comme disait Dostoïevsky, vivre sans espoir, c’est cesser de vivre.

©DR

Mon conseil : payez votre place pour embarquer dans ce « Road movie » d’une toute autre trempe de ceux que vous avez déjà vu. Partez si c’est trop dur. Vous aurez aidé un jeune cinéaste rempli de talent, maniant le symbole en orfèvre. Restez, si vous entrevoyez que la Grâce pourrait se rencontrer dans l’abîme du courage, la vie renaissant de l’abnégation de son cycle.

La grâce. Long métrage/119 minutes/Vostf. Jusqu’au mardi 13 février au cinéma Utopia d’Avignon La Manutention.


8 mars, la Journée internationale des droits des femmes à Avignon

L’année 2023 aura marqué un retour des Français dans les salles de cinéma du pays. C’est en tout cas ce qu’indiquent les chiffres publiés la semaine dernière par le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC). D’après l’agence du ministère de la Culture, la fréquentation des cinémas l’année dernière a atteint près de 181 millions d’entrées, soit une augmentation de 18,9 % par rapport à 2022. Si, en 2023, le nombre de visiteurs dans les salles obscures n’aura pas atteint les niveaux, historiquement élevés, des années 2017 à 2019, il représente tout de même une forte progression par rapport à 2022 : +18,9 % d’entrées.

D’après le CNC, ce succès s’explique en partie par la grande diversité des films sortis au cinéma l’année dernière. Le cinéma français représentait à lui seul 71,9 millions d’entrées en 2023, soit une part de marché de près de 40 %, grâce au succès de plusieurs films made in France, comme Astérix et Obélix : l’empire du milieu, Alibi.com 2 ou encore le premier volet de la saga Les Trois Mousquetaires, qui ont tous les trois enregistré plus de trois millions d’entrées chacun. De nombreux blockbusters internationaux ont également porté la reprise de la fréquentation des cinémas en France, comme le phénomène Barbie, de Greta Gerwig, deuxième plus gros succès de l’année 2023, derrière Super Mario Bros, le film.

De Valentine Fourreau pour Statista


8 mars, la Journée internationale des droits des femmes à Avignon

Depuis le mercredi 27 décembre, jusqu’au mardi 9 janvier, le Parc naturel régional du Luberon diffuse ses trois clips ‘Nouveaux regards’ dans les salles de cinéma vauclusiennes, à Cavaillon, Pertuis, Manosque, Apt et Cucuron. Un des trois mini-films est diffusé avant chaque séance.

Le projet ‘Nouveaux regards’, soutenu par la Région Sud, comprend trois mini-films de 45 secondes chacun, pour redécouvrir le territoire du Parc naturel régional du Luberon à travers les yeux de trois habitants : un Circaète Jean-le-Blanc, un chevreuil et une abeille. Les objectifs sont de montrer aux habitants du Luberon les richesses du territoire, de démontrer l’intérêt de défendre ces richesses patrimoniales, et de faire comprendre que l’outil ‘parc naturel régional’ est important pour la préservation et le développement raisonné du territoire.

Réalisés par l’agence Anonymes et François Volfin, les trois clips montrent la grande diversité écologique dont le Parc dispose, avec une faune et une flore riches et diversifiées. Ils sont diffusés jusqu’au mardi 9 janvier dans les cinémas de Cavaillon, Manosque, Pertuis, Apt et Cucuron, et ils seront présentés durant tout le mois de janvier dans différents villages du Luberon lors des séances de La Strada. Pour ceux qui n’auraient pas la chance de les visionner, le Parc les partagera sur ses réseaux sociaux par la suite.

V.A.


8 mars, la Journée internationale des droits des femmes à Avignon

La 96ᵉ cérémonie des Oscars aura lieu le 10 mars 2024. L’académie des Oscars vient de révéler les films présélectionnés dans 10 catégories et la production étudiante et avignonnaise BOOM est dans la ‘shortlist’ pour l’Oscar du court métrage d’animation.

Après avoir remporté une médaille d’or aux Student Academy Awards, portés par l’Académie des Oscars, en octobre dernier, le film BOOM des étudiants de l’École des nouvelles images, à Avignon, fait partie des 15 finalistes pour l’Oscar du court métrage d’animation.

Le film d’animation de 6min40, réalisé par les étudiants avignonnais Gabriel AugeraiRomain AugierLaurie Pereira de FigueiredoCharles Di Cicco et Yannick Jacquin pour l’image et le son, et par Mathis Marchal pour la musique, met en scène un couple d’oiseau qui tente de sauver ses œufs d’une éruption volcanique.

Parmi les 15 court-métrages en lice, seulement 5 seront sélectionnés entre le 11 et le 16 janvier. Les nommés seront annoncés le 23 janvier 2024. Cette récompense serait une immense reconnaissance du travail des étudiants de l’École des nouvelles images, mais aussi du savoir-faire français, qui plus est vauclusien, en termes de cinéma. De plus, elle s’ajouterait au palmarès de BOOM, qui a déjà obtenu de nombreux prix ces derniers mois.


8 mars, la Journée internationale des droits des femmes à Avignon

Le violoniste et chef d’orchestre André Rieu donne rendez-vous au public ce dimanche 17 décembre au cinéma Capitole MyCinewest, au Pontet, pour la diffusion de son concert White Christmas.

Durant trois heures, le Roi de la valse offre un spectacle magique depuis son tout nouveau palais d’hiver dans sa ville natale de Maastricht. « Je suis heureux d’inviter mon public de cinéma à faire ce magnifique voyage au pays des merveilles de Noël », a-t-il annoncé.

16€, réservation en ligne ou sur place.
Dimanche 17 décembre. 15h30. 161 Avenue de Saint-Tronquet. Le Pontet.

V.A.


8 mars, la Journée internationale des droits des femmes à Avignon

Ce vendredi 8 décembre, le cinéma La Cigale, situé à Cavaillon, va accueillir le spectacle ‘Requiem pour Johnny’. Le concert est composés de nombreuses chansons connues de tous et de quelques morceaux oubliés.

Après avoir sillonné le Sud de la France et être passé par la scène de l’auditorium du Thor, où 600 spectateurs ont pu vibrer au son des rythmes et des nombreux succès de Johnny, Christian Dessinsa et ses musiciens proposeront un nouvel hommage à la figure du rock français.

Le tarif est au prix de 30€, pour accéder à la billetterie en ligne, cliquez ici.

Vendredi 8 décembre. 20h30. La Cigale. 79 Avenue du Maréchal Joffre. Cavaillon.

V.A.

https://www.echodumardi.com/tag/cinema/page/8/   1/1