1 septembre 2025 |

Ecrit par le 1 septembre 2025

Quel est le poids du « made in France » par secteur ?

Si la participation au commerce international procure un certain nombre de bénéfices, plusieurs raisons conduisent à s’intéresser aux relocalisations d’activité dans les pays européens, tels que les effets positifs sur l’emploi et la balance commerciale, la sécurisation des chaînes d’approvisionnement, ou encore les enjeux écologiques, comme la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Selon une étude récemment publiée par l’Insee, 38 % des produits manufacturés consommés par les Français en 2019 venaient de France. Cette part est toutefois nettement plus élevée pour l’énergie (50 %) et les biens agricoles (58 %), et encore davantage pour la construction (96 %).

Comme le met en avant notre infographie, entre 1965 et 2019, la baisse du « made in France » a été particulièrement prononcée pour les produits manufacturés : de 82 % à 38 %, soit une chute de 44 points. Concernant les produits agricoles, la baisse dans la demande intérieure a été un peu moins marquée, avec une diminution de 20 points depuis le milieu des années 1960. Enfin, pour l’énergie, la part de « made in France » a globalement fluctué entre 40 % et 60 % sur la période étudiée, en lien notamment avec les variations du prix des hydrocarbures.

Comme le souligne l’Insee, le poids du « made in France » a diminué dans une proportion comparable à ce qui a été observé dans les grands pays voisins. Outre-Rhin par exemple, entre 1965 et 2019, la part du « made in Allemagne » a chuté de 33 points de pourcentage pour la consommation intérieure de biens manufacturés et de 28 points pour celle des produits agricoles.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Quel est le poids du « made in France » par secteur ?

Après la braderie du printemps dernier dans les rues d’Avignon, place désormais à la grande braderie de la rentrée au coeur de la cité des papes.

La grande braderie de rentrée des commerçants a lieu du jeudi 19 au dimanche 22 septembre, dans les rues du centre-ville d’Avignon. A cette occasion, les commerçants du cœur de la cité des papes proposent une sélection d’articles à prix cassé. C’est le concept de cette traditionnelle grande braderie, organisée chaque année au mois de septembre.
Afin de répondre aux exigences de sécurité nécessaires pour le bon déroulement de cet évènement, les voies incluses dans le périmètre de cette manifestation commerciale seront entièrement interdites à la circulation et au stationnement des véhicules de 9h30 à 19h.

Grande braderie de rentrée d’Avignon. Du jeudi 19 au dimanche 22 septembre. De 10h à 19h.

L.G.


Quel est le poids du « made in France » par secteur ?

Selon la récente étude menée par OpinionWay pour Orisha Distribution, les Français montrent un engouement renouvelé pour les bars, cafés et restaurants cet été, malgré le contexte économique incertain. Voici les principaux enseignements de cette enquête qui traduit un optimisme grandissant quant aux sorties estivales.

Un retour en force dans les établissements

88% des Français prévoient de fréquenter les bars, cafés et restaurants cet été. Ce chiffre témoigne d’une vitalité remarquable avec 14% des répondants qui envisagent d’y aller plus souvent qu’à la même période l’année précédente. Cette hausse est particulièrement marquée chez les jeunes de moins de 35 ans, dont 24% prévoient de s’y rendre plus fréquemment, affirmant ainsi leur attachement à ces lieux de convivialité et de détente.

Une fréquentation augmentée malgré la conjoncture

L’étude révèle que les intentions de sorties dans les établissements sont en hausse de 3 points par rapport à 2022. Les catégories socio-professionnelles supérieures et les jeunes sont les plus enclins à maintenir ou augmenter leur fréquentation. En particulier, 70% des CSP+ anticipent une fréquentation similaire ou supérieure à celle de l’été dernier.

Des dépenses raisonnées mais présentes

Les Français, tout en exprimant leur intention de fréquenter ces lieux, montrent une tendance à rationaliser leurs dépenses. Le budget moyen alloué aux bars et restaurants reste significatif avec des prévisions de dépenses atteignant en moyenne 159€ pour les restaurants et 55€ pour les bars et cafés chaque mois. Les jeunes et les hommes en particulier sont plus enclins à dépenser des sommes importantes avec des budgets moyens plus élevés que leurs homologues.

Les jeunes apparaissent plus enclins à dépenser des sommes importantes dans les cafés et bars : 14% des moins de 35 ans prévoyant un budget mensuel supérieur à 100€ contre 7% seulement des 35 ans et plus.

