21 décembre 2025 |

Ecrit par le 21 décembre 2025

La Maison des agriculteurs est officiellement inaugurée

La Maison des Agriculteurs, située sur la zone commerciale Horizon Provence à Monteux, a ouvert ses portes début novembre avec succès. L’inauguration officielle a eu lieu la semaine dernière, en présence de nombreuses personnalités du monde agricole, d’élus et de représentants de l’État. 

Ce moment symbolique a consacré plusieurs années de travail collectif porté et accompagné par la Chambre d’agriculture de Vaucluse, aux côtés de partenaires engagés. Cet espace commercial, déjà fréquenté par de nombreux consommateurs depuis son ouverture, s’impose comme une vitrine inédite de la production locale, du savoir-faire agricole et de la coopération territoriale. C’est en effet le seul magasin de ce genre dans le Vaucluse qui s’est inspiré du concept d’un magasin d’agriculteurs à Nîmes.

Des sociétaires engagés

La SCIC Maison des Agriculteurs réunit à ce jour 160 sociétaires représentant 400 000 € de capital social. Parmi eux, il y a une large majorité d’agriculteurs et de coopératives agricoles, également fournisseurs, la Chambre d’agriculture de Vaucluse, les collectivités locales (Sorgues du Comtat et Ville de Monteux), le Crédit agricole Alpes-Provence, des partenaires engagés (Bienvenue à la ferme, le Comité de promotion et l’URSCOP), les premiers clients devenus sociétaires et enfin le collège des salariés prochainement.

Une SCIC est une société coopérative d’intérêt collectif. Elle a pour objet la production ou la fourniture de biens et de services d’intérêt collectif, qui présentent un caractère d’utilité sociale. Chaque coopérateur dispose d’une voix.

Un magasin vitrine

Le magasin comporte pas moins de 4 000 références avec une gamme en constante évolution. Il y a ainsi 50 vignerons du Vaucluse, des bières fermières, des spiritueux artisanaux, bien évidemment des fruits et légumes locaux, des produits laitiers, de la viande régionale, des produits transformés à la ferme et autre produits comme la lavande ou les aromatiques.

Des mises en avant de produits saisonniers se font comme le potimarron, assorti avec des produits complémentaires comme les croûtons. ©Olivier Muselet / L’Echo du Mardi

Un premier bilan positif

Avec 11 emplois locaux créés, le premier bilan après un mois d’exercice est positif. La dynamique est alignée avec le chiffre d’affaires prévisionnel, avec un objectif assumé d’atteindre une moyenne de 10 000 € TTC par jour. 

Une dynamique commerciale

Pour assurer le chiffre d’affaires, en plus de la gamme présente, de nombreuses animations sont calées tout au long du mois de décembre ainsi que des dégustations.

Pour les fêtes de fin d’année qui s’annoncent, le magasin a réussi à proposer à sa clientèle toute une gamme festive issue de producteurs locaux, avec de la truite fumée de l’Isle-sur-la-Sorgue, du foie gras, des huîtres, des escargots et de la bûche glacée notamment. Des corbeilles d’épicerie seront également proposées ainsi que des commandes de volailles venant des Hautes-Alpes et de la ferme du Rouret à Mazan.

Le magasin propose toute une gamme festive comme des coffrets alimentaires. ©Olivier Muselet / L’Echo du Mardi

Des perspectives de diversification

Pour compléter la vente classique dans le magasin, les adhérents de la SCIC ont pour objectif de proposer leurs marchandises à de la restauration collective. Une réflexion est menée dans ce sens avec les Sorgues-du-Comtat notamment.


La Maison des agriculteurs est officiellement inaugurée

Alors que les fêtes de fin d’année approchent à grands pas, l’effervescence bat son plein. Les préparatifs s’accélèrent, et des millions de Français s’apprêtent à se rendre en magasin pour boucler leurs cadeaux de dernière minute. Dans cette période charnière, les commerçants sont en première ligne pour répondre à la demande et accompagner l’énergie des fêtes. C’est ce que révèle notamment la 2e partie de l’édition 2025 de l’étude ‘Fêtes de fin d’année et contexte d’incertitude économique : quel impact sur les consommateurs et les commerçants ?’, dévoilée par Ankorstore, la première plateforme européenne de vente entre professionnels, qui connecte 30 000 marques à 300 000 commerçants indépendants. Focus ici sur la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Cadeaux de Noël : entre sprint final et marathon préparé

37% des Provençaux prévoient de réaliser leurs achats de cadeaux à la dernière minute, soit une semaine seulement avant le jour de Noël. Si certains préfèrent prendre leur temps, d’autres s’organisent bien en amont. Ainsi, 47% des consommateurs déclarent préférer anticiper pour faire leurs emplettes. Ils sont même 14% à déjà avoir trouvé leurs cadeaux, notamment à l’occasion des promotions estivales ou des ventes privées d’octobre.