Les Jeux Olympiques en toile de fond

Bien que seulement 17% des Français envisagent de suivre les Jeux Olympiques de Paris 2024 dans ces établissements, une majorité exprime leur attachement aux bars et restaurants pour des raisons culturelles et sociales plutôt que sportives. Ces lieux demeurent des symboles de l’art de vivre à la française et jouent un rôle crucial dans la création de liens sociaux.

Les jeunes se montrent plus intéressés par le suivi des compétitions olympiques et paralympiques dans les bars, cafés et restaurants. En effet, 30% des moins de 35 ans prévoient de regarder ces événements dans ces lieux contre seulement 13% des 35 ans et plus, et 9% des plus de 50 ans.

Les Franciliens, peut-être plus exposés à la communication autour des Jeux Olympiques, sont également plus enclins à fréquenter ces établissements pour suivre les épreuves. 24% des habitants de l’Île-de-France envisagent de regarder les compétitions dans les bars, cafés et restaurants comparé à seulement 15% des habitants du reste de la France.

Cette troisième édition de l’enquête ‘Les Français et les restaurants, cafés et bars’ met en lumière un optimisme durable et une fréquentation en hausse malgré les défis économiques. Les bars, cafés et restaurants s’affirment comme des piliers incontournables de la vie sociale française, prêts à accueillir les consommateurs pour un été sous le signe de la convivialité et du partage.

« Les bars, cafés et restaurants s’affirment comme des piliers incontournables de la vie sociale française, prêts à accueillir les consommateurs pour un été sous le signe de la convivialité et du partage », souligne Caroline Casaleggio, Directrice Executive Orisha Distribution.


Quel est le poids du « made in France » par secteur ?

L’enseigne de boulangerie et de sandwicherie Marie Blachère vient de rouvrir sa boutique du cours Jean Jaurès, à Avignon. Après avoir subi un sinistre en mars dernier, la boulangerie peut de nouveau accueillir les clients depuis ce mercredi 26 juin.

L’enseigne compte aujourd’hui près de 800 magasins, dont 3 dans le centre-ville d’Avignon. La réouverture de la boutique du cours Jean Jaurès est une bonne nouvelle pour l’enseigne qui est, selon une enquête d’UFC-Que Choisir, celle qui propose les meilleurs produits pour la santé, avec le moins de sel et d’additifs, en comparaison avec ses concurrents.

La franchise, née à Salon-de-Provence en 2004 et dont le siège est basé à Châteaurenard, enregistrait un chiffre d’affaires de plus d’un milliard d’euros en 2023, et se plaçait en troisième position des chaînes de restauration rapide, derrière McDonald’s et Burger King. L’enseigne est très appréciée de beaucoup de Français qui profitent des différentes formules proposées, comme la formule ‘Le p’tit malin’ qui permet de choisir quatre produits parmi une sélection pour 5€. Cette formule, lancée en février dernier, est notamment disponible dans la boutique du cours Jean Jaurès.


Quel est le poids du « made in France » par secteur ?

D’après une étude sur les habitudes des Français au restaurant réalisée par sunday, la solution de paiement pour restaurants lancée par les fondateurs de Big Mamma, la région Provence-Alpes-Côte d’Azur est la plus généreuse en pourboire.

Si la France n’est pas réputée comme étant le pays où les habitants laissent le plus de pourboires au restaurant, l’étude indique qu’une table sur cinq en laisse un en plus de l’addition, qui représente en moyenne 5,8% du montant de l’addition. L’étude révèle également que c’est la région Paca qui se montre la plus généreuse.

Les habitants de la région Paca sont ceux qui laissent le plus fréquemment des pourboires. En revanche, ce ne sont pas forcément ceux qui donnent le plus en termes de montant. Le plus gros pourboire enregistré depuis le début de l’année s’élevait à 112€, laissé dans un restaurant d’Auvergne-Rhône-Alpes. Suivent la région Ile-de-France où des convives ont donné 104€ de pourboire puis une table de Provence-Alpes-Côte d’Azur avec un pourboire de 94€.

©sunday

Quel est le poids du « made in France » par secteur ?

À seulement quelques jours du printemps, la traditionnelle Grande braderie des commerçants du centre-ville de la Cité des papes revient pour une nouvelle édition du jeudi 14 au dimanche 17 mars. Organisé par les associations de commerçants d’Avignon, cet événement sera l’occasion de faire de bonnes affaires.

Pour des raisons de sécurité et afin de veiller au bon déroulement de l’événement, les voies incluses dans le périmètre de cette manifestation commerciale seront entièrement interdites à la circulation et au stationnement des véhicules durant les quatre jours de 9h30 à 19h.


Quel est le poids du « made in France » par secteur ?