Générations et genres : les Provençaux ne jouent pas tous la même partition

On observe des différences entre les habitudes des générations. Si un jeune (18-34 ans) sur deux (46%) prévoit de faire ses achats à la dernière minute, ils ne sont qu’à peine plus de 32% à opter pour cette stratégie chez les plus de 55 ans. Les femmes semblent également plus organisées que les hommes, car elles ne sont que 29% à attendre la dernière semaine pour
leurs achats, contre 46% chez leurs homologues masculins.

Mais pourquoi les Provençaux s’y prennent-ils à la dernière minute ?

Les raisons qui motivent ou expliquent ces achats de dernière minute sont multiples. L’indécision (29%) et la difficulté à trouver de bonnes idées de cadeaux (27%) arrivent en tête des raisons citées par les habitants. 26% des sondés avancent également un budget limité et l’attente de disponibilité financière ou de promotion pour passer à la caisse. Les achats de dernière minute constituent un mode de consommation délibérément choisi pour 15% des habitants de PACA.

Une dernière ligne droite qui bénéficiera aux commerçants indépendants

Autre enseignement de l’étude menée par Ankorstore : ces achats de tout dernier moment profitent aux galeries marchandes, mais également aux commerces indépendants. En effet, si les supermarchés (83%) et les centres commerciaux et grandes enseignes (73%) sont largement plébiscités, les commerçants indépendants de la région parviennent à tirer leur épingle du jeu. 72% des consommateurs retardataires ou moins pressés se tournent vers des commerces de proximité pour leurs achats de dernière minute (devant les sites de vente en ligne, qui en attireront 64%). Pour les plus de 55 ans, le commerce de proximité est même l’option prioritaire pour leurs cadeaux de dernière minute pour 81% des répondants.

Un pic d’activité salvateur dans un climat d’incertitude

Un signal rassurant, car les commerçants misent sur les fêtes, et tout particulièrement sur la dernière ligne droite, pour réussir leur fin d’année. Les achats de dernière minute représentent ainsi un réel temps fort pour les indépendants puisque 45% des commerçants estiment la part des achats cadeaux de dernier moment à plus de 25% de leurs ventes de fin d’année (dont près de 13% affirment même que cela représente plus de 50% de leurs ventes de la période).

Un volume non négligeable quand on sait que la période des fêtes de fin d’année représente le plus gros pic d’activité annuel pour 63% des commerçants de PACA. Un secteur qui traverse une période compliquée, puisque 66% des commerçants déclarent que la dissolution de l’Assemblée nationale de juin 2024, ainsi que la période d’instabilité politique qui a suivi, ont eu un impact sur la santé économique de leur commerce (dont 26% un impact fort) ; et que près de 61% redoutent que la baisse du pouvoir d’achat des Provençaux n’affecte leur activité cet hiver.

« Dans une période difficile pour les commerçants indépendants, les fêtes de fin d’année sont plus que jamais décisives. Les Français comptent sur le commerce de proximité pour leurs achats de Noël et nous nous en réjouissons. Nos commerçants sont le cœur vivant de nos centres-villes : ils méritent d’être soutenus », explique Nicolas d’Audiffret, cofondateur d’Ankorstore.


La Maison des agriculteurs est officiellement inaugurée

Au cours du mois d’octobre, l’application de livraison Uber Eats et l’animalerie Animalis ont annoncé leur partenariat. Il est désormais possible de se faire livrer ses croquettes en quelques dizaines de minutes.

10 magasins Animalis de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur sont à présent référencés dans l’application Uber Eats, dont celui de Sorgues. Cela concerne aussi ceux d’Aix-en-Provence, Aubagne, Cannes, La Ciotat, La Seyne-sur-Mer, Les Pennes-Mirabeau, Mandelieu-La-Napoule, Marseille, Nice, Puget-sur-Argens, et Saint-Maximin.

Nourriture, friandises, produits d’hygiène, jouets ou encore accessoires pour chiens, chats, poissons, oiseaux, reptiles et rongeurs peuvent maintenant être commandés sur l’application et livrés en une trentaine de minutes à son domicile. « Ce partenariat vient proposer aux clients une nouvelle façon de prendre soin de leurs animaux avec une livraison en quelques clics depuis l’application », expliquent les équipes d’Uber Eats.

Ce partenariat part surtout d’un constat : plus d’un foyer français sur deux vit avec un animal, et 71% des utilisateurs de l’application Uber Eats possèdent au moins un animal de compagnie, selon la plateforme GWI.


La Maison des agriculteurs est officiellement inaugurée

La Fédération nationale de l’habillement (FNH) vient de publier les résultats de son baromètre mensuel. Si en France, les chiffres du mois de novembre sont toujours très bas, la Provence-Alpes-Côte d’Azur est l’une des rares région à tirer son épingle du jeu.

« La situation des commerçants de mode indépendants reste très critique, explique la Fédération nationale de l’habillement. En effet, d’après les données de l’observatoire de la FNH, le chiffre d’affaires de ses adhérents a baissé de 5,3% entre novembre 2024 et 2025. Tous les secteurs sont touchés et ne laissent pas présager d’un rebond : mode homme (-9%), mode femme (-8%), mode mixte (-2%). »

Toutes les régions à la baisse sauf Paca et les Hauts-de-France
La plupart des régions sont extrêmement touchées par la baisse de CA du mois de novembre. Les plus impactés sont le Pays de la Loire (-11%), Normandie (-11%) et Centre-Val-de-Loire (-9%). Sont également touchés par cette baisse : Auvergne-Rhône-Alpes (-8%), Bretagne (8%), Grand-Est (6%), Nouvelle Aquitaine (-5%), Île-de-France (-5%), Occitanie (-2%) et Bourgogne-Franche-Comté (-1%). Seules les Hauts-de-France (+11%) et la région Sud (+9%) affichent un bilan mensuel positif.

« Un écosystème devenu ultra-promotionnel, qui tire toute la filière vers le bas. »

Pierre Talamon, président de la Fédération nationale de l’habillement

« Le baromètre du mois de novembre illustre la résilience des commerçants de mode indépendants, contraints de participer au Black Friday alors que leur structure de marge ne leur permet pas d’absorber durablement ces opérations, fragilisant encore davantage leur activité, constate Pierre Talamon, président de la Fédération Nationale de l’Habillement. Cette pression continue nous oblige, à la FNH, à questionner un écosystème devenu ultra-promotionnel, qui tire toute la filière vers le bas. Cette dérive est amplifiée par l’agressivité du e-commerce des plateformes digitales extra-européennes. Nous devons collectivement réaffirmer la valeur du commerce physique et soutenir ceux qui font vivre nos territoires. »

Black Friday : coup de boost ou coup de bambou sur les marges ?
« La tenue du Black Friday n’aura donc pas eu de réel effet même si le nombre de participants s’est accru avec 58% des commerçants indépendants y ayant participé (contre 47% en 2024), poursuit la FNH. Parmi eux, 71% déclarent avoir participé parce qu’ils n’avaient pas le choix et 48% parce que leurs concurrents le font. Du côté des non-participants, cela est avant tout dû à des convictions anti-Black Friday (68%) ou parce qu’ils souhaitaient faire des promotions de manière différente (16%). Cependant, même si les participants ont pour la quasi-totalité (95%) proposé des réductions durant plusieurs jours, les effets ne se ressentent pas vraiment en termes de chiffres d’affaires puisque pour 28% des boutiques, l’opération représente moins de 5% du CA. Malgré ces chiffres, 62% des participants envisagent de participer à nouveau au Black Friday en 2026. »


La Maison des agriculteurs est officiellement inaugurée

Le groupe Auchan vient d’annoncer que 294 de ses supermarchés passeraient sous enseigne Intermarché (ou Netto, sa marque discount) d’ici la fin 2026. Cette décision, qui concerne des magasins dont la superficie est comprise 400 et 2 500 m², doit cependant encore être soumise à l’approbation de l’Autorité de la concurrence qui doit valider, ou non, la nouvelle stratégie du groupe de grande distribution.