Lors du Salon de l’agriculture la semaine dernière, le chef de l’État Emmanuel Macron avait démenti une citation qui lui avait été attribuée par le journal La Marseillaise : « Les smicards préfèrent des abonnements VOD à une alimentation plus saine », assurant n’avoir jamais employé « une formule comme celle-ci ». Mais il avait ajouté : « Le problème que nous avons dans notre pays aujourd’hui, c’est que la part du revenu que les Français allouent à l’alimentation, en trente ans, elle a baissé. C’est-à-dire que les gens, ils dépensent plus d’argent pour le logement, pour les abonnements téléphoniques, pour des voyages, pour la télévision. Le mode de vie a changé. » Une polémique qui a notamment valu au président français des accusations de « mépris de classe. »

Comme le révèlent les données de l’Insee, la part de l’alimentation dans le budget de consommation moyen des Français a en effet nettement diminué au cours des dernières décennies. La part des dépenses d’alimentation, boissons et tabac est ainsi passée de 31 % du budget au début des années 1960, à 18 % de nos jours. Néanmoins, elle reste le deuxième poste de dépenses devant les transports (près de 13 %). Ce n’est pas le seul type de dépenses à avoir drastiquement baissé : l’habillement et les chaussures, qui comptaient pour 12 % du budget moyen à l’époque, n’en représentent plus qu’environ 3 % de nos jours. 

Parallèlement, comme le met en avant notre graphique, ce sont surtout les dépenses liées au logement — incluant chauffage, éclairage et équipement — qui ont pris le plus de poids dans le budget, avec une part qui est passée d’environ 20 % à 33 % des dépenses moyennes de consommation sur la période étudiée. En comparaison, le poste de dépenses des transports (+1,9 point de pourcentage), celui des communications, loisirs et culture (+2,2 points), celui de la santé (+1,8 point), ainsi que celui des autres biens et services (+3,8 points), affichent une hausse moyenne dans le budget nettement moins importante depuis les années 1960.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Quel est le poids du « made in France » par secteur ?

L’événement commercial du Black Friday tombe chaque année le quatrième vendredi du mois de novembre, même si plusieurs détaillants démarrent de nos jours leurs promotions la semaine précédant cette date (et qu’elles se poursuivent généralement jusqu’au lundi suivant, le Cyber Monday). En cinq ans, le chiffre d’affaires total réalisé à l’occasion du Black Friday en France a grimpé de 22 % pour atteindre 398 millions d’euros en 2022, selon les chiffres de Kantar Worldpanel publiés par Le Figaro.

Dans le cadre d’une enquête de Statista réalisée cet automne (du 18 au 21 septembre 2023), il a été demandé aux consommateurs français ayant l’intention de réaliser des achats lors de l’événement ce qu’ils comptaient acheter. Comme le détaille notre graphique, les vêtements et chaussures ainsi que l’électronique grand public figurent parmi les choix les plus populaires cette année, avec respectivement plus de 40 % et 20 % d’intentions d’achat.

En ce qui concerne la participation des Français au Black Friday, la même enquête a révélé que 35 % des adultes interrogés prévoyaient de faire des achats en ligne lors de l’édition 2023, alors que 24 % comptaient profiter des promotions dans les magasins et que 28 % restaient indécis à ce sujet.

De Tristan Gaudiaut pour Statista


Quel est le poids du « made in France » par secteur ?

Quelles sont les enseignes de la grande distribution les plus populaires en France ? D’après les données des Consumer Insights de Statista, cette année encore, E.Leclerc semble être privilégié par une majorité de Français. Plus de la moitié (53 %) des personnes interrogées déclaraient en effet y faire régulièrement leurs courses. E.Leclerc devance ainsi (de peu) l’autre géant français de la grande distribution, Carrefour, chez qui 50 % des répondants déclaraient faire leurs courses alimentaires et de consommation courante de façon régulière. L’enseigne allemande Lidl, connue pour ses bas prix, complète le podium, avec 44 % de clients réguliers.

Parmi les autres enseignes de la grande distribution les plus fréquentées par les Français, on retrouve également Intermarché (34 %), Auchan (32 %) puis une autre chaîne de supermarchés hard-discount allemande, Aldi (25 %). La société coopérative de produits biologiques et équitables Biocoop arrive quant à elle en dixième position, comptabilisant 11 % de clients réguliers. L’enseigne arrive ainsi à égalité avec le groupe de distribution Casino, qui survit tant bien que mal à ses importants déboires financiers. L’enseigne a annoncé le 25 octobre avoir été placée par le tribunal de commerce de Paris en procédure de sauvegarde accélérée pour au moins deux mois, afin de mettre en œuvre la restructuration de sa dette.

Valentine Fourreau pour Statista

https://www.echodumardi.com/tag/consommation/page/2/   1/1