En effet, il ne s’agit pas d’une cession mais d’un partenariat entre les différentes enseignes. Concrètement cela voudra dire que les salariés resteraient des salariés d’Auchan et que les magasins, qui deviendraient des franchisés Intermarché via une entité juridique créée spécifiquement, continueront d’appartenir à Auchan.

Quels magasins sont concernés localement ?
En Vaucluse, les supermarchés d’Apt (1 878m2) et du Pontet (1 800m2) sont concernées par ce prochain changement d’enseigne. A proximité du département, même transfert de bannière pour les magasin de Tarascon, Saint-Laurent des Arbres et Sénas.
Au total, Auchan prévoit ainsi de transférer 35 supermarchés de Provence-Alpes-Côte d’Azur et 20 d’Occitanie. Sur l’ensemble de la France, c’est 453 941 m² de surface de vente Auchan qui passeront sous enseigne Intermarché ou Netto.

Les Hypers vauclusiens gardent leur bannière
Attention toutefois, les 117 hypermarchés (plus de 2 500m2) du groupe restent sous marque Auchan. C’est le cas pour l’hyper d’Avignon-Nord, au Pontet (à ne pas confondre avec le supermarché Auchan concerné ci-dessus et situé à Réalpanier) ainsi que le magasin Mistral 7 à Avignon et celui de Cavaillon.
Au contraire, le site d’Auchan du Pontet , l’un des plus important du groupe, va faire l’objet d’importants investissements puisqu’il fait partie des 45 premiers hypers dont la superficie sera volontairement réduite aux alentours de 8 000m2 dans le courant de l’année prochaine.
Pour Auchan, avec cette baisse moyenne de 25% de ses surfaces de vente et un investissement de 384M€ pour moderniser ses hypers, l’objectif est de pour redresser ses résultats.

à gauche le supermarché Auchan du Pontet/réalpanier et à droite le supermarché Auchan d’Apt ©GoogleMap


La Maison des agriculteurs est officiellement inaugurée

Depuis le début des années 2000, le nombre d’étudiants en écoles de commerce et de gestion a connu une croissance spectaculaire : elles sont devenues un parcours prisé par les jeunes en raison de l’employabilité, des salaires attractifs et de l’ouverture à l’international qu’elles offrent.

Selon les données ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, on dénombrait ainsi seulement 16 millions d’étudiants dans les écoles de commerce, gestion et vente françaises en 1980. Ce chiffre était passé à 63 millions pour la rentrée 2000-2001, puis à 121 millions dix ans plus tard, avant d’atteindre plus de 250 millions en 2023-2024, soit une multiplication par quatre des effectifs environ depuis le début du 21e siècle.

Le niveau d’employabilité des diplômés est un argument majeur pour les étudiants choisissant ce parcours. En effet, les écoles de commerces affichent un taux d’insertion professionnelle supérieur à 90 % dans les six mois après l’obtention du diplôme (Enquête Insertion 2024, CGE), et peuvent offrir des salaires 30 à 50 % plus élevés que la moyenne des autres filières. Ces écoles restent malgré tout un choix minoritaire pour les étudiants français : ils étaient environ six fois plus nombreux à être inscrits à l’université en 2023-2024 (1,6 millions environ), ce qui est en partie due aux coûts prohibitifs des écoles de commerce.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


La Maison des agriculteurs est officiellement inaugurée

La franchise de salons de coiffure Coiff&Co s’implante au sein de la zone commerciale Horizon Provence à Monteux. Le département en compte désormais huit.

Après treize ans d’expérience en tant que franchisée Coiff&Co, Tiffany Sagnier a décidé de renforcer la présence de l’enseigne en Vaucluse et d’ouvrir son 7e salon à Monteux. « J’aime énormément le concept Coiff&Co, c’est une enseigne qui me correspond et que j’ai à cœur de développer », explique-t-elle.

C’est dans la zone commerciale Horizon Provence que s’installe ce nouveau salon de coiffure, qui ouvrira ses portes ce mercredi 1ᵉʳ octobre. L’équipe de cinq collaborateurs, dont trois coiffeurs titulaires et deux apprenties, dispose de 102 m² et propose diverses prestations comme les coupe, les colorations, les balayages, le coiffage, ou encore les soins.

Des enfants aux parents, les prestations se font sans rendez-vous, il suffit de s’inscrire sur l’une des bornes d’accueil pour obtenir un ticket et conserver sa place sereinement. Ce qui laisse aux clients l’occasion de découvrir et profiter des autres commerces de la zone. « Ce que j’apprécie particulièrement chez Coiff&Co, c’est la simplicité et l’accessibilité, ajoute Tiffany Sagnier. Les équipes sont bienveillantes et à l’écoute, et tout est pensé pour que chacun puisse venir se faire coiffer, quel que soit son budget. »

Ouvert du lundi au samedi de 9h à 19h. Horizon Provence. Avenue de Beaulieu. Monteux.


La Maison des agriculteurs est officiellement inaugurée

Du 29 septembre au 3 octobre prochain, France Travail propose de nombreuses opportunités d’emplois dans le cadre de ‘La semaine du commerce’.

Dans ce cadre, le service public de l’emploi en France organise plusieurs événements pour se rencontrer, recruter ainsi que de découvrir les métiers et les postes proposés dans ce secteur qui représente 35 000 salariés dans le département ainsi que 33% de l’activité salariée de l’ensemble de la région.

« Avec plus de 10 000 entreprises adhérentes à l’Opcommerce dans la région, nos 20 branches professionnelles offrent de multiples opportunités de carrière, complète pour sa part Alexandra Mathey, déléguée régionale Provence-Alpes-Côte d’Azur et Corse de l’Opcommerce qui participe aussi à cette opération. Cette nouvelle édition des Rencontres des Métiers du Commerce est l’occasion de mettre en lumière toute la richesse et la diversité de ce secteur, et de ses métiers. À travers plusieurs manifestations prévues dans la région, nous souhaitons créer de nouvelles vocations chez les jeunes, mais aussi chez des personnes en reconversion professionnelle. »

Le Pontet
Le mardi 30 septembre de 9h à 17h à Avignon – Forum Au shopping
Galerie marchande Auchan Avignon Nord – 533, Avenue Louis Braille
Cet événement offre une large palette d’opportunités avec de nombreux recruteurs du commerce et des services. Postes en CDD, CDI, et contrats en alternance. Information et inscription ici

Entraigues-sur-la-Sorgue
Le mercredi 1er octobre de 9h à 11h30 à Entraigues-sur-la-Sorgue – Visite de U Proximité France Coopérative
641, Avenue du Counoise – ZAC du Plan
Venez découvrir les métiers du commerce lors d’une visite exclusive d’un entrepôt logistique ! C’est l’occasion idéale de rencontrer des professionnels passionnés qui partageront avec vous leur quotidien, leurs parcours et les compétences recherchées chez leurs futurs collaborateurs. Information et inscription ici

Avignon
Le mardi 7 octobre de 9h30 à 12h30 au Centre commercial Cap Sud à Avignon
162, Avenue Pierre Sémard
Le Centre Commercial Cap Sud à Avignon vous accueille pour un Job Dating autour des métiers du commerce. Postes en CDD, CDI, et contrats en alternance. Information et inscription ici

Atelier de détection à Orange, Bollène et Apt

France Travail propose également de participer à un atelier Détection de potentiel lors duquel vous pourrez tester vos habilités au travers d’exercices et échanger avec un professionnel.

  • Le 2 octobre de 9h à 12h à l’agence France Travail Orange

85, rue Agis Rigord
Information et inscription ici

  • Le 2 octobre de 9h à 12h à l’agence France Travail Bollène

4, rue Sauveur Durand
Information et inscription ici

  • Le 3 octobre de 8h45 à 12h à l’agence France Travail Apt

461, Voie Domitienne
Information et inscription ici

Le poids du commerce dans la Région Sud
Le secteur du commerce compte 10 626 entreprises dans la région, employant 128 942 salariés (dont 35 000 en Vaucluse), principalement en CDI (88%) et dans des TPE (86%). 78% d’entre eux sont employés ou ouvriers, 12% agents de maîtrise et 10% cadres. Ce secteur compte plus d’une centaine de professions différentes. Le commerce se décline sous toutes les formes, en physique ou en ligne, alimentaire ou non-alimentaire, et en tout lieu, en centre-ville, en périphérie des agglomérations, en milieu rural. C’est également un secteur accessible à tout niveau de diplôme. L’alternance y est particulièrement développée. En Provence-Alpes-Côte d’Azur, ce sont plus de 8 300 contrats d’alternance qui ont été signés (7 045 en apprentissage et 1 310 en contrat de professionnalisation) en 2024. La région est la 5e la plus dynamique pour les recrutements en contrat de professionnalisation (derrière les Hauts-de- France, l’Ile-de-France, le Grand Est et l’Occitanie), avec 11 % des contrats signés.

5 ateliers gratuits en ligne
Par ailleurs, France Travail propose 5 ateliers en ligne. Ces ateliers à distance, dédiés aux TPE PME et créateurs d’entreprises, sont organisés en partenariat avec Google ateliers numériques et France Travail. Ils se déroulent tous les jours de la semaine.

Pour s’inscrire cliquer sur la date de l’atelier :

  • Lundi 29/09 – de 8h30 à 9h00 – Storytelling : comment raconter l’histoire de sa marque ?
  • Mardi 30/09 – de 8h30 à 9h00 – Définir une stratégie marketing avec l’aide de l’IA
  • Mercredi 01/10 – de 18h30 à 19h00 – Comment développer une stratégie pour les réseaux sociaux ? 
  • Jeudi 02/10 – de 8h30 à 9h00 – Comment débuter dans l’analyse de données ?
  • Vendredi 03/10 – de 8h30 à 9h00 – Cybersécurité : comment se protéger en tant que TPE-PME ?

Renseignements et inscriptions sur https://mesevenementsemploi.francetravail.fr/


La Maison des agriculteurs est officiellement inaugurée

Elle vient d’ouvrir ses portes dans la zone d’Avignon Nord, 500 m² de vente et 100 m² de stocks. « Nous avons des vêtements triés pour tous les âges, du bébé à l’adulte en passant par les enfants. Des fringues, des chaussures, de la maroquinerie, des accessoires, des peluches, bientôt du linge de maison, explique David Fillon, responsable du site. Tout est vérifié, la matière, laine, coton ou polyamide, dans notre atelier de valorisation de Courtine, en face de Sainte-Catherine, par des personnes en réinsertion. »

Les articles vendus proviennent des conteneurs de collecte textile Le Relais, membre d’Emmaüs. Cela fait partie d’une chaîne de valorisation, d’une démarche socio-écologique anti-gaspi pour remettre dans le circuit ce qu’on ne porte plus, mais qui, en bon état, peut faire le bonheur de quelqu’un d’autre à peu de frais. « Notre but n’est sûrement pas le profit, mais que chaque centime soit réinvesti pour lutter contre l’exclusion. Ici, nous avons créé huit emplois, dont deux réinsertions, ce qui redonne de la dignité aux plus démunis », ajoute-t-il.

Ding Fring Avignon est la seule boutique de toute la Région Sud. Depuis sa création en 2006, Le Relais gère 950 points de collecte dans six départements de Provence Alpes-Côte d’Azur, trie et valorise 4 200 tonnes de TLC (Textiles-linge-chaussures), et a donné du travail à 52 salariés dont 14 en insertion. 

Les points de collecte textile du réseau Le Relais. ©Andrée Brunetti / L’Echo du Mardi

Initié au départ en 1984 dans le Pas-de-Calais avec la crise, il n’a fait que se développer sur l’ensemble de l’Hexagone avec aujourd’hui 80 boutiques Ding Fring sur le territoire. « Les articles en excellent état sont remis en vente. Pour le reste, 55%,sont exportés vers l’Afrique (Sénégal et Burkina-Faso) et Madagascar. 6% deviennent des chiffons et ce qui est vraiment abîmé est réduit en granules qui servent de combustible aux cimenteries, rien ne perd », conclut David Fillon.

Avec Ding Fring pas besoin de dépenser « un pognon de dingue » pour se faire plaisir. Les prix débutent à 3€ et ne dépassent jamais 29€ pour des vêtements et accessoires de marque, veste, jean, t-shirt ou robe. Cinq fois moins cher que du neuf. En plus, des personnes éloignées de l’emploi retrouvent du travail et l’estime de soi. La preuve que la générosité peut rimer avec solidarité et fraternité.

©Ding Fring Avignon

Contact : Avenue Marcel Pagnol – Sorgues /04 88 60 37 30

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